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11 Janvier 2023 : Introduction aux SHS
INFOS
FICHE DE PERSO
11 Janvier 2023
Introduction aux SHS
Introduction aux SHS
Participants :
- @Harry Kaal
- @Artémisia MacKintosh
- @Eynaelle Sanderson
- @Antor William d'Avalon
La jeune Eynaelle Sanderson leva la main la première. Décidément, Poufsouffle avait un lot d’étudiants actifs aujourd’hui. C’était une bonne chose, ces participations pourraient permettre à la maison jaune et noire de rééquilibrer un peu la compétition entre les différents groupes de Poudlard. L’interrogation de la jeune femme aux cheveux de blés porta sur les différences entre la philosophie des sorciers et celle des moldus. Elle alla même plus loin, en évoquant les différentes espèces intelligentes qui peuplaient l’univers magique, chose inexistante dans la société moldue. C’était à vrai dire un point intéressant et pertinent.
"Merci pour votre question, Miss Sanderson. Quant à votre réponse à propos de l’histoire, on peut dire que sur le fond elle mérite bien 5 points de récompense pour votre maison. L’histoire est en effet le principe de relater les événements passés en essayant de ne pas altérer la véracité des faits. Hélas, l’objectivité absolue n’existant pas, le métier d’historien est un des plus rigoureux et difficile du domaine scientifique. Il faut parfois des années de recherches afin de s’assurer de la justesse d’une seule affirmation. La remise en question des points de vue, le recoupement d’informations et la convergence des preuves sont fondamentaux dans cette discipline. Les historiens se doivent d’agir comme des enquêteurs d’excellence, car tout ce que nous apprenons aujourd’hui dépend de leurs rapports du passé."
Évidemment, j’avais dit tout ça en restant sympathique et souriant. Loin de moi l’idée de décourager qui que ce soit à s’exprimer dans cet amphithéâtre. Aussi, certains élèves avaient soudain l’air très attirés par le métier que je venais d’énoncer. Il valait mieux entretenir ce feu naissant, car les historiens professionnels peinaient à renouveler leurs effectifs. Chasser les méchants mages noirs était évidemment plus sexy sur le papier, que de compiler des informations sur un sujet donné pendant des années. L’un était aussi utile que l’autre pour la société, c’est ce que j’avais tenté de faire comprendre à mon auditoire.
"Enfin, je vais répondre à votre question, Miss Sanderson. L’humanité a la chance d’exister dans deux sociétés développées différentes : les moldus d’un côté, les sorciers de l’autre. Toutefois, les sorciers traversent le monde moldu fréquemment. Là où l’inverse n’est pas possible, car nos lois et nos mesures empêchent cette éventualité. De par mon vécu, j’ai pu analyser certaines facettes de la société moldue. Je peux ainsi vous affirmer, par exemple, que leurs sciences compensent largement l’absence de magie au quotidien. Là où les nôtres se délestent de nombreuses contraintes pratiques grâce à la magie. Ne pas avoir accès à la magie pousse beaucoup plus les moldus à la réflexion et au progrès technique, en quelque sorte."
La technologie mise au point par les non-majs, comme les appelaient les Américains, était en effet impressionnante. En constante quête de la prochaine avancée scientifique, les moldus paraissaient parfois forcenés. D’ailleurs, de nombreux penseurs de leur monde s’alarmaient sur l’avenir de leur société, car qu’on le veuille ou non cette planète avait ses propres limites physiques. Or, leur modèle moderne hyperconsommateur et énergivore semblait non viable à terme. Soit, parler de cela me permettait d’enchaîner sur le sujet de fond lié à la question de la Poufsouffle :
"Sur le plan de l’intellect, et quand on se penche sur tous les thèmes des SHS, on se rend compte que tous les auteurs-philosophes se complètent, même dans la contradiction, peu importe leurs origines. Bien entendu, il reste des réflexions spécifiques à chaque société. Vous en avez soulevé un exemple important et actuel : la place parmi les Hommes des autres espèces intelligentes. Les moldus n’ont aucune connaissance de l’existence de ces êtres. Ils se considèrent en fait, en majorité, comme les seuls capables de réflexions poussées sur l’organisation du monde."
Ce qui était aussi difficile à défendre qu’à contredire. Néanmoins, l’assemblée devant moi n’était pas encore prête pour ce genre de débats houleux. Je poursuivis tranquillement, laissant la complexité du sujet derrière nous, avant qu’un éventuel détracteur hargneux des moldus ne se manifeste :
"Ils ignorent qu’ils ne sont pas la plus grande race intelligente, car ils n’ont jamais croisé de créatures à leur niveau. Certains considèrent ce fait comme de l’égocentrisme, de l’excès de fierté ou encore de l’hégémonisme, personnellement je préfère plutôt parler d’inconscience collective."
Une courte pause me semblait nécessaire. D’autant plus qu’une autre élève levait la main pour prendre la parole à son tour. Et pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agissait de la belle Harry Kaal, la fameuse pointure de la maison au serpent d’argent. Harry s’était montrée très attentive et studieuse jusqu’ici. À mon signal, elle se lança dans une définition de l’anthropologie devant ses camarades. La plupart d’entre eux l’écoutaient avec une certaine estime dans le regard. Sa réputation la précédait, à n’en point douter. Sans oublier que sa démonstration était très bonne, au-delà de ça. Je la congratulai sans plus tarder, clairement satisfait de ses dires :
"Excellent Miss Kaal ! J’octroie 10 points à Serpentard, car vous vous êtes appliquée autant sur la forme que sur le fond. J’ajouterais que, comme cela est spécifié dans votre livre, le terme anthropologie vient des mots grecs anthropos (les humains) et logia (l’étude). Apollon ici présent confirmera…"
Le dieu grec se contenta d’une révérence satisfaite dans ma direction. Un clin d’oeil plus tard, je me concentrai de nouveau sur mes élèves.
"Nous parlons ici d’une très vaste discipline, tant l’humain a de multiples sujets relatifs. Dans le but de structurer un peu les choses, nous la découperons dans notre programme en 4 sous-catégories : l’anthropologie culturelle, l’anthropologie physique (pour ne pas dire biologique), celle du langage et l’archéologie."
L’anthropologie, comme d’autres matières, avait ce caractère un poil trop large pour se définir en une seule matière nette. Également, il valait mieux la cantonner à quelques spécificités, sinon elle risquait d’empiéter sur toutes les autres disciplines. Une fois cela posé sur la table, il me fallait poursuivre avec la suite du programme, la dernière partie du cours approchant.
"Le thème suivant, l’économie, est devenu un incontournable tant notre existence complète dépend désormais de notre richesse personnelle. Le capitalisme a englouti bien des choses, que ce soit chez les sorciers comme chez les moldus. Si la dépendance à l’argent est plus forte chez ces derniers, il est évident qu’elle tient aussi un grand rôle dans la société magique. Notons au passage qu’il n’y a rien de plus injuste, voire inhumain, qu’un système où l’économie devient la priorité absolue, au-dessus de tout le reste. C’est une erreur vers laquelle la plupart des pays, sorciers ou non, vont de plus en plus, si je peux me permettre un court constat."
Les moldus étaient empêtrés dans leur course folle vers la croissance économique infinie. Il y avait une grande corrélation entre la quête de richesse, l’individualisme et leur modèle hyperconsommateur massivement pratiqué. Les sorciers avaient eux aussi toujours eu un système de domination par l’argent. Hélas, ce cours n’étant qu’une introduction, je n’aurais pas encore l’occasion de déployer tout ce pan du programme en ce jour.
"L’éducation et le langage sont là encore des disciplines concernées par les SHS. Sachant que le contenu de ces matières diffère grandement d’une région du monde à une autre, nous serons obligés de nous concentrer sur la variante liée au pays d’affiliation de Poudlard, c’est-à-dire le Royaume-Uni. Nous verrons qu’il est intéressant d’analyser comment une société oriente l’éducation de ses enfants selon ses besoins, avec plus ou moins de subtilité. Le langage, lui, est un peu plus incontrôlable pour les institutions. Des académies régissent les règles des langues, bien entendu, mais les évolutions adoptées finissent par se plier aux pratiques massives des gens. C’est ainsi que des mots apparaissent et disparaissent, en fonction de leur usage. Bref, le langage est une science passionnante ! Sans lui, ce que nous faisons ici, soit la transmission du savoir, serait impossible."
J’arrivais doucement au bout de mon discours. Certains élèves semblaient plus captivés par des disciplines précises, quand d’autres suivaient ou décrochaient de mes explications de but en blanc. C’était la dure loi de l’éducation ! Mais j’étais tout de même satisfait de cette introduction, puisque peu d’élèves montraient des signes démonstratifs d’ennui. Je repris la parole dans une grande sérénité :
"De nouveau, je vous laisse une ouverture afin de poser une question de votre choix. Je suis tout à vous !"
J’avais écarté les bras en grand pour appuyer ce trait de légèreté. Mon regard parcourut alors la salle, il y avait bien quelques élèves à l’esprit affûté qui souhaitaient intervenir.
"Merci pour votre question, Miss Sanderson. Quant à votre réponse à propos de l’histoire, on peut dire que sur le fond elle mérite bien 5 points de récompense pour votre maison. L’histoire est en effet le principe de relater les événements passés en essayant de ne pas altérer la véracité des faits. Hélas, l’objectivité absolue n’existant pas, le métier d’historien est un des plus rigoureux et difficile du domaine scientifique. Il faut parfois des années de recherches afin de s’assurer de la justesse d’une seule affirmation. La remise en question des points de vue, le recoupement d’informations et la convergence des preuves sont fondamentaux dans cette discipline. Les historiens se doivent d’agir comme des enquêteurs d’excellence, car tout ce que nous apprenons aujourd’hui dépend de leurs rapports du passé."
Évidemment, j’avais dit tout ça en restant sympathique et souriant. Loin de moi l’idée de décourager qui que ce soit à s’exprimer dans cet amphithéâtre. Aussi, certains élèves avaient soudain l’air très attirés par le métier que je venais d’énoncer. Il valait mieux entretenir ce feu naissant, car les historiens professionnels peinaient à renouveler leurs effectifs. Chasser les méchants mages noirs était évidemment plus sexy sur le papier, que de compiler des informations sur un sujet donné pendant des années. L’un était aussi utile que l’autre pour la société, c’est ce que j’avais tenté de faire comprendre à mon auditoire.
"Enfin, je vais répondre à votre question, Miss Sanderson. L’humanité a la chance d’exister dans deux sociétés développées différentes : les moldus d’un côté, les sorciers de l’autre. Toutefois, les sorciers traversent le monde moldu fréquemment. Là où l’inverse n’est pas possible, car nos lois et nos mesures empêchent cette éventualité. De par mon vécu, j’ai pu analyser certaines facettes de la société moldue. Je peux ainsi vous affirmer, par exemple, que leurs sciences compensent largement l’absence de magie au quotidien. Là où les nôtres se délestent de nombreuses contraintes pratiques grâce à la magie. Ne pas avoir accès à la magie pousse beaucoup plus les moldus à la réflexion et au progrès technique, en quelque sorte."
La technologie mise au point par les non-majs, comme les appelaient les Américains, était en effet impressionnante. En constante quête de la prochaine avancée scientifique, les moldus paraissaient parfois forcenés. D’ailleurs, de nombreux penseurs de leur monde s’alarmaient sur l’avenir de leur société, car qu’on le veuille ou non cette planète avait ses propres limites physiques. Or, leur modèle moderne hyperconsommateur et énergivore semblait non viable à terme. Soit, parler de cela me permettait d’enchaîner sur le sujet de fond lié à la question de la Poufsouffle :
"Sur le plan de l’intellect, et quand on se penche sur tous les thèmes des SHS, on se rend compte que tous les auteurs-philosophes se complètent, même dans la contradiction, peu importe leurs origines. Bien entendu, il reste des réflexions spécifiques à chaque société. Vous en avez soulevé un exemple important et actuel : la place parmi les Hommes des autres espèces intelligentes. Les moldus n’ont aucune connaissance de l’existence de ces êtres. Ils se considèrent en fait, en majorité, comme les seuls capables de réflexions poussées sur l’organisation du monde."
Ce qui était aussi difficile à défendre qu’à contredire. Néanmoins, l’assemblée devant moi n’était pas encore prête pour ce genre de débats houleux. Je poursuivis tranquillement, laissant la complexité du sujet derrière nous, avant qu’un éventuel détracteur hargneux des moldus ne se manifeste :
"Ils ignorent qu’ils ne sont pas la plus grande race intelligente, car ils n’ont jamais croisé de créatures à leur niveau. Certains considèrent ce fait comme de l’égocentrisme, de l’excès de fierté ou encore de l’hégémonisme, personnellement je préfère plutôt parler d’inconscience collective."
Une courte pause me semblait nécessaire. D’autant plus qu’une autre élève levait la main pour prendre la parole à son tour. Et pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agissait de la belle Harry Kaal, la fameuse pointure de la maison au serpent d’argent. Harry s’était montrée très attentive et studieuse jusqu’ici. À mon signal, elle se lança dans une définition de l’anthropologie devant ses camarades. La plupart d’entre eux l’écoutaient avec une certaine estime dans le regard. Sa réputation la précédait, à n’en point douter. Sans oublier que sa démonstration était très bonne, au-delà de ça. Je la congratulai sans plus tarder, clairement satisfait de ses dires :
"Excellent Miss Kaal ! J’octroie 10 points à Serpentard, car vous vous êtes appliquée autant sur la forme que sur le fond. J’ajouterais que, comme cela est spécifié dans votre livre, le terme anthropologie vient des mots grecs anthropos (les humains) et logia (l’étude). Apollon ici présent confirmera…"
Le dieu grec se contenta d’une révérence satisfaite dans ma direction. Un clin d’oeil plus tard, je me concentrai de nouveau sur mes élèves.
"Nous parlons ici d’une très vaste discipline, tant l’humain a de multiples sujets relatifs. Dans le but de structurer un peu les choses, nous la découperons dans notre programme en 4 sous-catégories : l’anthropologie culturelle, l’anthropologie physique (pour ne pas dire biologique), celle du langage et l’archéologie."
L’anthropologie, comme d’autres matières, avait ce caractère un poil trop large pour se définir en une seule matière nette. Également, il valait mieux la cantonner à quelques spécificités, sinon elle risquait d’empiéter sur toutes les autres disciplines. Une fois cela posé sur la table, il me fallait poursuivre avec la suite du programme, la dernière partie du cours approchant.
"Le thème suivant, l’économie, est devenu un incontournable tant notre existence complète dépend désormais de notre richesse personnelle. Le capitalisme a englouti bien des choses, que ce soit chez les sorciers comme chez les moldus. Si la dépendance à l’argent est plus forte chez ces derniers, il est évident qu’elle tient aussi un grand rôle dans la société magique. Notons au passage qu’il n’y a rien de plus injuste, voire inhumain, qu’un système où l’économie devient la priorité absolue, au-dessus de tout le reste. C’est une erreur vers laquelle la plupart des pays, sorciers ou non, vont de plus en plus, si je peux me permettre un court constat."
Les moldus étaient empêtrés dans leur course folle vers la croissance économique infinie. Il y avait une grande corrélation entre la quête de richesse, l’individualisme et leur modèle hyperconsommateur massivement pratiqué. Les sorciers avaient eux aussi toujours eu un système de domination par l’argent. Hélas, ce cours n’étant qu’une introduction, je n’aurais pas encore l’occasion de déployer tout ce pan du programme en ce jour.
"L’éducation et le langage sont là encore des disciplines concernées par les SHS. Sachant que le contenu de ces matières diffère grandement d’une région du monde à une autre, nous serons obligés de nous concentrer sur la variante liée au pays d’affiliation de Poudlard, c’est-à-dire le Royaume-Uni. Nous verrons qu’il est intéressant d’analyser comment une société oriente l’éducation de ses enfants selon ses besoins, avec plus ou moins de subtilité. Le langage, lui, est un peu plus incontrôlable pour les institutions. Des académies régissent les règles des langues, bien entendu, mais les évolutions adoptées finissent par se plier aux pratiques massives des gens. C’est ainsi que des mots apparaissent et disparaissent, en fonction de leur usage. Bref, le langage est une science passionnante ! Sans lui, ce que nous faisons ici, soit la transmission du savoir, serait impossible."
J’arrivais doucement au bout de mon discours. Certains élèves semblaient plus captivés par des disciplines précises, quand d’autres suivaient ou décrochaient de mes explications de but en blanc. C’était la dure loi de l’éducation ! Mais j’étais tout de même satisfait de cette introduction, puisque peu d’élèves montraient des signes démonstratifs d’ennui. Je repris la parole dans une grande sérénité :
"De nouveau, je vous laisse une ouverture afin de poser une question de votre choix. Je suis tout à vous !"
J’avais écarté les bras en grand pour appuyer ce trait de légèreté. Mon regard parcourut alors la salle, il y avait bien quelques élèves à l’esprit affûté qui souhaitaient intervenir.
INFOS
FICHE DE PERSO
Cours de SHS - 11.01.23
J’écoutais le cours de manière studieuse en prenant des notes de temps en temps, au bout d’un moment ayant marre d’avoir mes cheveux revenant toujours à la charge sur ce que j’écrivais, j’attrape l’élastique qui trône autour de mon bras pour m’en servir afin d’attacher mes cheveux dans un chignon rapide juste pour qu’ils ne m’embêtent plus. J’avais écouté les réponses de mes camarades, souriant en direction d’ @Antor William d'Avalon quand celui-ci avait pris la parole. J’étais contente qu’il participe en cours, il ne devrait pas être mis de côté à cause de son handicap. Je ne sais pas pourquoi il ne veut pas faire comme @Yeleen Sô avec le langage des signes, mais il doit avoir ses raisons et je le respecte. Après avoir souris au jeune homme et à ma voisine de table qui se trouvent être ma colocataire : @Eynaelle Sanderson.
Quand la serpentarde (@Harry Kaal) pris la parole, je tourne la tête vers elle en mettant quelques notes en marge sur mon parchemin. Mon père, je ne m’y fais toujours pas au fait qu’il soit professeur maintenant, repris la parole pour affirmer ou contre dire les échos de mes camarades de cours. Quand il nous laissa de nouveau la parole, je me permis de demander à parler cette fois-ci. « Je conçois que l’argent aide à définir une classe sociale chez les moldus, les riches qui équivaut à la première classe, les modérés pour la deuxième classe et les pauvres même si c’est un terme que je n’apprécie pas pour la troisième classe. Mais chez les sorciers, peut-on parler de classe social à cause de notre sang ? Si nous sommes riches mais que nous sommes né-moldu, nous aurons forcément moins d’impact qu’un riche sang-pur ? Du coup, le sang rentre-t-il dans une conjonction pour définir le rang social des personnes ? »
Quand la serpentarde (@Harry Kaal) pris la parole, je tourne la tête vers elle en mettant quelques notes en marge sur mon parchemin. Mon père, je ne m’y fais toujours pas au fait qu’il soit professeur maintenant, repris la parole pour affirmer ou contre dire les échos de mes camarades de cours. Quand il nous laissa de nouveau la parole, je me permis de demander à parler cette fois-ci. « Je conçois que l’argent aide à définir une classe sociale chez les moldus, les riches qui équivaut à la première classe, les modérés pour la deuxième classe et les pauvres même si c’est un terme que je n’apprécie pas pour la troisième classe. Mais chez les sorciers, peut-on parler de classe social à cause de notre sang ? Si nous sommes riches mais que nous sommes né-moldu, nous aurons forcément moins d’impact qu’un riche sang-pur ? Du coup, le sang rentre-t-il dans une conjonction pour définir le rang social des personnes ? »
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