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Ce qui peut briser le coeur peut aussi le guérir
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FICHE DE PERSO
@Amy Jordan m’avait brisé le cœur enfin plutôt devrais, je dire @Artémisia MacKintosh . La rumeur qui circulait entre elle et Tristan m’avait été confirmé sans le vouloir par Amy. Conforté par sa lettre, je m’étais bercé d’illusion entretenant un amour toujours plus intense. Soudainement privée de sa lumière et de tout espoir, j’abandonnais tout rêve me concernant allant jusqu’à quitter Poudlard. Je n’avais même pas pris le temps de parler à ma sœur avant de partir alors que je lui racontait tout en temps normal.
Tous les efforts des fantômes qui m’avaient vu grandir et c’était même occuper de mon éducation pour certain, n’avaient eu aucun effet. Je ne réagissais même pas quand Sir Gilbert venait me titiller de la point de son fleuret fantomatique. Je n’avais goût à rien. Privé de sa beauté, tout me semblait fade, inssipide, même la nourriture. Seules les menaces de Curly notre vieil elfe de maison libre qui était resté par loyauté malgré le fait qu’on ne pouvait plus le payer arrivait à me faire avaler sans aucun plaisir quelque bouchée.
J’errais sans but dans le parc mal entretenu par faute de temps et de moyen. Le vague à l’âme, je regardais l’horizon d’un air absent. Assis sur une souche, je ne prêtais même pas attention à cette fine pluie glaciale de cette fin d’hivers pénétrant mes vêtements. Une profonde tristesse était gravée sur mon visage pourtant, aucune larme ne coulait. J’avais hérité d’une petite partie de la fierté qui caractérise mon père.
Mon paternel était une fois de plus absent. Je n'en étais pas surpris, mais pour une fois ça m’arrangeais. Sans que je ne le sache, Curly avait chargé ma chouette Owly d’un étrange message pour mes cousins @Nathanael E. Pierce et @Ethan A. Pierce : Sur un papier froissé les quelque griffonné à la hâte semblait urgent : Le jeune maître a quitté Poudlard. Monsieur d’Avalon est absent. Je ne sais plus quoi faire. Curly.
Prêt à les accueillir, le vielle elfe les attendais avec mon carnet. Moi qui d’ordinaire prenais grand soin de mon livret, je ne prenais même plus la peine de le prendre avec moi n’écrivant ni ne causant à qui que ce soit. Chose plus rare encore les poèmes était raturé n’importe comment jurant nettement avec l’écriture fine que j’avais. Il y avait même une page que j’avais déchirée dans un élan de désespoir. Elle contenait toutes mes inspirations pour la prochaine lettre que j’aurais dû lui envoyer. Par ici ! par ici ! pressat il mes cousin en leurs ouvrant la porte. Montrant le chemin il continuat: Le jeune maitre est dans les jardins.
Tous les efforts des fantômes qui m’avaient vu grandir et c’était même occuper de mon éducation pour certain, n’avaient eu aucun effet. Je ne réagissais même pas quand Sir Gilbert venait me titiller de la point de son fleuret fantomatique. Je n’avais goût à rien. Privé de sa beauté, tout me semblait fade, inssipide, même la nourriture. Seules les menaces de Curly notre vieil elfe de maison libre qui était resté par loyauté malgré le fait qu’on ne pouvait plus le payer arrivait à me faire avaler sans aucun plaisir quelque bouchée.
J’errais sans but dans le parc mal entretenu par faute de temps et de moyen. Le vague à l’âme, je regardais l’horizon d’un air absent. Assis sur une souche, je ne prêtais même pas attention à cette fine pluie glaciale de cette fin d’hivers pénétrant mes vêtements. Une profonde tristesse était gravée sur mon visage pourtant, aucune larme ne coulait. J’avais hérité d’une petite partie de la fierté qui caractérise mon père.
Mon paternel était une fois de plus absent. Je n'en étais pas surpris, mais pour une fois ça m’arrangeais. Sans que je ne le sache, Curly avait chargé ma chouette Owly d’un étrange message pour mes cousins @Nathanael E. Pierce et @Ethan A. Pierce : Sur un papier froissé les quelque griffonné à la hâte semblait urgent : Le jeune maître a quitté Poudlard. Monsieur d’Avalon est absent. Je ne sais plus quoi faire. Curly.
Prêt à les accueillir, le vielle elfe les attendais avec mon carnet. Moi qui d’ordinaire prenais grand soin de mon livret, je ne prenais même plus la peine de le prendre avec moi n’écrivant ni ne causant à qui que ce soit. Chose plus rare encore les poèmes était raturé n’importe comment jurant nettement avec l’écriture fine que j’avais. Il y avait même une page que j’avais déchirée dans un élan de désespoir. Elle contenait toutes mes inspirations pour la prochaine lettre que j’aurais dû lui envoyer. Par ici ! par ici ! pressat il mes cousin en leurs ouvrant la porte. Montrant le chemin il continuat: Le jeune maitre est dans les jardins.
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Ce qui peut briser le cœur peut aussi le guérir Antor & Nathanael & Ethan « No matter how bad your heart is broken, the world doesn’t stop for your grief. » Faraaz Kazi Pendant longtemps, le cercle familial du Pierce ne s'était limité qu'à trois personnes. Abi, Zach et Ethan. Sa fratrie, son sang, son univers et cela lui convenait amplement. Chacun était parti dans une direction différente mais, au final, ils étaient tous aussi soudés qu'avant, même deux décennies plus tard. Cependant, à cause du contrôle que son père avait sur leur vie, Nathanael n'avait pas eu assez d'occasions de connaître le reste de sa famille étendue, surtout du côté de sa mère, car la famille de son père était restée en Amérique. A l'époque cela ne dérangeait pas l'aîné Pierce, lui qui était trop occupé à jouer le rôle de père à la place de celui qui devait l'être mais aujourd'hui, maintenant qu'il avait plus de temps pour lui, il regrettait de ne pas avoir pris assez de temps, jadis. Il ne les connaissait pas assez, pas aussi bien qu'il le voudrait, mais il espérait qu'il n'était pas trop tard pour changer le tir. Il savait qu''il ne serait jamais aussi proche de sa famille étendue qu'il pouvait l'être de @Ethan A. Pierce , par exemple, mais son devoir de protecteur, de père de substitution le poussait à essayer, malgré tout. Il y pensait souvent, plus souvent qu'il ne voulait bien l'admettre et, quand le courrier arriva, quand il apprit la disparition de @Antor William d'Avalon, son cher cousin, l'aîné prit immédiatement contact avec Ethan, pour qu'ils allaient tous deux trouver des réponses. Ce fut donc élégant, vêtu de son costume gris taillé sur mesure, que le jeune homme pénétra, avec son frère, dans la demeure de cette famille qui n'était pas totalement la sienne. Antor était loyal, poli et courtois comme Nathanael pouvait l'être, mais la vie lui avait donné de bien mauvaises cartes. Le médicomage était pleinement conscient de l'affliction de son cousin, mais c'était comme membre de la famille qu'il venait aujourd'hui, pas comme professionnel de la santé. Ainsi, la démarche droite et digne, réajustant le nœud de sa cravate noire, l'homme capta bientôt la présence de l'elfe de maison, hochant la tête face à ses indications, répondant : « Merci de nous avoir prévenus, Curly. Nous prenons le relais, maintenant. » Pourquoi se cachait-il dans le jardin ? S'était-il passé quelque chose de grave, à l'école, ou agissait-il comme un garçon typique de son âge ? Ils ne manqueraient pas de l'apprendre. L'elfe de maison tendit alors un carnet à Nathanael, et il ne fallut pas longtemps à l'homme pour comprendre qu'il s'agissait de celui de son cousin. D'autres hommes, plus curieux, n'auraient pas hésité à l'ouvrir, pour en décortiquer les moindres secret, mais Nathanael n'était pas ainsi. Il était respectueux, il gardé donc le carnet fermé, alors que le duo se dirigeait vers les jardins. En chemin, sur un ton plus léger, il lança à son frère : « Si cela ne te dérange pas, cher frère, je vais m'occuper d'ouvrir le dialogue, quand nous l'aurons retrouvé. Quoi qu'il puisse se passer, cela va demander un peu de...finesse. » Ethan était franc et direct, son frère aimait beaucoup cela chez lui, mais il savait que ce n'était pas du goût de tout le monde. Antor était plus délicat, pour sensible, plus fragile que les deux hommes ne pouvaient l'être. En même temps n'avaent-ils pas de bonnes raisons de l'être ? Le carnet toujours dans une main, l'autre main dans sa poche, l'homme fringant s'avança dans les jardins, balayant le lieu de son regard pour en apprécier la beauté, un instant, avant de lancer à haute et intelligible voix : « Antor ? Tes cousins préférés sont là. Peux-tu sortir de ta cachette, s'il te plaît ? » Il n'était pas le plus grand des fans du jeu du chat et de la souris, mais il n'était pas brusque. Si son cousin se cachait ici, il devait avoir une très bonne raison. Nath espérait simplement qu'il puisse l'aider. Car sinon, à quoi bon pouvait-il servir ? NE |
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Ce qui peut briser le cœur peut aussi le guérir
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Après les avoir accompagnés jusqu’à la porte menant au jardin, Curly s’en retourna à ses biens trop nombreuses occupation pour un seul elfe de maison. Sans sa loyauté et ses services, la maison ne serait certainement plus qu’une ruine actuellement. Et malgré cette surcharge de travail, il ne voulait pas abandonner la maison qui l’avait vu naître, prétextant qu’il était de toute façon trop vieux pour retrouver un nouveau maître.
La fine bruine s’accrochait partout détrempant méthodiquement toutes surfaces au grès des bourrasques de vent. Assis sous un arbre dégarnit de sa parure d’été, perdu dans de sombre pensée, j’écoutais passer le temps, rythmé par le bruit de gouttes s’écrasant autour de moi. Il ne manquait qu’un rayon de soleil pour illuminer les arbres dénudé de feuillage, de milliers de diamants chatoyants accrochés à leurs branches avant que ces derniers ne disparaissent sublimés par cet astre coupable de temps de beauté. Je n’avais pas besoin d’un tel spectacle pour trouver l’inspiration d’écrire de nouveau vers et rimes, mais l’âme ni était pas.
Une voix familière vint troubler ma retraite. J’avais ordonné à Curly de ne pas contacter Père pour avoir un peu de temps pour réfléchir avant qu’il ne revienne. J’aurais dû me douter qu’il allait trouver un moyen pour contourner cet ordre. Je soupirais contrarier par la présence de mes cousins en ces lieux. Je ne me cachais pas, ce n’était nullement mon intention. On m’avait toujours apprit à assumer erreur et bêtise quoi qu’il en coûte. Je n’allais pas commencer à fuir mes responsabilités et à me comporter comme un vulgaire enfant moldu. Je soupirais une fois de plus avant d’élever la voix : I_Ici.
L’herbe et la mousse envahissant le chemin de pierre torturé par des années de négligences ne suffisaient pas à étouffer le bruit de leurs pas se rapprochant. L’écho de leurs semelles assourdit sur les pavés me paraissaient presque menaçant. Le regard dans le vague, j’en oubliais même ma politesse, ne me levant pas pour accueillir mes aînés apparaissaient au détour du chemin. J’en allais même jusqu’à montrer ma désapprobation en soupirant une fois en soupirant une fois encore à leur vue.
La fine bruine s’accrochait partout détrempant méthodiquement toutes surfaces au grès des bourrasques de vent. Assis sous un arbre dégarnit de sa parure d’été, perdu dans de sombre pensée, j’écoutais passer le temps, rythmé par le bruit de gouttes s’écrasant autour de moi. Il ne manquait qu’un rayon de soleil pour illuminer les arbres dénudé de feuillage, de milliers de diamants chatoyants accrochés à leurs branches avant que ces derniers ne disparaissent sublimés par cet astre coupable de temps de beauté. Je n’avais pas besoin d’un tel spectacle pour trouver l’inspiration d’écrire de nouveau vers et rimes, mais l’âme ni était pas.
Une voix familière vint troubler ma retraite. J’avais ordonné à Curly de ne pas contacter Père pour avoir un peu de temps pour réfléchir avant qu’il ne revienne. J’aurais dû me douter qu’il allait trouver un moyen pour contourner cet ordre. Je soupirais contrarier par la présence de mes cousins en ces lieux. Je ne me cachais pas, ce n’était nullement mon intention. On m’avait toujours apprit à assumer erreur et bêtise quoi qu’il en coûte. Je n’allais pas commencer à fuir mes responsabilités et à me comporter comme un vulgaire enfant moldu. Je soupirais une fois de plus avant d’élever la voix : I_Ici.
L’herbe et la mousse envahissant le chemin de pierre torturé par des années de négligences ne suffisaient pas à étouffer le bruit de leurs pas se rapprochant. L’écho de leurs semelles assourdit sur les pavés me paraissaient presque menaçant. Le regard dans le vague, j’en oubliais même ma politesse, ne me levant pas pour accueillir mes aînés apparaissaient au détour du chemin. J’en allais même jusqu’à montrer ma désapprobation en soupirant une fois en soupirant une fois encore à leur vue.
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Ce qui peut briser le cœur peut aussi le guérir Antor & Nathanael & Ethan « No matter how bad your heart is broken, the world doesn’t stop for your grief. » Faraaz Kazi Son travail l'obligeait à être curieux pour poser les bonnes questions. C'était ainsi, il ne pouvait rien y faire. Sans les bonnes questions il n'aurait pas toutes les informations et, sans celles-ci, impossible d'établir un diagnostic complet pour son patient. Malheureusement, déformation professionnelle oblige, Nathanael avait tendance à étendre cette habitude dans chaque aspect de sa vie, même s'il faisait de son possible pour l'éviter...quand il le pouvait, en tout cas. En d'autres circonstances il aurait parcouru chaque page du carnet pour avoir le schéma global, pour tout savoir avant de débuter une conversation dont il ne savait rien. Mais il ne s'agissait pas de son patient, ou d'un inconnu qu'il croiserait dans la rue. Il s'agissait de sa famille, de son jeune cousin et cela garantissait à ce dernier un certain respect de sa vie privé. Du côté de Nathan, en tout cas, car Ethan ne s'était pas embarrassé d'une telle moralité, feuilletant le carnet sans la moindre hésitation. Au moins lui il saurait, pour les deux. C'était le principal. L'ambiance dans le jardin était calme et grise, à l'image de cette journée. Nathanael resta là, un moment, à profiter de la sombre beauté de cet endroit jusqu'à ce que, enfin, la voix de son cousin ne se fasse entendre, un peu plus loin. Retenant un soupir, tournant sa tête pour lancer un regard entendu à son frère, le médicomage se dirigea donc vers la voix pour trouver son jeune cousin, là, prostré, le regard perdu dans ses pensées. Nathan resta là, à l'observer un moment, à l'entendre soupirer, avant de briser à nouveau le silence d'un : « Alors ? Tu veux nous dire ce qu'il se passe ? » Nathan n'était pas doué pour remonter le moral des gens, ou pour faire des blagues. Il laissait ce trait là à son frère. L'aîné des Pierce, lui, était un apporteur de solution. Mais pour résoudre un problème, encore fallait-il le connaître. Ainsi, d'une démarche lente, il s'approcha de son cousin, Ethan toujours dans son sillage, en restant tout de même à bonne distance du jeune malheureux. Ils n'étaient pas aussi proches que cela, pas autant que Nathanael et Ethan, en tout cas, mais cela n'empêchait pas les cousins d'être présents, pour autant. « Dure journée, n'est-ce pas ? » NE |
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