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Here come the Sun (Hope)
INFOS
FICHE DE PERSO
Il eut un sourire au moment alors qu'elle lui disait être devenue un prodige tombant en faisant du cheval chez ses grands parents et fut bien heureux de ne pas s'être tenté dans une carrière au Quidditch par la même occasion. Elle semblait avoir un humour certain et loin de vouloir l'enfoncer alors que son genou devait encore se rétablir, il préféra ne rien lui dire et lui rendre son sourire malicieux avant de baisser son visage, relativement gêné d'être comparé à un chevalier servant.
Ne s'étant jamais considéré comme tel mais d'un naturel toujours prévenant, il avait toujours du mal à accepter le moindre compliment sans se sentir à coté de la plaque. Rebondissant néanmoins sur sa question, il observa également les lieux un instant avant de lui répondre.
"Non, certaines fermes peuvent être entièrement automatisée. Les plants peuvent être mis sous terre par quelques sortilèges, pareils pour l'arrosage ou la cueillette comme on peut également s'aider des potions pour éloigner les parasites animaux et végétaux." commença-t-il en se dirigeant vers la jument devant laquelle elle s'était posée. "Mais mon père appréciait beaucoup le caractère d'une exploitation fait maison."
Il observa un instant ces mains caleuses, loin d'être aussi douce que la plupart des sorciers préférant user de leur magie, avec ou sans baguette, pour un rien. Son père lui avait transmis ce savoir, quasi moldu finalement, avant que Glenn ne fasse perdurer cette authenticité dans le monde magique. La magie, il la réservait dans des cas extrême et finalement, souvent lorsqu'il était question de lycan et de protection, pour le reste, il usait de ses mains et de son intellect pour avoir un bon équilibre. Alors que son regard errait sur la jument sous ses yeux, il lui adressa un sourire avant de laisser Hope face à elle.
"Par contre pour les soigner, je préfère aller plus vite et profiter de la magie. Au final, il n'y a que pour eux que je l'utilise majoritairement."
Pour les créatures non magique ou magique, comme sa famille. Le regard un peu vague, il s'éloigna légèrement avant de venir enfourcher une botte de paille dans le box d'à coté. Il lâcha un sourire alors qu'elle lui avouait vouloir rester ici.
"Je peux vous offrir le poste de palefrenier mais je pense pas que c'est la vie que vous souhaitez avoir de nouveau, non?" Il n'émettait pas de jugement sur les chaussures ni les vêtements qu'elle portait, comprenant qu'elle se destinait à un autre style de vie, bien qu'elle venait d'Amérique. "Eclair" ajouta-t-il en montrant la jument du menton. "Pas pour le balai malheureusement, une de mes nièces adore les éclairs au chocolat."
Le lycan regarda la jeune femme passer ses bras autour de l'encolure d'Eclair et mit ses mains dans ses poches avant de s'adosser.
"Si vous voulez la sortir de son box, allez-y. Elle n'ira pas bien loin, malgré son prénom, elle est terriblement fainéante et préfère faire du sur place." railla-t-il en s'attirant presque le regard noir de la jument en lâchant un nouveau sourire. "Besoin d'aide pour monter petite inconnue?"
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FICHE DE PERSO
Alors que je caressais la jument, j’écoutais la philosophie que Glenn transmettait. Le regard un peu perdu dans le vague, je souriais. Aussi bien aux propos de Glenn, qu’aux beaux yeux de la jument du nom d’Eclair. Passant ma main entre ses yeux, je lui murmurais des paroles gentilles et réconfortantes.
« C’était un homme sage alors ! Mon grand-père disait pareil. Qu’on avait beau avoir toute la technologie du monde, la terre ce dont elle a besoin c’est de temps, de patience et de soins délicats. »
Je caressais l’arrière de l’oreille de la jument et je lui remettais un peu sa crinière en place. Comme chez moi d’ailleurs, je trouvais une brosse fine pour enlever surtout la poussière et masser les muscles de l’animal. Relevant la tête vers Glenn, je lui accordais mon plus beau sourire et rougissait légèrement.
« Si je n’avais pas eu mon affaire à faire tourner, j’aurai accepté volontiers ! »
Il n’y avait aucun sous métiers, en encore moins celui de palefreniers. Etre à l’écoute était une de mes plus grandes qualités, y compris chez les bêtes. C’était d’ailleurs pour cela que j’avais repris un bar. Beaucoup d’âmes en peine venaient se confier. Parler. Etre entendu…
« Vous pensez que je suis quelqu’un de monde urbain ? Hm ? Une princesse qui a toujours tout eu ? »
D’un regard brûlant et malicieux, je laissais quand même une pointe d’ironie marquée dans ma voix, faisant signe que je plaisantais et que je me doutais qu’il ne pensait pas de moi. Quoi que… C’était quand même fortement sous-entendu. Tout en boitant un peu et en m’appuyant sur Eclair en lui demandant d’un air doux de m’accompagner, je la sortie de son box. Avec tendresse, je lui passais un simple licol, et dans un geste extrêmement habile, semblable à une figure complexe de Quidditch, je grimpais sur Eclair pour monter sur elle à crue. Prenant la corde que j’avais passé avec le licol, je m’en servis de rennes. Pour l’instant, je les laissais reposé sur sa crinière. Serrant son flan avec légèreté, je lui fis signe ainsi de sortir un peu au trot se dégourdir les pattes à sa guise, sans la guider. J’assurai juste une présence avec les rennes.
« Merci mais je crois que je vais m’en sortir. »
Avec un sourire espiègle, je fis faire à Eclair le tour de Glenn. Comme dans un jeu, la jument comprit le but de la manœuvre et elle lui lécha furieusement l’arrière de la tête dans un geste malicieux et affectif. Je me mis à éclater de rire.
« Vous en prenez soin ! Elle comprend exactement ce que je veux ! »
C’est alors qu’Eclair essaya de poser ses lèvres sur Glenn. Je tirai les rennes avec un peu plus de force pour l’empêcher de faire ça.
« Pas tout à fait ! » dis-je totalement rouge écarlate.
« C’était un homme sage alors ! Mon grand-père disait pareil. Qu’on avait beau avoir toute la technologie du monde, la terre ce dont elle a besoin c’est de temps, de patience et de soins délicats. »
Je caressais l’arrière de l’oreille de la jument et je lui remettais un peu sa crinière en place. Comme chez moi d’ailleurs, je trouvais une brosse fine pour enlever surtout la poussière et masser les muscles de l’animal. Relevant la tête vers Glenn, je lui accordais mon plus beau sourire et rougissait légèrement.
« Si je n’avais pas eu mon affaire à faire tourner, j’aurai accepté volontiers ! »
Il n’y avait aucun sous métiers, en encore moins celui de palefreniers. Etre à l’écoute était une de mes plus grandes qualités, y compris chez les bêtes. C’était d’ailleurs pour cela que j’avais repris un bar. Beaucoup d’âmes en peine venaient se confier. Parler. Etre entendu…
« Vous pensez que je suis quelqu’un de monde urbain ? Hm ? Une princesse qui a toujours tout eu ? »
D’un regard brûlant et malicieux, je laissais quand même une pointe d’ironie marquée dans ma voix, faisant signe que je plaisantais et que je me doutais qu’il ne pensait pas de moi. Quoi que… C’était quand même fortement sous-entendu. Tout en boitant un peu et en m’appuyant sur Eclair en lui demandant d’un air doux de m’accompagner, je la sortie de son box. Avec tendresse, je lui passais un simple licol, et dans un geste extrêmement habile, semblable à une figure complexe de Quidditch, je grimpais sur Eclair pour monter sur elle à crue. Prenant la corde que j’avais passé avec le licol, je m’en servis de rennes. Pour l’instant, je les laissais reposé sur sa crinière. Serrant son flan avec légèreté, je lui fis signe ainsi de sortir un peu au trot se dégourdir les pattes à sa guise, sans la guider. J’assurai juste une présence avec les rennes.
« Merci mais je crois que je vais m’en sortir. »
Avec un sourire espiègle, je fis faire à Eclair le tour de Glenn. Comme dans un jeu, la jument comprit le but de la manœuvre et elle lui lécha furieusement l’arrière de la tête dans un geste malicieux et affectif. Je me mis à éclater de rire.
« Vous en prenez soin ! Elle comprend exactement ce que je veux ! »
C’est alors qu’Eclair essaya de poser ses lèvres sur Glenn. Je tirai les rennes avec un peu plus de force pour l’empêcher de faire ça.
« Pas tout à fait ! » dis-je totalement rouge écarlate.
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FICHE DE PERSO
Il l'observa un moment alors qu'elle commençait à s'occuper d'Eclair avec un naturel certain, bien loin de ce qu'une citadine pouvait être en compagnie des équidés. Entre l'idéologie de son grand père qui rivalisait avec le père de Glenn, il se demanda un instant pourquoi elle avait quitté les champs pour s'installer dans les airs.
"Je ne vous juges pas, vous me semblez à l'aise dans vos baskets." il leva les mains en signe de paix, loin de vouloir se prendre un coup de sabot par sa propre jument qu'elle venait de monter sans selle. Pendant un instant, il se demanda s'il ne devait pas lui indiquer où elles étaient afin qu'elle ne puisse pas se faire mal mais la jument semblait presque plus à l'aise ainsi et alors qu'elle se pavanait dessus, il se prit les lèvres d'Eclair sur les siennes. Ecarquillant les yeux avant de vivement reculer, il s'essuya la bouche avec ses manches sous le regard courroucé de la jument qui sembla bouder alors que Hope rougissait à vue d'œil. Rassurant Eclair d'une caresser sur son encolure, Glenn vint tirer sur les rennes de manière plus ferme, passant furtivement ses mains par dessus celle de la jeune femme pour lui montrer la bonne manière de manier la jument qui n'avait pas l'habitude d'avoir un gabarit si fin sur le dos.
"Allez, je vais un peu vous juger, je dirais que vous avez perdu la main. Et j'ai dis main, pas bouche."
Il eut un sourire plus taquin, avant de glisser ses doigts sur la lanière, guidant ainsi la jument à travers l'allée central plutôt que de la faire tourner en rond autour de lui.
"Par contre elle est aussi du genre à aller dans la boue." continua-t-il sur sa lancée
Il commença à ouvrir les fenêtres du box de la jument au passage, profitant du fait qu'elle se dégourdisse les sabots avec Hope.
"Je dois comprendre que vous êtes passé de la ferme de votre grand-père au Quidditch et que vous avez à présent une affaire à faire tourner?" il plissa légèrement les yeux, cherchant à comprendre le chemin qu'elle avait quitté pour vouloir se poser dans les environs après un long voyage depuis l'Amérique.
"Vous avez trouvé ce que vous cherchez?"
Il se ravisa aussitôt en entendant la voix de sa sœur surgir dans sa tête, comme un violent rappel de ses indélicatesses. Détournant légèrement son regard en caressant Eclair qui était bien plus calme après avoir eu son baiser du matin, il tenta de ne pas mettre la jeune femme mal à l'aise malgré un choix de mot peu judicieux.
"J'essai de comprendre si ça vous plait d'être ici. Vous me semblez avoir fait du chemin en quittant à chaque fois quelque chose qui vous tenez à cœur. Vous vous en sortez vraiment?"
Elle qui semblait avoir plusieurs cordes à son arc, il devait bien avouer qu'elle l'intriguait pour une femme qui n'avait pas eu l'habitude d'évoluer dans un monde uniquement peuplé de sorciers.
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Quand les mains de Glenn, caleuses mais étonnamment douce effleurèrent les miennes, je perdis tout trait espiègle de mon regard et toute envie de lui faire une blague. Mes joues s’empourprèrent et je me contentais de hocher la tête comme une gamine quand il m’expliqua comment tenir convenablement les rennes. Ca faisait longtemps et j’avais perdu l’habitude. Au lieu de fanfaronner j’aurai mieux fait de la fermer. Tout en me dirigeant vers la sortie, je fis une horrible grimace quand Glenn me demanda si j’avais trouvé ce que je cherchais…
« Je n’en sais trop rien encore. Tout ce que je sais, c’est que j’ai trouvé une famille. Et je crois que c’est le plus important. Famille, ça signifie que personne ne doit être oublié. »
J’hauchais la tête cette fois-ci de manière ferme, me rappelant la mantra que ma mère ne cessait de me répéter. Nous n’étions que deux à l’époque, mais nous étions assez soudées pour être une famille. Famille que j’avais perdu, avant de retrouver Aurore et Gabriel. Je serrai mes rennes. Cela faisait moins de six mois que je les connaissais, et je les aimais comme si nous nous étions connu depuis la naissance…
« Et d’où vous viens cette indélicatesse naturelle ? » demandais-je brusquement.
J’avais récupéré du poil de la bête. L’épisode des mains de Glenn étaient passés, et une image mentale du regard farouche d’Aurore m’avait donné du courage pour rendre Glenn mal à l’aise. Ce goujat n’avait pas beaucoup de manière, et ce n’était pas parce qu’on était beau comme un coeur et charmant comme un prince qu’on pouvait se permettre d’être aussi indélicat. Règle numéro 1 des Standford ! Il fallait que je le note pour l’apprendre à Aurore afin qu’elle grandisse avec ce modèle à l’esprit.
« On survit tous dans ce monde de brute, non, si on y réfléchit ? »
J’avais baissé ma garde, et j’avais arrêté de tourmenter ce pauvre Glenn. J’avais dit ça avec un léger sourire en coin, assez charmeur il fallait l’avouer. Je lui avais fait remarquer son indélicatesse, il fallait quand même que je me rattrape s’il je ne voulais pas qu’il me déteste. Pourquoi y attachais-je autant d’importance à vrai dire ?
« Et la réponse est oui, pour assouvir votre curiosité indélicate mon petit. J’ai trouvé une famille, des amis. J’ai repris goût aux choses simples de la vie et j’ai appris à différencier la naturel et l’honnêteté du superficiel. Laisser un peu de côté mon égo pour m’épanouir ! Et j’ai jamais été aussi heureuse ! »
Je tapotais Eclair à l’encolure avec un léger sourire, puis je tournais mon visage vers Glenn pour lui offrir un sourire des plus radieux.
« Et vous, vous cherchez quoi dans la vie ? »
Non mais oh ! La question était pas si facile, et il méritait de la prendre en pleine poire lui aussi en retour. Je me tenais prête. Si jamais il me balançait une phrase bateau de coureur de jupon ou de goujat de la pire espèce d’un air mystérieux, je lui rentrerai dans le lard à la Hope Standford !
« Je n’en sais trop rien encore. Tout ce que je sais, c’est que j’ai trouvé une famille. Et je crois que c’est le plus important. Famille, ça signifie que personne ne doit être oublié. »
J’hauchais la tête cette fois-ci de manière ferme, me rappelant la mantra que ma mère ne cessait de me répéter. Nous n’étions que deux à l’époque, mais nous étions assez soudées pour être une famille. Famille que j’avais perdu, avant de retrouver Aurore et Gabriel. Je serrai mes rennes. Cela faisait moins de six mois que je les connaissais, et je les aimais comme si nous nous étions connu depuis la naissance…
« Et d’où vous viens cette indélicatesse naturelle ? » demandais-je brusquement.
J’avais récupéré du poil de la bête. L’épisode des mains de Glenn étaient passés, et une image mentale du regard farouche d’Aurore m’avait donné du courage pour rendre Glenn mal à l’aise. Ce goujat n’avait pas beaucoup de manière, et ce n’était pas parce qu’on était beau comme un coeur et charmant comme un prince qu’on pouvait se permettre d’être aussi indélicat. Règle numéro 1 des Standford ! Il fallait que je le note pour l’apprendre à Aurore afin qu’elle grandisse avec ce modèle à l’esprit.
« On survit tous dans ce monde de brute, non, si on y réfléchit ? »
J’avais baissé ma garde, et j’avais arrêté de tourmenter ce pauvre Glenn. J’avais dit ça avec un léger sourire en coin, assez charmeur il fallait l’avouer. Je lui avais fait remarquer son indélicatesse, il fallait quand même que je me rattrape s’il je ne voulais pas qu’il me déteste. Pourquoi y attachais-je autant d’importance à vrai dire ?
« Et la réponse est oui, pour assouvir votre curiosité indélicate mon petit. J’ai trouvé une famille, des amis. J’ai repris goût aux choses simples de la vie et j’ai appris à différencier la naturel et l’honnêteté du superficiel. Laisser un peu de côté mon égo pour m’épanouir ! Et j’ai jamais été aussi heureuse ! »
Je tapotais Eclair à l’encolure avec un léger sourire, puis je tournais mon visage vers Glenn pour lui offrir un sourire des plus radieux.
« Et vous, vous cherchez quoi dans la vie ? »
Non mais oh ! La question était pas si facile, et il méritait de la prendre en pleine poire lui aussi en retour. Je me tenais prête. Si jamais il me balançait une phrase bateau de coureur de jupon ou de goujat de la pire espèce d’un air mystérieux, je lui rentrerai dans le lard à la Hope Standford !
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FICHE DE PERSO
Il cligna plusieurs fois des yeux au moment où elle souligna avec malice son indélicatesse, le naturel rustre de Glenn revenant bien trop vite au pas de course à peine tentait-il d'être moins rentre dedans. Il avait été élevé dans la franchise et un parlé qui ne laissait place à aucun doute, une signature des Yards qu'il tenait fièrement a travers les générations mais qui pouvait causé du tord s'il n'y faisait pas attention comme avec Hope. Mais au final, elle sembla même s'en amuser au lieu de clairement se vexer et Glenn passa sa main dans ces cheveux, presque gênée de ne pas savoir sur quel pied danser. Lui en voulait-elle ou pas du tout? Sous son sourire angélique, il n'arrivait nullement à décrypter sa façon d'être alors qu'il était un fin observateur.
"C'est naturel, comme vous venez si bien de le dire."
Il lui rendit son sourire aux airs mutins, presque fier malgré lui. @Aena Nightingale lui aurait mis une tape sur la tête si elle l'entendait dire pareille bêtise. Et bien que Hope tenta de noyer sa question dans un premier temps, il ne fut pas surprit de l'entendre dire qu'elle était venue pour quitter un univers toxique et se retrouver auprès d'une famille et d'amis qui lui ressemblaient bien plus.
Resplendissante de bonheur, Glenn ne pouvait à cet instant la louper l'air serein qu'elle arborait, lui faisant comprendre au delà même des mots que Hope était tout simplement plus épanouie dans cette nouvelle vie.
"Ça se voit."
Pourquoi manquait-il d'autant de conversation soudainement ? Il semblait pourtant évident qu'il comprenait qu'il avait probablement dépassé une certaine limite avec la jeune femme, le poussant ainsi à ne pas s'aventurer plus loin dans sa curiosité. Cependant au moment où elle lui rendit la pareille, Glenn ne put s'empêcher de la faire tourner en bourrique.
"De la pluie, du terreau et des carottes à tendre pour attirer les petite inconnues."
Il s'éloigna légèrement pour ne pas se prendre quoi que ce soit de la part de la jeune femme qui pourrait croire qu'il la prennait pour un âne et commença à marcher doucement vers l'extérieur de l'écurie, emportant les rennes de Ciel pour l'inviter à le suivre, Hope toujours sur le dos de la jument.
"Et c'est en cherchant votre famille que vous êtes tombés de balai?" taquina-t-il alors qu'il l'emmenait doucement vers le sentier, faisant presque le chemin du retour vers les serres à la recherche de son dit balai. "Vous savez, il y a des moyens plus sur de traverser un champs.. vous auriez pu demander à votre frère de vous y conduire."
Pour quelle raison avait-elle décidé de survoler des villages entiers sans avertir son frère d'ailleurs ? Avant même de pouvoir emmètre la moindre supposition, Glenn vit à quelques mètres d'eux un morceau de bois sortant bien de l'ordinaire sur ses champs. Quittant Hope le temps de lui récupérer l'objet qu'elle avait recherché au moment même où elle s'était écorché le pied, il le lui tendit tel un chevalier servant sans le vouloir.
"Disons que je cherche à rendre ma famille heureuse, un peu plus chaque jour. Même si ça m'oblige à être sympa avec des cavalières estropiées. " Lâchant un sourire, il préféra se rectifier "On a tous sa propre définition du bonheur. Je ne cherche rien, j'attends que ça me tombe dessus."
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J’aurai pu guider la jument toute seule. Mais je regardais la nuque de Glenn d’un air un peu rêveur. J’aimais bien ce garçon, malgré ces attitudes rustres, on sentait que c’était une très belle personne. Et surtout, qui en avait encore plus à cacher. C’est ça, qui m’attirait. La curiosité du personnage. Ca et son regard bien évidemment, car quand il se retourna pour me raconter ses salades sur le terreau et les carottes pour attirer les filles, je devins à nouveau rougeâtre.
« Vous êtes le clown du village, avouez... »
Je plissais des yeux en disant cela de manière sarcastique. Je n’aimais pas que l’on se moque de moi. Et là, c’était clairement le type de réponse qui ne me plaisait pas ! Non seulement ça n’étanchait pas ma soif de curiosité, mais en plus ça ne m’aider pas à me sentir moins troublé. Ca lui donnait du charme, à cette andouille. Je relevais le nez.
« Je suis tombé de balai, parce que j’ai vu un bel homme, dans un style baroudeur et classe à la fois, beau comme un coeur, traverser son champs et ramasser de la terre pour la sentir et savoir si la récolte sera bonne comme dans une pub moldue pour du parfum. »
J’avais dit ça toujours le nez levé. A vrai dire, je ne me rappelais même plus pourquoi j’étais tombé de balai. Mon cerveau avait du occulter l’information. Tomber de balai seule… Franchement. J’en avais honte… D’ailleurs ça devait se voir car j’avais enlevé ma mine revêche pour prendre une mine déconfite.
« J’voulais juste voler un peu… Retrouver des sensations… »
J’avais dit ces mots avec un air un peu abattu. J’étais en train de me remettre brusquement en question. Finalement, même si c’était une blague au départ, et qu’il n’avait absolument pas voulu aller sur cette pente glissante, la remarque de Glenn me fit beaucoup de mal. J’inspirai et j’expirai sur le cheval. Puisant dans l’optimisme de la jument pour aller mieux. Et je m’accrochais à l’idée qu’il fallait que je me venge du comportement de Glenn pour aller mieux.
Mais c’est à ce moment précis que ce con trouva mon balai. Alors qu’il s’en allait, je mis ma tête dans la crinière de la jument et j’étouffais un hurlement. Mais pourquoi était-il aussi galant en plus de ça ?!
Quand il revint, j’étais redevenue normale.
« Merci beaucoup. Il n’a pas grand-chose... »
Je le plaçais à côté de moi. J’aurai monté dessus immédiatement le remercier et repartir mais… J’avais envie de garder un peu de temps encore pour Glenn et moi. Au moins pour me venger de ses taquineries.
« Ah, vous voulez dire vous tombez dessus comme on tombe de balai ? »
Je tirai sur les rennes pour arrêter la jument. Mon regard se fit profond et brusquement passionnel pour Glenn. Mais… Je brisais l’enchantement en sursautant légèrement. Je finis par dire.
« Oui, les cavalières estropriées mettrons 5 étoiles à votre établissement sur le Guide du Petit Transplaneur. L’accueil y est charmant, et sans moqueries intempestives ! »
« Vous êtes le clown du village, avouez... »
Je plissais des yeux en disant cela de manière sarcastique. Je n’aimais pas que l’on se moque de moi. Et là, c’était clairement le type de réponse qui ne me plaisait pas ! Non seulement ça n’étanchait pas ma soif de curiosité, mais en plus ça ne m’aider pas à me sentir moins troublé. Ca lui donnait du charme, à cette andouille. Je relevais le nez.
« Je suis tombé de balai, parce que j’ai vu un bel homme, dans un style baroudeur et classe à la fois, beau comme un coeur, traverser son champs et ramasser de la terre pour la sentir et savoir si la récolte sera bonne comme dans une pub moldue pour du parfum. »
J’avais dit ça toujours le nez levé. A vrai dire, je ne me rappelais même plus pourquoi j’étais tombé de balai. Mon cerveau avait du occulter l’information. Tomber de balai seule… Franchement. J’en avais honte… D’ailleurs ça devait se voir car j’avais enlevé ma mine revêche pour prendre une mine déconfite.
« J’voulais juste voler un peu… Retrouver des sensations… »
J’avais dit ces mots avec un air un peu abattu. J’étais en train de me remettre brusquement en question. Finalement, même si c’était une blague au départ, et qu’il n’avait absolument pas voulu aller sur cette pente glissante, la remarque de Glenn me fit beaucoup de mal. J’inspirai et j’expirai sur le cheval. Puisant dans l’optimisme de la jument pour aller mieux. Et je m’accrochais à l’idée qu’il fallait que je me venge du comportement de Glenn pour aller mieux.
Mais c’est à ce moment précis que ce con trouva mon balai. Alors qu’il s’en allait, je mis ma tête dans la crinière de la jument et j’étouffais un hurlement. Mais pourquoi était-il aussi galant en plus de ça ?!
Quand il revint, j’étais redevenue normale.
« Merci beaucoup. Il n’a pas grand-chose... »
Je le plaçais à côté de moi. J’aurai monté dessus immédiatement le remercier et repartir mais… J’avais envie de garder un peu de temps encore pour Glenn et moi. Au moins pour me venger de ses taquineries.
« Ah, vous voulez dire vous tombez dessus comme on tombe de balai ? »
Je tirai sur les rennes pour arrêter la jument. Mon regard se fit profond et brusquement passionnel pour Glenn. Mais… Je brisais l’enchantement en sursautant légèrement. Je finis par dire.
« Oui, les cavalières estropriées mettrons 5 étoiles à votre établissement sur le Guide du Petit Transplaneur. L’accueil y est charmant, et sans moqueries intempestives ! »
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Il préféra se taire quand elle affirma qu'il était véritablement le pitre du village et à vrai dire, en traînant la jeune femme sur la jument ainsi, il aurait également eu l'impression d'en être un, avec des petits grêlons sur la tête. Cependant, sa tirade sur un éventuel coup de coeur au point d'en tombée de son balai lui fit froncer les sourcils, se demandant qui était entrain de humer ses terres comme une truie à la recherche d'une truffe. Mais au moment où il voulu la taquiner davantage, le regard voilé qu'elle lui accorda en avouant vouloir seulement retrouver des sensations perdus lui pinça le coeur.
Il savait qu'il pouvait parfois aller trop loin et c'était à présent bien le cas puisqu'il l'avait presque forcée à admettre des états d'âme qu'on ne confierait même pas à un inconnu. Il s'en voulu de lui avoir fait perdre, même l'espace d'un instant, ce sourire éclatant. Alors qu'elle reprenait son bien, profitant probablement de sa courte absence pour se recomposer, Glenn étira ses lèvres sans oser lui sourire plus franchement que ce qu'il souhaitait.
"Ce n'était pas mon but de vous rappeler le passé." il avait juste eu besoin de savoir la direction qu'elle prenait et si elle était heureuse. Il fronça les sourcils à cette pensée, se demandant pourquoi il avait envie de savoir si c'était le cas ou pas, puisque de toute manière, il avait réussi en quelques secondes à la faire déchanter.
"Et n'oubliez pas les pourboires." continua-t-il alors qu'elle complémentait le service desservi par l'exploitation, bien que sa soeur aurait eu tous les mérites. "Vous savez, ça aurait fait un super nom pour une équipe de Quidditch
." reprit-il avec un peu plus de sérieux, pendant aux jeux paralympiques que les moldus organisaient bien souvent.
Il ne taquinait plus vraiment, ayant compris que le Quidditch lui avait apporté un bien être qu'elle tentait encore de retrouver. Elle avait beau avoir changé de métier, sans qu'il ne sache trop pourquoi et pourtant, elle y était encore très attachée. Assez pour qu'il n'est plus envie qu'elle en soit triste en y pensant. Alors qu'elle arrêtait les pas de la jument, Glenn se tourna légèrement vers elle, sans comprendre pourquoi elle s'etait arrêter. Des rennes d'Eclair, le lycan glissa son regard jusqu'aux pieds de la jeune femme.
"Votre jambe vous fait mal?" demanda-t-il plus avisé
Il se demanda un instant s'il ne devrait pas demander à @"Zarha Jekyll" de passer au domaine pour regarder la blessure de Hope avant de se raviser rapidement. La medicomage était une des rares à connaître leur secret et elle-même ne verrait pas d'un très bon œil qu'une sorcière viennent dans leur domaine sans savoir dans quoi elle mettait les pieds.
"Vous savez quoi, je vous enmène à St Mangouste. Le petit déjeuné n'y sera vraiment pas terrible mais vous y serez mieux soigné."
Était-il entrain de la repousser de son exploitation en saisissant soudainement la première occasion ? Certainement. Le regard qu'elle lui avait lancé l'avait légèrement troublé, tout autant que ce sourire qu'il lui avait fait perdre en un rien de temps. Il vaudrait mieux qu'elle rentre, c'était probablement mieux pour elle ou pour lui, qu'importe.
"Un de mes oncles travaille là bas, nous avons un accès autorisé depuis le commerce à l'entrée, ça vous va?"
Loin de lui l'envie de lui dire que ce dit oncle était le directeur par intérim de st mangouste, il préféra lui même prendre les rennes en main, longeant le flanc de la jument pour la rassurer alors qu'il la guidait vers l'avant de l'exploitation.
"Laissez moi vous y conduire, ça serait la moindre des choses pour l'excellente note que vous nous laissez."
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Alors que la petite balade était en train de se terminer, son regard perçant qui ne manquait pas de me troubler avait vu juste. J’avais besoin de soin. J’avais besoin d’aller à Ste Mangouste, évidemment… Je le savais depuis que j’étais arrivée et j’avais passé mon temps à retarder l’évènement. Avec un léger sourire charmeur désolé, je dis d’une voix quand même fière et humble :
« Je crois qu’en effet, ça serait plus prudent d’y aller. Et… »
Je laissais un petit suspens. Puis quand je fus sûre que mes yeux croisaient bien les siens, je fis un léger sourire en coin et je poursuivis d’une voix espiègle.
« … je suis ravi d’y aller en si bonne compagnie. »
Avec soin, alors que nous revenions vers l’enclos, j’attendis que Glenn soit au niveau du box. Puis, toujours aussi fière, je descendis seule de la monture et je me réceptionnais sur ma jambe valide, prenant soin de ne pas affecter l’autre. Ce temps de pseudo repos avait refroidi cette dernière et je sentais désormais que les soins par des professionnels étaient inévitables.
« Je te remercie pour cette balade… Et ce petit moment. C’était sympa. »
Je me levais sur la pointe du pied de ma jambe valide et je déposais un baiser sur la joue de Glenn, dans un mouvement tellement rapide digne d’une cabriole de Quidditch que même moi, j’en fus légèrement surprise. Les joues rougies, je crois que je n’avais rien à rajouter. La phrase était simple, comme Glenn, comme sa vie. Et elle m’avait beaucoup enseignée aujourd’hui.
Vérifiant que j’avais tout, c’était à dire uniquement mon balais, je lui tendis mon avant-bras pour qu’il m’aide bien évidemment à transplaner. J’étais incapable de le faire moi même sur une jambe.
« Encore un dernier petit service, Monsieur Glenn. Tu transmettras mes remerciements à ta sœur. Elle est super. Et désolé pour la soupe. La prochaine fois, peut être que je pourrai rester jusque là qui sait... »
Et, d’un regard toujours malicieux et d’un sourire toujours aussi espiègle faisant brusquement pensé à Aurore, j’attendis mon prince charmant du jour, pour m’amener aux urgences. C’était peut être le début d’une aventure ? Qui sait.
« Je crois qu’en effet, ça serait plus prudent d’y aller. Et… »
Je laissais un petit suspens. Puis quand je fus sûre que mes yeux croisaient bien les siens, je fis un léger sourire en coin et je poursuivis d’une voix espiègle.
« … je suis ravi d’y aller en si bonne compagnie. »
Avec soin, alors que nous revenions vers l’enclos, j’attendis que Glenn soit au niveau du box. Puis, toujours aussi fière, je descendis seule de la monture et je me réceptionnais sur ma jambe valide, prenant soin de ne pas affecter l’autre. Ce temps de pseudo repos avait refroidi cette dernière et je sentais désormais que les soins par des professionnels étaient inévitables.
« Je te remercie pour cette balade… Et ce petit moment. C’était sympa. »
Je me levais sur la pointe du pied de ma jambe valide et je déposais un baiser sur la joue de Glenn, dans un mouvement tellement rapide digne d’une cabriole de Quidditch que même moi, j’en fus légèrement surprise. Les joues rougies, je crois que je n’avais rien à rajouter. La phrase était simple, comme Glenn, comme sa vie. Et elle m’avait beaucoup enseignée aujourd’hui.
Vérifiant que j’avais tout, c’était à dire uniquement mon balais, je lui tendis mon avant-bras pour qu’il m’aide bien évidemment à transplaner. J’étais incapable de le faire moi même sur une jambe.
« Encore un dernier petit service, Monsieur Glenn. Tu transmettras mes remerciements à ta sœur. Elle est super. Et désolé pour la soupe. La prochaine fois, peut être que je pourrai rester jusque là qui sait... »
Et, d’un regard toujours malicieux et d’un sourire toujours aussi espiègle faisant brusquement pensé à Aurore, j’attendis mon prince charmant du jour, pour m’amener aux urgences. C’était peut être le début d’une aventure ? Qui sait.
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