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Body Paint - Ft Apolline et Viper
2 participants
INFOS
FICHE DE PERSO
Blodeuyn, Apolline & Wendy - Septembre 2022
Je revenais de l’infirmerie où nous avions laissé le serpentard du nom de @Viper Saito en trainant des pieds. Quand je dis trainé, c’est au sens littéral, on pouvait entendre la chaussure raclée le sol comme si ma chaussure était dentelée et qu’elle labourait le sol. Les heures de retenue, je suis habituée. Je les collectionne depuis que je suis en première année. Puis ce n’est pas la première que mon grand-oncle @Arthwr Cynfeirdd me donne également. Il aime bien m’en donner, mais c’est la première fois que j’entends dire que je fais honte à la famille. Je fais vraiment honte à la famille Cynfeirdd ? Je ne suis pas digne de porter ce nom de famille ? Il aurait été préférable que je sois abandonnée à mon autre famille qui ne connaît même pas mon existence ? J’en suis certaine qu’ils ne savent pas que j’existe. Puis j’aimerais bien savoir en quoi je lui fais réellement honte à la famille ? Je n’ai pas envie de prendre une arme en main, je préfère utiliser mes mains c’est tout. Je m’arrête au milieu du couloir, regardant dans le vide intersidéral. Une voix lointaine certainement qui me parle traverse complètement mes oreilles mais je n’en ai cure. Je suis concentré sur mes pensées à moitié négatives. Si je plonge dans une sorte de dépression, ce sera uniquement sa faute, voilà.
Je sens une présence sur mon épaule et surtout je remarque que mon corps est pris de soubresauts involontaires de ma part. Je tourne mon regard vers la personne propriétaire de cette main. « C’est bon je te suis Dunn, pas la peine de me secouer comme un boursoufflet. » dis-je en serrant les dents, évitons de lui sortir une vacherie, elle m’enlèverait des points. Je décide de la suivre dans un silence de mort en direction de l’extérieur du château, là où nous étions pour le cours d’étude de moldus. Les couloirs, les escaliers, le grand hall, nous traversions tous depuis l’étage de l’infirmerie dans un silence pesant et tendu. Je crois que miss parfaite me veut veux pour une chose, mais quoi ? Non franchement ça va, ce n’est pas comme si j’avais disparu ses mandarines thoraciques pour laisser place à un torse d’homme. Tiens, je demande à voir une Miss Dunn au masculin, ça pourrait être amusant.
Arrivée sur place, j’attrape le pistolet à peinture pour repeindre ce satané mur d’écurie ou je ne sais quoi sans prêter la moindre attention à miss préfète en chef.
Je sens une présence sur mon épaule et surtout je remarque que mon corps est pris de soubresauts involontaires de ma part. Je tourne mon regard vers la personne propriétaire de cette main. « C’est bon je te suis Dunn, pas la peine de me secouer comme un boursoufflet. » dis-je en serrant les dents, évitons de lui sortir une vacherie, elle m’enlèverait des points. Je décide de la suivre dans un silence de mort en direction de l’extérieur du château, là où nous étions pour le cours d’étude de moldus. Les couloirs, les escaliers, le grand hall, nous traversions tous depuis l’étage de l’infirmerie dans un silence pesant et tendu. Je crois que miss parfaite me veut veux pour une chose, mais quoi ? Non franchement ça va, ce n’est pas comme si j’avais disparu ses mandarines thoraciques pour laisser place à un torse d’homme. Tiens, je demande à voir une Miss Dunn au masculin, ça pourrait être amusant.
Arrivée sur place, j’attrape le pistolet à peinture pour repeindre ce satané mur d’écurie ou je ne sais quoi sans prêter la moindre attention à miss préfète en chef.
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Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Préfet.e en Chef.fe
Vous êtes Préfet.e en Chef.fe
Joueur.se de Quidditch pour Gryffondor
Vous êtes joueur.se de Quidditch pour Gryffondor
Expertise : Bombarda !
Sortilège de Niv.3
Expertise : Waddiwasi !
Sortilège de Niv.5
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Vous êtes un.e adepte du All Hallow Fest
Unicorn Fest
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INFOS
Messages : 2030
Faceclaim : Danielle Campbell
Sang : Sang-pur
Particularités : Ce n'est pas une particularité magique, mais Apolline a une mémoire eidétique.
Profession : 7ème année et dernière année, double cursus Justice Magique & Civilisation Magique ; Préfète-en-chef
Côté Cœur : En couple avec Michel-Ange Grimm, depuis fin Décembre 2022.
Multis : Thalia Böhm
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Habile (70%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(70/100)
Potentiel Magique (PM):
(65/100)
Rigueur Magique (RM):
(80/100)
Expérience Magique (XM):
(55/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
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Maturité Magique (MM):
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(70/100)Potentiel Magique (PM):
(65/100)Rigueur Magique (RM):
(80/100)Expérience Magique (XM):
(55/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
Body Paint
@Blodeuyn Cynfeirdd, @Viper Saito & Apolline Dunn
◊ ◊ ◊
« Quand tu seras guéri, t’as plutôt intérêt à te ramener à la retenue. T’es tout aussi coupable que moi, tu mérites tout autant cette retenue. » pesta Apolline contre @Viper Saito alors qu’elle était sur le point de quitter l’infirmerie.
Dégoutée d’avoir été collée et virée de cours, Apolline ruminait en marchant devant Blo. Cette dernière ne semblait pas si pressée d’aller réaliser la tâche que l’enseignant leur avait donné pour cette retenue. Ce n’était pas le cas d’Apolline. Plutôt cela serait fait, plutôt cela serait terminé. Sur le chemin, elle pensait à tout ce qui s’était passé et surtout aux conséquences de ses actes. Puis elle ne put s’empêcher de repenser aux paroles de Blo. Maintenant qu’elles étaient seules, Apolline allait pouvoir revenir dessus. Apolline s’arrêta et se retourna pour observer sa camarade gryffondor. Mais cette dernière était loin derrière elle et surtout, elle était arrêtée en plein couloir.
« Mais qu’est-ce que tu fiches. Grouille-toi ! » pesta une nouvelle fois Apolline.
Mais Blo ne semblait pas l’écouter, ce qui agaça fortement Apolline. Laissant son impulsivité l’envahir, la préfète en cheffe se dirigea d’un pas déterminée et presque sauvage vers la sorcière. Apolline posa sa main sur l’épaule de Blo et commença à la secouer pour la ramener à la réalité.
« On se réveille ! C’est pas le moment de penser à ce que tu aurais mieux fait de me dire toute à l’heure. C’est trop tard. » ironisa Apolline.
La réponse de sa camarade de retenue ne lui convenait pas réellement. Apolline se contenta de lui lancer un regard mauvais tout en plissant des yeux. Quelle plaie. La suite de la balade se déroula dans le silence le plus total. Apolline se retenait de l’ouvrir pour lui dire ses quatre vérités. Mais elle n’avait pas envie d’aggraver son cas alors elle resta silencieuse.
Le silence resta pesant jusqu’à l’arrivée aux écuries où les fameux pistolets à peinture les attendaient. Apolline parvint à trouver une utilité à cette retenue : cela lui permettrait d’apprendre à viser avec. Cependant, la lionne n’arrivait plus à se retenir. Voulant éviter l’ulcère, Apolline lâcha tout ce qu’elle avait à lui dire.
« T’es sérieuse d’avoir pris sa défense, Blo ? C’est lui qui m’a agressé, pour la simple et unique raison que j’ai endommagé son fusil. A ce que je sache, ce n’était pas interdit. Toi par contre, tu banalises la violence envers les femmes et franchement, ça me déçois de toi. Pas étonnant que Gryffondor perde autant de points avec toi, tu n’as aucune valeur et aucun principe. »
Tout lâcher faisait un bien fou. Et après un regard suffisant à sa camarade de gryffondor, Apolline prit enfin un pistolet à peinture. Sans attendre une quelconque réponse ou réaction de Blo – parce qu’elle s’en contrefichait – Apolline commença à tirer sur le mur dans l’optique de le repeindre.
« Utiliser ces trucs moldus pour repeindre un mur. Franchement c’est dégradant pour le monde magique. » soupira Apolline qui détestait déjà cette retenue.
Dégoutée d’avoir été collée et virée de cours, Apolline ruminait en marchant devant Blo. Cette dernière ne semblait pas si pressée d’aller réaliser la tâche que l’enseignant leur avait donné pour cette retenue. Ce n’était pas le cas d’Apolline. Plutôt cela serait fait, plutôt cela serait terminé. Sur le chemin, elle pensait à tout ce qui s’était passé et surtout aux conséquences de ses actes. Puis elle ne put s’empêcher de repenser aux paroles de Blo. Maintenant qu’elles étaient seules, Apolline allait pouvoir revenir dessus. Apolline s’arrêta et se retourna pour observer sa camarade gryffondor. Mais cette dernière était loin derrière elle et surtout, elle était arrêtée en plein couloir.
« Mais qu’est-ce que tu fiches. Grouille-toi ! » pesta une nouvelle fois Apolline.
Mais Blo ne semblait pas l’écouter, ce qui agaça fortement Apolline. Laissant son impulsivité l’envahir, la préfète en cheffe se dirigea d’un pas déterminée et presque sauvage vers la sorcière. Apolline posa sa main sur l’épaule de Blo et commença à la secouer pour la ramener à la réalité.
« On se réveille ! C’est pas le moment de penser à ce que tu aurais mieux fait de me dire toute à l’heure. C’est trop tard. » ironisa Apolline.
La réponse de sa camarade de retenue ne lui convenait pas réellement. Apolline se contenta de lui lancer un regard mauvais tout en plissant des yeux. Quelle plaie. La suite de la balade se déroula dans le silence le plus total. Apolline se retenait de l’ouvrir pour lui dire ses quatre vérités. Mais elle n’avait pas envie d’aggraver son cas alors elle resta silencieuse.
Le silence resta pesant jusqu’à l’arrivée aux écuries où les fameux pistolets à peinture les attendaient. Apolline parvint à trouver une utilité à cette retenue : cela lui permettrait d’apprendre à viser avec. Cependant, la lionne n’arrivait plus à se retenir. Voulant éviter l’ulcère, Apolline lâcha tout ce qu’elle avait à lui dire.
« T’es sérieuse d’avoir pris sa défense, Blo ? C’est lui qui m’a agressé, pour la simple et unique raison que j’ai endommagé son fusil. A ce que je sache, ce n’était pas interdit. Toi par contre, tu banalises la violence envers les femmes et franchement, ça me déçois de toi. Pas étonnant que Gryffondor perde autant de points avec toi, tu n’as aucune valeur et aucun principe. »
Tout lâcher faisait un bien fou. Et après un regard suffisant à sa camarade de gryffondor, Apolline prit enfin un pistolet à peinture. Sans attendre une quelconque réponse ou réaction de Blo – parce qu’elle s’en contrefichait – Apolline commença à tirer sur le mur dans l’optique de le repeindre.
« Utiliser ces trucs moldus pour repeindre un mur. Franchement c’est dégradant pour le monde magique. » soupira Apolline qui détestait déjà cette retenue.
(c) oxymort
INFOS
FICHE DE PERSO
Blodeuyn, Apolline & Wendy - Septembre 2022
Rentre par une oreille, ressort par l’autre. Elle peut piailler autant qu’elle veut la préfète pour moi ça ne fait que bla bla bla, je ne répondrais pas à Mademoiselle Dunn, hors de question, je vais juste faire ma retenue en silence et me barrer sous ma couette après et déprimer tous ma soûl à cause de la remarque de mon oncle que je mets tous en bas de la liste des personnes que j’apprécie le moins. Exagéré ? Non, absolument pas, il affirme que je suis une honte, il ne faut pas s’attendre à ce que je lui souris comme une idiote et l’apprécie comme si c’était un lingot d’or. C’est pourquoi je m’évertuais à me concentrer sur ma tâche c’est-à-dire repeindre ce mur.
Je roule des yeux quand elle fait son monologue. Sérieuse d’avoir pris sa défense ? Oui, je ne supporte pas l’injuste que les sorciers fassent aux loups-garous. La plupart ne font rien de mal, ils veulent juste vivre une vie normale, mais ils ont cette maladie. J’expire pour évacuer ma colère, elle va la boucler sa grande bouche au bout d’un moment ? Je ne peux pas changer de coin ? Prendre un autre mur ? Allez peindre la tour des gryffondor en rouge ? Ce ne serait pas si mal ?
Oh, ça fait du bien quand cela s’arrête, ne plus entendre ses décibels aigus, bien aller on repeint le mur. Plus pratique les pistolets peintures, c’est un peu comme les pistolets à eau, c’est inoffensif. La voix de la gryffondor plus âgée me parvint à mes oreilles une nouvelle fois. Stoppant ma peinture, je laisse mon bras glissé le long de mon corps avec l’arme de peinture en main avant de la regarder d'une manière blasée. « Elle a fini de se plaindre Princesse. C’est un cours d’études moldus, normal que la punition soit en corrélation avec le cours. Puis le pistolet est mieux que les pinceaux je t’assure. » Elle n’y connaît rien aussi en matière de retenue. Elle doit avoir un balai coincé quelque part pour ne pas faire un seul écart, genre jamais. « En quoi c’est horrible de faire une chose de manière moldus ? Cela peut-être amusant et intéressant. Si demain tu n’as plus de magie en toi, tu fais comment hein ? » J’arrête de la regarder pour retourner à mon mur et ma peinture, est-ce qu’on peut faire le blason de gryffondor ou au moins un lion ?
Je roule des yeux quand elle fait son monologue. Sérieuse d’avoir pris sa défense ? Oui, je ne supporte pas l’injuste que les sorciers fassent aux loups-garous. La plupart ne font rien de mal, ils veulent juste vivre une vie normale, mais ils ont cette maladie. J’expire pour évacuer ma colère, elle va la boucler sa grande bouche au bout d’un moment ? Je ne peux pas changer de coin ? Prendre un autre mur ? Allez peindre la tour des gryffondor en rouge ? Ce ne serait pas si mal ?
Oh, ça fait du bien quand cela s’arrête, ne plus entendre ses décibels aigus, bien aller on repeint le mur. Plus pratique les pistolets peintures, c’est un peu comme les pistolets à eau, c’est inoffensif. La voix de la gryffondor plus âgée me parvint à mes oreilles une nouvelle fois. Stoppant ma peinture, je laisse mon bras glissé le long de mon corps avec l’arme de peinture en main avant de la regarder d'une manière blasée. « Elle a fini de se plaindre Princesse. C’est un cours d’études moldus, normal que la punition soit en corrélation avec le cours. Puis le pistolet est mieux que les pinceaux je t’assure. » Elle n’y connaît rien aussi en matière de retenue. Elle doit avoir un balai coincé quelque part pour ne pas faire un seul écart, genre jamais. « En quoi c’est horrible de faire une chose de manière moldus ? Cela peut-être amusant et intéressant. Si demain tu n’as plus de magie en toi, tu fais comment hein ? » J’arrête de la regarder pour retourner à mon mur et ma peinture, est-ce qu’on peut faire le blason de gryffondor ou au moins un lion ?
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Particularités : Ce n'est pas une particularité magique, mais Apolline a une mémoire eidétique.
Profession : 7ème année et dernière année, double cursus Justice Magique & Civilisation Magique ; Préfète-en-chef
Côté Cœur : En couple avec Michel-Ange Grimm, depuis fin Décembre 2022.
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Dé utilisé: Dé Habile (70%)
Maturité Magique (MM):
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Potentiel Magique (PM):
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Témoins de l'Histoire:
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Inventaire:
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(55/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
Body Paint
@Blodeuyn Cynfeirdd, @Viper Saito & Apolline Dunn
◊ ◊ ◊
N’avait-elle plus rien le droit de dire ? Depuis quand vivait-elle dans un monde privé de la liberté d’expression. Apolline baissa à son tour son pistolet de peinture avant de se retourner vers Blo et lui lancer un regard noir.
« Mais arrête de m’appeler Princesse. »
Si sa famille avait en effet de la noblesse et le titre de Comte, cela ne faisait pas d’Apolline une princesse. Et surtout, la lionne ne trouvait pas qu’elle se comportait comme telle.
« Apparemment, tu sais pas trop ce que c’est. Mais comme je suis sympa, je vais te refaire ta culture. » lança-t-elle, de manière ironique et moqueuse. « Tiens, prends @Céleste Delacroix. Voilà. Typiquement le comportement d’une princesse. »
Peut-être que Blo ne la connaissait pas ? Elle ne manquait pas grand-chose. Apolline n’appréciait pas du tout la française. Ceci dit, actuellement, elle avait du mal à apprécier son interlocutrice qui ne semblait partager aucune de ses valeurs.
« Et je me plains si je veux. J’ai encore le droit de m’exprimer non ? » rechigna Apolline en fronçant les sourcils.
Son regard se porta sur le pistolet lorsque Blo s’exprima sur le fait qu’elles avaient de la chance de ne pas avoir des pinceaux.
« Encore heureux. Nous n’étions pas en cours d’art. » déclara Apolline sèchement avant de repositionner son pistolet droit vers le mur.
Cependant elle n’appuya pas sur la gachette. Les questions de la gryffondor l’interpellèrent fortement. Choquée, Apolline ouvrit légèrement la bouche, avant de baisser le pistolet et se retourner de nouveau vers Blo.
« En quoi c’est horrible ? Et bien peut-être parce que…c’est long. Je vois pas en quoi ça peut-être amusant et intéressant. La seule utilité que j’y vois c’est le fait de pouvoir apprendre à viser. »
Et pourtant, avec sa baguette, Apolline manquait rarement sa cible. On ne pouvait pas en dire autant avec l’arme que leur enseignant leur avait prêtée. Mais finalement ce fut la dernière question de Blo qui scotcha la préfète-en-chef.
« Comment peux-tu imaginer ne plus avoir de magie en toi ? Je ne souhaiterais même pas celui à mon pire ennemi. Une vie sans magie. C’est inconcevable. »
Réellement, Apolline ne se voyait pas vivre sans ses dons. C’était dans ses gènes, dans ceux de toute sa famille. C’était comme perdre une partie d’elle-même, vivre une demi-vie. Il n’y avait aucun intérêt.
« Je préfère mourir plutôt que devenir un cracmol. »
Ces pauvres personnes qu’Apolline prenait en pitié. Levant les yeux au ciel, avant de soupirer, Apolline se concentra de nouveau sur la tâche qui lui incombait en ce jour.
« Mais arrête de m’appeler Princesse. »
Si sa famille avait en effet de la noblesse et le titre de Comte, cela ne faisait pas d’Apolline une princesse. Et surtout, la lionne ne trouvait pas qu’elle se comportait comme telle.
« Apparemment, tu sais pas trop ce que c’est. Mais comme je suis sympa, je vais te refaire ta culture. » lança-t-elle, de manière ironique et moqueuse. « Tiens, prends @Céleste Delacroix. Voilà. Typiquement le comportement d’une princesse. »
Peut-être que Blo ne la connaissait pas ? Elle ne manquait pas grand-chose. Apolline n’appréciait pas du tout la française. Ceci dit, actuellement, elle avait du mal à apprécier son interlocutrice qui ne semblait partager aucune de ses valeurs.
« Et je me plains si je veux. J’ai encore le droit de m’exprimer non ? » rechigna Apolline en fronçant les sourcils.
Son regard se porta sur le pistolet lorsque Blo s’exprima sur le fait qu’elles avaient de la chance de ne pas avoir des pinceaux.
« Encore heureux. Nous n’étions pas en cours d’art. » déclara Apolline sèchement avant de repositionner son pistolet droit vers le mur.
Cependant elle n’appuya pas sur la gachette. Les questions de la gryffondor l’interpellèrent fortement. Choquée, Apolline ouvrit légèrement la bouche, avant de baisser le pistolet et se retourner de nouveau vers Blo.
« En quoi c’est horrible ? Et bien peut-être parce que…c’est long. Je vois pas en quoi ça peut-être amusant et intéressant. La seule utilité que j’y vois c’est le fait de pouvoir apprendre à viser. »
Et pourtant, avec sa baguette, Apolline manquait rarement sa cible. On ne pouvait pas en dire autant avec l’arme que leur enseignant leur avait prêtée. Mais finalement ce fut la dernière question de Blo qui scotcha la préfète-en-chef.
« Comment peux-tu imaginer ne plus avoir de magie en toi ? Je ne souhaiterais même pas celui à mon pire ennemi. Une vie sans magie. C’est inconcevable. »
Réellement, Apolline ne se voyait pas vivre sans ses dons. C’était dans ses gènes, dans ceux de toute sa famille. C’était comme perdre une partie d’elle-même, vivre une demi-vie. Il n’y avait aucun intérêt.
« Je préfère mourir plutôt que devenir un cracmol. »
Ces pauvres personnes qu’Apolline prenait en pitié. Levant les yeux au ciel, avant de soupirer, Apolline se concentra de nouveau sur la tâche qui lui incombait en ce jour.
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B1єnv3иuз ɐu Лдrch3 ѧu∝ trѳl|ꙃ
Expertise : Bloclang !
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Faceclaim : ❝ Mackenyu Arata„
Âge : 24
Sang : ❝ Son sang se mêle des accords magiques et moldus (( sang-mêlé )), ses pairs ne voient pas plus loin que son statut d'hybride.
Particularités : ❝ Lycanthropie ( gène actif ; lvl3 )„ force de la nature en sommeil, à la nuit tombée l'enfant et le loup ne font qu'un.
Profession : ❝ Gérant du Nishi Chōme„ Wakagashira du clan Ryūjinchi à la tête de la succursale anglaise. Officiellement, il est bookmaker.
Côté Cœur : ❝ L'amour ne subsiste que du crépuscule à l'aube„ au détour d'une mutation ce sont les bras du serpent qui l'ont accueilli sans jugement..
Multis : ❝ Noma (savage) Karma.
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
Maturité Magique (MM):
(21/50)
Education Magique (EM):
(45/100)
Potentiel Magique (PM):
(50/100)
Rigueur Magique (RM):
(40/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
Maturité Magique (MM):
(21/50)Education Magique (EM):
(45/100)Potentiel Magique (PM):
(50/100)Rigueur Magique (RM):
(40/100)Expérience Magique (XM):
(40/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
 |  | silence Tant de choses ne valent pas d'être dites. Et tant de gens ne valent pas que les autres choses leur soient dites. Cela fait beaucoup de silence • Henry de Montherlant |
Si les effets d'un maléfice mesquin n'avaient eu qu'un impact limité sur l'hybride, sa fierté s'était retrouvée piétinée par cette petite prétentieuse. Le désaveu ultime fut de se voir accompagner à l'infirmerie par cette hystérique, mais le jeu en avait valu la chandelle ; la Dunn et sa comparse amatrice de rodéo avaient essuyé le revers de leur délicatesse trollesque sous les sourires en cascade du louveteau. Abandonné par ce cortège de piètre qualité, le Serpent, bien malgré lui, s'était vu courtoisement convié à partager un doux moment en leur agréable compagnie, une fois les affres magiques effacés. S'il n'avait pas souvenir d'une injonction allant dans ce sens, d'un hochement de tête, il avait accepté de se joindre à elles sans demander son reste.
Il n'avait pas fallu longtemps au Japonais pour se remettre partiellement du Furunculus. Quelques baumes appliqués avec soin pour le feu cuisant rongeant son derme de porcelaine et une aide salvatrice de sa condition avaient suffit à éradiquer les immondices florissantes d'une pestilence disgracieuse. Tirant les draps de sa carcasse, le vert accusa un frisson au contact de l'éther sur sa peau neuve. D'une impulsion preste, Viper s'échappa de son alcôve, bien décidé à fuir cet endroit aux arômes entêtants. Seul au milieu d'une salle désertée, ses iris à l'éclat sélène vagabondèrent par-delà l'étendue sauvage d'une fenêtre laissé ouverte. D'une inspiration animale, le loup s'arma de courage avant de tourner les talons, la porte se fermant sur sa silhouette.
À grandes enjambées, Saito avala couloirs et escaliers. Sous escorte des échos de talons mordant planchers et plateformes, à la volée, il jeta une myriade de regards au mépris palpable en direction de tableaux bavards contant leurs exploits récent et la pagaille d'un champ de bataille puéril. Un rictus en coin des lèvres, les poings clos aux joints blanchis, le Serpentard dévala les dernières marches qui le mèneraient au domaine du château. D'une succession de pas de loup à la démarche nonchalante, le gamin de l'Est se glissa dans l'ombre des écuries. Coude et épaule épousant la pierre brute, avachi contre la bâtisse, d'une oreille attentive, le quatrième année écoutait les jérémiades d'une rouge et or imbue d'elle-même. D'un soupir valant mille jurons, le Nippon s'élança vers la panoplie d'outils mise à leur disposition.
D'une poigne désinvolte, ses doigts agrippèrent l'un des pistolets à peinture. Le pas traînant, il vint s'immiscer au milieu de ce duo de jacasseuses bien trop affairée à refaire le monde et débattre de futilité qu'à s'acquitter de ce pourquoi elles étaient là. Une main plaquée dans l'abîme d'une alcôve laineuse, snobant volontairement l'autre effrontée, Viper fixa Blodeuyn tout en actionnant son jouet, sans réellement prêter attention où le museau de ce dernier crachait son flot de peinture. « Très chevaleresque ton intervention... mais j'avais le contrôle. » D'une voix vibrante de sarcasme, le lycanthrope la remerciait à sa manière. Il devait lui reconnaître un certain courage à s'être naïvement interposée entre un prédateur et sa proie. Du moins si Saito avait été en transe lupine. D'un hochement de tête à peine perceptible, les lèvres pincées d'un timide sourire, il se focalisa sur la tâche ingrate que ce vieux cracmol leur avait alloué.
Il n'avait pas fallu longtemps au Japonais pour se remettre partiellement du Furunculus. Quelques baumes appliqués avec soin pour le feu cuisant rongeant son derme de porcelaine et une aide salvatrice de sa condition avaient suffit à éradiquer les immondices florissantes d'une pestilence disgracieuse. Tirant les draps de sa carcasse, le vert accusa un frisson au contact de l'éther sur sa peau neuve. D'une impulsion preste, Viper s'échappa de son alcôve, bien décidé à fuir cet endroit aux arômes entêtants. Seul au milieu d'une salle désertée, ses iris à l'éclat sélène vagabondèrent par-delà l'étendue sauvage d'une fenêtre laissé ouverte. D'une inspiration animale, le loup s'arma de courage avant de tourner les talons, la porte se fermant sur sa silhouette.
À grandes enjambées, Saito avala couloirs et escaliers. Sous escorte des échos de talons mordant planchers et plateformes, à la volée, il jeta une myriade de regards au mépris palpable en direction de tableaux bavards contant leurs exploits récent et la pagaille d'un champ de bataille puéril. Un rictus en coin des lèvres, les poings clos aux joints blanchis, le Serpentard dévala les dernières marches qui le mèneraient au domaine du château. D'une succession de pas de loup à la démarche nonchalante, le gamin de l'Est se glissa dans l'ombre des écuries. Coude et épaule épousant la pierre brute, avachi contre la bâtisse, d'une oreille attentive, le quatrième année écoutait les jérémiades d'une rouge et or imbue d'elle-même. D'un soupir valant mille jurons, le Nippon s'élança vers la panoplie d'outils mise à leur disposition.
D'une poigne désinvolte, ses doigts agrippèrent l'un des pistolets à peinture. Le pas traînant, il vint s'immiscer au milieu de ce duo de jacasseuses bien trop affairée à refaire le monde et débattre de futilité qu'à s'acquitter de ce pourquoi elles étaient là. Une main plaquée dans l'abîme d'une alcôve laineuse, snobant volontairement l'autre effrontée, Viper fixa Blodeuyn tout en actionnant son jouet, sans réellement prêter attention où le museau de ce dernier crachait son flot de peinture. « Très chevaleresque ton intervention... mais j'avais le contrôle. » D'une voix vibrante de sarcasme, le lycanthrope la remerciait à sa manière. Il devait lui reconnaître un certain courage à s'être naïvement interposée entre un prédateur et sa proie. Du moins si Saito avait été en transe lupine. D'un hochement de tête à peine perceptible, les lèvres pincées d'un timide sourire, il se focalisa sur la tâche ingrate que ce vieux cracmol leur avait alloué.
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二 VIPER RYŪNJINCHI 二
From the dawn of time to the end of days I will have to run away. I want to feel the pain and the bitter taste of the blood on my lips, again
INFOS
FICHE DE PERSO
Blodeuyn, Apolline & Wendy - Septembre 2022
Je roulais des yeux devant sa réplique, elle avait vraiment besoin de revenir là-dessus ? @Céleste Delacroix ? Ce nom ne me dit rien, enfin si vaguement, j’ai dû l’entendre de la bouche de serpentard de mon année, certainement @Edel Almadovar qui a dû parler d’elle vite fait à un camarade de sa maison, mais autrement ? Je ne vois absolument pas qui sais. Je me gratte légèrement la tête avant de tourner ma tête vers la rouge et ou plus âgé que moi. « Qui ? » Mon nez se fronça légèrement au passage aussi. « Puis pourquoi tu me parles d’une autre fille ? On parle de toi là, pas de Delacroix où je ne sais pas qui. » lançais-je rapidement avant qu’elle n’ouvre la bouche. « Pour moi tu es et tu resteras une petite princesse simplement parce que tu te comportes en partie ainsi, si, si, ne dis pas le contraire. Puis tu as des préjugés aussi. Rien que le fait de cracher sur des loups. Tu sais qu’ils n’ont pas forcément demander à le devenir ? Il existe des lycanthropes très gentils. » Là, c’était dit, si avec cela elle ne comprend pas, je lui graverais sur le front, pas un problème.
Je reprenais notre corvée de peinture quand elle en rajouta une couche. Inspire bol, inspire, ne lui donne pas la plus droite de sa vie, parce que ce n’est clairement pas une heure de colle que tu prendras. Sourire forcé, je me tourne vers elle. « Bien sûr, tu peux, comme les autres. Alors arrête de vouloir faire en sorte que tout le monde est son clapet fermé. Ta parole ce n’est pas Avalon non plus. » Pourquoi je lui parle en soi ? Elle va toujours relancer une pique et vouloir faire en sorte de vouloir le dernier mot. Sa dernière parole m’énerve amplement. Lui lançant un regard avadakedavrisant. « Mon oncle est un cracmol et il aime sa vie. Le problème avec les sorciers sangs purs qui se croit au-dessus du lot, ils ne savent rien faire sans magie, c’est ce qui est beau chez les moldus, ils s’adaptent et utilise leur neurone pour pallier une facilité que nous possédons visiblement. » Evidement après avoir attaquer les loup-garou, elle s’en prenait à un cracmol, c’est quoi le prochain les chasseur de monstre ? Parce que je vous assure que la je ne réponds plus de moi. En tous cas, elle ne peut pas dire l’inverse, elle est bourrée de préjugés.
Je décide de retourner à mon ouvrage et de faire comme si elle n’existait pas. Un monde sans Apolline Dunn ? Mouais je ne sais pas. Un nouveau venu fit son apparition, notre victime de la préfète en chef, je lui souris doucement avant de retourner à ma peinture. « C’était d’une évidence. Finalement, j’aurais peut-être dû te laisser faire. » dis-je en souriant et en rajoutant la dernière partie en murmurant pour pas que la rouge et or entende.
Je reprenais notre corvée de peinture quand elle en rajouta une couche. Inspire bol, inspire, ne lui donne pas la plus droite de sa vie, parce que ce n’est clairement pas une heure de colle que tu prendras. Sourire forcé, je me tourne vers elle. « Bien sûr, tu peux, comme les autres. Alors arrête de vouloir faire en sorte que tout le monde est son clapet fermé. Ta parole ce n’est pas Avalon non plus. » Pourquoi je lui parle en soi ? Elle va toujours relancer une pique et vouloir faire en sorte de vouloir le dernier mot. Sa dernière parole m’énerve amplement. Lui lançant un regard avadakedavrisant. « Mon oncle est un cracmol et il aime sa vie. Le problème avec les sorciers sangs purs qui se croit au-dessus du lot, ils ne savent rien faire sans magie, c’est ce qui est beau chez les moldus, ils s’adaptent et utilise leur neurone pour pallier une facilité que nous possédons visiblement. » Evidement après avoir attaquer les loup-garou, elle s’en prenait à un cracmol, c’est quoi le prochain les chasseur de monstre ? Parce que je vous assure que la je ne réponds plus de moi. En tous cas, elle ne peut pas dire l’inverse, elle est bourrée de préjugés.
Je décide de retourner à mon ouvrage et de faire comme si elle n’existait pas. Un monde sans Apolline Dunn ? Mouais je ne sais pas. Un nouveau venu fit son apparition, notre victime de la préfète en chef, je lui souris doucement avant de retourner à ma peinture. « C’était d’une évidence. Finalement, j’aurais peut-être dû te laisser faire. » dis-je en souriant et en rajoutant la dernière partie en murmurant pour pas que la rouge et or entende.
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Ta parole ce n’est pas Avalon : ta parole ce n'est pas l'évangile.
un regard avadakevrisant : un regard noir
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Préfet.e en Chef.fe
Vous êtes Préfet.e en Chef.fe
Joueur.se de Quidditch pour Gryffondor
Vous êtes joueur.se de Quidditch pour Gryffondor
Expertise : Bombarda !
Sortilège de Niv.3
Expertise : Waddiwasi !
Sortilège de Niv.5
All Hallow Fest
Vous êtes un.e adepte du All Hallow Fest
Unicorn Fest
Vous êtes un.e adepte du Unicorn Fest !
INFOS
Messages : 2030
Faceclaim : Danielle Campbell
Sang : Sang-pur
Particularités : Ce n'est pas une particularité magique, mais Apolline a une mémoire eidétique.
Profession : 7ème année et dernière année, double cursus Justice Magique & Civilisation Magique ; Préfète-en-chef
Côté Cœur : En couple avec Michel-Ange Grimm, depuis fin Décembre 2022.
Multis : Thalia Böhm
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Habile (70%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(70/100)
Potentiel Magique (PM):
(65/100)
Rigueur Magique (RM):
(80/100)
Expérience Magique (XM):
(55/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
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(0/0)Inventaire:
Body Paint
@Blodeuyn Cynfeirdd, @Viper Saito & Apolline Dunn
◊ ◊ ◊
Un long soupir se fit entendre de la bouche d’Apolline. Pourquoi était-elle en train de gaspiller sa salive avec elle ? En plus, elle ne semblait pas connaître @Céleste Delacroix. C’était peine perdue d’avoir une discussion avec la gryffondor.
« Et bien justement, si tu la connaissais, tu ne dirais pas ça. Point. »
Finalement il n’y avait même pas à débattre. Apolline n’était pas une princesse et elle ne se comportait pas comme tel. Sinon, elle ne prendrait même pas la peine à répondre à Blo. Mais en plus, Apolline était exaspérée par les propos de Blo. Est-ce qu’elle se rendait compte des bêtises qu’elle déblatérait ? Etait-elle bien présente lorsque Viper l’avait attaqué ?
« Il n’y a pas de lycanthrope très gentil. » souligna Apolline. « Peut-être que certains le sont de temps en temps, un peu. Mais qu’ils aient voulu devenir des bêtes sauvages ou non, ils le sont quand même. Transformé déjà, ce sont de véritables dangers. Mais même humain, ils sont violents, impulsifs, sournois. » siffla Apolline. « T’as été oublietté ou quoi ? T’as bien vu comment Viper a failli sauter sur moi ! Si tu ne t’étais pas interposée, il me serait tombé dessus. Alors arrête de dire des bêtises pareilles. » soupira la brune.
Main sur la gâchette, Apolline continuait à repeindre le mur. Parler avec sa camarade de maison était aussi insupportable que cette heure de colle.
« Je ne crois pas t’avoir interdit de parler. Regarde, tu le fais bien depuis toute à l’heure. » rectifia-t-elle. « Mais si tu as envie d’arrêter, n’hésite pas hein. »
D’abord parce qu’elle en avait marre de l’entendre mais surtout parce que leur boulot n’avançait pas. Apolline n’apprécia pas du tout le regard que la sorcière lui envoya. Mais loin de se dégonfler face à elle, Apolline plissa les yeux, lui envoyant un regard sombre. Après les loups-garous, désormais Blo prenait la défense des cracmols.
« Je t’arrête tout de suite. A l’inverse des loups-garous, je n’ai rien contre les cracmols. Je trouve seulement leur vie triste. »
Qui pouvait apprécier de vivre dans un monde rempli de magie sans pouvoir en profiter pleinement ? Apolline soupira face aux accusations de Blo. Elle était assez virulente sur les sang-purs. Avait-elle un complexe d’infériorité ? S’il y avait bien une personne ayant des neurones, c’était Apolline. Aucun sortilège ne permettait d’emmagasiner les connaissances, aux dernières nouvelles. Alors sa remarqua la fit doucement rire. D’ailleurs, un sourire amusé s’était installé sur ses lèvres. Et Apolline décida de ne rien répondre. De toute façon, elle aurait été coupée par l’arrivée de Viper.
Ce dernier snoba littéralement Apolline pour aller vers Blo. Et même si Apolline n’avait pas l’ouïe aussi développée qu’un loup, elle arriva parfaitement à entendre ses remerciements et sa pointe de sarcasme.
« Non mais bien sûr ! » pesta Apolline en soupirant. « On doit pas avoir la même définition du mot contrôle. » expliqua Apolline.
Ou peut-être avait-il oublié son comportement de toute à l’heure ? Apolline, elle, n’avait pas du tout oublié la scène qu’elle avait vécue. Elle en était persuadée, si Blo n’avait pas été là, Viper aurait réellement pu la blesser.
« Et bien justement, si tu la connaissais, tu ne dirais pas ça. Point. »
Finalement il n’y avait même pas à débattre. Apolline n’était pas une princesse et elle ne se comportait pas comme tel. Sinon, elle ne prendrait même pas la peine à répondre à Blo. Mais en plus, Apolline était exaspérée par les propos de Blo. Est-ce qu’elle se rendait compte des bêtises qu’elle déblatérait ? Etait-elle bien présente lorsque Viper l’avait attaqué ?
« Il n’y a pas de lycanthrope très gentil. » souligna Apolline. « Peut-être que certains le sont de temps en temps, un peu. Mais qu’ils aient voulu devenir des bêtes sauvages ou non, ils le sont quand même. Transformé déjà, ce sont de véritables dangers. Mais même humain, ils sont violents, impulsifs, sournois. » siffla Apolline. « T’as été oublietté ou quoi ? T’as bien vu comment Viper a failli sauter sur moi ! Si tu ne t’étais pas interposée, il me serait tombé dessus. Alors arrête de dire des bêtises pareilles. » soupira la brune.
Main sur la gâchette, Apolline continuait à repeindre le mur. Parler avec sa camarade de maison était aussi insupportable que cette heure de colle.
« Je ne crois pas t’avoir interdit de parler. Regarde, tu le fais bien depuis toute à l’heure. » rectifia-t-elle. « Mais si tu as envie d’arrêter, n’hésite pas hein. »
D’abord parce qu’elle en avait marre de l’entendre mais surtout parce que leur boulot n’avançait pas. Apolline n’apprécia pas du tout le regard que la sorcière lui envoya. Mais loin de se dégonfler face à elle, Apolline plissa les yeux, lui envoyant un regard sombre. Après les loups-garous, désormais Blo prenait la défense des cracmols.
« Je t’arrête tout de suite. A l’inverse des loups-garous, je n’ai rien contre les cracmols. Je trouve seulement leur vie triste. »
Qui pouvait apprécier de vivre dans un monde rempli de magie sans pouvoir en profiter pleinement ? Apolline soupira face aux accusations de Blo. Elle était assez virulente sur les sang-purs. Avait-elle un complexe d’infériorité ? S’il y avait bien une personne ayant des neurones, c’était Apolline. Aucun sortilège ne permettait d’emmagasiner les connaissances, aux dernières nouvelles. Alors sa remarqua la fit doucement rire. D’ailleurs, un sourire amusé s’était installé sur ses lèvres. Et Apolline décida de ne rien répondre. De toute façon, elle aurait été coupée par l’arrivée de Viper.
Ce dernier snoba littéralement Apolline pour aller vers Blo. Et même si Apolline n’avait pas l’ouïe aussi développée qu’un loup, elle arriva parfaitement à entendre ses remerciements et sa pointe de sarcasme.
« Non mais bien sûr ! » pesta Apolline en soupirant. « On doit pas avoir la même définition du mot contrôle. » expliqua Apolline.
Ou peut-être avait-il oublié son comportement de toute à l’heure ? Apolline, elle, n’avait pas du tout oublié la scène qu’elle avait vécue. Elle en était persuadée, si Blo n’avait pas été là, Viper aurait réellement pu la blesser.
(c) oxymort
Emotion is the engine of change.
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Faceclaim : ❝ Mackenyu Arata„
Âge : 24
Sang : ❝ Son sang se mêle des accords magiques et moldus (( sang-mêlé )), ses pairs ne voient pas plus loin que son statut d'hybride.
Particularités : ❝ Lycanthropie ( gène actif ; lvl3 )„ force de la nature en sommeil, à la nuit tombée l'enfant et le loup ne font qu'un.
Profession : ❝ Gérant du Nishi Chōme„ Wakagashira du clan Ryūjinchi à la tête de la succursale anglaise. Officiellement, il est bookmaker.
Côté Cœur : ❝ L'amour ne subsiste que du crépuscule à l'aube„ au détour d'une mutation ce sont les bras du serpent qui l'ont accueilli sans jugement..
Multis : ❝ Noma (savage) Karma.
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(40/100)
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Inventaire:
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| | silence Tant de choses ne valent pas d'être dites. Et tant de gens ne valent pas que les autres choses leur soient dites. Cela fait beaucoup de silence • Henry de Montherlant |
D'une simple grimace, d'un hochement de tête désapprobateur, Viper toisa sommairement Cynfeirdd, avant de retourner son attention sur le pan de mur qu'il badigeonnait copieusement. Les prémices de l'un de ses rictus assassin naquit, bien malgré lui, à la commissure de ses lèvres, amertume sempiternelle de laquelle il ne parvenait pas à se défaire face aux jugements précipités et leurs assomptions surannées. Oscillant entre ce qu'il prenait pour de la pitié d'une sorcière et l'aversion évidente d'une veille goule mal emmaillotée, le lycanthrope se trouvait fort bien entouré. « Tu ne manques pas de courage, mais si j'avais représenté un quelconque danger, le vieux serait intervenu beaucoup plus tôt ou ne m'aurais certainement pas autorisé à participer à son jeu débile. » avait-il répondu le plus simplement du monde. D'une cascade de soupirs en haussements d'épaules subtils, le vert ne s'était jamais senti aussi mal à l'aise qu'en la présence de ces deux étudiantes.
Réprimant un frisson de mal-être, qu'il chassa à grand renfort de mouvements amples, le loup couvrit grossièrement de son pistolet à peinture pierre après pierre, sans accorder une once de courtoisie à l'égard de cette harpie. Comment pouvait-elle déambuler si librement tout en étant encombrée d'un masque aussi lourd de préjugés et de condescendance ? « すげえ ! Je ne savais pas que l'on pouvait buter autant sur le principe de tolérance. Y a pas à dire, elle a sûrement un avenir radieux à l'ombre de ses principes bas de plafonds avec une mentalité pareille. » D'un timbre froid et méprisant, sarcasme à peine voilé, d'un regard jeté par-dessus sa silhouette, il cueillit la Dunn de ses bourgeons aux soupçons bestiaux. Si le Serpentard ne l'avait pas en travers de la gorge, il aurait sans doute éprouvé une empathie certaine face à cet être dépourvue de toute notion d'ouverture d'esprit. Mais après l'incident d'un cours insignifiant et son secret le plus intime jeté en pâture aux veaudelunes, Saito n'était pas prêt de tendre une main vers ce qu'il peinait à décrire comme une semblable.
Ayant apporté sa patte à l'édifice, le Japonais se recula de quelques pas pour contempler son travail bâclé. Non-content de son œuvre, les bras ballant le long de son buste, il se pinça la lippe de ses incisives tout en battant en retraite, formellement décidé à ne plus mettre la main à la pâte. Après tout, il n'était nullement concerné par cette sanction. Et si prendre part à ce labeur signifiait aider d'une manière ou d'une autre cette inferi, il se refusait de continuer. La tête légèrement inclinée, une moue amusée illuminant ses traits désabusés, le quatrième année fixa l'art abstrait d'une enluminure bariolée de couleurs divergentes. Pensif, les mains portées devant son champ de vision, index et pouces mimant l'objectif d'un appareil photo, le Nippon se fendit d'un fou rire sincère. « WOW ! Avec ça plus besoin de Madame la Ministre pour faire fuir les corbeaux ! » Hilare, il analysait la bâtisse de @Kathleen J. Jones prendre des allures de chapiteau moldu à la palette tape à l'œil.
Réprimant un frisson de mal-être, qu'il chassa à grand renfort de mouvements amples, le loup couvrit grossièrement de son pistolet à peinture pierre après pierre, sans accorder une once de courtoisie à l'égard de cette harpie. Comment pouvait-elle déambuler si librement tout en étant encombrée d'un masque aussi lourd de préjugés et de condescendance ? « すげえ ! Je ne savais pas que l'on pouvait buter autant sur le principe de tolérance. Y a pas à dire, elle a sûrement un avenir radieux à l'ombre de ses principes bas de plafonds avec une mentalité pareille. » D'un timbre froid et méprisant, sarcasme à peine voilé, d'un regard jeté par-dessus sa silhouette, il cueillit la Dunn de ses bourgeons aux soupçons bestiaux. Si le Serpentard ne l'avait pas en travers de la gorge, il aurait sans doute éprouvé une empathie certaine face à cet être dépourvue de toute notion d'ouverture d'esprit. Mais après l'incident d'un cours insignifiant et son secret le plus intime jeté en pâture aux veaudelunes, Saito n'était pas prêt de tendre une main vers ce qu'il peinait à décrire comme une semblable.
Ayant apporté sa patte à l'édifice, le Japonais se recula de quelques pas pour contempler son travail bâclé. Non-content de son œuvre, les bras ballant le long de son buste, il se pinça la lippe de ses incisives tout en battant en retraite, formellement décidé à ne plus mettre la main à la pâte. Après tout, il n'était nullement concerné par cette sanction. Et si prendre part à ce labeur signifiait aider d'une manière ou d'une autre cette inferi, il se refusait de continuer. La tête légèrement inclinée, une moue amusée illuminant ses traits désabusés, le quatrième année fixa l'art abstrait d'une enluminure bariolée de couleurs divergentes. Pensif, les mains portées devant son champ de vision, index et pouces mimant l'objectif d'un appareil photo, le Nippon se fendit d'un fou rire sincère. « WOW ! Avec ça plus besoin de Madame la Ministre pour faire fuir les corbeaux ! » Hilare, il analysait la bâtisse de @Kathleen J. Jones prendre des allures de chapiteau moldu à la palette tape à l'œil.
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Blodeuyn, Apolline & Viper - Septembre 2022
On va juste faire la sourde oreille durant le temps qu’il reste de cette retenue, je pense que c’est pour le mieux. Déjà que je sens que tante @Maeve Cynfeirdd va me tomber dessus parce que cette histoire, ce moment survenu en cours va lui remonter dans les oreilles par différents moyens. Comment elle va le savoir ? Je n’en sais rien, mais elle le sera, c’est un fait avéré, elle sait tous, comme le vieux barbu dans le fort bouyard non touyard, non trouillard. Pas cela non plus. Oh puis zut, je ne sais plus comment elle le nomme ce mec. Ne sert à rien que je demande à l’autre hystérique d’a côté, elle me regarderait comme une folle. Surtout que je suis certaine que le seul barbu qu’elle connaisse c’est Merlin. J’entends un bourdonnement dans mes oreilles, parce qu’elle parle encore ? Je me fais envoyé en nouvelle retenue si je lui envoyé un petrificus totalus ? Je pense en effet que Monsieur @Jameson Clearwater m’écorchera vif. On va laisser le flot entré et sortir sans faire aucune réaction.
Ok j’ai parlé trop tôt, je tourne vers elle de manière blasé avant de lui demander calmement. « Et me dire merci ça t’aura égosillé ? Parce qu’à part jeter ton venin comme une vipère, je ne t’ai pas entendu prononcé les syllabes Mer et Ci pour m’être interposé comme tu dis si bien. » Je ne vois même pas pourquoi je m’y attends. Elle est trop au-dessus des autres pour penser à remercier le commun des elfes.
Rien, rien, c’est vite dit. D’abord elle prétend qu’elle préfère mourir plutôt que de l’être, maintenant elle dit que leur vie est triste. Bah je n’aimerais pas avoir la sienne. C’est naturel chez elle d’être aussi langue de vipère ? Où c’est juste que n’aimant pas le vert, elle a demandé au choixpeau de l’envoyé dans la maison rouge ? Ah moins, que papa est payé, allez savoir. En tous j’espère qu’elle ou sa descendance finira cracmol ou lycanthrope pour se rendre compte à quel point les préjugés sont aussi mauvais qu’une perte de contrôle.
Heureusement, en parlent de vert, on voyant un élève de cette maison se faufiler dans le coin et prendre un pistolet. Je l’écoutais avant de me tourner vers lui toujours en appuyant sur la pression. Certainement qu’il avait raison. Mes yeux se firent plus gros en me rendant compte que mon pistolet de peinture fonctionnait toujours, rapidement je me remets face au mur et fait comme si de rien n’était. La fille Dunn n’a certainement rien sentir, puisque la peinture bleu a juste terminer sur sa jupe. Au pire, elle sera juste Serdaigle pendant quelques temps.
Ok j’ai parlé trop tôt, je tourne vers elle de manière blasé avant de lui demander calmement. « Et me dire merci ça t’aura égosillé ? Parce qu’à part jeter ton venin comme une vipère, je ne t’ai pas entendu prononcé les syllabes Mer et Ci pour m’être interposé comme tu dis si bien. » Je ne vois même pas pourquoi je m’y attends. Elle est trop au-dessus des autres pour penser à remercier le commun des elfes.
Rien, rien, c’est vite dit. D’abord elle prétend qu’elle préfère mourir plutôt que de l’être, maintenant elle dit que leur vie est triste. Bah je n’aimerais pas avoir la sienne. C’est naturel chez elle d’être aussi langue de vipère ? Où c’est juste que n’aimant pas le vert, elle a demandé au choixpeau de l’envoyé dans la maison rouge ? Ah moins, que papa est payé, allez savoir. En tous j’espère qu’elle ou sa descendance finira cracmol ou lycanthrope pour se rendre compte à quel point les préjugés sont aussi mauvais qu’une perte de contrôle.
Heureusement, en parlent de vert, on voyant un élève de cette maison se faufiler dans le coin et prendre un pistolet. Je l’écoutais avant de me tourner vers lui toujours en appuyant sur la pression. Certainement qu’il avait raison. Mes yeux se firent plus gros en me rendant compte que mon pistolet de peinture fonctionnait toujours, rapidement je me remets face au mur et fait comme si de rien n’était. La fille Dunn n’a certainement rien sentir, puisque la peinture bleu a juste terminer sur sa jupe. Au pire, elle sera juste Serdaigle pendant quelques temps.
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quand elle parle du fort, c'est fort boyard
remercier le commun des elfes : remercier le commun des mortels
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@Blodeuyn Cynfeirdd, @Viper Saito & Apolline Dunn
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Les yeux levés au ciel, Apolline était exaspérée d’entendre ce simulacre de conversation entre Viper et Blo. Il lui était impossible de rester silencieuse et passif face à cette situation. Alors Apolline se rapprocha légèrement du duo formé par le serpentard et la gryffondor.
« Il ne t’aurait pas autorisé à participer à son exercice s’il avait sû que tu étais un loup-garou… » commença Apolline, Incapable de se contrôler, pensa-t-elle fortement. « …si seulement tu avais été franc avec tout le monde. »
Il était évident que Viper aurait été mis sur le banc de touche. Mais désormais, tout le monde était au courant de sa vraie nature. Apolline n’était pas une fouteuse de merde. Elle aurait très certainement gardé cette information qui lui venait de son père pour elle et ses amis les plus proches, notamment sa bande d’amis qui avait vécu d’horribles choses à cause de la meute. Mais elle n’en aurait parlé à personne d’autres…s’il ne l’avait pas agressé. Là, Apolline se fichait complètement d’avoir mis à mal sa réputation.
« Je te remercie de te soucier de mon avenir radieux. » répondit Apolline d’un ton sarcastique. « Tu devrais peut-être te soucier de savoir si toi tu auras un avenir ou pas. » siffla Apolline d’un ton froid et cassant.
S’il venait à attaquer Apolline à nouveau, elle ne donnait pas cher de sa peau. La lionne savait parfaitement que de nombreux sorciers étaient plus violents que sa famille envers les loups-garou. Certains les traquaient, les chasser, les tuer. Viper ne devait pas oublier que sa condition faisait de lui un danger que certains sorciers se feraient un plaisir d’éradiquer.
Apolline continua sa tâche ingrate avant d’arrêter brusquement lorsqu’elle aperçut Viper lâcher son pistolet à peinture. Il fanfaronnait devant ce qu’il venait d’accomplir et semblait vouloir en finir là, avec une petit pique dirigée contre Apolline. La brune entrouvrit la bouche, vexée des propos de Viper.
« T’es vraiment bête. D’autant plus qu’à partir d’aujourd’hui, ce n’est peut-être plus moi qui ferait fuir les corbeaux…et encore moins les élèves de Poudlard. »
Sous-entendu que la révélation de sa condition de loup-garou changerait peut-être la donne sur l’image qu’il allait renvoyer…d’autant plus si le reste des élèves apprenaient qu’il s’en était pris à Apolline, plus au moins physiquement.
« J’espère que tu ne comptes pas arrêter cette tâche là…on a pas fi… »
Mais Apolline ne put terminer sa phrase. La sensation désagréable de la peinture sur sa jupe se faisait ressentir. Bouche bée, Apolline resta figée, les bras le long de son corps. Elle baissa la tête pour voir la tâche bleue puis elle remonta furieusement le regard sur Blo qui continuait à peindre comme si de rien était.
« Cynfeirdd ! T’es sérieuse là ? » pesta Apolline.
La préfète-en-cheffe ne savait pas ce qui était le pire : la tâche sur ses affaires ou le fait que Blo fasse l’innocente. Dans les deux cas, Apolline vivait cela comme une nouvelle humiliation. Après son visage peinturé, on s’attaquait à ses vêtements. Qu’est-ce que ça allait être ensuite ? Apolline ne pouvait pas laisser passer ça.
« Regarde-moi et arrête de faire l'innocente ! » ordonna-t-elle. « Je te laisse une chance de réparer ça. »
Une chance de baisser son pistolet de peinture pour qu’elle prenne sa baguette et nettoie ses bêtises. Est-ce que Blo allait saisir cette chance ?
« Il ne t’aurait pas autorisé à participer à son exercice s’il avait sû que tu étais un loup-garou… » commença Apolline, Incapable de se contrôler, pensa-t-elle fortement. « …si seulement tu avais été franc avec tout le monde. »
Il était évident que Viper aurait été mis sur le banc de touche. Mais désormais, tout le monde était au courant de sa vraie nature. Apolline n’était pas une fouteuse de merde. Elle aurait très certainement gardé cette information qui lui venait de son père pour elle et ses amis les plus proches, notamment sa bande d’amis qui avait vécu d’horribles choses à cause de la meute. Mais elle n’en aurait parlé à personne d’autres…s’il ne l’avait pas agressé. Là, Apolline se fichait complètement d’avoir mis à mal sa réputation.
« Je te remercie de te soucier de mon avenir radieux. » répondit Apolline d’un ton sarcastique. « Tu devrais peut-être te soucier de savoir si toi tu auras un avenir ou pas. » siffla Apolline d’un ton froid et cassant.
S’il venait à attaquer Apolline à nouveau, elle ne donnait pas cher de sa peau. La lionne savait parfaitement que de nombreux sorciers étaient plus violents que sa famille envers les loups-garou. Certains les traquaient, les chasser, les tuer. Viper ne devait pas oublier que sa condition faisait de lui un danger que certains sorciers se feraient un plaisir d’éradiquer.
Apolline continua sa tâche ingrate avant d’arrêter brusquement lorsqu’elle aperçut Viper lâcher son pistolet à peinture. Il fanfaronnait devant ce qu’il venait d’accomplir et semblait vouloir en finir là, avec une petit pique dirigée contre Apolline. La brune entrouvrit la bouche, vexée des propos de Viper.
« T’es vraiment bête. D’autant plus qu’à partir d’aujourd’hui, ce n’est peut-être plus moi qui ferait fuir les corbeaux…et encore moins les élèves de Poudlard. »
Sous-entendu que la révélation de sa condition de loup-garou changerait peut-être la donne sur l’image qu’il allait renvoyer…d’autant plus si le reste des élèves apprenaient qu’il s’en était pris à Apolline, plus au moins physiquement.
« J’espère que tu ne comptes pas arrêter cette tâche là…on a pas fi… »
Mais Apolline ne put terminer sa phrase. La sensation désagréable de la peinture sur sa jupe se faisait ressentir. Bouche bée, Apolline resta figée, les bras le long de son corps. Elle baissa la tête pour voir la tâche bleue puis elle remonta furieusement le regard sur Blo qui continuait à peindre comme si de rien était.
« Cynfeirdd ! T’es sérieuse là ? » pesta Apolline.
La préfète-en-cheffe ne savait pas ce qui était le pire : la tâche sur ses affaires ou le fait que Blo fasse l’innocente. Dans les deux cas, Apolline vivait cela comme une nouvelle humiliation. Après son visage peinturé, on s’attaquait à ses vêtements. Qu’est-ce que ça allait être ensuite ? Apolline ne pouvait pas laisser passer ça.
« Regarde-moi et arrête de faire l'innocente ! » ordonna-t-elle. « Je te laisse une chance de réparer ça. »
Une chance de baisser son pistolet de peinture pour qu’elle prenne sa baguette et nettoie ses bêtises. Est-ce que Blo allait saisir cette chance ?
(c) oxymort
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FICHE DE PERSO
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