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Tonton Neznez - Ft Ebenezer Grimm
INFOS
FICHE DE PERSO
Cléophée & Ebenezer - 22 février 2023/après-midi
Je terminais de rhabiller ma petite princesse après qu’elle est régurgité son biberon, cela faisait quelques jours qu’elle n’était pas au mieux de sa forme, mais le médicomage avait affirmé que cela n’était rien de grave, pour le coup j’avais demandé son avis à @Nathanael E. Pierce également, mais il n’avait que confirmé ce que le pédiatre avait dit. Un peu trop anxieuse quand il s’agissait de mes enfants ? Très certainement. D’ailleurs le fait de savoir que Liam était partie avec mon cher et tendre époux visiter des dragons ne rassurait pas mon inquiétude. Ce qu’il pouvait être aussi casse-cou que son père et aventureux comme sa mère. Quel idée aussi d’aller voir des dragons, certes @Samuel More ne laisserait pas Liam trop s’approcher, puis @Jade Weimer était aussi présente et elle ne mettrait pas la vie de mon fils en danger. Mais je peux assurer que s’il arrive quelques choses à Liam, je ne réponds plus de moi. J’ai beau aimé Samuel à la folie, s’il revenait en m’annonçant qu’il était arrivé quelques choses de graves à mon petit garçon, je le prendrais pour responsable et je crois bien que notre amour en pâtirait en partie.
Seulement, je n’avais pas pu le refuser à mon fils, lui qui adore ces grosses bêtes. Il en parle tellement avec des étoiles dans les yeux, cela ne m’étonnerait pas qu’il finisse par travaillé avec les dragons pour mon plus grand malheur. Sortant de la chambre de ma fille, j’attrape au passage la petite peluche en forme de chat noir, un cadeau de son parrain @Nathaniel Seymour, très originale quand on connait la forme animagus de son parrain. « Bon princesse, puisque papa passe la journée avec ton grand-frère Liam et son amie Jade. Toi et moi nous allons passez la journée avec Tonton gros neznez* comme le dis si bien ton frère. » Je cligne des yeux plusieurs fois en me demandant où il a bien pu aller chercher ce surnom pour Eb. D’aussi loin que je me souvienne, il l’a toujours surnommé ainsi, Ebenezer étant trop compliqué pour un enfant de moins de trois ans.
Une fois dans le salon je la pose sur une couverture à température agréable pour un enfant en bas âge. J’y dépose également la petite peluche et je m’installe dans le fauteuil qui donne un regard direct sur ma fille. Lisant tranquillement les nouvelles du monde sorcier, je jetais fréquemment des regards vers Keïra qui jouait avec un mobile moldu suspendu magiquement dans les airs. Il ne manquait que l’invité du jour. Je lui avais dis de passer par le réseau de cheminette. Espérons seulement qu'il n'a pas oublié le cadeau d'anniversaire de Liam qui était hier, parce que je sens déjà la crise de larme arrivé comme quoi son tonton ne l'aime plus.
Seulement, je n’avais pas pu le refuser à mon fils, lui qui adore ces grosses bêtes. Il en parle tellement avec des étoiles dans les yeux, cela ne m’étonnerait pas qu’il finisse par travaillé avec les dragons pour mon plus grand malheur. Sortant de la chambre de ma fille, j’attrape au passage la petite peluche en forme de chat noir, un cadeau de son parrain @Nathaniel Seymour, très originale quand on connait la forme animagus de son parrain. « Bon princesse, puisque papa passe la journée avec ton grand-frère Liam et son amie Jade. Toi et moi nous allons passez la journée avec Tonton gros neznez* comme le dis si bien ton frère. » Je cligne des yeux plusieurs fois en me demandant où il a bien pu aller chercher ce surnom pour Eb. D’aussi loin que je me souvienne, il l’a toujours surnommé ainsi, Ebenezer étant trop compliqué pour un enfant de moins de trois ans.
Une fois dans le salon je la pose sur une couverture à température agréable pour un enfant en bas âge. J’y dépose également la petite peluche et je m’installe dans le fauteuil qui donne un regard direct sur ma fille. Lisant tranquillement les nouvelles du monde sorcier, je jetais fréquemment des regards vers Keïra qui jouait avec un mobile moldu suspendu magiquement dans les airs. Il ne manquait que l’invité du jour. Je lui avais dis de passer par le réseau de cheminette. Espérons seulement qu'il n'a pas oublié le cadeau d'anniversaire de Liam qui était hier, parce que je sens déjà la crise de larme arrivé comme quoi son tonton ne l'aime plus.
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note 1 : prononce le néné
INFOS
FICHE DE PERSO
« Ca passe pas ! »
Il y avait eu une gerbe de flamme dans la cheminée de ma meilleure amie. L’instant suivant, ce n’était pas mes traits qui étaient apparu mains ceux d’une énorme peluche. Moi, j’étais juste au dessus, complètement coincé dans le conduit de cheminée par mon cadeau.
« Y’a quelqu’un ? » dis-je d’une voix hasardeuse.
Je commençais à paniquer. J’en étais sur, cette peluche ne passait pas dans la cheminée et je m’étais retrouvé coincé comme un con. Un peu clostro, j’avais commencé à hyperventilé tout en cherchant ma baguette. Bon, il n’y avait pas 36 solutions.
« Cléo ! Tu m’entends ? Faudrait qu’t’enlèves la petite, je vais faire sauter la cheminée ! Je peux pas rester comme ça éternellement ! Protège lui bien le visage. Tu m’entends ? Cléo ? »
J’essayais de gesticuler, mais c’était pas si évident que ça. Pour un Bombarda Maxima il fallait un peu de place. Attrapant enfin ma baguette, je me demandais si c’était vraiment la solution de l’année. Je savais que ma vie n’allait pas super bien en ce moment et j’avais quelques soucis. J’étais un peu jaloux de tout le monde et savoir que je n’étais pas le parrain de cette petite m’avait un peu vexé. Alors quoi que lui ai acheté ce dernier, ça m’étonnerait qu’il soit aussi beau que le nounours ?
« C’est bon ? La petite est protégée ? Jte préviens, je tiens plus, en plus j’ai envie de faire pipi, j’attends pas les secours. Je compte jusqu’à trois et je balance le bombarda… Un, deux... »
Je cherchais à faire le mouvement de ma baguette. Je n’arrivais pas à bouger correctement pour faire la rune avec ma baguette.
« Trois... »
Finalement je m’exclamais :
« Bombarda Maxima ! »
Et ce fut une explosion de brique, et de plâtre qui firent mon entrée.
« Keuf… tcha… ahem. Tout le monde va bien ? » dis-je la fleur au fusil en sortant de la poussière.
Il y avait eu une gerbe de flamme dans la cheminée de ma meilleure amie. L’instant suivant, ce n’était pas mes traits qui étaient apparu mains ceux d’une énorme peluche. Moi, j’étais juste au dessus, complètement coincé dans le conduit de cheminée par mon cadeau.
« Y’a quelqu’un ? » dis-je d’une voix hasardeuse.
Je commençais à paniquer. J’en étais sur, cette peluche ne passait pas dans la cheminée et je m’étais retrouvé coincé comme un con. Un peu clostro, j’avais commencé à hyperventilé tout en cherchant ma baguette. Bon, il n’y avait pas 36 solutions.
« Cléo ! Tu m’entends ? Faudrait qu’t’enlèves la petite, je vais faire sauter la cheminée ! Je peux pas rester comme ça éternellement ! Protège lui bien le visage. Tu m’entends ? Cléo ? »
J’essayais de gesticuler, mais c’était pas si évident que ça. Pour un Bombarda Maxima il fallait un peu de place. Attrapant enfin ma baguette, je me demandais si c’était vraiment la solution de l’année. Je savais que ma vie n’allait pas super bien en ce moment et j’avais quelques soucis. J’étais un peu jaloux de tout le monde et savoir que je n’étais pas le parrain de cette petite m’avait un peu vexé. Alors quoi que lui ai acheté ce dernier, ça m’étonnerait qu’il soit aussi beau que le nounours ?
« C’est bon ? La petite est protégée ? Jte préviens, je tiens plus, en plus j’ai envie de faire pipi, j’attends pas les secours. Je compte jusqu’à trois et je balance le bombarda… Un, deux... »
Je cherchais à faire le mouvement de ma baguette. Je n’arrivais pas à bouger correctement pour faire la rune avec ma baguette.
« Trois... »
Finalement je m’exclamais :
« Bombarda Maxima ! »
Et ce fut une explosion de brique, et de plâtre qui firent mon entrée.
« Keuf… tcha… ahem. Tout le monde va bien ? » dis-je la fleur au fusil en sortant de la poussière.
INFOS
FICHE DE PERSO
Cléophée & Ebenezer - 22 février 2023/après-midi
Je souriais en regardant Keïra bouger ses petites mains pour essayer d’attraper les objets du mobile quand je fronce légèrement le regard en voyant une pate d’ours en peluche sortir de ma cheminée. Qu’est-ce que c’était que ce bordel encore ? Note pour moi-même, ne plus demander à mon meilleur ami de passer par le réseau de cheminette, le transplanage sera plus préférable, quoi qu’il serait bien capable d’appareiller dans le petit étang situé derrière le cottage. Je secoue la tête désespéré par mon Ebe. S’il n’existait pas, il faudrait l’inventer celui-ci.
Avançant de quelques pas, je m’approche de la cheminé avant de me baisser pour regarder à l’intérieur, entendant faiblement la voix de mon meilleur ami. Comment je vais le sortir de la ? Je n’entends même pas ce qu’il raconte. « Bouge pas, je vais t’aider. » lançais-je en direction de la cheminée, mais je n’étais pas certaine qu’il m’entende vraiment. Réfléchissons. Peut-être que si je… Un instant, je pense à ma fille, je me tourne vers elle baguette à la main et je lance un protego totalum autour de son emplacement de parc.
Faisant de nouveau face à la cheminée, je me frotte le front tout de même exaspéré par les entrées de plus en plus fracassantes d’Ebenezer, certain qu’un jour @Samuel More va me faire une syncope. Je crois bien que c’était la première fois que j’ai vu mon époux aussi blanc qu’un linge quand Ebe est arrivé en faisant un énorme trou dans le plafond. Plus sereine avec ma princesse en sécurité, je me prépare à lancer un reducto sur la peluche quand la cheminé partie en éclat. Soufflé par l'explosion, je me fais projeter contre le canapé qui amorti ma chute, en même temps je lance un protégo informulé avant de recevoir plus de débris. Certainement que j’ai une coupure à l’arcade, manquait plus que cela.
Je me relève rapidement pour faire face à mon ami avec un regard noir. « EBENEZER GRIMM. » hurlais-je pour attirer son attention. « Ma cheminée, est-ce que tu te rends compte de l’état de ma cheminé ? Le reducto tu connais ou pas tête de dirico. » sifflais-je avant de lui asséner un petit coup derrière sa tête. Puis par réflexe, je lance un réparo. « Keïra va bien, j’avais lancé un protego totalum au cas ou et j’ai bien fais. Tu sais que l’on n’entend rien de ce que tu marmonnais ? » Après avoir vérifier que la cheminé était comme neuve, je me tourne vers Eb avant de prendre son visage dans ma main. « Belle égratignure Monsieur Grimm. On va finir par croire que tu passes ta vie sur le terrain finalement. C’est pour quoi faire l’ours gigantesque ? » demandais-je finalement en jetant un coup d’œil à la peluche posé dans le milieu de mon salon. Je lâche son visage et je vais prendre ma fille dans mes bras qui pleurait à cause de capharnaüm causé par tonton Eb. Je m’occuperais de la coupure plus tard, pour l’instant de m’occupait de calmer la petite.
Avançant de quelques pas, je m’approche de la cheminé avant de me baisser pour regarder à l’intérieur, entendant faiblement la voix de mon meilleur ami. Comment je vais le sortir de la ? Je n’entends même pas ce qu’il raconte. « Bouge pas, je vais t’aider. » lançais-je en direction de la cheminée, mais je n’étais pas certaine qu’il m’entende vraiment. Réfléchissons. Peut-être que si je… Un instant, je pense à ma fille, je me tourne vers elle baguette à la main et je lance un protego totalum autour de son emplacement de parc.
Faisant de nouveau face à la cheminée, je me frotte le front tout de même exaspéré par les entrées de plus en plus fracassantes d’Ebenezer, certain qu’un jour @Samuel More va me faire une syncope. Je crois bien que c’était la première fois que j’ai vu mon époux aussi blanc qu’un linge quand Ebe est arrivé en faisant un énorme trou dans le plafond. Plus sereine avec ma princesse en sécurité, je me prépare à lancer un reducto sur la peluche quand la cheminé partie en éclat. Soufflé par l'explosion, je me fais projeter contre le canapé qui amorti ma chute, en même temps je lance un protégo informulé avant de recevoir plus de débris. Certainement que j’ai une coupure à l’arcade, manquait plus que cela.
Je me relève rapidement pour faire face à mon ami avec un regard noir. « EBENEZER GRIMM. » hurlais-je pour attirer son attention. « Ma cheminée, est-ce que tu te rends compte de l’état de ma cheminé ? Le reducto tu connais ou pas tête de dirico. » sifflais-je avant de lui asséner un petit coup derrière sa tête. Puis par réflexe, je lance un réparo. « Keïra va bien, j’avais lancé un protego totalum au cas ou et j’ai bien fais. Tu sais que l’on n’entend rien de ce que tu marmonnais ? » Après avoir vérifier que la cheminé était comme neuve, je me tourne vers Eb avant de prendre son visage dans ma main. « Belle égratignure Monsieur Grimm. On va finir par croire que tu passes ta vie sur le terrain finalement. C’est pour quoi faire l’ours gigantesque ? » demandais-je finalement en jetant un coup d’œil à la peluche posé dans le milieu de mon salon. Je lâche son visage et je vais prendre ma fille dans mes bras qui pleurait à cause de capharnaüm causé par tonton Eb. Je m’occuperais de la coupure plus tard, pour l’instant de m’occupait de calmer la petite.
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FICHE DE PERSO
« Aïe ! Ca fait mal ! »
J’avais baissé la tête quand elle m’avait frappé. Tout se passa assez vite. Elle fit le Reparo que j’aurai du faire puis se précipita sur moi pour me prendre le visage dans ses mains. Avec un sourire espiègle, je l’observais en ricanant.
« Je suis pas sur que Samuel apprécierait nous voir dans cette position… Je savais que t’étais dingue de moi... »
J’enlevais la poussière sur moi d’un Recurvite, et je me redressais pour regarder autour de moi. Ca avait bien changé quand même. Enfin changé… Il y avait les vieux trucs de Liam qui étaient revenu pour le nouveau né. Un léger sourire apparut sur mes lèvres… Je connaissais Cléo déjà à cette époque.
« Ah ! L’ours c’est pour le bébé ! Et essaie pas de l’enchanter avec un Reducto… Ca marche pas… C’est pour ça que j’ai démoli la cheminée. Bah ouais, ça sert à rien d’acheter le meilleur cadeau du monde et le plus gros nounours qui puisse exister sur le marché si c’est pour le réduire à l’état de petite peluche de rien du tout... »
Les mains sur les hanches, je contemplais assez fièrement mon ours. Passant ma main sur ma joue, je me dirigeais immédiatement vers un miroir. Avec un sourire, je regardais Cléo.
« J’ai l’air tellement badass comme ça. On dirait un Brigadier d’Elite. Il suffit que j’arrête de sourire, et je ressemblerais à Karma. Allez !!! Donne moi cette petite ! Il faut bien qu’elle voit son vrai parrain. »
J’avais pris le bébé dans les bras. J’avais toujours eu un don avec les bébés et les enfants. Ils m’avaient toujours aimé. Et là, ça n’avait absolument pas fait exception. Relevant mes yeux pétillants fierté vers Cléo, je me mis à sourire légèrement. Je serai un parrain merveilleux. Et même si ce n’était pas moi le parrain officiel, elle allait m’appeler comme ça et m’aimer deux fois plus que son vrai parrain.
« Elle est trop belle. »
Tout humour avait cette fois-ci quitté ma voix. C’était du sérieux. Elle était vraiment belle. La berçant dans mes bras, je regardais autour de nous pour voir si j’avais pas mis trop de bazar.
« Désolé ma chérie, parrain a mis du bazar… Mais ca fait rien, maman a tout réparé comme d’habitude… Tu reprends le boulot quand ? »
J’avais baissé la tête quand elle m’avait frappé. Tout se passa assez vite. Elle fit le Reparo que j’aurai du faire puis se précipita sur moi pour me prendre le visage dans ses mains. Avec un sourire espiègle, je l’observais en ricanant.
« Je suis pas sur que Samuel apprécierait nous voir dans cette position… Je savais que t’étais dingue de moi... »
J’enlevais la poussière sur moi d’un Recurvite, et je me redressais pour regarder autour de moi. Ca avait bien changé quand même. Enfin changé… Il y avait les vieux trucs de Liam qui étaient revenu pour le nouveau né. Un léger sourire apparut sur mes lèvres… Je connaissais Cléo déjà à cette époque.
« Ah ! L’ours c’est pour le bébé ! Et essaie pas de l’enchanter avec un Reducto… Ca marche pas… C’est pour ça que j’ai démoli la cheminée. Bah ouais, ça sert à rien d’acheter le meilleur cadeau du monde et le plus gros nounours qui puisse exister sur le marché si c’est pour le réduire à l’état de petite peluche de rien du tout... »
Les mains sur les hanches, je contemplais assez fièrement mon ours. Passant ma main sur ma joue, je me dirigeais immédiatement vers un miroir. Avec un sourire, je regardais Cléo.
« J’ai l’air tellement badass comme ça. On dirait un Brigadier d’Elite. Il suffit que j’arrête de sourire, et je ressemblerais à Karma. Allez !!! Donne moi cette petite ! Il faut bien qu’elle voit son vrai parrain. »
J’avais pris le bébé dans les bras. J’avais toujours eu un don avec les bébés et les enfants. Ils m’avaient toujours aimé. Et là, ça n’avait absolument pas fait exception. Relevant mes yeux pétillants fierté vers Cléo, je me mis à sourire légèrement. Je serai un parrain merveilleux. Et même si ce n’était pas moi le parrain officiel, elle allait m’appeler comme ça et m’aimer deux fois plus que son vrai parrain.
« Elle est trop belle. »
Tout humour avait cette fois-ci quitté ma voix. C’était du sérieux. Elle était vraiment belle. La berçant dans mes bras, je regardais autour de nous pour voir si j’avais pas mis trop de bazar.
« Désolé ma chérie, parrain a mis du bazar… Mais ca fait rien, maman a tout réparé comme d’habitude… Tu reprends le boulot quand ? »
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FICHE DE PERSO
Cléophée & Ebenezer - 22 février 2023/après-midi
« C’est le principe même de la petite frappe. » Je roulais des yeux alors que je remettais tous en place. Plus jamais, je lui demande de passer par le réseau de cheminette, je vais le fermer pour son postérieur et sa maladresse d’entrée. « Tu aurais pu m’envoyer un hibou tu sais pour me dire que tu ne pouvais pas prendre la cheminé, au lieu de forcer le passage. » Comme un bourrin. C’est comme si c’était un chat et qu’il voulait obligatoirement prendre le passage de la petite sourire, c’est grotesque. « Oh moins tu seras prévenue pour la prochaine fois. » lançais-je en remettant correctement mes photos de familles et d’amis sur la cheminé. Je souris doucement devant celle avec Eb, c’était quand nous étions à Poudlard. « Et non, ce n’est pas une invitation pour en apporter une encore plus grosse la prochaine fois. Tu te souviens de ce moment ? Parfois cette insouciance que nous avions à l’époque me manque. » Mais je me retiens d’ajouter qu’à l’époque je sortais secrètement avec @Samuel More alors que j’étais fiancé à un autre.
Après avoir vérifié l’état de mon salon, j’avais pris le visage en coupe dans ma main pour examiner le visage d’Ebenezer pour être certaine qu’il n’avait rien de méchant, mais ce n’était pas le cas, alors j’étais partie m’occuper de ma fille. Lui disant des mots calmant, chantonnant un peu. Je levais les yeux à sa remarque. « Samuel me fait confiance, et toi et moi ? Franchement ? Cela ne serait jamais arrivé Eb, même pas à Poudlard. » Parce que mon cœur appartenait déjà au roux avec qui je partageais mes nuits.
Je tourne la tête surprise vers l’ancien poufsouffle en clignant des yeux. Pour Keïra ? Je regardais l’ours dépité, comme allait-il rentrer dans la chambre celui-ci ? Il va me détruire toute ma maison pour le déplacer au bon endroit ? Je me rapproche de l’ours en peluche alors que je tiens toujours la petite avec une main. Je me penche un peu pour attraper la patte de l’ours avant de la lâcher subitement. Je tourne la tête vers Eb, avec un air contrit. Je lui donne ma fille en secouant la tête désespéré. « Son vrai parrain et puis quoi encore ? Son vrai père aussi, arrête de dire des âneries un peu et non, ne fait pas de blagues sur ce que je viens de dire. » Parce que c’était un exemple stupide et qu’il serait bien capable d’en profiter pour s’en amuser.
Je l’écoutais d’une oreille, alors que je tournais autour de la peluche. Je fronçais du nez en regardant alternativement la peluche et la cage d’escalier et ainsi de suite. « Normal. » répliquais-je en souriant. « Tu as vu qui sont ses parents. Elle a les yeux bleu de Sam, pour les cheveux, on verra bien. Mais elle n’a pas tellement changé depuis que tu les as gardé le 14 tu sais. » Je me baisse au niveau de la peluche, bah on devrait bien pouvoir lancer un reducto avant de lui redonner sa forme originel à cette peluche, je ne vois pas en quoi ce n’est pas possible. « Tonton, pas parrain. » rectifiais-je alors que je me levais.
« T’es à la ramasse toi en ce moment, j’ai repris en janvier. Tu veux boire quelques choses ? » demandais-je alors que je me dirigeais vers la cuisine pour me préparer un thé à la camomille pour calmer mes nerfs. « Et le cadeau pour Liam ? » m’écriais-je en revenant vers lui pour le pointer du doigt. « Ne me dit pas que tu l’as oublié ? Il va, t’en vouloir, son anniversaire était hier tu sais. »
Après avoir vérifié l’état de mon salon, j’avais pris le visage en coupe dans ma main pour examiner le visage d’Ebenezer pour être certaine qu’il n’avait rien de méchant, mais ce n’était pas le cas, alors j’étais partie m’occuper de ma fille. Lui disant des mots calmant, chantonnant un peu. Je levais les yeux à sa remarque. « Samuel me fait confiance, et toi et moi ? Franchement ? Cela ne serait jamais arrivé Eb, même pas à Poudlard. » Parce que mon cœur appartenait déjà au roux avec qui je partageais mes nuits.
Je tourne la tête surprise vers l’ancien poufsouffle en clignant des yeux. Pour Keïra ? Je regardais l’ours dépité, comme allait-il rentrer dans la chambre celui-ci ? Il va me détruire toute ma maison pour le déplacer au bon endroit ? Je me rapproche de l’ours en peluche alors que je tiens toujours la petite avec une main. Je me penche un peu pour attraper la patte de l’ours avant de la lâcher subitement. Je tourne la tête vers Eb, avec un air contrit. Je lui donne ma fille en secouant la tête désespéré. « Son vrai parrain et puis quoi encore ? Son vrai père aussi, arrête de dire des âneries un peu et non, ne fait pas de blagues sur ce que je viens de dire. » Parce que c’était un exemple stupide et qu’il serait bien capable d’en profiter pour s’en amuser.
Je l’écoutais d’une oreille, alors que je tournais autour de la peluche. Je fronçais du nez en regardant alternativement la peluche et la cage d’escalier et ainsi de suite. « Normal. » répliquais-je en souriant. « Tu as vu qui sont ses parents. Elle a les yeux bleu de Sam, pour les cheveux, on verra bien. Mais elle n’a pas tellement changé depuis que tu les as gardé le 14 tu sais. » Je me baisse au niveau de la peluche, bah on devrait bien pouvoir lancer un reducto avant de lui redonner sa forme originel à cette peluche, je ne vois pas en quoi ce n’est pas possible. « Tonton, pas parrain. » rectifiais-je alors que je me levais.
« T’es à la ramasse toi en ce moment, j’ai repris en janvier. Tu veux boire quelques choses ? » demandais-je alors que je me dirigeais vers la cuisine pour me préparer un thé à la camomille pour calmer mes nerfs. « Et le cadeau pour Liam ? » m’écriais-je en revenant vers lui pour le pointer du doigt. « Ne me dit pas que tu l’as oublié ? Il va, t’en vouloir, son anniversaire était hier tu sais. »
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FICHE DE PERSO
Et bien évidemment… Je ne l’écoutais pas. Quand elle me proposa d’être le vrai père, mes yeux s’illuminèrent car la connerie allait forcément arrivé malgré le fait qu’elle me l’avait interdit. Riant de bon coeur, Keira dans les bras je fronçais les sourcils.
« C’est vrai qu’elle me ressemble… Tu dois pas t’en rappeler parce que tu étais saoule… »
Je relevais la tête et je me mis à rire. Elle plaisantait pas. Son Samuel c’était tout pour elle ! Visiblement c’était pas drôle. Mais moi j’étais quoi hein ? J’avais toujours été là pour elle ! Est-ce que je faisais un crise de jalousie ? Peut être un petit peu. J’étais possessif à souhait de toute façon.
« Ca n’est jamais arrivé parce qu’à l’époque, t’étais pas belle. »
Je lui mis un léger coup de coude dans les cotes pour la faire rire. Alors qu’elle me déclarait qu’elle avait repris en janvier, je fronçais les sourcils. J’étais vraiment à côté de mes pompes. M’installant dans le canapé, avec toujours la petite dans les bras que je regardais avec un léger sourire, je continuais de parler, plus à Keira qu’à Cléo.
« Papa, Parrain, Tonton… elle pourra m’appeler comme elle veut cette princesse. Et détresse. Le cadeau pour Liam est dans ma poche. J’ai pas oublié. Je les aime autant l’un que l’autre hein. Je vais boire un whisky pur feu.»
Avec un grand sourire, je me levais finalement pour lui remettre Keira dans les bras. Après tout, tonton c’était cool, mais c’était pas à moi de m’en occuper H24. Elle était très bien dans les bras de sa mère ! Fouillant dans ma poche, je sortis un petit paquet que j’ouvris. Il était de la taille d’un vif d’or. Mais ce n’est pas un vif d’or que j’en sortie, mais une pierre étrange, ocre, avec une rune verte en son centre.
« C’est une Pierre de Foyer. Un Portoprès un peu modifier qui fait que quand tu l’actives, tu te retrouves tout le temps téléporter chez toi. C’est moi qui lui est fabriqué. Je me suis dit, c’est toujours utile quand on transplane pas de pouvoir rentrer chez soit en cas d’urgence. Bon par contre faut bien lui expliquer que c’est que pour les urgences… Si vous faites un 5 à 7 avec Sam et qu’il se téléporte à ce moment là pour se barrer de l’école… je dénigre toute responsabilité ! »
Je déposais la pierre de foyer avec le petit mot que je lui avais laissé sur la table basse. Il y avait de grandes chances pour que quand il revienne, je ne sois plus là. Je mis les mains dans les poches comme je le faisais quand j’étais au bureau et je fronçais les sourcils.
« Tu croyais que j’allais oublié ? Que j’étais si mauvais tonton que ça ? Tu me déçois. Je ne sais pas m’occuper de moi, mais tu sais très bien que quand les autres sont en galère, je suis là ! »
Elle s’en rappelait très bien puisque j’étais au courant depuis le départ pour son ex-mari et tout ce qui en avait suivi.
« C’est vrai qu’elle me ressemble… Tu dois pas t’en rappeler parce que tu étais saoule… »
Je relevais la tête et je me mis à rire. Elle plaisantait pas. Son Samuel c’était tout pour elle ! Visiblement c’était pas drôle. Mais moi j’étais quoi hein ? J’avais toujours été là pour elle ! Est-ce que je faisais un crise de jalousie ? Peut être un petit peu. J’étais possessif à souhait de toute façon.
« Ca n’est jamais arrivé parce qu’à l’époque, t’étais pas belle. »
Je lui mis un léger coup de coude dans les cotes pour la faire rire. Alors qu’elle me déclarait qu’elle avait repris en janvier, je fronçais les sourcils. J’étais vraiment à côté de mes pompes. M’installant dans le canapé, avec toujours la petite dans les bras que je regardais avec un léger sourire, je continuais de parler, plus à Keira qu’à Cléo.
« Papa, Parrain, Tonton… elle pourra m’appeler comme elle veut cette princesse. Et détresse. Le cadeau pour Liam est dans ma poche. J’ai pas oublié. Je les aime autant l’un que l’autre hein. Je vais boire un whisky pur feu.»
Avec un grand sourire, je me levais finalement pour lui remettre Keira dans les bras. Après tout, tonton c’était cool, mais c’était pas à moi de m’en occuper H24. Elle était très bien dans les bras de sa mère ! Fouillant dans ma poche, je sortis un petit paquet que j’ouvris. Il était de la taille d’un vif d’or. Mais ce n’est pas un vif d’or que j’en sortie, mais une pierre étrange, ocre, avec une rune verte en son centre.
« C’est une Pierre de Foyer. Un Portoprès un peu modifier qui fait que quand tu l’actives, tu te retrouves tout le temps téléporter chez toi. C’est moi qui lui est fabriqué. Je me suis dit, c’est toujours utile quand on transplane pas de pouvoir rentrer chez soit en cas d’urgence. Bon par contre faut bien lui expliquer que c’est que pour les urgences… Si vous faites un 5 à 7 avec Sam et qu’il se téléporte à ce moment là pour se barrer de l’école… je dénigre toute responsabilité ! »
Je déposais la pierre de foyer avec le petit mot que je lui avais laissé sur la table basse. Il y avait de grandes chances pour que quand il revienne, je ne sois plus là. Je mis les mains dans les poches comme je le faisais quand j’étais au bureau et je fronçais les sourcils.
« Tu croyais que j’allais oublié ? Que j’étais si mauvais tonton que ça ? Tu me déçois. Je ne sais pas m’occuper de moi, mais tu sais très bien que quand les autres sont en galère, je suis là ! »
Elle s’en rappelait très bien puisque j’étais au courant depuis le départ pour son ex-mari et tout ce qui en avait suivi.
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FICHE DE PERSO
Cléophée & Ebenezer - 22 février 2023/après-midi
Je posais mon index sur ses lèvres pour le faire taire avant qu’il ne sort une ânerie aussi grosse que son appétit à Poudlard, je n’ai jamais compris comment il pouvait ingurgité autant de nourriture dans un corps aussi svelte. « N’ose même pas… » Trop tard, il l’avait déjà suggéré, il avait de la chance que Samuel ne soit pas dans les parages à trainer ses oreilles, sinon il aurait certainement vu rouge, même si Eb ne faisait que plaisanté sur le sujet. Il y a certaines choses sur lesquels, je n’avais pas envie de plaisanter comme la paternité de mes enfants. « C’est le mélange parfait entre Sam et moi, tu le sais très bien. Elle fera des ravages cette petite et Sam n’est pas près. » Je riais un peu, oh non, il n’était pas près. Elle allait en faire tourner des têtes quand elle serait à Poudlard et elle n’aurait pas besoin de cacher sa relation. Enfin, rien n’est moins sur avec Sam et Liam dans les parages, sans compté ses oncles beaucoup trop protecteur quand ils s’y mettent.
Je le regardais les mains sur les hanches en me pinçant les lèvres. Il s’avait toujours ou taper pour m’énerver, cela devait être un don de sa part, ce n’est pas possible autrement. Il a toujours trouvé le moyen de me sortir la tête de mon parchemin ou de mon devoir en me sortant des sottises toujours plus grosses les unes que les autres. « Faux, j’ai toujours été jolie, tu ne le remarques, juste que trop tard et tu devais certainement avoir du miam hiboux dans les yeux à l’époque. » Je t’en foutrais des moches tiens.
Partant vers la cuisine, j’avais entendu la réplique de mon meilleur ami et je pouffais discrètement depuis la cuisine alors que je sortais une tasse d’un des placards pour y versé l’eau chaude après avoir mis la camomille. Posant la tasse fumante et brulante sur la table, je récupérais ma fille qu’Eb me tendait. D’un coup de baguette, je ramenais tous son petite parc, zone de confort pour l’installé pendant que nous prendront place autour de la table de la cuisine. Visiblement il y avait besoin d’une grande conversation. Surtout au vu du whisky pur feu qu’il venait de me demander.
Je sors tout de même la bouteille et un verre avant de poser le tout sur la table. Je prends soins de le remercier pour le cadeau pour Liam. « Assis. » intimais-je à Ebenezer en montrant la chaise de moi. « Maintenant parles. » continuais-je d’une voix ferme. « Tu ne bougeras pas ton cul de cette chaise tant que tu ne m’auras pas dit ce qu’il se passe et ne m’oblige pas te lancer un sortilège d’attachement. »
Je le regardais les mains sur les hanches en me pinçant les lèvres. Il s’avait toujours ou taper pour m’énerver, cela devait être un don de sa part, ce n’est pas possible autrement. Il a toujours trouvé le moyen de me sortir la tête de mon parchemin ou de mon devoir en me sortant des sottises toujours plus grosses les unes que les autres. « Faux, j’ai toujours été jolie, tu ne le remarques, juste que trop tard et tu devais certainement avoir du miam hiboux dans les yeux à l’époque. » Je t’en foutrais des moches tiens.
Partant vers la cuisine, j’avais entendu la réplique de mon meilleur ami et je pouffais discrètement depuis la cuisine alors que je sortais une tasse d’un des placards pour y versé l’eau chaude après avoir mis la camomille. Posant la tasse fumante et brulante sur la table, je récupérais ma fille qu’Eb me tendait. D’un coup de baguette, je ramenais tous son petite parc, zone de confort pour l’installé pendant que nous prendront place autour de la table de la cuisine. Visiblement il y avait besoin d’une grande conversation. Surtout au vu du whisky pur feu qu’il venait de me demander.
Je sors tout de même la bouteille et un verre avant de poser le tout sur la table. Je prends soins de le remercier pour le cadeau pour Liam. « Assis. » intimais-je à Ebenezer en montrant la chaise de moi. « Maintenant parles. » continuais-je d’une voix ferme. « Tu ne bougeras pas ton cul de cette chaise tant que tu ne m’auras pas dit ce qu’il se passe et ne m’oblige pas te lancer un sortilège d’attachement. »
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INFOS
FICHE DE PERSO
« Mais enfin… Cléo t’es ridicule... »
Assis à la table, je fis une grimace montrant qu’elle devait très certainement se planter. Les bras devant, comme pour clamer mon innocence, je me tournais whisky à la main vers la parc ou dormait ma filleule. Enfin. C’était pas filleule, mais elle le deviendrait si je l’entraînais suffisamment à m’appeler Parrain à la place de son vrai parrain. C’était qui d’ailleurs ? Voyant son air menaçant, je levais les mains en signe d’impuissance et de capitulation.
« Ok ok… J’avoue tout. Mais tu sais que mis hors contexte ce sort d’attachement c’est bizarre hein. »
Je me reculais pour être certains d’être hors de portée d’une gifle et restait vigilant pour pouvoir esquiver le moindre sortilège avec la vivacité d’une truite. Prudemment, je cherchais par où commencer. Mon addiction évidente aux jeux d’argent ? Le retour de Nott dans ma vie ? Cette rencontre que j’avais fait en la personne de Mira Aslan ? Il y avait trop de truc à dire.
« T’as pas du rater le retour de Nott au Ministère… »
Je l’observais en jouant nerveusement avec mon verre. On s’était brusquement séparé… A cause de cette foutue mission. Du jour au lendemain, ça m’avait un peu détruit. Enfin c’était moins qu’avec Esperanza parce que là… J’avais pas de sentiments… Enfin pas de sentiments… Ca m’avait quand même bien faire ch***. Est-ce que j’en avais ? Le retour avait été aussi brutal que son départ.
« Donc on va dire que c’est un peu compliqué. La revoir tous les jours au Ministère. On s’est expliqué, on est un peu en froid. »
Je relevais la tête vers elle, puis je poursuivais.
« Parallèlement, j’ai rencontré une jeune femme super cool, super séduisante. Le genre de nana qui est un mirage. Je pense qu’elle cache un lourd secret. Genre un passé de Mage noir ou un truc comme ça. Elle a trop de qualité pour pas être irréel ou cacher quelque chose de très grave. Il faudrait qu’on enquête toi et moi ! Elle est iranienne. La famille Aslan tu connais ? »
Je réfléchissais. Portant enfin mon verre à mes lèvres, j’en avais assez dit pour esquiver le sujet principal dont tout le monde voulait me parler : cette foutue addiction aux jeux ! Quoi ? Je m’étais mis des règles et je les respectais ! Pas plus de 4 sorties casinos par semaine et pas plus de l’intégralité de mon salaire hebdomadaire et… je soupirai, constatant ma propre stupidité flagrante.
« Bref et sinon toi la reprise ? Par trop dur ? Paraît que ça a gueuler entre toi, Karma, Ochoa et Clearwater. Qu’est ce que vous êtes cons vous les Brigadiers et les Aurors. Vous faites quasiment le même taff et vous êtes pas fichus de vous entendre correctement ! »
Je fis alors une horrible grimace et je répliquais brusquement.
« Contente ? Je me confis et je m’intéresse à toi ? C’est pas super ça ? » dis-je d’un air sarcastique qui méritait une gifle. D’ailleurs sans m’en rendre compte j’étais revenu à portée de tir, en me penchant en avant en faisant ma grimace.
Assis à la table, je fis une grimace montrant qu’elle devait très certainement se planter. Les bras devant, comme pour clamer mon innocence, je me tournais whisky à la main vers la parc ou dormait ma filleule. Enfin. C’était pas filleule, mais elle le deviendrait si je l’entraînais suffisamment à m’appeler Parrain à la place de son vrai parrain. C’était qui d’ailleurs ? Voyant son air menaçant, je levais les mains en signe d’impuissance et de capitulation.
« Ok ok… J’avoue tout. Mais tu sais que mis hors contexte ce sort d’attachement c’est bizarre hein. »
Je me reculais pour être certains d’être hors de portée d’une gifle et restait vigilant pour pouvoir esquiver le moindre sortilège avec la vivacité d’une truite. Prudemment, je cherchais par où commencer. Mon addiction évidente aux jeux d’argent ? Le retour de Nott dans ma vie ? Cette rencontre que j’avais fait en la personne de Mira Aslan ? Il y avait trop de truc à dire.
« T’as pas du rater le retour de Nott au Ministère… »
Je l’observais en jouant nerveusement avec mon verre. On s’était brusquement séparé… A cause de cette foutue mission. Du jour au lendemain, ça m’avait un peu détruit. Enfin c’était moins qu’avec Esperanza parce que là… J’avais pas de sentiments… Enfin pas de sentiments… Ca m’avait quand même bien faire ch***. Est-ce que j’en avais ? Le retour avait été aussi brutal que son départ.
« Donc on va dire que c’est un peu compliqué. La revoir tous les jours au Ministère. On s’est expliqué, on est un peu en froid. »
Je relevais la tête vers elle, puis je poursuivais.
« Parallèlement, j’ai rencontré une jeune femme super cool, super séduisante. Le genre de nana qui est un mirage. Je pense qu’elle cache un lourd secret. Genre un passé de Mage noir ou un truc comme ça. Elle a trop de qualité pour pas être irréel ou cacher quelque chose de très grave. Il faudrait qu’on enquête toi et moi ! Elle est iranienne. La famille Aslan tu connais ? »
Je réfléchissais. Portant enfin mon verre à mes lèvres, j’en avais assez dit pour esquiver le sujet principal dont tout le monde voulait me parler : cette foutue addiction aux jeux ! Quoi ? Je m’étais mis des règles et je les respectais ! Pas plus de 4 sorties casinos par semaine et pas plus de l’intégralité de mon salaire hebdomadaire et… je soupirai, constatant ma propre stupidité flagrante.
« Bref et sinon toi la reprise ? Par trop dur ? Paraît que ça a gueuler entre toi, Karma, Ochoa et Clearwater. Qu’est ce que vous êtes cons vous les Brigadiers et les Aurors. Vous faites quasiment le même taff et vous êtes pas fichus de vous entendre correctement ! »
Je fis alors une horrible grimace et je répliquais brusquement.
« Contente ? Je me confis et je m’intéresse à toi ? C’est pas super ça ? » dis-je d’un air sarcastique qui méritait une gifle. D’ailleurs sans m’en rendre compte j’étais revenu à portée de tir, en me penchant en avant en faisant ma grimace.
INFOS
FICHE DE PERSO
Cléophée & Ebenezer - 22 février 2023/après-midi
Je ne relève pas la petite pique qui sort de sa bouche, il part toujours vers les petites piques non blessante quand il se retrouve acculé, c’était déjà comme ça quand je l’ai rencontré pour la première fois à Poudlard, il semblerait que cela n’est pas trop évolué entre temps. Mes mains de part et d’autre de ma tasse, je me réchauffais les mains en attendant la première confession de mon meilleur ami. Il ne fallait pas se leurrer, bien qu’il est été contraint de le faire, parce que je le menace et qu’il sait, que je mettrais à exécution ses menaces. Mais c’était pour son bien, après tout, excepté l’anniversaire de Liam qu’il avait loupé hier et l’énorme cadeau pour Keïra que je ne sais toujours pas comment on va faire pour le faire entrer dans la chambre, c’était pour cela qu’il était venu. Il avait besoin de vider son sac. Il le sait très bien que je ne le jugerais pas, pas de cela entre nous. Alors j’attendais sagement la première amorce.
Je hausse un sourcil face à son commentaire avant de faire un signe négatif avec la tête. Irrécupérable, quand il s’y met. « Arrête de tourner autour du pot ou de détourner l’attention. » Hors contexte, un sort bizarre, non mais n’importe quoi. Je ne veux pas imaginer ce qu’il fait de ses sorts d’attaches la nuit, on ne doit pas avoir la même utilité des sortilèges. Je lève les yeux au plafond avant de croiser les jambes.
La première information venait de tomber et je devais avouer que non, je n’avais pas loupé le retour de cette personne. Après tout @Nótt Tyrfing était la nouvelle cheffe du bureau des aurors. Je n’avais jamais demandé son point de vue à Nott, mais pourquoi l’aurais-je fais ? Eb est mon meilleur ami, il est évident que je crois sa version des faits ? Et imaginons une seconde qu’ils ne soient pas réellement sortis ensemble avant qu’elle ne parte, elle l’avait quand même blessé d’une certaine manière. « Tu aurais pu essayer de passer à autre chose aussi, pendant qu’elle n’était pas là. » Il n’avait jamais vraiment réussi, enchainant plutôt les soirs sans lendemain ou les soirs de beuveries. Je ne puis m’empêcher de faire apparaitre un petit sourire en coin. « Vraiment ? Dis plutôt que tu l’as acculé et accusé de tous les mots de la terre. Si bien qu’elle n’a pas apprécié et ne s’est pas laissé faire ? » C’était bien son genre.
Je porte ma tasse de thé à mes lèvres pour en boire une gorgée avant de la reposé subitement sur la table. Je roule des yeux devant son discours, pourquoi devrait-on forcément enquêter sur une personne qui semble briller à ses yeux ? Il est juste déstabilisé, parce qu’elle est totalement différente de Nott et qu’elle lui plait. « Hum, toute la famille ? Non, juste @Dâriush Aslan, c’est lui qui était là à l’accouchement. » Je vais taire le faite qu’en réalité c’est sa stagiaire qui a effectué l’accouchement, déjà que Samuel n’était pas rassuré, je ne veux pas entendre une nouvelle sorte de réprimande.
Quand il me parle des deux aurors et de ce fameux matin au bureau de la BPM, je me raidis un peu et me renferme un peu. Il ne semblait pas au courant de la venue des aurors à notre bureau et c’était très bien ainsi, il n’avait pas besoin de savoir que le frère de mon défunt premier époux imposé avait décidé de faire chier son monde. « Langue. » déclarais-je tout de même en faisant claquer ma langue contre le palais de ma bouche.
Je bois une nouvelle fois le contenue de ma tasse pour cacher le sourire amusé qui se trouve derrière celle-ci, avant de reposer celle-ci et de reprendre mon sérieux. « Arrête de faire l’enfant. Si tu n’avais pas voulu tu n’aurais rien dit, même sous la torture de chatouille que je t’aurais donnée. Bon, c’est tout ? Tu es sur ? » ajoutais-je en le regardant en plissant les yeux.
Je hausse un sourcil face à son commentaire avant de faire un signe négatif avec la tête. Irrécupérable, quand il s’y met. « Arrête de tourner autour du pot ou de détourner l’attention. » Hors contexte, un sort bizarre, non mais n’importe quoi. Je ne veux pas imaginer ce qu’il fait de ses sorts d’attaches la nuit, on ne doit pas avoir la même utilité des sortilèges. Je lève les yeux au plafond avant de croiser les jambes.
La première information venait de tomber et je devais avouer que non, je n’avais pas loupé le retour de cette personne. Après tout @Nótt Tyrfing était la nouvelle cheffe du bureau des aurors. Je n’avais jamais demandé son point de vue à Nott, mais pourquoi l’aurais-je fais ? Eb est mon meilleur ami, il est évident que je crois sa version des faits ? Et imaginons une seconde qu’ils ne soient pas réellement sortis ensemble avant qu’elle ne parte, elle l’avait quand même blessé d’une certaine manière. « Tu aurais pu essayer de passer à autre chose aussi, pendant qu’elle n’était pas là. » Il n’avait jamais vraiment réussi, enchainant plutôt les soirs sans lendemain ou les soirs de beuveries. Je ne puis m’empêcher de faire apparaitre un petit sourire en coin. « Vraiment ? Dis plutôt que tu l’as acculé et accusé de tous les mots de la terre. Si bien qu’elle n’a pas apprécié et ne s’est pas laissé faire ? » C’était bien son genre.
Je porte ma tasse de thé à mes lèvres pour en boire une gorgée avant de la reposé subitement sur la table. Je roule des yeux devant son discours, pourquoi devrait-on forcément enquêter sur une personne qui semble briller à ses yeux ? Il est juste déstabilisé, parce qu’elle est totalement différente de Nott et qu’elle lui plait. « Hum, toute la famille ? Non, juste @Dâriush Aslan, c’est lui qui était là à l’accouchement. » Je vais taire le faite qu’en réalité c’est sa stagiaire qui a effectué l’accouchement, déjà que Samuel n’était pas rassuré, je ne veux pas entendre une nouvelle sorte de réprimande.
Quand il me parle des deux aurors et de ce fameux matin au bureau de la BPM, je me raidis un peu et me renferme un peu. Il ne semblait pas au courant de la venue des aurors à notre bureau et c’était très bien ainsi, il n’avait pas besoin de savoir que le frère de mon défunt premier époux imposé avait décidé de faire chier son monde. « Langue. » déclarais-je tout de même en faisant claquer ma langue contre le palais de ma bouche.
Je bois une nouvelle fois le contenue de ma tasse pour cacher le sourire amusé qui se trouve derrière celle-ci, avant de reposer celle-ci et de reprendre mon sérieux. « Arrête de faire l’enfant. Si tu n’avais pas voulu tu n’aurais rien dit, même sous la torture de chatouille que je t’aurais donnée. Bon, c’est tout ? Tu es sur ? » ajoutais-je en le regardant en plissant les yeux.
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INFOS
FICHE DE PERSO
Croisant les bras comme un gosse dans le canapé je me mis alors à soupirer bruyamment. Comme ça, « C’est tout ? ». Assez contrarié ; je ne manquais pas le moins du monde de lui faire remarquer que j’étais purement vexé.
« C’est tout ? C’est déjà pas mal et en plus tu l’as défend elle alors que je n’y suis strictement pour rien. C’est moi qui est accepté une mission de plusieurs années à l’étranger sans possibilité de se voir ! C’est pas moi qui est préféré ma vie à notre vie ! C’est pas moi qui... »
Je me rendais compte que j’étais en train d’énumérer tout ce que je reprochais à Nott à Cléo. Pourtant je n’avais pas eu le courage de clairement lui signifier tout ça. Enfin si, je lui avais plus ou moins dit mais… Ca ne pouvait pas passer. Je l’avais encore en travers de la gorge et tout ce qu’elle trouvait à faire c’était la défendre. C’était une meilleure amie en carton !
« Laisse tomber. Oui c’est tout. » dis-je d’un air las et fatigué.
De toute façon j’en avais dit assez sur le sujet. Là où j’étais quand même surpris c’était qu’elle ne cherche pas à en savoir plus sur cette fameuse Aslan. Encore une fois, elle parla de son accouchement et du fait que ca devait être un membre de la famille Aslan qui l’avait accouché. Elle ramenait tout à ça ! Ses enfants ! Et moi j’étais quoi pour elle hein ?
« Très belle esquive en tout cas. Je vois que t’en meurs d’envie d’en parler… C’est quoi cette histoire Cléo ? Au Ministère ? »
Je plissais les yeux. J’étais pas un des Bureaux les plus importants du Ministère, comme aimait à me le rappeler Nott, mais j’avais quand même assez d’influence pour que ce petit incident me soit revenu aux oreilles. Et qu’est ce qu’elle avait là à me parler comme un gosse avec cette histoire de langue ? Quoi langue ? Et pourquoi elle avait claquer de la langue ?
« C’est pas à sens unique et tu le sais. C’est pas parce que tu es Lieutenant de Brigade, Maman de deux enfants que tu dois constamment être forte et paraître ainsi. Avec moi tu peux dire ce que tu veux. Et tu le sais… Faut apprendre à lâcher du leste hein. »
Je soupirais. J’avais remarqué ça, les gens qui devenaient parents avaient tendance à beaucoup moins confier à leurs amis leurs problèmes de manière général. Comme si à côté de leurs progénitures, ils étaient devenu insignifiant.
« C’est tout ? C’est déjà pas mal et en plus tu l’as défend elle alors que je n’y suis strictement pour rien. C’est moi qui est accepté une mission de plusieurs années à l’étranger sans possibilité de se voir ! C’est pas moi qui est préféré ma vie à notre vie ! C’est pas moi qui... »
Je me rendais compte que j’étais en train d’énumérer tout ce que je reprochais à Nott à Cléo. Pourtant je n’avais pas eu le courage de clairement lui signifier tout ça. Enfin si, je lui avais plus ou moins dit mais… Ca ne pouvait pas passer. Je l’avais encore en travers de la gorge et tout ce qu’elle trouvait à faire c’était la défendre. C’était une meilleure amie en carton !
« Laisse tomber. Oui c’est tout. » dis-je d’un air las et fatigué.
De toute façon j’en avais dit assez sur le sujet. Là où j’étais quand même surpris c’était qu’elle ne cherche pas à en savoir plus sur cette fameuse Aslan. Encore une fois, elle parla de son accouchement et du fait que ca devait être un membre de la famille Aslan qui l’avait accouché. Elle ramenait tout à ça ! Ses enfants ! Et moi j’étais quoi pour elle hein ?
« Très belle esquive en tout cas. Je vois que t’en meurs d’envie d’en parler… C’est quoi cette histoire Cléo ? Au Ministère ? »
Je plissais les yeux. J’étais pas un des Bureaux les plus importants du Ministère, comme aimait à me le rappeler Nott, mais j’avais quand même assez d’influence pour que ce petit incident me soit revenu aux oreilles. Et qu’est ce qu’elle avait là à me parler comme un gosse avec cette histoire de langue ? Quoi langue ? Et pourquoi elle avait claquer de la langue ?
« C’est pas à sens unique et tu le sais. C’est pas parce que tu es Lieutenant de Brigade, Maman de deux enfants que tu dois constamment être forte et paraître ainsi. Avec moi tu peux dire ce que tu veux. Et tu le sais… Faut apprendre à lâcher du leste hein. »
Je soupirais. J’avais remarqué ça, les gens qui devenaient parents avaient tendance à beaucoup moins confier à leurs amis leurs problèmes de manière général. Comme si à côté de leurs progénitures, ils étaient devenu insignifiant.
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