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No Tomorow - Ft Ebenezer Grimm
INFOS
FICHE DE PERSO
Thea & Ebenezer - 28 janvier 2023
Le froid, c’était ce que je ressentais en ce moment précis, la raison aucune idée. Je n’ai pas envie d’ouvrir un œil, je peux sentir la lumière du jour dans la pièce qui passe au travers du rideau, puisqu’il y a un rayon de soleil qui éblouit justement mon visage. Je tâte doucement vers la table de chevet à la recherche de ma baguette magique pour lancer un timer, mais impossible de la trouver et surtout aucune table de chevet ne se fait sentir sous ma main, elle fait des hauts et des bas dans le vide. Bien malgré mon envie, je finis par entre-ouvrir un œil et la première chose que je remarque est le mur qui est blanc totalement, dépourvu de posters. J’étais persuadée d’avoir dis à ma colocataire que je ne rentrerais pas hier pour aller dormir à la maison, enfin à la maison, plus l’antre des querelles de mes parents qui ne se termine pas. Papa ne veut pas divorcer, mais maman ne veut pas stopper son idylle avec l’autre homme. Mais ce n’est clairement pas ma chambre, la mienne est couvert de papier peint dans les tons bleu pastel avec des posters d’animaux ou biens de musiques que j’aime bien. Ce n’est pas non plus le dortoir des poufsouffle, puisque les murs sont jaunes et noirs. Un autre frisson me parcourt l’échine si bien que j’ouvre les deux yeux et je remarque au loin un amas de vêtements qui ne m’appartient pas, je suis certaine qu’hier soir je portais une robe évasée de couleur rouge sang.
On récapitule, pas ma chambre, pas mes vêtements que je vois, mes vêtements sont-ils même dans cette pièce ? Plus jamais je suis Sile et Ange-Césaire dans une soirée tournée des bars sorciers, je ne mesure pas la quantité d’alcool que j’imbibe en moi et généralement je dépasse toujours la limite. Je le tiens bien, mais j’ai une limite comme toutes personnes normalement constitué. Généralement quand je fais ce genre de soirée, je disparais avant la fin de la tournée avec un homme parfaitement inconnu et je crois que cette fois-ci je n’ai pas dérogé à la règle. Doucement, je soulève la couette qui repose sur mon corps pour remarquer la nudité de ma poitrine. Oui, il est évident que je n’ai pas fais que dormir dans ce lit.
Je remarque ma baguette à son design raffinés juste à quelques centimètres de moi, il faudrait que je m’extirpe de ce lit pour l’attraper, afin de rassembler mes affaires, m’habiller rapidement et partir comme une voleuse avant que la personne avec qui je partage ce lit ne se réveille. Je pourrais aisément le faire, cela ne serait pas la première fois que je quitte une chambre après une nuit mouvementée, le soucis reste le bras musclés qui me bloque au niveau de ma taille. Que faire ? Attendre comme une plante de séjour que la personne daigne ouvrir les yeux ou faire en sorte de soulever le bras pour partir. Aurais-je seulement la force de le bouger ? Avec ma main libre j’attrape l’un de ses doigts pour le soulever un peu afin de voir si le poids mort à mes côtés réagit un peu. « Il est pire qu’une marmotte. » murmurais-je pour moi-même.
On récapitule, pas ma chambre, pas mes vêtements que je vois, mes vêtements sont-ils même dans cette pièce ? Plus jamais je suis Sile et Ange-Césaire dans une soirée tournée des bars sorciers, je ne mesure pas la quantité d’alcool que j’imbibe en moi et généralement je dépasse toujours la limite. Je le tiens bien, mais j’ai une limite comme toutes personnes normalement constitué. Généralement quand je fais ce genre de soirée, je disparais avant la fin de la tournée avec un homme parfaitement inconnu et je crois que cette fois-ci je n’ai pas dérogé à la règle. Doucement, je soulève la couette qui repose sur mon corps pour remarquer la nudité de ma poitrine. Oui, il est évident que je n’ai pas fais que dormir dans ce lit.
Je remarque ma baguette à son design raffinés juste à quelques centimètres de moi, il faudrait que je m’extirpe de ce lit pour l’attraper, afin de rassembler mes affaires, m’habiller rapidement et partir comme une voleuse avant que la personne avec qui je partage ce lit ne se réveille. Je pourrais aisément le faire, cela ne serait pas la première fois que je quitte une chambre après une nuit mouvementée, le soucis reste le bras musclés qui me bloque au niveau de ma taille. Que faire ? Attendre comme une plante de séjour que la personne daigne ouvrir les yeux ou faire en sorte de soulever le bras pour partir. Aurais-je seulement la force de le bouger ? Avec ma main libre j’attrape l’un de ses doigts pour le soulever un peu afin de voir si le poids mort à mes côtés réagit un peu. « Il est pire qu’une marmotte. » murmurais-je pour moi-même.
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FICHE DE PERSO
A mon réveil , je la trouvais toujours à côté de moi complètement dévêtu. D’un air amusé, et ayant encore quelques vapeurs d’ivresse je me mis à rire d’une voix grave et forte.
« Ahahah ! Quelle soirée ! »
Je l’avais embrassé sur le front, titubant encore un peu. Allant dans ma tenue d’Adam vers mon manteau, je sortis une potion réduisant les effets de la gueule de bois à néant. Buvant la moitié du liquide vert, je refermais la fiole et lançait le contenu à Théa.
« Tiens ! »
Puis sans ménagement, je commençais à m’habiller. Il était hors de question qu’on reste là, à se regarder dans le blanc des yeux et qu’elle commence à me faire des déclarations chelous. Non. On allait prendre le petit déjeuner, se faire la bise et chacun reprendre notre route. Alors que j’ouvrais les rideaux, je plissais des yeux en remarquant à quel point ses traits étaient…. Juvéniles. Merde ! J’espérai pas être tombé sur une mineur !
« Tu travailles ce matin ? A Poudlard ou à l’IDEM… Je me rappelle plus très bien. Tu es prof c’est ça non ? »
Tout en mettant mon pantalon, j’essayais de me souvenir en plissant les yeux à ce qu’elle m’avait dit. Avec calme, j’observais l’heure à ma montre. J’avais encore le temps pour aller au Ministère, on pouvait papoter autour d’un déjeuner. Surtout que là, j’avais un problème de taille, il fallait absolument que je détermine son âge. Ebenezer… qu’est ce que tu avais derrière la tête hier…
Alors que je remis ma veste, je sentis cette dernière, les poches pleines de gallion. Un sourire s’illumina sur mon visage.
« Mais c’est vrai, hier j’ai gagné au Poker enchanté ! Ahah ! Quelle belle journée qui s’annonce ma petite Cléa ! »
C’était ça non son prénom ? Cléa Barwell. Un truc dans le genre. Briseuse de Sort à Poudlard en partenariat avec l’IDEM… Je fronçais brusquement les sourcils. Quelque chose clochait non ?
« Ahahah ! Quelle soirée ! »
Je l’avais embrassé sur le front, titubant encore un peu. Allant dans ma tenue d’Adam vers mon manteau, je sortis une potion réduisant les effets de la gueule de bois à néant. Buvant la moitié du liquide vert, je refermais la fiole et lançait le contenu à Théa.
« Tiens ! »
Puis sans ménagement, je commençais à m’habiller. Il était hors de question qu’on reste là, à se regarder dans le blanc des yeux et qu’elle commence à me faire des déclarations chelous. Non. On allait prendre le petit déjeuner, se faire la bise et chacun reprendre notre route. Alors que j’ouvrais les rideaux, je plissais des yeux en remarquant à quel point ses traits étaient…. Juvéniles. Merde ! J’espérai pas être tombé sur une mineur !
« Tu travailles ce matin ? A Poudlard ou à l’IDEM… Je me rappelle plus très bien. Tu es prof c’est ça non ? »
Tout en mettant mon pantalon, j’essayais de me souvenir en plissant les yeux à ce qu’elle m’avait dit. Avec calme, j’observais l’heure à ma montre. J’avais encore le temps pour aller au Ministère, on pouvait papoter autour d’un déjeuner. Surtout que là, j’avais un problème de taille, il fallait absolument que je détermine son âge. Ebenezer… qu’est ce que tu avais derrière la tête hier…
Alors que je remis ma veste, je sentis cette dernière, les poches pleines de gallion. Un sourire s’illumina sur mon visage.
« Mais c’est vrai, hier j’ai gagné au Poker enchanté ! Ahah ! Quelle belle journée qui s’annonce ma petite Cléa ! »
C’était ça non son prénom ? Cléa Barwell. Un truc dans le genre. Briseuse de Sort à Poudlard en partenariat avec l’IDEM… Je fronçais brusquement les sourcils. Quelque chose clochait non ?
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FICHE DE PERSO
Thea & Ebenezer - 28 janvier 2023
Lorsque sa voie atteint mes oreilles, cela me fait me redresser un peu sur l’oreiller, mais je ne bouge pas pour autant, j’attends qu’il bouge de le premier afin de pouvoir bouger moi-aussi. Sa voix ne me donnait absolument aucun indice, si ce n’est qu’elle avait l’air beaucoup plus grave qu’hier. Hier, elle semblait plus suave, plus encline à me faire frémir. Il ne tarda pas à arriver en sentant son bras se mouver hors de mon corps, mais aussi la couette qui se retrouve froisser de son côté. Doucement, je finis par m’assoir sur le lit, le dos contre l’oreiller, je remonte la couette sur moi afin de cacher ma nudité et je commence à partir dans mes pensées. Comment s’appelle-t-il déjà ? Je porte ma main à mon front pour essayer de me souvenir. C’est quelque chose comme Ben, y a forcément ben dedans.
J’attrape du bout de mes mains le fiole avant d’en regarder le contenue. Anti-gueule de bois, cela ne ramènera pas pour autant ma mémoire sur hier. Je ne sais même si c’est un bon coup. Par merlin, il faut vraiment que je devienne raisonnable. « Merci. » dis-je du bout des lèvres avant de replonger dans mes pensées après avoir bu le reste de la potion. Je sors du lit doucement pour enfiler en premier lieu mes sous-vêtements noir en dentelles qui jure complètement avec ma robe qui ne se trouve pas dans ce coin de la pièce, elle est ou pardi. Assise sur le lit, je tourne la tête un peu partout, elle ne serait quand même pas sous le lit. Je finis par me lever pour regarder un peu mieux.
Sa question me perturbe légèrement. Professeur moi ? Qu’est-ce que j’ai bien pu raconter hier soir ? Je n’aurais pas menti ainsi, l’alcool à du faire un micmac de nos informations échangés. Je me tourne vers lui toujours en sous-vêtements alors que lui semblait déjà fortement habillé. « Vous n’auriez pas vu ma robe par hasard ? » demandais-je d’une petite voix alors que je regardais ailleurs que son visage. Consciente que je n’avais pas répondu à sa question. Poker enchanté ? Non, on était censé faire la tournée des bars avec mes meilleurs-amis, il est inconcevable que nous sommes aller dans un endroit comme un casino magique, impossible. Va falloir que j’envoie un hiboux à @Síle A. ó Gallchobhair pour savoir si elle se souvient des endroits où nous sommes allés. « Théa, je me nomme Théa. » lançais-je en lui tournant le dos et me mettant à genoux pour regarder sous le lit s’il n’y a pas ma robe. « Bingo. » m’exclamais-je en la tirant de sous le lit. Je la secoue un peu une fois de debout avant de l’enfiler. « Dite, cela vous dérangerait de fermer la fermeture de ma robe Ben ? C’est bien Ben ? » lui quémandais-je en lui tournant le dos et en soulevant mes cheveux. Je me mords la lèvre inférieure en me demandant si je dois être honnête avec lui. « Je suis stagiaire de Monsieur @Lennox MacGregor à l’Idem et en dernière année de Mulot à Poudlard. » finis-je par lâcher d’une petite voix.
J’attrape du bout de mes mains le fiole avant d’en regarder le contenue. Anti-gueule de bois, cela ne ramènera pas pour autant ma mémoire sur hier. Je ne sais même si c’est un bon coup. Par merlin, il faut vraiment que je devienne raisonnable. « Merci. » dis-je du bout des lèvres avant de replonger dans mes pensées après avoir bu le reste de la potion. Je sors du lit doucement pour enfiler en premier lieu mes sous-vêtements noir en dentelles qui jure complètement avec ma robe qui ne se trouve pas dans ce coin de la pièce, elle est ou pardi. Assise sur le lit, je tourne la tête un peu partout, elle ne serait quand même pas sous le lit. Je finis par me lever pour regarder un peu mieux.
Sa question me perturbe légèrement. Professeur moi ? Qu’est-ce que j’ai bien pu raconter hier soir ? Je n’aurais pas menti ainsi, l’alcool à du faire un micmac de nos informations échangés. Je me tourne vers lui toujours en sous-vêtements alors que lui semblait déjà fortement habillé. « Vous n’auriez pas vu ma robe par hasard ? » demandais-je d’une petite voix alors que je regardais ailleurs que son visage. Consciente que je n’avais pas répondu à sa question. Poker enchanté ? Non, on était censé faire la tournée des bars avec mes meilleurs-amis, il est inconcevable que nous sommes aller dans un endroit comme un casino magique, impossible. Va falloir que j’envoie un hiboux à @Síle A. ó Gallchobhair pour savoir si elle se souvient des endroits où nous sommes allés. « Théa, je me nomme Théa. » lançais-je en lui tournant le dos et me mettant à genoux pour regarder sous le lit s’il n’y a pas ma robe. « Bingo. » m’exclamais-je en la tirant de sous le lit. Je la secoue un peu une fois de debout avant de l’enfiler. « Dite, cela vous dérangerait de fermer la fermeture de ma robe Ben ? C’est bien Ben ? » lui quémandais-je en lui tournant le dos et en soulevant mes cheveux. Je me mords la lèvre inférieure en me demandant si je dois être honnête avec lui. « Je suis stagiaire de Monsieur @Lennox MacGregor à l’Idem et en dernière année de Mulot à Poudlard. » finis-je par lâcher d’une petite voix.
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FICHE DE PERSO
« Bien sûr… Volontiers. »
J’étais en avance. J’allais même pouvoir remettre le couvert si elle le désirait sans aucun problème. Elle était vraiment belle et je n’allais pas me priver d’un match retour ! Alors que je lui remettais sa robe en la chatouillant légèrement pour la taquiner, ses derniers propos me firent remonter sa robe un peu trop brusquement et reculer d’un pas.
« Hein ? Quoi ? Stagiaire en MULOT ? »
Je clignais plusieurs fois des yeux en levant les mains comme si on était en train de me pointer avec une baguette pour m’emprisonner. Les yeux clignotant, je remis l’ensemble des éléments dans mon esprit et…
« Dernière année de MULOT… Mais attends… T’es avec mes neveux ? Michel-Ange et Léonard ? »
Je revoyais nettement l’image de mon neveu et tout le décalage qu’on pouvait avoir du fait de nos années d’écarts. Le calcul de l’âge de Théa se fit rapidement dans ma tête et je me grattais la tête d’un air pensif. En soit, l’écart n’était pas si grand. Ce qui était gênant c’était surtout que c’était encore un bébé et qu’on pouvait m’accuser d’avoir utiliser mon influence plus âgé si ça se savait…
« On a beaucoup bu je crois… Haha. Monsieur MacGregor est un bon maître de stage. Michel-Ange m’en a dit beaucoup de bien... »
J’étais un peu perdu. Sortir avec une jeune femme si jeune… C’était pas dérangeant mais… de l’âge de Mich ! Bon sang de bois ! Mais qu’est ce qui m’avait passé par la tête hier soir ? Remettant ma cravate correctement, je l’observais d’un air quand même amusé.
« Et ça t’arrive souvent d’emmener dans ton lit des vieux comme moi ? »
C’était vraiment pour la taquiner. Avec un regard amusé, je lui ouvrais la porte de la chambre que j’avais loué au Chaudron Baveur. En général, je procédais comme ça. Seule Nott avait eu la chance d’entrevoir mon loft dans le Londres magique… Nott… C’était pour ça que je m’étais mis la tête sans dessus dessous. Je m’en rappelais maintenant. Passant une main dans mes cheveux, je descendais l’escalier devant elle. Deux petits déjeuner nous attendais, avec une rose entre les deux assiettes.
Généralement, c’était le moment que je choisissais pour annoncer à la personne qui avait partagé la nuit avec moi que ça s’arrêterait là.
« S’il te plait, d’ailleurs. Ne leur dire rien pour nous deux. Ils ont le coeur fragile, ils ne s'en remettraient pas. »
J’étais en avance. J’allais même pouvoir remettre le couvert si elle le désirait sans aucun problème. Elle était vraiment belle et je n’allais pas me priver d’un match retour ! Alors que je lui remettais sa robe en la chatouillant légèrement pour la taquiner, ses derniers propos me firent remonter sa robe un peu trop brusquement et reculer d’un pas.
« Hein ? Quoi ? Stagiaire en MULOT ? »
Je clignais plusieurs fois des yeux en levant les mains comme si on était en train de me pointer avec une baguette pour m’emprisonner. Les yeux clignotant, je remis l’ensemble des éléments dans mon esprit et…
« Dernière année de MULOT… Mais attends… T’es avec mes neveux ? Michel-Ange et Léonard ? »
Je revoyais nettement l’image de mon neveu et tout le décalage qu’on pouvait avoir du fait de nos années d’écarts. Le calcul de l’âge de Théa se fit rapidement dans ma tête et je me grattais la tête d’un air pensif. En soit, l’écart n’était pas si grand. Ce qui était gênant c’était surtout que c’était encore un bébé et qu’on pouvait m’accuser d’avoir utiliser mon influence plus âgé si ça se savait…
« On a beaucoup bu je crois… Haha. Monsieur MacGregor est un bon maître de stage. Michel-Ange m’en a dit beaucoup de bien... »
J’étais un peu perdu. Sortir avec une jeune femme si jeune… C’était pas dérangeant mais… de l’âge de Mich ! Bon sang de bois ! Mais qu’est ce qui m’avait passé par la tête hier soir ? Remettant ma cravate correctement, je l’observais d’un air quand même amusé.
« Et ça t’arrive souvent d’emmener dans ton lit des vieux comme moi ? »
C’était vraiment pour la taquiner. Avec un regard amusé, je lui ouvrais la porte de la chambre que j’avais loué au Chaudron Baveur. En général, je procédais comme ça. Seule Nott avait eu la chance d’entrevoir mon loft dans le Londres magique… Nott… C’était pour ça que je m’étais mis la tête sans dessus dessous. Je m’en rappelais maintenant. Passant une main dans mes cheveux, je descendais l’escalier devant elle. Deux petits déjeuner nous attendais, avec une rose entre les deux assiettes.
Généralement, c’était le moment que je choisissais pour annoncer à la personne qui avait partagé la nuit avec moi que ça s’arrêterait là.
« S’il te plait, d’ailleurs. Ne leur dire rien pour nous deux. Ils ont le coeur fragile, ils ne s'en remettraient pas. »
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Thea & Ebenezer - 28 janvier 2023
Mon corps frissonna légèrement au contact de sa peau sur la mienne ou plutôt de ses chatouillements qu’il s’amusait à faire le long de mon dos en remontant la fermeture. Ses frissons procurèrent de léger fragment de souvenir de la nuit passer, surtout de moment de ses mains sur moi, ce qui me donnait un peu chaud, je devais bien l’avouer. Lentement, je ventile mon visage instinctivement avec ma main sans qu’il s’en aperçoive avant de donner suite à sa question, ce qui déclencha une situation qui ne me plaisait guère. D’ailleurs, je ne puis m’empêcher de lâcher un petit « Aie. » alors qu’il avait fermé trop brusque le reste de la robe, me pinçant la peau au passage, je me frottais doucement le haut du dos, j’allais avoir une marque rouge de pincement, génial.
Je soufflais agacée, je savais que c’était une mauvaise idée que de répondre à sa question, je roulais des yeux à sa remarque vive. Oui, oui, stagiaire en mulot et alors il est ou le soucis ? Bordel j’ai 25 ans, je vais en avoir 26, j’ai encore bien le droit de choisir avec qui j’ai envie de passer la nuit. Bon, d’accord, je ne me souviens pas de si j’ai apprécié ou pas, mais il semblerait que oui, par les brèves images qui me sont revenue en tête. Je ne me souviens pas non plus à quel moment, j’ai bien pu l’accoster ou si c’est l’inverse. Mais j’ai du clairement sous-entendre que je le voulais ce moment alors franchement on ne va pas en faire une montagne de fromage. « Archéomagie si cela vous intéresse. Personnellement, je ne regrette pas, je veux dire vous êtes bien bâti. » Est-ce que j’en ai profiter pour me rincer l’œil pendant qu’il s’habillait ? Totalement et sans gênes. « Et même imbibé d’alcool si je n’avais pas voulu, j’aurais dit non. Franchement ce qui me tracasse le plus à l’heure actuel ce n’est pas d’avoir couché avec vous, c’est plus de savoir si l’un de nous à lancer unputain de sortilège contraceptif. » Parce qu’on ne va pas se leurrer la potion contraceptive ? Très peu pour moi, elle a un arrière-gout horrible et elle me donne de l’urticaire. La pilule moldue ? Je pourrais mais cela ne fait pas forcément bon ménage avec mon flux magique alors j’évite. Je me contente seulement des sortilèges contraceptifs.
Je me retourne pour lui faire face avant de rouler des yeux et de secouer la tête. « Vraiment ? J’ai 25 ans, je suis pas non plus mineur et encore même si j’avais 18 ans, j’ai la majorité aussi bien moldue que sorcière en plus d’avoir la majorité sexuelle, franchement arrêter de vous en faire. » Je croise les bras contre ma poitrine en le regardant. Il doit être en bug, en service réduit la haut ? Disque rayé ? Oui, dernière année de mulot, voila le temps que ça monte au cerveau. Je hoche la tête doucement pour confirmer avant de perdre mon petit sourire amusé. « Oncle de Micky et Léo ? C’est une blague ? Juste non. Dite moi que non. » Je me frotte le front avant de me mordre la lèvre et de me retourner subitement pour avancer en direction de la porte. Mais je m’arrête auprès de celle-ci pour commencer à frapper doucement mon front contre le mur à côté de la porte. « Stupide, stupide, stupide. » murmurais-je pour moi-même, cela m’apprendra à trop boire, manquerait plus que la prochaine fois ce soit avec un cousin comme ça on pourrait dire que je m’amuse à me faire toute la famille Grimm. « Beaucoup est un euphémisme, si vous voulez mon avis, j’ai du vider les fonds de bouteilles. » lâchais-je en me remettant droite et me tournant vers lui.
Mon doigt pointé vers lui, j’en perd un peu mes mots à sa question, je baisse alors mon bras et penche ma tête sur le côté avant de jeter un regard de haut en bas sur lui et d’arqué un sourcil. « Je n’ai pas compté et vous n’êtes pas vieux, pas plus de 40 ans je dirais, même très endurant, oui certainement, ce n’est pas mon soucis actuel. Un Grimm. » Je tourne sur moi-même avant de lui faire front de nouveau. « Un Grimm de toute les familles possibles, pourquoi vous devez êtes un Grimm ? » Je le vois qui ouvre la porte et je la regarde un moment avant de m’engouffrer dans l’un des couloirs du chaudron baveur sans demander mon reste. Il me passa devant et je le suis sans prononcer un seul mot. J’étais dans une merde monumental si Léo venait à l’apprendre. Je m’assoie à la table et croise mes bras sur celle-ci avant de plonger ma tête à l’intérieur de mes bras. Ne rien leur dire, je lâchais un rire nerveux avant de relever un peu la tête. « Vous avez le chic pour me mettre dans des situations cocasses vous les Grimm. Je ne dirais rien, mais alors surtout ne dite rien, Léo ne doit rien savoir, bon Micky aussi. » Parce qu’actuellement il sait toujours pas que j’ai couché avec son frère pendant un mois si ce n'est plus alors c’est que s’il apprend que j’ai couché avec son oncle maintenant, on peut préparer l’enterrement, reste à savoir de qui. « Personne ne doit savoir et si je reviens en redemander, dite non, vous le devez, parce que je ne peux pas apprécier faire cela avec vous en sachant que Léo et moi, on a… Oh saperlipopette pourquoi il fallait que vous soyez leur oncle. »
Je soufflais agacée, je savais que c’était une mauvaise idée que de répondre à sa question, je roulais des yeux à sa remarque vive. Oui, oui, stagiaire en mulot et alors il est ou le soucis ? Bordel j’ai 25 ans, je vais en avoir 26, j’ai encore bien le droit de choisir avec qui j’ai envie de passer la nuit. Bon, d’accord, je ne me souviens pas de si j’ai apprécié ou pas, mais il semblerait que oui, par les brèves images qui me sont revenue en tête. Je ne me souviens pas non plus à quel moment, j’ai bien pu l’accoster ou si c’est l’inverse. Mais j’ai du clairement sous-entendre que je le voulais ce moment alors franchement on ne va pas en faire une montagne de fromage. « Archéomagie si cela vous intéresse. Personnellement, je ne regrette pas, je veux dire vous êtes bien bâti. » Est-ce que j’en ai profiter pour me rincer l’œil pendant qu’il s’habillait ? Totalement et sans gênes. « Et même imbibé d’alcool si je n’avais pas voulu, j’aurais dit non. Franchement ce qui me tracasse le plus à l’heure actuel ce n’est pas d’avoir couché avec vous, c’est plus de savoir si l’un de nous à lancer un
Je me retourne pour lui faire face avant de rouler des yeux et de secouer la tête. « Vraiment ? J’ai 25 ans, je suis pas non plus mineur et encore même si j’avais 18 ans, j’ai la majorité aussi bien moldue que sorcière en plus d’avoir la majorité sexuelle, franchement arrêter de vous en faire. » Je croise les bras contre ma poitrine en le regardant. Il doit être en bug, en service réduit la haut ? Disque rayé ? Oui, dernière année de mulot, voila le temps que ça monte au cerveau. Je hoche la tête doucement pour confirmer avant de perdre mon petit sourire amusé. « Oncle de Micky et Léo ? C’est une blague ? Juste non. Dite moi que non. » Je me frotte le front avant de me mordre la lèvre et de me retourner subitement pour avancer en direction de la porte. Mais je m’arrête auprès de celle-ci pour commencer à frapper doucement mon front contre le mur à côté de la porte. « Stupide, stupide, stupide. » murmurais-je pour moi-même, cela m’apprendra à trop boire, manquerait plus que la prochaine fois ce soit avec un cousin comme ça on pourrait dire que je m’amuse à me faire toute la famille Grimm. « Beaucoup est un euphémisme, si vous voulez mon avis, j’ai du vider les fonds de bouteilles. » lâchais-je en me remettant droite et me tournant vers lui.
Mon doigt pointé vers lui, j’en perd un peu mes mots à sa question, je baisse alors mon bras et penche ma tête sur le côté avant de jeter un regard de haut en bas sur lui et d’arqué un sourcil. « Je n’ai pas compté et vous n’êtes pas vieux, pas plus de 40 ans je dirais, même très endurant, oui certainement, ce n’est pas mon soucis actuel. Un Grimm. » Je tourne sur moi-même avant de lui faire front de nouveau. « Un Grimm de toute les familles possibles, pourquoi vous devez êtes un Grimm ? » Je le vois qui ouvre la porte et je la regarde un moment avant de m’engouffrer dans l’un des couloirs du chaudron baveur sans demander mon reste. Il me passa devant et je le suis sans prononcer un seul mot. J’étais dans une merde monumental si Léo venait à l’apprendre. Je m’assoie à la table et croise mes bras sur celle-ci avant de plonger ma tête à l’intérieur de mes bras. Ne rien leur dire, je lâchais un rire nerveux avant de relever un peu la tête. « Vous avez le chic pour me mettre dans des situations cocasses vous les Grimm. Je ne dirais rien, mais alors surtout ne dite rien, Léo ne doit rien savoir, bon Micky aussi. » Parce qu’actuellement il sait toujours pas que j’ai couché avec son frère pendant un mois si ce n'est plus alors c’est que s’il apprend que j’ai couché avec son oncle maintenant, on peut préparer l’enterrement, reste à savoir de qui. « Personne ne doit savoir et si je reviens en redemander, dite non, vous le devez, parce que je ne peux pas apprécier faire cela avec vous en sachant que Léo et moi, on a… Oh saperlipopette pourquoi il fallait que vous soyez leur oncle. »
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FICHE DE PERSO
Le petit déjeuner devant les yeux, je fronçais les sourcils. Avec un léger sourire en coin, qui me fit sans le savoir ressembler à mes neveux, je déclarai d’un ton amusé :
« Tous les Grimm sont endurants et effectifs au lit. C’est de ça qu’on tient notre lignée si ancienne. Les garçons te l’ont pas dit ? »
Je regardais mes œufs brouillés et mes haricots arrivés avec un léger sourire, je pris également un verre de jus de fruit. Tout en fronçant les sourcils, je bus quelques gorgées de mon jus. Il y avait un sujet un peu délicat qu’elle avait abordé et finalement je déclarai d’un ton calme et apaisé.
« Ne t’inquiète pas, on s’est protégé hier. Avec un sort de recouvrement. Je vais pas te faire un dessin... »
Je fis une grimace. Maintenant que je savais son âge, je n’étais pas écoeuré à proprement parlé mais une chose était certaine, je n’allais pas retenté l’expérience. Si jamais ça revenait aux oreilles de personne mal intentionné, j’allais être la honte du Bureau. Pire, je passerai certainement pour un gros pervers !
« Et rassure toi, ton secret est bien gardé. Tu sais, tout le monde ne pense pas avec des pensées modernes. Certains sont archaïques dans leurs façons de voir les choses. Et bah figure toi que c’est le cas de mon frère, le père de Mich et Léo. S’il l’apprend, ça lui fera une raison de plus de me détester. Enfin passons. »
Je lui servais du jeu d’orange et je me contentais de manger un peu. Ca m’avait donné faim. Regardant l’heure, je me dis que j’avais encore le temps pour papoter avec elle sans laisser non plus traîner ce petit déjeuner. Après tout, elle était plutôt sympa. Très gentille même. Et drôle… c’était surement ça qui avait du m’attirer ! Il n’y avait pas que le physique qui me faisait fondre en général… C’était même plutôt l’humour qui me faisait plier à chaque fois. Et elle en avait.
« Tu t’y plais dans la branche Archéologie Magique ? Ca doit être chiant non ? Quand je pense que Mich est parti là dedans… J’arrête pas de lui dire de faire Auror ou Brigadier, il en a les capacités. Mais non… Lui il veut voyager ! Devenir quelqu’un ! Tu parles, quand il aura épouser Apolline, il fera Homme au foyer si tu veux mon avis. »
Je commençais à manger du pain, quand je me stoppais dans mon mouvement. Buvant un coup, je terminais quand même d’avaler mon morceau de pain et je disais d’un air un peu méfiant et tendu.
« Attends… T’es au courant quand même qu’il aime la petite Dunn ? Putain faut vraiment rien me confier. D’ailleurs, c’est qui Alister ? Quand on le faisait, tu m’as appelé comme ça. C’est pas un Dunn lui aussi de mémoire ? Qu'est ce que vous pouvez bien trouver à cette famille de snobinard...»
Ebenezer, appelé aussi, le roi du tact et de la finesse. Pour vous servir.
« Tous les Grimm sont endurants et effectifs au lit. C’est de ça qu’on tient notre lignée si ancienne. Les garçons te l’ont pas dit ? »
Je regardais mes œufs brouillés et mes haricots arrivés avec un léger sourire, je pris également un verre de jus de fruit. Tout en fronçant les sourcils, je bus quelques gorgées de mon jus. Il y avait un sujet un peu délicat qu’elle avait abordé et finalement je déclarai d’un ton calme et apaisé.
« Ne t’inquiète pas, on s’est protégé hier. Avec un sort de recouvrement. Je vais pas te faire un dessin... »
Je fis une grimace. Maintenant que je savais son âge, je n’étais pas écoeuré à proprement parlé mais une chose était certaine, je n’allais pas retenté l’expérience. Si jamais ça revenait aux oreilles de personne mal intentionné, j’allais être la honte du Bureau. Pire, je passerai certainement pour un gros pervers !
« Et rassure toi, ton secret est bien gardé. Tu sais, tout le monde ne pense pas avec des pensées modernes. Certains sont archaïques dans leurs façons de voir les choses. Et bah figure toi que c’est le cas de mon frère, le père de Mich et Léo. S’il l’apprend, ça lui fera une raison de plus de me détester. Enfin passons. »
Je lui servais du jeu d’orange et je me contentais de manger un peu. Ca m’avait donné faim. Regardant l’heure, je me dis que j’avais encore le temps pour papoter avec elle sans laisser non plus traîner ce petit déjeuner. Après tout, elle était plutôt sympa. Très gentille même. Et drôle… c’était surement ça qui avait du m’attirer ! Il n’y avait pas que le physique qui me faisait fondre en général… C’était même plutôt l’humour qui me faisait plier à chaque fois. Et elle en avait.
« Tu t’y plais dans la branche Archéologie Magique ? Ca doit être chiant non ? Quand je pense que Mich est parti là dedans… J’arrête pas de lui dire de faire Auror ou Brigadier, il en a les capacités. Mais non… Lui il veut voyager ! Devenir quelqu’un ! Tu parles, quand il aura épouser Apolline, il fera Homme au foyer si tu veux mon avis. »
Je commençais à manger du pain, quand je me stoppais dans mon mouvement. Buvant un coup, je terminais quand même d’avaler mon morceau de pain et je disais d’un air un peu méfiant et tendu.
« Attends… T’es au courant quand même qu’il aime la petite Dunn ? Putain faut vraiment rien me confier. D’ailleurs, c’est qui Alister ? Quand on le faisait, tu m’as appelé comme ça. C’est pas un Dunn lui aussi de mémoire ? Qu'est ce que vous pouvez bien trouver à cette famille de snobinard...»
Ebenezer, appelé aussi, le roi du tact et de la finesse. Pour vous servir.
INFOS
FICHE DE PERSO
Thea & Ebenezer - 28 janvier 2023
Je lève les yeux au ciel avant de faire un petit non de la tête. Ce n’est clairement pas la modestie qui l’étouffe lui. Endurants et effectifs, je ne peux confirmer que pour Léonard en réalité, c’est le seul Grimm dont je me souviens des performances pour en avoir abusé un petit moment. En ce qui concerne Michel-Ange, je n’ai jamais vérifié et je ne compte jamais le faire pour autant, et je n’ai pas non plus l’intention de parler avec Apolline des performances de Micky, oui non vraiment pas. « A part avoir bouffer du Apolline par ci et par là pendant plusieurs années, je n’ai pas entendu grand-chose de la part de Micky, ah si que j’étais bizarrement un sel qui avait besoin de son poivre. En ce qui vous concerne actuellement, je ne pourrais pas vraiment confirmer les dire sur votre endurance et franchement ce n’est pas vraiment cela qui m’énervait. » Je coupais doucement mes œufs avec ma fourchette avant d’en piquer un bout. « Pour ce qui est de Léo et bien, il n’était pas vraiment au top pendant un moment, je l’ai juste aidé. On est ami, mais bon ce n’est pas vraiment notre discussion première lorsque l’on se voit. » Puis dernièrement, on ne prenait pas vraiment le temps de parler quand on se voyait furtivement le soir pour se réconforter mutuellement. Je portais la fourchette à ma bouche pour avaler deux, trois bouchés. « De l’endurance j’en ai à revendre en matière de sexe , vraiment ce n’est pas ce qui me dérange, non c’est juste le fait que vous soyez l’oncle de Léonard qui est accessoirement mon sexfriend ou était, je ne sais pas trop en ce moment je n’ai pas vraiment eu le temps de le voir depuis mon week-end à Hawaii. » Je n’avais pas honte d’avoir lâcher la bombe, de toute façon il avait du comprendre par ma dernière phrase, lui et moi, il n’y a pas besoin d’avoir fait un Mulot pour savoir de quoi il en retournait.
Je remonte mon regard vers lui et lâche ma fourchette qui cogne contre mon assiette dans un petit. « C’est vrai ? » soufflais-je soulager d’un poids immense. « Par le caleçon de merlin, vous me sauvez. » Cela changera un peu du fait que c’est moi qui sauve le popotin du Grimm généralement. « On aurait été dans une bouse de dragon monumentale si j’avais finis enceinte, bon mon père aurait pas dit grand-chose, ma mère m’a eu jeune, votre âge ? Franchement, je m’en care comme de la chaussette du ministre, je préfère les hommes matures avec plus d’expérience, non le seul véritable soucis aurait peut-être été mon copain. » Je buvais une gorgée avant de me rendre compte que j’avais lâcher que j’avais un mec. Je hausse les épaules avant de pauser le verre. « No tracas, vraiment. Je ne le trompe pas, on est dans une relation libre. » Et encore, je me demande même si j’ai toujours un copain, je n’ai pas de nouvelle de lui depuis les vacances de Noel, impossible de le croiser au détour d’un couloir et quand je vais à la salle commune des Serdaigle pour demander à le voir, généralement il n’est pas là. Rien que d’y penser cela me jette un fard. Je ne pensais pas que de ne pas avoir de ses nouvelles me rendrait aussi minable, peut-être bien pour cela que je ne faisais pas attention au quantité d’alcool que je buvais en soirée. Un week-end pour qu’il s’excuse, que je lui dis mes sentiments, qu’il me dit les siens et plus de nouvelles depuis les vacances ? Cela valait vraiment le coup d’avouer des sentiments qui sont venu tout compliqué comme toujours. La faute de Micky avec son sel et poivre de malheur.
Je continuais de manger mon petit déjeuners en l’écouter d’une oreille, interloqué par moment. Un petit sourire narquois se forma sur mon visage un moment avant de le faire disparaitre. « Si je devais me préoccuper de ce que penses les gens, je devrais être vierge et cela me rendrait certainement irritable, j’ai besoin de ma dose, c’est sans doute malsain, mais lesexe c’est ma drogue. Toujours mieux que des opiacés. » Mettant un morceau d’œuf dans ma bouche, je l’avale avant de reprendre. « Vous devriez faire ce que vous avez envie de faire et pas vous caler sur ce que désire votre frère. C’est votre vie, pas la sienne. Je peux concevoir que la famille est importante et elle a aussi son lot de problème, j’en sais quelques choses. » Je baisse un peu la tête en repensant à mes parents et leur histoires et surtout à ma mère et sa haine pour la magie. Pourtant c’est une sorcière, mais elle refoule cette partie d’elle-même, je ne sais pas comment elle peut vivre avec une partie d’elle en moins.
Sa question me sort un peu de ma léthargie et en vrai je lui suis quelques peu reconnaissante de changer de sujet, bien qu’il ne sache pas vraiment pourquoi j’étais partie dans mes pensées tristes. « Monsieur Lennox est une personne que j’apprécie beaucoup, j’en apprends beaucoup avec lui. » C’était vrai, je pourrais rester des heures à écouter mon tuteur parler d’histoire et des évènements qui ont conduit tel objet à tel lieu avec des étoiles dans les yeux. « J’aime l’histoire, j’ai toujours aimé, mais j’aime les animaux aussi et m’occuper d’eux, j’ai grandi dans un zoo. Alors c’était naturel pour moi de vouloir devenir vetomage et vétérinaire, avoir un boutique qui aurait pu avoir un coté sorcier et un côté moldu, j’aurais adoré vraiment. » continuais-je alors qu’un sourire sincère se formait sur mon visage, c’est toujours le cas quand je parle d’animaux et ma passion de vouloir prendre soins d’eux. « Sauf que je ne peux pas, dès que je m’approche d’un chaudron il explose, bon j’exagère un peu, mais cela image très bien le fait que je terminais chaque fin d’heure de cours de potion en retenu pour explosion de chaudron, avoir fait fondre un chaudron, avoir fait fondre la table, oui c’est arrivé une fois. La table avait fondu en y rien de temps et avant que l’on est le temps de dire Quidditch il y avait un trou béant dedans, mon bras passait largement dedans. »
Je termine mon assiette et soudainement je le pointe avec ma fourchette. « Vous comme votre frère mêlez-vous de vos oignons, Micky est assez grand pour savoir ce qu’il faut. Il voulait Apolline, il l’a, il doit juste passer l’étape parent, tiendrais cas moi, je lui dirais de l’épouser sans l’accord des deux parties, ils sont majeurs tous les deux. S’il veut avoir une équipe de Quidditch en nombre d’enfant grand bien lui face, s’il veut être jardiner ou briseur de sort c’est son choix et vous devriez le respecter. » Je finis par reposer ma fourchette pour croiser les bras et m’enfoncer dans le dossier de ma chaise. « C’est quoi cette manie de toujours croire que ce que vous penser est le mieux pour nous ? Dieu merci je n’ai pas écouté ma mère, sinon je n’aurais jamais mis les pieds à Poudlard, elle a la magie en horreur. Et si j’écoutais ma grand-mère, je serais certainement fiancée au premier crétin qu’elle qualifierait de bon partie. » Franchement, ils étaient exaspérants, ils ont pas assez avec leur vie pour s’immiscer ainsi dans celle des autres ?
Je me redresse sur ma chaise légèrement mal à l’aise et surtout surprise de la tournure de la conversation, comment ça j’ai balancé Alister en pleine acte ? Juste impossible. « Et encore des préjugés. Vous êtes tous les mêmes. » Je parlais de manière générales des adultes et de leur haine de tel famille. « Ce n’est pas le fait qu’Apolline soit une Dunn qui m’énervait, c’est le fait qu’il est continué à se battre pour une fille qui lui avait brisé le cœur. Tant qu’il est heureux, j’accepterais Apolline, si elle lui brise de nouveau le cœur et bien j’aviserais. Quand à Alister, c’est mon petit-ami normalement et il est différent, mon sang lui importe peu, il est gentil, attentionné et il est différent de son père ou son oncle. » Je bois de nouveau une gorgée de mon verre avant de le poser. « En revanche, il n’y a pas moyen que je vous ai appeler ainsi, pas possible, je ne fais pas ce genre d’erreur, vous devez vous tromper. Après tout, vous m’avez appelé Cléa. Mais ça vous gêne tellement que je n’ai que 25 ans ? » J’étais vraiment curieuse de savoir sa réponse. « Vous faites quoi de vos journées au fait ? Puis vous ne m'avez même pas si comment vous vous appeliez, je doute que ce soit Ben, ni Micky, ni Leo ne m'ont parlé d'un oncle nommé Ben. »
Je remonte mon regard vers lui et lâche ma fourchette qui cogne contre mon assiette dans un petit. « C’est vrai ? » soufflais-je soulager d’un poids immense. « Par le caleçon de merlin, vous me sauvez. » Cela changera un peu du fait que c’est moi qui sauve le popotin du Grimm généralement. « On aurait été dans une bouse de dragon monumentale si j’avais finis enceinte, bon mon père aurait pas dit grand-chose, ma mère m’a eu jeune, votre âge ? Franchement, je m’en care comme de la chaussette du ministre, je préfère les hommes matures avec plus d’expérience, non le seul véritable soucis aurait peut-être été mon copain. » Je buvais une gorgée avant de me rendre compte que j’avais lâcher que j’avais un mec. Je hausse les épaules avant de pauser le verre. « No tracas, vraiment. Je ne le trompe pas, on est dans une relation libre. » Et encore, je me demande même si j’ai toujours un copain, je n’ai pas de nouvelle de lui depuis les vacances de Noel, impossible de le croiser au détour d’un couloir et quand je vais à la salle commune des Serdaigle pour demander à le voir, généralement il n’est pas là. Rien que d’y penser cela me jette un fard. Je ne pensais pas que de ne pas avoir de ses nouvelles me rendrait aussi minable, peut-être bien pour cela que je ne faisais pas attention au quantité d’alcool que je buvais en soirée. Un week-end pour qu’il s’excuse, que je lui dis mes sentiments, qu’il me dit les siens et plus de nouvelles depuis les vacances ? Cela valait vraiment le coup d’avouer des sentiments qui sont venu tout compliqué comme toujours. La faute de Micky avec son sel et poivre de malheur.
Je continuais de manger mon petit déjeuners en l’écouter d’une oreille, interloqué par moment. Un petit sourire narquois se forma sur mon visage un moment avant de le faire disparaitre. « Si je devais me préoccuper de ce que penses les gens, je devrais être vierge et cela me rendrait certainement irritable, j’ai besoin de ma dose, c’est sans doute malsain, mais le
Sa question me sort un peu de ma léthargie et en vrai je lui suis quelques peu reconnaissante de changer de sujet, bien qu’il ne sache pas vraiment pourquoi j’étais partie dans mes pensées tristes. « Monsieur Lennox est une personne que j’apprécie beaucoup, j’en apprends beaucoup avec lui. » C’était vrai, je pourrais rester des heures à écouter mon tuteur parler d’histoire et des évènements qui ont conduit tel objet à tel lieu avec des étoiles dans les yeux. « J’aime l’histoire, j’ai toujours aimé, mais j’aime les animaux aussi et m’occuper d’eux, j’ai grandi dans un zoo. Alors c’était naturel pour moi de vouloir devenir vetomage et vétérinaire, avoir un boutique qui aurait pu avoir un coté sorcier et un côté moldu, j’aurais adoré vraiment. » continuais-je alors qu’un sourire sincère se formait sur mon visage, c’est toujours le cas quand je parle d’animaux et ma passion de vouloir prendre soins d’eux. « Sauf que je ne peux pas, dès que je m’approche d’un chaudron il explose, bon j’exagère un peu, mais cela image très bien le fait que je terminais chaque fin d’heure de cours de potion en retenu pour explosion de chaudron, avoir fait fondre un chaudron, avoir fait fondre la table, oui c’est arrivé une fois. La table avait fondu en y rien de temps et avant que l’on est le temps de dire Quidditch il y avait un trou béant dedans, mon bras passait largement dedans. »
Je termine mon assiette et soudainement je le pointe avec ma fourchette. « Vous comme votre frère mêlez-vous de vos oignons, Micky est assez grand pour savoir ce qu’il faut. Il voulait Apolline, il l’a, il doit juste passer l’étape parent, tiendrais cas moi, je lui dirais de l’épouser sans l’accord des deux parties, ils sont majeurs tous les deux. S’il veut avoir une équipe de Quidditch en nombre d’enfant grand bien lui face, s’il veut être jardiner ou briseur de sort c’est son choix et vous devriez le respecter. » Je finis par reposer ma fourchette pour croiser les bras et m’enfoncer dans le dossier de ma chaise. « C’est quoi cette manie de toujours croire que ce que vous penser est le mieux pour nous ? Dieu merci je n’ai pas écouté ma mère, sinon je n’aurais jamais mis les pieds à Poudlard, elle a la magie en horreur. Et si j’écoutais ma grand-mère, je serais certainement fiancée au premier crétin qu’elle qualifierait de bon partie. » Franchement, ils étaient exaspérants, ils ont pas assez avec leur vie pour s’immiscer ainsi dans celle des autres ?
Je me redresse sur ma chaise légèrement mal à l’aise et surtout surprise de la tournure de la conversation, comment ça j’ai balancé Alister en pleine acte ? Juste impossible. « Et encore des préjugés. Vous êtes tous les mêmes. » Je parlais de manière générales des adultes et de leur haine de tel famille. « Ce n’est pas le fait qu’Apolline soit une Dunn qui m’énervait, c’est le fait qu’il est continué à se battre pour une fille qui lui avait brisé le cœur. Tant qu’il est heureux, j’accepterais Apolline, si elle lui brise de nouveau le cœur et bien j’aviserais. Quand à Alister, c’est mon petit-ami normalement et il est différent, mon sang lui importe peu, il est gentil, attentionné et il est différent de son père ou son oncle. » Je bois de nouveau une gorgée de mon verre avant de le poser. « En revanche, il n’y a pas moyen que je vous ai appeler ainsi, pas possible, je ne fais pas ce genre d’erreur, vous devez vous tromper. Après tout, vous m’avez appelé Cléa. Mais ça vous gêne tellement que je n’ai que 25 ans ? » J’étais vraiment curieuse de savoir sa réponse. « Vous faites quoi de vos journées au fait ? Puis vous ne m'avez même pas si comment vous vous appeliez, je doute que ce soit Ben, ni Micky, ni Leo ne m'ont parlé d'un oncle nommé Ben. »
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INFOS
FICHE DE PERSO
Je mangeais tranquillement mon petit déjeuner et… elle se mit alors à parler dans tous les sens. Maintenant je comprenais pourquoi c’était l’une des meilleures amies de mon neveu. Mais oui, Théa Rosewell. Il m’en avait déjà parlé… Qu’est ce que j’étais con ! C’était pas Cléa Farewell ! Elle avait du mal articulé avec l’alcool.
« Le sel et le poivre. Ouais, c’est moi qui lui ait appris ce tour. Le poivre pimente le couple, et le sel le rend à la fois savoureux si c’est bien dosé. Mais il peut aussi le rendre dégueulasse. C’est ma métaphore, ce con me l’a piqué. »
Je continuais de manger d’un air amusé. Ca ne m’étonnait pas de mon neveu de ne pas vouloir lâcher l’affaire avec Apolline Dunn. Il en était amoureux depuis l’âge de 8ans, et il m’avait toujours dit, foi de Poufsouffle, qu’il finirait avec elle.
Quand elle me parla de Léonard, qui était son sexfriend, je me mis à cracher brutalement mes œufs brouillés. La moitié alla sur sa tronche, et je me mis à tousser dans mon assiette pour évacuer le reste.
« Qu...QUOI ?! Attends tu… tu déconnes ?! Beurk Pouah. Bordel de Kobold. »
Je bus un verre de jus d’orange pour faire passer tout ça. Et d’un coup de Recurvite, je nettoyais le visage de Théa sans m’excuser. L’avantage avec la magie c’est qu’on pouvait plus facilement réparer ses conneries. Je lui adressais un sourire désolé quand elle déclara qu’elle aurait pu tomber enceinte. Avec moi ça risquait pas puisque je m’étais fait faire une vasectomie exprès pour éviter ce genre de connerie. Mais… Je revins quand même si cette de Léonard.
« Attend. Léonard, Alister et moi quand t’as bu un coup de trop. Tu sais qu’au final, je suis inquiet pour toi. Si tu vas de fleur en fleur comme un abeille en furie, c’est peut être que t’es pas si heureuse que ça. Enfin j’en sais rien… Les gens peuvent concevoir differement les choses. Personnellement, si tu veux profiter de la vie, je te donne raison à 100 % ! C’était une super soirée, mais… Ca s’arrête là je crois. »
C’était la première fois que j’avais dit à une femme (enfin plutôt une fille en l’occurrence pour elle) que ça s’arrêtait entre nous à ce niveau là du petit déjeuner. En même temps, là le verdict était sans appel.
« Je peux pas me permettre de partager mes morbaques avec le rejeton de mon frère. Non. Non non non. Ya un standing à respecter. Oh, et le prend pas pour toi chérie vraiment tu es… pfiou… Trop. »
Dans un geste charmant et élégant je désignais son corps de rêve et j’eus un soupire. J’allais vraiment le regretter. Mais je ne reviendrais pas derrière, parole de Grimm ! On était entêtés dans la famille et il était hors de question qu’on se retouche. Ou alors sous Imperium. Ou alors avec plusieurs verres dans le nez. Ou alors… Non.
« Et c’est pour ça que ça peut pas fonctionner entre nous ! Quinze ans d’écarts c’est trop grand ! Tu parles de pas me caler sur les désires de mon frère mais… C’est bien plus complexe que ça et quand on a une maturité de la vie comme moi… Crois moi on sait faire la part des choses et reconnaître une cause perdue. »
Ca m’avait un peu coupé l’appétit cette histoire de frère. Elle me parla ensuite de sa formation et d’un certain Lennox MacGregor. Purée mais qu’est ce qu’elle parlait. J’avais décroché au mot « Histoire ». J’observais d’un air distrait les clients du Chaudron Baveur qui me connaissait car j’étais souvent là le samedi matin. D’un petit air amusé, je fis coucou à une jeune femme avec qui j’avais déjà partager un petit déjeuner et…
« C’est Ebenezer... » dis-je avec un léger sourire.
J’enlevais ma serviette avec soin et calme et… finalement je consentis à rester un peu plus longtemps avec elle. Un léger sourire en coin, je me penchais vers elle pour qu’il n’y ait qu’elle qui entende mes propos. Après tout, on avait partager bien plus non ?
« Je comprends pourquoi Michel-Ange te tient en si haute estime. Ta loyauté envers offre le respect à ta Maison. C’est bien. Et pour ta petite information, je suis Chef du Bureau de Liaison des Gobelins. C’est moi qui dirige toutes les transactions avec Gringotts et les gobelins de manière générale. C’est pas le métier le plus passionnant du monde mais il faut bien vivre. Et ça a ses avantages d’être un Grimm. On parle tous couramment le Gobelbabil. »
Je lui souriais, prêt à lui accorder un peu de mon temps finalement. Je réajustais ma cravate. Je devais bientôt être au bureau. Méthodiquement, je sortis de la poche intérieure de ma veste de costume un parfum, qui éviterait que je sente trop les phéromones toute la journée…
« T’es bien bavarde en tout cas. Tu parles beaucoup de tes amis mais pas beaucoup de toi ! Tu sais je les connais, c’est ma famille ahah ! En vrai quand on y réfléchit, on a tous nos petites addictions. Sauf que pour la tienne, ça peut entraîner des complications. Je vais pas te faire un dessin, mais si j’avais pas pris mes précautions, t’aurais un petit Grimm dans neuf mois. Vu comment tu parles de Mich et vu comment tu parles de Léo et vu ce que tu m’as fait hier soir… Je me doute que ce soit un rêve pour toi mais… Tu devrais vraiment faire attention. »
Je rigolais bien sûr, sauf pour la dernière phrase, j’étais inquiet. Hier soir, elle avait eu la chance de tomber sur moi. Mais… J’aurai pu être le premier salaud venu !
« Le sel et le poivre. Ouais, c’est moi qui lui ait appris ce tour. Le poivre pimente le couple, et le sel le rend à la fois savoureux si c’est bien dosé. Mais il peut aussi le rendre dégueulasse. C’est ma métaphore, ce con me l’a piqué. »
Je continuais de manger d’un air amusé. Ca ne m’étonnait pas de mon neveu de ne pas vouloir lâcher l’affaire avec Apolline Dunn. Il en était amoureux depuis l’âge de 8ans, et il m’avait toujours dit, foi de Poufsouffle, qu’il finirait avec elle.
Quand elle me parla de Léonard, qui était son sexfriend, je me mis à cracher brutalement mes œufs brouillés. La moitié alla sur sa tronche, et je me mis à tousser dans mon assiette pour évacuer le reste.
« Qu...QUOI ?! Attends tu… tu déconnes ?! Beurk Pouah. Bordel de Kobold. »
Je bus un verre de jus d’orange pour faire passer tout ça. Et d’un coup de Recurvite, je nettoyais le visage de Théa sans m’excuser. L’avantage avec la magie c’est qu’on pouvait plus facilement réparer ses conneries. Je lui adressais un sourire désolé quand elle déclara qu’elle aurait pu tomber enceinte. Avec moi ça risquait pas puisque je m’étais fait faire une vasectomie exprès pour éviter ce genre de connerie. Mais… Je revins quand même si cette de Léonard.
« Attend. Léonard, Alister et moi quand t’as bu un coup de trop. Tu sais qu’au final, je suis inquiet pour toi. Si tu vas de fleur en fleur comme un abeille en furie, c’est peut être que t’es pas si heureuse que ça. Enfin j’en sais rien… Les gens peuvent concevoir differement les choses. Personnellement, si tu veux profiter de la vie, je te donne raison à 100 % ! C’était une super soirée, mais… Ca s’arrête là je crois. »
C’était la première fois que j’avais dit à une femme (enfin plutôt une fille en l’occurrence pour elle) que ça s’arrêtait entre nous à ce niveau là du petit déjeuner. En même temps, là le verdict était sans appel.
« Je peux pas me permettre de partager mes morbaques avec le rejeton de mon frère. Non. Non non non. Ya un standing à respecter. Oh, et le prend pas pour toi chérie vraiment tu es… pfiou… Trop. »
Dans un geste charmant et élégant je désignais son corps de rêve et j’eus un soupire. J’allais vraiment le regretter. Mais je ne reviendrais pas derrière, parole de Grimm ! On était entêtés dans la famille et il était hors de question qu’on se retouche. Ou alors sous Imperium. Ou alors avec plusieurs verres dans le nez. Ou alors… Non.
« Et c’est pour ça que ça peut pas fonctionner entre nous ! Quinze ans d’écarts c’est trop grand ! Tu parles de pas me caler sur les désires de mon frère mais… C’est bien plus complexe que ça et quand on a une maturité de la vie comme moi… Crois moi on sait faire la part des choses et reconnaître une cause perdue. »
Ca m’avait un peu coupé l’appétit cette histoire de frère. Elle me parla ensuite de sa formation et d’un certain Lennox MacGregor. Purée mais qu’est ce qu’elle parlait. J’avais décroché au mot « Histoire ». J’observais d’un air distrait les clients du Chaudron Baveur qui me connaissait car j’étais souvent là le samedi matin. D’un petit air amusé, je fis coucou à une jeune femme avec qui j’avais déjà partager un petit déjeuner et…
« C’est Ebenezer... » dis-je avec un léger sourire.
J’enlevais ma serviette avec soin et calme et… finalement je consentis à rester un peu plus longtemps avec elle. Un léger sourire en coin, je me penchais vers elle pour qu’il n’y ait qu’elle qui entende mes propos. Après tout, on avait partager bien plus non ?
« Je comprends pourquoi Michel-Ange te tient en si haute estime. Ta loyauté envers offre le respect à ta Maison. C’est bien. Et pour ta petite information, je suis Chef du Bureau de Liaison des Gobelins. C’est moi qui dirige toutes les transactions avec Gringotts et les gobelins de manière générale. C’est pas le métier le plus passionnant du monde mais il faut bien vivre. Et ça a ses avantages d’être un Grimm. On parle tous couramment le Gobelbabil. »
Je lui souriais, prêt à lui accorder un peu de mon temps finalement. Je réajustais ma cravate. Je devais bientôt être au bureau. Méthodiquement, je sortis de la poche intérieure de ma veste de costume un parfum, qui éviterait que je sente trop les phéromones toute la journée…
« T’es bien bavarde en tout cas. Tu parles beaucoup de tes amis mais pas beaucoup de toi ! Tu sais je les connais, c’est ma famille ahah ! En vrai quand on y réfléchit, on a tous nos petites addictions. Sauf que pour la tienne, ça peut entraîner des complications. Je vais pas te faire un dessin, mais si j’avais pas pris mes précautions, t’aurais un petit Grimm dans neuf mois. Vu comment tu parles de Mich et vu comment tu parles de Léo et vu ce que tu m’as fait hier soir… Je me doute que ce soit un rêve pour toi mais… Tu devrais vraiment faire attention. »
Je rigolais bien sûr, sauf pour la dernière phrase, j’étais inquiet. Hier soir, elle avait eu la chance de tomber sur moi. Mais… J’aurai pu être le premier salaud venu !
INFOS
FICHE DE PERSO
Thea & Ebenezer - 28 janvier 2023
« Vous auriez pu vous abstenir dans ce cas. » ne puis-je m’empêcher de sortir alors qu’il n’avait pas finis sa tirade. Cela m’aurait largement moins apporté d’emmerde si Michy ne m’avait jamais parler de poivre, de sel, de sentiments et de toutes cette merde. On voit le résultat que cela donne. « Non parce que c’est bien joli comme métaphore, mais mon histoire allait parfaitement avant qu’il vienne me parler de sentiments et de je ne sais quoi. J’allais voir ailleurs, il allait voir ailleurs, cela nous allait très bien. » Je le savais pourtant qu’à partir du moment où j’ai commencé à ressentir quelques choses de fort, que mon cœur allait exploser, j’aurais du arrêter les frais avant d’être blessée. C’était maintenant le cas en partie. Je pense que je peux me considérer comme célibataire non ? A partir du moment où tu n'as aucunes nouvelles de ton petit-ami depuis un mois, c’est le cas, c’est ce qui s’appelle une rupture sans mot ? Pas de nouvelle équivaut à chacun fait sa route de son côté. Le regard dans le vague, je n'avais même pas fait attention à la fin de sa réplique, ni à sa réaction sur le fait que j’avais laisser entendre que j’avais couché avec Léo. Bon, je n’aurais peut-être pas dû lui dire.
Je ne l’avais certes pas entendu, mais la nourriture collé sur mon visage m’avait ramener à la réalité, j’étais écœuré, je montrais un visage où l’on pouvait distinguer une petite touche de dégout. « C’est répugnant. » marmonnais-je alors qu’avec ma main je retirais un morceau d’œuf collé sur ma joue. Heureusement que Michel-Ange avait plus de classe que cela à table, sinon y a longtemps que je mangerais en face de quelqu’un d’autres durant les repas à Poudlard. Je devrais peut-être envisager à mettre @Amy Jordan en face de moi pour les repas et Micky à mes côtés ? Certainement que je prendrais moins de risque, cela est une option à réfléchir à tête reposée.
« Vous pourriez arrêté de faire cela ? Me psychanalyser ? Vous ne me connaissez pas. J’ai déjà essayé la relation exclusive pour votre gouverne et je n’y arrive pas vraiment ou alors c’est juste que je n’ai pas trouvé la personne. » dis-je en terminant ma phrase en mimant les guillemets. Je détourne le regard pour le caler sur la serviette de table mon voisin, je dois bien l’avouer cela m’emmerde énormément qu’il veuille que tous s’arrêtent là. J’aurais bien remis le couvert juste pour me remémorer ce que j’ai loupé quoi. « Faut se détendre, je ne vous ai pas demandé en mariage non plus. Partager ? Un bien grand mot quand on sait que la dernière fois que j’ai vu Léo dans son simple appareil c’était certainement fin novembre ou début décembre. » ajoutais-je avec un petit sourire taquin, rien que pour le voir se renfrogner ou alors faire une tête horrible, je ne sais pas trop, juste histoire de m’amuser un peu. « Et pour votre information, je n’ai rien d’un morpion. » Non mais franchement quoi, se faire appeler morbaque j’aurais tout entendu. En revanche le chéri me fit sourire un peu, c’est Léo qui me nommait aussi ainsi aussi quand on était que tous les deux dans des moments intimes, choses qui n’arrives plus non plus.
Je croise les bras avant de renifler doucement et de lever mon regard dans le sien. « Disque rayé, gnia gnia, l’âge est trop grand, bla bla, c’est bon on me l’a déjà fait milles fois, je cherche juste à prendre du bon temps, vous voulez pas, c’est bon. Je trouverais bien une autre personne, si votre kiff c’est les histoires sans lendemain, suffit juste de le dire pas besoin de trouver ses excuses à deux noises. » affirmais-je avant de rajouter. « Quatorze, me semble que vous aviez dit 1983 hier soir. » Oui, la seule chose que je suis certaine d’avoir retenu son année de naissance. « Bien, je passe de morpion à cause perdu, vous en avez d’autres en stock pour me laminer le moral comme ça ? » Non parce que je peux aussi bien partir maintenant, si c’est pour me prendre des insultes détourner dans la tronche sans que je n’ai rien demandé.
« Faut le dire si je vous emmerde. » lâchais-je alors que je répondais seulement à sa question et que je le voyais faire des signes à une jeune femme qui n’avait pas l’air d’être plus âgé que moi, à bien y regarder me semble même qu’elle est un an plus jeune que moi. Et il vient me parler d’écart d’âge, le gros foutage de gueule oui. « Vous savez qu’elle n’a que 24 ans ? Elle n’est plus à Poudlard certes parce qu’elle n’a pas continué après ses Aspic. » lançais-je alors que je jouais doucement avec le couteau. Certainement qu’elle avait du mentir délibérément, bon aussi parce qu’avec ses deux trois rides sur le visage, elle donnait facilement 30 ans.
Je le regardais faire ses petits gestes sans rien dire, mais lorsqu’il se pencha en avant, je dois bien avoué que mon premier reflexe fut de reculer un peu, de peur de finir dans une emmerde certainement ? C’est l’oncle de Michel-Ange après tous, mieux vaut que je sois sur mes gardes. Mais je ne fis pas un mouvement, l’écoutant seulement et souriant doucement quand il parla de Micky.
« Je ne bois pas autant d’ordinaire. » le coupais-je en m’attachant les cheveux en une queue de cheval alors qu’il n’avait clairement pas finis son monologue. « Waouh, la moquette elle ne se fume pas Ben, ouai je vais vous appeler Ben plus simple. » répliquais en clignant des yeux et en ayant un petit frisson d’horreur rien que d’imaginer Micky, ARG NON GLACE AU CARAMEL, meilleure vision, totalement. « Micky c’est comme mon frère, ok, lui et moi, jamais. Léo c’était juste un moment de je te répare, je te console, point barre, quand à vous, je ne sais même pas ce que je vous ai fait hier soir. » Et c’est vraiment dommage, je souffle défaite par ce point. Glissant ma main doucement sur la table, j’érafle doucement son poignet avec mon doigt avant de le retirer rapidement et de remettre mon bras en place. « Mais, vous pouvez toujours me le montrer ce que je vous ai fais hier, je ne dis pas non. » Bien que je suis consciente que je risque de me prendre un gros râteau.
Je ne l’avais certes pas entendu, mais la nourriture collé sur mon visage m’avait ramener à la réalité, j’étais écœuré, je montrais un visage où l’on pouvait distinguer une petite touche de dégout. « C’est répugnant. » marmonnais-je alors qu’avec ma main je retirais un morceau d’œuf collé sur ma joue. Heureusement que Michel-Ange avait plus de classe que cela à table, sinon y a longtemps que je mangerais en face de quelqu’un d’autres durant les repas à Poudlard. Je devrais peut-être envisager à mettre @Amy Jordan en face de moi pour les repas et Micky à mes côtés ? Certainement que je prendrais moins de risque, cela est une option à réfléchir à tête reposée.
« Vous pourriez arrêté de faire cela ? Me psychanalyser ? Vous ne me connaissez pas. J’ai déjà essayé la relation exclusive pour votre gouverne et je n’y arrive pas vraiment ou alors c’est juste que je n’ai pas trouvé la personne. » dis-je en terminant ma phrase en mimant les guillemets. Je détourne le regard pour le caler sur la serviette de table mon voisin, je dois bien l’avouer cela m’emmerde énormément qu’il veuille que tous s’arrêtent là. J’aurais bien remis le couvert juste pour me remémorer ce que j’ai loupé quoi. « Faut se détendre, je ne vous ai pas demandé en mariage non plus. Partager ? Un bien grand mot quand on sait que la dernière fois que j’ai vu Léo dans son simple appareil c’était certainement fin novembre ou début décembre. » ajoutais-je avec un petit sourire taquin, rien que pour le voir se renfrogner ou alors faire une tête horrible, je ne sais pas trop, juste histoire de m’amuser un peu. « Et pour votre information, je n’ai rien d’un morpion. » Non mais franchement quoi, se faire appeler morbaque j’aurais tout entendu. En revanche le chéri me fit sourire un peu, c’est Léo qui me nommait aussi ainsi aussi quand on était que tous les deux dans des moments intimes, choses qui n’arrives plus non plus.
Je croise les bras avant de renifler doucement et de lever mon regard dans le sien. « Disque rayé, gnia gnia, l’âge est trop grand, bla bla, c’est bon on me l’a déjà fait milles fois, je cherche juste à prendre du bon temps, vous voulez pas, c’est bon. Je trouverais bien une autre personne, si votre kiff c’est les histoires sans lendemain, suffit juste de le dire pas besoin de trouver ses excuses à deux noises. » affirmais-je avant de rajouter. « Quatorze, me semble que vous aviez dit 1983 hier soir. » Oui, la seule chose que je suis certaine d’avoir retenu son année de naissance. « Bien, je passe de morpion à cause perdu, vous en avez d’autres en stock pour me laminer le moral comme ça ? » Non parce que je peux aussi bien partir maintenant, si c’est pour me prendre des insultes détourner dans la tronche sans que je n’ai rien demandé.
« Faut le dire si je vous emmerde. » lâchais-je alors que je répondais seulement à sa question et que je le voyais faire des signes à une jeune femme qui n’avait pas l’air d’être plus âgé que moi, à bien y regarder me semble même qu’elle est un an plus jeune que moi. Et il vient me parler d’écart d’âge, le gros foutage de gueule oui. « Vous savez qu’elle n’a que 24 ans ? Elle n’est plus à Poudlard certes parce qu’elle n’a pas continué après ses Aspic. » lançais-je alors que je jouais doucement avec le couteau. Certainement qu’elle avait du mentir délibérément, bon aussi parce qu’avec ses deux trois rides sur le visage, elle donnait facilement 30 ans.
Je le regardais faire ses petits gestes sans rien dire, mais lorsqu’il se pencha en avant, je dois bien avoué que mon premier reflexe fut de reculer un peu, de peur de finir dans une emmerde certainement ? C’est l’oncle de Michel-Ange après tous, mieux vaut que je sois sur mes gardes. Mais je ne fis pas un mouvement, l’écoutant seulement et souriant doucement quand il parla de Micky.
« Je ne bois pas autant d’ordinaire. » le coupais-je en m’attachant les cheveux en une queue de cheval alors qu’il n’avait clairement pas finis son monologue. « Waouh, la moquette elle ne se fume pas Ben, ouai je vais vous appeler Ben plus simple. » répliquais en clignant des yeux et en ayant un petit frisson d’horreur rien que d’imaginer Micky, ARG NON GLACE AU CARAMEL, meilleure vision, totalement. « Micky c’est comme mon frère, ok, lui et moi, jamais. Léo c’était juste un moment de je te répare, je te console, point barre, quand à vous, je ne sais même pas ce que je vous ai fait hier soir. » Et c’est vraiment dommage, je souffle défaite par ce point. Glissant ma main doucement sur la table, j’érafle doucement son poignet avec mon doigt avant de le retirer rapidement et de remettre mon bras en place. « Mais, vous pouvez toujours me le montrer ce que je vous ai fais hier, je ne dis pas non. » Bien que je suis consciente que je risque de me prendre un gros râteau.
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INFOS
FICHE DE PERSO
« Tu parles des Grimm. Rien n’est impossible pour nous quand on s’en donne les moyens… Et surtout pas en amour. »
Je lui fis un léger clin d’oeil, mais je regrettais bien vite mon geste quand sa main effleura la mienne et qu’elle me fit une petite avance. A ce moment précis, je vis les tête débile de mes deux neveux posés sur l’épaule de Théa. Je sursautais, et je me levais.
« Allez. Tu me plais bien. Viens, on va faire un tour avant d’aller au boulot. Ed ! C’était super ! »
Le dénommé Ed leva la main et me fit un léger clin d’oeil. Je mis mon grand manteau par dessus mon costume de fonctionnaire et j’indiquais la sortie du Chaudron baveur côté sorcier.
Après avoir passé plusieurs fois ma baguette sur les briques, je la regardais en diagonale alors que le passage s’ouvrait.
« Tu vas faire tes courses de première année à Poudlard ? »
Bien sûr, je me foutais de sa gueule sur son âge. Je me mis à ricaner et je passais du côté Sorcier du Chemin de Traverse. Avec un léger sourire en coin, je me dirigeais vers Gringotts. Parce que c’est là que j’allais débuter ma journée… Avançant avec calme, les mains dans les poches, je regardais Théa avec amusement.
« On a fait les choses qu’on a fait ! Mieux vaut pas trop se poser ce genre de questions. Tu vas à Poudlard ou tu as deux minutes ? »
Je continuais d’avancer sans rien dire de plus. En fait j’étais en train de réfléchir à ce qu’on allait bien pouvoir se dire. En réalité, on avait connu l’intégralité du corps de l’autre sans connaître l’autre. Normalement, je ne fonctionnais pas comme ça. Mais là, je savais pourquoi j’avais agi ainsi. Le retour de Nott m’avait complètement chamboulé et j’avais bu à la vie à la mort jusqu’à m’en rendre malade et perdre le contrôle.
« Hé salut Steve. Une citron meuringue steuplé ! »
Ah, oui, on était passé par le glacier. Je passais toujours pas le glacier quand je venais là. Avec un léger sourire, je regardais Théa avec amusement.
« Tu veux quoi ? Hm ? Oh pourquoi tu me regardes comme ça ? Ah… Toi t’es jamais venu ici avec Michel-Ange. Je t’explique. Les Grimm sont implanté au Chemin de Traverse depuis environ mille ans. On grandit là bas. Puis on est balancé dans le vrai monde si on a pas la chance de reprendre la Forge. »
Je désignais du pouce derrière moi la forge qui était juste en face de Gringotts. Historiquement ça symbolisait beaucoup. Avec un léger sourire, je pris ma glace et je continuais mon explication.
« Du coup, on connaît tout le monde ici. Tous les commerçants. Steve que tu vois là est un ami d’enfance. Et Ed, du Chaudron Baveur, je le connais je crois depuis que je sais marcher. Je me demande quand est ce qu’il va passer le flambeau… Tenir un bar ça t’intéresse pas ? »
Je ricanais et je commençais à manger ma glace, sans rien dire de plus. Alors qu’on arrivait non loin de Gringotts, on passa devant la Forge et… Un homme vêtu avec un tablier et ayant une énorme pince en métal s’arrêta et se figea en me voyant. Mon teint blêmit légèrement…
« Salut, Eb. »
« Bonjour Ab. »
Puis je continuais ma route. Derrière moi, j’entendis un juron et une paire de pince tomber. Sans me retourner, je levais le doigt pour faire taire Théa si l’envie lui brûler de me poser la question.
« Tu dois bien sûr connaître mon frère, Abraham Grimm, le père de Mich et Léo. Puisque tu… comment dire. Couche avec l’un et te confie à l’autre ! Il est pas très bavard. »
Moi non plus, il fallait dire que je n’avais pas osé plus engagé la conversation… Comme d’habitude depuis que j’avais été banni de l’héritage des Grimm et qu’il avait eu tous les honneurs… Et dire que j’en avais absolument rien à foutre.
Je lui fis un léger clin d’oeil, mais je regrettais bien vite mon geste quand sa main effleura la mienne et qu’elle me fit une petite avance. A ce moment précis, je vis les tête débile de mes deux neveux posés sur l’épaule de Théa. Je sursautais, et je me levais.
« Allez. Tu me plais bien. Viens, on va faire un tour avant d’aller au boulot. Ed ! C’était super ! »
Le dénommé Ed leva la main et me fit un léger clin d’oeil. Je mis mon grand manteau par dessus mon costume de fonctionnaire et j’indiquais la sortie du Chaudron baveur côté sorcier.
Après avoir passé plusieurs fois ma baguette sur les briques, je la regardais en diagonale alors que le passage s’ouvrait.
« Tu vas faire tes courses de première année à Poudlard ? »
Bien sûr, je me foutais de sa gueule sur son âge. Je me mis à ricaner et je passais du côté Sorcier du Chemin de Traverse. Avec un léger sourire en coin, je me dirigeais vers Gringotts. Parce que c’est là que j’allais débuter ma journée… Avançant avec calme, les mains dans les poches, je regardais Théa avec amusement.
« On a fait les choses qu’on a fait ! Mieux vaut pas trop se poser ce genre de questions. Tu vas à Poudlard ou tu as deux minutes ? »
Je continuais d’avancer sans rien dire de plus. En fait j’étais en train de réfléchir à ce qu’on allait bien pouvoir se dire. En réalité, on avait connu l’intégralité du corps de l’autre sans connaître l’autre. Normalement, je ne fonctionnais pas comme ça. Mais là, je savais pourquoi j’avais agi ainsi. Le retour de Nott m’avait complètement chamboulé et j’avais bu à la vie à la mort jusqu’à m’en rendre malade et perdre le contrôle.
« Hé salut Steve. Une citron meuringue steuplé ! »
Ah, oui, on était passé par le glacier. Je passais toujours pas le glacier quand je venais là. Avec un léger sourire, je regardais Théa avec amusement.
« Tu veux quoi ? Hm ? Oh pourquoi tu me regardes comme ça ? Ah… Toi t’es jamais venu ici avec Michel-Ange. Je t’explique. Les Grimm sont implanté au Chemin de Traverse depuis environ mille ans. On grandit là bas. Puis on est balancé dans le vrai monde si on a pas la chance de reprendre la Forge. »
Je désignais du pouce derrière moi la forge qui était juste en face de Gringotts. Historiquement ça symbolisait beaucoup. Avec un léger sourire, je pris ma glace et je continuais mon explication.
« Du coup, on connaît tout le monde ici. Tous les commerçants. Steve que tu vois là est un ami d’enfance. Et Ed, du Chaudron Baveur, je le connais je crois depuis que je sais marcher. Je me demande quand est ce qu’il va passer le flambeau… Tenir un bar ça t’intéresse pas ? »
Je ricanais et je commençais à manger ma glace, sans rien dire de plus. Alors qu’on arrivait non loin de Gringotts, on passa devant la Forge et… Un homme vêtu avec un tablier et ayant une énorme pince en métal s’arrêta et se figea en me voyant. Mon teint blêmit légèrement…
« Salut, Eb. »
« Bonjour Ab. »
Puis je continuais ma route. Derrière moi, j’entendis un juron et une paire de pince tomber. Sans me retourner, je levais le doigt pour faire taire Théa si l’envie lui brûler de me poser la question.
« Tu dois bien sûr connaître mon frère, Abraham Grimm, le père de Mich et Léo. Puisque tu… comment dire. Couche avec l’un et te confie à l’autre ! Il est pas très bavard. »
Moi non plus, il fallait dire que je n’avais pas osé plus engagé la conversation… Comme d’habitude depuis que j’avais été banni de l’héritage des Grimm et qu’il avait eu tous les honneurs… Et dire que j’en avais absolument rien à foutre.
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