C'est terrible c'est affreux ! Ils se moquent de qui ?!

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Je ne pouvais pas laisser passer ça. Je venais juste de sortir de la grande salle dans laquelle j’avais dit devant plusieurs témoins que je sortais avec Léonard Grimm. Ce qui apparemment était un problème. « Michel-Ange attend » je balançais avant de le rattraper et de me mettre à sa hauteur, lui faisant face. « T’étais sérieux ? Léo va se retrouver à la rue ? » C’est pas ce que je voulais, je voulais juste que notre relation secrète soit pas une entrave à sa confiance en lui, déjà beaucoup mit à mal depuis le début de l’année. « J’croyais qu’entre son père et Léo ça s’était arrangeait. Qu’il avait accepté qu’il ne reprenne pas la forge et son fils tel qu’il est. »

Lyvan savait que cet été c’était compliqué. C’était d’ailleurs pour ça à la base qu’il dormait dans la chambre de Léo, pour emmerder son père qui refusait sa bisexualité. Je sais pas ce qui me prenait de poser ces question à Michel-Ange, depuis le début de l’année il m’en faisait voir des vertes et des pas mure à cause de son Apolline, mais comme c’était le frère de mon copain… Je sais pas. Quelque chose me dit que comme à Halloween, une fois de plus je vais le regretté.

@Michel-Ange Grimm

Alors que je marchais vers la sortie, tout en me demandant ce que le professeur allait me coller comme punition, j’entendis la voix de Lyvan derrière moi me rappeler. Je levais les yeux au ciel, et je m’arrêtais. Lui il commençait à me courir sur le haricot. Fulminant et inspirant doucement pour me contrôler, je le fixais droit dans les yeux, sans ciller.

« J’en sais rien, je ne suis pas mon père. Tout ce que je sais c’est qu’il y a une différence entre toléré quelque chose officieusement, et déclarer à toute la communauté sorcière que son fils est dans une relation stérile. »

J’avais réajuster mon sac à dos. Je fronçais un peu des sourcils. Mes propos étaient un peu dur et… pouvait être interprété comme de l’intolérance. Qu’il soit homo, hétéro ou même zoosexuel, j’en avais strictement rien à faire. Ce que je voulais c’était son bonheur, et surtout qu’il ne soit pas à la rue.

« Il faut que tu comprennes que la Famille Grimm est une famille respectable, noble et très ancienne. Qu’elle se base sur son héritage culturelle liés à l’enchantement et la fabrication des artefacts de génération en génération. Si la question du sang et de sa pureté est d’actualité, il en va de même pour le fait qu’il soit perpétué. L’homosexualité est très mal vu par mon père. Il voit ça comme l’extinction de la lignée. Seul les vrais Grimm peuvent accédé aux secrets familiaux. Même si vous adoptés... »

Je passais ma main sur mon visage d’un air las. Putain mais qu’est ce que j’étais en train de dire ? Voilà que je les imaginais marié et en train d’adopter un gosse ?! Non mais vraiment… Lyvan m’avait prouvé avec Apolline et les autres que ça ne pouvait pas être quelqu’un de fiable.

« De toute façon, peu importe Gremlins. Je vais couvrir Léo sur ce coup. C’est pas la première fois, et ça sera pas la dernière. Je suis son fusible et son homme de lige là dessus t’en fait pas. J’ai l’habitude. Par contre, la menace de tout à l’heure était sérieux. »

Je m’approchais de lui, d’un air menaçant. Là, c’était plus le petit Poufsouffle sympa et gentil qu’il avait en face de lui. On s’approchait plus du Gobelin enragé, prêt à lui mettre une dague en argent sous la gorge. Je mis mon doigt sur sa poitrine.

« Tu lui brises le coeur, j’te brise la nuque. »

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Dire que j’suis blazé est un euphémisme. Sérieux j’ai les boules ! Je prends enfin mon courage pour avouer ma relation avec @Léonard Grimm et tout ce complique. C’est comme si je venais de remonté à la surface et que @Michel-Ange Grimm m’appuie sur la tête pour me laisser enfoncer au fond de l’eau, continuant de me noyer… Je restais interdit. Une relation stérile ?! Ça devait se voir à ma tête que je pigeais quedal parce que le Pouffsoufle ne tarda pas à éclairait ma lanterne, étant encore plus bavard que dans mes souvenirs. Je m’apprêtais à ouvrir la bouche pour répliquer que même les couples gay avait le droit d’avoir des gosses de nos jours, mais une fois de plus Michel-Ange me couper l’herbe sous le pied. Le pire c’est que ça faisait qu’un mois que j’étais avec Léo, on ne pensait même pas à ça. Enfin pour ma part.

« T’a qu’à en faire toi des gosses ! »

C’est vrai quoi, il y avait deux Grimm ! J’me mordais la langue pour ne pas rajouter un « ils seront demeuré comme leur père mais ce seront des VRAI Grimm ». M’en prendre au frère de Léonard ne réglerais rien, bien que sur l’instant c’était vraiment tentant. J’avais trop encaissé de chose en silence concernant le Pouffsoufle. Heureusement pour moi je n’étais pas un Gryffondor, un impulsif. Enfin… Voir Michel-Ange me menacer l’instant d’après n’allait pas m’aider à rester calme. « Et moi la tienne ! C’est pas moi qui ai couché avec sa petite amie. » Je répondais du tact au tact, parce que s’il se préoccuper de Léo c’était également mon cas. J’étais là quand Léonard était en larmes à cause de son ex et son frère, alors je le trouvais quand même gonflé avec ses menaces.

Je n’en ai cordialement rien à foutre de ce que Michel-Ange peut penser de moi, ça fait longtemps que j’ai compris qu’à ses yeux je serais éternellement « le gars avec qui Apolline a couché ». Peu importe mes actes, peu importe mes agissement, pour lui je serais éternellement « le méchant ». Pas de rédemption. Mais peu m’importe tant qu’il ne devient pas un frein à ma relation avec Léo, je survivrais avec l’idée que Michel-Ange Grimm me déteste, ça ne m’empêchera pas de dormir le soir. Etre aimer c’est surfait. Je ne suis pas de ceux qui ont ce besoin d’être apprécier de tous. Je sais et j’accepte que parfois ça colle pas.

« Ton frère n’a pas confiance en lui et c’est votre faute, à vous les Grimm ». Michel-Ange aimait Léo ? Alors comment se faisait-il qu’il ne l’aide pas à avoir confiance en lui ? Comment Michel-Ange pouvait cautionnait les pensée de leur père ? « Léo s’en fou de la lignée. Il s’en fou de la forge. Il veut juste être lui-même. Avoir ce droit. Pouvoir aimer qui il veut. » Comme moi. Je n’avais pas idée à quel point ma relation avec Léo aller être compliqué en fait…

Je passais ma main sur mon visage et je soupirais. Putain mais il était con ou quoi il comprenait rien ? C’était un Sang Pur il était sensé comprendre ce genre de chose ! Je soupirai et je m’avançais vers lui presque menaçant.

« Lyvan, tu viens d’une famille de sang-pur tu devrais comprendre que pour ma famille, l’héritage c’est important. Combien de grandes familles se sont éteintes ? Un nombre incalculable… Tout ça parce que ces idiots ne veulent pas se mélanger avec des sangs purs. »

Je soupirais. J’allais devoir peut être lui expliquer avec plus de détails puisqu’il semblait dur de la feuille…

« Tout ça j’en ai rien à faire, je te le répète. Ce qui m’inquiète c’est la réaction de mon père. Mon oncle Ebenezer a été radié et abandonné de la famille Grimm simplement parce qu’il était en couple avec une Tzigane. »

Je plissais des yeux, pour bien lui faire comprendre ce qui se passerait s’ils allaient dans cette voie. Soudain, je me mis à sourire et je changeais un peu d’attitude. Je venais de comprendre quelque chose d’assez évident.

« Je vois que t’es amoureux. Et que tu le défends coûte que coûte Gremlins. C’est bien. »

Je lui serrai alors l’épaule et je le regardais dans les yeux. Je me penchais vers lui pour être bien sur que lui seul m’entende.

« Mais vous devriez vraiment faire attention. Moi, je suis digne de confiance. Mais là bas… Y’a des mecs et des nanas qui raffolent de ce genre de commérage. Et… Si ça revient aux oreilles de mon paternel, il va pas le croire, mais il va vouloir vérifier. Je vais anticiper ça et le couvrir pour cette fois… Mais… Réfléchis la prochaine fois, t’es un mec brillant. »

Et je me mis à ricaner en lui donnant une petite gifle.

« Tiens, bienvenue dans la famille trou du cul… Enfin officieusement… »

Je le sentais bien. C’était comme si… tous ces mois à détester Lyvan s’envoler juste parce que je savais qu’il aimait vraiment mon frère.

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Je crois que c’était la première fois que j’entendais Michel-Ange prononçait mon prénom. Non vraiment. Depuis le début de l’année, à chaque fois que le Pouffsoufle se retrouvait sur mon chemin c’était pour me faire une crasse. Volontaire ou non. Alors le « Lyvan » je n’y étais pas habituer. Je venais d’une famille de sang-pur ? Michel-Ange ne savait rien de ma famille. Absolument rien. J’avais grandit avec une mère démente, interné à saint Mangouste et un père absent, alors ils auraient très bien pût être Moldu que ça n’aurait fait aucune différence. Contrairement à Michel-Ange, Léonard ou encore Apolline, je n’avais pas grandit avec des gens ne cessant de parler de la grandeur des sangs pur. Mais effectivement. Je comprenais.

« Dommage que ton oncle ne soit pas ton père. » je lançais alors que Michel-Ange essayait de me faire comprendre ce que j’avais déjà compris. L’importance de préservé l’existence du nom Grimm. Tout ce que je retenais c’était la finalité : pas de happy end pour moi et Léo. Ou du moins pas au grand jour. Nous pouvions continuer à nous aimer mais pas aux yeux du monde. Nous devions continuer d’être cacher. C’était rageant parce que je l’aimais vraiment comme un dingue. Ça devait ce voir à ma façon de parler de lui.

« Je vois que t’es amoureux. Et que tu le défends coûte que coûte Gremlins. C’est bien. » « Oui je l’aime. Et tu veux savoir le mieux dans tout ça ? C’est que lui aussi. »

Et je souriais bêtement rien qu’à cette idée là, fier d’être celui que Léonard avait choisit d’aimer. J’écoutais ensuite les recommandations de Michel-Ange. Si je trouvais soulant de devoir continuer à garder tout ceci secret, maintenant que j’arrivais mieux à assumer qui j’étais, je voulais protéger Léo. Je restais un peu raide alors que le jaune me prenait par l’épaule, surpris de cette étreinte. Michel-Ange affirmait être quelqu’un de confiance et je me retenu de le contredire, parce que juste là il ne m’avait donné que de bonne raison de pas l’apprécier. J’avais arrêté de compter le nombre de fois où sa maladresse revenait sur ma pomme. Parfois même de façon intentionnelle. A chaque fois j’étais resté calme, ne cessant de me rappelait qui était son frère. Etrangement, même si je ne lui faisais pas confiance je le croyait quand il affirmait couvrir Léo. Un lien fort semblait unir ces deux là. Un lien fort unis toujours deux frères. Je suis bien placer pour le savoir, ayant perdu le mien. « Thanks ? » je répondais après la petite tape et le « trou du cul ». « T’es vraiment un mec bizarre tu sais ? » C’est vrai, je ne m’attendais pas à ça, j’avais fini par accepter l’idée qu’il ne revoit jamais son jugement sur moi. Et pourtant…

« Je crois que c’est mieux que tu ne dise pas à Léo que tu sais pour nous. Ni même ce qui s’est passé dans la grande salle. Et… Okays. Je ne ferais plus ce genre de chose. Pour le protéger. » Je poussais un soupir, fatiguer que la vie soit parfois aussi compliqué. « Oh fait félicitation ! Si les bruits de couloirs disent vrai, je ne suis plus le seul à être célibataire. Non ? C'est bien. Il était temps ! »

@Michel-Ange Grimm

Alors que Lyvan déclarait avec passion qu’il était amoureux de mon frère, j’eus un brusque mouvement de recule. Mais il déconnait pas le con ! Je me mis à éclater de rire. Un vrai éclat de rire tellement je le trouvais à la fois ridicule et attachant. Putain. Tiens. Je lui mis une petite gifle. Pour le réveiller et par plaisir parce qu’il avait toujours cette tête à claque. J’en avais rêvé depuis tellement longtemps que la gifle qui partit fut… un peu forte.

« Tiens. Voilà comment on s’accueille dans la famille ! Allez à toi ! »

Je fermais les yeux, prêt à recevoir une gifle. Bon, ce n’était pas du tout une tradition de la famille Grimm. Mais… Toutes les traditions commençaient à un moment donné non ? La joue tendue, j’attendis qu’il me gifle. Ce con devait faire durer le plaisir. Aussi, je répondis d’un air amusé.

« Les bruits de couloirs ont raison. Mais là encore je dois faire comme toi… Profil bas. Et pas pour la même raison. Je ne suis pas encore certains que son père approuve cet union, du coup j’attends le bon moment. Mais je suis assez malin pour établir un plan… Seulement vu que je veux que ce soit parfait infaillible ça prend un peu de temps... »

Je le regardais brusquement. Mais pourquoi il ne me giflait pas ?

« Bon elle vient cette calotte ? Tu veux pas de moi dans ta famille c’est ca ? C’est des traditions ancestrales. Je gifle je t’accepte. Tu gifles, tu m’acceptes. Y’a un truc que tu comprends pas là dedans ? »

Je fronçais les sourcils. Est ce que j’étais barjo ? Peut être. Mais je savais qu’après cette gifle lui et moi on serait lié à jamais. Ca allait etre différent. On allait… peut être, être ami en fin de compte.

« T’as des scrupules ? Tu veux pas qu’on soit pote ? »

Et voilà, je l’avais dit.

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Lyvan attrapa Michel-Ange pour le serré contre lui, lui faisant une accolade chaleureuse et viril. Il le garda quelque seconde avant de le relâcher.

« Voilà comment on fait parmi les mien »

Il n’avait pas dit « dans ma famille » parce qu’elle était brisé depuis longtemps et qu’il avait toujours privatisé l’amitié. Si le Pouffsoufle attendait une gifle, Lyvan trouvait ce geste bien plus en accord avec lui-même, mais ça signifier la même chose : ils enterraient la hache de guerre ! Michel-Ange arrêtait de vouloir la lui lancer entre les deux yeux.

« C’est nul pour toi et Apo ! Franchement ça craint. Après tout ce temps je pensais vraiment que vous étiez ensemble. »

Et cela simplement, sans devoir composer avec un patriarche vieux jeu. Lyvan avait beaucoup de reproche à son propre père mais ce n’était peut-être pas si mal qu’il n’est pas été élevé comme les autres sangs pur, ses parents trop occupé à se déchiré.

@Michel-Ange Grimm

Avec un léger sourire, je me dégageais de son étreinte. Regardant à droite et à gauche, de manière presque maladif comme une fouine, je fus trop content que personne ne nous capte l’un contre l’autre.

« Putain refait pas ça c’est comme ça que les rumeurs commencent ! »

Je me mis à rire. Au fond je venais de comprendre quelque chose grâce à mon frère sur Lyvan aujourd’hui. J’en avais déjà vu une partie avec Megara, mais aujourd’hui j’en avais la confirmation. Derrière ce masque d’insulte et de grossiereté, cette espèce de ganache qui voulait prendre des gifles tellement il était insolent… Il y avait quelqu’un de très sensible. C’était fort dommage qu’il ne laisse jamais libre court à ses émotions…

« Ne t’inquiète pas pour Apo et moi. »

Je lui souriais espiègle. Avec un air malicieux, je me penchais pour lui dire quelque chose. Comme si je voulais le mettre dans la confidence.

« Michel-Ange Grimm a toujours un plan… Et une longueur d’avance sur les autres ! »

Je lui fis un petit clin d’oeil. Bon j’avais jamais vraiment eu de plan. Mais c’était peut être ça finalement, le plan ? Pas avoir de plan ! Mais au moins, j’étais réactif. Et là, il fallait que je réagisse. Il était hors de question qu’Anderson me vole ma future femme !

« Tu peux me rendre un service ? Est-ce que tu connais le mot de passe de la salle commune des Serpentards ? »

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« Un plan du genre comme avec les chaines d’Andromède ? » demanda-t-il avec un petit sourire aux coins des lèvres, en repensant comment ce « plan » avait lamentablement échoué. Pour sûr il devait y avoir des tas de schémas excentrique dans la tête du Pouffsoufle, mais quand il s’agissait de les réalisés…

« Dans l’optique où j’ai était l’une de tes victimes, mon esprit critique est légitime non ? » rajouta-t-il conscient que Michel-Ange pouvait vite prendre la mouche comme il l’avait déjà fait sur le passé, ne sachant jamais sur quel pied danser avec lui.

« Tu sais quoi ? Fais comme si je n’avais rien dit » rajouta-t-il en levant les deux mains, signe qu’il se rendait, ne voulant pas risquer de redevenir de nouveau son ennemi juré. Petit sourire aux lèvres, le moins qu’on puisse dire c’est que Poudlard serait résolument triste sans Michel-Ange Grimm. Il était l’une de ces personnes avec qui on était sûr de ne pas s’ennuyé. Pour preuve, le voilà déjà en train de demander le mot de passe de Serpentard. Enfin plus ou moins.

« Yep. C’est le moment où pour sceller notre nouvelle amitié tu me demande de te le filer ? »

Il était loin d’être idiot et c’était aussi flagrant que le nez au milieu de la figure. Pour sûr que c’est pour ça qu’il lui poser la question.

« Et c’est Nope ! Hors de Question. Demande à Léo, il est Serpentard aussi et vous avez les liens du sang. » Le chantage affectif, une pratique courante entre frère. « Puis pourquoi t’a besoin d’aller chez nous ? Apo est Gryffondor non ? »

@Michel-Ange Grimm

Est-ce que je devais lui dire que je comptais venger les Serpentards de ce qu’ils avaient fait à mes amis Gryffondor avec leur enchantement à la con ? Non. Israfel Adil et moi, on avait un plan. Un plan infaillible pour leur faire comprendre que lorsqu’on nous attaquait, on savait répliquer. Ne faisant bien évidemment pas assez confiance à Lyvan pour lui dire toute la vérité, je me contentais de dire mystérieusement :

« Je compte rentrer dans la salle commune, aller dans le dortoir d’ @Edel Almadovar et de @Xris Andērson et faire exploser une bonne trentaine de Bombabouse. »

C’était pas exactement ça qu’on avait prévu mais cette idée là par contre était séduisante même en solo. Surtout que je maîtrisais bien le sortilège de Désillusion. Je pouvais presque passer inaperçu si je faisais cela au milieu de la nuit.

« Tu connais Léo. Il se méfiera d’un truc. D’une entourloupe. Il est trop méfiant. Alors que bon… Sérieusement… Qui apprécie Anderson et Almadovar mis à part eux même hein ? »

Je lui tapais sur l’épaule. Il fallait que je commence à convaincre un peu tout le monde même dans leurs propres maisons que c’était de vils personnages qui n’aspiraient qu’au Chaos et à leurs proprs intérêts. Mais Lyvan n’était pas comme ça ! C’était un mec j’en étais sur !

« Bon, tu veux combien ? »

Et ni une ni deux, je commençais à sortir ma bourse de gallion pleine comme tout bon membre d’une famille de Sang-Pur. J’étais pas du tout dépensier, même si j’étais riche, car pour moi un Gallion était un gallion. Mais j’étais prêt à donner beaucoup pour récupérer le mot de passe.

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