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Première nuit en tant que mariés - Rendall
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FICHE DE PERSO
Première nuit en tant que mariés - @Rendall Sterling
Aucune personne de son boulot n'était invité au mariage, c'était en petit comité, elle avait réussi à ce que tout le monde accepte qu'ils soient peu. Rien de formel, elle garderait son nom, donc pas besoin de signifier quoi que se soit à personne pas même à son chef. Elle n'avait même pas demandé les jours qui lui étaient dû pour un mariage. Elle n'avait rien eu besoin de préparer après tout. Depuis plusieurs jours la relation avec sa mère était assez chaotique. Elle avait été la photographe de leur mariage et n'avait cessé les sermons sur sa fille.
Arizona avait tout fait pour garder le contrôle de la situation mais elle savait très bien qu'à tout moment elle pourrait péter les plombs et qu'il allait falloir qu'elle s'isole avant de reprendre le boulot, qu'elle aille faire du sport pour évacuer avant de revenir à Paris pour éviter tous débordements inutiles.
Le mariage s'était déroulé hier, Owen avait enfin compris qu'il ne s'agissait pas d'un mariage voulu par la blonde mais qu'elle le faisait par principe. Eloïse l'avait aidé à choisir sa tenue de mariage et elle faisait tout pour que Rendall ne soit pas en mauvaise posture face à ce mariage où il faisait plus ou moins tout pour qu'elle se sente bien. Il avait accepté qu'elle ne porte pas de robe et qu'elle ne prenne pas le nom des Sterling malgré les protestations de leurs deux familles. Il devait surement avoir un petit truc pour elle pour être aussi gentil, du moins c'était ce qu'elle pensait.
Le baiser que lui avait donné son époux au moment du "vous pouvez embrasser la mariée" était plus que satisfaisant il fallait bien avouer mais elle n'avait pas eu ce petit truc pour lui. Était-ce car elle ne voulait pas que sa mère la force à épouser quelqu'un, ou simplement car il ne correspondait pas à ses critères de vie. Pas physiquement car il faut bien avouer que lorsqu'il avait fait tomber le t-shirt hier soir en allant se coucher, il y avait de quoi déguster mais ce n'était pas son intention.
Elle était encore couchée, réveillée depuis près d'une heure environ. Elle ne faisait que soupirer. D'un côté, de l'autre, elle se tournait et retournait. Elle aurait pu se lever certes mais elle n'arrivait pas à se dire qu'elle était officiellement mariée.
Elle se mit sur le dos en tournant la tête légèrement vers Rendall avant de s'apercevoir que ses yeux étaient ouverts. "Je suis désolée, c'est moi qui t'ai réveillé ?" Demanda t'elle doucement.
Arizona n'était aucunement gênée de dormir avec Rendall, ce n'était pas un souci, après tout ils étaient deux adultes et il ne lui avait pas sauté dessus, contrairement à ce qu'il laissait ressentir quelques semaines plus tôt, ce n'était pas un charot. "Il faut qu'on discute... Je sais pas vraiment comment dire ça..." Dit elle en se tournant sur le côté pour être face au Sterling. "Je voudrais avoir ton avis sur un truc, en vérité, je voudrai savoir comment tu veux faire car je ne compte pas vraiment rester sans m'envoyer en l'air pendant je sais pas combien de temps." Elle était assez cash mais c'était sa nature. Ca restait difficile pour elle de dire à Rendall qu'elle comptait s'envoyer en l'air avec d'autres garçons alors qu'ils étaient mariés mais elle ne voulait pas rester comme ça indéfiniment et il était temps de lui poser la question à présent.
Sur quelques quiproquo.
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FICHE DE PERSO
Si l'on demandait, à Rendall, comment il aurait imaginé son mariage, l'Auror n'aurait su quoi répondre. Après tout, il avait un boulot qui n'était pas anodin et risquait sa vie à chaque fois qu'il embarquait pour une nouvelle mission. Il ne pouvait savoir s'il survivrait jusqu'à la prochaine ou si c'était la dernière fois qu'il pouvait étreindre son frère. La véritable question aurait été de lui demander s'il imaginait se marier un jour. Pas sûr qu'il aurait répondu favorablement. Mais voilà, il faisait partie d'une société qui avait des traditions, des codes. Il ne pouvait esquiver son devoir et surtout, il devait honorer la famille. Il était l’aîné de la branche pure, en quelque sorte, l'héritier. Non, il était le chef de famille. Leur oncle Everett les avait élevés, mais il était désormais marié à une sang-mêlé. Le trône familial revenait à Rendall car premier né, de ses parents, et majeur.
Heureusement, la Famille Sterling ne fonctionnait pas en clan dirigé par un chef. Il n'était pas le représentant de la famille, celui qui devait être absolument présent à toutes les sorties du club des sangs purs. Non, il était un Sterling comme un autre, mais il avait dû se marier. Cela, il ne l'avait pas vraiment vu venir même s'il savait, d'un certain côté, qu'il ne pouvait pas y déroger. Du coup, les questions d'intendances, d'invités, tous ces détails qui donnaient la migraine aux fiancés, il avait cru devoir les vivre. Mais non... Rien de tout ça. Cela avait été un mariage simple, vraiment très simple. En deçà de ce que son héritage méritait, mais cela ne lui avait pas déplu pour autant. Peu d'invités, comité restreint. Personne venant du travail d'Arizona. Personne ne venant de son travail à lui. Dans sa branche, il était difficile de boire le café dans la cuisine d'un bureau. De plus, il passait peu de temps au QG pour vraiment sympathiser avec ses collègues. Du coup, il n'y avait eu personne en dehors de son mentor pour assister à la cérémonie.
Les discussions qui avaient précédé ce simulacre de fêtes avaient été houleuses. La demoiselle avait bien spécifié qu'elle ne souhaitait nullement porter le nom des Sterling. Elle avait également ajouté qu'elle ne voulait pas porter de robe de mariée. Soit, c'était un choix et il avait fini par accepter. Lui non plus, ne se sentait pas forcément à l'aise avec ce mariage. Certes, il avait été satisfait en apprenant qui, sa famille lui avait trouvé mais il ne l'avait pas choisi lui-même. Le hasard faisant bien les choses, il se marierait avec quelqu'un qu'il connaît pour l'avoir côtoyé durant leurs études. Elle était belle, intelligente et pleine d'esprit. Il aurait pu tomber plus mal. De plus, il avait tenté de la courtiser sur les bancs de l'école, sans résultat. Ironie du sort, elle n’avait pu se résoudre à dire non devant le maire. Malgré les quelques désagréments causés par les choix de la mariée et qui ne plaisaient pas à l'oncle du marié, la cérémonie s'était bien déroulée. Bien que les circonstances soient étranges, précipitées, la demoiselle avait tenu son rang et tout fait pour que Rendall se sente le plus à l'aise possible. La scène du baiser, tant attendue par les familles, avait été correcte sans toutefois soulever le cœur de Rendall. Il avait clairement senti que ce n'était que pour la façade et que la belle n'avait pas donné tout ce qu'elle pourrait avec quelqu'un qu'elle aimerait vraiment.
Ce genre de détail, il était normal que Rendall le remarque. Il avait été entraîné pour l'infiltration, faire attention aux petits détails si insignifiants pouvait faire la différence entre la vie et la mort. Être toujours sur le qui-vive, ne faire confiance à personne. Que des choses qui étaient presque devenues une seconde peau pour lui. Là, force lui avait été de ranger tous ces outils au placard. Il se mariait, il n'allait pas infiltrer un gang de Mage s'opposant à une loi pro-moldu. Néanmoins, ce petit bisou suffit à réveiller la méfiance de l'Auror. Mariage, il y avait eu, mais il faudrait un moment avant qu'ils ne soient véritablement mariés. D'ailleurs, il n'y eut pas de nuit de noces. Heureusement qu'ils ne faisaient plus comme au Moyen Age parce qu'il aurait été très inconfortable et délicat de devoir faire l'amour à Arizona devant témoins.
C'est le petit matin, dans son sommeil, Rendall entend des soupirs. Ce n'est pas très loin, il a l'impression que s'il tend le bras, il pourrait presque les toucher alors que c'est impalpable. Son cerveau travaille et il se rend compte que les bruits ne viennent pas de son rêve, mais de sa femme. Il ouvre un œil, tente de se faire à la faible lueur ambiante et voit la blonde qui se tourne et qui se retourne ne parvenant pas à dormir plus longtemps. Finalement, elle se met sur le dos et tourne la tête vers son mari. Surprise, il est réveillé ! Sa voix est douce, elle semble vraiment désolée et lui demande si elle est l'instigatrice de son réveil précoce.
« Disons qu'il était difficile d'associer, dans mon rêve, tes soupirs aux vrombissements d'une magnifique Harley-Davidson filant dans le soleil couchant. »
En gros, oui, elle l'avait réveillé, mais il n'y avait nulle agressivité dans sa voix. Il faisait juste un brin d'humour. Qu'il était étrange de se dire qu'il était l'époux de cette femme qui se trouvait à côté de lui. Il avait du mal à réaliser et se disait que la cérémonie d'hier pouvait être un rêve sorti de son imagination. Mais non, il était bien réel, il n'avait qu'à tendre la main pour toucher la joue de son épouse. Son épouse, Arizona Buchanan était son épouse. Ça aussi, c'était étrange ! Elle semblait soucieuse ou plutôt préoccupée. Elle lui dit qu'il fallait qu'ils parlent, mais ne savait pas comment aborder la question. Sentant la conversation sérieuse arriver, il se dressa dans le lit pour s'asseoir. Son torse était nu, il dormait d'ordinaire en boxer. Pas de pyjama pour lui, il n'était pas sensible au froid.
« Bien sûr, je t'écoute. De quoi veux-tu parler ? »
Elle semble réfléchir un peu et se tourne vers lui puis elle se lance. Elle veut son avis sur un truc. Soit, il serait ravi de lui apporter son aide, s'il le pouvait. Rendall ne pensait pas avoir la science infuse, il y avait beaucoup de choses qu'il ne savait pas, mais il était certain de faire son possible. Il écoutait toujours la jolie blonde. Elle s'intéressait à la manière dont il voulait procéder, mais pour quoi ? Ah !
En entendant la question, il sourit. Ça tombait bien, lui non plus ne comptait pas rester sans sexe pendant le reste de sa vie. Ils formaient un couple sur papier, mais dans la vie, c'était loin d'être le cas. Du coup, qu'elle veuille aborder la question, des relations sexuelles, était plutôt bon signe. Certes, c'était posé de manière directe, mais au moins, il n'y avait pas erreur sur le message. Il sourit et sortit sa main gauche de dessus la couette pour caresser la joue d'Arizona.
« C'est marrant que tu parles de ça, du moins de cette façon. Tu sais, nous sommes mariés désormais. Dis-moi si je me trompe, mais à t'entendre, on dirait que tu me demandes la permission pour faire l'amour. C'est mignon...
Nous ne sommes plus des adolescents boutonneux qui ne savent pas comment faire l'amour. J'ose espérer qu'avec l'âge, nous avons pris un peu plus d'assurance de ce côté. »
Il lui caresse la joue.
« Si tu as envie de faire l'amour, ne le demande pas... Fais-le ! »
Non, Rendall n'avait pas compris ce qu'elle voulait dire exactement. Pour lui, sa femme lui demandait la permission de lui faire l'amour. Alors qu'en vérité, elle s’apprêtait à lui demander si elle pourrait faire l'amour à d'autres hommes. Mais ça, il le découvrirait bien assez vite.
Pour le coup, il posa la main qui caressait la joue d'Arizona pour la mettre en appui, sur le lit, afin d'avancer sa tête pour l'embrasser. Ils n'avaient rien fait hier soir, mais peut-être qu'elle était plutôt du matin. Soit, il pourrait s'y faire. L'Américain n'avait pas de moment dans la journée pour ça, il pouvait le faire quand il le voulait.
Heureusement, la Famille Sterling ne fonctionnait pas en clan dirigé par un chef. Il n'était pas le représentant de la famille, celui qui devait être absolument présent à toutes les sorties du club des sangs purs. Non, il était un Sterling comme un autre, mais il avait dû se marier. Cela, il ne l'avait pas vraiment vu venir même s'il savait, d'un certain côté, qu'il ne pouvait pas y déroger. Du coup, les questions d'intendances, d'invités, tous ces détails qui donnaient la migraine aux fiancés, il avait cru devoir les vivre. Mais non... Rien de tout ça. Cela avait été un mariage simple, vraiment très simple. En deçà de ce que son héritage méritait, mais cela ne lui avait pas déplu pour autant. Peu d'invités, comité restreint. Personne venant du travail d'Arizona. Personne ne venant de son travail à lui. Dans sa branche, il était difficile de boire le café dans la cuisine d'un bureau. De plus, il passait peu de temps au QG pour vraiment sympathiser avec ses collègues. Du coup, il n'y avait eu personne en dehors de son mentor pour assister à la cérémonie.
Les discussions qui avaient précédé ce simulacre de fêtes avaient été houleuses. La demoiselle avait bien spécifié qu'elle ne souhaitait nullement porter le nom des Sterling. Elle avait également ajouté qu'elle ne voulait pas porter de robe de mariée. Soit, c'était un choix et il avait fini par accepter. Lui non plus, ne se sentait pas forcément à l'aise avec ce mariage. Certes, il avait été satisfait en apprenant qui, sa famille lui avait trouvé mais il ne l'avait pas choisi lui-même. Le hasard faisant bien les choses, il se marierait avec quelqu'un qu'il connaît pour l'avoir côtoyé durant leurs études. Elle était belle, intelligente et pleine d'esprit. Il aurait pu tomber plus mal. De plus, il avait tenté de la courtiser sur les bancs de l'école, sans résultat. Ironie du sort, elle n’avait pu se résoudre à dire non devant le maire. Malgré les quelques désagréments causés par les choix de la mariée et qui ne plaisaient pas à l'oncle du marié, la cérémonie s'était bien déroulée. Bien que les circonstances soient étranges, précipitées, la demoiselle avait tenu son rang et tout fait pour que Rendall se sente le plus à l'aise possible. La scène du baiser, tant attendue par les familles, avait été correcte sans toutefois soulever le cœur de Rendall. Il avait clairement senti que ce n'était que pour la façade et que la belle n'avait pas donné tout ce qu'elle pourrait avec quelqu'un qu'elle aimerait vraiment.
Ce genre de détail, il était normal que Rendall le remarque. Il avait été entraîné pour l'infiltration, faire attention aux petits détails si insignifiants pouvait faire la différence entre la vie et la mort. Être toujours sur le qui-vive, ne faire confiance à personne. Que des choses qui étaient presque devenues une seconde peau pour lui. Là, force lui avait été de ranger tous ces outils au placard. Il se mariait, il n'allait pas infiltrer un gang de Mage s'opposant à une loi pro-moldu. Néanmoins, ce petit bisou suffit à réveiller la méfiance de l'Auror. Mariage, il y avait eu, mais il faudrait un moment avant qu'ils ne soient véritablement mariés. D'ailleurs, il n'y eut pas de nuit de noces. Heureusement qu'ils ne faisaient plus comme au Moyen Age parce qu'il aurait été très inconfortable et délicat de devoir faire l'amour à Arizona devant témoins.
C'est le petit matin, dans son sommeil, Rendall entend des soupirs. Ce n'est pas très loin, il a l'impression que s'il tend le bras, il pourrait presque les toucher alors que c'est impalpable. Son cerveau travaille et il se rend compte que les bruits ne viennent pas de son rêve, mais de sa femme. Il ouvre un œil, tente de se faire à la faible lueur ambiante et voit la blonde qui se tourne et qui se retourne ne parvenant pas à dormir plus longtemps. Finalement, elle se met sur le dos et tourne la tête vers son mari. Surprise, il est réveillé ! Sa voix est douce, elle semble vraiment désolée et lui demande si elle est l'instigatrice de son réveil précoce.
« Disons qu'il était difficile d'associer, dans mon rêve, tes soupirs aux vrombissements d'une magnifique Harley-Davidson filant dans le soleil couchant. »
En gros, oui, elle l'avait réveillé, mais il n'y avait nulle agressivité dans sa voix. Il faisait juste un brin d'humour. Qu'il était étrange de se dire qu'il était l'époux de cette femme qui se trouvait à côté de lui. Il avait du mal à réaliser et se disait que la cérémonie d'hier pouvait être un rêve sorti de son imagination. Mais non, il était bien réel, il n'avait qu'à tendre la main pour toucher la joue de son épouse. Son épouse, Arizona Buchanan était son épouse. Ça aussi, c'était étrange ! Elle semblait soucieuse ou plutôt préoccupée. Elle lui dit qu'il fallait qu'ils parlent, mais ne savait pas comment aborder la question. Sentant la conversation sérieuse arriver, il se dressa dans le lit pour s'asseoir. Son torse était nu, il dormait d'ordinaire en boxer. Pas de pyjama pour lui, il n'était pas sensible au froid.
« Bien sûr, je t'écoute. De quoi veux-tu parler ? »
Elle semble réfléchir un peu et se tourne vers lui puis elle se lance. Elle veut son avis sur un truc. Soit, il serait ravi de lui apporter son aide, s'il le pouvait. Rendall ne pensait pas avoir la science infuse, il y avait beaucoup de choses qu'il ne savait pas, mais il était certain de faire son possible. Il écoutait toujours la jolie blonde. Elle s'intéressait à la manière dont il voulait procéder, mais pour quoi ? Ah !
S'envoyer en l'air...
En entendant la question, il sourit. Ça tombait bien, lui non plus ne comptait pas rester sans sexe pendant le reste de sa vie. Ils formaient un couple sur papier, mais dans la vie, c'était loin d'être le cas. Du coup, qu'elle veuille aborder la question, des relations sexuelles, était plutôt bon signe. Certes, c'était posé de manière directe, mais au moins, il n'y avait pas erreur sur le message. Il sourit et sortit sa main gauche de dessus la couette pour caresser la joue d'Arizona.
« C'est marrant que tu parles de ça, du moins de cette façon. Tu sais, nous sommes mariés désormais. Dis-moi si je me trompe, mais à t'entendre, on dirait que tu me demandes la permission pour faire l'amour. C'est mignon...
Nous ne sommes plus des adolescents boutonneux qui ne savent pas comment faire l'amour. J'ose espérer qu'avec l'âge, nous avons pris un peu plus d'assurance de ce côté. »
Il lui caresse la joue.
« Si tu as envie de faire l'amour, ne le demande pas... Fais-le ! »
Non, Rendall n'avait pas compris ce qu'elle voulait dire exactement. Pour lui, sa femme lui demandait la permission de lui faire l'amour. Alors qu'en vérité, elle s’apprêtait à lui demander si elle pourrait faire l'amour à d'autres hommes. Mais ça, il le découvrirait bien assez vite.
Pour le coup, il posa la main qui caressait la joue d'Arizona pour la mettre en appui, sur le lit, afin d'avancer sa tête pour l'embrasser. Ils n'avaient rien fait hier soir, mais peut-être qu'elle était plutôt du matin. Soit, il pourrait s'y faire. L'Américain n'avait pas de moment dans la journée pour ça, il pouvait le faire quand il le voulait.
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FICHE DE PERSO
Première nuit en tant que mariés - @Rendall Sterling
Elle tournait et virait depuis un moment alors que le soleil commençait à pointer le bout de son nez dans la pièce, dernier soupire, elle tourne la tête avant de se rendre compte qu'il était réveillé. Par elle surement. S'excusant dans un premier temps, sa réponse la fit sourire. «Pardon, c'est sûr que le bruit d'une Harley est plus sympa que mes soupires, je suis vraiment désolée.» Dit elle avec une petite moue qui pourrait peut être l'aider à se faire pardonner.
Elle n'allait pas y aller par quatre chemins, elle n'avait quasiment pas dormi de la nuit, elle avait besoin de lui dire ce qu'elle avait sur le cœur. Qu'il le prenne bien ou pas, se serait l'occasion de lancer la conversation.
Conversation lancée, elle le vit alors se redresser et un sourcil se dressa naturellement sur le visage de la blonde avec un mini sourire qu'elle tenta de camoufler. Elle ne l'avait pas vu hier soir au coucher enfin pas comme ça et disons qu'il était sacrément bien foutu. Déconcertée par la tenue du Sterling, elle balança sa phrase sans aucune précaution. S'envoyer en l'air, non mais vraiment Ari, t'as pas mieux comme phrase ? Roh boulet ! Bref, de toute façon c'était dit.
Il souriait, bon c'était bon signe, il n'était pas vexé par la question, peut être après tout qu'il voulait savoir si lui aussi pouvait en faire autant. Bien évidemment qu'elle ne l'empêcherait pas de faire ce qu'elle faisait aussi. Ca paraissait évident. Cependant, lorsque Rendall vint alors caresser sa joue, Arizona beugua mais ne bougea pas. Qu'est-ce qu'il était en train de faire là ?
Elle écouta attentivement sa réponse, l'avantage avec Rendall c'est qu'il ne la connaissait pas tant que ça, du coup ses réactions, il ne pouvait pas les imager et savoir ce qu'elles pouvaient représenter.
Il n'avait surement pas compris, elle fronça les sourcils un instant. «C'est justement parce qu'on est mariés que je te le demande !» Dit elle avec un petit sourire en haussant les épaules. Par respect, par principe ? Elle ne savait pas trop comment tourner les choses mais bon, après tout, s'il n'y voyait pas d'inconvénients, elle n'allait pas lui en trouver. Elle portait son gros pull et un petit short qu'on ne voyait pas vraiment vu la taille du pull et elle se sentait en sécurité comme ça, au chaud et sans avoir besoin d'être rassurée par d'autres personnes.
Arizona posa sa main sur le torse de Rendall alors qu'il s'aprochait bien trop près d'elle. Elle sourit en se redressant, collant un peu son corps à celui de Rendall pour se redresser en même temps que lui alors qu'elle laissait un tout petit peu de distance sans pour autant lui mettre de vent. «Tu es intéressé par moi ? Physiquement je veux dire !?» Demanda t'elle avec un sourire gêné. Bon il était vrai que coucher avec lui ne serait clairement pas désagréable, il était canon il fallait bien se le dire, mais elle voulait juste qu'il ne se fasse pas d'illusion. «Je ne pensais pas être ton type de filles disons...» Ponctua t'elle en haussant les épaules alors qu'elle se levait un tout petit peu pour fermer un morceau du rideau alors que le soleil commençait à lui chatouiller ses yeux bleus puis revint alors poser ses fesses toujours près de Rendall. Ils n'avaient pas finit la discussion après tout.
Sur quelques quiproquo.
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FICHE DE PERSO
Ce mariage n'était peut-être pas baigné par l'amour, mais il y avait un respect mutuel entre les époux. Qui sait ce que le temps pourrait réserver ? Au Moyen-âge, des mariages arrangés s'étaient transformés en amour par la suite. En y mettant un peu du sien, des deux côtés, ça pourrait peut-être se faire pour eux, également. Ce matin, ce n'était pas forcément à cela que pensait Rendall. Il s'était fait réveiller par sa femme et se demandait ce qui pouvait la tourmenter à ce point qu'elle en perde le sommeil. La blonde était une femme douce, elle s'excusa en voyant qu'il était réveillé, mais l'Auror n'allait pas se formaliser pour si peu. Un trait d'humour, qui fut salué par le joli sourire d'Arizona, et il pouvait se pencher sur ce qui la préoccupait.
« Ce n'est rien, vraiment. Aucune faute n'a été commise et il fallait bien que je me réveille à un moment donné de toutes façons. Puis, (il lui sourit tendrement) la vision d'une Harley ou de toi, procure le même émerveillement au réveil. »
La petite moue qu'elle lui offrit était absolument craquante. Même s'il lui en avait voulu, pas sûr que ça aurait duré longtemps. Elle voulait parler, il serait là pour l'écouter. Du coup, il préférait lui donner toute son attention en se redressant sur le lit. Ce n'était pas un calcul de sa part, il ne souhaitait pas la mettre en appétit en lui dévoilant son torse musclé et nu. Mais il remarqua qu'elle sourit à nouveau. Le spectacle ne semblait pas la déranger, que du contraire.
*Profite, ma belle, c'est rien que pour toi tout ça* pensa-t-il.
Il fut un peu surpris du sujet de conversation auquel elle voulait se frotter au réveil, mais, en fait, pourquoi pas. Cela dit, il trouvait mignon et un tantinet étrange qu'elle demande la permission. Ils étaient mariés, certes, ils n'étaient pas amoureux mais bon, ils s'étaient promis l'un à l'autre. Du coup, il était logique, dans son esprit, de faire l'amour avec elle. Si elle voulait tenter la chose, elle pouvait toujours y aller en douceur pour voir comment ça prend. Une petite phrase glissée dans l'oreille, un bisou un peu équivoque. Ainsi, elle s'assurerait de son consentement en voyant qu'il répondait. Mais là, ça cassait un peu la magie de la chose.
Quand elle lui répondit que c'était justement parce qu'ils étaient mariés qu'elle lui posait la question, il ne comprenait pas le rapport vu le cheminement qui s'était fait dans son propre esprit. Oui, à y regarder de plus prêt, elle était plus habillée que lui. Sur son corps, il n'y avait qu'un boxer. Quand on posait les yeux sur Arizona, on pouvait voir un gros pull. Il n'avait pas vraiment fait attention hier soir, en se couchant, il ne voyait donc pas le mini short en dessous des draps. Était-ce une question pour se rassurer qu'au cas où elle enlève une couche, elle ne le fasse pas pour rien ?
« Si tu veux être sûr que c'est ok, tente une approche et vois ce que ça donne. Si la personne répond, c'est qu'elle veut bien. »
Les mots pouvaient expliquer beaucoup de choses, mais un exemple était plus parlant pour certaines choses. Du coup, il se décida à passer à l'acte en s'approchant pour l'embrasser. La main de la blonde vint se poser sur son torse. Il s'arrête. Elle se redresse, et ce faisant, frôle le corps de Rendall. Le pull est doux, il n'y a pas de doutes. Il la laisse faire. Il y a une petite distance et donc, le bisou n'est pas pour tout de suite. En entendant ses questions, le brun a du mal à comprendre. Est-ce qu'il était intéressé physiquement par elle ? Il lève un sourcil et lui répond du tac au tac :
« Bien sûr. Faudrait vraiment être difficile ou avoir mauvais goût pour ne pas te trouver attirante. Je n'ai pas mauvais goût en matière de femmes même si je peux me montrer difficile. Alors, c'est droit dans les yeux, Arizona, que je te le dis. Oui, tu me plais beaucoup. Tu en doutais ? »
Pas son type de fille ? Sérieusement ? Mais qui pourrait dire ça en regardant Arizona ? Est-ce qu'un type sur cette planète pouvait se tenir devant elle, la regarder et lui dire : Non meuf, t'es pas mon genre. Il en doutait affreusement. Cette phrase l'avait mis sur le cul même s'il était assis dans son lit. Du coup, il regarda sa femme se lever pour tirer les tentures et laisser la pièce dans la pénombre. Elle revint près de lui, il la regarda à nouveau. Ça tourbillonnait dans sa tête.
« Attends... Est-ce que quelque chose dans mon attitude t'a laissé entendre que tu ne me plaisais pas ? Je te parais froid ? Distant ? Tu veux que je sois plus attentionné ? Tu as besoin d'être rassurée ? »
Il fixa, un instant, la pièce devant lui. Il revoyait son attitude au mariage, lors de la cérémonie, de l'after. Peut-être que le fait de ne pas être amoureux d'elle l'avait, sans qu'il ne s'en rende compte, fait être distant.
« Tu sais... J'ai accepté ce mariage, après tout. Ce n'est pas pour commencer à jouer avec tes sentiments ou à te manquer de respect. Tu vois ? »
À nouveau, il lui caresse la joue. Il avait promis de la chérir et de la protéger. Certes, pour certains, ça ne pouvait être que des mots, mais Rendall était un mec réglo. Il n'allait pas commencer à regarder les autres femmes. Il en avait une, sublime, sous les yeux. Du coup, était-ce pour cette raison qu'elle lui demandait la permission de coucher avec ? Parce qu'elle avait l'impression que ça ne l'intéresserait pas ? Il devait lui faire comprendre.
« Du coup, je pense comprendre pourquoi tu me demandais la permission. Sans doute que j'aurai fait pareil si j'avais senti que je ne pouvais pas t'intéresser. Est-ce que c'est le cas ? En-tout-cas, pour moi, je suis tout disposé à te faire l'amour. »
« Ce n'est rien, vraiment. Aucune faute n'a été commise et il fallait bien que je me réveille à un moment donné de toutes façons. Puis, (il lui sourit tendrement) la vision d'une Harley ou de toi, procure le même émerveillement au réveil. »
La petite moue qu'elle lui offrit était absolument craquante. Même s'il lui en avait voulu, pas sûr que ça aurait duré longtemps. Elle voulait parler, il serait là pour l'écouter. Du coup, il préférait lui donner toute son attention en se redressant sur le lit. Ce n'était pas un calcul de sa part, il ne souhaitait pas la mettre en appétit en lui dévoilant son torse musclé et nu. Mais il remarqua qu'elle sourit à nouveau. Le spectacle ne semblait pas la déranger, que du contraire.
*Profite, ma belle, c'est rien que pour toi tout ça* pensa-t-il.
Il fut un peu surpris du sujet de conversation auquel elle voulait se frotter au réveil, mais, en fait, pourquoi pas. Cela dit, il trouvait mignon et un tantinet étrange qu'elle demande la permission. Ils étaient mariés, certes, ils n'étaient pas amoureux mais bon, ils s'étaient promis l'un à l'autre. Du coup, il était logique, dans son esprit, de faire l'amour avec elle. Si elle voulait tenter la chose, elle pouvait toujours y aller en douceur pour voir comment ça prend. Une petite phrase glissée dans l'oreille, un bisou un peu équivoque. Ainsi, elle s'assurerait de son consentement en voyant qu'il répondait. Mais là, ça cassait un peu la magie de la chose.
Quand elle lui répondit que c'était justement parce qu'ils étaient mariés qu'elle lui posait la question, il ne comprenait pas le rapport vu le cheminement qui s'était fait dans son propre esprit. Oui, à y regarder de plus prêt, elle était plus habillée que lui. Sur son corps, il n'y avait qu'un boxer. Quand on posait les yeux sur Arizona, on pouvait voir un gros pull. Il n'avait pas vraiment fait attention hier soir, en se couchant, il ne voyait donc pas le mini short en dessous des draps. Était-ce une question pour se rassurer qu'au cas où elle enlève une couche, elle ne le fasse pas pour rien ?
« Si tu veux être sûr que c'est ok, tente une approche et vois ce que ça donne. Si la personne répond, c'est qu'elle veut bien. »
Les mots pouvaient expliquer beaucoup de choses, mais un exemple était plus parlant pour certaines choses. Du coup, il se décida à passer à l'acte en s'approchant pour l'embrasser. La main de la blonde vint se poser sur son torse. Il s'arrête. Elle se redresse, et ce faisant, frôle le corps de Rendall. Le pull est doux, il n'y a pas de doutes. Il la laisse faire. Il y a une petite distance et donc, le bisou n'est pas pour tout de suite. En entendant ses questions, le brun a du mal à comprendre. Est-ce qu'il était intéressé physiquement par elle ? Il lève un sourcil et lui répond du tac au tac :
« Bien sûr. Faudrait vraiment être difficile ou avoir mauvais goût pour ne pas te trouver attirante. Je n'ai pas mauvais goût en matière de femmes même si je peux me montrer difficile. Alors, c'est droit dans les yeux, Arizona, que je te le dis. Oui, tu me plais beaucoup. Tu en doutais ? »
Pas son type de fille ? Sérieusement ? Mais qui pourrait dire ça en regardant Arizona ? Est-ce qu'un type sur cette planète pouvait se tenir devant elle, la regarder et lui dire : Non meuf, t'es pas mon genre. Il en doutait affreusement. Cette phrase l'avait mis sur le cul même s'il était assis dans son lit. Du coup, il regarda sa femme se lever pour tirer les tentures et laisser la pièce dans la pénombre. Elle revint près de lui, il la regarda à nouveau. Ça tourbillonnait dans sa tête.
« Attends... Est-ce que quelque chose dans mon attitude t'a laissé entendre que tu ne me plaisais pas ? Je te parais froid ? Distant ? Tu veux que je sois plus attentionné ? Tu as besoin d'être rassurée ? »
Il fixa, un instant, la pièce devant lui. Il revoyait son attitude au mariage, lors de la cérémonie, de l'after. Peut-être que le fait de ne pas être amoureux d'elle l'avait, sans qu'il ne s'en rende compte, fait être distant.
« Tu sais... J'ai accepté ce mariage, après tout. Ce n'est pas pour commencer à jouer avec tes sentiments ou à te manquer de respect. Tu vois ? »
À nouveau, il lui caresse la joue. Il avait promis de la chérir et de la protéger. Certes, pour certains, ça ne pouvait être que des mots, mais Rendall était un mec réglo. Il n'allait pas commencer à regarder les autres femmes. Il en avait une, sublime, sous les yeux. Du coup, était-ce pour cette raison qu'elle lui demandait la permission de coucher avec ? Parce qu'elle avait l'impression que ça ne l'intéresserait pas ? Il devait lui faire comprendre.
« Du coup, je pense comprendre pourquoi tu me demandais la permission. Sans doute que j'aurai fait pareil si j'avais senti que je ne pouvais pas t'intéresser. Est-ce que c'est le cas ? En-tout-cas, pour moi, je suis tout disposé à te faire l'amour. »
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FICHE DE PERSO
Première nuit en tant que mariés - @Rendall Sterling
La vision d'une Harley lui procurait le même émerveillement qu'elle, dans sa bouche, ça paraissait flatteur, il était adorable, finalement, elle se rendait bien compte qu'elle avait bien fait d'accepter ce mariage avec lui, elle ne risquait rien, il ne serait pas le parfait connard comme d'autres hommes auraient pu être. La blonde souriait donc à son mari.
Elle arqua un sourcil lorsqu'il se planta devant elle, profitant de la vue certes, il était sacrément bien foutu, elle ne s'en était jamais rendue compte. Elle savait qu'Owen l'était car ils avaient déjà fait moultes aventures ensemble mais n'avait jamais détaillé son frangin.
Ceci dit, il fallait tout de même lancer la conversation alors, ne se laissons pas distraire. Si elle voulait être sûr que c'était ok, il fallait tenter une approche ? Elle fronça les sourcils, il n'allait pas lui apprendre à draguer hein, elle n'avait pas vraiment besoin de ça. Est-ce qu'il y avait quiproquo sur la conversation ? Elle resta à l'écouter, si la personne te répond c'est qu'elle veut bien, bah non du coup si la personne il avait bien compris qu'il s'agissait là d'une autre personne. Bon bah alors c'était ok. Ravie qu'il le prenne si bien elle sourit sans rien dire un peu gênée peut être malgré tout.
Oula-oula, elle sentit vivement ce qu'il voulait dire et posa sa main sur le torse du Sterling, le repoussant doucement sans véhémence. Elle voyait à présent où lui voulait en venir, il parlait d'eux, de tous les deux et il n'avait pas compris qu'elle parlait d'un autre homme. Elle déglutit doucement en allant fermer l'un des deux rideaux afin de ne plus avoir le soleil dans les yeux à l'endroit où elle était assise. Il répondit assez rapidement à sa question comme s'il n'avait pas réfléchi. En vérité elle ne pensait pas vraiment lui plaire, à l'époque de Poudlard lorsqu'il l'avait dragué, elle pensait qu'il avait surtout cherché à la mettre dans son lit pas forcément pour son physique. Elle rigola lorsqu'il lui demanda si elle en doutait. «Oui, disons que vu le nombre de filles avec lesquelles je t'ai vu à Poudlard, je pensais pas être le genre qui te plairait quoi.»
Elle revint alors s'asseoir à l'endroit où elle se trouvait avant d'avoir fermé le rideau, près de Rendall. «Non, non enfin non je sais pas, j'ai pas besoin d'être rassurée, enfin on est pas vraiment en couple, enfin je veux dire officiellement si, mais tu vois ce que je veux dire, on ne se connait pas quoi.» Dit elle un peu gênée par la situation. Elle n'allait peut être pas lui dire cash comme ça que non, elle n'était pas en couple officiellement avec lui. C'était un peu détourné mais il pouvait bien comprendre que sans se connaitre ça ne se faisait pas comme ça quoi qu'il arrive.
Rendall lui caressa la joue, il était tendre c'était affreusement curieux il fallait bien se l'avouer, les types avec qui elle s'envoyait en l'air n'était pas du genre à lui porter plus d'attention que ça. Mais la suite de ses mots, son coeur bondit, il était tout disposé à lui faire l'amour. Bon. Ok Ari réfléchis. Pas besoin de réfléchir en vrai, il était dans son lit, il était bien foutu, c'était après tout son mari, elle ne devait rien à personne, elle pouvait très bien se laisser aller avec lui, personne ne dirait quoi que se soit de toute façon. «Tu sais qu'à l'époque tu draguais hyper mal ?!» Dit elle en riant alors qu'elle se détendait un peu face à Rendall. «J''espère que tu t'es amélioré quand même !» Pouffa t'elle en enroulant la manche de son pull entre ses mains.
Sur quelques quiproquo.
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FICHE DE PERSO
Poudlard, c'était Poudlard. Un autre temps, une autre vie. Certes, il avait eu quelques conquêtes, d'aucuns diront qu'il a bien profité de sa jeunesse. En même temps, Rendall n'a fait que jouer avec les atouts que la nature lui a donné. Il ne peut être fautif d'avoir réussi à en charmer autant. Mais c'était marrant de se rendre compte, des années plus tard, qu'il avait échoué à sortir avec Arizona parce que cette dernière ne pensait pas être le genre du garçon. À la comprendre, il ne faisait que chasser sans regarder vraiment à la qualité. Que nenni ! S'il avait posé son dévolu sur elle, c'est qu'elle lui plaisait et pas que physiquement. Mais il était évident que ce dernier avait été un facteur important. En vrai, la fille ne devait pas être que jolie, elle devait avoir un minimum d'esprit et d'humour. Tout ce que sa, désormais, femme possédait alors et possédait encore aujourd'hui.
« Aaaah Poudlard... Oui, j'ai bien vécu ma jeunesse. Mais tu te trompes, effectivement. Tu m'intéressais parce que tu étais vive d'esprit et pleine d'humour certes. Mais également parce que, comme aujourd'hui, tu étais tout simplement belle. »
Il lui prend délicatement la main dans la sienne et caresse le haut de celle-ci de son pouce tout en l'écoutant. Oui, ils étaient ensemble, mais oui, ils se connaissaient mal. Il concevait très bien la chose. Justement, ce mariage allait pouvoir leur permettre de combler les lacunes.
« Oui, je vois ce que tu veux dire. C'est vrai que tu connais plus Owen que tu ne me connais, moi. Mais ne t'en fais pas, nous avons tout le temps qu'il nous faut pour apprendre à se connaître. Nous ne formons pas forcément un vrai couple autrement que sur le papier, mais qui sait ? Avec le temps, nous en serons un. »
Il voyait bien qu'elle était gênée par la situation et un peu par ce qu'elle tentait de lui expliquer. Il était évident qu'il y avait plus drôle le lendemain d'un mariage pour briser la glace. Mais hé, il était dans le même bateau qu'elle. Lui aussi avait des doutes. Juste que pour le moment, il se laissait porter parce que c'était le matin et qu'il n'avait pas envie de gâcher l'ambiance. Il voulait profiter de chaque moment de repos que sa vie allait lui octroyer. Parce qu'avec son boulot, pas certain que ça puisse arriver souvent. Officiellement, il était agent de liaison entre le MACUSA et le Ministère de la Magie. Rien dans les papiers transmis aux Anglais ne parlait de sa spécialisation comme agent d'infiltration. Il avait été briefé, il savait ce qu'il devait dire, à qui et pourquoi.
Il prit un air faussement outré quand il entendit qu'il draguait très mal à l'époque. Sérieusement ? Alors pourquoi avait-il eu ce succès qu'elle-même avait confirmé, pas plus tard, qu'il y a cinq minutes ? Elle espérait qu'il s'était amélioré ? Qu'est-ce qu'il ne fallait pas entendre. Le rire de la jolie blonde était musical et doux aux oreilles de l'Auror. Faisant comme s'il était piqué dans son orgueil, il commença à chatouiller sa femme tout en lui disant :
« Comment ça, je draguais très mal. Comment çaaaa, je draguais très mal. Mais comment oses-tu, tu vas me le payer. »
« Aaaah Poudlard... Oui, j'ai bien vécu ma jeunesse. Mais tu te trompes, effectivement. Tu m'intéressais parce que tu étais vive d'esprit et pleine d'humour certes. Mais également parce que, comme aujourd'hui, tu étais tout simplement belle. »
Il lui prend délicatement la main dans la sienne et caresse le haut de celle-ci de son pouce tout en l'écoutant. Oui, ils étaient ensemble, mais oui, ils se connaissaient mal. Il concevait très bien la chose. Justement, ce mariage allait pouvoir leur permettre de combler les lacunes.
« Oui, je vois ce que tu veux dire. C'est vrai que tu connais plus Owen que tu ne me connais, moi. Mais ne t'en fais pas, nous avons tout le temps qu'il nous faut pour apprendre à se connaître. Nous ne formons pas forcément un vrai couple autrement que sur le papier, mais qui sait ? Avec le temps, nous en serons un. »
Il voyait bien qu'elle était gênée par la situation et un peu par ce qu'elle tentait de lui expliquer. Il était évident qu'il y avait plus drôle le lendemain d'un mariage pour briser la glace. Mais hé, il était dans le même bateau qu'elle. Lui aussi avait des doutes. Juste que pour le moment, il se laissait porter parce que c'était le matin et qu'il n'avait pas envie de gâcher l'ambiance. Il voulait profiter de chaque moment de repos que sa vie allait lui octroyer. Parce qu'avec son boulot, pas certain que ça puisse arriver souvent. Officiellement, il était agent de liaison entre le MACUSA et le Ministère de la Magie. Rien dans les papiers transmis aux Anglais ne parlait de sa spécialisation comme agent d'infiltration. Il avait été briefé, il savait ce qu'il devait dire, à qui et pourquoi.
Il prit un air faussement outré quand il entendit qu'il draguait très mal à l'époque. Sérieusement ? Alors pourquoi avait-il eu ce succès qu'elle-même avait confirmé, pas plus tard, qu'il y a cinq minutes ? Elle espérait qu'il s'était amélioré ? Qu'est-ce qu'il ne fallait pas entendre. Le rire de la jolie blonde était musical et doux aux oreilles de l'Auror. Faisant comme s'il était piqué dans son orgueil, il commença à chatouiller sa femme tout en lui disant :
« Comment ça, je draguais très mal. Comment çaaaa, je draguais très mal. Mais comment oses-tu, tu vas me le payer. »
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Première nuit en tant que mariés - @Rendall Sterling
Elle s'était moquée de lui concernant sa façon de draguer à Poudlard, il fallait bien détendre un peu l'atmosphère, disons qu'elle était bien plus stressée depuis quelques secondes, la seconde où elle s'était dit que finalement, elle pouvait bien lui accorder une chance au lit, mais lui accorder cette chance voudrait surement dire pour lui qu'il avait une chance ailleurs que dans ce lit et ce n'était pas le cas du tout. Mais il fallait qu'elle se détende un peu, après tout, elle serait censée se montrer en public avec lui alors un peu d'intimité ne faisait de mal à personne, après tout, ils étaient adultes. Elle souriait face à ses compliments sans pour autant répondre. Son cœur se mit à battre plus vite de stress lorsqu'il évoque le fait qu'avec le temps peut être qu'ils seraient un couple. Hum, bon on verra ce détail plus tard hein.
Le voilà piqué dans son orgueil de mal, comment ça il draguait mal, et voilà des chatouilles gratuites, la blonde dégagea un rire dense alors qu'elle se tortillait dans tous les sens. Continuant de se tortiller alors qu'il se mettait à califourchon sur elle, il stoppa ses chatouilles alors qu'elle continuait de rire. Son torse face à elle était assez envoutant malgré tout, il venait de saisir ses poignets pour les mettre de chaque côté de sa tête. Son cœur se mit à battre plus vite, il s'approchait encore et encore plus près d'elle mais elle ne bougea pas et profita du baiser qu'il venait de lui donner. Il embrassait bien, il était beau gosse mais elle ne le lui dirait surement pas, pas encore, il prendrait la grosse tête. «Je suis navrée mais oui, tu embrasses pareil... Faudrait peut être que tu t'entraines du coup...» Dit elle avec un petit rire en haussant les épaules alors qu'elle détaillait son torse, descendant ses yeux jusqu'à ses abdos dessinés et ses tatouages.
Ses mots avaient dû sonner aux oreilles du Sterling car ses lèvres vinrent de nouveau captures celles de la blonde en lui enlevant son pull. Le t-shirt noir qu'elle portait en dessous était celui d'Owen, la sentait stressée, il lui avait donné un t-shirt à lui, réconfortant pour cette première nuit dans un monde inconnu. Heureusement que Rendall ne savait pas ça, sinon, il y avait de quoi couper court à cette action.
Elle se laisse faire, en général, il faut dire que c'est elle qui prend les devant mais là, elle est disons plutôt stressée par la situation. Des compliments de Rendall viennent parfaire ses lèvres, de quoi la détendre. Aucun homme ne pourrait dire le contraire. Non mais elle oui, la confiance en elle n'est pas quelque chose qu'elle possède.
Sur quelques quiproquo.
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Ils allaient partager un moment intime, un moment qui n'appartiendrait qu'à eux, un moment qui est tout ce qu'il y a de plus normal entre une femme et son mari, pour peu qu'il y ait de l'amour des deux côtés. Là, c'était différent. @Arizona Buchanan et Rendall s'étaient mariés par convenances et suivant une tradition qui n'appartient qu'aux gens de leur sang. C'était un geste qui se voulait conservateur. L'une comme l'autre étaient des Sang-Pur et il fallait donc qu'ils chérissent l'or carmin plutôt que celui des émotions. Dans ces circonstances, il est attendu d'eux que la lignée se perpétue. Mais ils n'étaient plus au Moyen-âge même si la société des sorciers peut se montrer archaïque sur certains aspects. La femme a plus de droits qu'à l'époque et n'a plus seulement de devoirs. Ainsi, donc, elle peut refuser de coucher avec son époux. Ce dernier, pour peu qu'il soit un minimum bien élevé, ne peut la forcer à avoir des rapports charnels avec lui. L'enjeu se situe ailleurs, il faut dans un premier temps s'apprivoiser, apprendre à se connaître. Cette phase est en partie faite avec eux deux vu qu'ils se connaissent depuis leurs études à Poudlard. Néanmoins, ils ont changé depuis ce temps-là. De l'eau à coulé sous les ponts, ils ont vécu chacun des épreuves qui ont modifié subtilement leur personnalité et qui font d'eux les personnes qu'ils sont désormais.
De ce fait, ils doivent donc apprendre à connaître ces nouvelles facettes de leurs deux personnalités. Voir les points communs, ce qui les différencie et tout un tas d'autres choses que l'on apprend, parfois, s'en sans rendre compte, quand l'on vit en couple. Mais là, ce matin, le premier en tant que mariés, ils allaient avoir des rapports. C'était parti d'une question toute bête d'Arizona qui voulait savoir comment ils allaient procéder. De son côté, le Sterling n'avait pas compris où elle voulait en venir, mais de fil en aiguille, ils en étaient arrivés au moment où les corps allaient être découvert, mis à nu. La jolie blonde stressait, cela se ressentait, mais elle passait outre sans doute par curiosité et parce que son mari avait un corps qu'elle souhaitait découvrir, qui aiguisait son propre appétit. De son côté, l'Américain stressait également. Raison pour laquelle il avait son esprit qui partait comme une balle de flipper et qu'il était allé chercher des glaçons, de la chantilly, un bandeau. Il se voyait faire plein de choses avec sa femme sans pour autant penser au plus important... Ça allait être leur première fois ensemble. Du coup, son esprit fonceur avait pris un peu le dessus sur sa réflexion. Il avait eu la chance de marier une sublime femme, il était tout aussi content d'avoir l'opportunité de découvrir ce corps qu'il désirait.
Bien qu'il soit gagné par l'envie de ne faire qu'un avec elle, il devait se contenir et faire ça bien, faire ça dans les règles. Il devait prendre son temps au risque de faire fuir la Buchanan et de devoir ramer pour avoir une autre chance. Il se savait capable de pouvoir faire les choses bien, il devait simplement le lui montrer. Les petites piques humoristiques de la blonde le faisaient sourire et détendaient l'ambiance.
De ce fait, ils doivent donc apprendre à connaître ces nouvelles facettes de leurs deux personnalités. Voir les points communs, ce qui les différencie et tout un tas d'autres choses que l'on apprend, parfois, s'en sans rendre compte, quand l'on vit en couple. Mais là, ce matin, le premier en tant que mariés, ils allaient avoir des rapports. C'était parti d'une question toute bête d'Arizona qui voulait savoir comment ils allaient procéder. De son côté, le Sterling n'avait pas compris où elle voulait en venir, mais de fil en aiguille, ils en étaient arrivés au moment où les corps allaient être découvert, mis à nu. La jolie blonde stressait, cela se ressentait, mais elle passait outre sans doute par curiosité et parce que son mari avait un corps qu'elle souhaitait découvrir, qui aiguisait son propre appétit. De son côté, l'Américain stressait également. Raison pour laquelle il avait son esprit qui partait comme une balle de flipper et qu'il était allé chercher des glaçons, de la chantilly, un bandeau. Il se voyait faire plein de choses avec sa femme sans pour autant penser au plus important... Ça allait être leur première fois ensemble. Du coup, son esprit fonceur avait pris un peu le dessus sur sa réflexion. Il avait eu la chance de marier une sublime femme, il était tout aussi content d'avoir l'opportunité de découvrir ce corps qu'il désirait.
Bien qu'il soit gagné par l'envie de ne faire qu'un avec elle, il devait se contenir et faire ça bien, faire ça dans les règles. Il devait prendre son temps au risque de faire fuir la Buchanan et de devoir ramer pour avoir une autre chance. Il se savait capable de pouvoir faire les choses bien, il devait simplement le lui montrer. Les petites piques humoristiques de la blonde le faisaient sourire et détendaient l'ambiance.
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