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11 Janvier 2023 : Introduction aux SHS
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FICHE DE PERSO
11 Janvier 2023
Introduction aux SHS
Introduction aux SHS
Participants :
- @Harry Kaal
- @Artémisia MacKintosh
- @Eynaelle Sanderson
- @Antor William d'Avalon
- place disponible
Lien vers les inscriptions.
Comme c'était étrange de se retrouver dans cet amphithéâtre. Je me rappelais de ce lieu comme si je venais de le quitter. Il fallait dire que cette salle historique n'avait pas beaucoup changé. Pourtant, environ trente ans me séparaient de mes derniers pas à Poudlard. J'en avais suivi des conférences et des études dans l'Amphithéâtre Rowena. Désormais, ma place n'était plus en tribune à prendre des notes, mais bien sur scène, au centre de toutes les attentions.
Fraîchement intégré au corps enseignant de l'école, l'heure de me plonger dans le vif du sujet, de ce nouveau métier, était arrivée. Oh Eun-Ae ! Si tu pouvais me voir en ce moment même. Enfin, j'imagine que d'une certaine façon, tu m'observes de là où tu es. Je me demande ce que tu penses de ma réorientation. Marcher sur tes pas, reprendre ta mission professorale, n'est-ce pas là le meilleur moyen de t'honorer ? J'ai choisi de préparer l'avenir, de façonner les nouvelles générations. Tout comme toi tu as pu le faire autrefois, car tu étais une personne incroyable de bonté.
La salle était illuminée de mille feux. Les elfes de maison étaient venus avant moi pour préparer l'endroit et le dépoussiérer un minimum. Je n'ai jamais été favorable à leur exploitation, néanmoins il fallait bien admettre qu'ils travaillaient mieux que quiconque en la matière. Les belles boiseries sentaient d'ailleurs légèrement la résine d'entretien fraîche. Cela se voyait que le grand ménage de la trêve hivernale était passé par là.
Un grand tableau dominait la scène en hauteur, le même qu'il y a trente ans. Il s'agissait d'une œuvre Française, datant du début du XXème siècle, existant en deux exemplaires : l'un version moldue, exposé dans une université prestigieuse de Paris ; l'autre version sorcière, rendue vivante donc pour notre plus grand plaisir. Son nom était "Apollon et les Muses au sommet du Parnasse". Inutile de vous dire que j'avais hâte de converser plus amplement avec le dieu Grec des arts !
"Permettez-moi de me présenter à vous, cher dieu : Keir MacKintosh, professeur de sciences humaines et sociales. Nous allons partager ces lieux pendant un certain temps."
Apollon stoppa sa sérénade aux muses pour me regarder, un sourcil arqué et interrogateur. Il se rapprocha du bord du cadre et finit par me sourire. Le dieu de la connaissance s'exprima en anglais, avec un accent français tout à fait typique, signature certaine de l'auteur du tableau :
"Bienvenue professeur, même si je crois que nous nous sommes déjà croisés il y a fort longtemps. Votre barbe a poussé depuis, si je ne m'abuse.
- Tout juste seigneur, je me suis assis pour la première fois dans cet amphithéâtre en tant qu'élève il y a plus de trente ans. Et me voilà maintenant à préparer mon propre cours pour former les jeunes sorciers. Lui répondai-je aimablement.
- Belle destinée, je tâcherai de vous accompagner dans votre noble quête.
- Vous m'honorez. Je suis sûr que nous formerons une équipe à la hauteur de la tâche qui nous incombe."
L'être divin fit un signe approbateur de la tête et retourna à ses muses en dansant magnifiquement. Quel curieux camarade je m'étais trouvé là ! De mon côté, d'un geste de baguette, je fis sortir un livre de mon cartable. Il s'agissait de ma coproduction datée de 2019, en collaboration avec la brillante Atifa Mermaï, experte en sociologie reconnue parmi ses pairs : "Introduction aux Sciences Humaines & Sociales". J'avais choisi de nommer mon premier cours de la même façon, car il allait largement reposer sur ce guide initiatique.
Mon pupitre accueillit le petit livre à la reliure blanche, puis je m'installai confortablement sur mon siège. J'avais opté pour une tenue simple et élégante aujourd'hui : costume noir sans cravate, chemise grise finement satinée, pantalon noir et mocassins de cuir lustrés de la veille. Une broche en argent à l'effigie du chat MacKintosh brillait sur ma veste, au niveau de ma poitrine. Ma barbe était un peu ébouriffée mais mes cheveux, eux, étaient bien gominés en arrière.
L'heure approchait, les élèves n'allaient plus tarder. Je jetai un œil au trombinoscope des jeunes gens inscrits à mon cours. Mes lèvres affichèrent un mince sourire lorsque mon regard se posa sur la photo d'Artémisia. Ma fille me faisait l'honneur de sa présence, à moi de la rendre fière de son nom.
Fraîchement intégré au corps enseignant de l'école, l'heure de me plonger dans le vif du sujet, de ce nouveau métier, était arrivée. Oh Eun-Ae ! Si tu pouvais me voir en ce moment même. Enfin, j'imagine que d'une certaine façon, tu m'observes de là où tu es. Je me demande ce que tu penses de ma réorientation. Marcher sur tes pas, reprendre ta mission professorale, n'est-ce pas là le meilleur moyen de t'honorer ? J'ai choisi de préparer l'avenir, de façonner les nouvelles générations. Tout comme toi tu as pu le faire autrefois, car tu étais une personne incroyable de bonté.
La salle était illuminée de mille feux. Les elfes de maison étaient venus avant moi pour préparer l'endroit et le dépoussiérer un minimum. Je n'ai jamais été favorable à leur exploitation, néanmoins il fallait bien admettre qu'ils travaillaient mieux que quiconque en la matière. Les belles boiseries sentaient d'ailleurs légèrement la résine d'entretien fraîche. Cela se voyait que le grand ménage de la trêve hivernale était passé par là.
Un grand tableau dominait la scène en hauteur, le même qu'il y a trente ans. Il s'agissait d'une œuvre Française, datant du début du XXème siècle, existant en deux exemplaires : l'un version moldue, exposé dans une université prestigieuse de Paris ; l'autre version sorcière, rendue vivante donc pour notre plus grand plaisir. Son nom était "Apollon et les Muses au sommet du Parnasse". Inutile de vous dire que j'avais hâte de converser plus amplement avec le dieu Grec des arts !
"Permettez-moi de me présenter à vous, cher dieu : Keir MacKintosh, professeur de sciences humaines et sociales. Nous allons partager ces lieux pendant un certain temps."
Apollon stoppa sa sérénade aux muses pour me regarder, un sourcil arqué et interrogateur. Il se rapprocha du bord du cadre et finit par me sourire. Le dieu de la connaissance s'exprima en anglais, avec un accent français tout à fait typique, signature certaine de l'auteur du tableau :
"Bienvenue professeur, même si je crois que nous nous sommes déjà croisés il y a fort longtemps. Votre barbe a poussé depuis, si je ne m'abuse.
- Tout juste seigneur, je me suis assis pour la première fois dans cet amphithéâtre en tant qu'élève il y a plus de trente ans. Et me voilà maintenant à préparer mon propre cours pour former les jeunes sorciers. Lui répondai-je aimablement.
- Belle destinée, je tâcherai de vous accompagner dans votre noble quête.
- Vous m'honorez. Je suis sûr que nous formerons une équipe à la hauteur de la tâche qui nous incombe."
L'être divin fit un signe approbateur de la tête et retourna à ses muses en dansant magnifiquement. Quel curieux camarade je m'étais trouvé là ! De mon côté, d'un geste de baguette, je fis sortir un livre de mon cartable. Il s'agissait de ma coproduction datée de 2019, en collaboration avec la brillante Atifa Mermaï, experte en sociologie reconnue parmi ses pairs : "Introduction aux Sciences Humaines & Sociales". J'avais choisi de nommer mon premier cours de la même façon, car il allait largement reposer sur ce guide initiatique.
Mon pupitre accueillit le petit livre à la reliure blanche, puis je m'installai confortablement sur mon siège. J'avais opté pour une tenue simple et élégante aujourd'hui : costume noir sans cravate, chemise grise finement satinée, pantalon noir et mocassins de cuir lustrés de la veille. Une broche en argent à l'effigie du chat MacKintosh brillait sur ma veste, au niveau de ma poitrine. Ma barbe était un peu ébouriffée mais mes cheveux, eux, étaient bien gominés en arrière.
L'heure approchait, les élèves n'allaient plus tarder. Je jetai un œil au trombinoscope des jeunes gens inscrits à mon cours. Mes lèvres affichèrent un mince sourire lorsque mon regard se posa sur la photo d'Artémisia. Ma fille me faisait l'honneur de sa présence, à moi de la rendre fière de son nom.
HRP : au-delà de ce premier tour d'installation, l'accès à l'amphithéâtre sera condamné. Du moins, les portes seront impossibles à ouvrir depuis l'extérieur. Par ailleurs, je n'impose pas de rythme, ni de longueur, ni d'ordre de réponse. Toutefois, au besoin les tours des participants pourront être ajustés/réorganisés. Nous communiquerons par MP ou via Discord pour nous mettre d'accord à ce propos, bien entendu. Dernière chose : je me réserve l'utilisation d'Apollon et de ses muses (présents dans le tableau de l'amphithéâtre), mais vous pouvez également essayer de leur parler si cela est cohérent avec vos personnages et les péripéties en cours. Par contre, je me chargerai de leurs réponses et de leurs agissements (ces PNJ sont destinés à des ressorts spécifiques dans ce cours).
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Expertise : Protego !
Sortilège de Niv.2
Expertise : Expelliarmus !
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Vous êtes un.e adepte du Unicorn Fest !
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Faceclaim : Emily Rudd
Âge : 21
Sang : Sang-Mêlée
Particularités : Demie-Vélane
Profession : Détenue d'Azkaban
Côté Cœur : ???
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Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
Maturité Magique (MM):
(20/50)
Education Magique (EM):
(50/100)
Potentiel Magique (PM):
(45/100)
Rigueur Magique (RM):
(65/100)
Expérience Magique (XM):
(45/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
Maturité Magique (MM):
(20/50)Education Magique (EM):
(50/100)Potentiel Magique (PM):
(45/100)Rigueur Magique (RM):
(65/100)Expérience Magique (XM):
(45/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
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FICHE DE PERSO
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11 Janvier 2023
Introduction aux SHS
Introduction aux SHS
Participants :
- @Harry Kaal
- @Artémisia MacKintosh
- @Eynaelle Sanderson
- @Antor William d'Avalon
La première élève à entrer dans l’Amphithéâtre était une jeune femme élégante au teint mat. D’un rapide coup d’œil au trombinoscope, je compris qu’il s’agissait d’Harry Kaal, une Serpentard d’un niveau scolaire avancé. Il était même spécifié sous sa photo qu’elle faisait partie des plus assidus en cours, se prédestinant au domaine du marketing. Voilà qui était prometteur, à voir si ses "gênes" de Serpentard n’étaient pas trop agaçants à moyen terme. Il y avait toujours un risque avec les membres de la maison au serpent d’argent.
Harry s’approcha de l’estrade où je siégeais, aux côtés du tableau d’Apollon, puis me salua avec entrain. Je souris face à un tel niveau de cirages de bottes. Toutefois, ne la connaissant pas, je préférais partir du principe qu’elle était sincère et enjouée par le cours à venir. Je la remerciais alors en retour, de toute la bonne humeur et sympathie dont j’étais capable. Elle prit aussitôt place au premier rang dédiés aux Serpentards. Le trombinoscope n’avait pas menti sur le caractère sérieux de l’Indienne...
C’est alors qu’apparue Artémisia, ma fille adorée. Elle semblait surprise de me voir là. Il fallait dire que j’avais entretenu le secret de ce nouveau poste à Poudlard jusqu’ici. Son ton m’étonna quelque peu, légèrement désinvolte. Je mis cela sur l’effet de surprise, il n’était pas question de démarrer ce travail avec un remontage de bretelles. Elle évoqua même mon choix récent de changer la couleur des murs du salon de notre maison. Elle voyait cela comme un petit caprice, soi-disant lié à ma crise de la cinquantaine. Je lui répondis du tac-o-tac, sans animosité bien sûr :
"Tâche d’avoir de bonnes notes, jeune fille. Tu pourras alors décider de quelles couleurs seront nos murs. Tu vois, je suis sympa, même pendant ma crise de la cinquantaine ! "
Apollon derrière moi semblait outré par les propos d’Artémisia. Mais ma réponse l’avait empêché d’intervenir, et heureusement je pense. Les mœurs d’un dieu Grec antique n’étaient certainement pas adaptées aux rapports père-fille du XXIème siècle.
L’arrivée d’Eynaelle Sanderson coupa court à la discussion. Elle aussi semblait plutôt contente de débarquer dans ce bel amphithéâtre historique. La jeune Poufsouffle avait même un peu trop haussé la voix pour ses premiers mots dans la salle. Trop de café au petit-déjeuner peut-être ? Au moins, cette demoiselle à la chevelure de blé était de bonne humeur. Je la saluais également avec un geste de la main et un grand sourire.
Une dizaine d’élèves plus discrets firent ensuite leur entrée avant la fermeture des portes. Ainsi, chaque rang serait un peu fourni. L’un de ces arrivants était Antor William d’Avalon, un autre Poufsouffle assez jeune. Le trombinoscope indiquait un handicap du langage. J’allais devoir prendre son cas avec des pincettes. Le bégaiement pouvait avoir plusieurs causes, mais surtout des conséquences difficiles dans la vie sociale. Un jeune homme bègue, livré à lui-même au milieu de camarades pas toujours bien malins pouvait alors connaître des expériences rudes. Il était hors de question que ce genre de chose se produise ici, évidemment.
"Bienvenue jeune homme, dis-je d’abord. Bienvenue à tous ! Lançai-je ensuite plus clairement à l’ensemble des élèves."
En me levant, je fis un petit revers de manche pour remuer ma baguette magique en direction des portes de l’amphithéâtre. Celles-ci se fermèrent d’un coup net, marquant l’impossibilité pour tout retardataire de s’intégrer à la classe. Le claquement franc en avait surpris quelques-uns, fait sourire d’autres. Je m’amusais personnellement du sursaut des moins éveillés. Sans plus tarder, j’ouvrais la séance en véritable maître de conférence :
"Mesdames, messieurs, chers jeunes sorciers, je suis heureux de votre présence. Bienvenue à l’Amphithéâtre Rowena !
- Bienvenue jeunes gens, ajouta Apollon en cessant de jouer sa sérénade."
D’un regard, je fis le tour des personnes présentes, m’assurant ainsi de la captation totale de leur attention.
"Je suis le Professeur MacKintosh. Comme vous le savez déjà, je vais vous enseigner les Sciences Humaines et Sociales, soit en version abrégées : les SHS."
J’écrivis dans les airs de la pointe de ma baguette, en lettres lumineuses rouges et dorées, les trois lettres mentionnées. En soufflant dessus, elles s’envolèrent en douceur au-dessus des rangs des étudiants avant de disparaître progressivement.
"Mais qu’est-ce qui se cache derrière ces mots ? On pourrait vite penser qu’il s’agit là d’un cours très optionnel, je dirais qu’il est plutôt intellectuellement fondamental. L’un ou l’une de vous a sans doute des bases en la matière, pour tenter de définir brièvement les Sciences Humaines et Sociales, avec son interprétation et ses propres mots ?"
Il était temps de jauger concrètement le bagage de ces jeunes gens.
Harry s’approcha de l’estrade où je siégeais, aux côtés du tableau d’Apollon, puis me salua avec entrain. Je souris face à un tel niveau de cirages de bottes. Toutefois, ne la connaissant pas, je préférais partir du principe qu’elle était sincère et enjouée par le cours à venir. Je la remerciais alors en retour, de toute la bonne humeur et sympathie dont j’étais capable. Elle prit aussitôt place au premier rang dédiés aux Serpentards. Le trombinoscope n’avait pas menti sur le caractère sérieux de l’Indienne...
C’est alors qu’apparue Artémisia, ma fille adorée. Elle semblait surprise de me voir là. Il fallait dire que j’avais entretenu le secret de ce nouveau poste à Poudlard jusqu’ici. Son ton m’étonna quelque peu, légèrement désinvolte. Je mis cela sur l’effet de surprise, il n’était pas question de démarrer ce travail avec un remontage de bretelles. Elle évoqua même mon choix récent de changer la couleur des murs du salon de notre maison. Elle voyait cela comme un petit caprice, soi-disant lié à ma crise de la cinquantaine. Je lui répondis du tac-o-tac, sans animosité bien sûr :
"Tâche d’avoir de bonnes notes, jeune fille. Tu pourras alors décider de quelles couleurs seront nos murs. Tu vois, je suis sympa, même pendant ma crise de la cinquantaine ! "
Apollon derrière moi semblait outré par les propos d’Artémisia. Mais ma réponse l’avait empêché d’intervenir, et heureusement je pense. Les mœurs d’un dieu Grec antique n’étaient certainement pas adaptées aux rapports père-fille du XXIème siècle.
L’arrivée d’Eynaelle Sanderson coupa court à la discussion. Elle aussi semblait plutôt contente de débarquer dans ce bel amphithéâtre historique. La jeune Poufsouffle avait même un peu trop haussé la voix pour ses premiers mots dans la salle. Trop de café au petit-déjeuner peut-être ? Au moins, cette demoiselle à la chevelure de blé était de bonne humeur. Je la saluais également avec un geste de la main et un grand sourire.
Une dizaine d’élèves plus discrets firent ensuite leur entrée avant la fermeture des portes. Ainsi, chaque rang serait un peu fourni. L’un de ces arrivants était Antor William d’Avalon, un autre Poufsouffle assez jeune. Le trombinoscope indiquait un handicap du langage. J’allais devoir prendre son cas avec des pincettes. Le bégaiement pouvait avoir plusieurs causes, mais surtout des conséquences difficiles dans la vie sociale. Un jeune homme bègue, livré à lui-même au milieu de camarades pas toujours bien malins pouvait alors connaître des expériences rudes. Il était hors de question que ce genre de chose se produise ici, évidemment.
"Bienvenue jeune homme, dis-je d’abord. Bienvenue à tous ! Lançai-je ensuite plus clairement à l’ensemble des élèves."
En me levant, je fis un petit revers de manche pour remuer ma baguette magique en direction des portes de l’amphithéâtre. Celles-ci se fermèrent d’un coup net, marquant l’impossibilité pour tout retardataire de s’intégrer à la classe. Le claquement franc en avait surpris quelques-uns, fait sourire d’autres. Je m’amusais personnellement du sursaut des moins éveillés. Sans plus tarder, j’ouvrais la séance en véritable maître de conférence :
"Mesdames, messieurs, chers jeunes sorciers, je suis heureux de votre présence. Bienvenue à l’Amphithéâtre Rowena !
- Bienvenue jeunes gens, ajouta Apollon en cessant de jouer sa sérénade."
D’un regard, je fis le tour des personnes présentes, m’assurant ainsi de la captation totale de leur attention.
"Je suis le Professeur MacKintosh. Comme vous le savez déjà, je vais vous enseigner les Sciences Humaines et Sociales, soit en version abrégées : les SHS."
J’écrivis dans les airs de la pointe de ma baguette, en lettres lumineuses rouges et dorées, les trois lettres mentionnées. En soufflant dessus, elles s’envolèrent en douceur au-dessus des rangs des étudiants avant de disparaître progressivement.
"Mais qu’est-ce qui se cache derrière ces mots ? On pourrait vite penser qu’il s’agit là d’un cours très optionnel, je dirais qu’il est plutôt intellectuellement fondamental. L’un ou l’une de vous a sans doute des bases en la matière, pour tenter de définir brièvement les Sciences Humaines et Sociales, avec son interprétation et ses propres mots ?"
Il était temps de jauger concrètement le bagage de ces jeunes gens.
HRP : l'accès à l'amphithéâtre est désormais condamné. La première personne à poster à la suite peut tenter une réponse à la question de Keir. Je répondrai directement, sans forcément qu'un tour complet n'ait été effectué, sauf si certaines personnes veulent réagir à ce qu'il se sera passé. Auquel cas, laissez-moi un MP sur le forum ou sur Discord, vous pouvez aussi m'y poser des questions au besoin.
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11 Janvier 2023
Introduction aux SHS
Introduction aux SHS
Participants :
- @Harry Kaal
- @Artémisia MacKintosh
- @Eynaelle Sanderson
- @Antor William d'Avalon
Ma question plongea l'assemblée dans une petite attente silencieuse. Les regards des uns étaient évasifs, mais les soupirs d'Apollon constituaient sûrement la donnée la plus agaçante. Même ma propre fille ne semblait pas partante pour se lancer dans une réponse devant tout le monde. Peut-être boudait-elle après notre dernier échange ? Parfois, j'étais un peu largué sur la susceptibilité de la jeunesse. Bref, je pariais sur Miss Kaal, roulant mes yeux pleins d'espoir vers elle. Toutefois, ma vue s'arrêta aux rangs de la maison Poufsouffle. Le jeune d'Avalon semblait vouloir s'exprimer. Loin de moi l'idée de le couper dans un élan de courage inattendu !
"L’ét_tu_tudes de_des int_ter_tera_ractions hum_maines ent_tre eux et le_leurs env_viro_ronne_nem_ments."
Derrière moi, le dieu dans son tableau s'exprima le premier sur ce que nous venions d'entendre, son désarroi ayant visiblement fait place à un entrain bienvenu :
"Voilà qui est dit. Pas de la plus belle des manières, pour sûr. Mais je suppose que le fond prime sur la forme !
- Tout à fait, enchaînai-je. Je dirais même que le fond devrait toujours primer sur la forme. L'éloquence ne devrait être qu'un plus, hélas elle est bien souvent sur-considérée par les uns et les autres."
Je revins ensuite à l'élève qui avait finalement brisé la glace dans ce premier cours de SHS, il était temps d'embrayer sur cette fameuse introduction :
"Bien William, merci pour cette première définition. Étant donné l'étendue du sujet, ce n'est pas si facile de le synthétiser en quelques mots."
D'un œil, je veillais à ce qu'aucune moquerie ne s'opère parmi les jeunes gens réunis. Il n'y avait pas lieu d'être, car William faisait finalement preuve de davantage de courage et d'esprit que tous les autres. Bien entendu, ce n'était pas une question si difficile. Toutefois, le challenge était porté sur la participation et la vivacité. Deux traits que personne ne prêtait au jeune homme de prime abord. Le Choixpeau avait-il bien fait d'envoyer ce garçon à Poufsouffle ? La maison rouge et or aurait pu également lui convenir, selon moi.
Me levant de mon siège dans un léger grincement, je m'avançai sur l'estrade pour casser la distance entre mes élèves et moi. C'était aussi un moyen simple de captiver de nouveau leur pleine attention. Ainsi, je pouvais m'exprimer clairement en étant certain d'être suivi :
"Vous l'aurez compris, les Sciences Humaines et Sociales nous amènent à nous interroger sur nous tous, au sens large du terme. Il ne s'agira pas, ici, de se contenter d'analyser la société et les comportements humains. Dans cet amphithéâtre, nous allons approfondir nos sujets, explorer ce que nous pouvons faire évoluer. Les fameux 'comment et pourquoi' sont les premiers pas vers le progrès commun. Avec les clefs que je vais vous donner, vous pourrez rendre ce monde meilleur. Du moins, si vous mettez un minimum d'énergie pour aller au bout de vos idées !"
Une petite pause me permit de ressentir les réactions à cette approche voulue dynamique. Je voulais donner envie aux jeunes d'être curieux. J'espérais sincèrement, par ma matière, offrir des connaissances utiles pour l'avenir de tous. Et par tous, j'entendais "par-delà les murs de Poudlard", à moyen terme. C'était ce qu'Eun-Ae faisait de son vivant en tant que professeure, désormais cette mission était la mienne.
"Aujourd'hui, nous allons découvrir en surface, ensemble, les disciplines fondamentales qui nous concernent. Ce cours vous permettra avant tout de savoir dans quoi vous vous embarquez, si vous conservez les SHS dans vos options pour la suite de vos études. Le premier thème est, sans aucun doute, le grand favori de notre ami divin derrière moi : la philosophie.
- Je confirme, Professeur. Approuva Apollon d'une révérence élégante.
- Cette discipline est celle des grands penseurs. En philosophie, on réfléchit au sens des choses et à des concepts intellectuels tels que l'éthique, la liberté, le devoir, l'honneur, l'organisation de la société, et cetera. Quand des penseurs assez influents se réunissent autour d'un ensemble d'idées, cela génère ce que l'on appelle un courant philosophique. Il est alors primordial de connaître les grands courants historiques pour aborder les questions qui s'imposent à nous. Cela peut vous paraître un peu vague au début, mais la philosophie est une singularité humaine importante. Aucune autre espèce n'a conscience comme nous du monde dans sa globalité."
À nouveau, je laissai les élèves prendre un instant pour emmagasiner les informations qu'ils venaient de recevoir. La philosophie était un sacré morceau, il valait mieux que leurs premières notes sur cette discipline soient sérieuses. D'ailleurs, dans les lycées Moldus il s'agissait d'une matière à part entière. La plupart des courants philosophiques connus ayant été initiés au moins en partie par eux, il était logique de voir cette thématique prendre une telle place dans leur société.
"Ce qui m'amène à vous parler de la seconde discipline. Celle-ci est moins globalisante et permet de se plonger dans l'esprit des individus avec précision, afin de mieux cerner leurs agissements. La psychologie est un domaine pouvant sembler plus moderne, en réalité c'est une science très ancienne. Simplement, avant le XIXème siècle elle était intégrée à la philosophie, car il est vrai que l'une et l'autre sont étroitement liées. Toutefois, la psychologie nous amène plutôt à définir le caractère des gens. Par exemple, en discutant avec quelqu'un pendant un certain temps, vous allez vous faire une idée de son profil psychologique. Peut-être que vous lui trouverez des qualités et des défauts, que vous capterez chez lui des blessures encore douloureuses. Votre avis sur une personne est aussi lié à votre perception des choses, soit à votre propre profil psychologique. C'est donc toujours une question d'interaction sociale !"
Respiration, tour de salle du regard, je me sentais comme un poisson dans l'eau dans cet amphithéâtre magnifique.
"En somme, les psychologues professionnels, dont vous avez forcément entendu parler, sont des spécialistes revendiqués du comportement. Mais attention, car une part de charlatans existent. Ils vous feront croire qu'ils sont capables de régler tous vos problèmes en échange de quelques Gallions. Commencez par vouloir vous aider vous-même et venez en SHS, ce sera souvent plus efficace !"
J'avais osé un trait d'humour en conclusion de cette partie. C'était là l'occasion de glisser une petite pique, habituelle chez moi, au cortège des pseudo-psychologues réparateurs de maux. Si j'avais dû me faire payer pour toutes les conversations enrichissantes que j'avais eu dans ma vie, je serais milliardaire. Enfin, heureusement il y avait aussi de bons professionnels dans le lot, capables en effet de distribuer des pistes d'amélioration appropriées aux gens désireux de progresser sur le plan psychologique. Les très bons me semblaient néanmoins peu nombreux par rapport aux escrocs, simple constat personnel.
"Ensuite vient la sociologie. Élément de toute évidence complémentaire aux précédents, cette discipline évoque clairement le contexte social, la place de chacun dans la société. Ses notions sont proches de la politique, mais font surtout le lien entre la condition social d'un individu et son comportement. Je la considère comme la petite-sœur de la psychologie, c'est un outil puissant afin de comprendre beaucoup d'événements de notre monde actuel.
- C'est en sociologie que l'on comprend que les voleurs ne sont pas forcément pauvres et vice-versa. N'est-ce pas ? Ironisa subtilement l'habitant du tableau de l'Amphithéâtre Rowena, ses muses gloussant à ses bras.
- Oui, c'est un des constats que la discipline permet, cher Apollon. Lançai-je amicalement."
Un grand sourire illumina mon visage. Au fil des explications, ma mine était devenue de plus en plus ferme et sérieuse. Cette intervention était alors parfaite dans l'optique de ponctuer le tout. Une bouffe bouffée d'oxygène plus tard, je repris :
"Si vous avez des questions, vous avez maintenant une fenêtre de tir. N'oubliez pas de lever la main avant de parler, cela me permettra de vous localiser rapidement dans la salle.
Il était important de laisser les élèves poser les questions qu'ils voulaient avant d'avancer dans le cours. Un petit tiers venait d'être fait, mine de rien. S'il y avait des zones d'ombre, autant les éclaircir tout de suite. Cela raccrocherait au wagon celles et ceux qui se sentaient moins concernés, qui plus est.
"Sinon, avons-nous ici quelqu'un d'éclairé capable de me parler cette fois des prochains thèmes, l'histoire et l'anthropologie ? Il y a des points à la clef, ce coup-ci."
Je fis un petit clin d’œil à mon auditoire, en espérant motiver quelque peu les troupes avec la récompense annoncée. Les plumes grattaient les feuilles de façon studieuse en tout cas, pour la plupart. Ce qui était bon signe ! À voir qui serait le prochain ou la prochaine à prendre la parole pour tenter de rafler la mise.
"L’ét_tu_tudes de_des int_ter_tera_ractions hum_maines ent_tre eux et le_leurs env_viro_ronne_nem_ments."
Derrière moi, le dieu dans son tableau s'exprima le premier sur ce que nous venions d'entendre, son désarroi ayant visiblement fait place à un entrain bienvenu :
"Voilà qui est dit. Pas de la plus belle des manières, pour sûr. Mais je suppose que le fond prime sur la forme !
- Tout à fait, enchaînai-je. Je dirais même que le fond devrait toujours primer sur la forme. L'éloquence ne devrait être qu'un plus, hélas elle est bien souvent sur-considérée par les uns et les autres."
Je revins ensuite à l'élève qui avait finalement brisé la glace dans ce premier cours de SHS, il était temps d'embrayer sur cette fameuse introduction :
"Bien William, merci pour cette première définition. Étant donné l'étendue du sujet, ce n'est pas si facile de le synthétiser en quelques mots."
D'un œil, je veillais à ce qu'aucune moquerie ne s'opère parmi les jeunes gens réunis. Il n'y avait pas lieu d'être, car William faisait finalement preuve de davantage de courage et d'esprit que tous les autres. Bien entendu, ce n'était pas une question si difficile. Toutefois, le challenge était porté sur la participation et la vivacité. Deux traits que personne ne prêtait au jeune homme de prime abord. Le Choixpeau avait-il bien fait d'envoyer ce garçon à Poufsouffle ? La maison rouge et or aurait pu également lui convenir, selon moi.
Me levant de mon siège dans un léger grincement, je m'avançai sur l'estrade pour casser la distance entre mes élèves et moi. C'était aussi un moyen simple de captiver de nouveau leur pleine attention. Ainsi, je pouvais m'exprimer clairement en étant certain d'être suivi :
"Vous l'aurez compris, les Sciences Humaines et Sociales nous amènent à nous interroger sur nous tous, au sens large du terme. Il ne s'agira pas, ici, de se contenter d'analyser la société et les comportements humains. Dans cet amphithéâtre, nous allons approfondir nos sujets, explorer ce que nous pouvons faire évoluer. Les fameux 'comment et pourquoi' sont les premiers pas vers le progrès commun. Avec les clefs que je vais vous donner, vous pourrez rendre ce monde meilleur. Du moins, si vous mettez un minimum d'énergie pour aller au bout de vos idées !"
Une petite pause me permit de ressentir les réactions à cette approche voulue dynamique. Je voulais donner envie aux jeunes d'être curieux. J'espérais sincèrement, par ma matière, offrir des connaissances utiles pour l'avenir de tous. Et par tous, j'entendais "par-delà les murs de Poudlard", à moyen terme. C'était ce qu'Eun-Ae faisait de son vivant en tant que professeure, désormais cette mission était la mienne.
"Aujourd'hui, nous allons découvrir en surface, ensemble, les disciplines fondamentales qui nous concernent. Ce cours vous permettra avant tout de savoir dans quoi vous vous embarquez, si vous conservez les SHS dans vos options pour la suite de vos études. Le premier thème est, sans aucun doute, le grand favori de notre ami divin derrière moi : la philosophie.
- Je confirme, Professeur. Approuva Apollon d'une révérence élégante.
- Cette discipline est celle des grands penseurs. En philosophie, on réfléchit au sens des choses et à des concepts intellectuels tels que l'éthique, la liberté, le devoir, l'honneur, l'organisation de la société, et cetera. Quand des penseurs assez influents se réunissent autour d'un ensemble d'idées, cela génère ce que l'on appelle un courant philosophique. Il est alors primordial de connaître les grands courants historiques pour aborder les questions qui s'imposent à nous. Cela peut vous paraître un peu vague au début, mais la philosophie est une singularité humaine importante. Aucune autre espèce n'a conscience comme nous du monde dans sa globalité."
À nouveau, je laissai les élèves prendre un instant pour emmagasiner les informations qu'ils venaient de recevoir. La philosophie était un sacré morceau, il valait mieux que leurs premières notes sur cette discipline soient sérieuses. D'ailleurs, dans les lycées Moldus il s'agissait d'une matière à part entière. La plupart des courants philosophiques connus ayant été initiés au moins en partie par eux, il était logique de voir cette thématique prendre une telle place dans leur société.
"Ce qui m'amène à vous parler de la seconde discipline. Celle-ci est moins globalisante et permet de se plonger dans l'esprit des individus avec précision, afin de mieux cerner leurs agissements. La psychologie est un domaine pouvant sembler plus moderne, en réalité c'est une science très ancienne. Simplement, avant le XIXème siècle elle était intégrée à la philosophie, car il est vrai que l'une et l'autre sont étroitement liées. Toutefois, la psychologie nous amène plutôt à définir le caractère des gens. Par exemple, en discutant avec quelqu'un pendant un certain temps, vous allez vous faire une idée de son profil psychologique. Peut-être que vous lui trouverez des qualités et des défauts, que vous capterez chez lui des blessures encore douloureuses. Votre avis sur une personne est aussi lié à votre perception des choses, soit à votre propre profil psychologique. C'est donc toujours une question d'interaction sociale !"
Respiration, tour de salle du regard, je me sentais comme un poisson dans l'eau dans cet amphithéâtre magnifique.
"En somme, les psychologues professionnels, dont vous avez forcément entendu parler, sont des spécialistes revendiqués du comportement. Mais attention, car une part de charlatans existent. Ils vous feront croire qu'ils sont capables de régler tous vos problèmes en échange de quelques Gallions. Commencez par vouloir vous aider vous-même et venez en SHS, ce sera souvent plus efficace !"
J'avais osé un trait d'humour en conclusion de cette partie. C'était là l'occasion de glisser une petite pique, habituelle chez moi, au cortège des pseudo-psychologues réparateurs de maux. Si j'avais dû me faire payer pour toutes les conversations enrichissantes que j'avais eu dans ma vie, je serais milliardaire. Enfin, heureusement il y avait aussi de bons professionnels dans le lot, capables en effet de distribuer des pistes d'amélioration appropriées aux gens désireux de progresser sur le plan psychologique. Les très bons me semblaient néanmoins peu nombreux par rapport aux escrocs, simple constat personnel.
"Ensuite vient la sociologie. Élément de toute évidence complémentaire aux précédents, cette discipline évoque clairement le contexte social, la place de chacun dans la société. Ses notions sont proches de la politique, mais font surtout le lien entre la condition social d'un individu et son comportement. Je la considère comme la petite-sœur de la psychologie, c'est un outil puissant afin de comprendre beaucoup d'événements de notre monde actuel.
- C'est en sociologie que l'on comprend que les voleurs ne sont pas forcément pauvres et vice-versa. N'est-ce pas ? Ironisa subtilement l'habitant du tableau de l'Amphithéâtre Rowena, ses muses gloussant à ses bras.
- Oui, c'est un des constats que la discipline permet, cher Apollon. Lançai-je amicalement."
Un grand sourire illumina mon visage. Au fil des explications, ma mine était devenue de plus en plus ferme et sérieuse. Cette intervention était alors parfaite dans l'optique de ponctuer le tout. Une bouffe bouffée d'oxygène plus tard, je repris :
"Si vous avez des questions, vous avez maintenant une fenêtre de tir. N'oubliez pas de lever la main avant de parler, cela me permettra de vous localiser rapidement dans la salle.
Il était important de laisser les élèves poser les questions qu'ils voulaient avant d'avancer dans le cours. Un petit tiers venait d'être fait, mine de rien. S'il y avait des zones d'ombre, autant les éclaircir tout de suite. Cela raccrocherait au wagon celles et ceux qui se sentaient moins concernés, qui plus est.
"Sinon, avons-nous ici quelqu'un d'éclairé capable de me parler cette fois des prochains thèmes, l'histoire et l'anthropologie ? Il y a des points à la clef, ce coup-ci."
Je fis un petit clin d’œil à mon auditoire, en espérant motiver quelque peu les troupes avec la récompense annoncée. Les plumes grattaient les feuilles de façon studieuse en tout cas, pour la plupart. Ce qui était bon signe ! À voir qui serait le prochain ou la prochaine à prendre la parole pour tenter de rafler la mise.
HRP : même principe que le tour précédent, simplement comme William a répondu à la première question j'attends la réponse d'une autre personne ici, histoire de faire tourner la participation. Quant à celles et ceux qui voudraient poser une question au professeur avec leurs personnages, vous avez quartier libre !
Expertise : Protego !
Sortilège de Niv.2
Expertise : Expelliarmus !
Sortilège de Niv.2
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Vous êtes un.e adepte du Unicorn Fest !
Béni(e) des fées !
Bonus de perspicacité. Vous pourrez demander 1 indice au MJ
INFOS
Messages : 697
Faceclaim : Emily Rudd
Âge : 21
Sang : Sang-Mêlée
Particularités : Demie-Vélane
Profession : Détenue d'Azkaban
Côté Cœur : ???
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
Maturité Magique (MM):
(20/50)
Education Magique (EM):
(50/100)
Potentiel Magique (PM):
(45/100)
Rigueur Magique (RM):
(65/100)
Expérience Magique (XM):
(45/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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