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I Was Made For Lovin' You / Valentine's Day
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FICHE DE PERSO
14 février 2023, domicile des More
Et là, Merlin l'enchanteur conduisit le jeune Arthur devant le rocher du roi. C'était un ENORME rocher dans lequel avait été planté une épée. Excalibur ! Oui c'est ça, Excalibur, l'épée magique dont on disait que celui qui parviendrait à la retirer du rocher deviendrait le nouveau roi. Beaucoup avait essayé mais personne n'avait réussi. Personne ? Non, pas un seul. Et au fil du temps, les habitants avaient fini par abandonner et désespéraient de trouver un jour leur roi. Arthur qui se trouvait au pied de l'IMMENSE rocher se tourna vers Merlin pour lui dire : "Jamais je ne pourrais y arriver !". Mais Merlin lui répondit : "Si tu crois en toi Arthur, rien n'est impossible. Moi je crois en toi.". Alors Arthur grimpa vaille que vaille sur le rocher et, en se saisissant de la garde de l'épée des deux mains, tira de toutes ses forces ! Il tira et tira et tira... Aller Papa ! Bon d'accord. Et tira si fort que l'épée se détacha du rocher, déséquilibrant ce pauvre Arthur qui dégringola du rocher et finit sa chute sur ses fesses. Hé, c'est pas ça ! Ta changé l'histoire ! Meuh non, j'ai pas changé l'histoire. Si ! Non ! Si ! Nooon ! SIII ! Tu veux la fin de l'histoire oui ou non ? Oui... Bon alors, Arthur se releva en tenant Excalibur dans ses mains. Soudain, l'épée se mit à briller d'un tel éclat qu'elle l'aveugla au point de devoir en fermer les yeux. Et lorsqu'il les rouvrit, il se rendit compte qu'il avait été transporté jusqu'au palais où une foule en liesse vint l'accueillir. On le porta à l'intérieur, le drapa d'une magnifique cape rouge et de superbes colliers d'or et d'argent, le fit assoir sur le trône et pour finir on ceignit sa tête de la couronne royale. Tous ployèrent ensuite le genou devant lui et s'exclamèrent en cœur : "Vive le Roi !". Fin.
Samuel, adossé contre la tête du lit au côté de Liam, referma le livre et le déposa sur la table de chevet. Moi aussi, je veux être roi ! S'écria Liam avant d'étouffer un bâillement. Pour ça, il faut d'abord faire dodo. Aller hop ! Maman ne va pas tarder à passer te dire bonsoir. Il se releva puis s'occupa de rabattre correctement les couvertures sur le jeune garçon. Bonne nuit, petit prince. Pas prince, roi papa. Il esquissa un sourire avant de déposer un baiser sur son front et de quitter la pièce. Il se dirigea ensuite vers une autre chambre où il entrouvrit la porte avec précaution pour faire le moins de bruit possible. Cléophée se tenait là, au-dessus du berceau de la petite Keïra qui semblait s'être enfin endormie. En entendant la porte s'ouvrir, Cléo tourna la tête vers lui et plaqua un doigt sur sa bouche. Il resta sur le pas de la porte et lui murmura d'une voix à peine audible : Liam aussi est à point. Je t'attends en bas quand tu as fini. Elle branla du chef avant de reporter son attention sur la petite chose confortablement installé dans le berceau. Il s'en alla sur la pointe des pieds puis descendit au salon. Il en profita pour réajuster sa chemise, boutonner ses manchettes et enfiler la veste de son costume. En ce jour de la Saint-Valentin, ils avaient prévu de sortir en tête-à-tête. Ce qui n'avait pas été aussi facile à organiser qu'il le pensait. Convaincre Cléophée de s'éloigner de Keïra pour ne serait-ce que quelques heures n'avait pas été une mince à faire. Mais à force d'insister et grâce à son charme naturel, il avait fini par la faire céder. Il avait donc put réserver une table pour ce soir et s'était bien habillé pour l'occasion.
Assis dans un des fauteuils du salon, il attendit son épouse en lisant un article de la gazette du sorcier qui débattait des mesures mis en place par le nouveau ministre de la magie concernant les loups-garous. En bref, rien de très réjouissant. Cléophée ne tarda pas à descendre mais la connaissant bien, il savait qu'elle en aurait encore pour quelques minutes à vérifier que tout soit en ordre avant leur départ. Il continua donc la lecture de son article avant de finir par lui demander, sans quitter les yeux de son journal, si elle était prête à partir. Ne recevant pas de réponse au bout de quelques instants, il leva les yeux et la chercha du regard. Elle était en train de s'examiner une dernière fois devant le miroir de l'entrée. Esquissant un sourire, il se leva, rangea sa paire de lunette et jeta le journal sur la table basse avant de la rejoindre. Il vint se poster juste derrière elle en la tenant par les hanches et en appuyant sa tête contre son épaule. Encore plus belle qu'une vélane. Lui dit-il en déposant un baiser dans son cou. On y va ? Renchérit-il en affichant son sourire le plus craquant.
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FICHE DE PERSO
Samuel & Cléophée - 14 février 2022
En montant dans les chambres, Keïra dans mes bras en train de la bercer doucement alors qu’elle venait de prendre son biberon, je passais devant la chambre de mon fils ou plutôt de notre fils à Samuel et moi et je me fige instantanément en entendant la petite voix de mon Liam dire ‘Papa’ à Samuel. Mon cœur rate un battement, me mettant un peu mal à l’aise à l’idée de n’avoir toujours pas dis à Samuel pour Liam. Oh, j’ai essayé à mainte reprise mais toujours un soucis de dernière minute, ce n’était pas le bon moment, tous cela juste pour dire que je continuais de reculer l’échéance de la vérité. Je me pose contre le mur et regarde par la porte de la chambre qui est légèrement entre-ouverte. Ils ont l’air tellement adorable ensemble, je suis un monstre de le lui cacher. J’aimerais énormément qu’il soit véritablement reconnu comme son père, mais cela reviendrait à admettre publiquement que j’avais bafoué un mariage, que j’avais été volage. J’inspire doucement alors que je remets mes iris sur ma petite beauté qui venait de fermer ses petits yeux bleu. Des yeux identiques à ceux de son père où je pourrais m’y perdre pour l’éternité.
Je laisse derrière moi mon amertume et prends la direction de la nurserie enfin plutôt la chambre de ma petite fille qui sert aussi de nurserie, je la pose délicatement dans son berceau. Quelques minutes après, j’entends la porte s’ouvrir et je me retourne rapidement vers Samuel pour lui intimer de se taire sans quoi il réveillerait la petite et l’on pourrait dire adieu à notre soirée. Je le vois qui referme la porte alors que je lui souris tendrement, avant de reporter une dernière fois mon attention sur ma petite puce. Je caresse doucement le haut de sa petite tête où se trouvait un petit duvet, puis je sors de la pièce en allumant au passage la veilleuse et les petites étoiles qui se trouve parsemé sur le plafond comme un ciel étoilé.
Une fois en bas, dans le hall, j’attends le petit retardataire que j’avais convié à venir pour garder les enfants. J’en profite, pour refaire ma coiffure et régler les derniers détails quand mon époux vient se poster derrière moi. Je rie légèrement à sa remarque avant de me retourner vers lui en secouant la tête. « N’importe quoi, tu as beau être éperdument amoureux de moi, tu ne résisterais pas à une vélane. Cependant, je garde le compliment. » terminais-je en posant ma main contre son torse et lui volant un baisé en posant délicatement mes lèvres contre les siennes avant de les retirer en entendant un coup à la porte. « Certainement Eb’ qui vient d’arriver. Ravie qu’il est retenu qu’il ne fallait pas sonner. » Il aurait certainement fini en charpie si cela avait été le cas, c’est mon meilleur ami, certainement, mais s’il avait réveiller les enfants il aurait eu affaire à moi. J’ouvre la porte à @Ebenezer Grimm avant d’échanger quelques mots avec lui ou plutôt de lui lister toutes les règles et surtout de nous appeler par patronus ou autre en cas de problème. « Non Eb’, le changement de couche n’est pas un problème urgent. Tu peux gérer. » soufflais-je alors que je prenais ma veste que j’enfilais par-dessus ma robe avant de prendre mon écharpe et de sortir par la porte pour rejoindre Samuel qui m’attendait sur le palier. Restait plus qu’à savoir où il m’emmenait.
Je laisse derrière moi mon amertume et prends la direction de la nurserie enfin plutôt la chambre de ma petite fille qui sert aussi de nurserie, je la pose délicatement dans son berceau. Quelques minutes après, j’entends la porte s’ouvrir et je me retourne rapidement vers Samuel pour lui intimer de se taire sans quoi il réveillerait la petite et l’on pourrait dire adieu à notre soirée. Je le vois qui referme la porte alors que je lui souris tendrement, avant de reporter une dernière fois mon attention sur ma petite puce. Je caresse doucement le haut de sa petite tête où se trouvait un petit duvet, puis je sors de la pièce en allumant au passage la veilleuse et les petites étoiles qui se trouve parsemé sur le plafond comme un ciel étoilé.
Une fois en bas, dans le hall, j’attends le petit retardataire que j’avais convié à venir pour garder les enfants. J’en profite, pour refaire ma coiffure et régler les derniers détails quand mon époux vient se poster derrière moi. Je rie légèrement à sa remarque avant de me retourner vers lui en secouant la tête. « N’importe quoi, tu as beau être éperdument amoureux de moi, tu ne résisterais pas à une vélane. Cependant, je garde le compliment. » terminais-je en posant ma main contre son torse et lui volant un baisé en posant délicatement mes lèvres contre les siennes avant de les retirer en entendant un coup à la porte. « Certainement Eb’ qui vient d’arriver. Ravie qu’il est retenu qu’il ne fallait pas sonner. » Il aurait certainement fini en charpie si cela avait été le cas, c’est mon meilleur ami, certainement, mais s’il avait réveiller les enfants il aurait eu affaire à moi. J’ouvre la porte à @Ebenezer Grimm avant d’échanger quelques mots avec lui ou plutôt de lui lister toutes les règles et surtout de nous appeler par patronus ou autre en cas de problème. « Non Eb’, le changement de couche n’est pas un problème urgent. Tu peux gérer. » soufflais-je alors que je prenais ma veste que j’enfilais par-dessus ma robe avant de prendre mon écharpe et de sortir par la porte pour rejoindre Samuel qui m’attendait sur le palier. Restait plus qu’à savoir où il m’emmenait.
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FICHE DE PERSO
14 février 2023, domicile des More
Samuel savourait ce baiser volé par sa femme quand l'on toqua à la porte. C'était @Ebenezer Grimm qui venait d'arriver pour garder les enfants. Cléophée avait fait appel à lui car il se connaissait depuis longtemps. C'était un bon gaillard, quelqu'un dont il appréciait également la compagnie. Cependant, il n'en restait pas moins qu'il portait quelques doutes sur les capacités du Grimm a s'occuper des enfants. A priori, il n'avait pas vraiment le profil ni le caractère adéquat pour ce genre de boulot. Mais Cléo avait suffisamment insisté en prétextant qu'il s'agissait de son meilleur ami, qu'elle le connaissait bien et qu'il n'y aurait pas de problème pour qu'il se laisse convaincre. Après tout, comme on dit, ce que femme veut Dieu le veut... Il salua donc Eb avec une poignée de main et un sourire en lui disant : Hey, salut gros neznez ! C'est sympas d'être venus nous dépanner. Il ne put étouffer un éclat de rire en sortant sur le palier alors que Cléo accaparait déjà le Grimm, l'empêchant de réagir à sa plaisanterie, pour l'assommer de toutes les règles imposées en leur absence. Ce surnom très amusant, il l'avait entendu sortir de la bouche de Liam et depuis, il avait pris la décision de le réutiliser à chaque fois qu'il rencontrerait le Grimm. Continuant à rire intérieurement pour ne pas gêner les deux autres, il attendit que sa femme règle les derniers détails avant qu'elle ne le rejoigne sur le palier. Lui prenant la main, ils firent ensemble un dernier signe à mister gros neznez avant de transplaner.
Quelques instants plus tard, quartier de Camdem Town à Londres
Ils atterrirent dans l'une des ruelles secondaires aux axes principaux, le nez presque collé à un mur de briques. Ouf ! Quelques centimètres de plus et je nous transplanais dedans. Dit-il sur le ton de la rigolade. Il lança un clin d'œil à Cléo pour tenter de détourner le fait qu'il avait véritablement failli les envoyer dans le décor. Cependant, plongé dans l'obscurité du soir comme ils étaient, il n'était pas sûr qu'elle puisse voir son visage vu que lui-même avait du mal à voir le sien. Attend, je vais faire un peu de lumière. Il sortit sa baguette de sa poche et lança un Lumos pour éclairer un peu les lieux. C'était une ruelle moche, sale et mal éclairé comme on en trouvait un peu partout dans la capitale. Elle n'avait pas grand intérêt alors il pointa son rayon de lumière en direction de l'unique lampe qui éclairait le milieu de la ruelle. Tenant toujours la main de sa femme, il l'attira vers cette fameuse lampe. En la rejoignant, ils s'aperçurent qu'elle n'éclairait enfaîte qu'une vieille affiche qui semblait avoir été posé là il y a des années mais qui, de manière surprenante, était toujours dans un état impeccable. S'il n'avait été un sorcier, il aurait pu raisonnablement se demander ce qu'une affiche publicitaire faisait là, dans un endroit aussi peu fréquenté. Mais comme il possédait des pouvoirs magiques, il savait qu'il fallait regarder au delà des apparences. Se raclant la gorge avant de s'adresser à l'affiche, il prit la parole pour lui réclamer le droit d'entrer. Il vit alors ces yeux s'animer et se poser sur lui. Mot de passe ?
- Spoiler:
Ah oui... Heu... Comment c'est déjà ? Il se tourna vers sa femme qui avait une bien meilleure mémoire que la sienne. Mais en voyant l'incompréhension qui pouvait se lire sur son visage, il se rappela qu'il s'agissait d'une surprise et qu'il ne lui en avait pas touché un mot. Ah oui, c'est vrai... Pardon... C'est... Archificiel ! Le visage peint sur l'affiche sembla satisfait par la réponse car d'un seul coup, certaines briques du mur se désolidarisèrent du ciment avant que tout un pan de mur ne pivote comme une porte qui s'ouvre. Ne me regarde pas comme ça, c'est un collègue qui m'en a parlé. Ajouta-t-il pendant l'opération en voyant le regard que lui jetait Cléo. Lorsque ce fût terminé, ils découvrirent un passage menant à un escalier recouvert d'un tapis rouge descendant vers les profondeurs...
Quelques instants plus tard, à l'intérieur de "The Eye of Camden"
Arrivé en bas de l'escalier, ils découvrirent une grande salle située au sous-sol. On pouvait déjà y apercevoir un bar, une scène au fond de la salle et quelques tables rondes dispersé ici et là. C'était habituellement un cabaret pour sorciers très prisé. Mais pour la Saint-Valentin, l'endroit avait été radicalement transformé pour accueillir les couples lors d'un diner spectacle. Des décorations comme des couronnes de fleurs, des bougies, des cœurs et un tas d'autres choses dans le thème de la fête des amoureux avaient été installés un peu partout. Les éclairages avaient été changés pour revêtir un filtre rougeâtre et tamiser pendant qu'un groupe de musicien jouait une musique d'ambiance, style jazz. Tout avait été minutieusement préparer pour créer l'atmosphère la plus romantique possible. À tel point, qu'elle l'était sans doute un peu trop.
Ils s'avancèrent vers un pupitre derrière lequel se tenait le maître d'hotel. Celui-ci, après avoir vérifié leur réservation, les amena jusqu'à leur table. Comme toutes les autres, elle était drapée d'une nappe blanche décorée d'un bouquet de rose. Il l'avait parsemer de paillettes rouges et de dessin de mini-angelots qui passaient leur temps à s'envoyer des flèches et des baisers en forme de cœur. Ils prirent place et dès qu'ils furent seul, il ne put s'empêcher de lancer à Cléo. Eh bien, je crois qu'on peut s'estimer heureux que le personnel ne soit pas déguisé en Cupidon eux aussi... Il se mit à glousser pendant quelques instants mais dû rapidement chercher à reprendre contenance lorsqu'un serveur s'approcha. Habillé élégamment avec des chaussures Derby, un pantalon noir, une chemise rouge et un gilet noir, le jeune homme les accueillit avec un grand sourire de circonstance. Madame, monsieur, je m'appelle Maximilien et je serai votre serveur attitré. Leur dit-il en leur tendant le menu. Puis-je tout d'abord vous proposez un apéritif ? Nous avons à vous proposer "L'amoureux songe" (@Síle A. ó Gallchobhair) fait à base d'émincé de chocogrenouillle, de poudre de songe et de gouano de chouette fondant. Nous avons aussi le "Cacaotica Love" (@Lyvan Gremlins) fait avec des balayures moisicrouitillantes, de la poudre de perlimpimpin et de la mandragore en salade. Hmmm... Qu'est-ce que tu en penses ?
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FICHE DE PERSO
Samuel & Cléophée - 14 février 2022
Je regardais le mur de briques juste devant mon nez, pratiquement collé à mon nez, un ou deux centimètres de plus et celui-ci se retrouvait encastré dans ce mur. Tenant toujours fermement la main de mon époux, je finis par la lâcher pour croiser les bras sur ma poitrine. « Dites voir Monsieur More, auriez-vous besoin de faire des leçons de rattrapages de transplanage ? Où auriez-vous déjà trop bu ? » Lui faisant, face, je décroise les bras et finis par mettre une main sur son torse, puis une dans ses cheveux que j’aime parcourir avec ma main le soir quand nous prenons du temps pour nous. « Je t’aime Sam, mais si je termine ma course dans un mur la prochaine fois, je ne te le pardonnerais pas. » Encore moins s’il a Liam avec lui. « Peut-être auriez-vous besoin de lunette Monsieur More. » taquinais-je en me hissant jusqu’à son oreille avant de déposer à un baiser à la commissure de ses lèvres.
Quand il allume sa baguette d’un lumos, celui-ci m’aveugla et me fit reculer de quelques pas. « Ce n’est pas prudent, on est dans le côté moldu de la ville Sam. » réprimandais-je doucement en secouant la tête. C’était mécanique chez moi, de toujours rappeler à l’ordre, déformation de boulot. C’était plus fort que moi. Seulement, je ne rajoute rien, le laissant me guider en me rattrapant la main. Je penserais juste à prendre une lampe torche la prochaine fois, enfin faut déjà que je trouve le moyen de me rendre dans un magasin moldu et d’en acheté une. Je retenais une grimace de dégout au fur et à mesure que l’on avançait dans la ruelle et que je voyais le niveau de saleté. Etions-nous seulement au bon endroit ?
Nous étions devant une affiche et je fronçais légèrement les sourcils, je ne voyais absolument pas où il m’avait emmené. Ce lieu ne me disait rien du tout, même pour le travail, je n’en avais pas entendu parlé, pour ce qui est d’une décente ? Je n’avais pas quitté mon bureau depuis juin 2022, alors même si cela avait été fait par quelques membres de la BPM, je n’avais pas été mise au courant. Après tout, jusqu’en janvier 2023, @Marleen MacGregor était toujours présente et elle s’occupait de pratiquement tous.
Je le suivais toujours en silence à l’intérieur de ces murs, descendant les marches les unes après les autres. Portant mes nouveaux talons, j’allais vraiment doucement pour ne pas les abîmer. « Tu ne m’as toujours pas dit ou nous allions, c’est quoi cette endroit ? » J’étais curieuse, peut-être que le nom de l’endroit me dirait quelques choses. Une fois en bas, devant le maitre d’accueil, je laisse Samuel gérer les choses, pendant que mon regard scrute tout horizon. A première vue, la seule issue de secours était celle que nous venions de prendre pour entrer. Oui toujours mes réflexes d’agent de terrain qui entre en compte. Je n’avais même pas fait attention à la décoration de la salle.
Alors que nous étions arrivés à notre table, la première chose que je fis en hottant mon manteau pour dévoilé ma robe rouge sang qui titillais toujours Samuel après tant d’année de mariage, c’est de m’asseoir avant de lançant dans une petite voix à mon époux. « Il n’y a qu’une issue de sortie, je n’aime pas cela. Tu penses que l’on peut transplané de l’intérieur ? » Est-ce que j’étais un peu sur les nerf ? Oui, très certainement, c’était la première fois depuis sa naissance que je laissais Keïra seule et même si j’avais une énorme confiance en @Ebenezer Grimm, cela me tracassait quand même. Mon regard finit par voyager un peu partout pour faire attention à ce que me racontait l’homme de ma vie. « Je pense que j’aurais eu des frissons d’horreurs. » en souriant doucement à Sam, en lui attrapant la main. « Promis, je vais faire un effort pour ne pas être trop agent de la BPM ce soir et plus ta femme. »
Quand le serveur arriva, je garde ma main dans celle de Sam et mon regard sur lui. « Hum ? De l’eau cela ira très bien. » dis-je avec un petit sourire d’excuse, je n’avais pas envie de me perdre dans l’alcool ce soir. « Et toi que vas-tu prendre ? » demandais-je à l’intention de mon époux. Il ne fallait pas qu’il se prive sous prétexte que j’avais préféré un verre d’eau. Il passa sa commande et le serveur partie. Je reporte mon attention sur lui. « Je suis désolé, d’être sur le qui-vive toujours, je trouverais le moyen de me faire pardonner. » Le serveur revient avec leur boisson et je souris en voyant la rondelle de citron sur mon verre, délicatement je la prends des mains pour la tendre à Samuel. « Je ne suis toujours pas friande du citron, c’est ton plaisir. »
Quand il allume sa baguette d’un lumos, celui-ci m’aveugla et me fit reculer de quelques pas. « Ce n’est pas prudent, on est dans le côté moldu de la ville Sam. » réprimandais-je doucement en secouant la tête. C’était mécanique chez moi, de toujours rappeler à l’ordre, déformation de boulot. C’était plus fort que moi. Seulement, je ne rajoute rien, le laissant me guider en me rattrapant la main. Je penserais juste à prendre une lampe torche la prochaine fois, enfin faut déjà que je trouve le moyen de me rendre dans un magasin moldu et d’en acheté une. Je retenais une grimace de dégout au fur et à mesure que l’on avançait dans la ruelle et que je voyais le niveau de saleté. Etions-nous seulement au bon endroit ?
Nous étions devant une affiche et je fronçais légèrement les sourcils, je ne voyais absolument pas où il m’avait emmené. Ce lieu ne me disait rien du tout, même pour le travail, je n’en avais pas entendu parlé, pour ce qui est d’une décente ? Je n’avais pas quitté mon bureau depuis juin 2022, alors même si cela avait été fait par quelques membres de la BPM, je n’avais pas été mise au courant. Après tout, jusqu’en janvier 2023, @Marleen MacGregor était toujours présente et elle s’occupait de pratiquement tous.
Je le suivais toujours en silence à l’intérieur de ces murs, descendant les marches les unes après les autres. Portant mes nouveaux talons, j’allais vraiment doucement pour ne pas les abîmer. « Tu ne m’as toujours pas dit ou nous allions, c’est quoi cette endroit ? » J’étais curieuse, peut-être que le nom de l’endroit me dirait quelques choses. Une fois en bas, devant le maitre d’accueil, je laisse Samuel gérer les choses, pendant que mon regard scrute tout horizon. A première vue, la seule issue de secours était celle que nous venions de prendre pour entrer. Oui toujours mes réflexes d’agent de terrain qui entre en compte. Je n’avais même pas fait attention à la décoration de la salle.
Alors que nous étions arrivés à notre table, la première chose que je fis en hottant mon manteau pour dévoilé ma robe rouge sang qui titillais toujours Samuel après tant d’année de mariage, c’est de m’asseoir avant de lançant dans une petite voix à mon époux. « Il n’y a qu’une issue de sortie, je n’aime pas cela. Tu penses que l’on peut transplané de l’intérieur ? » Est-ce que j’étais un peu sur les nerf ? Oui, très certainement, c’était la première fois depuis sa naissance que je laissais Keïra seule et même si j’avais une énorme confiance en @Ebenezer Grimm, cela me tracassait quand même. Mon regard finit par voyager un peu partout pour faire attention à ce que me racontait l’homme de ma vie. « Je pense que j’aurais eu des frissons d’horreurs. » en souriant doucement à Sam, en lui attrapant la main. « Promis, je vais faire un effort pour ne pas être trop agent de la BPM ce soir et plus ta femme. »
Quand le serveur arriva, je garde ma main dans celle de Sam et mon regard sur lui. « Hum ? De l’eau cela ira très bien. » dis-je avec un petit sourire d’excuse, je n’avais pas envie de me perdre dans l’alcool ce soir. « Et toi que vas-tu prendre ? » demandais-je à l’intention de mon époux. Il ne fallait pas qu’il se prive sous prétexte que j’avais préféré un verre d’eau. Il passa sa commande et le serveur partie. Je reporte mon attention sur lui. « Je suis désolé, d’être sur le qui-vive toujours, je trouverais le moyen de me faire pardonner. » Le serveur revient avec leur boisson et je souris en voyant la rondelle de citron sur mon verre, délicatement je la prends des mains pour la tendre à Samuel. « Je ne suis toujours pas friande du citron, c’est ton plaisir. »
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FICHE DE PERSO
14 février 2023, à l'intérieur de "The Eye of Camden"
En descendant l'escalier qui menait à la grande salle, Samuel s'arrêta à la dernière marche pour proposer une main secourable à Cléo. Tu ne m'as toujours pas dit où nous allions, c'est quoi cet endroit ? C'est un cabaret... Il parait qu'il est assez connu chez les sorciers. Pour la Saint Valentin, ils font une soirée spéciale. Je me suis dit que tu avais bien mérité de te divertir un peu après ces derniers mois éprouvant. Répondit-il avec un sourire encourageant alors qu'elle le rejoignait en bas. Il lui proposa son bras et ensemble, ils rejoignirent leur table et s'y installèrent. Il n'y a qu'une issue de sortie, je n'aime pas cela. Tu penses que l'on peut transplané de l'intérieur ? Hum... Ça m'étonnerait. Répondit-il en jetant un regard circulaire sur les lieux. Ils ont sans doute du jeter des sortilèges pour que cet endroit ne puisse pas être découvert par n'importe qui. Il sentait bien qu'elle n'était pas très à l'aise mais il doutait que cela soit à cause de ce lieu en sous-sol. Cléo n'était pas claustrophobe. Enfin, pas plus que n'importe qui d'autres. Il n'y avait donc qu'une seule explication pour qu'elle ne soit pas tout à fait détendue. Elle s'inquiétait de ce qui pourrait se produire à la maison en laissant un @Ebenezer Grimm seul avec deux enfants. Ce qui, soit dit en passant, l'inquiétait tout autant. Ce n'était pourtant pas faute de l'avoir mis en garde. Avec Eb, on ne savait jamais à quoi l'on pouvait s'attendre. Mais puisqu'elle avait insisté pour que cela soit lui, il fallait bien maintenant qu'ils s'en accommodent tous les deux.
Il tenta de dérider un peu sa femme en lançant une plaisanterie sur le personnel de l'établissement. La voyant sourire, il se rassura. Il arriverait à lui faire oublier ces tracas, ne serait-ce que pour cette soirée. On pourra toujours jouer au gendarme et au voleur plus tard si tu veux. Dit-il en posant un baiser sur la main qui avait pris la sienne et en riant doucement. Le serveur arriva peu après pour commander les boissons. Sam avait espéré que l'alcool aiderait un peu Cléo à se détendre mais manifestement, il allait devoir se débrouiller seule. Tant pis. Je vais essayer le Cacaotica Love. Ça m'intrigue. Répondit-il à l'intention de Cléo et du serveur. Après que ce dernier soit parti, il reporta son attention sur elle. Ne t'inquiète pas, moi aussi je suis un peu nerveux. J'ai l'impression que cela fait une éternité que nous n'étions pas sortis rien que tous les deux. Je me sens comme lorsque nous étions étudiants à Poudlard, tiens ! Tu te rappelles de nos rendez-vous secrets derrière la statue de la sorcière borgne ?
Le serveur ne tarda pas à revenir peu après avec les boissons et un petit bol d'olive. Sam sourit également en voyant la rondelle de citron sur le bord du verre d'eau. Cléo n'aimait pas le citron contrairement à lui qui raffolait des agrumes. Elle lui tendit donc le morceau de citron qu'il attrapa avant de le mettre en bouche. Appréciant ce petit goût amer et acide qui existait ses papilles, il jeta en même temps un œil à son propre verre. Le liquide à l'intérieur de la flute avait une couleur bleuâtre avec des nuances de vert. Une petite ombrelle était dépliée et enfoncer dans une végétation faite d'algues et de brins d'herbe aromatique. Ce cocktail reproduira au hasard une saveur que vous appréciez. Je vous laisse encore un peu de temps pour consulter la carte, d'accord ? Sam opina du chef et le serveur repartit. Reconcentrant son attention sur Cléo, il ôta l'ombrelle de son verre avant de le lever pour trinquer avec elle. Eh bien, à toi ma chérie, pour tous les efforts que tu fais pour me supporter jour après jour. Santé ! Ils trinquèrent et burent chacun une gorgée. Il fut frappé par la saveur que pris le breuvage. C'était celle d'un thé sucré, mielleux, qu'il avait goûté lors d'un de ses voyages d'affaires à l'étranger. Oh ! Il faut que tu goûtes ça, c'est bluffant ! Dit-il en tendant son verre à sa partenaire. Cela me rappelle plein de souvenirs tout à coup... J'espère qu'il n'y a pas de drogue là-dedans. Plaisant a-t-il en se demandant si Cléo allait prendre sa plaisanterie au premier ou au second degré. Oh ! Cela n'a rien avoir mais tu sais ce que Liam m'a demandé avant qu'on parte ? Il ne s'attendait évidemment pas à ce que Cléo lui réponde alors il prit une voix un peu plus aigu pour imiter le jeune garçon. "Tu vas embrasser maman ce soir ?" Je lui ai dit que oui, j'aimerais beaucoup. Puis il m'a répondu : "Beurk ! Vous êtes dégoutant !" Il se mit à rire en essayant de rester discret. Je lui ai rétorqué qu'on en reparlerait dans quelques années. Il continua de rire malgré ces tentatives pour étouffer ses éclats. Il lui fallut un moment pour retrouver son sérieux et repartir sur un autre sujet de conversation. Et sinon, tout va bien au travail ? Lança-t-il d'une voix innocente mais avec un regard empli de sous-entendus.
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FICHE DE PERSO
Samuel & Cléophée - 14 février 2022
Ainsi donc, il s’agissait d’un cabaret. Le nom du lieu ne me disait vraiment rien. Ce qui voulait ne dire que deux choses, soit c’était un endroit qui n’avait jamais eu de problème avec la justice et c’était un cabaret tous ce qu’il y a de plus classique, soit c’est un établissement qui peut être illégale mais qui n’a pas encore été sur nos radars. Il fallait que je me calme, que j’arrête de toujours vouloir penser le pire de chaque lieux et que je me concentre sur Samuel qui m’organisait une soirée en amoureux, rien que nous deux pour un moment. Juste le temps d’un diner, parce qu’une fois de retour dans notre maison, on retrouverait notre rôle de parents, enfin avec un peu de chance, nous pourrons profiter de notre nuit avant que la plus jeune ne s’éveille aux aurores.
La voix de Samuel me ramena sur terre, si on pouvait le dire ainsi, avant de me faire rire discrètement et de secouer la tête. « Où passer directement au passage des menottes du vilain monsieur ? » suggérais-je doucement en faisant des cercles sur sa main avec mon pouce. Il était hors de question que je sois la voleuse, j’ai toujours eu une âme de guerrière et de policière alors, il est certain que je jouerais le rôle de la gendarmette. Une fois le serveur partie avec nos commandes, je penche un peu la tête alors que mon époux s’exprime. « Ce n’est pas vraiment une question de nervosité, enfin si peut-être, c’est la première fois que je la laisse. C’est surtout le fait qu’il n’y est qu’une seule sortie pour le monde présent dans la salle qui m’inquiète. » Et si un cinglé décidait de venir lancer un feudeymon ? Même le meilleur sorcier, ne serait pas capable de le contenir avec un bouclier le temps que les gens ne sortent. « Mais il est vrai, que même si nous avons Liam et Keïra, on devrait prendre plus de temps pour nous, quand on en ressent le besoin. C’est petit moment de plénitude avec toi me manque parfois. » Je souris nostalgiquement quand il mentionne nos rencontres à la sorcières borgnes. « Je me souviens surtout de la semaine de retenu que tu as reçu pour avoir frappé un professeur sans le vouloir en voulant me cacher. J’ai bien ris ce jours-là, bon le temps a été très long la semaine d’après, je dois bien l’avouer aussi. » Parce que bien-sûr les heures de colles étaient tombé sur nos moments de retrouvailles cachés de tous. De tous ? Non, Eb’ le savait en même temps, il m’avait suivi un jour, alors j’ai bien du tout lui dire.
Le serveur était revenu avec nos boissons, trinquant avec Samuel, je porte mon verre d’eau à mes lèvres pour en boire une gorgée avant de sourire devant sa phrase. « N’importe quoi, c’est qui mérite des éloges pour m’avoir supporter dans mes mauvais jours de grossesses, surtout les derniers mois où je m’irritais facilement, surtout avec Lucky sur le dos. J’ai bien cru que j’allais lui arracher la tête plusieurs fois tu sais. Je sais bien que c’était pour mon bien et celui de notre princesse, mais je n’aime pas resté sans rien faire, déjà qu’au bureau j’étais réduis à l’état de paperasses, alors ne rien pouvoir faire à la maison également me frustrait énormément. » Je m’en serais voulu bien sûr de faire du mal à ce pauvre elfe, qui ne faisait que son maximum pour moi, il avait toujours tous fait pour que je sois heureuse et en bonne santé, c’est pourquoi même s’il continuait de nous servir même libre, je me montrais toujours courtoises avec lui. Bien que parfois, on pourrait croire que c’est une relation de parents/enfants que nous avons, lui étant le parent. Après tout, il a toujours montré plus d’amour à mon égard que mes deux parents réunis.
Je secoue la tête doucement dans la négative. « Profite de ton verre, mon verre d’eau m’ira très bien, et si tu n’as pas entendu, il reproduit une saveur que tu apprécies, du coup, je n’aurais pas le même gouts que toi. » Je lui lâche la main, pour prendre la carte et regarder le menu. J’avais faim certes, mais je voulais quelques choses de léger. Une salade peut-être ? Je lisais le menu, alors qu’il me parlait de notre fils. Je le regardais par-dessus la carte, il ne pouvait voir que mes yeux et je ne pouvais m’empêcher de rire un peu. « Tu aimerais hein ? Mais avez-vous été assez sage pour cela monsieur More ? »
Après une nouvelle lecture de la carte, mon choix se porta finalement sur le plat du chef. Je ferme doucement la carte avant de poser celle-ci près de Samuel pour qu’il regarde à son tour et je soutins son regard un moment avant de soupirer. « Qu’as-tu entendu ? » Finalement la venu de Rigel au ministère n’était peut-être pas passé inaperçu. « Qui t’en a parlé ? » Il ne pouvait pas l’avoir deviné seul, il l’avait forcément entendu de quelqu’un.
La voix de Samuel me ramena sur terre, si on pouvait le dire ainsi, avant de me faire rire discrètement et de secouer la tête. « Où passer directement au passage des menottes du vilain monsieur ? » suggérais-je doucement en faisant des cercles sur sa main avec mon pouce. Il était hors de question que je sois la voleuse, j’ai toujours eu une âme de guerrière et de policière alors, il est certain que je jouerais le rôle de la gendarmette. Une fois le serveur partie avec nos commandes, je penche un peu la tête alors que mon époux s’exprime. « Ce n’est pas vraiment une question de nervosité, enfin si peut-être, c’est la première fois que je la laisse. C’est surtout le fait qu’il n’y est qu’une seule sortie pour le monde présent dans la salle qui m’inquiète. » Et si un cinglé décidait de venir lancer un feudeymon ? Même le meilleur sorcier, ne serait pas capable de le contenir avec un bouclier le temps que les gens ne sortent. « Mais il est vrai, que même si nous avons Liam et Keïra, on devrait prendre plus de temps pour nous, quand on en ressent le besoin. C’est petit moment de plénitude avec toi me manque parfois. » Je souris nostalgiquement quand il mentionne nos rencontres à la sorcières borgnes. « Je me souviens surtout de la semaine de retenu que tu as reçu pour avoir frappé un professeur sans le vouloir en voulant me cacher. J’ai bien ris ce jours-là, bon le temps a été très long la semaine d’après, je dois bien l’avouer aussi. » Parce que bien-sûr les heures de colles étaient tombé sur nos moments de retrouvailles cachés de tous. De tous ? Non, Eb’ le savait en même temps, il m’avait suivi un jour, alors j’ai bien du tout lui dire.
Le serveur était revenu avec nos boissons, trinquant avec Samuel, je porte mon verre d’eau à mes lèvres pour en boire une gorgée avant de sourire devant sa phrase. « N’importe quoi, c’est qui mérite des éloges pour m’avoir supporter dans mes mauvais jours de grossesses, surtout les derniers mois où je m’irritais facilement, surtout avec Lucky sur le dos. J’ai bien cru que j’allais lui arracher la tête plusieurs fois tu sais. Je sais bien que c’était pour mon bien et celui de notre princesse, mais je n’aime pas resté sans rien faire, déjà qu’au bureau j’étais réduis à l’état de paperasses, alors ne rien pouvoir faire à la maison également me frustrait énormément. » Je m’en serais voulu bien sûr de faire du mal à ce pauvre elfe, qui ne faisait que son maximum pour moi, il avait toujours tous fait pour que je sois heureuse et en bonne santé, c’est pourquoi même s’il continuait de nous servir même libre, je me montrais toujours courtoises avec lui. Bien que parfois, on pourrait croire que c’est une relation de parents/enfants que nous avons, lui étant le parent. Après tout, il a toujours montré plus d’amour à mon égard que mes deux parents réunis.
Je secoue la tête doucement dans la négative. « Profite de ton verre, mon verre d’eau m’ira très bien, et si tu n’as pas entendu, il reproduit une saveur que tu apprécies, du coup, je n’aurais pas le même gouts que toi. » Je lui lâche la main, pour prendre la carte et regarder le menu. J’avais faim certes, mais je voulais quelques choses de léger. Une salade peut-être ? Je lisais le menu, alors qu’il me parlait de notre fils. Je le regardais par-dessus la carte, il ne pouvait voir que mes yeux et je ne pouvais m’empêcher de rire un peu. « Tu aimerais hein ? Mais avez-vous été assez sage pour cela monsieur More ? »
Après une nouvelle lecture de la carte, mon choix se porta finalement sur le plat du chef. Je ferme doucement la carte avant de poser celle-ci près de Samuel pour qu’il regarde à son tour et je soutins son regard un moment avant de soupirer. « Qu’as-tu entendu ? » Finalement la venu de Rigel au ministère n’était peut-être pas passé inaperçu. « Qui t’en a parlé ? » Il ne pouvait pas l’avoir deviné seul, il l’avait forcément entendu de quelqu’un.
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FICHE DE PERSO
14 février 2023, à l'intérieur de "The Eye of Camden"
Samuel haussa un sourcil et esquissa un sourire à la mention des menottes. Il ne doutait pas que Cléo se ferait un plaisir de lui passer les bracelets. Toute lieutenante qu'elle était, il savait que le travail de terrain lui manquait. Depuis presque un an maintenant, elle avait été cantonnée à du travail de bureau à cause de la grossesse. Et maintenant que Keïra était née, elle s'impatientait à l'idée de retourner en patrouille. Pourtant, il s'inquiétait de la voir reprendre trop vite avant d'avoir totalement récupérer. Il savait qu'il ne pourrait pas l'empêcher de le faire alors il essayait, bon gré mal gré, de lui suggérer de ne pas présumer de ses forces. Mais, jusqu'à présent, cela ne semblait pas avoir beaucoup fonctionné...
Ce n'est pas vraiment une question de nervosité, enfin si peut-être, c'est la première fois que je la laisse. C'est surtout le fait qu'il n'y est qu'une seule sortie pour le monde présent dans la salle qui m'inquiète. Il se contenta de hocher la tête d'un air entendu. Il ne pouvait rien y faire et de toute façon, pour le temps qu'ils allaient rester ici, elle finirait par s'y habituer. Il valait donc mieux changer de sujet. Par chance, elle embraya sur autre chose. Il lui sourit tendrement lorsqu'elle fit mention de son envie de passer plus de temps rien qu'avec lui. Ces instants de pures complicités, partagé entre des moments de paix et de calme et des moments de désir et d'excitation, c'était fait rare tout au long de l'année. Et il savait qu'avec la venue toute récente de sa fille, ces instants seraient encore plus difficiles à obtenir. Mais, c'était ça aussi devenir papa. Cela faisait partie du lot au même titre que les siestes inopinés dès que tu as le temps de t'asseoir quelques parts, l'utilisation de Récurvite qui devient ton sortilège favori ou encore la préparation du biberon que tu peux désormais faire les yeux fermés.
Lorsqu'ils trinquèrent, il l'écouta le gratifier à son tour d'un compliment. Il était vrai que l'humeur de Cléo avait été particulièrement changeante pendant cette période. Il avait même cru qu'un jour, il finirait réellement par retrouver le corps de l'elfe étendu quelques parts dans la maison. Il faut dire que Lucky se montrait d'une prévenance complètement disproportionné. Et quand il n'obtenait pas gain de cause, il pouvait se montrer très susceptible pour un elfe de maison. Même lui avait fini par avoir du mal à le supporter sur la fin.
Tendant son verre à Cléo qui le refusa poliment, il haussa les épaules en entendant son explication. "Tant pis pour elle, cela en fera plus pour moi." Se dit-il à lui-même en buvant une autre gorgée. Ils continuèrent conversation jusqu'à ce qu'il aborde finalement l'histoire vécue avec Liam un peu plus tôt dans la soirée. Tu aimerais hein ? Mais avez-vous été assez sage pour cela monsieur More ? Lui répondit-elle. N'as-tu pas dit toi même il y a un instant que je méritais des éloges ? Je pense que ça vaut bien un baiser, ou deux, ou trois... Dit-il en fixant Cléo, un sourire taquin s'élargissant sur ses lèvres au fur et à mesure qu'il comptait. Son sourire ravageur était aussi aiguisé que son numéro de charme était au point. Il termina de lui lancer quelques œillades avant de plonger son nez sur la carte. Il la consulta attentivement jusqu'à ce qu'il ait fait son choix puis la reposa sur le côté de la table.
Et sinon, tout va bien au travail ? La réaction de Cléo à sa question ne ce fit pas attendre. Elle plongea son regard dans le sien pendant quelques instants, comme si elle le jaugeait pour savoir ce qu'il savait exactement. Qu'as-tu entendu ? Qui t'en a parlé ? L'interrogea-t-elle comme si elle s'adressait à un suspect. Peu importe qui m'en as parlé. Ce que j'aimerais savoir c'est si l'enquête à des chances d'être réouverte ? Il la fixa avec sérieux en attendant sa réponse. Cependant, elle fut interrompue par le retour du serveur venu s'enquérir de leurs plats. Presque sèchement, il renvoya le serveur au plus vite après lui avoir passé commande puis reporta son attention sur Cléo. Son regard à nouveau plonger fermement dans le sien.
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FICHE DE PERSO
Samuel & Cléophée - 14 février 2023
« Hein, Hein » lâchais-je en secouant doucement la tête de haut en bas alors que celle-ci était reposé délicatement contre le dos de ma main du bras en appuis sur la table en souriant doucement devant sa réplique. « Des éloges, pas forcément des baisers. » réaffirmais-je joueuse. Bien que je savais qu’il finirait par les avoir ses baisers plus tard dans la soirée, si ce n’est pas un, deux ou trois, c’était certainement une multitude, parsemé ici et là. Puis quand la discussion diriva sur un sujet moins joyeux, je me redressais droite dans ma chaise, comme si je venais de prendre une réprimande de ma très chère mère pour manquement à l’étiquette à avoir à table.
Soudainement, j’ai un doute soudain de la tournure de notre soirée. Nous avions enfin une soirée à nous, il avait réservé une table dans un magnifique cadre, bien que l’unique sortie faisait toujours défaut dans mon esprit. Les enfants étaient gardé par une personne sur bien que Samuel en doutait énormément, on pourrait passer le repas tranquillement et ensuite en profiter pour nous rapprocher, nous faire plaisir et toutes ses choses censé nous donner le sourire et le rougissement aux joues encore de nos jours pour pratiquement 5 ans de mariage. Cinq année de mariage que nous allions atteindre en juin 2023 et pourtant la conversation coupait cours vers une chose dont je ne voulais pas parler, pas ce soir en tous.
Je soupire doucement avant de détourner le regard vers la scène qui se trouvait toujours vide, je remets doucement mon regard dans le sien avant de rouler des yeux devant la ton sec qu’il a tenu envers le pauvre serveur qui ne faisait que son travail. Cela m’irritait, de son manoir familial assurément lugubre, Rigel Hagen allait réussir à ruiner mon unique soirée avec mon époux. Doucement je lâche sa main. « Vraiment ? Ce soir ? Tu veux aborder ce sujet ce soir ? Un autre jour n’était pas suffisant ? Puis j’estime encore avoir le droit de connaitre le nom de l’abruti qui ruine ma soirée de saint valentin. Laisse-moi deviner Ochoa ou Clearwater ? » Il me paraissait presque évident que cela soit l’un des deux, parce que bien sûr Samuel était ami avec les deux, @Saúl Ochoa, @Fergus Clearwater et lui étaient du même groupe d’ami depuis Poudlard. Je ne serais dire lequel des deux avaient cafté le morceau. Ochoa ? Rien que pour le plaisir de me faire chier ? Clearwater ? Qui pouvait être une pipelette quand il s’y mettait ? Pourtant je pensais qu’il avait ce point d’être assez discret sur les conversations dites privé. Au moins, j’avais détourné le sujet, ne voulant clairement pas parler d’enquête ou de je ne sais quoi ce soir.
Je me lève doucement de ma chaise avant de le toiser du regard blessé. Il ne pouvait pas attendre que je sois prête à aborder le sujet ? Bon, d’accord cela faisait un mois, mais il me fallait du temps. « Tu m’excuseras, je vais au petit coin. » Je lâche ma serviette sur la table avant de prendre la direction des toilettes d’un pas décidé. Il fallait que je me calme, je pensais vraiment passé une soirée entre amoureux et non pas subir un interrogatoire musclé.
Soudainement, j’ai un doute soudain de la tournure de notre soirée. Nous avions enfin une soirée à nous, il avait réservé une table dans un magnifique cadre, bien que l’unique sortie faisait toujours défaut dans mon esprit. Les enfants étaient gardé par une personne sur bien que Samuel en doutait énormément, on pourrait passer le repas tranquillement et ensuite en profiter pour nous rapprocher, nous faire plaisir et toutes ses choses censé nous donner le sourire et le rougissement aux joues encore de nos jours pour pratiquement 5 ans de mariage. Cinq année de mariage que nous allions atteindre en juin 2023 et pourtant la conversation coupait cours vers une chose dont je ne voulais pas parler, pas ce soir en tous.
Je soupire doucement avant de détourner le regard vers la scène qui se trouvait toujours vide, je remets doucement mon regard dans le sien avant de rouler des yeux devant la ton sec qu’il a tenu envers le pauvre serveur qui ne faisait que son travail. Cela m’irritait, de son manoir familial assurément lugubre, Rigel Hagen allait réussir à ruiner mon unique soirée avec mon époux. Doucement je lâche sa main. « Vraiment ? Ce soir ? Tu veux aborder ce sujet ce soir ? Un autre jour n’était pas suffisant ? Puis j’estime encore avoir le droit de connaitre le nom de l’abruti qui ruine ma soirée de saint valentin. Laisse-moi deviner Ochoa ou Clearwater ? » Il me paraissait presque évident que cela soit l’un des deux, parce que bien sûr Samuel était ami avec les deux, @Saúl Ochoa, @Fergus Clearwater et lui étaient du même groupe d’ami depuis Poudlard. Je ne serais dire lequel des deux avaient cafté le morceau. Ochoa ? Rien que pour le plaisir de me faire chier ? Clearwater ? Qui pouvait être une pipelette quand il s’y mettait ? Pourtant je pensais qu’il avait ce point d’être assez discret sur les conversations dites privé. Au moins, j’avais détourné le sujet, ne voulant clairement pas parler d’enquête ou de je ne sais quoi ce soir.
Je me lève doucement de ma chaise avant de le toiser du regard blessé. Il ne pouvait pas attendre que je sois prête à aborder le sujet ? Bon, d’accord cela faisait un mois, mais il me fallait du temps. « Tu m’excuseras, je vais au petit coin. » Je lâche ma serviette sur la table avant de prendre la direction des toilettes d’un pas décidé. Il fallait que je me calme, je pensais vraiment passé une soirée entre amoureux et non pas subir un interrogatoire musclé.
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14 février 2023, à l'intérieur de "The Eye of Camden"
Samuel ne s'attendait pas à une réaction aussi virulente de la part de Cléo. Bon, c'est vrai, il aurait sans doute pu choisir un meilleur moment pour aborder le sujet. Mais, il ne pensait vraiment pas déclencher une telle hostilité en posant cette simple question. Après tout, il avait quand même le droit de savoir. D'autant plus que cela faisait déjà plusieurs semaines qu'il avait été mis au courant pour cette affaire. Et depuis, il n'avait eu de cesse d'y songer régulièrement.
Il avait d'abord repenser à la mort de Conrad. À l'époque, Cléo lui avait fait promettre de ne pas lui poser de question à ce sujet. Cela lui avait paru étrange mais il avait fini par céder à ses exigences. Et du coup, comme une sorte d'accord tacite, ils avaient décidé de ne plus jamais en reparler. Il n'avait donc jamais su si sa femme avait joué un rôle dans cette histoire. Il s'en était accommodé car il savait, au fond de lui, que si Cléophée était impliquée d'une manière ou d'une autre, cela devait être parce qu'elle devait être en danger, ou Liam, ou parce que cet enfoiré avait dû le mériter. Bref, il avait accepté de vivre dans l'ignorance car c'était probablement ce qu'il y avait du mieux à faire pour tout le monde. Et cela avait bien fonctionné car tout le monde avait fini par oublier cette histoire. Enfin... Presque. Le frère de Conrad, Rigel, n'avait pas abandonné l'affaire lui. Et comment l'en blâmer... S'il s'était s'agit d'un membre de sa famille, Samuel aussi aurait voulu connaître la vérité. Et s'il s'avérait que quelqu'un était responsable de sa disparition alors il s'assurait que cette personne soit punie pour ces crimes. Il comprenait tout à fait l'état d'esprit dans lequel Rigel devait se trouver en ce moment. C'est pourquoi Samuel s'inquiétait.
Il ne sût pas quoi répondre à sa femme. Quelle importance cela pouvait-il avoir qui lui en avait parlé ? Manifestement, le plus important était que ce n'était pas elle qui le lui avait dit. Et puis, pourquoi en faire tout un drame si elle n'avait rien à se reprocher ? Lui donner une réponse brève et précise aurait mis fin au problème et il aurait pu passer tout de suite à autre chose. Qu'est-ce que cela pouvait bien cacher ? Il la regarda s'éloigner en fronçant les sourcils. Bien joué Sam... Dit-il en poussant un soupir et en jetant sa serviette chiffonnée sur la table lorsqu'elle fut suffisamment éloignée pour ne pas l'entendre. Il attrapa son verre et bu une gorgée pour se détendre. Après tout, ce n'était pas la peine de tirer des plans sur la comète. Ils mettraient ensemble les choses à plat lorsqu'elle reviendrait des toilettes. Et leur soirée pourrait alors continuer tranquillement.
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Samuel & Cléophée - 14 février 2023
Postée devant le lavabo des toilettes de l’établissement, je me regardais au travers du miroir, si l’on s’attardait un peu sur mon visage et sans le camouflage léger du maquillage on pourrait s’apercevoir rapidement que sous mes yeux se trouvaient d’horrible cernes non pas du au manque de sommeil que pouvait causé l’arrivé d’un nouvel enfant, mais bien la hantise que me procurait le fait de savoir le frère de mon premier mari non loin. Il aurait pu rester dans ce pays qu’étais l’Autriche plutôt que de revenir par ici, je m’en porterais mieux. Je baissais doucement le regard avant d’inspirer fortement. Jetant un brève regard vers la porte sur le côté, je me demandais si je n’avais pas été un peu excessive dans mon comportement. Peut-être ? A bien y réfléchir, très certainement, mais ce n’était pas un sujet que je voulais aborder ce soir, c’était censé être notre soirée en tête à tête, profiter l’un de l’autre, sinon à quoi organisé tout ce truc si c’était pour finir la soirée plus morose qu’il ne le fallait ?
D’un coup j’ouvre le robinet d’eau avant d’y passer ma main brièvement sous le filet d’eau, elle était fraiche, c’était relaxant. Je préfère l’eau chaude en règle générale, mais l’eau froide avait le mérite de me remettre les idées au claire généralement. Je porte finalement ma main à mon visage pour me l’humidifier avant de me regarder une nouvelle fois dans la glace. Il était temps d’y retourner et de s’excusez auprès de l’homme que j’aimais mais aussi de faire comprendre que la discussion était close pour aujourd’hui. Sinon la soirée ne finirait certainement pas comme nous l’avions imaginé tous les deux.
Ce sont les bras croisées contre ma poitrine et surtout mon index tapant nerveusement sur mon bras que je revenais auprès de la table que j’avais quitté subitement quelques instant auparavant. Je m’arrête un instant, observant sa chevelure de couleur carotte qui m’avait toujours permis de le repérer parmi la foule qui fréquentait les couloirs à Poudlard, surveillant au passage s’il y avait une fille qui tournait autour ou pas, de manière discrète. Je finis par aller m’installer sans faire un bruit. « Je n’aurais pas dû agir ainsi, mais le sujet ne sera pas abordé ce soir. » dis-je d’un ton clair et surtout qui n’attendait aucune autre réponse qu’une affirmation. Je n’aimais pas prendre ce ton, j’avais trop l’impression de ressembler à ma famille, à mère ou père quand il s’adressait à moi. « S’il te plait. » rajoutais-je tout de même au bout d’un moment en détournant le regard vers un tableau qui trônait la sur un des murs.
D’un coup j’ouvre le robinet d’eau avant d’y passer ma main brièvement sous le filet d’eau, elle était fraiche, c’était relaxant. Je préfère l’eau chaude en règle générale, mais l’eau froide avait le mérite de me remettre les idées au claire généralement. Je porte finalement ma main à mon visage pour me l’humidifier avant de me regarder une nouvelle fois dans la glace. Il était temps d’y retourner et de s’excusez auprès de l’homme que j’aimais mais aussi de faire comprendre que la discussion était close pour aujourd’hui. Sinon la soirée ne finirait certainement pas comme nous l’avions imaginé tous les deux.
Ce sont les bras croisées contre ma poitrine et surtout mon index tapant nerveusement sur mon bras que je revenais auprès de la table que j’avais quitté subitement quelques instant auparavant. Je m’arrête un instant, observant sa chevelure de couleur carotte qui m’avait toujours permis de le repérer parmi la foule qui fréquentait les couloirs à Poudlard, surveillant au passage s’il y avait une fille qui tournait autour ou pas, de manière discrète. Je finis par aller m’installer sans faire un bruit. « Je n’aurais pas dû agir ainsi, mais le sujet ne sera pas abordé ce soir. » dis-je d’un ton clair et surtout qui n’attendait aucune autre réponse qu’une affirmation. Je n’aimais pas prendre ce ton, j’avais trop l’impression de ressembler à ma famille, à mère ou père quand il s’adressait à moi. « S’il te plait. » rajoutais-je tout de même au bout d’un moment en détournant le regard vers un tableau qui trônait la sur un des murs.
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