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eternal sunshine of the spotless mind - Ft Galahad
INFOS
FICHE DE PERSO
Blodeuyn & Galahad - 14 janvier 2023
Sautant au-dessus des deux dernières marches du grand escalier du hall, je prends la direction de la porte en bois qui donne sur le parc de Poudlard. Mettant mes mains dans mes poches, je vérifiais que j’avais bien la petite boite dans ma poche que je devais donner à Galahad pour son noël. Un peu en retard, je l’avoue. J’aurais pu envoyer Avalon pour le lui donner le 25 décembre, mais elle avait déjà eu du mal à faire le chemin pour chez @Nina Parker. Elle m’avait répondu que la chouette avait terminé sa course dans le plat de macaroni. Alors, j’avais décidé de la laisser se reposer. Mon ami gryffondorien ne m’en voudrait pas pour le lui donner que maintenant, surtout pour ce que c’était.
Chantonnant doucement un air moldu que ma meilleure amie m’avait fait découvrir durant les vacances de Noel, je pense que je la massacre plus qu’autre chose cette chanson, puisque j’ai du mal avec le français et surtout parce que je chante faux. Mais je n’allais pas prendre le micro embellisseur de voix qu’@Edel Almadovar m’avait offert pour mon anniversaire avec moi dans le parc de Poudlard. Je n’ai pas besoin d’avoir une autre rumeur circulant sur mon compte dans les couloir de Poudlard.
Je resserrais doucement mon écharpe de couleur rouge et or autour de mon cou alors qu’une petite rafale de vent frais se faisait sentir. Les températures n’étaient pas très élevées, mais bon ce n’était pas comme si on allait se mettre en maillot de bain pour bronzer ou je ne sais quoi. On va juste passer notre temps à discuter comme on a toujours pris le temps de le faire depuis que l’on est ami. Mes pas me menèrent dans un coin reculé auprès d’un arbre, mais surtout caché des regards vicieux des autres étudiants par quelques buissons. Le lac se trouvaient juste en face, il n’y avait pas une seule ondulation.
En passant près de l’arbre, je remarque la chevelure brune un peu désordonné de mon ex-petit-copain et un sourire espiègle s’empare de mon visage. Il me tourne le dos ce qui est parfait. Je m’avance doucement vers lui et surtout dans un silence glaçant avant de mettre mes mains sur ses côtés en les pinçant doucement et en criant un bruit d’animaux, avant de le lâcher et d’exploser de rire, ravie de l’effet.
Chantonnant doucement un air moldu que ma meilleure amie m’avait fait découvrir durant les vacances de Noel, je pense que je la massacre plus qu’autre chose cette chanson, puisque j’ai du mal avec le français et surtout parce que je chante faux. Mais je n’allais pas prendre le micro embellisseur de voix qu’@Edel Almadovar m’avait offert pour mon anniversaire avec moi dans le parc de Poudlard. Je n’ai pas besoin d’avoir une autre rumeur circulant sur mon compte dans les couloir de Poudlard.
Je resserrais doucement mon écharpe de couleur rouge et or autour de mon cou alors qu’une petite rafale de vent frais se faisait sentir. Les températures n’étaient pas très élevées, mais bon ce n’était pas comme si on allait se mettre en maillot de bain pour bronzer ou je ne sais quoi. On va juste passer notre temps à discuter comme on a toujours pris le temps de le faire depuis que l’on est ami. Mes pas me menèrent dans un coin reculé auprès d’un arbre, mais surtout caché des regards vicieux des autres étudiants par quelques buissons. Le lac se trouvaient juste en face, il n’y avait pas une seule ondulation.
En passant près de l’arbre, je remarque la chevelure brune un peu désordonné de mon ex-petit-copain et un sourire espiègle s’empare de mon visage. Il me tourne le dos ce qui est parfait. Je m’avance doucement vers lui et surtout dans un silence glaçant avant de mettre mes mains sur ses côtés en les pinçant doucement et en criant un bruit d’animaux, avant de le lâcher et d’exploser de rire, ravie de l’effet.
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FICHE DE PERSO
« Allez ! Descend ! C’est bon maintenant je sais que l’arbre est bon ! »
Avec une petite boîte dans les mains, j’essayais de faire redescendre le botruc d’un chêne blanc. Il semblait plutôt s’y plaire et je soupirai de dépit. C’était comme ça qu’on voyait si un arbre pouvait faire une bonne baguette magique. Il suffisait de prendre un botruc… Plus il s’y plaisait, plus l’essence de bois était correct. Et là… J’allais pouvoir en décrocher quelques branches.
« M’oblige pas à monter... »
Grognant quelques insultes au Botruc farceur, j’allais entreprendre de grimper quand des mains me pincèrent et me firent sursauter. Dans mon élan, je me retrouvais au sol et je me mis à hurler de peur. J’étais tellement concentré sur le botruc et l’esprit fermé pour contrôler ma légilimancie que je ne l’avais pas senti arriver.
« Argh ! Blo ! C’est pas vrai ! »
Je me redressais, rouge jusqu’aux oreilles. C’était Blo. Mon ex. J’avais toujours eu un faible pour elle et… on avait du se séparer beaucoup trop tôt à mon goût. Elle n’avait pas trouvé ce qu’elle cherchait dans notre relation et… Je préférai ne plus y penser et laisser tout ça enfouie dans mon esprit. Passant une main derrière ma nuque, d’un air un peu gêné, je déclarai :
« Qu’est ce que tu fais par ici ? T’es toute seule, Nina est pas avec toi ? »
Elles étaient souvent inséparable. Mais là, je ne la voyais pas du tout dans les environs. Et c’était tant mieux… J’étais toujours un peu mal à l’aise quand elles étaient deux. Faisant un effort de concentration supplémentaire pour garder mon esprit dans ma propre tête, je la regardais d’un air calme. Alors que je ne l’étais jamais quand elle était dans les parages.
« T’as passé de bonnes fêtes de fins d’années ? T’as réussi à te réconcilier un peu avec ta tante ? »
Je savais que leur relation était complexe… Mais je savais aussi qu’il y avait beaucoup d’amour entre elles. Un amour vache, mais sincère. Les joues toujours un peu roses, je regardais ailleurs. J’avais pas tellement envie de parler de mon Noël et finalement j’en étais venu quand même à le mettre dans la conversation… Qu’est ce qui tournait pas rond chez moi.
Avec une petite boîte dans les mains, j’essayais de faire redescendre le botruc d’un chêne blanc. Il semblait plutôt s’y plaire et je soupirai de dépit. C’était comme ça qu’on voyait si un arbre pouvait faire une bonne baguette magique. Il suffisait de prendre un botruc… Plus il s’y plaisait, plus l’essence de bois était correct. Et là… J’allais pouvoir en décrocher quelques branches.
« M’oblige pas à monter... »
Grognant quelques insultes au Botruc farceur, j’allais entreprendre de grimper quand des mains me pincèrent et me firent sursauter. Dans mon élan, je me retrouvais au sol et je me mis à hurler de peur. J’étais tellement concentré sur le botruc et l’esprit fermé pour contrôler ma légilimancie que je ne l’avais pas senti arriver.
« Argh ! Blo ! C’est pas vrai ! »
Je me redressais, rouge jusqu’aux oreilles. C’était Blo. Mon ex. J’avais toujours eu un faible pour elle et… on avait du se séparer beaucoup trop tôt à mon goût. Elle n’avait pas trouvé ce qu’elle cherchait dans notre relation et… Je préférai ne plus y penser et laisser tout ça enfouie dans mon esprit. Passant une main derrière ma nuque, d’un air un peu gêné, je déclarai :
« Qu’est ce que tu fais par ici ? T’es toute seule, Nina est pas avec toi ? »
Elles étaient souvent inséparable. Mais là, je ne la voyais pas du tout dans les environs. Et c’était tant mieux… J’étais toujours un peu mal à l’aise quand elles étaient deux. Faisant un effort de concentration supplémentaire pour garder mon esprit dans ma propre tête, je la regardais d’un air calme. Alors que je ne l’étais jamais quand elle était dans les parages.
« T’as passé de bonnes fêtes de fins d’années ? T’as réussi à te réconcilier un peu avec ta tante ? »
Je savais que leur relation était complexe… Mais je savais aussi qu’il y avait beaucoup d’amour entre elles. Un amour vache, mais sincère. Les joues toujours un peu roses, je regardais ailleurs. J’avais pas tellement envie de parler de mon Noël et finalement j’en étais venu quand même à le mettre dans la conversation… Qu’est ce qui tournait pas rond chez moi.
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FICHE DE PERSO
Blodeuyn & Galahad - 14 janvier 2023
Je me calmais progressivement de mon rire assez expressif alors qu’il tombait sur les fesses me replongeant directement dans mon rire, sans compter que son petit crie me fit rire deux fois plus. Je finis tout de même par me calmer doucement, bien que quelques soubresauts me trahissent encore. « Si c’est vrai. » Oui réparti complètement débile, mais c’est toujours un peu le cas quand je suis avec lui de toute façon. Je souriais doucement alors que j’attrapais ses joues avec mes mains doucement, je n’avais pas l’intention de lui faire du mal. « Didou didou, il ne faut pas rougir comme ça, galadou. » Galadou, le bon surnom de ses morts qu’il déteste et que j’aime répéter avec amusement. D’ailleurs je ne sais même plus comment j’ai fini par l’appeler comme ça, à si je le cherchais et je l’ai trouvé couvert de boue, Galahad plus Boue donnait Galadou.
Qu’est que je fais ici ? Non mais vraiment ? Je le regarde surprise avant de fermer les yeux, il a encore oublié, ce n’est pas possible. ‘Tu as de la mélasse dans les neurones ?’ pensais-je en le regardant les bras croisés. Ou il a des joncheruines pleins la tête si bien qu’il peut même plus faire deux et deux égalent quatre. « Non, je suis avec mon ami Jean Tourloupe, il est juste invisible continuellement. » Dis-je le plus sérieusement possible avant de claquer mes bras contre contre mes hanches. « Sacre bleu bien sur que je suis seule Gal. Pourquoi Nina serait-elle-même ici alors que c’est censé être notre moment à nous là, tu as juste oublié encore une fois. Non, mais je vais te les graver sur le bras nos moments discussions. » Je ne vois pas d’autre solution, un rappeltout peut-être ? Oui, son prochain cadeau sera un rappeltout pour son anniversaire. C’est quand déjà. Oh, fais chier c’est passé. Je me frappe le front en réalisant que je n’avais pas pris de cadeau pour son anniversaire quel idée d’être né le 28 décembre.
« Ouai, avec ma tante ça va, elle n’est pas si horrible, c’est moi qui cherche la plus part du temps. Plus de problème avec la rousse. » dis-je en haussant les épaules et en shootant dans un cailloux qui n’avait rien demandé à personne et qui vivait sa petite vie de cailloux tranquillement. Je trifouille dans ma poche avant de sortir une petite boite de bonbons de bertie crochu, ainsi qu’un pins que j’avais trouvé dans le monde moldu c’était amusant, parce que les moldus parlent beaucoup d’histoire et mythes autour d’Arthur et ses chevaliers. « C’est pour toi, j’ai oublié pour ton anniversaire alors tu sais quoi, la prochaine fois qu’on va a pré au lard tu choisi un truc, sauf si tu as une idée de cadeau la de suite, je le noterais dans un coin de ma tête. Et ton noël ? » Il répondrait s’il voulait, je ne m’en formaliserais pas.
« Mais tu faisais quoi ? » demandais-je curieusement en regardant un peu partout. C’est vrai quoi, il était venu dans notre petit coin de tranquillité pour faire je ne sais quoi. « J’espère que tu ne prépares pas un pique-nique pour une autre fille dans notre coin à nous ? » demandais-je un peu ronchonne. Qu’il voit une autre fille, ça c’est son problème pas le mien, mais ici, juste pas possible, c’est le nôtre. Mes yeux se promenaient un peu partout cherchant le petit indice qui me mettrait sur la voix quand un petit bout de bois fait de vitalité attira mon attention. « Un botruc, oh trop bien. Trop mignon. Je vais le chercher. » Je ne laisse pas le temps à mon ami de répondre que je grimpe déjà dans l’arbre.
Qu’est que je fais ici ? Non mais vraiment ? Je le regarde surprise avant de fermer les yeux, il a encore oublié, ce n’est pas possible. ‘Tu as de la mélasse dans les neurones ?’ pensais-je en le regardant les bras croisés. Ou il a des joncheruines pleins la tête si bien qu’il peut même plus faire deux et deux égalent quatre. « Non, je suis avec mon ami Jean Tourloupe, il est juste invisible continuellement. » Dis-je le plus sérieusement possible avant de claquer mes bras contre contre mes hanches. « Sacre bleu bien sur que je suis seule Gal. Pourquoi Nina serait-elle-même ici alors que c’est censé être notre moment à nous là, tu as juste oublié encore une fois. Non, mais je vais te les graver sur le bras nos moments discussions. » Je ne vois pas d’autre solution, un rappeltout peut-être ? Oui, son prochain cadeau sera un rappeltout pour son anniversaire. C’est quand déjà. Oh, fais chier c’est passé. Je me frappe le front en réalisant que je n’avais pas pris de cadeau pour son anniversaire quel idée d’être né le 28 décembre.
« Ouai, avec ma tante ça va, elle n’est pas si horrible, c’est moi qui cherche la plus part du temps. Plus de problème avec la rousse. » dis-je en haussant les épaules et en shootant dans un cailloux qui n’avait rien demandé à personne et qui vivait sa petite vie de cailloux tranquillement. Je trifouille dans ma poche avant de sortir une petite boite de bonbons de bertie crochu, ainsi qu’un pins que j’avais trouvé dans le monde moldu c’était amusant, parce que les moldus parlent beaucoup d’histoire et mythes autour d’Arthur et ses chevaliers. « C’est pour toi, j’ai oublié pour ton anniversaire alors tu sais quoi, la prochaine fois qu’on va a pré au lard tu choisi un truc, sauf si tu as une idée de cadeau la de suite, je le noterais dans un coin de ma tête. Et ton noël ? » Il répondrait s’il voulait, je ne m’en formaliserais pas.
« Mais tu faisais quoi ? » demandais-je curieusement en regardant un peu partout. C’est vrai quoi, il était venu dans notre petit coin de tranquillité pour faire je ne sais quoi. « J’espère que tu ne prépares pas un pique-nique pour une autre fille dans notre coin à nous ? » demandais-je un peu ronchonne. Qu’il voit une autre fille, ça c’est son problème pas le mien, mais ici, juste pas possible, c’est le nôtre. Mes yeux se promenaient un peu partout cherchant le petit indice qui me mettrait sur la voix quand un petit bout de bois fait de vitalité attira mon attention. « Un botruc, oh trop bien. Trop mignon. Je vais le chercher. » Je ne laisse pas le temps à mon ami de répondre que je grimpe déjà dans l’arbre.
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FICHE DE PERSO
J’ouvris la bouche complètement désemparé. J’avais oublié d’offrir un truc à Blo ! Et j’avais oublié aussi notre petit rituel. Observant le Botruc au dessus de ma tête, puis le cadeau dans mes mains, je commençais à baragouiner un truc pour essayer de me sortir de cette situation.
« J’ai complètement oublié Blo… Et bien sûr que non, j’emmène personne dans notre endroit. C’est notre endroit et... »
Je baissais brusquement la tête. Contrairement à elle, qui était passé à autre chose directement après notre séparation, moi, j’avais eu du mal à l’encaisser. Je ne l’avais dit à personne, et j’avais garder cela comme un profond secret. J’en avais été raide dingue, et ça avait été la plus grande déception de ma vie, sentimentalement.
J’avais le courage d’un ours pour me battre. Le courage d’un dragon pour affronter des ennemis. Mais… je n’avais aucun courage pour accepter mes sentiments. Je continuais de baisser la tête.
« Je suis désolé. Je suis vraiment un mauvais ami... »
La poids de la culpabilité s’affala sur mes épaules. Mais visiblement, Blo, elle, était déjà passer à autre chose. Grimpant comme un singe dans l’arbre je me jetais en avant pour attraper brusquement Blo à la taille. Roulant dans l’herbe avec elle je me mis à crier.
« Non arrête ! La dernière t’as failli te briser la nuque ! Laisse le là haut, il va redescendre tout seul et... »
Je roulais brusquement sur le côté, rouge écarlate. Je m’étais rendu compte que j’étais couché sur elle, dans mon mouvement de placage. Enlevant l’herbe et la terre sur mes vêtements, je l’observais soudainement d’un œil nouveau. Il fallait que je fasse quelque chose, pour casser ce moment gênant.
« Tu sais quoi ! C’est avec toi que je vais faire un pique nique. Là maintenant tout de suite, ça sera mon cadeau pour toi. C’est… bon il fait un peu froid. Mais ça devrait le faire. Flinky ! »
Aussitôt un POP sonore retentit. Et un Elfe aux armoiries de Poudlard apparut. Il me fit une révérence et un large sourire. On s’était promis fidélité mutuelle… C’était une longue histoire.
« Flinky, tu connais Blo ! Amène nous son plat préféré et… une couverture ! S’il te plaît. »
L’elfe fit une révérence et un clin d’oeil. Puis, disparut dans un autre POP sonore.
« C’est quoi ton plat préféré ? On peut le manger dehors quand même ? »
« J’ai complètement oublié Blo… Et bien sûr que non, j’emmène personne dans notre endroit. C’est notre endroit et... »
Je baissais brusquement la tête. Contrairement à elle, qui était passé à autre chose directement après notre séparation, moi, j’avais eu du mal à l’encaisser. Je ne l’avais dit à personne, et j’avais garder cela comme un profond secret. J’en avais été raide dingue, et ça avait été la plus grande déception de ma vie, sentimentalement.
J’avais le courage d’un ours pour me battre. Le courage d’un dragon pour affronter des ennemis. Mais… je n’avais aucun courage pour accepter mes sentiments. Je continuais de baisser la tête.
« Je suis désolé. Je suis vraiment un mauvais ami... »
La poids de la culpabilité s’affala sur mes épaules. Mais visiblement, Blo, elle, était déjà passer à autre chose. Grimpant comme un singe dans l’arbre je me jetais en avant pour attraper brusquement Blo à la taille. Roulant dans l’herbe avec elle je me mis à crier.
« Non arrête ! La dernière t’as failli te briser la nuque ! Laisse le là haut, il va redescendre tout seul et... »
Je roulais brusquement sur le côté, rouge écarlate. Je m’étais rendu compte que j’étais couché sur elle, dans mon mouvement de placage. Enlevant l’herbe et la terre sur mes vêtements, je l’observais soudainement d’un œil nouveau. Il fallait que je fasse quelque chose, pour casser ce moment gênant.
« Tu sais quoi ! C’est avec toi que je vais faire un pique nique. Là maintenant tout de suite, ça sera mon cadeau pour toi. C’est… bon il fait un peu froid. Mais ça devrait le faire. Flinky ! »
Aussitôt un POP sonore retentit. Et un Elfe aux armoiries de Poudlard apparut. Il me fit une révérence et un large sourire. On s’était promis fidélité mutuelle… C’était une longue histoire.
« Flinky, tu connais Blo ! Amène nous son plat préféré et… une couverture ! S’il te plaît. »
L’elfe fit une révérence et un clin d’oeil. Puis, disparut dans un autre POP sonore.
« C’est quoi ton plat préféré ? On peut le manger dehors quand même ? »
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FICHE DE PERSO
Blodeuyn & Galahad - 14 janvier 2023
Oh il avait aussi oublié de m’acheter un cadeau de Noël, je baisse la tête un peu désarçonner. Il avait oublié aussi notre petit rituel, peut-être que je n’étais plus aussi importante à ses yeux. On est plus ensemble certes et c’est uniquement ma faute, parce que je sais que je ne suis pas le genre de fille qui lui faut, je suis trop en mode ‘je veux profiter’ et il est plus dans le mood ‘je veux construire un truc bien’, cela m’aurait convenu certainement mais à un âge plus avancé, la pour l’heure je veux juste profiter doucement de ma jeunesse. « Pouah, ce n’est pas la mort non plus. » commençais-je en souriant doucement alors que j’essayais de me convaincre que c’était juste un oublie de sa part. Personnellement, je ne l’oublie jamais pour Noel parce que c’est mon premier amour et qu’il aurait toujours une place importante dans mon cœur quoi qu’il pense. Je l’apprécierais toujours grandement et je le garderais toujours dans ma vie, hors de question que je le perde définitivement.
Alors au lieu de mon montré que j’étais vraiment peiné par le fait qu’il m’est oublié dans sa liste d’achat de Noel, la présence du Botruc sur la branche fut la diversion parfaite. Alors, j’avais commencé à grimper dans l’arbre sans vraiment penser à mon anxiété des hauteurs. Puis deux mains sur ma taille me firent rosir légèrement les joues, longtemps qu’il ne m’avait pas tenu par cet endroit. Surprise aussi par se contact soudain, je perdis la fermeté sur la branche pour me retrouver sur le sol quelques secondes après, le dos contre l’herbe un peu humide, puis Galahad tombant sur moi aussi. Mes yeux étaient plongés dans les siens avant de détournant doucement les yeux vers un côté. « Tu t’inquiètes toujours autant pour moi, je… » Je suis quoi ? Touché ? Subjugué ? Curieuse de savoir pourquoi il continue d’être autant chevaleresque avec moi ? Après tout, j’ai brisé son cœur qu’il m’avait confié, même si je n’avais jamais voulu vraiment le faire. « D’accord, je conçois que monter dans un arbre alors que j’ai le vertige n’est pas très intelligent. »
Le poids de son corps sur le mien se fit subitement inexistant, de mes iris je pouvais le voir rouler sur l’herbe avant de se mettre debout et qu’il n’enlève l’herbe qu’il avait sur ses vêtements. Je n’ai pas pu m’empêcher de rire une nouvelle fois en m’apercevant qu’il en restait tout un tas au niveau de ses cheveux. Je finis par me relever en frottant mes mains l’une contre l’autre, puis je m’approche du rouge et or. « Ne bouge pas, tu en as un peu ici. » Je me mettais sur la pointe des pieds pour voir ce que je faisais, c’est qu’il avait toujours été plus grand que moi. « Voila, dernière brindille enlever Monsieur Pendragon. » assurais-je en allant me mettre contre l’arbre.
« Moi ? » demandais-je en me pointant du doigt. « Maintenant ? » Par reflexe je regarde le ciel mais il ne semblait plus vraiment nuageux, il y avait même les prémices de rayons de soleils. « D’accord, ça pourrait être amusant. » terminais-je en souriant à pleine dent. Je n’ai pas pu m’empêcher de sursauter quand l’elfe apparu. Je ne m’y ferais jamais au pop sonore de ces petits êtres aux yeux globuleux amusant. « On n’était pas obligé de demander mon repas préféré et si tu ne manges rien ? » S’il était allergique à la tomate ? Je ne me souviens plus s’il a une allergie alimentaire. « Je… Ouai bien sûr que l’on peut, ce ne sont que des spaghettis bolognaises avec une tonne de fromage fondant. Depuis que Nina m’a montré ce truc, là, la belle et le clochard, j’adore. Cela me rappelle une scène à chaque fois que j’en mange. Mon côté fleur bleu presque inexistant pas de commentaire. J’ai une réputation de brute monsieur à maintenir. » Me laissant glisser contre le tronc, j’attrapais un bout de bois par terre et m’amusait à le bouger dans tous les sens. « Au fait pourquoi tu as un botruc ? » Je levais la tête pour regarder les branches d’arbre au-dessus du moi en souriant. « Botruc, botruc, allez descend, j’ai un jolie bout de bois. C’est quoi ton prénom botruc ? » L’elfe ne tarderait pas à revenir j’en étais persuadé. « Tu sais que tu peux venir à côté de moi ? Promis je ne te mordrais pas. »
Alors au lieu de mon montré que j’étais vraiment peiné par le fait qu’il m’est oublié dans sa liste d’achat de Noel, la présence du Botruc sur la branche fut la diversion parfaite. Alors, j’avais commencé à grimper dans l’arbre sans vraiment penser à mon anxiété des hauteurs. Puis deux mains sur ma taille me firent rosir légèrement les joues, longtemps qu’il ne m’avait pas tenu par cet endroit. Surprise aussi par se contact soudain, je perdis la fermeté sur la branche pour me retrouver sur le sol quelques secondes après, le dos contre l’herbe un peu humide, puis Galahad tombant sur moi aussi. Mes yeux étaient plongés dans les siens avant de détournant doucement les yeux vers un côté. « Tu t’inquiètes toujours autant pour moi, je… » Je suis quoi ? Touché ? Subjugué ? Curieuse de savoir pourquoi il continue d’être autant chevaleresque avec moi ? Après tout, j’ai brisé son cœur qu’il m’avait confié, même si je n’avais jamais voulu vraiment le faire. « D’accord, je conçois que monter dans un arbre alors que j’ai le vertige n’est pas très intelligent. »
Le poids de son corps sur le mien se fit subitement inexistant, de mes iris je pouvais le voir rouler sur l’herbe avant de se mettre debout et qu’il n’enlève l’herbe qu’il avait sur ses vêtements. Je n’ai pas pu m’empêcher de rire une nouvelle fois en m’apercevant qu’il en restait tout un tas au niveau de ses cheveux. Je finis par me relever en frottant mes mains l’une contre l’autre, puis je m’approche du rouge et or. « Ne bouge pas, tu en as un peu ici. » Je me mettais sur la pointe des pieds pour voir ce que je faisais, c’est qu’il avait toujours été plus grand que moi. « Voila, dernière brindille enlever Monsieur Pendragon. » assurais-je en allant me mettre contre l’arbre.
« Moi ? » demandais-je en me pointant du doigt. « Maintenant ? » Par reflexe je regarde le ciel mais il ne semblait plus vraiment nuageux, il y avait même les prémices de rayons de soleils. « D’accord, ça pourrait être amusant. » terminais-je en souriant à pleine dent. Je n’ai pas pu m’empêcher de sursauter quand l’elfe apparu. Je ne m’y ferais jamais au pop sonore de ces petits êtres aux yeux globuleux amusant. « On n’était pas obligé de demander mon repas préféré et si tu ne manges rien ? » S’il était allergique à la tomate ? Je ne me souviens plus s’il a une allergie alimentaire. « Je… Ouai bien sûr que l’on peut, ce ne sont que des spaghettis bolognaises avec une tonne de fromage fondant. Depuis que Nina m’a montré ce truc, là, la belle et le clochard, j’adore. Cela me rappelle une scène à chaque fois que j’en mange. Mon côté fleur bleu presque inexistant pas de commentaire. J’ai une réputation de brute monsieur à maintenir. » Me laissant glisser contre le tronc, j’attrapais un bout de bois par terre et m’amusait à le bouger dans tous les sens. « Au fait pourquoi tu as un botruc ? » Je levais la tête pour regarder les branches d’arbre au-dessus du moi en souriant. « Botruc, botruc, allez descend, j’ai un jolie bout de bois. C’est quoi ton prénom botruc ? » L’elfe ne tarderait pas à revenir j’en étais persuadé. « Tu sais que tu peux venir à côté de moi ? Promis je ne te mordrais pas. »
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FICHE DE PERSO
Rouge écarlate quand elle m’enleva la brindille, je me mis à fermer au maximum mon esprit. Ce n’était pas du tout le moment de perdre le contrôle et d’envoyer l’ensemble de mes pensées à Blo. Sans rien dire quand elle me parla de Nina, je me mis tout simplement en tailleur, en attendant que l’Elfe revienne avec un plat de spaghetti bolognaise et deux couverts. Sans un mot, je tendis une assiette et je commençais à me servir dans un mouvement un peu militaire.
« C’est le Botruc de la Boutique Ollivander, où je travaille. Quand un Botruc se plaît dans un arbre ; c’est que le bois est bon pour en faire une baguette avec. Là, il a l’air de bien se plaire… Ca veut dire que je vais pouvoir en rapporter un peu pour samedi. Je travaille là bas à mes heures perdues. C’est un métier vraiment passionnant… Et qui me repose, tu sais pour... »
D’un geste lent, je désignais ma tempe. Ma Légilimancie m’avait toujours fait souffrir. Et j’avais toujours trouvé des mécanismes pour me focaliser et me concentrer sur moi même sans faire « déborder » mes pensées sur les autres. L’escrime, la lecture, et bien évidemment la fabrication des baguettes magiques qui pour moi était un savoir essentiel.
« Et il s’appelle Stanley. » dis-je en souriant.
Mangeant avec appétit je me mis à devenir rouge écarlate quand elle me proposa de venir à côté d’elle. Mon assiette de spaghettis dans les bras, je me mis à trembler un peu comme une feuille.
« Je… euh… oui. »
Je m’approchais d’elle, à bonne distance. Avec un léger sourire, je restais quand même à une distance de plus d’un bras. Même si javais totalement fait le deuil de cette relation et que je ne ressentais plus rien pour Blo, je risquais quand même de resombrer à tout moment et je ne voulais pas ça. Je lui avais caché bien entendu, mais… repartir de zéro après notre relation avait plus compliqué pour elle que pour moi. Et ca avait été ma façon chevalresque de la protéger que de ne rien lui dire.
« Nina va bien au fait ? Elle a l’air toujours aussi drôle et vous avez l’air toujours aussi proche. Bon ton repas te plaît ? Je suis vraiment désolé encore ! J’ai pas pensé à... »
Mais soudain, Stanley tomba au milieu des spaghettis de Blo. Il se mit à paniquer et à pousser des couinement. Les spaghettis volèrent dans tous les sens nous mettant de la sauce tomate partout.
« ARGH ! STANLEY ! ARRETE ! »
Je voulus me saisir de Stanley, mais dans ma maladresse, ma main attrapa la tete de Blo et l’envoya directement dans le plat de pâtes.
« MERDE ! BLO PARDON ! »
J’avais toujours été maladroit…
« C’est le Botruc de la Boutique Ollivander, où je travaille. Quand un Botruc se plaît dans un arbre ; c’est que le bois est bon pour en faire une baguette avec. Là, il a l’air de bien se plaire… Ca veut dire que je vais pouvoir en rapporter un peu pour samedi. Je travaille là bas à mes heures perdues. C’est un métier vraiment passionnant… Et qui me repose, tu sais pour... »
D’un geste lent, je désignais ma tempe. Ma Légilimancie m’avait toujours fait souffrir. Et j’avais toujours trouvé des mécanismes pour me focaliser et me concentrer sur moi même sans faire « déborder » mes pensées sur les autres. L’escrime, la lecture, et bien évidemment la fabrication des baguettes magiques qui pour moi était un savoir essentiel.
« Et il s’appelle Stanley. » dis-je en souriant.
Mangeant avec appétit je me mis à devenir rouge écarlate quand elle me proposa de venir à côté d’elle. Mon assiette de spaghettis dans les bras, je me mis à trembler un peu comme une feuille.
« Je… euh… oui. »
Je m’approchais d’elle, à bonne distance. Avec un léger sourire, je restais quand même à une distance de plus d’un bras. Même si javais totalement fait le deuil de cette relation et que je ne ressentais plus rien pour Blo, je risquais quand même de resombrer à tout moment et je ne voulais pas ça. Je lui avais caché bien entendu, mais… repartir de zéro après notre relation avait plus compliqué pour elle que pour moi. Et ca avait été ma façon chevalresque de la protéger que de ne rien lui dire.
« Nina va bien au fait ? Elle a l’air toujours aussi drôle et vous avez l’air toujours aussi proche. Bon ton repas te plaît ? Je suis vraiment désolé encore ! J’ai pas pensé à... »
Mais soudain, Stanley tomba au milieu des spaghettis de Blo. Il se mit à paniquer et à pousser des couinement. Les spaghettis volèrent dans tous les sens nous mettant de la sauce tomate partout.
« ARGH ! STANLEY ! ARRETE ! »
Je voulus me saisir de Stanley, mais dans ma maladresse, ma main attrapa la tete de Blo et l’envoya directement dans le plat de pâtes.
« MERDE ! BLO PARDON ! »
J’avais toujours été maladroit…
INFOS
FICHE DE PERSO
Blodeuyn & Galahad - 14 janvier 2023
Les yeux toujours braqué sur le botruc, je redescendis mon regard sur le préfet de ma maison quand celui-ci me répondit qu’il s’agissait de celui du propriétaire de la boutique de baguette magique. Je hochais la tête avant de sourire heureuse de la voir parler avec passion d’un sujet qui lui tiens à cœur. « Je sais. » dis-je en détournant le regard. « Si je pouvais t’aider je le ferais, tu as essayé la méditation ? » Je n’étais pas certaine que cela soit vraiment bénéfique, mais je l’avais lu au cours d’un article dans mon magazine de métamorphose, d’ailleurs je me demande encore ce qu’un article sur la légilimencie faisait encore là-dedans. « Ils disent que le fait de méditer peut apaiser l’esprit alors je ne sais pas, peut-être que cela pourrait t’aider ? Tu sais comment il faut faire ? Ce n’est pas compliqué d’après le schéma il faut se mettre en tailleur, fermer les yeux et se concentrer sur sa respirer et vider son esprit. » répliquais-je alors que je prenais la dite position pour les montrer. Avant d’arrêter subitement. « Ouai, ce n’est vraiment pas un truc pour moi, je suis trop énergétique pour rester assis des lustres. »
Je haussais un sourcil en l’entendant nommer le botruc, Stanley qu’elle drôle de prénom pour un botruc. Cela étant, je regarde de nouveau le petit bout de bois vivant. « Enchanter monsieur Stanley le botruc. »
Regardant mon assiette bien remplis que Galahad m’avait donné quelques instants auparavant avec envie, je m’en léchais même les babines. « Merci Galadad pour le repas, j’apprécie beaucoup. » lançais-je alors que je le voyais s’approcher de moi après que je le lui avais demandé.
Je le détaillais doucement du coin de l’œil alors qu’il mangeait, il reste toujours autant beau garçon. BIP pas le moment de penser cela encore moins de retomber dans mes travers, je l’ai déjà blessé une fois, je ne veux pas recommencer. Je sursaute à sa question qui me sort de stupeur. « Hein ? Oh, euh, ouai Nina va bien. C’est ma meilleure amie, elle est venue quelques jours à la maison durant les vacances. Désolé de… » Je n’ai pas eu le temps de finir ma question, le petit botruc avait décidé de participer à un concours de plonger dans une assiette de spaghettis bolognaises. Je m’apprête à tendre la main pour l’aider mais une main à l’arrière de ma tête fait pression sur la mienne et de la lumière du jours, je suis passé au noir complet.
Ma tête était couverte de sauce tomate, de spaghettis et de fromage, mon visage, mes cheveux, tous et ce grâce à la bonne volonté de Galahad. Sur le bout de mon nez pendouillait doucement le botruc répondant au nom de Stanley. Tournant ma tête vers mon ex-petit-ami avec une sourire contrit, je ferme les yeux avant de les rouvrir doucement. « C’est pour que je devienne aussi rouge que toi le plongeons dans l’assiette ? » demandais-je pour le taquiner, je savais qu’il était maladroit, c’était d’ailleurs un des traits de sa personnalité qui m’avait plus chez lui. « Au moins Stanley ne se noie plus. » rajoutais-je doucement. J’attrape alors avec ma main le petit botruc pour le rendre à Galahad. « Je crois qu’il a autant besoin que moi d’une douche, quoi qu’un récurvite devrait faire l’affaire si tu as ta baguette. » Contrairement à moi qui passe la plus part de mon temps à ne pas l’avoir sur moi puisque je pars pour plus rapidement dans une bagarre de point qu’une duel de sorciers.
Je regardais mon assiette maintenant dépitée par le fait que je n’avais même pas eu le temps d’apprécier une bouchée. J’enlève un spaghettis qui traine devant mon œil droit avec une grimace de dégout et de le remettre dans l’assiette, je ne vais pas non plus les mettre par terre, Stanley le botruc s’en ai déjà chargé. Je pose mon assiette sur le sol. « Tu as de la chance que je t’aime bien et que je te pardonne trop facilement, tu en profite lourdement je trouve. » ajoutais-je en le pointant du doigts. « Quand tu veux, je suis ready pour le sortilège. » terminais-je avant de rajouter doucement. « Je vais devoir piquer dans ton assiette, je n’ai même pas eu le temps de manger une portion. » Je le regardais dans les yeux cherchant à savoir s’il allait me laisser prendre de la nourriture dans son assiette.
Je haussais un sourcil en l’entendant nommer le botruc, Stanley qu’elle drôle de prénom pour un botruc. Cela étant, je regarde de nouveau le petit bout de bois vivant. « Enchanter monsieur Stanley le botruc. »
Regardant mon assiette bien remplis que Galahad m’avait donné quelques instants auparavant avec envie, je m’en léchais même les babines. « Merci Galadad pour le repas, j’apprécie beaucoup. » lançais-je alors que je le voyais s’approcher de moi après que je le lui avais demandé.
Je le détaillais doucement du coin de l’œil alors qu’il mangeait, il reste toujours autant beau garçon. BIP pas le moment de penser cela encore moins de retomber dans mes travers, je l’ai déjà blessé une fois, je ne veux pas recommencer. Je sursaute à sa question qui me sort de stupeur. « Hein ? Oh, euh, ouai Nina va bien. C’est ma meilleure amie, elle est venue quelques jours à la maison durant les vacances. Désolé de… » Je n’ai pas eu le temps de finir ma question, le petit botruc avait décidé de participer à un concours de plonger dans une assiette de spaghettis bolognaises. Je m’apprête à tendre la main pour l’aider mais une main à l’arrière de ma tête fait pression sur la mienne et de la lumière du jours, je suis passé au noir complet.
Ma tête était couverte de sauce tomate, de spaghettis et de fromage, mon visage, mes cheveux, tous et ce grâce à la bonne volonté de Galahad. Sur le bout de mon nez pendouillait doucement le botruc répondant au nom de Stanley. Tournant ma tête vers mon ex-petit-ami avec une sourire contrit, je ferme les yeux avant de les rouvrir doucement. « C’est pour que je devienne aussi rouge que toi le plongeons dans l’assiette ? » demandais-je pour le taquiner, je savais qu’il était maladroit, c’était d’ailleurs un des traits de sa personnalité qui m’avait plus chez lui. « Au moins Stanley ne se noie plus. » rajoutais-je doucement. J’attrape alors avec ma main le petit botruc pour le rendre à Galahad. « Je crois qu’il a autant besoin que moi d’une douche, quoi qu’un récurvite devrait faire l’affaire si tu as ta baguette. » Contrairement à moi qui passe la plus part de mon temps à ne pas l’avoir sur moi puisque je pars pour plus rapidement dans une bagarre de point qu’une duel de sorciers.
Je regardais mon assiette maintenant dépitée par le fait que je n’avais même pas eu le temps d’apprécier une bouchée. J’enlève un spaghettis qui traine devant mon œil droit avec une grimace de dégout et de le remettre dans l’assiette, je ne vais pas non plus les mettre par terre, Stanley le botruc s’en ai déjà chargé. Je pose mon assiette sur le sol. « Tu as de la chance que je t’aime bien et que je te pardonne trop facilement, tu en profite lourdement je trouve. » ajoutais-je en le pointant du doigts. « Quand tu veux, je suis ready pour le sortilège. » terminais-je avant de rajouter doucement. « Je vais devoir piquer dans ton assiette, je n’ai même pas eu le temps de manger une portion. » Je le regardais dans les yeux cherchant à savoir s’il allait me laisser prendre de la nourriture dans son assiette.
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INFOS
FICHE DE PERSO
« Tu… tu peux prendre les miennes... »
J’avais tendu mon assiette. Puis, soudain quand elle me parla de Recurvite, je me rendis compte qu’elle s’adressait à moi. Maladroitement, je sortis ma baguette en bois de houx, et je pointais cette dernière d’une main tremblante au milieu du visage de Blo. J’espérai ne pas rater mon sort et lui casser le nez par accident ou quelque chose dans le genre tellement j’étais stressé.
« Recurvite. »
Le sort fonctionna et son visage redevint aussi propre qu’avant. Tendant mon plat de spaghettis, et commençant à manger avec elle comme au bon vieux temps, je me prêtais d’ailleurs à sourire bêtement à cette idée.
« Et sinon, les cours se passent bien ? »
Quand j’étais gêné, et elle le savait à mon plus grand malheur, je posais toujours des questions sur la vie quotidienne. Comment allait Tante Maeve. Comment allait Nina. Comment les cours se passaient.
Or, Tante Maeve, j’en avais un peu rien à faire… Même si elle ne m’avait rien fait, je me moquais un peu de savoir si elle allait puisque c’était une parfaite inconnue à mes yeux. On m’avait conseillé de la voir pour la psychomagie, mais je m’y étais refusé. Nina, si je voulais savoir comment elle allait, je la croisais suffisamment pour lui demander et… Les cours… je savais aussi plus ou moins comment ça se passait. Alors est-ce que je posais des questions stupides pour éviter d’être gêné par cette situation qui au final faisait plus que m’embarrasser… ? Oui.
« Ecoute Blo… Je vais pas y aller par quatre chemin… euh… C’est difficile. »
J’avais posé mon assiette et j’avais trouvé le courage de la regarder dans les yeux.
« C’est difficile, parce que, quand on s’est quitté, je t’ai dit que ça allait, que je ressentais plus rien pour toi. Aujourd’hui, c’est le cas effectivement. Mais à l’époque je t’ai menti. Je t’aimais et je t’ai laissé partir parce que je voulais pas que tu souffres. Mais… Ce genre d’évènement… Ces piques niques qui tournent pas rond… Ca me rappelle trop nous et... »
Sans m’en rendre compte je m’étais levé et j’étais devenu écarlate. Le Botruc était revenu dans ma poche. Je ne savais pas ce que je fichais debout et surtout je ne comprenais pas pourquoi je m’étais engagé aussi soudainement dans cette conversation. Ah si. Quand j’avais fait le Recurvite, mes yeux avaient encore été absorbé par les siens.
« Je suis trop bête. Je suis désolé. »
Ni une ni deux, je fis demi-tour et je me dirigeais vers la lisière de la forêt interdite. C’est alors que dans ma grande émotion d’avoir dit ça à Blo, je ne remarquais pas une racine noueuse au sol. Je m’étalais donc de tout mon long sur le sol, le Botruc roula dans une roulade infernale et ma baguette m’en tomba des mains. Mon souffle se coupa net.