Standing in the light of your halo | Queenie

Identité : Queenie Walker ; surnommée Princesse par ton papa depuis toujours, un surnom pour que tu ne prennes pas le melon avec ton prénom. Soit disant. Parce que tu es clairement la lumière de la vie de ton papa. De tes deux parents, même si comme toutes les petites filles, tu es plus proche de ton père. Même si tu as grandi, le surnom est resté. Affectueux. Aujourd'hui, tu vas devenir cette reine.

Date et Lieu de naissance : 19.11.02 ; 19 ans. Dans les alentours de Manchester.

Statut civil : Tu es célibataire. Asexuelle hétéro-romantique.

Scolarité : Gryffondor (ascendant Serdaigle) ; le Choixpeau a pu être tenté par ton côté studieux, avant de déchanter en voyant à quel point tu es une Gryffondor dans l'âme. Tu vas faire ta rentrée en deuxième année en septembre. Tu es membre de l'équipe de Quidditch au poste de poursuiveur depuis ta première année. C'est un exploit dont tu es particulièrement fière.

Profession : Un job étudiant dans un magasin de bricolage moldu de Manchester pour l'été.

Baguette magique : Baguette en bois de Roseau et ventricule de Dragon ; 31,2 cm ; presque fine ; souple.

Famille : cf album de famille

Hérédité du sang : Sang-mêlée de parents sorciers depuis plusieurs générations.

Particularité magique : /

Caractère : Bordélique ; pétillante ; studieuse (en cachette) ; a un grain de folie ; sportive (disciplinée en la matière) ; a un humour de merde et rit facilement ; lunatique ; insomniaque depuis la mort de ses parents ; téméraire (n'a pas peur du danger) ; intrépide ; a besoin de sensation forte ; déteste se restreindre ; teste souvent les limites ; passionnée ; casse-cou ; pas délicate pour deux sous ; hyperactive ; sociable, avec une tendance à donner des surnoms stupidement drôle, drôlement stupide, aux gens.

Studieuse ; tu es une tête, mais tu fais croire que tu y vas au talent. Ce qui ne t'empêche pas de bosser en cachette comme une acharnée. Parfois, tu pousses le vice en faisant semblant de ne pas comprendre en cours, amusant la galerie avec les pitres. Tu veux passer pour quelqu'un qui a des facilités. Ça te rendra sûrement plus cool. stupide

Sportive ; tu as toujours fait beaucoup de sport moldu avant d'arriver à Poudlard. Tu as passé les qualifications de quidditch pour intégrer l'équipe de ta maison dès ta première année. Autant pour continuer le sport que pour pouvoir affronter ton frère adoptif pendant la seule année que vous alliez avoir en commun. Et accessoirement gagner. Pour sentir le vent fouetter ton visage, tu joues poursuiveuse. prétentieuse

Très compétitrice ; dans les jeux, tu vas pour la gagne. Comme dans le sport. Cependant, tu n'es pas mauvaise perdante. Après tout, la coupe des maisons, tu t'en fous pas mal. Gène commun à ta famille adoptive ? Probablement. excessive

Sociable ; vraiment très sociable et bavarde. Tu parles facilement avec tout le monde. Même quand tu ne connais pas les gens. Tu as le contact facile et tu n'as pas peur de te prendre un vent.
En revanche, tu es très exclusive dans tes relations proches. Soit on est avec toi, soit on devient contre. Pas de demi-mesure. Néanmoins, et c'est contradictoire, si les gens ne font pas partie de tes proches, il est très facile de te parler et tu te fiches un peu de si quelqu'un dit ou fait quelque chose qui ne te plaît pas. Ils ne sont pas importants pour toi après tout.
Tu es du genre très protectrice avec tes proches, montrant les crocs face à ceux qui veulent les approcher. possessive

Superficielle ; un peu, mais pas trop. Tu aimes les belles choses, les beaux habits, le beau maquillage. Même si tu n'as pas la thune pour te les acheter, les voir te suffit. Tu aimes aussi pouvoir regarder les belles personnes. Juste regarder.
Mais tu n'hésites pas à te salir et à mettre la main à la pâte quand il le faut. insignifiante

Matière ; tu détestes les potions et la métamorphose. En revanche, tu apprécies beaucoup la botanique et le vol. Tu as plutôt la main verte et tu aimes être entourée de plantes, autant que d'humains. indisciplinée

Confond courage et témérité ; tu ne mesures pas l'imprudence de certaines de tes actions. dangereuse

Accessoirement, tu donnes des noms à côté de la plaque aux gens dans ta tête.

Patronus : Un Fennec ou renard des sables

Miroir de Risèd : Se voit Chef du Bureau des Aurors à envoyer tous les criminels du monde à Azkaban. L'opinion des gens qui comptent, dont Adil, sur tes qualités de joueuse a fait un bout de chemin et peut tendre à te montrer ta future toi brandir la coupe du monde de Quidditch avec les membres de ton équipe.

Epouvantard : Une peur effroyable de l'échec qui cause la peur de perdre tes proches. Les derniers qu'il te reste.

Particularités : Tu commences à avoir la marque de tes cernes lorsque tu ne maquilles pas tout ça. Tu as peur qu'elles ne deviennent permanentes et ne partent plus jamais.

Qui es-tu ? : Alice (elle), 28 ans, de l'est de la France (genre y a pas plus proche de la Suisse que moi mdr).

Faceclaim & Crédits : Lili Reinhart - Tumblr ; VVV ; Klein Monster.

Trigger Warnings : Sexe cru.

Un petit plus ? : Interdit de baver sur Alvaro /pan

Tu es née le 19 novembre 2002 aux alentours de deux heures du matin. Déjà à ce moment-là, tu faisais tout pour te faire remarquer et embêter tes parents. Même si pour eux, ce fut probablement le plus beau jour de leur vie. Forcément, tu leur faisais grâce de ta présence. Petite Queenie déjà reine de son petit monde.



Tu as fait tes premiers pas avant de vraiment parler. Parce qu'il te fallait découvrir le monde le plus vite possible. Tu as toujours été une aventurière dans l'âme.



Enfant, tu adorais ce mobile magique qui faisait scintiller les étoiles dans ta chambre. Et voler des dragons aussi.
Tu aimes beaucoup les dragons.



Tu venais d'avoir dix ans quand « ça » c'est produit. Manque de chance, tu te trouvais dans la boulangerie à ce moment-là. Tu ne contrôlais rien, c'est arrivé d'un coup. Les serviettes se sont mises à voler dans tous les sens, à croire qu'une tempête se trouvait dans la pièce. Dont malheureusement, tu étais le centre. L'œil du cyclone. C'aurait pu être joli, comme dans un film. Si un idiot parmi les clients ne s'était pas moqué. À cet instant, la panière de brioche est tombée. Manquant de peu d'écraser la personne qui se trouvait à proximité. Le type qui se moquait le plus de toi. Forcément, à ce moment, tu t'es faite accuser des pires maux. Te faisant traiter de sorcière. Des adultes et des enfants qui s'en prennent à une gamine...
Ton prince charmant est arrivé à ce moment-là sur son blanc destrier. T'empêchant de fondre en larmes parce que tu venais de faire de la magie et que tu n'avais pas le droit de le dire. Alvaro Lopez a démonté toutes les théories faisant de toi la méchante. Après tout, ce n'était qu'un coup de vent, la porte était ouverte ou pas, personne ne s'en souvient, mais lui l'affirme et la panière était vieille et fragile. En plus d'être moche. Bon débarras.
À cette époque, tu pensais qu'il était ton prince charmant. Grossière erreur très chère, mais tu n'en es pour autant pas déçue.
Une magnifique amitié venait de naître.



Comme les enfants que vous étiez encore pour toi et plus tout à fait pour lui, Alvaro et toi passiez du temps à vous inventer des aventures épiques. Puis comme des adolescents que vous commenciez doucement à devenir, vous vous êtes confiés bons nombres de secrets. De discussions interdites aux adultes. C'est avec l'une d'entre elle que tu as compris que tu avais pris la place de petite sœur dans le cœur de ton prince charmant. Étant fille unique, tu ne t'es pas fait prier pour accepter. Gardant précieusement ce rôle qui ne te déplaisait d'aucune façon et confiant à Alvaro celui de grand frère.



Cette triple buse, doublée d'un quadruple idiot, est injoignable. Certes, Alvaro t'avait prévenu qu'il partait étudier à l'étranger. Évitant sciemment la conversation à chaque fois que tu revenais sur ce sujet. Mais bordel, être à l'étranger ne veut pas dire couper le contact. Tu aurais dû te douter qu'il y avait sirène sous gravillon. Alors toi, tu t'es fait mille histoires dans ta tête justifiant ce silence radio. Allant même jusqu'à demander à ses parents si tout allait bien.
Puis un jour comme ça, pendant les vacances scolaires, tu reçois un message avec un cœur. Parce qu'il pensait qu'en revenant comme une fleur, la bouche en cœur, tu n'allais rien dire ? L'imbécile. Il ne t'a pas fallu plus de quinze minutes pour arriver chez lui et hurler de toute la force de tes poumons à quel point c'était stupide. Que s'il ne voulait plus te parler, il n'avait qu'à le dire. Pas que tu aurais compris, mais au moins, tu ne te serais pas fait tout un film. Tu avais presque les larmes aux yeux à ce moment-là. Puis enfin, il t'a avoué ce qu'il retenait depuis tout ce temps. Lui aussi est un sorcier. Tu l'as regardé comme un merlan frit pendant trente secondes avant de laisser un fou rire libérateur s'échapper de tes lèvres. Ce n'était que ça. Avant qu'il ne pense que tu te foutais de ta gueule, tu lui as toi-même déclaré que c'était cool. Lui racontant enfin ce secret que tu gardes précieusement depuis toujours. Toi aussi, tu en es une. Tout comme tes parents. Justifiant enfin le pourquoi du comment certaines pièces de la maison ont toujours été « interdites d'accès » lorsqu'il venait chez toi.
Tu comprends également pourquoi tu ne pouvais pas te rendre dans la partie parentale de l'appartement des Lopez. Tu n'as absolument pas pensé que vous pouviez cacher le même secret à l'autre.
Cette vérité vous rapproche encore plus malgré la distance.






Attentat terroriste à l'arme blanche dans le Londres moldu faisant deux morts et trois blessés. Cette information restera gravée à vie dans ta mémoire. Avant toute autre chose. Puisque les deux victimes qui ont succombé à leurs blessures, sont tes parents. Tu as été inconsolable pendant tellement de temps après ça… Refusant d'y croire et attendant que tes parents rentrent pour te faire un câlin comme ils en ont toujours eu l'habitude.
Depuis ce jour, tu ne cesses de dire que ce n'est pas un attentat, mais un meurtre visant explicitement ton papa. Tu ne peux pas croire à une coïncidence quand tu sais que ton papa était juge dans le département de la Justice Magique du Ministère. Sauf que tu sembles la seule à penser ça.



Après ça, tu as passé de longs mois en foyer. Les pires de ta vie. Ne te sentant pas chez toi, à l'aise nul part. Tu tentais de te rassurer comme tu pouvais, mais tu t'es sentie tellement seule à ce moment-là. Forcément, tu te savais fragile émotionnellement, mais le voir avec la fréquence accrue de tes accidents magiques t'effrayait. Le seul bénéfice qui en ressort, ça t'a endurci moralement, te faisant perdre le sourire pendant un long moment.
Puis enfin, vers le milieu de l'année, les parents d'Alvaro ont pu t'adopter. Tu ne t'attendais pas à ce qu'ils fassent ça pour toi. Tu savais que tu serais plus une charge qu'un bénéfice à cet âge-là. Pourtant, ils ont cru en toi et t'ont accueilli comme une des leur.
À cet instant, tu voulais même te faire adopter pleinement et changer de nom de famille. Devenir une Lopez. Tu pensais que ça pourrait t'aider à tourner la page. Tes parents adoptifs ont refusé. Et comme toute adolescente qui se sent seule, tu l'as pris comme un rejet et tu as tout simplement fugué.
Avant de revenir toute penaude en t'excusant et en pleurant comme une madeleine moins d'une heure plus tard.

Ton installation se passe bien, pendant les vacances le hasard fait bien les choses pour que tu puisses profiter du réconfort que te prodigue ton grand frère. Officiel et acté par la loi cette fois. Le pacte de sang au coin du premier parc venu ne compte malheureusement pas autant. En plus de dormir avec Alvaro, tu as le don de laisser traîner tes affaires partout. Mais c'est un bordel organisé ! Puis ton frère ne dit rien et range derrière toi. Et promis, une fois que tu peux utiliser la magie, tu ranges tout avec l'aide de ta baguette !



Pour remercier les Lopez de t'avoir accueilli, tu as décidé de ne pas être un fardeau et de te payer tes loisirs et tes frais scolaires par toi-même. Ainsi, tu travailles pendant les vacances dans magasin de bricolage du coin. Tu n'y connais rien, mais tu es avenante et souriante avec les clients comme tes collègues, ça fait tout.



Légalement majeur dans le monde magique, tu as hérité de la maison de tes parents, mais tu refuses d'y mettre les pieds. Tu as certes plutôt bien avancé dans ton deuil, tu restes dans le déni face à ta propriété.






Voilà enfin ta première rentrée à Poudlard ! Tu l'attends depuis tellement longtemps que tu en es toute excitée. À tel point que tu abandonnes lâchement Alvaro dans le train pour tout inspecter et te faire des amis sorciers ! Il ne l'avouera jamais, mais ça lui fait des vacances de ne pas t'avoir surexcitée dans les pattes.
Le choixpeau ne met pas longtemps à te répartir à Gryffondor, bien qu'il ait tenté de voir un Serdaigle en toi pendant les trois premières secondes.



Queenie. Tu es une reine. Tu as du mordant. Tu es forte. Courageuse. Mais cette nuit, tu redeviens une enfant. Assise sur ton nouveau lit, ta couette sur la tête pour seule protection, tu fixes devant toi. Les yeux ouverts tel un hibou. Attendant que le temps passe. Attendant que le silence cesse de hurler à tes oreilles. C'est ton premier soir loin de la maison qui est devenue ton nouveau chez-toi. Ta première nuit sans partager la chaleur réconfortante d'Alvaro. Tu es une grande fille. Tu te sais capable de dormir seule. Néanmoins, savoir que tu ne peux pas rejoindre ton grand frère t'effraie. Tu as peur de faire une terreur nocturne. Alors tu attends juste que le jour se lève. Comme ça. Assise dans le noir. Avec la respiration de ta camarade de chambre pour seule compagnie. Norà



Revers de la médaille, tu ne dors plus depuis que tu es à Poudlard. Tu as donc dû apprendre très vite le sortilège de glamour pour cacher tes cernes. Parfois la journée, tu dors sur l'épaule ou les genoux d'Alvaro.
Personne ne t'a encore posé de question à ce sujet et tu comptes bien que ça continue ainsi longtemps. Que ta nouvelle meilleure amie qui partage ta chambre, ne le remarque pas.






Héros justicier d'une vie. Juge impartial à la réputation irréprochable. Tu es le soleil de sa vie, comme il est le pilier de la tienne. Tu as toujours traîné dans ses pattes. Ayant le doux privilège de siéger sur son fauteuil dans son bureau au Ministère de la Magie. Jouant avec sa robe de magistrat pour devenir l'apprentie juge Walker. Faisant beaucoup rire les collègues de ton papa.
Il t'inspire cette carrière d'auror que tu veux mener.



La meilleure des mamans. Belle, délicate, blonde, démesurément grande sur ses hauts talons. Petite, tu voulais lui ressembler. Parce qu'elle était pour toi la plus belle personne du monde. Ton avis n'a pas changé sur la question, mais tu sais parfaitement que tu n'as pas sa délicatesse ni son raffinement.



25 ans, né en début d'année 1998 ; sang-mêlé ; 7ième année, suit un cursus en Sciences Magiques, option Magizoologie, pour ses MULOTs.

Le premier garçon que tu as aimé. Celui qui t'as sauvé. Devenu ton frère par pacte de sang enfantin, avant de devenir ton frère adoptif. Malgré que vous ayez six ans de différence, il y a une alchimie entre vous qui vous empêche d'être comme ces frères et sœurs qui se crêpent le chignon à tour de rôle.

Tu ne peux partager ta scolarité avec lui que pour deux années. Tu en as largement profiter la première, surtout en le battant au Quidditch. Bien qu'il soit un excellent gardien, tu le feintes mieux que personne. Petite blessure dans son ego, mais il ne peut s'en prendre qu'à lui même, il ne fallait pas t'entraîner pendant toutes ses années. Et il n'avait qu'à être dans la même équipe que toi.

Souvenir : À la recherche d'un botruc en pleine ville… www



Père adoptif qui fait tout pour que tu te sentes bien sans que tu n'oublies qui sont réellement tes parents. Il t'apprend même l'espagnol pour que tu puisses discuter avec le reste de la famille qui vit en Espagne. Une catastrophe de t'entendre le parler, mais qui fait beaucoup rire ce traitre d'Alvaro.
Accessoirement, le meilleur cuisinier du monde selon toi, puisque c'est son métier. Tu n'as jamais aussi bien mangé que lorsqu'il est derrière les fourneaux. Tu joues parfois les commis pour lui apporter ton aide, mais jamais pour autre chose que les tâches simples, tu es une catastrophe quand il s'agit de te servir d'une casserole.



Mère adoptive qui malgré la tragédie qui a causé cela, est ravie d'avoir une fille. Même déjà presque adulte.
Anglaise qui s'est éprise de ce chef et qui respire la joie de vivre depuis. Joie dans laquelle tu puises lorsque toi-même tu es plutôt dans un bas. Plus petite en taille que toi, tu te demandes comment son fils peut être aussi grand.