(lyvan) playing with a stick of dynamite.

INFOS FICHE DE PERSO

playing with a stick of dynamite. ft. @lyvan phoenix

et maintenant que tu es perdue, je veux dire encore plus d'habitude. tu ne sais plus vers qui te tourner.
quelques missives s'envoient à @haru bakh sans que tu cherches un véritable réconfort auprès de lui. tu écris à @apolline dunn sans lui dire réellement qui est l'inconnu qui te fait si mal au cœur après michel-ange et tu te confies davantage à @lyssa de clare mais sans pour autant donner ton mal être en détails.
depuis que tu avais avoué tes sentiments à @léonard grimm, vous passiez votre temps à vous disputez et à ne jamais être en accord.
rien ne fonctionnait correctement, et vous étiez deux bombes prêtes à péter. quel manque de communication cruel entre vous, et tu hésites encore à lui lancer des mots vaches à la figure, juste pour te sentir plus légère.
pourtant, tu l'aimais, c'était indéniable.
et c'est sans doute ce qui te fait davantage souffrir. cette souffrance qui vient à te rendre coupable d'un mal que tu aurais fait sans regret à qui que ce soit d'autre.
comment faire pour arriver à mieux cerner ce qui vous arrivait ? ta mère n'était pas objective, et personne ne l'était d'ailleurs.
non, tu avais besoin d'un avis plus franc... quelqu'un comme lui. alors que tu prends un parchemin de tes missives, tu n'arrives pas à croire ce que tu t'apprêtes à faire.
quand ella s'échappe de la fenêtre pour apporter ta lettre à @lyvan phoenix, tu fermes les yeux. trop tard pour revenir en arrière.

sur la lettre que reçoit lyvan, on peut y lire avec une jolie caligraphie qu'il est invité à passer la journée au domaine des strange/mcwood sur les côtes de la mer du nord à cocklawburn.
tu es dans une résidence de vacances familiale, et tu actives la cheminée pour l'aider à y pénétrer à son arrivée. si toute fois, il venait.
tu te prépares pour sa venue, jusqu'à même jeter ta mère du domaine. tu es seule et tu obverses la plage de ton balcon. la citronnade sur la table du salon et tu descends finalement quand tu entends le feu de cheminée.
tu sautilles dans les escaliers et t'arrêtes à sa hauteur. « salut lyvan. » que tu dis, presque trop solennelle avant de le prendre finalement dans tes bras dans une accolade amicale.
vos antécédents rendent parfois vos échanges ambigus mais tu es ferme et décidée. c'est léonard que tu veux, peu importe si lyvan et toi avez partagé une nuit. et tu as besoin de lui... plus que jamais.
après tout, il est aussi ton ami... peu importe qu'il soit le meilleur de léonard. « tu te doutes que tu n'es pas là pour rien. » que tu dis en l'entrainant dans la cuisine. « j'ai besoin de toi et de tes conseils... » tu lui jettes un regard en biais. « concernant léo... tu dois tout savoir, non ? » tu tâtes le terrain avant de t'y jeter mains et pieds liés.

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28 JUILLET - Si Lyvan redoutait de s’ennuyait pendant ses vacances c’était sans compter sur Léo qui trouvait toujours plus d’idée pour leur faire passer un bon moment. Pas du genre à demander de l’aide, il ne l’avouerait jamais, mais il était plutôt content qu’il l’ait invité chez lui. Même si les derniers jours, il tirait la tronche. Pas besoin d’être Légilimens pour deviner que c’était Alycia qui était la cause de ses tracas. Dire que c’est lui-même qui l’avait poussé à aller à l’encontre de la demoiselle ! Faut que le Phoenix avait lui-même eut le plaisir de se retrouver entre ses draps en deuxième années, donc il ne pouvait d’approuver ses caresses. Ceci dit il avait bien sentit que le sujet était délicat, du coup il n’était revenu dessus. Clope au bec, chez sa cousine Lara, il était en train de la finir quand un hibou vola jusqu’à lui. Peu de gens savait qu’il était là, qui pouvait bien lui envoyer du courrier ?

« Putain si c’est elle j’vais vriller ! » dit-il pour lui-même en attrapant le parchemin. Fort heureusement, il ne s’agissait pas de sa demi-sœur, mais… Un fin sourire passa sur ses lèvres. Tiens tiens Alycia. Il serait presque tenté de modifier la lettre à coup de sort et d’en changeait le destinataire. Léo serait ravi de passer la journée chez elle. D’un autre côté… il était curieux de cette invitation. Il n’avait côtoyé Alycia que dans les murs de Poudlard et cela le ferait changer d’air. Surtout que ça avait l’air au bord de la mer. Un transplanage et il se retrouva rapidement à l’adresse indiquer. « Hey » dit-il en levant la main, comme un « hug » à moitié enthousiasme.

« Oh secours ! A l’aide ! Tentative d’assassinat ! » dit-il en gesticulant alors qu’elle le prenait dans ses bras. Un fin sourire espiègle se dessina sur ses lèvres. « Je t’ai manqué à ce point là ? » Seulement un mois depuis la fin de l’année scolaire. « Hum… tu t’es dis que tu avais besoin de quelqu’un pour nettoyer la piscine c’est ça ? Sinon je vois pas. » demanda-t-il en faisant preuve d’ironie. « Léo ? Léo qui ? » Continua-t-il en se penchant vers elle, comme s’il n’avait aucune idée de qui elle voulait parler. « Connait pas ! » renchérit-il en promenant son regard sur ce qui s’offrait à lui. « Classe » dit-il simplement, lui qui ne donnait pas de compliment.

Lyvan & Alycia

KoalaVolant

@Alycia McWood

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playing with a stick of dynamite. ft. @lyvan phoenix

tu ne saurais dire si ton amitié avec lyvan était saine ou malsaine. vos déboires ont entrainé une ambiguïté... mais le temps a vite fait eu raison de cet attache pour vous laisser vaquer à vos âmes libres. toi l'amoureuse de l'amour, lui l'amoureux des corps.
lyvan et léonard se ressemblent parfois tellement que tu te demandes comme tu as fait pour en aimer un sans aimer l'autre. sans doute parce que tu savais que lyvan ne s'attacherait jamais... ou bien léonard avait plus de cœur et tu t'en étais rendu compte.
c'est effrayant de se dire que tu n'es pas la hauteur des attentes de celui que tu aimes. petite étincelle morte dans la pénombre, tu t'es réveillée pour devenir flamme quand, de ses pieds, il cherche encore à te piétiner malgré ce besoin de toi.
tu le sais.

et quand il débarque enfin chez toi, de cette maison secondaire aux grands murs et à la moulure presque parisienne, tu t'empresses de le prendre dans ses bras et quand il ironise, ça t'électrise. de tes petits yeux verts, tu les plisses avant de l'asséner d'un coup franc dans l'épaule.
s'il ne veut pas de tes câlins, grand bien lui fasse, tu n'en feras désormais plus. la moindre des choses aurait été de te rendre ton étreinte.
mais d'un phoenix on ne s'attend jamais à rien, seule la spontanéité répondra. et quand il rétorque, le bougre, tu prends rapidement la mouche. comme une petite fille prise sur le fait, tu t'empourpres légèrement. « absolument pas ! » que tu réponds aussitôt. tu croises les bras comme une enfant boudeuse, la peur au bide que ce geste soit mal interprété et qu'à nouveau léonard l'utilise contre toi.
cela commence à te fatiguer de devoir te justifier de tout... cette relation n'est même pas entamer qu'elle t'use déjà.
elle est malsaine votre histoire, douloureuse... tortueuse. et pourtant, tu ne peux t'empêcher de penser à lui, de rêver de lui... de vivre pour lui. que t'arrive-t-il, bon sang ?

et quand enfin, tu précises les raisons de sa venue, ton ami continue de jouer du sarcasme. tu ignores si c'est dans sa simple nature, ou s'il cherche juste à te rendre folle.
tes bras se décroisent, tes poings se serrent malgré toi et tu te tournes vers lui d'un bond. « par morgane, ça t'arrive d'être sérieux deux minutes ? » ce caractère, tu le connais que trop bien. parfois même léonard en use. et quoi de mieux qu'une personne qui réagit au premier degré quand on aime jouer d'ironie ? tu offres du pain béni à cet ami qui ne veut ni bien ni mal.
mais tu ne sais plus sur quel pied dansé actuellement. « léonard grimm. » que tu rétorques finalement en l'entrainant sur le balcon avant de t'assoir sur ta chaise et de prendre un verre de citronnade. « si tu n'aimes pas, il y a de l'orangeade. » un soupire s'échappe avant que tu n'entames le verre rafraichissant et en le reposant, tu reprends avant qu'il trouve parade à te couper l'herbe sous le pied. « léonard sait pour toi et moi. » tu le fusilles du regard et tes ongles jouent sur le bois de la table. « pourquoi tu lui as parlé de ça ? » bien qu'il n'y est rien de mal, ça a encore saboté toutes tes chances de trouver cette faille qui l'ouvrirait sur toi. « il s'est refermé comme une huître... il m'en veut comme si je l'avais trompé. » tu observes un instant lyvan avant de demander. « il t'a parlé de moi !? de nous ? » ton cœur espère quelque chose qui ne réduise pas tous tes efforts à néant.
l'âme en peine depuis quelques temps, l'amour en détresse... tu ne sais plus si tu dois ou non continuer de courir ou fuir.
quand tu penses à t'éloigner, tu sens sur toi le drap des ténèbres se poser... mais quand tu penses à ses sentiments qu'il n'assume pas, tu trouves la force d'attraper la lumière de tes doigts fins.
un mot, il suffirait d'un mot pour que tout bascule.

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28 JUILLET - « Absolument pas ! » « Menteuse » dit-il avec un sourire amusé aux lèvres alors qu’il se régale de la voir réagir de façon aussi brutale. C’est jouissif d’avoir du répondant, de savoir qu’on a le pouvoir d’insufflé chez l’autre des réactions. Le vert ne s’en lasserait jamais et s’il se sentait toujours victorieux quand il rendait quelqu’un tel qu’Alycia aussi passionnée, marionnette de ses émotions. Il ne l’avouerait pas, mais il était content qu’il lui manque. Il faut dire qu’Alycia et Léo avaient passé pas mal de temps avec lui les dernier mois de l’année scolaire. Lui qui était habitué à seulement partageait son temps avec les courbes féminines, c’était surpris à apprécié la compagnie de ses deux là, qu’il pouvait aujourd’hui appeler amis. Meilleurs amis ? Peut-être bien. Alycia crut bon de précisé la raison de sa venue. Léo ? Non sans blague ! Pas besoin d’avoir ses BUSES pour le deviner , mais Lyvan sauta sur l’occasion pour la faire tourner en bourrique.

« Par morgane, ça t'arrive d'être sérieux deux minutes ? » « Hum… Attend laisse moi réfléchir » dit-il en posant sa main sur son menton pour prendre un air sérieux. « … Non ! » Un grand sourire, en un mois elle n’avait quand même pas oublié son caractère ? Si ? « Ooooooh CE léo » dit-il en ouvrant grand la bouche. « léonard sait pour toi et moi. » Si le regard glacial d’Alycia en effraie d’autre, ce n’est absolument pas le cas de Lyvan qui admire plutôt son talent plutôt que de frémir de peur. « Je sais c’est moi qui lui ait dit » « pourquoi tu lui as parlé de ça ? » « Et pourquoi pas ? J’ignorais que c’était un secret. » Personne ne le lui avait précisé et c’était sortit comme ça, comme pour parler de la pluie et du beau temps. « il s'est refermé comme une huître... il m'en veut comme si je l'avais trompé. » Lyvan afficha un air surpris.

« C’est complètement con. On était en deuxième année. A cette époque il ne connaissait même pas la couleur de tes yeux. J’me gourre ? » Lyvan pouvait se tromper, il ne côtoyait pas Léo à l’époque. « Il t'a parlé de moi !? De nous ? » « En long en large et en travers » dit-il sans filtre comme à son habitude. « J’suis sérieux » crut-il bon de précisé puisqu’effectivement ça lui arrivait rarement et qu’elle pouvait le prendre comme un sarcasme. « Si on te le demande, t’évite de dire que ça vient de moi hein. » Lyvan savait que Léo était comme lui, discret niveau émotion, alors il n’allait pas balancer tout les mots de son ami comme si c’était sans importance.

Lyvan & Alycia

KoalaVolant

@Alycia McWood

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playing with a stick of dynamite. ft. @lyvan phoenix

cette douleur qui ne cesse de vriller ton cœur ne fait que croitre même quand lyvan se veut rassurant. c'est vrai que votre histoire date, que vous n'y avez mis aucun sentiment superflus. sans doute parce que lyvan était ce prédateur qui effraie les chroniques et alimente la rumeur des conversations chez les filles.
chez les serpents, il était aussi réputé pour changer de filles tous les matins que le saule cogneur de ne jamais loupé son coup à celui qui s'approchait de trop près. faire partie de sa liste ne t'a jamais gênée, mais tu es désormais au pied d'un mur invisible qui t'empêche d'entrevoir une chance à cette histoire.
pourtant tout est au vert.
tu sens son regard sur toi, tu connais ses doigts qui viennent effleurer ta peau, cette soif de tes lèvres chaque fois que vous vous croisez... pourquoi par merlin refuse-t-il de le voir et d'y croire ? toi, qui serai parfaite pour le rendre sage. léonard perd et tu t'effondres à mesure que ses poings t'assènent.
alors une seule solution s'offre à toi, appeler le seul ami qui vous connaisse suffisamment pour être franc et objectif.

lyvan aurait du s'arrêter à un flirt de seconde année, n'aurait jamais du pénétrer dans ton cercle privé d'amis qui se trie sur le volet. non pas que tu sois élitiste ou sélective mais parce que ton apparence froide et hautaine a tendance à éloigner les autres. rares sont ceux sur qui tu peux compter aujourd'hui. mais cette vipère là a su se glisser sous tes draps pour mieux te dompter, empoisonné le sang pour faire confiance au reptile. et aujourd'hui, tu comptes sur son venin pour te rendre la vue... pour t'obliger à voir les choses autrement.
aurais-tu du tomber amoureuse de lui ? aurait-il laissé passer la chance de te toucher à plusieurs reprises ? est-ce que lyvan aurait abandonné tes lèvres, lui ? sa beauté est douce, un rêve pour le cauchemar de toutes les filles. ce sourire angélique qui t'a donné plusieurs fois l'envie de l'éclater contre un mur.
aurait-il été plus doux avec toi ? que les mots douloureux de léonard ?
mais même si l'adage veut que le cœur a ses raisons que la raison ignore, malgré un aspect philosophique à mettre de côté, il n'a jamais été aussi vérace que maintenant.
c'est l'imbécile grimm que tu aimes, et qui te torture l'esprit.

ton cœur se met à battre un peu plus vite et tes joues rosissent légèrement quand il mentionne que léonard a effectivement parlé de vous. ton regard est larmoyant et un étrange espoir nait dans tes émeraudes. « qu'a-t-il dit ? » le mince espoir qui vient faire naître cet amour étrange vient te rendre des couleurs. un sourire léger mais perceptible habille tes lippes désormais rieuses. enfin, enfin une réponse à des questions restées sans réponses.
il ne peut pas parler de vous sans rien ressentir... et pourtant.
lyvan a raison sur un point. léonard réagit de manière excessive, et tu t'en veux de ne pas avoir eu cette répartie quand tu cherchais à le rassurer. « je ne sais plus quoi faire. » que tu confesses rapidement. « il a beau ... » mais tu ne finis pas ta phrase. tu regardes les vagues s'écraser sur la plage un peu plus bas et soupires. tes iris viennent se visser aux siennes. « tu ferais quoi à sa place ? » tu tends la main vers lui pour voir si naturellement il viendrait te soutenir... ou si comme léonard, il te repousserait.

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28 JUILLET -« qu'a-t-il dit ? » « Que j’avais de jolie yeux » dit-il en battant des cils, penchant sur le côté avec un sourire angélique, usant de sa deuxième langue maternel : le sarcasme. « J’ai bien fait de changer de mascara » dit-il toujours aussi non sérieux, espérant secrètement déridé un peu Alycia qui avait le regard si triste. Elle aurait pût d’une seconde à l’autre sauté d’une falaise que ça ne l’aurait pas étonné ! C’est ce que fait l’amour : Il gâche tout. Il torture. Il rend les choses simples compliquées. Il garda le silence quand elle avoua ne plus savoir quoi faire. Il se retenu de lui proposer de devenir un cyborg pour se passer du palpitant dans sa poitrine, cette petite chose essentiel à la vie, mais qui prenait un malin plaisir à la pourrir. Ils étaient en hauteur, ça serait con que se soit lui « qu’elle pousse de la falaise ». Observant la mer, elle finit par contempler ses yeux. Lyvan posa les siens sur sa main posé sur son bras, puis sur elle, perplexe.

« Je rêve les yeux ouvert ou tu me fais des avances ? » Il pouvait se tromper sur le compte d’Alycia, mais à son sens elle n’était pas du genre très tactile. Aussi, cette main posait sur son bras…. Un fin sourire amusé se dessina sur ses lèvres. En voilà une bien décidé à faire réagir Léo ! Il ne pouvait qu’admirer l’imagination débordante dont elle faisait preuve. Attiré dans ses filets le meilleur ami de celui qui lui faisait tourner la tête. Brillant. Il se rappelait pourquoi il appréciait sa compagnie. « Tu sais j’suis pas du genre à bouffer deux fois du même gâteau quand j’ai une pâtisserie à disposition. » En bref, lui et Alycia c’était déjà arrivé. Il connaissait le goût de sa peau sur ses lèvres. La sensation de ses doigts quand il caresse avec douceur. Le parfum de ses cheveux. Son sourire quand elle apprécie où on la touche. Le son de sa voix quand elle se donne. Tout ça, ce n’était plus de l’inédit pour le Phoenix. « Même si le gâteau… » Il détailla Alycia de haut en bas avec envie et se passa légèrement la langue sur ses lèvres avec envie.

En vérité il n’aurait pas touché à Alycia par respect pour Léo, mais elle n’avait pas besoin de le savoir. Il détestait être « le gentil ». « Tsé c’est la jalousie qui lui a fait péter une durite. Me serré ça va aggraver ton cas et ça ne réglera rien. Franchement ? Tes conneries C’est pas le bon angle d’approche. » Tout à coup Lyvan se mit à grimacer, comme si quelque chose le faisait souffrir. Il semblait lutter, mais ce n’était pas facile. Par reflexe, il posa les yeux sur son poignet où apparut quelque chose. Un M visible et rouge vif. Comme… une brûlure ? Ce M ne resta que quelque seconde avant de disparaitre aussi vite bizarrement qu’il était apparut. Les traits de Lyvan se détendirent et il se reconcentra sur Alycia. Comme si de rien n’était. Du mieux qu’il pouvait. « Il a les jetons Aly. C’est pas lui qui me l’a dit. Ça se devine. »

Lyvan & Alycia

KoalaVolant

@Alycia McWood

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playing with a stick of dynamite. ft. @lyvan phoenix

tes yeux le fusillent chaque fois qu'il use de son sarcasme et tes muscles se tendent à chaque moquerie. tu sais qu'il ne te veut pas le mal que tu pourrais lui croire. à sa façon, il tente de te rassurer, de te ramener près des contrées simples où personne n'emmerde personne.
c'est si compliqué d'écouter son cœur parler. toi qui contrôlais tous tes sentiments aux centimètres près, tu ne sais plus comment gérer cette frustration qui t'empêche de trouver grâce au sommeil.
quand il annonce qu'il a bien fait de changer de mascara, tu lèves ta main pour lui taper ton petit poing contre l'épaule.
tu n'as jamais eu une véritable force brute mais tu as toujours su faire taire par ce moyen quand ton regard ne suffisait pas. il faut justement demander à @haru bakh pour qu'il confirme... le bavard qui n'arrête jamais de parler, le nombre de menace de l'envoyer balader dans les escaliers s'élève à une... infinie.

mais tu tends la main, la poses avec douceur sur son bras. et tu espères qu'il te dise qu'il tomberait dans les filets de l'amour plutôt que de le fuir.
mais lyvan est égal à léonard. et tu te rends rapidement compte de ton erreur. une erreur presque fatale qui t'apportera bien plus d'ennui que de prospérité. néanmoins tu restes tellement interdite que tu n'arrives pas à couper ton ami.
voilà maintenant qu'il te prête des attentions que tu n'as pas. ah, et monsieur est classieux en plus de cela. tu fronces les sourcils quand il fait référence à mordre deux fois dans la même pâtisserie, et tu te dis que tes amis sont vraiment deux gros beaufs. tu les adores mais tu comprends pourquoi tu te mets souvent à jurer sans raison, et à avoir des réflexions étranges.
à trop trainer avec eux, tu vas finir par perdre de ta classe naturelle... et @lyssa de clare aura tout le loisir de te railler si tu continues sur cette pente glissante.

quand ses yeux se perdent sur toi, tu retires ta main avec une sensation d'être étrangement mal à l'aise. et tu te contentes de le regarder avant que cette furieuse envie de le frapper ne vienne prendre le pas sur tout le reste.
mais quand il parle de léonard, tu arrêtes simplement de penser. tu sens ton cœur se serrer dans ton sein alors qu'il te fait comprendre ce qui motive les réactions idiotes de ton amant. tu plisses le nez... tu sais que c'est la cause même de tout ce bordel. néanmoins, tu ne peux rien y faire non plus. tu ne peux pas t'empêcher de voir des amis, peux pas refaire le passé pour mr @léonard grimm. après tout, ta liste de prétendants est maigre face à la sienne bien trop longue à ton goût. et pourtant, tu ne l'embêtes pas avec toutes ces filles et ces garçons qui connaissent mieux cet homme que toi.
tu sais que tu les surpasseras tous. tu as deux fois plus d'inquiétudes à avoir... toi.
et sa dernière sentence te fait sourire... tu sais qu'il a peur. tu l'as senti... observé, contemplé. mais tu ne sais pas comment gérer ce genre de chose. ni même comment toi le ressentir. « ce n'est pas une raison... » que tu commences à dire en lui tapant le dos de la main. « ... pour croire que je te faisais des avances, lyvan ! » mais tu ne peux pas quitter ton sourire.
cela te rassure que quelqu'un d'autre pense la même chose que toi. tu n'es pas folle.
d'un geste lent, tu fais glisser la chaise et te lèves pour te diriger vers le balcon pour contempler la mer en contre bas. tu retires ta robe, te retrouves en maillot de bain et monte sur le balcon. « avant, je n'aurais jamais trouvé le courage de faire ça. » que tu dis en te tournant vers lyvan, les talons dans le vide.
mais depuis que tu as su affronter quelques démons, tu t'évertues à vivre la vie bien plus pleinement. plus dangereusement. « si ma mère me voyait... elle me tuerait avant même que je ne m'écrase sur les rochers. » et tout ton corps bascule en arrière.
le vent dans les cheveux, tu fermes un bref instant les yeux avant de trouver la force de formuler une incantation et de tomber avec douceur dans l'eau.
ton corps y pénètre entièrement jusqu'à ce que tes pieds touchent le sable et tu remontes en prenant appui. quand l'air devient remplir tes poumons, tes mains viennent coiffer tes cheveux en arrière et tu cries de joie. « alors lyvan ! » ta voix doit être si petite d'en bas. « t'as peur ? »

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28 JUILLET -« Ce n'est pas une raison... ... pour croire que je te faisais des avances, lyvan ! » « Alors ça en était pas ? » demanda-t-il surpris, parce qu’après tout il était agréable à regarder. Il n’aurait pas été étonné qu’elle veuille retenter l’expérience. Qui après tout avait été plutôt bonne. « Dommage. J’aurais pût finir par céder » dit-il en haussant les épaules, sur un ton qui ne laisser pas le loisir de deviné s’il était sérieux ou non. Il lui donna son point de vue concernant Léo et la suivit sur le balcon où elle se retrouva en maillot. Il arqua un sourcil, perplexe quand elle parla d’acte qu’elle n’aurait pas eu le courage de faire, comme s’il s’attendait à ce qu’elle commette l’irréparable. Il ne savait que trop bien comment l’amour pousse les êtres à agir de façon démesuré. Pousse à s’oublier, à ne pas vouloir existé sans l’autre. Il en avait été témoin par le passé et ça resterait à jamais graver dans sa mémoire. Aussi il n’était pas étonnant qu’il soit un poil inquiet.

« Soit pas conne descend » Si Lyvan est d’ordinaire désinvolte, le ton de sa voix trahie un stress qu’on ne lui connait pas. Il ne veut pas voir la cervelle d’Alycia étaler quelque mètre plus bas juste parce que Léo n’a pas les couilles d’assumer ce qu’il ressent. Seulement il n’a pas le temps de l’en empêcher ou de sortir sa baguette que la voilà déjà dans le vide. « ALYCIA ! » cri-il malgré lui, perdant l’espace d’une seconde se masque de petit con qu’on lui connait si bien. Mais alors qu’il a les yeux rivé sur son corps, il le voit chuté avec douceur. Beaucoup trop de douceur pour que ce ne soit pas magique. Il se met alors à rire. Du tour qu’elle lui a jouait et de lui-même d’avoir réagit aussi vivement. Ce n’est pas dans ses habitudes. Comment lui en vouloir quand elle semble autant plaisir à l’audace qu’elle vient d’avoir. Sourire aux lèvres, il enlève son tee-shirt. « Jamais » dit-il avant de sauté.

Lyvan & Alycia

KoalaVolant

@Alycia McWood

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playing with a stick of dynamite. ft. @lyvan phoenix

c'est au moment où tu te laisses tomber que tous tes problèmes prennent une nouvelle légèreté. tout s'envole autour de toi, la quiétude prendrait presque même place à la place de ton âme... au lieu d'être tourmenté par de nombreuses jalousies qui n'ont pourtant pas lieu d'exister.
lyvan connait léonard par cœur, et même lui décèle quelque chose au fond de lui qui l'effraie. mais pourquoi dois-tu supporter ces doutes quand tu es parfaitement sûre de toi ?
dois-tu être patiente ? dois-tu communiquer ? ou dois-tu simplement abandonner ?
tu ne te résous à rien. ni à agir ni à partir. cet amour qui nait au creux de tes seins t'effraie aussi, mais tu as décidé de l'accueillir quand léonard a décidé de le rejeter.
la douleur est palpable, sans aucun doute.
tu ne sauras pas le rattraper, sans doute peux-tu simplement l'attendre ?

l'eau vient à t'immerger quand ton dos la rencontre, tu fermes les yeux, retiens ta respiration et te laisses t'enfoncer jusqu'au fond avant de remonter. la fraicheur des eaux te donne la chair de poule et l'adrénaline vient faire bondir ton cœur, tu te coiffes les cheveux en arrière et craches l'eau avant de regarder lyvan en criant, lui intimant sa peur de te rejoindre. tu as entendu les élans de stress dans sa voix, et tu as eu envie de l'écouter, de le prendre dans tes bras pour le remercier de t'aimer assez pour te retenir.
depuis que léonard est parti, tu n'as plus trop su ta légitimité.
tu as le droit de t'amuser, d'aimer, et d'avoir des amis autre que léonard. tu as le droit de vivre, alycia.
quand enfin, tu l'observes monter sur le balcon, tu souris en mettant ta baguette dans la ceinture de ton maillot du côté gauche de ta hanche en l'observant, toujours en train de nager de manière stagnante.
quand il saute, tu l'observes un long moment. ce moment, c'est le vôtre... et cette quiétude qui te manquait tant près de léonard, revient doucement auprès de lyvan, sans ce côté amoureux qui ne lui ai que réservé. mais tu te rends compte que tu es capable de discerner les deux, et que tu n'as fait aucun transfert... non, tu es bel et bien amoureuse d'un idiot.

quand lyvan tombe finalement dans l'eau et en ressort, tu nages vers lui en riant. « beau plongeon ! » et tu t'agrippes à lui, les bras venant entourer ses épaules, et tes jambes contre son ventre. « allez, tu peux nager jusqu'à la côte. » et tu pointes une petite crique, d'une plage de petits cailloux et coquillages.
mais tu sens que vous coulez légèrement et tu t'en amuses en poussant sur tes bras sur ses épaules pour le faire aller complètement sous l'eau, tu te laisses alors tomber sur le côté, finissant par tomber la tête sous l'eau, et en riant, tu l'éclabousses quand il ressort de sous l'eau. « trop facile ! » que tu nargues en essayant de nager assez vite pour le fuir, éviter les représailles.

c'était si simple avec lyvan. facile, respectueux même quelque part... cette distance entre vous a pris place, et l'amitié s'est dessiné de façon concrète quand l'un est volage et l'autre trop loyal pour fauter et blesser l'unique qui ignore combien deux personnes dans ce foutu monde l'aime assez pour penser à lui malgré les blessures qu'il inflige. « je sais pas comment faire pour léonard, mais... » parce que mine de rien, lyvan avait apporté des réponses. « mais tu as su me rassurer, merci. » que tu dis en t'arrêtant pour le regarder.
grave erreur d'avoir laissé l'adversaire se rapprocher, non ?

tenue:

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PLAYING WITH A STICK OF

dynamite

Alycia n’avait pas idée à quel point elle tombait à point nommer. Sans doute qu’il n’était qu’une distraction pour l’empêcher de penser à Léo. Il est toujours plus simple d’être avec quelqu’un dont n’est pas amoureux. Sans doute. Lyvan ne pouvait que le deviné car l’amour c’est bien quelque chose qu’il voulait éviter. Il savait le mal que ça pouvait faire. S’il changeait les idées à Alycia, elle, elle l’empêchait de se ronger les sangs concernant Mégara et la pression qu’elle ne cessait de lui infligeait. Tous ses jeux pour le faire flancher. Il gardait le cap et les faux semblants, mais certain jour c’était plus dur que d’autres. Certain jour, son entourage l’aider sans le savoir. En fait, ce jour là, ils s’aidaient mutuellement. Suivant les envies de la demoiselle, il plongea à son tour, ne pouvant s’empêcher de craner au passage, s’aidant d’un sort pour tourner dans le vide avant de retomber dans l’eau. Sourire plein d’assurance, il fit une légère moue quand elle le félicita pour sa prouesse, haussant les épaules, l’air de dire que ce n’était pas étonnant venant de lui. Alycia alla alors s’agrippait à lui tel un koala.

« J’hésite. » dit-il en faisant mine de réfléchir alors qu’elle lui montrait la crique, lui demandant de nageait jusque là. « Tu n’aurais pas un peu grossit ? » demanda-t-il, sous entendant qu’avec elle contre lui, ça allait être difficile. Sans doute qu’il aurait dût se taire car Alycia s’agite et finit par le couler. « Je viens éblouir ta journée et tu tente de m’assassiné ? » dit-il en ressortant de l’eau, main sur le cœur, juste avant qu’elle ne l’éblouisse. « Oh je vois ! La guerre est déclarée ! » Dit-il en filant à sa suite, nageant aussi vite qu’il le pouvait. Sourire aux lèvres, il finit par la rattrapé. S’il s’apprête à la noyer à son tour, le jeu se met sur pause quand elle se livre. « J’ai pas fait grand-chose » dit-il parce que c’est ainsi qu’il le voyait. Il aimait bien Alycia. Il aimait bien Léo. Est-ce qu’un jour ces deux là se mettrait ensemble pour le laisser derrière ?

« J’imagine que tu préférerais que ce soit lui là ici. Avec toi » dit-il en haussant les épaules. « Ce qui est idiot, parce que des deux… j’suis le plus charmant ! » rajouta-t-il espiègle. Pour rire.

Lyvan & @"Alycia"

Pando

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