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No country for werewolves | Ft. Blodeuyn
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FICHE DE PERSO
Être un lycan depuis la nouvelle législation est devenu pesant à vivre. Astrid est déclarée et sent le regard observateur du ministère peser sur elle. Elle se demande si ce ne serait pas pire si elle n’était pas déclarée. Outre une observation, elle pourrait être traquée, voire abattue. En sommes, tout ce que sa famille sait faire de mieux. Dans tous les cas, elle n’a jamais eu ce choix et a toujours dû vivre selon les règles les plus strictes pour ne pas finir la tête au bout d’une pique dans le jardin des Cynfeirdd. Geraint n’a eu aucun remord à tuer les parents d’Astrid, il n’en aurait pas pour elle non plus. Heureusement que Maeve est désormais à la tête du clan et qu’elle la protège, car ça ferait longtemps qu’elle ne serait plus de ce monde si Geraint avait eu toutes les cartes en main. Mais Astrid sait parfaitement qu’elle n’est pas la bienvenue. Dès qu’elle en a eu la possibilité, elle s’est émancipée et est partie vivre rejoindre une meute… la Meute. Elle pensait que ce serait une bonne idée, mais elle n’a jamais été totalement acceptée, moquée en paria, et maintenant, il est difficile de rester neutre avec la situation qui dégénère. Ses jours dans la Meute sont peut-être comptés et sans leur protection, elle craint de devenir une proie facile pour le ministère.
L’esprit torturé, la période est mal choisie. Les fêtes se sont terminées et, comme chaque année, Astrid prend une demi-journée pour rencontrer chaque membre de la famille qui compte pour elle et fêter à son tour. Elle n’a pas la tête aux réjouissances, alors elle se force à s’accorder du temps. Elle a prévu de rencontrer sa cousine Blodeuyn au Chemin de Traverse, où elle l’a invitée au Chaudron Baveur. Elle aurait préféré rester à l’abri dans l’allée des embrumes, mais elle n’aurait pu faire courir un risque à sa protégée. L’auberge des sorciers faisant la jonction avec le monde moldu devrait être un endroit suffisamment neutre pour éviter tout scandale. Dans le pire des cas, Astrid a déjà identifié les issues de sortie possibles.
Comme d’habitude, l’auberge est pleine à craquer. Elle croit même reconnaître un professeur de Poudlard qui traîne au comptoir et des élèves dans un coin jouant aux cartes. La brigade en poste à Pré-au-Lard doit en faire fuir plus d’un. Astrid prend place à l’étage, sur la mezzanine donnant sur la pièce principale. Une petite table pour deux personnes. Elle n’avait pas beaucoup d’autres options. Soigneusement, elle glissa sa mallette contre la rambarde pour qu’à son arrivée, Blo ne la voit pas trop. Dedans, il y a évidemment ses papiers en cas de contrôle, quelques affaires pour disparaître au besoin et le cadeau de Blo.
En attendant sa venue, elle commande une boisson alcoolisée et une part de tarte à la myrtille. Puis elle pose les coudes sur la table et observe la salle d’en bas d’un air las. Elle n’arrive pas à se retirer la sensation de danger lorsqu’elle est hors du marché aux trolls.
L’esprit torturé, la période est mal choisie. Les fêtes se sont terminées et, comme chaque année, Astrid prend une demi-journée pour rencontrer chaque membre de la famille qui compte pour elle et fêter à son tour. Elle n’a pas la tête aux réjouissances, alors elle se force à s’accorder du temps. Elle a prévu de rencontrer sa cousine Blodeuyn au Chemin de Traverse, où elle l’a invitée au Chaudron Baveur. Elle aurait préféré rester à l’abri dans l’allée des embrumes, mais elle n’aurait pu faire courir un risque à sa protégée. L’auberge des sorciers faisant la jonction avec le monde moldu devrait être un endroit suffisamment neutre pour éviter tout scandale. Dans le pire des cas, Astrid a déjà identifié les issues de sortie possibles.
Comme d’habitude, l’auberge est pleine à craquer. Elle croit même reconnaître un professeur de Poudlard qui traîne au comptoir et des élèves dans un coin jouant aux cartes. La brigade en poste à Pré-au-Lard doit en faire fuir plus d’un. Astrid prend place à l’étage, sur la mezzanine donnant sur la pièce principale. Une petite table pour deux personnes. Elle n’avait pas beaucoup d’autres options. Soigneusement, elle glissa sa mallette contre la rambarde pour qu’à son arrivée, Blo ne la voit pas trop. Dedans, il y a évidemment ses papiers en cas de contrôle, quelques affaires pour disparaître au besoin et le cadeau de Blo.
En attendant sa venue, elle commande une boisson alcoolisée et une part de tarte à la myrtille. Puis elle pose les coudes sur la table et observe la salle d’en bas d’un air las. Elle n’arrive pas à se retirer la sensation de danger lorsqu’elle est hors du marché aux trolls.
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FICHE DE PERSO
Blodeuyn & Astrid - première semaine janvier
Dernière semaine de vacances, la semaine prochaine je retournais à Poudlard, enfin plutôt le dimanche soir pour être prête le lundi matin pour le premier cours. J’avais quitté Caer Cynfeirdd de bonne heure afin de profiter un peu du chemin de traverse avant de rencontrer ma cousine. Je n’avais pris la peine de prévenir que ma tante, à quoi bon prévenir une rousse qui me fait la tête depuis le début des vacances ? J’étais vraiment heureuse de pouvoir passer du temps avec Astrid, même si c’était de courte durée, je ne la voyais pas assez souvent à mon gout, mais je connaissais les raisons du pourquoi. Ma cousine était un loup-garou et elle était mise sous pression avec le nouveau gouvernement en place. Certes le meurtre du fils Dunn était une tragédie, mais ce n’était pas pour autant qu’il fallait s’en prendre à tous les loup-garou, ils ne sont pas tous mauvais. Certains sont bon, vive une vie normale ou pratiquement comme ma cousine. J’aimerais la voir beaucoup plus souvent, même grand-mère n’a pas demander à transmettre ses salutations à Astrid alors que d’ordinaire elle le fait quand elle sait que je vais voir ma cousine.
Affublée de mon bonnet et de mon écharpe aux couleurs de ma maison à Poudlard, j’avançais doucement sur le chemin de traverse m’étant arrêté à la petite librairie du chemin, c’est bien le seul lieu qui m’avait attiré, juste pour savoir s’il y avait de nouveaux livres sur la métamorphose que je pourrais étudier pour ma curiosité personnelle mais aussi concernant le problème de mon oncle. Bon, je mettais aussi arrêtée à la ménagerie magique également pour acheté du miam hibou pour Avalon, elle va me picorer le dos de la main durement si j’oublie sa nourriture. D’ailleurs, je me demande si elle est revenu à Caer, j’avais envoyé une lettre à @Edel Almadovar pour Noel avec son côté accroché à la patte d’Avalon, je ne savais pas si cela lui plairait en réalité, en voyant la bouteille j’avais haussé les épaules en mode pourquoi pas, on connait tous le Whisky Pur Feu, mais la Liqueur Frozen n’était pas si connu chez nous, c’est une liqueur qui refroidit considérablement la gorge quand on en prend, il existe divers gout, j’avais opté pour menthe, parce que cette boisson avait aussi la particularité de rendre la langue de la couleur de la liqueur et avec la menthe, la langue devenait verte pour au moins une heure. J’espère que ce cadeau fera plaisir à mon ami.
Passant le passage du chemin de traverse pour arriver dans la petite cours du chaudron baveur, je pousse doucement la porte et cherche du regard ma cousine, un sourire se forme sur mon visage quand je l’aperçois. « Astriddddddddddd » criais-je sans me soucier des personnes présente avant de foncer comme un cognard sur ma cousine pour la prendre dans mes bras pour un câlin. « Comment tu vas ? Bien ? » Je finis par la lâcher avant de lui tendre son cadeau. « C’est pour toi, je ne sais pas si tu vas vraiment apprécier. » Il s'agissait d'un petit bracelet macramé avec une petite plaque avec nos prénoms respectifs dessus.
Affublée de mon bonnet et de mon écharpe aux couleurs de ma maison à Poudlard, j’avançais doucement sur le chemin de traverse m’étant arrêté à la petite librairie du chemin, c’est bien le seul lieu qui m’avait attiré, juste pour savoir s’il y avait de nouveaux livres sur la métamorphose que je pourrais étudier pour ma curiosité personnelle mais aussi concernant le problème de mon oncle. Bon, je mettais aussi arrêtée à la ménagerie magique également pour acheté du miam hibou pour Avalon, elle va me picorer le dos de la main durement si j’oublie sa nourriture. D’ailleurs, je me demande si elle est revenu à Caer, j’avais envoyé une lettre à @Edel Almadovar pour Noel avec son côté accroché à la patte d’Avalon, je ne savais pas si cela lui plairait en réalité, en voyant la bouteille j’avais haussé les épaules en mode pourquoi pas, on connait tous le Whisky Pur Feu, mais la Liqueur Frozen n’était pas si connu chez nous, c’est une liqueur qui refroidit considérablement la gorge quand on en prend, il existe divers gout, j’avais opté pour menthe, parce que cette boisson avait aussi la particularité de rendre la langue de la couleur de la liqueur et avec la menthe, la langue devenait verte pour au moins une heure. J’espère que ce cadeau fera plaisir à mon ami.
Passant le passage du chemin de traverse pour arriver dans la petite cours du chaudron baveur, je pousse doucement la porte et cherche du regard ma cousine, un sourire se forme sur mon visage quand je l’aperçois. « Astriddddddddddd » criais-je sans me soucier des personnes présente avant de foncer comme un cognard sur ma cousine pour la prendre dans mes bras pour un câlin. « Comment tu vas ? Bien ? » Je finis par la lâcher avant de lui tendre son cadeau. « C’est pour toi, je ne sais pas si tu vas vraiment apprécier. » Il s'agissait d'un petit bracelet macramé avec une petite plaque avec nos prénoms respectifs dessus.
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FICHE DE PERSO
La discrétion tant recherchée par Astrid pour ne pas ébruiter sa présence venait d’être balayée d’un revers de main dès que Blodeuyn avait pénétré l’établissement. Astrid souffla, puis lui adressa un sourire en levant timidement une main. Elle adorait sa cousine, une vraie fonceuse, digne de l’héritage de leur sang. Seulement cette fois, elle aurait aimé qu’elle ne se montre pas aussi avenante en raison du contexte tendu envers son espèce. La louve se leva pour l’accueillir et lui rendit poliment son étreinte.
- On fait aller. Lui répond-elle, alors que Blo en pile électrique enchaîne sur la distribution des cadeaux. Astrid n’est pas honnête avec elle. Elle n’a pas le temps de l’être, prise par le flot de sa cousine. Elle accepte le présent et s’assoit pour l’ouvrir. L’attention est touchante, il s’agit d’un bracelet comportant leurs noms. Un nouveau sourire se dessine sur son visage, presque mélancolique, et elle revêt immédiatement le bracelet à son poignet gauche.
- Merci Blo, ça me fait sincèrement plaisir !
Son cadeau n’est pas aussi sentimental. Il n’est pas extraordinaire non plus. Elle ouvra sa valise pour en tirer un sac dans lequel est emballé un scrutoscope, une toupie s’activant à l’approche d’un danger. Il s’agit d’un objet dont Astrid a eu maintes fois l’utilité par le passé, mais qui revient désormais à Blo, pour la protéger, car elle a désormais trouvé un endroit où se réfugier.
- Tiens. Ce n’est pas grand-chose, j’espère que ça t’aidera.
Le monde des sorciers est compliqué en ces temps troubles, néanmoins Astrid ne doit pas altérer ces moments de bonheur partagé, surtout en période de fêtes. Peut-être que Blo n’est au courant de rien et c’est mieux ainsi. Alors elle reprend la parole et emmène sa petite cousine sur un terrain plus distrayant.
- Comment se passent les cours ? Je veux tout savoir ! Tu apprends des sortilèges intéressants ? Tu pratiques un sport à haut risque ? Tu as rencontré quelqu’un ?
Elle marque sa dernière question d’un soupçon de taquinerie et pose en avant ses bras sur la table, montrant son intérêt pour les réponses à venir de Blo.
- On fait aller. Lui répond-elle, alors que Blo en pile électrique enchaîne sur la distribution des cadeaux. Astrid n’est pas honnête avec elle. Elle n’a pas le temps de l’être, prise par le flot de sa cousine. Elle accepte le présent et s’assoit pour l’ouvrir. L’attention est touchante, il s’agit d’un bracelet comportant leurs noms. Un nouveau sourire se dessine sur son visage, presque mélancolique, et elle revêt immédiatement le bracelet à son poignet gauche.
- Merci Blo, ça me fait sincèrement plaisir !
Son cadeau n’est pas aussi sentimental. Il n’est pas extraordinaire non plus. Elle ouvra sa valise pour en tirer un sac dans lequel est emballé un scrutoscope, une toupie s’activant à l’approche d’un danger. Il s’agit d’un objet dont Astrid a eu maintes fois l’utilité par le passé, mais qui revient désormais à Blo, pour la protéger, car elle a désormais trouvé un endroit où se réfugier.
- Tiens. Ce n’est pas grand-chose, j’espère que ça t’aidera.
Le monde des sorciers est compliqué en ces temps troubles, néanmoins Astrid ne doit pas altérer ces moments de bonheur partagé, surtout en période de fêtes. Peut-être que Blo n’est au courant de rien et c’est mieux ainsi. Alors elle reprend la parole et emmène sa petite cousine sur un terrain plus distrayant.
- Comment se passent les cours ? Je veux tout savoir ! Tu apprends des sortilèges intéressants ? Tu pratiques un sport à haut risque ? Tu as rencontré quelqu’un ?
Elle marque sa dernière question d’un soupçon de taquinerie et pose en avant ses bras sur la table, montrant son intérêt pour les réponses à venir de Blo.
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FICHE DE PERSO
Blodeuyn & Astrid - première semaine janvier
Je la regardais doucement en penchant un peu la tête et clignant un peu des yeux, attendant la suite qui ne vient pas. Certainement le fait que les loups-garous sont pratiquement traqués en permanence à cause de ce qui est arrivé au fils du ministre. « Tu restes en sécurité hein ? Tu me le promets ? » Je n’avais pas envie de perdre un nouveau membre de ma famille. Après mes parents, les parents d’Astrid, tonton Eochaid qui étaient comme mon papa, le départ de tonton Art, suivis par cela de mon oncle Elffin, je n’avais pas envie de perdre Astrid par la suite.
Assise en face d’Astrid, je lui souriais doucement avant de me gratter l’arrière de la tête un peu gêné de l’avoir affichée. Cependant, c’était plus fort que moi, j’avais peur qu’elle ne me voit pas, qu’elle ne me reconnaisse pas avec le temps qui s’écoule entre chacune de nos rencontres. J’attrapais rapidement son paquet cadeau avant de l’ouvrir avec empressement. « Wah, trop bien. Mais c’est la tienne non ? » Je la regardais sous tous les angles. C’était le scrutoscope que j’avais toujours envié de ma cousine. Je ne me souvenais plus qui le lui avait donné, mais j’avais toujours voulu la prendre dans ma main, chose qu’elle n’avait jamais voulu auparavant.
Je haussais les épaules, les cours étaient les cours, il n’y avait vraiment rien d’intéressant à en dire, si ce n’est la métamorphose. La métamorphose est l’un des seuls cours qui trouvent grâce pour moi, ma matière préféré. Après ceux des sortilèges sont bien aussi, le problème en soit est le professeur, enfin cela dépend vraiment de la matière. Si on prend le cours de défense contre les forces du mal, c’est un cours que je peux apprécier en règle générale, mais le dernier sujet de cours ne m’a pas spécialement plus. La lycanthropie, j’ai tous de suite pensé à la personne qui me faisait face, ma cousine. « Tante Maeve fricote avec un type, tu vois. Si tonton Eochaid était mort, cela ne me dérangerait pas. Quoi que vu la personne, si cela m’énerverait quand même. Mais tu vois, il n’est pas mort, c’est juste un ours et un jour et il va revenir. Je veux juste que l’on reforme une famille comme avant. Avec toi aussi bien sûr. » Les choses étaient beaucoup plus simple avant. Le reste de ses questions, on verra après. Parlons d’abord du sujet qui fâche.
Assise en face d’Astrid, je lui souriais doucement avant de me gratter l’arrière de la tête un peu gêné de l’avoir affichée. Cependant, c’était plus fort que moi, j’avais peur qu’elle ne me voit pas, qu’elle ne me reconnaisse pas avec le temps qui s’écoule entre chacune de nos rencontres. J’attrapais rapidement son paquet cadeau avant de l’ouvrir avec empressement. « Wah, trop bien. Mais c’est la tienne non ? » Je la regardais sous tous les angles. C’était le scrutoscope que j’avais toujours envié de ma cousine. Je ne me souvenais plus qui le lui avait donné, mais j’avais toujours voulu la prendre dans ma main, chose qu’elle n’avait jamais voulu auparavant.
Je haussais les épaules, les cours étaient les cours, il n’y avait vraiment rien d’intéressant à en dire, si ce n’est la métamorphose. La métamorphose est l’un des seuls cours qui trouvent grâce pour moi, ma matière préféré. Après ceux des sortilèges sont bien aussi, le problème en soit est le professeur, enfin cela dépend vraiment de la matière. Si on prend le cours de défense contre les forces du mal, c’est un cours que je peux apprécier en règle générale, mais le dernier sujet de cours ne m’a pas spécialement plus. La lycanthropie, j’ai tous de suite pensé à la personne qui me faisait face, ma cousine. « Tante Maeve fricote avec un type, tu vois. Si tonton Eochaid était mort, cela ne me dérangerait pas. Quoi que vu la personne, si cela m’énerverait quand même. Mais tu vois, il n’est pas mort, c’est juste un ours et un jour et il va revenir. Je veux juste que l’on reforme une famille comme avant. Avec toi aussi bien sûr. » Les choses étaient beaucoup plus simple avant. Le reste de ses questions, on verra après. Parlons d’abord du sujet qui fâche.
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FICHE DE PERSO
Comment ne pas sourire devant l’innocence de sa cousine ?
- Bien sûr. Je ne prends aucun risque inconsidéré, au contraire j’ai pris mes dispositions…
Impossible de lui en dire davantage sur sa situation. La personne qui a accepté de l’accueillir tient à ce qu’elle se montre discrète et Blo a beau être une personne de confiance, elle reste une Cynfeirdd représentant un danger non négligeable si une information fuitait. Pour sa sécurité, comme celle des autres, Astrid n’a d’autre choix que de rester vague. De toute façon, ce n’est pas le sujet de leur entrevue.
- Il t’appartient désormais. Fais en bon usage, ce n’est pas un jouet.
Astrid a conscience que Blo a peu de chance d’en avoir l’usage durant ses années à Poudlard. Elle envie la jeunesse insouciante des étudiants de la célèbre université de magie. Même à cette époque, Astrid ne se sentait pas en sécurité. Elle devait jongler entre le regard des gens et son loup intérieur. Bien que son ascendance soit connue, son nom lui avait évité d’être en prime la proie de railleries supplémentaires.
Entendre sa cousine parler des aventures de Maeve avec un homme fait rire intérieurement Astrid. C’est exactement le genre de conversations légères qu’elle apprécie avec elle. L’espace d’un instant, ses craintes s’envolent et elle se sent normale. Peu lui importe que Maeve ait quelqu’un, ce n’est pas le sujet pour elle.
- Cette personne a l’air de te taper sur le système. Qui est-ce pour que tu préfères un vieil ours à lui ?
Elle ne rebondit pas sur cette histoire de famille. Blo ne comprendra pas si elle lui dit qu’il est impossible de reformer une famille « comme avant ». Pas tant que Geraint sera en vie. Un événement qui, s’il se produisait, empêcherait définitivement tout retour au sein de la famille. Pour assouvir ses désirs, la louve sait qu’elle devra sacrifier tout ce qui lui reste et qu’elle se retrouvera seule, isolée et traquée, que ce soit par les Cynfeirdd ou toute personne liée d’amitié à Geraint et en mesure de dresser une baguette.
- Tu devrais être heureuse que Maeve parvienne à refaire sa vie. On a pas tous cette chance.
- Bien sûr. Je ne prends aucun risque inconsidéré, au contraire j’ai pris mes dispositions…
Impossible de lui en dire davantage sur sa situation. La personne qui a accepté de l’accueillir tient à ce qu’elle se montre discrète et Blo a beau être une personne de confiance, elle reste une Cynfeirdd représentant un danger non négligeable si une information fuitait. Pour sa sécurité, comme celle des autres, Astrid n’a d’autre choix que de rester vague. De toute façon, ce n’est pas le sujet de leur entrevue.
- Il t’appartient désormais. Fais en bon usage, ce n’est pas un jouet.
Astrid a conscience que Blo a peu de chance d’en avoir l’usage durant ses années à Poudlard. Elle envie la jeunesse insouciante des étudiants de la célèbre université de magie. Même à cette époque, Astrid ne se sentait pas en sécurité. Elle devait jongler entre le regard des gens et son loup intérieur. Bien que son ascendance soit connue, son nom lui avait évité d’être en prime la proie de railleries supplémentaires.
Entendre sa cousine parler des aventures de Maeve avec un homme fait rire intérieurement Astrid. C’est exactement le genre de conversations légères qu’elle apprécie avec elle. L’espace d’un instant, ses craintes s’envolent et elle se sent normale. Peu lui importe que Maeve ait quelqu’un, ce n’est pas le sujet pour elle.
- Cette personne a l’air de te taper sur le système. Qui est-ce pour que tu préfères un vieil ours à lui ?
Elle ne rebondit pas sur cette histoire de famille. Blo ne comprendra pas si elle lui dit qu’il est impossible de reformer une famille « comme avant ». Pas tant que Geraint sera en vie. Un événement qui, s’il se produisait, empêcherait définitivement tout retour au sein de la famille. Pour assouvir ses désirs, la louve sait qu’elle devra sacrifier tout ce qui lui reste et qu’elle se retrouvera seule, isolée et traquée, que ce soit par les Cynfeirdd ou toute personne liée d’amitié à Geraint et en mesure de dresser une baguette.
- Tu devrais être heureuse que Maeve parvienne à refaire sa vie. On a pas tous cette chance.
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FICHE DE PERSO
Blodeuyn & Astrid - première semaine janvier
Je hochais la tête d’un coup sec quand elle mentionna qu’elle prenait ses arrangements. J’étais heureuse de savoir qu’elle avait un endroit où séjourner en toute sécurité. J’espérais juste que l’on puisse échanger des lettres le temps qu’elle se cache de ses êtres infâmes qui la pourchassent parce qu’elle est différente. « Je t’enverrais Avalon, enfin si elle te trouve. » Parce que peut-être qu’Avalon, même si je ne mets pas d’adresse sur la lettre ne la trouvera pas. Et je n’avais pas envie de couper tous contact avec elle, même si je pouvais comprendre que cela est pour la protéger, mais je n’arriverais pas à m’y résoudre. « Et si tu veux bien, évidement. » A quoi bon lui envoyez ma chouette si Astrid ne veut pas de communication épistolaire entre nous.
Je tenais délicatement dans ma main mon strutoscope, je pouvais le dire ainsi maintenant, le mien, il m’appartenait, mais parce qu’il venait d’Astrid, il m’était encore plus précieux. Je le tenais au creux de mes mains avant de relever la tête vers ma cousine pour lui faire un magnifique sourire, il était rare les temps ou je souriais grandement, mais pour Astrid, je le faisais sans problème chaque fois que je la voyais. Doucement, je finis par glisser la toupie dans la poche de ma veste et de la fermer avec la fermeture pour ne pas la perdre.
Puis en parlant de tante Maeve et de son nouveau passe-temps, je perdis rapidement mon sourire, mais c’était un peu de ma faute à bien y regarder j’avais abordé le sujet la première. Je détourne le regard pour ne pas la fusillé quand elle parle d’Eochaid. « Mon père aura toujours la première place, il est hors de question qu’une autre personne prenne sa place dans son lit, sa chambre, sa maison, c’est chez lui, pas chez l’autre abruti de Clearwater. » Il n’avait aucun droit de prétendre à vouloir prendre la place qui revenait à notre père à Freya et moi, tout comme le cœur de Maeve, il était censé appartenir à Eochaid, il avait fait un pacte, une union, s’il n’y avait pas cette histoire d’ours, jamais l’autre n’aurait réussi à se frayer un chemin dans les blessures de cœur de tante maeve. « Parlons d’autres choses, ce n’était pas une bonne idée. Tu as un amoureux ? » Quoi ? J’avais pas d’autres questions en réserve.
Je tenais délicatement dans ma main mon strutoscope, je pouvais le dire ainsi maintenant, le mien, il m’appartenait, mais parce qu’il venait d’Astrid, il m’était encore plus précieux. Je le tenais au creux de mes mains avant de relever la tête vers ma cousine pour lui faire un magnifique sourire, il était rare les temps ou je souriais grandement, mais pour Astrid, je le faisais sans problème chaque fois que je la voyais. Doucement, je finis par glisser la toupie dans la poche de ma veste et de la fermer avec la fermeture pour ne pas la perdre.
Puis en parlant de tante Maeve et de son nouveau passe-temps, je perdis rapidement mon sourire, mais c’était un peu de ma faute à bien y regarder j’avais abordé le sujet la première. Je détourne le regard pour ne pas la fusillé quand elle parle d’Eochaid. « Mon père aura toujours la première place, il est hors de question qu’une autre personne prenne sa place dans son lit, sa chambre, sa maison, c’est chez lui, pas chez l’autre abruti de Clearwater. » Il n’avait aucun droit de prétendre à vouloir prendre la place qui revenait à notre père à Freya et moi, tout comme le cœur de Maeve, il était censé appartenir à Eochaid, il avait fait un pacte, une union, s’il n’y avait pas cette histoire d’ours, jamais l’autre n’aurait réussi à se frayer un chemin dans les blessures de cœur de tante maeve. « Parlons d’autres choses, ce n’était pas une bonne idée. Tu as un amoureux ? » Quoi ? J’avais pas d’autres questions en réserve.
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