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FICHE DE PERSO
Pré-Au-Lard, 17h30
Alister savait qu'il avait fait une énorme connerie en abandonnant Thea à Halloween. La Poufsouffle n'avait pas manqué de le lui faire remarquer en l'ignorant royalement durant l'entièreté du mois de novembre. Si il lui avait laissé du temps avant de chercher à lui parler à nouveau, il s'était aussi rendu compte qu'il tenait peut-être plus à elle qu'il ne l'avait admis jusque là. Ce mois passé sans voir Thea pendant qu'elle l'évitait lui avait paru durer une éternité.
Alors, quand elle avait accepté le weekend qu'il lui avait proposé pour s'excuser, il avait fait en sorte que tout soit parfait. Il espérait que son choix de destination plairait à Thea, et surtout qu'elle accepterait d'écouter son histoire jusqu'au bout. Il s'était arrangé avec un des employés de l'entreprise familiale originaire de l'endroit qu'il avait jugé parfait pour obtenir un Portoloin qui les amènerait directement sur place.
Mais pour le moment, il était juste assis sur un banc en regardant les passants profiter du Marché de Noël de Pré-Au-Lard, en espérant que Thea viendrait bel et bien au rendez-vous et ne le laisserait pas en plan. Il était à peu près sur qu'elle en était capable juste pour lui rappeler ce qu'il avait fait à Halloween. Il savait que même si elle venait, elle n'arriverait pas avant une bonne heure, mais il n'arrivait pas à penser à quoi que ce soit d'autre et préférait perdre son temps ici plutôt qu'au château ou quelqu'un aurait pu venir lui demander de faire quelque chose, ce dont il aurait été bien incapable.
Alister eut effectivement besoin de patienter un bon bout de temps, mais finalement, il fut rejoint par la Poufsouffle qu'il voyait pour la première fois depuis un mois. Il ne savait pas vraiment comment ouvrir la discussion. Il n'avait vraiment pas besoin d'un impair de plus.
"Euh... Salut. J'espère que tu as passé une bonne journée."
Il trouvait sa phrase particulièrement stupide, mais rien de mieux ne lui venait en tête.
"On parle une fois qu'on est sur place ? Viens avec moi, j'ai tout préparé."
Il guida Thea vers une des ruelles quasiment abandonnée de Pré-Au-Lard qui ne servait uniquement que pour des commerces dont les réserves donnaientt sur cette ruelle. Personne d'autre n'avait un quelconque intérêt à venir ici, et il n'y avait pas meilleur emplacement pour y mettre le Portoloin qu'il avait emprunté. Posé derrière une vieille caisse en bois que personne n'avait visiblement l'intention de débarrasser trônait fièrement une vielle canette de soda.
"C'est notre Portoloin. Prête ?" Il prit la main de Théa, et posa son autre main autour de la canette. Ils furent aussitôt aspirés dans un tourbillon de couleur pendant quelques secondes avant d'apparaître à l'intérieur d'une maison sur les collines du nord d'Honolulu, devant une grande baie vitrée avec vue sur l'océan à l'horizon.
Banlieue d'Honolulu, Hawaii, 9h00
Alister ouvrit la baie vitrée pour s'installer sur le balcon afin de profiter de la vue sur le soleil qui terminait de se lever sur Honolulu, la baie de Waikiki et le Pacifique en général.
"J'espère qu'Hawaii te plaît comme destination, je doute de pouvoir faire mieux."
Il poursuivit en en venant au fait, il avait organisé ce weekend pour une bonne raison, autant aborder tout de suite le sujet qui fâche.
"J'ai été un idiot. Je suis désolé. Encore une fois, j'aurais jamais du faire ça. J'ai été le dernier des imbéciles. J'imagine que tu m'en veux à mort. Mais... J'ai une histoire à te raconter, ça devrait éclaircir pas mal de choses."
Il comptait clairement être franc avec Thea et lui raconter tout ce qu'il s'était passé depuis la mort d'Ulysse dans les moindres détails. Il n'avait pas demandé au reste des gens impliqués, il se doutait déjà de ce que @Apolline Dunn en aurait pensé, mais tant pis si ça ne lui plaisait pas. Lui n'était pas assez idiot pour laisser son couple tomber en morceaux sans rien tenter pour le sauver.
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FICHE DE PERSO
Thea & Alister - 9-10-11 décembre 2022
La journée à l’IDEM avait passé lentement, comme si le temps ne voulait pas avancé mais reculait surtout, c’était un phénomène dû à mon stress. Comme si je voulais repousser l’échéance du moment fatidique. J’avais été excité à l’idée de passer ce week-end avec lui, il a mis que je lui manquais ce qui avait réchauffer mon cœur pour une raison que je comprenais maintenant après un mois à l’éviter soigneusement. Le soucis était que j’avais peur de ce qu’il allait me dire, j’avais la vague impression que ce qu’il allait me dire mettrait en avant ce que je redoutais au plus profond de mon être. Alors oui, je n’ai pas été focus de la journée sur le travail que je devais faire avec l’un des collègues de Monsieur @Lennox MacGregor, me faisait même réprimander pour le coup. C’était ma deuxième année à l’IDEM et c’est bien la première que l’on me reprochait des choses et que je commettais une erreur dans ce que l’on me demandait de faire. J’ai essayé de me faire petite le reste de la journée.
L’heure du rendez-vous avait été fixé à 17h30, mes bagages étaient préparés depuis la veille, j’étais juste passé à Poudlard pour les récupérer, d’ailleurs je les avais rétrécis pour les mettre plus facilement dans la poche de ma veste d’hiver. Ma baguette, elle se trouvait à mon poignet, bien que j’aimais la mettre par moment dans la poche arrière de mon jean, à ma cheville ou autre. Concernant Snow, mon petit chat blanc, j’avais réussi à faire en sorte qu’il soit bien gardé pour ce week-end. Il était donc en compagnie d’@Amy Jordan et d’Elijah Jr pour quelques jours, heureusement il n’avait pas d’envie de manger le lapin d’Amy quand il le voyait. Une aubaine sinon il aurait fallu trouver une autre personne. Je redressais une dernière fois mon bonnet sur ma tête alors que je me regardais dans la glace, analysant une dernière fois ma tenue. Je portais une robe pull dans les tons rouges avec des collants noirs en laine ainsi que des bottines. Mon écharpe à l’effigie de ma maison trônait autour de mon cou.
Je me trouvais à pré-au-lard juste derrière lui. J’aurais pu reconnaitre cette chevelure entre mille. Je me mords la lèvre, il était temps d’aller affronter l’auteur du boom incessant de mon cœur quand je pense à lui. Je me rapproche doucement et finis par aller m’assoir à côté de lui sans rien dire. « Bonjour. » Je vais pour lui répondre ou du moins répondre à sa question, mais en vrai il ne me laisse pas le temps de formuler une phrase que je me fais tirer dans les ruelles du petit village pour arriver dans une ruelle totalement déserte de monde. Je le regarde doucement attendant la suite, y allions-nous par transplanage ? Si c’était le cas, nous n’allions pas quitter la Grande-Bretagne. Pour finir, je hoche la tête quand il me montre une canette qui sera notre portoloin.
[…] Honolulu
En arrivant sur place, je fais en sorte de rester sur mes pieds et mon regard se porte directement sur la baie vitré qui surplombe l’océan à perte de vue. Clairement ici, il ne faisait pas un froid de canard si on s’attardait sur les rayons de soleils frappant calmement un coin du balcon. Du coin de l’œil, je suivais les mouvements du jeune homme qui m’avait emmené ici. Je porte ma main à mon autre coude et détourne le regard. « Oui c’est joli. » D’ordinaire je parle plus que cela mais je ne savais pas trop quoi lui dire, j’attendais le moment de coup de grâce. Certainement qu’il m’avait trainé ici pour un dernier week-end d’amusement avant de devoir arrêter toutes activités en commun. Alors qu’il me parlait, je remis mes bagages à leur taille et me cherchait une tenue beaucoup plus adéquate à la température extérieur.
J’enlève rapidement mes fringues pour enfiler un short en jean et un débardeur. « Je sais. » annonçais-je alors que je boutonnais mon short. « Je ne suis pas stupide, j’ai bien compris pourquoi tu m’avais laissé en plan. » Je marquais un temps de pause avant de le dire correctement, après tout Micky avait eu raison. « Elle est venu te rappeler que tu étais fiancé, tu sais tu aurais du me le dire plutôt que de m’accompagner à une soirée et me laisser comme une imbécile au milieu de la danse. » J’hésitais à me rapprocher du balcon, il faisait bon dehors mais je ne voulu pas affronter son regard, ni même me trouver à quelques centimètres de sa peau cela serait trop cruel. Il avait eu raison depuis le début, je lui ai martelé qu’Alister n’était pas ainsi, qu’il ne ferait pas cela, puis j’ai compris que c’était plus qu’une attirance parce que monsieur @Michel-Ange Grimm avait encore fourré ses gros sabots dans le plat en y sautant à pied joins et ça faisait mal. « Je n’ai pas l’intention d’être ta maitresse. » terminais-je avant qu’il n’ajoute quelques choses, je me mettais à regarder l’horizon.
L’heure du rendez-vous avait été fixé à 17h30, mes bagages étaient préparés depuis la veille, j’étais juste passé à Poudlard pour les récupérer, d’ailleurs je les avais rétrécis pour les mettre plus facilement dans la poche de ma veste d’hiver. Ma baguette, elle se trouvait à mon poignet, bien que j’aimais la mettre par moment dans la poche arrière de mon jean, à ma cheville ou autre. Concernant Snow, mon petit chat blanc, j’avais réussi à faire en sorte qu’il soit bien gardé pour ce week-end. Il était donc en compagnie d’@Amy Jordan et d’Elijah Jr pour quelques jours, heureusement il n’avait pas d’envie de manger le lapin d’Amy quand il le voyait. Une aubaine sinon il aurait fallu trouver une autre personne. Je redressais une dernière fois mon bonnet sur ma tête alors que je me regardais dans la glace, analysant une dernière fois ma tenue. Je portais une robe pull dans les tons rouges avec des collants noirs en laine ainsi que des bottines. Mon écharpe à l’effigie de ma maison trônait autour de mon cou.
Je me trouvais à pré-au-lard juste derrière lui. J’aurais pu reconnaitre cette chevelure entre mille. Je me mords la lèvre, il était temps d’aller affronter l’auteur du boom incessant de mon cœur quand je pense à lui. Je me rapproche doucement et finis par aller m’assoir à côté de lui sans rien dire. « Bonjour. » Je vais pour lui répondre ou du moins répondre à sa question, mais en vrai il ne me laisse pas le temps de formuler une phrase que je me fais tirer dans les ruelles du petit village pour arriver dans une ruelle totalement déserte de monde. Je le regarde doucement attendant la suite, y allions-nous par transplanage ? Si c’était le cas, nous n’allions pas quitter la Grande-Bretagne. Pour finir, je hoche la tête quand il me montre une canette qui sera notre portoloin.
[…] Honolulu
En arrivant sur place, je fais en sorte de rester sur mes pieds et mon regard se porte directement sur la baie vitré qui surplombe l’océan à perte de vue. Clairement ici, il ne faisait pas un froid de canard si on s’attardait sur les rayons de soleils frappant calmement un coin du balcon. Du coin de l’œil, je suivais les mouvements du jeune homme qui m’avait emmené ici. Je porte ma main à mon autre coude et détourne le regard. « Oui c’est joli. » D’ordinaire je parle plus que cela mais je ne savais pas trop quoi lui dire, j’attendais le moment de coup de grâce. Certainement qu’il m’avait trainé ici pour un dernier week-end d’amusement avant de devoir arrêter toutes activités en commun. Alors qu’il me parlait, je remis mes bagages à leur taille et me cherchait une tenue beaucoup plus adéquate à la température extérieur.
J’enlève rapidement mes fringues pour enfiler un short en jean et un débardeur. « Je sais. » annonçais-je alors que je boutonnais mon short. « Je ne suis pas stupide, j’ai bien compris pourquoi tu m’avais laissé en plan. » Je marquais un temps de pause avant de le dire correctement, après tout Micky avait eu raison. « Elle est venu te rappeler que tu étais fiancé, tu sais tu aurais du me le dire plutôt que de m’accompagner à une soirée et me laisser comme une imbécile au milieu de la danse. » J’hésitais à me rapprocher du balcon, il faisait bon dehors mais je ne voulu pas affronter son regard, ni même me trouver à quelques centimètres de sa peau cela serait trop cruel. Il avait eu raison depuis le début, je lui ai martelé qu’Alister n’était pas ainsi, qu’il ne ferait pas cela, puis j’ai compris que c’était plus qu’une attirance parce que monsieur @Michel-Ange Grimm avait encore fourré ses gros sabots dans le plat en y sautant à pied joins et ça faisait mal. « Je n’ai pas l’intention d’être ta maitresse. » terminais-je avant qu’il n’ajoute quelques choses, je me mettais à regarder l’horizon.
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FICHE DE PERSO
Mais que racontait donc la Poufsouffle ? C'était quoi encore cette histoire ? Si pour la troisième fois en un mois, quelque chose tournait mal en partie à cause de @Michel-Ange Grimm , ça allait mal finir pour lui.
"Attends, attends, c'est quoi cette histoire ? Qui c'est qui t'as mis ça dans la tête ? Fiancé ? Comment je pourrais me fiancer à quelqu'un d'autre sans te le dire ?"
Alister était surpris par la tournure des événements. Pourquoi rien ne se passait jamais comme prévu en ce moment ? Il était prêt à se lancer dans un long monologue pour tout lui expliquer, mais il ne s'attendait clairement à ce qu'elle l'interrompe pour lui dire ça. Ses yeux se perdirent quelques secondes à l'horizon pendant qu'il cherchait ses mots.
"Tu sais très bien que ça n'a rien à voir avec ma famille. Et même si ça avait été le cas, je n'aurais jamais fait ça. Je suis peut-être un idiot, mais clairement pas un lâche. Et puis je tiens beaucoup trop à toi pour qu'on ne soit pas au moins amis si ça avait été le cas. Mais encore une fois, ça ne l'est pas. Ce week-end, c'est purement pour m'excuser. Je n'ai aucune intention cachée."
Pendant ce temps, il avait retiré sa cape aux couleurs de Serdaigle bien trop chaude pour l'étouffante chaleur hawaïenne, révélant un t-shirt à l'effigie d'un groupe de rock moldu. Son regard était maintenant planté dans celui de Thea. Si il était parfaitement honnête, il ne savait pas bien comment allait tourner cette discussion.
"C'est à cause d'Ulysse. On cherchait à savoir qui était son meurtrier avec Apo. Et on l'a trouvé grâce à un rituel qu'on a accompli le soir d'Halloween. C'est pour ça qu'elle est venue me chercher. Même si je l'apprécie beaucoup, elle n'aura jamais le moindre mot à dire sur les personnes que je fréquente. Et puis franchement, c'est la dernière personne vers qui j'irais si j'avais des soucis avec ça. Tu sais comment c'est entre Mich et elle."
Il tenait vraiment à ce que Thea comprenne que sa famille n'avait rien à voir dans le choix de la personne avec qui il choisirait de passer sa vie. Si il prenait des décisions débiles, c'était sa faute et celle de personne d'autre.
"Et avant que tu demandes, j'ai pas voulu t'en parler plutôt sinon tu ne m'aurais jamais laissé y aller.¨Ou encore pire tu aurais voulu venir avec moi. Et c'est hors de question que je te mette en danger avec mes embrouilles foireuses, je tiens bien trop à toi pour ça. Surtout vu ce qu'il s'est passé le week-end dernier, c'est hors de question."
Il était impensable qu'il implique Thea dans la quête de vengeance des Dunn contre @Charles Graham . Alister ne supporterait clairement pas de la voir au milieu d'un champ de bataille comme celui où il s'était retrouvé le weekend dernier. De toute façon, il n'était pas certain qu'avoir Thea et Apolline dans la même équipe soit réellement une bonne idée.
"Je te promets, Thea, que je ne suis pas ici pour te larguer, bien au contraire. Je ne veux pas que notre histoire se termine comme celle d'Apo et Mich. Et même si ça devait arriver, ce que je ne veux vraiment pas, je ne veux pas que ce soit dans les larmes et les regrets, je veux que ce soit en se souvenant des bons moments."
Alister espérait que Thea se rendrait compte qu'elle se faisait des idées. Après le mois qu'il avait passé loin d'elle, il n'était pas sûr de supporter de ne plus la voir.
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Thea & Alister - 9-10-11 décembre 2022
Le soleil tapait fort dehors, il est temps que je trouve la paire de lunette de soleil que je veux mettre sur le nez. J’en avais apporté trois au cas où, puis le temps que je choisisse cela m’évitait de regarder en la direction du jeune homme. Je fouillais dans ma valise, ne sachant plus où je les avais mises. J’avais une paire de lunette dans les montures et les verres étaient noires, une ou les verres étaient dans les tons bleu marine, la dernière paire était une monture rouge avec des verres noires. Je finis par les trouver dans la pochette intérieur là où se trouve quelques-uns de mes maillots de bains.
J’essayais les différentes paires de lunettes sur mon nez devant un miroir alors que j’entendais la voix du garçons qui hante certaines de mes nuits. C’est très simple, il suffit d’avoir un père qui vit encore au 18eme siècle et qui décide pour toi qui tu dois épouser pour poursuivre la prestigieuse ligné des Dunn, ne m’étonnerait pas que Miss Cousine d’Alister (@Apolline Dunn) soit aussi concerné par le sujet. « Micky. » lâchais-je sans vraiment m’en rendre compte. Oui, c'était @Michel-Ange Grimm qui avait été le plus honnête avec moi pour l'instant. « Tu es un sang pur, ton père est dans ce style-là, il n’a fait que me dire l’évidence. » L’évidence même que j’ai voulu refouler au plus profond de mon être, l’enfouir tellement profondément que la vérité blessante n’aurait pas fait de dégâts, mais elle en faisant sans que je ne fasse rien. Il suffisait de s’attarder sur le mois de novembre, pas un seul mot échangé, ni un regard. Bien sûr qu’il a été au petit soin avec sa fiancée et aujourd’hui il voulait m’annoncer qu’il voulait soit mettre un terme à notre histoire de fesse qui n’était plus vraiment cela à mes yeux ou bien me dire qu’il souhaitait continuer de manière discrète pour éviter une esclandre en première page d’un magazine de sorcière. Je n’ai pas besoin d’avoir la réputation d’une maitresse, j’ai déjà la réputation d’être une fille assez facile, bien que c’est absurde, je n’ouvre pas les cuisses pour tout le monde.
Si un peu quand même, je sais très bien que tu ne tourneras pas le dos à ta famille pour une fille, même si c’était la femme de ta vie tu ne le ferais pas, alors autant arrêter les frais avant que je ne devienne invivable sans sa présence, déjà que je suis accro à lui, comme si j’avais fait une cure mais il n’aurait qu’à dire les mots que je replongerais immédiatement. Bon, je lui accorde ce point, ce n’est pas un lâche, mais un triple idiot oui. Je le fusille du regard alors qu’il se lève pour revenir à l’intérieur certainement, je détourne rapidement le regard et enfile la dernière paire de lunette. Ce seront les montures rouges. Idiot, abruti, mollusque, toutes les insultes qui me passaient à travers mes pensées quand je repensais à ce moment d’halloween où je profitais tranquillement de ma danse et soirée avec lui et elle est arrivé et elle a tout gâché. C’est sa faute à elle aussi et la mienne pour être aussi dépendante de lui. « Ami c’est ce que tu veux. » soufflais-je alors que je n’avais pas entendu la totalité de la phrase où clairement omis certains mots. Au moins, cela avait le mérite d’être clair, mais suis-je prête à être son amie ? Non, je ne croie pas, je n’ai pas envie d’être la potiche qui souffre et fait semblait de sourire pendant qu’il bécote une autre fille. J’enlevais les lunettes et me tournait pour sortir peut-être quand mes yeux rencontrèrent les siens. Il faut couper le lien maintenant avant qu’il ne devienne indestructible.
Je le regarde de haut en bas alors qu’il mentionne le prénom de son cousin. Je croise les bras. « Ne rejette pas la faute sur ton cousin, il est mort. » Pas de sa faute au pauvre Ulysse si après sa mort, sa potentiel fiancée termine avec son cousin, elle n’a rien demandé elle non plus, après peut-être qu’elle apprécie l’échange. Au mot meurtrier, je remonte vivement la tête pour le regarder. Je fronce les sourcils au fil de son histoire. « Entre Micky et ta cousine se serait l’amour fou si elle n’avait pas été idiote au point de le larguer alors qu’elle en éprouve encore des sentiments, c’est pratiquement marqué au marqueur sur son front. Il y aurait eu propriété de Michel-Ange sur son postérieur que cela ne m’aurait pas choqué plus que cela. » Je me rapproche de lui, mes lunettes en main, arrivé à sa hauteur, je lui tapote la joue avec ma main libre. « Niquedouille. D’une on ne joue pas avec les morts, de deux je suis assez grande pour prendre soins de moi et de trois que s’est-il passé la week-end dernier ? » terminais-je en croisant les bras et en soutenant son regard, si tu crois que je vais lâcher le morceau aussi rapidement mon lapin, tu te fourre le doigt dans l’œil. On reviendra sur la déclaration émotionnelle de ce que tu veux et de ce que je veux après les explications. « Alors, j’attends que s’est-il passé ? J’ai tous mon temps. »
J’essayais les différentes paires de lunettes sur mon nez devant un miroir alors que j’entendais la voix du garçons qui hante certaines de mes nuits. C’est très simple, il suffit d’avoir un père qui vit encore au 18eme siècle et qui décide pour toi qui tu dois épouser pour poursuivre la prestigieuse ligné des Dunn, ne m’étonnerait pas que Miss Cousine d’Alister (@Apolline Dunn) soit aussi concerné par le sujet. « Micky. » lâchais-je sans vraiment m’en rendre compte. Oui, c'était @Michel-Ange Grimm qui avait été le plus honnête avec moi pour l'instant. « Tu es un sang pur, ton père est dans ce style-là, il n’a fait que me dire l’évidence. » L’évidence même que j’ai voulu refouler au plus profond de mon être, l’enfouir tellement profondément que la vérité blessante n’aurait pas fait de dégâts, mais elle en faisant sans que je ne fasse rien. Il suffisait de s’attarder sur le mois de novembre, pas un seul mot échangé, ni un regard. Bien sûr qu’il a été au petit soin avec sa fiancée et aujourd’hui il voulait m’annoncer qu’il voulait soit mettre un terme à notre histoire de fesse qui n’était plus vraiment cela à mes yeux ou bien me dire qu’il souhaitait continuer de manière discrète pour éviter une esclandre en première page d’un magazine de sorcière. Je n’ai pas besoin d’avoir la réputation d’une maitresse, j’ai déjà la réputation d’être une fille assez facile, bien que c’est absurde, je n’ouvre pas les cuisses pour tout le monde.
Si un peu quand même, je sais très bien que tu ne tourneras pas le dos à ta famille pour une fille, même si c’était la femme de ta vie tu ne le ferais pas, alors autant arrêter les frais avant que je ne devienne invivable sans sa présence, déjà que je suis accro à lui, comme si j’avais fait une cure mais il n’aurait qu’à dire les mots que je replongerais immédiatement. Bon, je lui accorde ce point, ce n’est pas un lâche, mais un triple idiot oui. Je le fusille du regard alors qu’il se lève pour revenir à l’intérieur certainement, je détourne rapidement le regard et enfile la dernière paire de lunette. Ce seront les montures rouges. Idiot, abruti, mollusque, toutes les insultes qui me passaient à travers mes pensées quand je repensais à ce moment d’halloween où je profitais tranquillement de ma danse et soirée avec lui et elle est arrivé et elle a tout gâché. C’est sa faute à elle aussi et la mienne pour être aussi dépendante de lui. « Ami c’est ce que tu veux. » soufflais-je alors que je n’avais pas entendu la totalité de la phrase où clairement omis certains mots. Au moins, cela avait le mérite d’être clair, mais suis-je prête à être son amie ? Non, je ne croie pas, je n’ai pas envie d’être la potiche qui souffre et fait semblait de sourire pendant qu’il bécote une autre fille. J’enlevais les lunettes et me tournait pour sortir peut-être quand mes yeux rencontrèrent les siens. Il faut couper le lien maintenant avant qu’il ne devienne indestructible.
Je le regarde de haut en bas alors qu’il mentionne le prénom de son cousin. Je croise les bras. « Ne rejette pas la faute sur ton cousin, il est mort. » Pas de sa faute au pauvre Ulysse si après sa mort, sa potentiel fiancée termine avec son cousin, elle n’a rien demandé elle non plus, après peut-être qu’elle apprécie l’échange. Au mot meurtrier, je remonte vivement la tête pour le regarder. Je fronce les sourcils au fil de son histoire. « Entre Micky et ta cousine se serait l’amour fou si elle n’avait pas été idiote au point de le larguer alors qu’elle en éprouve encore des sentiments, c’est pratiquement marqué au marqueur sur son front. Il y aurait eu propriété de Michel-Ange sur son postérieur que cela ne m’aurait pas choqué plus que cela. » Je me rapproche de lui, mes lunettes en main, arrivé à sa hauteur, je lui tapote la joue avec ma main libre. « Niquedouille. D’une on ne joue pas avec les morts, de deux je suis assez grande pour prendre soins de moi et de trois que s’est-il passé la week-end dernier ? » terminais-je en croisant les bras et en soutenant son regard, si tu crois que je vais lâcher le morceau aussi rapidement mon lapin, tu te fourre le doigt dans l’œil. On reviendra sur la déclaration émotionnelle de ce que tu veux et de ce que je veux après les explications. « Alors, j’attends que s’est-il passé ? J’ai tous mon temps. »
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FICHE DE PERSO
"Attends, attends ? @Michel-Ange Grimm te donne des conseils sur ta vie de couple et toi tu l'écoutes ? Fais moi penser à avoir une petite discussion avec lui quand on sera de retour à Poudlard, j'ai deux mots à lui dire."
Alister n'en revenait pas. C'était encore cet andouille de Poufsouffle qui foutait le bordel. Il allait falloir qu'ils discutent tous les deux, hors de question qu'il continue à répandre des rumeurs débiles à son sujet dans son dos, peu importe les raisons qui le poussait à faire ça.
"Oui bon, je suis d'accord, on n'aurait pas du jouer avec les morts. La dessus, t'as clairement raison. Je t'avoue qu'à la base, j'ai suivi le mouvement juste pour protéger @Apolline Dunn si ça tournait mal. Et j'ai bien fait..."
Il n'avait clairement pas le droit de parler de ce qui s'était passé le dimanche précédent à n'importe qui, mais il considérait que Thea n'était pas n'importe qui, même si il aurait bien du mal à le justifier si jamais l'information venait à s'ébruiter.
"Ok, je vais te raconter e qu'il s'est passé la semaine dernière. Mais tu dois me promettre un truc avant. Tu ne dois en parler à absolument personne."
Il était trop tard pour faire marche arrière. Alister se demandait comment Thea allait réagir à tout ça. Pour une fois vraiment pas sûr de lui, il entreprit de raconter dans le détail tout ce qu'il s'était passé.
"Ok. Tu vois le Refuge ? Et tu vois le type qui dirige ce truc ? @Charles Graham . Bah ce type est un mage noir. C'est lui qui a tué Ulysse. Et apparemment, il en voulait encore à mon oncle puisqu'il nous a kidnappés dimanche dernier avec Apo... Il a enlevé Mich aussi pour qu'il utilise un artefact crée par les Grimm."
Alister essayait de ne pas trop repenser à ce qu'il s'était passé durant la bataille et se concentrait sur les yeux de Thea pour se concentrer sur autre chose que les détails sordides qui lui revenaient en tête.
"Mich a joué aux héros en invoquant des renforts avec l'artefact, sauf que les seules personnes à qui il a pu penser, c'était Adil, Asel, Yeleen et Sean. Bref, c'est parti en vrille, on s'est affronté avec Charles et son groupe de mages noirs, on a fini par gagner, ils ont été arrêtés. Maintenant, tu sais tout. Promis si tu veux la version longue avec tout les détails glauques, je prendrais le temps de tout te raconter après cette discussion. C'est pour que tu évites ce genre de situation que j'ai pas voulu t'impliquer la dedans. Je sais parfaitement que tu es capable de te débrouiller toute seule mais je crois que si quelque chose t'arrivait par ma faute, je ne pourrais pas me le pardonner."
Devait-il lui dire maintenant ? Il n'avait aucune idée de comment tourner la phrase qui allait suivre. Il avait pourtant imaginer ce moment à de nombreuses reprises depuis que Thea avait accepté son invitation. Après avoir pris quelques secondes de réflexions, son regard alternant entre les yeux de Thea et la mer à l'horizon avant de finalement se lancer.
"Bon. Je crois que je vais devoir me lancer... Si je t'ai amené ici, ce n'est pas du tout pour te larguer ou je ne sais quoi d'autre que Mich aurait pu te dire. Je t'aime, Thea Rosewell. Je me suis rendu compte de beaucoup de choses pendant ce mois mouvementé, et encore plus pendant le week-end dernier, y compris que je veux passer le reste de ma vie avec toi. Je sais qu'à la base, on avait dit "pas de sentiments", mais je crois que la situation a un peu évolué depuis ce jour là. En tout cas, c'est le cas de mon côté, et je ne me voyais pas te mentir la-dessus. Je t'aime."
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Thea & Alister - 9-10-11 décembre 2022
Je me mordais la lèvre inférieur doucement et regardait ailleurs que dans les yeux d’Alister. Visiblement, j’ai encore loupé une occasion de me la fermer. Je n’aurais pas dû lui parler de @Michel-Ange Grimm, ou plutôt lui avouer que c’est mon ami poufsouffle qui s’est amusé à semer le doute en moi et affirmer qu’Alister finirait par rompre avec moi à cause de mon sang, de son sang et de sa famille. « Ne soit pas trop dur avec lui, il voulait seulement me protéger, je sais très bien que ta famille aurait du mal à m’accepter à cause de mon sang. » Il ne fallait pas se leurrer. Bien que je sois une Rosewell, je n’étais pas sang-pur ce qui ne plairait pas du tout au père d’Alister, le jour où il saurait pour nous deux. « Il ne me ferait jamais de mal intentionnellement, tu le sais aussi bien que moi, il est juste un peu maladroit dans ses propos. Puis, il aurait pu avoir raison, tu aurais pu avoir une fiancée, tu le sais aussi bien que moi. Parfois, j’ai l’impression que tu restes avec moi uniquement parce que mon ascendance donnerait de l’urticaire à ton père. » En temps normal, je devrais m’en foutre, mais avec le temps j’ai fini par m’attacher à lui, puis c’est devenu plus, beaucoup plus que ce que j’avais pu imaginer.
Alors après lui avoir tapoter la joue en le traitant gentiment d’idiot, je remettais mes lunettes de soleils sur ma tête y bloquant des mèches bouclés rebelles, attendant tranquillement la réponse à mes questions. « Non tu crois. » ne puis-je m’empêcher de dire lâcher alors qu’il m’annonçait qu’il n’aurait pas du jouer avec sa cousine à réveiller les morts. Je me demande bien ce qu’ils auraient fait si la situation avait été beaucoup plus chaotique à savoir que si ce n’était pas des fantômes qu’ils avaient laissé sortir, mais des démons. On n’est jamais trop prudent et j’ai toujours eu dans l’optique que les enfers existaient autant que la magie existe.
J’arquais un sourcil montrant clairement mon intérêt pour ce qui allait suivre. Doucement, je fais le signe de la fermeture éclair sur ma bouche pour dire que jamais je n’en parlerais pas. Je n’ai pas envie de perdre la confiance d’Alister. Je relève la tête un peu surprise. « Le refuge ? Celui ou je bosse en freelance ? » Je me tais rapidement, je doute qu’il parle du même refuge. Pourquoi me parlerait-il d’un danger lié au refuge d’animaux fantastiques ? @Charles Graham ? Je secoue la tête négativement, ne visualisant pas la personne, pourtant le nom ne met pas totalement inconnu, j’ai déjà dû l’entendre quelques parts. J’attrapais doucement sa main avec la mienne, glissant mes doigts entre les siens pour les mener à mes lèvres pour y déposer un léger baiser sur le dos de sa main. Juste pour lui montrer que j’étais là s’il voulait parler de son cousin et de sa mort qui pouvait l’affecter.
En revanche la suite me surpris totalement, je ne m’y attendais pas. Kidnappé comment ça kidnappé ? Il y a une semaine alors que je devais certainement être occupé àrassasier mon appétit sexuel . Je rougie un peu honteuse avant de détourner le regard. « Tu ne m’a rien dit. Je pensais que tu préférais passer du temps avec une autre fille que moi. Que tu t’étais lassé de notre couple. » plaçais-je rapidement alors qu’il reprenait son souffle entre deux tirades. Je souris malgré moi en coin quand il me parle de Micky et de son ‘héroïsme’. « Micky tout craché, il trouve toujours le moyen de compliquer les choses quand il essaye de les résoudre. » Le pire c’est qu’il ne le faisait pas forcément exprès. « Et ce que moi, je pouvais ressentir si quelques choses t’arrivait ? » dis-je alors que je caressais doucement sa joue avant de briser encore un peu plus l’écart qui nous distançait, alors que je terminais de regarder soigneusement son regard à la recherche de la moindre coupure, puisque je venais de vérifier le reste de son corps, enfin pas la totalité, pour cela il aurait fallu que je le déshabille entièrement. A cette idée passante dans ma tête, je souris doucement.
Mon cœur rata de plus en plus de battement aux fur et à mesure qu’il sortait les mots de sa bouche orné de ses lèvres qui m’appelaient à ce que je les capture. Ce mois oui, moi aussi je me rendu compte de choses, d’un vide pour commencer, un grand vide, un froid certain matin, ayant l’habitude de me réveiller dans ses bras beaucoup plus souvent que je ne l’avais prédit. Surtout depuis la rentré de septembre en vrai, puis cela avait coupé par mon éloignement après la soirée d’Halloween, imaginant déjà le pire, pensant qu’il était fiancé et tout. Préférant alors fuir dans les bras de @Léonard Grimm plutôt que d’essayer d’affronter la réalité.
« Je n’y connais rien à l’amour, seulement ici. » commençais-je en prenant sa main pour la poser au niveau de mon battement cardiaque. « cela s’emballe quand je te vois depuis quelques temps déjà. Je me retrouve à penser à toi quand tu n’es pas là. Tu hantes parfois mes rêves un peu coquin, parce que tes mains sur moi, ainsi que le contact de tes lèvres me manquaient. J’avais comme l’impression d’être incomplète. » Je détourne les yeux un moment mal à l’aise à l’idée de parler aussi librement de mes sentiments. « Je dois bien avouer que ce mois loin de toi à comme donné des coups de massue sur mon palpitant, le brisant à chaque instant. Ton absence s’est fait sentir pesante. Alors je ne sais pas vraiment ce qu’il en est, mais je crois bien que je peux dire que mon cœur t’appartient Alister Dunn, je te le confie alors prend en soin et ne le brise pas s’il te plait. » Je terminais ma phrase en collant mon corps au sien et passant mes bras autour de son cou. Je lui donnais délibérément le possession de mon cœur, j’espérais juste qu’il ne finirait pas dans le même état que celui de Micky quelques années avant, ou bien encore comme celui de Léonard. J’ai déjà bien trop vu le résultat de brisement d’un cœur battant pour l’être aimé qui nous abandonne si lâchement. « Je n’ai pas envie de te laisser partir, alors on peut essayer cette aventure avec les sentiments, mais je ne sais pas si j’arriverais à ne picorer dans une seule assiette, j’ai déjà essayé tu sais. » continuais-je en essayant de capter son regard avec le mien. « On peut juste continuer ce qu’on faisait avant en rajoutant l’histoire des sentiments ? Pour le moment ? Qui sait peut-être que je deviendrais une lionne défendant son territoire et qui n’aura plus envie de partager ce corps parfait qui me frissonner de plusieurs façons presque continuellement ? » Oui, il fallait se rendre à l’évidence que ce jour finirait forcément par venir. « Je veux être ta petite-amie officielle, je veux dire faire des trucs de couples, pas seulement s’envoyer en l’air comme on le faisait principalement. »
Alors après lui avoir tapoter la joue en le traitant gentiment d’idiot, je remettais mes lunettes de soleils sur ma tête y bloquant des mèches bouclés rebelles, attendant tranquillement la réponse à mes questions. « Non tu crois. » ne puis-je m’empêcher de dire lâcher alors qu’il m’annonçait qu’il n’aurait pas du jouer avec sa cousine à réveiller les morts. Je me demande bien ce qu’ils auraient fait si la situation avait été beaucoup plus chaotique à savoir que si ce n’était pas des fantômes qu’ils avaient laissé sortir, mais des démons. On n’est jamais trop prudent et j’ai toujours eu dans l’optique que les enfers existaient autant que la magie existe.
J’arquais un sourcil montrant clairement mon intérêt pour ce qui allait suivre. Doucement, je fais le signe de la fermeture éclair sur ma bouche pour dire que jamais je n’en parlerais pas. Je n’ai pas envie de perdre la confiance d’Alister. Je relève la tête un peu surprise. « Le refuge ? Celui ou je bosse en freelance ? » Je me tais rapidement, je doute qu’il parle du même refuge. Pourquoi me parlerait-il d’un danger lié au refuge d’animaux fantastiques ? @Charles Graham ? Je secoue la tête négativement, ne visualisant pas la personne, pourtant le nom ne met pas totalement inconnu, j’ai déjà dû l’entendre quelques parts. J’attrapais doucement sa main avec la mienne, glissant mes doigts entre les siens pour les mener à mes lèvres pour y déposer un léger baiser sur le dos de sa main. Juste pour lui montrer que j’étais là s’il voulait parler de son cousin et de sa mort qui pouvait l’affecter.
En revanche la suite me surpris totalement, je ne m’y attendais pas. Kidnappé comment ça kidnappé ? Il y a une semaine alors que je devais certainement être occupé à
Mon cœur rata de plus en plus de battement aux fur et à mesure qu’il sortait les mots de sa bouche orné de ses lèvres qui m’appelaient à ce que je les capture. Ce mois oui, moi aussi je me rendu compte de choses, d’un vide pour commencer, un grand vide, un froid certain matin, ayant l’habitude de me réveiller dans ses bras beaucoup plus souvent que je ne l’avais prédit. Surtout depuis la rentré de septembre en vrai, puis cela avait coupé par mon éloignement après la soirée d’Halloween, imaginant déjà le pire, pensant qu’il était fiancé et tout. Préférant alors fuir dans les bras de @Léonard Grimm plutôt que d’essayer d’affronter la réalité.
« Je n’y connais rien à l’amour, seulement ici. » commençais-je en prenant sa main pour la poser au niveau de mon battement cardiaque. « cela s’emballe quand je te vois depuis quelques temps déjà. Je me retrouve à penser à toi quand tu n’es pas là. Tu hantes parfois mes rêves un peu coquin, parce que tes mains sur moi, ainsi que le contact de tes lèvres me manquaient. J’avais comme l’impression d’être incomplète. » Je détourne les yeux un moment mal à l’aise à l’idée de parler aussi librement de mes sentiments. « Je dois bien avouer que ce mois loin de toi à comme donné des coups de massue sur mon palpitant, le brisant à chaque instant. Ton absence s’est fait sentir pesante. Alors je ne sais pas vraiment ce qu’il en est, mais je crois bien que je peux dire que mon cœur t’appartient Alister Dunn, je te le confie alors prend en soin et ne le brise pas s’il te plait. » Je terminais ma phrase en collant mon corps au sien et passant mes bras autour de son cou. Je lui donnais délibérément le possession de mon cœur, j’espérais juste qu’il ne finirait pas dans le même état que celui de Micky quelques années avant, ou bien encore comme celui de Léonard. J’ai déjà bien trop vu le résultat de brisement d’un cœur battant pour l’être aimé qui nous abandonne si lâchement. « Je n’ai pas envie de te laisser partir, alors on peut essayer cette aventure avec les sentiments, mais je ne sais pas si j’arriverais à ne picorer dans une seule assiette, j’ai déjà essayé tu sais. » continuais-je en essayant de capter son regard avec le mien. « On peut juste continuer ce qu’on faisait avant en rajoutant l’histoire des sentiments ? Pour le moment ? Qui sait peut-être que je deviendrais une lionne défendant son territoire et qui n’aura plus envie de partager ce corps parfait qui me frissonner de plusieurs façons presque continuellement ? » Oui, il fallait se rendre à l’évidence que ce jour finirait forcément par venir. « Je veux être ta petite-amie officielle, je veux dire faire des trucs de couples, pas seulement s’envoyer en l’air comme on le faisait principalement. »
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