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Nightcall { Benca

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nightcall

ft @Ben Leavy
15 septembre 2022 - Nuit

CW : mention de relation à caractère sexuel

Le bruit d’un bouton sautant fait sourire Bianca. Ses lèvres sont pourtant déjà bien occupées, perdues dans un baiser passionné. L’homme n’a pas l’air de se soucier de ce qui arrive à sa chemise, bien plus intéressé par les vêtements de l’Auror qui semblent lui résister. Dans quelques minutes, elle l’aidera, pour l’instant ça l’amuse plutôt pas mal. Il n’est pas son type habituel, un peu plus macho que nécessaire si vous voulez son avis, mais ce n’est pas vraiment ce qui l’intéresse ce soir. Le besoin est plus … primaire. Hombre n’est pas là, et tant mieux. Pas besoin de qui que ce soit dans ses pattes maintenant. Bon, le jeu a assez duré et les doigts de la femme trouvent sa baguette pour … Une sonnerie se fait entendre, retentissant dans l’appartement silencieux. Et un grognement lui échappe, alors que l’autre s’arrête : « What the… » « Don’t pay attention. Es nada. » Son index se pose sous son menton pour le ramener à elle, bien décidée à ignorer le problème qui arrive pourtant. Mais ils n’ont même pas recommencé à s’embrasser que ça recommence. Une exclamation exaspérée lui échappe, alors qu’il s’écarte : « What’s that sound? » « It’s a phone, » râle-t-elle, alors que les yeux se détachent d’elle pour trouver le curieux appareil moldu. Qui continue de s’époumonner. Il fait un pas vers lui, visiblement intrigué, ce qui lui fait secouer la tête. « Ve te. » « Uh? » Le grognement est la goutte de trop et l’artefact magique lui ouvre grand la porte : « Get lost. Now. » Il semble sur le point de protester et elle agite l’index : « Oh no. You don’t try to counter the ‘no’ of a woman with a wand. » D’aucune femme, en réalité, mais elle n’a pas vraiment le temps de refaire l’éducation de cet homme des cavernes. Décidément, il fallait qu’elle arrête de ramasser n’importe qui dans les bars. Toujours est-il qu’il disparaît et qu’elle peut se concentrer sur un truc un peu plus important. « What did he do AGAIN ? »

Et quelques minutes après, elle pousse la porte du service de la Brigade de Police Magique. Elle n’a pas pris de douche donc doit encore sentir la soirée qu’elle a passé dans ce bar. Même s’il faudrait qu’elle se lave de l’odeur dégueulasse du déodorant du mâle dominant. On la connait, alors qu’elle flash son badge. Mais ils savent très bien qu’à cette heure-ci, décoiffée, ce n’est pas pour affaires qu’elle est là. C’est pour l’une des rares personnes à avoir son numéro et le seul être humain qu’elle connaisse à pouvoir faire utiliser aux forces de l’ordre magique un téléphone moldu. « Buenas Max. » Un de ceux qu’elle voit le plus souvent. Ils ont une routine bien huilée, de ce côté-là. Etre amie avec Ben demande une endurance qu’elle a fort heureusement. Après tout, elle est bien allée jusqu’aux Etats-Unis pour lui botter le cul, alors descendre jusqu’au poste pour le ramasser n’est pas si difficile. « Where did you put him this time? » On lui indique le numéro de la cellule et on ne propose même plus de l’y accompagner, depuis le temps. Ses pas résonnent dans cette ambiance feutrée qui est propre ç l’endroit, de nuit, jusqu’à ce qu’elle aille se planter devant les barreaux – et devant son meilleur ami emprisonné. Bras croisés, elle le regarde d’un air désabusé : « You’re in luck tonight, the guy was un cono thank Merlin I didn’t fuck him. » Il faut dire qu’il a le chic pour la dérange en pleine nuit, si vous voyez ce qu’elle veut dire. Et généralement, il a le droit au sermon du siècle, selon la qualité de la partie qu’elle a été forcée de laisser, reporter ou bâcler. « Okay. Let me hear it. » Oh elle ne le fait pas sortir immédiatement. C’est toujours plus drôle, comme ça.
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NIGHTCALL

15 septembre 2022 - londres magiques ⟠  @Bianca Almadovar  


Ben, observa le plafond, le dos appuyé au mur, assis sur un plancher auquel il essayait de ne pas trop penser, dégoûté par sa propreté douteuse. Les cheveux ébouriffés et la chemise mal boutonnée, les yeux vitreux et la bouche pâteuse, il frotta son visage d’une main. Il avait soif. Si il était entré dans cette cellule bien intoxiqué, la BPM avait leurs moyens de dégriser un homme, mais évidemment, comme tout le reste du monde magique, ils semblaient enclins à utiliser leur magie que pour de ridicules pacotilles.

Durant ses longues heures à attendre la paperasse que générait souvent ses incarcérations - injustifiés selon lui - Ben avait le temps de réfléchir, quelque chose qu’il trouvait de moins en moins agréable dans les dernières années. (Avait-il réellement besoin de s’entendre penser? Il n’avait rien de bien intéressant dans le crâne, même si il ne l’avouerait jamais à voix haute) Dans ces heures de contemplation, il se demandait souvent s'il aurait connu le même genre de décors, si il n’avait pas été sous l’étroite surveillance du public et des paparazzis. Ici, son image n’avait plus de valeur, il fichait donc en l’air toutes les mesures de politesse et d’autocontrôle que la société imposait, se disant qu’il n’avait plus rien à perdre de toute façon. Aurait-il connu le même sort si il n’avait pas été le sujet de tant d'objectifs? Ou pire, si il n’avait pas eut une assez grande fortune pour se tirer d'affaires à la Hollywoodienne?
Pff. What does it matter anyway?

De toute façon, il était coincé ici. Là où les télévisions ne faisaient pas parti du décors, où les radios semblaient dater du siècle précédent, où la magie semblait régler tous les problèmes qui n’avaient jamais nécessité de solution. Dire qu’il avait grandi ici.

Bref. Ironiquement, la BPM le faisait décuver à la méthode moldue, soit en le faisant poireauter dans sa petite cellule en attendant l’âme charitable qu’il avait choisi d’appeler.
Évidemment, son ange gardien était toujours le même.

Finally.
Il reconnu sa démarche avant même de la voir apparaître de l’autre côté des barreaux, incapable de l’admettre, mais très conscient du lien qui la liait à Bianca: une familiarité qui avait été maintenue, quand il avait jeté tout le reste. Pas qu’elle lui ait réellement donné le choix, mais aujourd’hui, reconnaissant qu’elle l’ait fait.
À son approche, il leva les yeux vers elle. Il ne lui offrit pas de sourire, mais intérieurement, il était heureux de la voir, même si elle avait souvent des allures qui lui rappelait la mère Ward, lorsqu’elle venait le récupérer. Comme tout signe de salutation, il grimaça en observant son allure.
“I’d say you’re a sight for sore eyes, but honestly you look like shit.”

“Aaaah.” s’exclama-t-il à l’annonce de son amie. Cette-fois, il lui offrit un sourire malicieux. “That explains the bird nest on your head.” Son sourire s’élargit, et il se releva difficilement de sa position assise, légèrement chancelant. “See? I saved you once again. Not just downsides to picking me up.” dit-il en se voulant convainquant.

Il donna quelques coups frottés sur ses vêtements, comme pour faire une différence dans son état déjà déplorable. “Anyway, glad to see we haven’t had the same kind of night.” soupira-t-il. “With all their magic you’d think they’d find a fucking way to make this shithole prettier...” Ben maugréa en se redressant, s’approchant de la porte pour sa libération, déjà habitué à la routine.

Ceci dit, il omettait toujours la dernière partie du plan, celle qu’il détestait, celle qu’il oubliait. Il se cogna pratiquement le nez à la porte qui restait toujours fermée.
“Seriously? Again? gémit-il avec une exaspération peu contenue.
I need to stop calling her. Nota-t-il à lui-même.
Who else you’re gonna call, your boss? Fucking loser.
Il voulait un lit et une douche. Une cigarette. Un verre d’eau, ou peut-être quelque chose de plus fort. Mais comme souvent dans leur relation, c’était Bianca qui avait le gros bout du bâton.

“You like this don’t you?” maugréa-t-il en s’appuyant les bras sur les barreaux. Son amie l’observait de l’autre côté, et il la connaissait assez pour savoir la réponse à sa question. “Powerplay doesn’t suit you, just so you know.” Même s'il soupirait avec une fatigue évidente, une pointe d’affection pouvait être perçue dans ses geignements, résignée à l’amie qu’il avait.

“It was nothing.” Fini-t-il par céder, sachant qu’il ne sortirait pas d’ici avant d’avoir donné ses raisons. Il balaya l’air de sa main. “I was having a few drinks, but then the bar closed so I finished my drinks on the pavement.” Il haussa les épaules, comme si il s’agissait d’une évidence. “But-” Il se recula d’un pas, libérant ses bras pour parler plus librement.
“You know how I keep telling you I see nifflers everywhere? They’re everywhere!”

“So I’m drinking my beer, right? And then I raise my hand for another sip, and I have the feeling my wrist is lighter- And I know it’s not the alcohol!” Il pointa Bianca du doigt, comme pour la couper avant qu’elle puisse l’accuser.
“I turn around and what do I see? A niffler running away with my watch- MY FUCKING WATCH!” De plus en plus animé dans son récit, Ben balance ses bras, parle avec ses mains, son visage et son corps faisant partie intégrante de son histoire, vestige d’un acteur ou simplement de l’homme expressif qu’il avait toujours été. “I run after it because that thing’s fucking expensive you know, but that little creature is fucking fast- Have you seen how fast these little shits can go?!” Eut-elle répondu, il ne l'aurait jamais entendu, enflammé par son monologue. “Anyway I saw it enter… errr… some lawyer’s office or something. So obviously I tried to get in, that bugger’s got my watch! And that fucking rascal is looking at me through the fucking glass door. Bianca I swear to god, IT WAS STARING AT ME WITH ITS LITTLE BUGGY EYES! THROUGH. THE. GLASS. DOOR. It was a fucking challenge, I’m telling you.”

Il marqua une pause pour retourner vers les barreaux, desquels il s’était depuis longtemps éloigné, emporté par son histoire. “So they got me for breaking and entering. Then public intoxication.” Il marqua une pause, soudainement plus calme, tentant du mieux qu’il pouvait de ramener le volume de la discussion à un minimum.

“And maybe a count of resisting arrest.”
Il haussa les épaules, risquant une grimace qui se voulait désolée. “They did not charge me for attempted robbery, I explained myself.” ajouta-t-il, comme si cela rendait toute l'histoire plus allégée.
“I did NOT get my watch back. Do not talk to me tonight, I am grieving. I fucking hate nifflers.”

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nightcall

ft @Ben Leavy
15 septembre 2022 - Nuit

“And you look like un burro, cabron. La vida es un puta mierda, y hasta. Oh elle avait entendu pire, de la part de Ben, et comme ils s’aiment profondément, elle le lui rend bien. Et quand il a bu et est derrière des barreaux, il est encore plus insupportable. Ce qui tombe bien parce que vu comment sa soirée s’est terminée – ou plutôt ne s’est pas finie, if you see what i mean – elle a besoin d’un os à ronger. Et la fierté de son meilleur ami est sans doute ce qu’il y a de plus délectable dans le coin pour le moment. Surtout quand il semble bien décidé à se moquer de son infortune en se faisant en plus passer pour son chevalier servant. Ses yeux roulent dans leurs orbites, accompagnés même de sa tête pour un mouvement plus dramatique. “The major downside is still that I am horny af and you are not going to take care of that. And you are still standing between me and my vibrator. So…” Et en plus il s’attendait à un merci. Non mais. Cet homme avait un culot monstre – et autant de mauvaise foi qu’elle, ce qui n’était pas une mince affaire. Et sans doute une des raisons qui faisaient qu’ils s’entendaient si bien. Ils avaient un peu trop de points communs pour leur bien, mais au moins, ils pouvaient compter l’un sur l’autre pour se soutenir, comme l’acteur le lui souligne : “You mean you’ve been cut halfway through a long overdue fuck by your best friend getting arrested again ?” L’ironie suinte de ses paroles – heureusement qu’ils se connaissent suffisamment pour savoir qu’elle n’est qu’à moitié exaspérée. Un quart ? Trois ? Enfin pas encore totalement. Sinon, elle ne serait même pas venue et l’aurait juste laissé pourrir au trou toute la nuit. C’était déjà arrivé. Une fois. Mais pour le coup il avait vraiment appelé au mauvais moment et elle passait un très, très bon moment. Quoi ? Il faut bien se faire du bien, de temps en temps.

Et comme toujours, il ne fait que se plaindre alors qu’il est évidemment le seul responsable de la situation. “Isn’t it your holiday house or something, by now? Sure you should invest in making it look better.” Et comme toujours, il croit pouvoir sortir sans le moindre mal. Et comme toujours, il déchante rapidement. Parce que c’est implacable que Bianca le considère. Il faudra qu’un jour elle lui passe les menottes elle-même et l’emmène en salle d’interrogatoire, pour rendre les choses encore plus amusantes. Et elle est persuadée que ses presque collègues la laisseraient faire. Prendraient des photos, sans doute. Et elle ne se gêne pas pour le narguer : Que powerplay ? Soy the power, corazon.” Et surtout dans cette situation. Il avait tendance à oublier que sa meilleure amie avait un badge et une baguette qu’elle savait particulièrement bien manier. Mais elle ne manquait pas de le lui rappeler, dès qu’elle le pouvait. Et elle le contemple donc. Et dès qu’il commence, elle regrette sa question. Parce qu’évidemment, il en fait des caisses. Parce que, pour sûr, cela va durer beaucoup plus longtemps que cela ne le devrait. Mais cet homme ne sait pas faire simple, ni concis. Et surtout, drama free. Il lui semble que ses yeux vont se bloquer dans leurs orbites au cours de ce récit des plus abracadabrantesques. Sa fixation sur les niffleurs commence d’ailleurs à être plutôt inquiétante. Mais elle ne flanche pas, parce qu’elle se doute bien qu’il essaye de la pousser à bout pour sortir plus vite. Ou il est juste naturellement insupportable. Mais c’est sa diva insupportable.

Qui en vient aux faits. Et à ce pourquoi on le retient. “Resisting an arrest? Enserio? After all this time, just let them do their job.” La chute la fait grincer : “I just should stop talking to you every day. No se porque I still bother.” Ses yeux coulent sur le côté et sur Max qui lui fait signe de là où il se trouve que les papiers sont prêts. Ça semble encore trop simple, en réalité. Oui, d’acccord, elle avait vraiment besoin de cette sortie, ce soir. “So. You want to file a plaint for them to get an arrest warrant for that Niffler?” Ses doigts sortent sa baguette de sa poche et elle fait venir à elle un de ces blocs de la BPM alors qu’elle fait mine de prendre des notes : “What did he look like ?” Le ton est des plus professionnels alors qu’elle relève la tête pour le dévisager : “We’ll get one of our artists to help you with the portrait. And then I’ll line up five nifflers for you to pick from it.” Son bras s’appuie aux barreaux et elle le fixe : “And then I’ll fill this cell with nifflers, you loco.” Non mais. Pour avoir poursuivi un niffleur ? Il est vraiment, vraiment, vraiment insupportable.
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15 septembre 2022 - londres magiques ⟠  @Bianca Almadovar  


Évidemment que Bianca se paye sa tête. Il en a l’habitude, même si il préférait qu’elle le fasse une fois qu’elle lui ait rendu sa liberté. Et alors qu’elle se plaignait de s’être fait cockblock par son arrestation impromptu, Ben roula des yeux, imitant les dramatiques de son amie. “Oh please. When you look like that you can pull anything you want.” dit-il en faisant une gestuelle vague, désignant l’auror de la tête aux pieds. “Ask Mark to do it.” dit-il, en haussant nonchalamment les épaules, pointant vers son geôlier sans trop se soucier si il l’avait débaptisé ou non, encore moins si il avait entendu.

“Ah-ah. Real funny.” rétorqua-t-il à sa moquerie. “That’s a shit holiday house, the kind of thing you destroy to rebuild.” dit-il en observant sa cellule, découragé. “And I’m broke, so that settles it. You think I’d be teaching if I could afford investements? You think I’d run after nifflers?”

Bianca étant Bianca, elle prenait un malin plaisir à prolonger le martyr, le narguant à toutes les occasions qu’elle trouvait. “Yeah yeah yeah, all hail the queen, whatever.” marmonna Ben, l’observant à travers le grillage avec une moue peu amusée.

Finalement, lorsqu’il eut terminé son histoire, elle lui fit la morale. “But I didn’t do anything wrong this time!” s’insurgea-t-il. “Anyway. It was a slight misunderstanding, that's all.”  Il seccoua la tête. “You say that but you’re the one crashing at my place most of the time.” dit-il en pointant un doigt accusateur vers elle. “You love me.” ajouta-t-il avec un sourire satisfait.

Puis elle continua à rire de sa gueule, mentionnant l’arrestation des niffleurs, allant même jusqu’à l’utilisation de props. “Oh, shut up.” Il perdit vite son sourire satisfait. “Alright, alright I get iiiiiiiiiit.” Il lui fit face alors qu’elle l’observait, confortablement appuyée sur les barreaux de sa cellule. “I’ll get one and put it in your bags next time you come over, see if I’m overreacting or not.” menaça-t-il.
“Now that you had your fun, can you bail me out? Please?

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