s'arrimer à la décadence x sheraz

Tu acquiesces seulement à la tirade de l’étudiant sur le sujet de la mémoire épisodique. “C’est précisément ce que j’entendais par le terme ‘métaphorique’. La déformation du souvenir”. Tu l’as dit avec plus de mesure que ses explications tout à fait valables sur le plan scientifique. La psychologie étant une science hautement complexe, tu ne voudrais pas hasarder tes dires à des interprétations sulfureuses.

L’échange prend bien vite la tournure d’un partage de compétences. Le voilà à affirmer que tu es probablement plus patiente que tu ne le crois. Il est vrai que la recherche exige un certain degré d’imperturbabilité. Y trouver un intérêt et une motivation, absolument. Perspicace, il a sans doute bien cerné la panthère et les arcanes de sa personnalité orageuse. Tu ne marches qu’à cela. Par chance, le sujet de conversation tourne bien vite à ce que tu maîtrises le plus dans toute ton existence : sans doute la sorcellerie.

“C’est indispensable, Mahal, dès lors que vos travaux portent sur la conjuration de malédictions. Je me suis toujours efforcée d’en connaître le plus possible”. D’être la meilleure dans ton domaine, pour ne pas le mentionner ouvertement. Une ambition sans faille, démesurée. A défaut d’espérer la survivance de l’âme, certains sorciers préfèrent laisser une trace sur cette noble Terre par leurs créations. C’est loin d’être idiot, en effet, que d’user de sceaux comme ceux présents sur la malle. “Je peux me charger du Sortilège d’Allumage augmenté si tenté que vous soyez d’accord pour porter ces … Immondices”, dis-tu alors qu’une paire de lunettes de précision apparaît au creux de ta paume.

Ces binocles sont sophistiquées, objet de recherche pointue lorsqu’il est question du repérage d’enchantements et autres détails qui pourraient échapper à l'œil nu. Toutefois, aucune chance pour que tu acceptes de les porter devant un Autre. Tu as ta dignité. “Le Revelio, vous vous en douterez, n’a pas donné grand chose”, admets-tu, l’intonation circonspecte. D’un geste subtil du poignet, une orbe lumineuse naît au-dessus de la boîte ouvragée, éclairant finement les moindres détails d’un travail d’orfèvre. “Enfilez ces maudites lunettes, Sheraz Mahal”. L’indication n’invite pas au refus.

L’orbe s’approche de la malle, seulement commandée par ta pensée. Ton regard océan se fait plus fin, plus précis, alors que tes paupières se referment légèrement comme si la panthère scrutait une proie. “C’est un concours réputé, en effet. Quelle a été votre proposition d’invention ?”, questionnes-tu avec un intérêt non feint dans la voix. Pour qu’il ose se présenter au regard des conditions d’accès, c’est qu’il était en mesure de présenter une œuvre à minima pertinente.

@Sheraz Mahal

Il l'écoutait apporter le contrepoint à ses questions avec un certain plaisir, oubliant presque qu'il lui arrivait de se l'imaginer en veuve noire au fond de sa salle de classe. A pas de velours, une collaboration se dessine tandis qu'elle lui expose un peu plus de l'étendue de ses connaissances, lui semble presque se connecter, avec une aisance déconcertante. Sans doute que quelques mois auprès des chercheurs de l'IDEM avaient forgé chez lui cette adaptabilité. Il fallait dire qu'étant passé par le tamis de trois chercheurs aux méthodes et aux domaines diamétralement opposés, il avait beaucoup appris à modérer son envie de faire pour se laisser enseigner. Un petit sourire amusé chatouille l'étudiant à la commissure des lèvres comme il semble qu'il devra se coller aux lunettes de précision. Il faut dire que ce précieux petit instrument à tout l'art d'en imposer dans le ridicule mais c'est un des instruments favoris d'Ana, la botaniste, et Sheraz n'a jamais pu passer au travers chaque fois qu'ils se sont retrouvé en binôme. A la longue, c'est devenu presque une seconde nature. Et ce en dépit des énormes yeux en soucoupe que lui font les lunettes à la seconde où il les chausse.

Il n'est pas surpris par la remarque du professeur Amonwë. Le revelio est une valeur sûre mais il a tout de même ses limites. Amonwë ne s'attarda pas sur ce point de détail, trop centré sur ce qu'ils avaient peut-être à découvrir ce soir. A son ordre - on n'aurait pas pu le dire autrement - il chaussa les lunettes de précision surpris de la manière dont le professeur Amonwë pouvait contrôler le sortilège de lumos augmenté, lui devait s'astreindre à remuer de la baguette en permanence pour le maintenir comme on aurait tenu une loupe. Cela avait au moins l'avantage d'avoir améliorer sa capacité à faire deux choses en même temps mais l'exécution du Pr Amonwë avait tout de même plus d'allure.

« Euh... eh bien pour tout dire je ne l'ai pas exactement "présentée"... », fit-il en faisant signe au petit bloc note dans son sac de le rejoindre. Il commençait à voir apparaître les sceaux dont il avait soupçonné l'existence. S'agenouillant devant la malle - son occupant ayant complètement vidé ses pensées - il se mit à griffonner minutieusement... « ... pour être transparent j'ai fait en sorte que quelqu'un la présente à ma place, puisque je n'étais pas éligible au concours... c'était une machine à équilibrer les potions... c'aurait marcher très bien si le candidat qui devait le présenter avait eu un peu plus de bagou... la récompense a été invalidée par la suite mais j'avoue que j'en ai tout de même tiré... oh ! venez voir professeur ! »

Il s'était arrêté de griffonné et redressé sous l'effet de la surprise.

« Je crois qu'il va falloir que vous vous colliez aux lunettes de précision... j'en ai une paire dans mon sac. », suggéra l'étudiant aux yeux si globuleux qu'ils semblaient prêts à lui sortir de la tête.

En voilà une association peu commune. La cérébralité de la panthère s’en voit stimulée au point d’en imaginer des travaux coopératifs dans l’avenir. Des recherches fructueuses, c’est évident, portant sur les acceptions mécanistes des malédictions. Ce serait une base solide pour de futurs sujets de thèses. Ceci étant dit, il y a ces horribles lunettes - vraiment horribles - mais pourtant hautement qualifiées en matière de précision. Heureusement, l’étudiant s’en empare sans poser problème.

A ta demande, sa réponse n’en demeure pas moins désarçonnante. Le sourcil haussé, puisqu’il ne l’a donc pas présentée, son œuvre. Un insipide bloc-note se joint à la partie, traçant des lignes et autres symboliques sur les pages encore vierges jusqu’alors. Surprenant. C’est une qualité que tu sais reconnaître et apprécier chez les autres. Il s’avère surprenant, si bien que ton avis changerait du tout au tout sur cet individu aux yeux larmoyants.

Portant ton attention sur la boîte de Pandore - elle en a bien l’allure - tu te fais écoute attentive de son stratagème. C’est ingénieux même si jamais tu n’aurais laissé ta place à quelqu’un d’autre. Jamais. C’est alors que soudainement, l’enthousiasme - ou la surprise - gagne sa voix, interpellant ta personne par ton titre universitaire. Sous son œil disproportionné par les binocles qu’il porte, te voilà contraint de grimacer, saisissant comme l’aigle entre ses serres, cette autre paire dans son sac d’études. ”Vous êtes détestable, Mahal”, murmures-tu entre tes lèvres carmin pincées par la haine - a minima.

Une fois les rétroviseurs plantés devant tes si beaux yeux d’un bleu océanique, te voilà fin prête à observer la trouvaille. “Quel est l’objet de cette fougue ?”, demandes-tu avec intérêt, sans toutefois oublier le sujet premier de l’échange. Partant silencieuse à la recherche de la moindre imperfection mécanique, tu reprends la parole. “C’est tout à fait novateur, cette idée de machine à équilibrer les potions … Je crois sincèrement que le jury aurait su tenir compte de votre enthousiasme féroce”. Le dernier terme n’a aucunement valence négative dans ton propos. “Qu’en avez-vous donc tiré, de cette expérience ?” Il est intriguant, cet étudiant.

@Sheraz Mahal

Le jeune homme eut un petit hoquet amusé en entendant la si redoutée Mrs Amonwë pester contre le petit artefact, indispensable à la poursuite de leur étude. Il eut une petite pensée pour  @Adil Mesli . Le sixième année les avait lu aussi en horreur et il ne devait pas être le seul.

« Personne ne vous voit professeur. », commenta-t-il, se rendant compte après coup qu'il tendait probablement le bâton pour se faire battre. Il préféra vite revenir à l'objet de son enthousiasme. Sur les ferronneries, la vision augmentée que leur conféraient les lunettes, laissait apparaître des petits caractères mouvants. A vrai dire, s'ils étaient déjà minuscules dans ces conditions, ils étaient probablement microscopiques en réalité, ce qui laissait imaginer d'autant plus de choses sur la fabrication de cette malle ou du moins son enchantement. Le moins qu'on puisse dire c'était que ça n'était pas le travail de n'importe quel huchier. Ce qu'il avait pris pour des sceaux de protection était en réalité formé de ces microscopiques petits symboles, invisibles à l'oeil nu, et qui semblaient circuler dans une danse infini. Malheureusement, Sheraz n'avait aucun compétence dans le déchiffrage de cette langue - si c'était bien du cyrillique. Il eut tout de même la bonne idée de tenter un sortilège pour les ralentir, ce qui faciliterait grandement la prise de note. Une chose qu'il avait apprise avec Mr Vorpe, sur le site de fouilles qui se trouvait à quelques kilomètres d'Inverness.


« Vous avez déjà vu ce genre de sceau Professeur ? »

Peut-être aurait-elle plus de clés pour les déchiffrer voire les briser, considérant toute l'expérience de terrain et les années d'études que lui n'avait pas.

Après cette phase de rejet, voilà que tu accèdes à l’infamie. Bien, nous disposons toutes et tous d’une marge de progression, n’est-ce pas ? La remarque de l’étudiant te fait hausser un sourcil, d’abord d’agacement, puis d’une surprise subtile et qui s’avère efficace. Elle te rassure, cette maudite remarque. Personne ne te voit, Amonwë, tu peux te permettre d’avoir l’air ridicule avec ces immenses lorgnons sur le visage. D’ailleurs, les foyers sont tellement épais qu’ils vous donnent volontiers une apparence d’insectes. Sortes de sauterelles mutantes et venues d’une autre contrée. “Merci, Mahal”, souffles-tu seulement entre tes dents. Pourtant, ce remerciement signifie beaucoup. Tu acceptes qu’il n’y ait aucun jugement dans cette collaboration.

Cette malle révèle enfin ses secrets. Tout du moins certains. Et sous vos iris décuplés ce sont de sublimes mais minuscules écrits qui apparaissent. Une gravure ciselée, on ne peut plus précise et dont l’élégance ne cesse de te plaire encore davantage. “C’est vraiment magnifique … Admirez cette finesse …” La Professeure d’Université n’en croit pas ses mirettes. Il faut dire que cela n’est pas donné à tout le monde d’être face à de véritables prouesses de la sorcellerie. “Je promets de m’intéresser davantage à votre domaine de prédilection à l’avenir”. Oui, c’est une évidence, il faut t’y atteler rapidement. Tu y es hautement sensible, à ces arabesques d’une autre nation.

“Notez à quelle vitesse ces caractères se déplacent. Je pense qu’il s’agit d’une formule, peut-être bien l’incantation de l’enchantement !” lances-tu avec enthousiasme, celui de la chercheuse. “Mais ne nous hâtons pas, prenons d’abord le temps de les déchiffrer avec attention”. L’étudiant de Poufsouffle s’enquit de ralentir la course alphabétique à l’aide de sa baguette, permettant d’y voir plus clair. “Je n’en ai jamais vu de tel, non, il nous faut être inventifs cette fois-ci”. Plissant les paupières un instant, tu parviens à en comprendre peut-être une infime partie : “quiconque m’ouvre … Feu éternel …” Tu souffles d’agacement, signe distinctif de ton caractère. “Sans doute une mise en garde destinée aux imprudents”.

@Sheraz Mahal

Un sourire fin étirer la commissure de ses lèvres, sur la gauche, en voyant que l'éminente chercheuse se découvre à son contact quelque intérêt pour son domaine à lui. C'est flatteur, presque autant que ce merci qu'il s'est empressé de ne pas relever pour ne pas tout gâcher. Curieusement, l'idée de lui demander une petite intervention en septembre au moment des journées portes ouvertes des clubs de Poudlard lui traverse l'esprit. Il la chasse bien vite. Amonwë n'est pas tout à fait le genre de professeurs qui attirerait le chaland. Et d'ailleurs, c'est bien nouveau qu'il se soucie de ce club un peu ridicule, où se retrouvent des mecs brillants autant que des guignols. Inconsciemment, il se dit que recruter des filles seraient peut-être une bonne chose pour changer...

Minutieusement, il ralentit le flux des petits caractères qui file sous sa baguette, laissant à Amonwë le soin d'en faire la traduction. Dire qu'un frisson désagréable lui file le long de la colonne vertébrale à la mention de feu éternel et de mise en garde serait un euphémisme. Le jeune homme déglutit péniblement, adressant un regard oblique à sa professeure pour constater, sans surprise, qu'elle au contraire, semble galvanisée par ces avertissements.

« Il nous faudrait une traduction complète et plus aboutie que cela pour aller plus loin je pense. », suggéra le préfet, couard mais surtout avisé. « Vous me donnez un instant ? »

Car pour traduire, encore faut-il avoir le texte sous les yeux et ça, c'est encore une affaire de mécamagie. Sans attendre de réponse, l'anglo-pakistanais file vers sa salle commune. Il lui faut un petit quart d'heure avant de repointer le bout de son nez, un étrange cube dans la main. En vérité à y bien regarder, on pourrait deviner que d'en une autre vie, ça a été un moulin à café, sans doute chiné au puce. On a pris soin de nourrir le bois et de retirer les éléments en laiton et la visserie inutile puis de faire quelques petits ajouts, le plus notable de tous, une orbe de la taille d'une clémentine, étonnamment cristalline.

« C'est un encodeur arcanique... », annonce le jeune homme en positionnant l'objet bien en face des caractères, « Je l'ai déniché chez un antiquaire l'année dernière. Le design est vieillot mais l'oeil arcanique est d'une netteté dingue... regardez. »

Il ne lui avait fallu que quelques secondes avant de confier le petit objet aux mains du Professeur Amonwë. Il suffisait d'ouvrir le petit capot sur le dessus de la boîte et alors l'oeil arcanique se mettait à tourner sur lui même, projetant à courte focale une image figée mais parfaitement lisible de ce qu'il avait enregistré. Une vraie aubaine pour un traducteur dans leur cas.

« Vous pouvez agrandir en faisant comme ça. », précise encore le jeune homme en faisant un petit geste très moldu du pouce et de l'index. Un petit ajout de son cru. Il n'avait pas pu s'en empêcher et avec l'habitude des écrans tactiles, il n'aurait décemment pas pu se passer de ça.

Alors que des connivences semblent se nouer au fil de la conversation, tu te surprends à apprécier l’extrême finesse de cet art métallurgique. Bien sûr, tu en as quelques vagues connaissances mais l’approfondir serait probablement une denrée rare et respectée dans le monde académique. Car Intérêt et Profit sont systématiquement en arrière-plan de ton brillant esprit. A Poudlard, tu aurais été de ces Serdaigles dont le Savoir ne représente que le Pouvoir.

A la découverte du message codé, vos deux réactions sont totalement contraires. Il est amusant de s’en apercevoir. “Je pense … Que vous avez raison”. Tu croises son regard de chien battu. “Nous ne voudrions pas perdre un membre en nous attaquant à cette mallette”, ironises-tu face au danger pourtant imminent, excitant mais redoutable. Car tu ne marches qu’à ça, Amonwë, à l’adrénaline, à cet au-delà des Lois et du respectable.

Un hochement de tête bref à sa demande de répit. L’absence paraît longue et pénible. Tu souffles d’exaspération et munie de tes pathétiques lunettes de plongée - pas moins que cela - tu t'enquiers d’un nouvel article de confrères français sur les métamorphoses lupines. Passionnant. La culture française en matière de Défense Contre les Forces du Mal est toute autre que la vôtre, anglo-saxonne. Tu n’as lu seulement quelques pages lorsqu’il franchit de nouveau le pas de la porte.

Un artéfact cubique à la main, pour le moins étrange et qui te remémore quelques souvenirs du monde moldu. A tort ou à raison, tu n’as pas nécessairement le temps de t’y pencher. C’est pourtant à la mention des propriétés de l’objet que ton attention s’aiguise davantage. “Eh bien … A l’avenir je réfléchirais à deux fois avant de renoncer à me rendre Aux Puces”. La référence moldue est palpable cette fois-ci, bien que condescendante. Mais cela, c’est ton caractère imbuvable.

Attentive, tu suis les indications données par l’étudiant. Te voici devant l’évidence. “A quiconque m’ouvre, connaîtra l’avenir, la gloire et la grandeur du feu éternel”, prononces-tu distinctement tandis que tes paupières s’ouvrent un peu plus grande tant la promesse est alléchante. “Deux possibilités s’offrent à nous, Mahal. Soit il est question d’un trésor au sens d’une richesse de l’esprit, soit c’est une vaste arnaque …” Ton coup d'œil est entendu. “Êtes-vous prêt à tenter le coup ou nous remettons cela à une prochaine fois ? J’aimerais, d’ici là, consulter certains autres experts universitaires afin d’avoir un avis collégial sur la question”.


@Sheraz Mahal

HRP : je serais bien d'avis de terminer le sujet actuel pour en lancer une suite plus "actuelle" si tu es OK ?

Il adressa un curieux regard à cette remarque sur les Puces. Il était vrai qu'il aurait pu essayé d'enjoliver un peu la chose. Prétendre qu'il avait trouvé ça chez un receleur d'objets moldus - encore que ça n'aurait guère été crédible quand on le voyait - ou chez un antiquaire. Mais Sheraz était plutôt du genre à aimer les exactitudes.

Le petit objet fit néanmoins son office sous la houlette du Professeur Amonwë qui se débrouillait étonnamment bien pour quelqu'un qui "n'avait pas la patience". Sheraz sourit, content de pouvoir assister à tout cela. Mais son sourire se ratatina à la mention de feu éternel. C'était là qu'il tirait sa révérence. Du moins c'était là qu'il se mettait à prier que son professeur de DCFM lui en donne l'opportunité. Ça devait se voir sur son visage car elle lui mit presque instantanément deux possibilités sous le nez :

« Si ça n'est qu'une arnaque à la rigueur c'est pas bien grave... »

Il se remettrait sans doute bien mieux de passer pour un con que du feu éternel, c'était certain. Et comme elle lisait dans ses pensées...

« Vous avez raison, mieux vaut remettre ça à ... », jamais ? « ... plus tard. Avec d'autres avis. Vous n'aurez qu'à me faire signe. »

Intérieurement, il se fustigeait de l'avoir suggéré, lui qui ne voulait surtout pas avoir affaire aux feux de quoi que ce soit, pas même ceux d'une boîte d'allumettes. Sur ces mauvaises paroles, l'étudiant se retira, saluant l'impressionnante Cléopatra Amonwë d'un sourire un peu emprunté avant de disparaître.

Intérieurement, il se féliciterait de n'avoir pas eu à se frotter à nouveau à l'épouvantard... c'était déjà ça de pris.

Spoiler: