:: RPS Archivés
Page 2 sur 2 • 
1, 2
1, 2Koffi be good! Or tryna be... (Feat Cléopatra Amonwë)
INFOS
FICHE DE PERSO
Koffi n’avait jamais son souci sous cet angle. Il savait que la pression mal gérée et les traumas pouvaient influer inconsciemment sur le cerveau et créer des troubles qui semblaient pourtant invisibles à première vue.
Cela n’influait en rien sa technique toutefois, son professeur lui ayant confirmé que c’était le cas. Koffi se demandait dès lors si le problème était psychologique ou si sa magie était tout simplement faible.
La discussion prit une autre tournure lors que le professeur Amonwë fit preuve d’une relative vulnérabilité. Chez elle, ca se traduisait juste par l’emploi d’une simple familiarité. Elle cachait également son visage à Koffi tout en lui donnant son point de vue sur ce que venait d’avouer l’orphelin. C’est à ce moment qu’il comprit pourquoi il ressentait cette connexion avec son professeur, elle aussi étant quelqu’un de blessé, voir traumatisé. L’étudiant réfléchit à ses paroles emprunt d’une grande sagesse, sagesse peut-être imperceptible pour le jeune sorcier, animé par une utopie probablement trop fougueuse. Par moment, il arrivait que des vérités soient énoncées trop tôt dans une vie et qu’elles soient perçues alors comme un manque d’ambition. En ce moment, c’est ce qu’il se produisait, car Koffi avait beau avoir un respect profond pour son professeur, son ambition et sa fougue avait pris le pas sur sa capacité de réflexion, et son manque d’expérience ne jouait pas en sa faveur. Il répondit alors d’un ton inflexible, laissant transparaitre toute sa résolution :
« Je me dois d’essayer d’atteindre cet objectif pourtant car de mes compétences dépendront les limites que je serai capable d’atteindre. Elles croyaient en moi, et il est hors de question que je les déçoives…Encore »
Le dernier mot avait été prononcé entre ses dents, trahissant le sentiment de culpabilité que l’adolescent éprouvait face à la disparition de ses deux amies les plus chères. Quelque part, il savait que cette culpabilité n’était pas justifiée, mais depuis tout petit, le lionceau s’était toujours senti responsable des gens qui l’entouraient, parfois à outrance.
Son introspection s’arrêta au son de la voix plus claquante de son professeur, préconisant de ne pas boire la boisson qu’elle lui avait tendu. Cela soulagea Koffi, qui ne préférait pas se montrer sous un jour plus vulnérable encore qu’il ne l’avait montré jusqu’ici.
« Je n’ai jamais vraiment extériorisé mes sentiments concernant leurs disparitions, à part avec ma tutrice et mes animaux… Vous êtes la premières à qui je me confie réellement depuis que je suis entré à l’école. »
Il comprenait à présent à quel point cela avait été nocif, aussi hocha-t-il la tête lorsque son professeur lui conseilla d’aller voir un de ses confrères qui semblait s’être spécialisé dans la psychomagie. Cela ne faisait pas partie du cursus habituel de première année, aussi n’avait-il eu jamais de contact avec lui, mais il se sentait prêt à faire le nécessaire pour avancer enfin.
Revenant à ses habitudes, le professeur lui intima de reprendre ses efforts, ce à quoi l’étudiant obéit sans se faire attendre :
« Wingardium Leviosa » dit-il en visant la tête du mannequin que le professeur avait aisément réparé.
Cette fois, la tête quitta le sol d’un bon mètre. Elle se maintint même quelques secondes ainsi avant de se mettre à trembler doucement et retomber au sol, plus délicatement que la fois précédente.
Ce n’était pas encore une réussite mais Koffi y vit quand même une certaine victoire, ce qui le remit en confiance.
@Cléopatra Amonwë
Cela n’influait en rien sa technique toutefois, son professeur lui ayant confirmé que c’était le cas. Koffi se demandait dès lors si le problème était psychologique ou si sa magie était tout simplement faible.
La discussion prit une autre tournure lors que le professeur Amonwë fit preuve d’une relative vulnérabilité. Chez elle, ca se traduisait juste par l’emploi d’une simple familiarité. Elle cachait également son visage à Koffi tout en lui donnant son point de vue sur ce que venait d’avouer l’orphelin. C’est à ce moment qu’il comprit pourquoi il ressentait cette connexion avec son professeur, elle aussi étant quelqu’un de blessé, voir traumatisé. L’étudiant réfléchit à ses paroles emprunt d’une grande sagesse, sagesse peut-être imperceptible pour le jeune sorcier, animé par une utopie probablement trop fougueuse. Par moment, il arrivait que des vérités soient énoncées trop tôt dans une vie et qu’elles soient perçues alors comme un manque d’ambition. En ce moment, c’est ce qu’il se produisait, car Koffi avait beau avoir un respect profond pour son professeur, son ambition et sa fougue avait pris le pas sur sa capacité de réflexion, et son manque d’expérience ne jouait pas en sa faveur. Il répondit alors d’un ton inflexible, laissant transparaitre toute sa résolution :
« Je me dois d’essayer d’atteindre cet objectif pourtant car de mes compétences dépendront les limites que je serai capable d’atteindre. Elles croyaient en moi, et il est hors de question que je les déçoives…Encore »
Le dernier mot avait été prononcé entre ses dents, trahissant le sentiment de culpabilité que l’adolescent éprouvait face à la disparition de ses deux amies les plus chères. Quelque part, il savait que cette culpabilité n’était pas justifiée, mais depuis tout petit, le lionceau s’était toujours senti responsable des gens qui l’entouraient, parfois à outrance.
Son introspection s’arrêta au son de la voix plus claquante de son professeur, préconisant de ne pas boire la boisson qu’elle lui avait tendu. Cela soulagea Koffi, qui ne préférait pas se montrer sous un jour plus vulnérable encore qu’il ne l’avait montré jusqu’ici.
« Je n’ai jamais vraiment extériorisé mes sentiments concernant leurs disparitions, à part avec ma tutrice et mes animaux… Vous êtes la premières à qui je me confie réellement depuis que je suis entré à l’école. »
Il comprenait à présent à quel point cela avait été nocif, aussi hocha-t-il la tête lorsque son professeur lui conseilla d’aller voir un de ses confrères qui semblait s’être spécialisé dans la psychomagie. Cela ne faisait pas partie du cursus habituel de première année, aussi n’avait-il eu jamais de contact avec lui, mais il se sentait prêt à faire le nécessaire pour avancer enfin.
Revenant à ses habitudes, le professeur lui intima de reprendre ses efforts, ce à quoi l’étudiant obéit sans se faire attendre :
« Wingardium Leviosa » dit-il en visant la tête du mannequin que le professeur avait aisément réparé.
Cette fois, la tête quitta le sol d’un bon mètre. Elle se maintint même quelques secondes ainsi avant de se mettre à trembler doucement et retomber au sol, plus délicatement que la fois précédente.
Ce n’était pas encore une réussite mais Koffi y vit quand même une certaine victoire, ce qui le remit en confiance.
@Cléopatra Amonwë
INFOS
FICHE DE PERSO
Une résolution forte, une conviction certaine. Voilà ce qu’il y a de plaisant chez cet étudiant, qui malgré son jeune âge démontre déjà une importante qualité qu’est la rigueur. Tu acquiesces d’un signe de la tête qui se veut franc et bref. Il n’est pas question de tourner autour du pot. Il existe bien là une motivation primordiale et nécessaire à la suite de votre travail. “Vous travaillerez alors en leur hommage”, complètes-tu ses dires, consciente du poids que de telles paroles pourraient avoir. Car tu penses avoir très bien saisi de quoi il était question ici.
De la culpabilité, certes, mais c’est un moteur crucial de partage et une ressource inestimable lorsqu’il est question d’avancer. Si tenté qu’elle soit travaillée. Le retrait de la potion démontre un changement de cap de ton côté. Il y a matière à œuvrer sans le soutien d’une mixture. Le regard de la panthère croise celui du Gryffondor, un instant, fugace pour quiconque, long et signifiant pour vous. “Je vous remercie pour cette confiance, elle ne sera pas trahie”. Jamais. Tu es capable d’être une tombe, ce pas seulement dans ton attitude macabre. Tu en es reconnaissante, sincèrement.
Un nouvel essai se fait sentir. La formule est annoncée, la tête visée du bout de la baguette. Tu hausses les sourcils d’approbation à l’observation de ce qu’il se produit. “Excellent, Koffi Martin”, soulignes-tu tandis que ton intonation ne traduit pas pour autant de l’enthousiasme. Ce serait trop. Tu es bien connue pour ta capacité à rester parfaitement stoïque. A force de te côtoyer, néanmoins, il est possible de savoir lire derrière ce comportement froid et distant.
Une fois la trogne de bois à même le sol, tu reprends. “C’était une bien meilleure tentative. Vous en êtes capable, c’est certain”. Du moins, tu n’as pas de doute à ce sujet. “J’aimerais que vous tentiez un autre sortilège de premier cycle afin que je puisse me faire une idée de votre degré de maîtrise”. Tu aurais bien en tête le célèbre Lumos ou encore un Flippendo, voire un Incendio. Tout est envisageable.
@Koffi Martin
Page 2 sur 2 • 1, 2
1, 2|
|
|