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Plus si affinité - ft Léonard
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FICHE DE PERSO
Thea & Léonard - 1er novembre après minuit
Je foulais le sol du château de Poudlard pied-nue, talons à la main, corne enlevé également. J’étais tellement frustré de mettre fait planté par @Alister Dunn sans une explication. Je veux qui part au beau milieu d’une soirée que tu passes avec une magnifique personne pour suivre sa cousine comme un bon petit soldat ? ALISTER DUNN, il semblerait. Incapable de lui dire non. Il a besoin de son approbation pour s’envoyer en l’air aussi maintenant ? Si c’est le cas j’arrête t… Oui non pas tout, j’y tiens moi au petit Serdaigle, mais il m’a laissé comme si j’étais une chemise sale, comme si je n’avais pas d’importance. Peut-être que je ne suis pas importante pour lui finalement ? OH POURQUOI je pense ça moi. Pourquoi cela m’importe de savoir si je suis la huitième merveille du monde à ses yeux alors que nous sommes dans une relation libre. « C’est de la faute à Micky. » criais-je alors que je franchissais la première marche qui mène vers l’accès à la salle commune des Poufsouffle. Retourner discrètement au dortoir, on repassera, c’est loupé pour sûr. Je décide d’accélérer le pas pour me rendre devant la porte de salle commune.
Une fois en bas, devant l’accès la salle jaune et noire, je me laisse glisser le long du mur en attendant mon merveilleux serpentard, j’avais besoin de penser à autre chose qu’Alister et les sensations bizarres que je ressens à la suite de son départ soudain. Une fois mon postérieur sur le sol froid, je regarde devant moi avant de lancer mes talons haut dont l’un est cassé dans l’ouverture de l’escalier. Prions juste que Léo ne descend pas à ce moment-là, sinon il va se prendre mes chaussures alors qu’il n’a rien fait pour recevoir mon courroux. Je regarde mes pieds salie par la terre et l’humidité, vivement que je les lave.
Quelques choses me faisaient de l’ombre, je le sais parce que le couloir c’est assombri d’un coup, signe que quelques choses obstruaient la clarté des chandelles de Poudlard. Je relève la tête vigoureusement avant de voir la tête de mon ami. « Léo. » soufflais-je doucement avant de lui faire mon plus beau sourire.
Une fois en bas, devant l’accès la salle jaune et noire, je me laisse glisser le long du mur en attendant mon merveilleux serpentard, j’avais besoin de penser à autre chose qu’Alister et les sensations bizarres que je ressens à la suite de son départ soudain. Une fois mon postérieur sur le sol froid, je regarde devant moi avant de lancer mes talons haut dont l’un est cassé dans l’ouverture de l’escalier. Prions juste que Léo ne descend pas à ce moment-là, sinon il va se prendre mes chaussures alors qu’il n’a rien fait pour recevoir mon courroux. Je regarde mes pieds salie par la terre et l’humidité, vivement que je les lave.
Quelques choses me faisaient de l’ombre, je le sais parce que le couloir c’est assombri d’un coup, signe que quelques choses obstruaient la clarté des chandelles de Poudlard. Je relève la tête vigoureusement avant de voir la tête de mon ami. « Léo. » soufflais-je doucement avant de lui faire mon plus beau sourire.
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elle porte encore son costume
- Spoiler:
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A votre bonheur ma chère @Théa Rosewell
Léonard n'avait pas eu envie d'aller à la soirée d'Halloween, bien trop de tête qu'il n'avait pas envie de croiser, deux bien évidemment pas plus, mais c'était suffisant, voir la sale face de rat de Poufsouffle sourire, surement pas. Et encore, comparer @Michel-Ange Grimm avec un rat était une insulte pour les rats.
Léo était couché sur son lit, torse nu, les bras sur son torse attendant que son meilleur ami revienne de la soirée pour lui raconter ce qu'il avait bien pu s'y passer lorsqu'une note bien intéressante lui parvint.
Passer une bonne soirée avec Théa ? Hum bien intéressant, plus que de rester là tout seul. Léo regarda l'heure et sourit, que les hostilités commencent. Le serpentard mis un sweat à capuche avec rien en dessous et sorti avec son bas de jogging qui descendait jusqu'en bas de ses abdos, de toute façon, il espérait bien ne pas rester longtemps vêtu.
Il sorti donc rapidement du dortoir des verts, les dortoirs des jaunes était au même étage et personne ne serait encore rentré de la soirée, du moins, il espérait. Il regarda devant lui et vit une chaussure dégringoler, il sourit avant de la ramasser et d'arriver à hauteur de la belle assise par terre. «Laisse moi le plaisir de te déshabiller moi même tu veux ?» Dit il en riant avant de lui tendre la main pour l'aider à se lever alors qu'elle souriait en le voyant arriver.
Il savait très bien les raisons qui avaient poussé Théa à lui écrire ce soir et ça ne le dérangeait guerre d'assouvir ses désirs. Depuis qu'il avait eu repoussé Alycia il avait simplement été embrassé par Lyvan et dégusté le corps de la Poufsouffle une fois, autant dire que c'était bien léger aux yeux du Serpentard qui n'en était normalement pas à son coup d'essais.
Léonard aida Théa à se relever et l'attira vers lui avant de déposer un baiser dans son coup en l'attirant vers lui. «Cette tenue... Hum... Elle me plait beaucoup.» Léonard était étonné qu'@Alister Dunn n'ai pas profité de cette occasion en or pour faire de Théa bien plus qu'une diablesse mais il était tout de même ravie qu'il ai raté cette occasion qui ferait surement son bonheur personnel.
T'as besoin d'un coup de main ? Ou plus si besoin, appelle moi !
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Thea & Léonard - 1er novembre après minuit
TW : sexe
Mon sourire se fit beaucoup plus grand au moment où il fit vraiment son apparition devant ma personne, tenant dans sa main ma paire de talon. Je le regarde en haussant un sourcil alors qu’il me lance une tirade. Je ris légèrement de la situation alors que j’attrape délicatement sa main tendu pour m’aider à me relever à moins que je ne tire trop fort et qu’il ne plie le genou au sol ? Impossible, il est beaucoup plus musclé que moi et il possède beaucoup plus de force également. J’ai déjà pu le constater. Ce n’est pas de la petite gonflette à deux mornilles qu’il emporte avec lui.
Il tira d’un coup sec quand ma main se mêla à la sienne et je termine dans ses bras, mon nez coincé contre son torse obstrué par un bout de tissu bien trop encombrant si vous voulez mon avis. « Pour sur que tu vas m’aider, c’est un laçage de corset dans mon dos, je ne peux pas l’enlever seule. Mais si tu tire maintenant, la robe va se dérober entièrement et je n’ai pas envie de faire un défilé de lingerie dans les couloirs de Poudlard. » lui soufflais-je doucement à son oreille. Je me recule doucement de lui avant de poser doucement mes lèvres contre les siennes, en toute légèreté. La dernière fois, nous avions été un peu trop abrupt dans nos rapport, un peu trop mouvementé, de rage, alors ce soir j’avais envie d’un peu de tendresse, plus de douceur, de faire en sorte que ce moment dure un petit moment.
« Et tu n’as pas encore vu ce qu’il y a en dessous. » dis-je taquine avant de glisser mes mains sous son pull. « Tu permets, je me réchauffe un peu les mains, elles sont gelées. » Et pour cause, il venait certainement d’avoir un frisson, mais elles étaient vraiment gelées, je n’arrivais pas à les réchauffer depuis mon retour dans l’enceinte de l’université. « Intéressant, le fait de ne pas porter de haut, il n’y rien sous le dessous de la ceinture non plus ? » lâchais-je avec un petit sourire aguicheur avant de tirer doucement sur l’élastique du jogging avant de le relâcher. Enlevant mes mains de sous son sweat, j’attrape l’une de ses mains avec la mienne avant de donner le mot de passe pour entrer. « Alors que faisais-tu de beau avant que je ne te kidnappe pour la nuit ? » demandais-je curieusement tant en marchant en direction de mon dortoir qui était vide, il faut dire que ma colocataire n’était pas vraiment là en ce moment. Mais je comptais bien le garder jusqu’au petit matin le serpentard et de manière éveillé.
Mon sourire se fit beaucoup plus grand au moment où il fit vraiment son apparition devant ma personne, tenant dans sa main ma paire de talon. Je le regarde en haussant un sourcil alors qu’il me lance une tirade. Je ris légèrement de la situation alors que j’attrape délicatement sa main tendu pour m’aider à me relever à moins que je ne tire trop fort et qu’il ne plie le genou au sol ? Impossible, il est beaucoup plus musclé que moi et il possède beaucoup plus de force également. J’ai déjà pu le constater. Ce n’est pas de la petite gonflette à deux mornilles qu’il emporte avec lui.
Il tira d’un coup sec quand ma main se mêla à la sienne et je termine dans ses bras, mon nez coincé contre son torse obstrué par un bout de tissu bien trop encombrant si vous voulez mon avis. « Pour sur que tu vas m’aider, c’est un laçage de corset dans mon dos, je ne peux pas l’enlever seule. Mais si tu tire maintenant, la robe va se dérober entièrement et je n’ai pas envie de faire un défilé de lingerie dans les couloirs de Poudlard. » lui soufflais-je doucement à son oreille. Je me recule doucement de lui avant de poser doucement mes lèvres contre les siennes, en toute légèreté. La dernière fois, nous avions été un peu trop abrupt dans nos rapport, un peu trop mouvementé, de rage, alors ce soir j’avais envie d’un peu de tendresse, plus de douceur, de faire en sorte que ce moment dure un petit moment.
« Et tu n’as pas encore vu ce qu’il y a en dessous. » dis-je taquine avant de glisser mes mains sous son pull. « Tu permets, je me réchauffe un peu les mains, elles sont gelées. » Et pour cause, il venait certainement d’avoir un frisson, mais elles étaient vraiment gelées, je n’arrivais pas à les réchauffer depuis mon retour dans l’enceinte de l’université. « Intéressant, le fait de ne pas porter de haut, il n’y rien sous le dessous de la ceinture non plus ? » lâchais-je avec un petit sourire aguicheur avant de tirer doucement sur l’élastique du jogging avant de le relâcher. Enlevant mes mains de sous son sweat, j’attrape l’une de ses mains avec la mienne avant de donner le mot de passe pour entrer. « Alors que faisais-tu de beau avant que je ne te kidnappe pour la nuit ? » demandais-je curieusement tant en marchant en direction de mon dortoir qui était vide, il faut dire que ma colocataire n’était pas vraiment là en ce moment. Mais je comptais bien le garder jusqu’au petit matin le serpentard et de manière éveillé.
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A votre bonheur ma chère @Théa Rosewell
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C'est avec une paire de chaussures en main qu'il fit son aparission auprès de la belle. Une fois la main de Théa dans la sienne, il l'aida à se relever pour l'attirer vers lui, humant son parfum si sexy pour cette soirée. Il était ravie qu'Allister ai raté ça, au moins il pourrait lui goûter à ce plaisir.
Léo arqua un sourcil, un laçage de corset, il allait donc falloir prendre son temps, elle voulait le faire mariner ? Hum, la patience n'était pas un de ses atouts. «Moi par contre, je veux bien un défilé de lingerie personnalisé !» Dit il en se mordant la lèvre inférieure avant qu'elle vienne enfin les goûter. Ce baiser était tendre, doux, lui donnant chaud en douceur.
Son sourire s'élargit lorsqu'elle lui dit qu'il n'avait pas encore vu ce qu'il y avait dessous, il arqua son sourcil gauche sans même s'en rendre compte avant d'ouvrir la bouche et qu'un son rauque sorte de sa bouche. «Woh putin...» Dit il en reculant, les abdos contractés, des frissons parcourant son corps. Souriant d'un air arogant, il vint alors lui murmurer. «Tu aimerais bien savoir hein ?» En effet, son jogging étant son pyjama, il n'avait rien mis dessous. Il sentit l'air passer lorsqu'elle tira sur l'élastique de son jogging gris avec un petit sourire. Il était prêt à lui demander s'ils allaient rester camper là lorsqu'elle prit enfin l'initiative de l'attraper par la main pour rentrer. «J'ai bouquiné un livre de moto mais je dois avouer que ta proposition était bien plus intéressante que d'arrêter pour aller me coucher !» Léonard était un passionné de moto, les motos moldues surtout, il adorait en démonter, les remonter, la vitesse, les conduire, il trouvait ça passionnant.
Il fallait bien avouer une chose c'est que Théa avait été le remède contre Alycia. Physiquement parlant bien sûr. Il savait très bien que ça n'irait pas plus loin, Théa étant en pseudo couple avec le cousin d'Apolline, bien que cette histoire d'union libre n'aurait pas été quelque chose qui pourrait lui convenir, lui si jaloux et possessif, impossible. Mais Théa le rappelait pour la seconde fois et il ne se ferait pas prier, son corps lui ayant laissé un goût de revient y la première fois. «Je pensais qu'Alister aurait comblé tous tes désirs ce soir.» Dit il en entrant dans le dortoir éclairé uniquement par la lune.
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Thea & Léonard - 1er novembre après minuit
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Je rie légèrement devant son commentaire avant de lever un sourcil et de sourire narquoisement, cela pourrait se faire concrètement mais à un autre moment. Ce soir je n’avais pas envie de parader des heures durant dans différents dessous de la marque qui portait mon nom de famille. « Je pourrais, mais vu le nombre de dessous que je possède, il faudrait une journée, si ce n’est plus alors une autre fois. » déclarais-je du bout des lèvres après lui avoir tendrement capturé les lèvres.
Je l’ai sentie se reculer d’un coup, mais surtout contracté cette petite tablette de chocolat qui orne gracieusement ce torse imberbe. Je l’avais pourtant prévenu que mes mains était froide, mais entrant en contact avec son corps, évidement qu’il aurait senti la chute de température évidente en un rien de temps. Je rigole en imaginant la suite de la soirée. « Ca promet pour la suite, si tu sursautes chaque fois que je te touche. » Je me demande s’il va crier comme une fille au moment où je vais poser ma main sur saproéminence au niveau de son entre-jambe . Je ne fais que bouger vigoureusement la tête de haut en bas vraiment impatiente de savoir le contenu sous ce jogging.
Je l’avais ensuite tiré par la main vers mon dortoir, nous n’avions croisé personne dans la salle commune et c’était temps mieux, je n’avais pas envie d’expliquer la présence d’un serpentard à une heure aussi avancé de la nuit. « Je ne savais pas que tu t’intéressais aux motos. Dis-moi, je suis curieuse, toi aussi tu ressens le besoin de la comparer aux autres ? Comme votre histoire, de savoir qui a la plus grosse ? » S’il n’était pas stupide, il s’avait que je parlais de ce problème récurant que les garçons ont à discuter de savoir qui possèdela plus grosse verge au monde. Je n’ai jamais compris ce réel besoin de le savoir. La taille ne fait pas tout.
Entrant dans ma chambre, je pousse un peu les affaires de ma colocataire de son côté de chambre, ce qu’elle peut être très bordélique et envahissante quand elle s’y met. J’avais lâché la main de Léo, il était assez grand pour entrer et se poser sur mon lit s’il le voulait. Je n’avais pas envie d’allumer la lumière de la chambre, mais plus la lumière de chevet magique que j’avais près de mon lit, elle donnait des nuances de couleurs variantes au fils des heures, actuellement c’était dans les tons orangés. Je m’empresse aussi de fermer les rideaux et d’attraper ma baguette magique pour lancer un collaporta sur la porte de la chambre. Hors de question d’avoir une visite non désiré. Je savais qu’@Amy Jordan, @Michel-Ange Grimm ou encore la préfète poufsouffle serait assez sans gène pour ouvrir la porte en fracas sans frapper.
Je me tourne vers mon camarade de jeu pour la soirée pour lui reprendre mes talons, il s’était assis sur mon lit pendant que j’étais occupé à faire deux ou trois petites choses. « Je te remercie de les avoir ramassés, j’y tiens et je compte bien les réparer une autre fois. » Mais pour l’heure, j’attrapais mes chaussures par le haut pour les lancer un peu plus loin près ma valise. Je passais ma main dans ses cheveux. « Ca me rassure que tu préfères passer la nuit avec moi que ton lit. » Je m’installe à califourchon sur genoux avant d’aller capturer ses lèvres pour une danse endiablé entre nos langues, tout en gardant ma main dans ses cheveux.
Je rie légèrement devant son commentaire avant de lever un sourcil et de sourire narquoisement, cela pourrait se faire concrètement mais à un autre moment. Ce soir je n’avais pas envie de parader des heures durant dans différents dessous de la marque qui portait mon nom de famille. « Je pourrais, mais vu le nombre de dessous que je possède, il faudrait une journée, si ce n’est plus alors une autre fois. » déclarais-je du bout des lèvres après lui avoir tendrement capturé les lèvres.
Je l’ai sentie se reculer d’un coup, mais surtout contracté cette petite tablette de chocolat qui orne gracieusement ce torse imberbe. Je l’avais pourtant prévenu que mes mains était froide, mais entrant en contact avec son corps, évidement qu’il aurait senti la chute de température évidente en un rien de temps. Je rigole en imaginant la suite de la soirée. « Ca promet pour la suite, si tu sursautes chaque fois que je te touche. » Je me demande s’il va crier comme une fille au moment où je vais poser ma main sur sa
Je l’avais ensuite tiré par la main vers mon dortoir, nous n’avions croisé personne dans la salle commune et c’était temps mieux, je n’avais pas envie d’expliquer la présence d’un serpentard à une heure aussi avancé de la nuit. « Je ne savais pas que tu t’intéressais aux motos. Dis-moi, je suis curieuse, toi aussi tu ressens le besoin de la comparer aux autres ? Comme votre histoire, de savoir qui a la plus grosse ? » S’il n’était pas stupide, il s’avait que je parlais de ce problème récurant que les garçons ont à discuter de savoir qui possède
Entrant dans ma chambre, je pousse un peu les affaires de ma colocataire de son côté de chambre, ce qu’elle peut être très bordélique et envahissante quand elle s’y met. J’avais lâché la main de Léo, il était assez grand pour entrer et se poser sur mon lit s’il le voulait. Je n’avais pas envie d’allumer la lumière de la chambre, mais plus la lumière de chevet magique que j’avais près de mon lit, elle donnait des nuances de couleurs variantes au fils des heures, actuellement c’était dans les tons orangés. Je m’empresse aussi de fermer les rideaux et d’attraper ma baguette magique pour lancer un collaporta sur la porte de la chambre. Hors de question d’avoir une visite non désiré. Je savais qu’@Amy Jordan, @Michel-Ange Grimm ou encore la préfète poufsouffle serait assez sans gène pour ouvrir la porte en fracas sans frapper.
Je me tourne vers mon camarade de jeu pour la soirée pour lui reprendre mes talons, il s’était assis sur mon lit pendant que j’étais occupé à faire deux ou trois petites choses. « Je te remercie de les avoir ramassés, j’y tiens et je compte bien les réparer une autre fois. » Mais pour l’heure, j’attrapais mes chaussures par le haut pour les lancer un peu plus loin près ma valise. Je passais ma main dans ses cheveux. « Ca me rassure que tu préfères passer la nuit avec moi que ton lit. » Je m’installe à califourchon sur genoux avant d’aller capturer ses lèvres pour une danse endiablé entre nos langues, tout en gardant ma main dans ses cheveux.
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Léonard sourit un instant, le nombre de dessous qu'elle possède, il aimait cette idée de l'imaginer porter des petites tenues devant lui. «Il faudrait plus d'une journée car ça me rendrait fou, j'en suis certain !» Dit il en se mordillant la lèvre inférieure. C'était le genre de phrase qui pouvait clairement aguicher Léonard et elle jouait avec le feu. S'il sursautait chaque fois qu'elle le touchait ? Ahah, le sourcil de Léo s'arqua.«Mais j'espère bien que tu ne me toucheras pas qu'avec tes mains vois tu ?!» Dit il avant de dévorer ses lèvres en la rapprochant de lui.
Elle l'avait conduit dans son dortoir, c'était mignon, tout à l'allure de Théa finalement.
Son rire parcouru le dortoir lorsqu'elle lui parla de comparer sa moto à d'autres comme certains le faisaient avec des parties de leurs anatomies.«J'aime la mécanique, comment elles fonctionnent, les démonter, les remonter, le moteur, les couleurs, tout en fait mais non je ne la compare pas aux autres, je prends de certaines pour modifier sur d'autres, la rendre plus attractive, plus vive mais ça reste sur la mienne.» L'imagination de la Poufouffle était débordante et le faisait sourire.«Et puis si tu veux mon avis, si tu ne sais pas t'en servir, aucun intérêt d'avoir une belle, grosse, large ou tout ce que tu veux. Il faut avant tout comme avec les femmes, écouter le moteur !» Dit il avec un petit clin d'oeil avant de s'asseoir sur le lit perpendiculairement à ce dernier, dos au mur. Il souriait en la regardant faire, avec son petit costume de diablesse, elle était véritablement sexy. La voilà rassurée et lui satisfait, elle venait de s'installer à califourchon sur lui dans cette tenue, autant vous dire qu'il n'allait pas vite rester indifférent. Il vint alors positionner ses mains au niveau de ses fesses, la soulevant légèrement pour la rapprocher de lui encore plus si cela était possible alors qu'elle venait lier sa bouche à la sienne jouant avec ses cheveux.
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Thea & Léonard - 1er novembre après minuit
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Je ne lui réponds pas mais je lui lance un regard qui laisse sous-entendre que je ne dis pas non pour tester cette aventure. Il craquerait beaucoup plus rapidement que moi, j’ai l’habitude de faire mon petit défilé de lingerie à Akira, mais c’est normal, je sais que jamais ne se passera avec lui, on a les même préférence en matière d’attirance. Pour sa dernière remarque en revanche, je ne peux m’empêcher d’exploser de rire. « Evidement que je te toucherais avec autre chose que mes mains, mais j’avoue que l’idée de te torturer avec la froideur de mes mains pour te voir frissonner et sursauter à chaque contact me donne cruellement envie. » Le voir crisper ses abdos au fur et à mesure que je laisse glisser mon doigt lentement le long de son torse, je m’en lèche les babines rien que d’y penser.
Une fois bien installée dans la chambre que j’avais fermé à clé, j’avais écouté la réponse de Léo concernant son amour pour les moto, je hochais la tête de temps en temps avant de sourire sournoisement. « Et tu penses que tu le connais mon moteur ? Comment je fonctionne ? » demandais-je alors que je m’étais installé sur lui à califourchon pour lui capturer ses lèvres. Il en avait profité pour glisser ses mains au niveau de mon postérieur, ce qui me fit sourire contre ses lèvres. Je stop le baisé pour reprendre mon souffle mais aussi pour le taquiner un peu. « Serait-on impatient monsieur Grimm ? » Je n’en menais pas large alors que je m’amusais à passer mes mains sous son sweat pour le lui enlever et commencer à parcourir doucement son torse avec mes doigts. Je pouvaissentir sa dureté au niveau de ma cuisse droite ce qui m’excitait d’avantage. « Je t’expliquerais plus tard pourquoi je ne suis pas avec Alister, pour l’heure je veux juste que tu me fasses oublier l’affront qu’il m’a fait. S’il te plait. » murmurais-je doucement en le regardant dans les yeux, alors je dessinais lentement sur son ventre en faisant des petits cercles. « Bon alors, tu me l’enlève cette robe ? Où tu comptes me la laisser toute la nuit ? » soufflais-je curieuse. « Il y a juste à tirer sur la ficelle derrière pour que le laçage s’enlève de lui-même, c’est magique. » allais-je lui susurrer à l’oreille avant de lui mordiller gentiment son lobe.
Je ne lui réponds pas mais je lui lance un regard qui laisse sous-entendre que je ne dis pas non pour tester cette aventure. Il craquerait beaucoup plus rapidement que moi, j’ai l’habitude de faire mon petit défilé de lingerie à Akira, mais c’est normal, je sais que jamais ne se passera avec lui, on a les même préférence en matière d’attirance. Pour sa dernière remarque en revanche, je ne peux m’empêcher d’exploser de rire. « Evidement que je te toucherais avec autre chose que mes mains, mais j’avoue que l’idée de te torturer avec la froideur de mes mains pour te voir frissonner et sursauter à chaque contact me donne cruellement envie. » Le voir crisper ses abdos au fur et à mesure que je laisse glisser mon doigt lentement le long de son torse, je m’en lèche les babines rien que d’y penser.
Une fois bien installée dans la chambre que j’avais fermé à clé, j’avais écouté la réponse de Léo concernant son amour pour les moto, je hochais la tête de temps en temps avant de sourire sournoisement. « Et tu penses que tu le connais mon moteur ? Comment je fonctionne ? » demandais-je alors que je m’étais installé sur lui à califourchon pour lui capturer ses lèvres. Il en avait profité pour glisser ses mains au niveau de mon postérieur, ce qui me fit sourire contre ses lèvres. Je stop le baisé pour reprendre mon souffle mais aussi pour le taquiner un peu. « Serait-on impatient monsieur Grimm ? » Je n’en menais pas large alors que je m’amusais à passer mes mains sous son sweat pour le lui enlever et commencer à parcourir doucement son torse avec mes doigts. Je pouvais
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Il la regardait marcher dans son costume et il n'avait qu'une envie la dévorer mais il n'allait pas faire comme la dernière fois, il allait essayer d'être un peu plus attentif. En même temps, elle l'avait pris dans un moment de tristesse, de désarroi et elle avait été son exutoire. Il sourit avec envie lorsqu'elle lui avoua qu'elle le toucherait avec autre chose. «Alors vient donc me faire envie !» Il se mordilla la lèvre alors qu'elle lui demandait s'il pensait la connaitre, son mode de fonctionnement, comme le moteur de sa moto. Il sourit tendrement avant de répliquer. «C'est comme le moteur, ça s'apprend, ça se travaille, mais si tu demandes, je te ferai ce que tu veux !» Dit il en la rapprochant contre lui.
Serait on impatient ? Hum... Oui ! La patience et lui ça fait douze, il avait envie de passer aux choses sérieuses sans pour autant la brusquer, c'était difficile avec les filles hein, piouf !«Disons que ce n'est pas mon point fort en effet !» Dit il avant de revenir dévorer ses lèvres. Le sweat de Léo ne resta pas longtemps sur son dos et il regarder les doigts de Théa parcourir son torse. Le bout de ses doigts était froid et des frissons se dessinaient sur sa peau. «Ca te fait marrer je vois ?!» Il était finalement content que cet affront soit fait, c'était à son bénéfice et tant pis pour Alister. Il ne savait pas ce qu'il perdait.
Léo sourit pouvant enfin passer aux hostilités. Il passa alors ses doigts sur la ficèle, et en deux temps trois mouvements, il pu retirer la robe de Théa. Hum ce qu'il voyait en dessous était fort intéressant. Il vint alors capturer ses lèvres avant de la soulever un peu afin de pouvoir venir la déposer sur le lit et de se mettre par dessus elle, prenant les choses en main.
T'as besoin d'un coup de main ? Ou plus si besoin, appelle moi !
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Thea & Léonard - 1er novembre après minuit
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Je levais les mains en signe de protestation. Moi, me marrer de l’effet que je pouvais lui donner juste avec le glissement de mes doigts, non jamais, mais alors vraiment pas. « Je ne vois pas de quoi tu veux parler. » dis-je en riant avant de poser ma main directement sur son ventre avec un sourire moqueur sur le visage. Léo en profita pour changer la position et de position assise sur lui, je me retrouvais allongé sous sa personne. Il y avait de forte chance à parier qu’il n’appuyait pas de tous son poids sur moi, sinon je finirais en crêpe.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher un rire et surtout de me tortiller au moment où ses doigts ont frôlé cette zone où je suis particulièrement sensible. J’essayais de me calmer, mais je repartais dans un autre rire quand il revint à la charge comme s’il avait compris. « Stop. » lâchais-je entre deux soubresaut de rire incontrôlable. Je possédais plusieurs petite zone où j’étais très sensible aux touchés, le moindre glissement, frôlement sur ma peau pouvait me donner des sensations de chatouillement. J’attrape sa main avec la mienne en le regardant dans les yeux et je porte sa main a ma bouche pour y déposer doucement un baiser. « Trop sensible. » Le pli de l’aine était l’endroit où j’étais la plus sensible. Il y avait aussi le cou sur le côté et le dernier endroit était juste derrière l’oreille, mais il fallait y aller très délicatement et à la limite avec une plume ou quelques choses de très doux.
J’avais un petit côté dominatrice, mais avec Alister j’avais plutôt tendance à lui laisser les commandes et à suivre le mouvement, cela ne me dérangeait pas particulièrement, il s’avait s’y prendre avec moi. Aujourd’hui en revanche avec Léonard je voulais prendre les choses en main, alors avec mon petit corps de femme et la force que je peux avoir je le retourne pour me mettre au-dessus de lui. M’allongeant sur lui alors que je l’embrassais doucement, j’attrapais d’une de mes mains ma cravate qui se trouvait au pied de mon lit. Je m’assoie sur lui avant de tirer d’un coup sec ma cravate pour qu’elle paraisse droite et avec un sourire en coin je m’adresse à lui. « On va jouer à un petit jeu. » Je me penche lentement pour que mes mains atteignent son visage pour lui bander les yeux avec ma cravate.
Lentement, je commence à faire des baisers papillons sur son torse tout en m’amusant encore avec mes mains froide, je descends continuellement jusqu’à m’arrêter au niveau de la barrière de vêtement, beaucoup trop encombrant, mais cela ne m’empêchera pas d’atteindre mon but.Je passe ma main sous son morceau de tissu pour remarquer qu’il ne porte rien d’autre que son pantalon, je me mords doucement la lèvre inférieur et avec un petit regard malicieux je fais sortir le monstre de la grotte pour commencer un petit jeu amusant que l’on nommera gâterie.
Je levais les mains en signe de protestation. Moi, me marrer de l’effet que je pouvais lui donner juste avec le glissement de mes doigts, non jamais, mais alors vraiment pas. « Je ne vois pas de quoi tu veux parler. » dis-je en riant avant de poser ma main directement sur son ventre avec un sourire moqueur sur le visage. Léo en profita pour changer la position et de position assise sur lui, je me retrouvais allongé sous sa personne. Il y avait de forte chance à parier qu’il n’appuyait pas de tous son poids sur moi, sinon je finirais en crêpe.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher un rire et surtout de me tortiller au moment où ses doigts ont frôlé cette zone où je suis particulièrement sensible. J’essayais de me calmer, mais je repartais dans un autre rire quand il revint à la charge comme s’il avait compris. « Stop. » lâchais-je entre deux soubresaut de rire incontrôlable. Je possédais plusieurs petite zone où j’étais très sensible aux touchés, le moindre glissement, frôlement sur ma peau pouvait me donner des sensations de chatouillement. J’attrape sa main avec la mienne en le regardant dans les yeux et je porte sa main a ma bouche pour y déposer doucement un baiser. « Trop sensible. » Le pli de l’aine était l’endroit où j’étais la plus sensible. Il y avait aussi le cou sur le côté et le dernier endroit était juste derrière l’oreille, mais il fallait y aller très délicatement et à la limite avec une plume ou quelques choses de très doux.
J’avais un petit côté dominatrice, mais avec Alister j’avais plutôt tendance à lui laisser les commandes et à suivre le mouvement, cela ne me dérangeait pas particulièrement, il s’avait s’y prendre avec moi. Aujourd’hui en revanche avec Léonard je voulais prendre les choses en main, alors avec mon petit corps de femme et la force que je peux avoir je le retourne pour me mettre au-dessus de lui. M’allongeant sur lui alors que je l’embrassais doucement, j’attrapais d’une de mes mains ma cravate qui se trouvait au pied de mon lit. Je m’assoie sur lui avant de tirer d’un coup sec ma cravate pour qu’elle paraisse droite et avec un sourire en coin je m’adresse à lui. « On va jouer à un petit jeu. » Je me penche lentement pour que mes mains atteignent son visage pour lui bander les yeux avec ma cravate.
Lentement, je commence à faire des baisers papillons sur son torse tout en m’amusant encore avec mes mains froide, je descends continuellement jusqu’à m’arrêter au niveau de la barrière de vêtement, beaucoup trop encombrant, mais cela ne m’empêchera pas d’atteindre mon but.
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A votre bonheur ma chère @Théa Rosewell
TW : sexe
Son sourire s'élargit lorsqu'elle fit mine d'être innocente. La blague, personne n'y croirait en plus elle continuait de jouer, c'était finit, il allait passer aux choses sérieuses. La soulevant comme un poids plume, il la reposa délicatement sur le lit en profitant pour embrasser et caresser certaines parties de son corps. si délicieux en cet instant.
Léonard sourit en la voyant se tortiller et insista pour la faire céder le sourire aux lèvres jusqu'à ce qu'elle le stop. «Oh pardon, j'ai pas fait exprès !» Dit il l'air faussement désolé avant de venir une nouvelle fois dévorer ses lèvres avant qu'elle ne vienne déposer des baisers sur les doigts du serpent.
Elle voulait prendre le dessus, il aimait bien ça, c'était pas forcément courant chez les filles qu'il avait côtoyé et c'était excitant il fallait bien l'avouer.
Jouer à un jeu ? Quelle bonne idée, le Grimm sourit, un sourcil arqué, il regarda sa cravate attendant la sentence. Il ne fallut pas trop attendre alors que le peu de clarté de la pièce se dissipa sous la cravate.
Il se laissa aller à aux baisers qu'elle déposait sur son torse, se crispant sous ses mains fraiches. Elle jouait en effet la chipie.
Quelques petits grognements rauques s'échappèrent des lèvres du Grimm. Il était clair qu'elle n'en était pas à son coup d'essai et il aimait bien ça. Cependant la voir aurait été encore plus appréciable mais au moins là, il ne pouvait pas prédire ses actions et c'était encore plus agréable.
Après le temps qu'il estimait à plusieurs minutes, finit de jouer, chacun son tour. Léo attrapa la Poufsouffle pour la faire remonter alors qu'il retirait la cravate qui lui bandait les yeux.
D'un coup de main avisée, le haut de Théa sauta pour le plaisir de ses yeux alors qu'il venait parcourir avec ses lèvres la douceur de sa peau. La patience n'étant pas son fort, il la sentait contre lui alors que le jouet avec lequel elle venait de jouer si bien jusqu'à présent était aussi impatient que lui.
Finit de jouer, commençons donc doucement cette danse endiablée.
T'as besoin d'un coup de main ? Ou plus si besoin, appelle moi !
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