:: RPS Archivés
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❝ Let's slide into trouble ❪ Queenie ❫
INFOS
FICHE DE PERSO
Trouble is like a warm bath
Serres de Botanique
Serein et calme, pour le plus grand plaisir du jeune Haoran, Poudlard s'était lentement, mais surement paré de son linceul nocturne, berçant les âmes estudiantines de son manteau hospitalier et s'offrant par la même la stase d'un silence-réconfort. À la lueur d'un foyer timide, avachi dans l'un des sofas de la salle commune des rouges et or, choyé d'un crépitement aux allures de feux d'artifices mouillés, à l'instar de ses camarades, Hao émergeait des limbes songeuses. Secouant sa tignasse de cendres, le regard fureteur de l'Asiatique s'enquit de constater le caractère solitaire de son naufrage, une mine sérieuse craquelant ses traits d'ordinaire si joviaux. L'espiègle coquin s'étira de tout son long avant de bondir tel un botruc de sa branche. Un sourire malin agitant le bout de ses lèvres fiévreuses, le lionceau engoncé de ses atours hivernaux et d'une paire de gants en cuir résistant, l'étui de sa gratte jeté à la hâte par-dessus son épaule s'extirpa de la tour des Gryffondor sous les huées dramatiques d'une Grosse Dame contrariée de se voir réveiller en pleine sieste.
Avançant à tâtons dans l'obscurité, réajustant de temps à autre la housse de son instrument fétiche, le cracmol-en-devenir se fraya un chemin au sein de la bâtisse, esquivant de justesse les mesquineries de l'esprit frappeur et les rondes des préfets. Les doigts effleurant les pans de murs tièdes, l'écho de ses pas se mêlaient à la cadence euphorique d'un cénacle quiet. À la nuit tombée, le tableau dressé par le château recelait de trésors olfactifs inattendus, du spectacle d'ombres versés à la faveur des éclats lunaires ou bien de l'harmonie des chants des portraits ronflants en un accord d'opéra, le fils du Ciel trouvait en chacune de ces singularités sorgues, une mélodie séraphique et apaisante, bien loin des tumultes d'une magie névrosée. Se laissant guidé par les caprices du grand escalier, le sang-mêlé prit finalement congé de la pétulance chatelaine pour se baigner d'un froid copieux à la fermeture du battant principal.
Piétinant le règlement, la silhouette du Lion errait entre le septuaire de serres désespérément plus sinistre et intimidant sous la pluie sélène. Le frisson de l'excitation soufflant d'une bise assassine sur l'à-pic de ses lombaires, le Shen se cramponna à la porte de l'orangerie, les prémices d'une grimace griffant sa lippe. La naïveté de l'espoir, l'imbécilité à espérer pouvoir s'introduire sans gêne dans l'enclos du danger, face à lui, sujet à un sortilège dont il ne pourrait se défaire sans faire appel à l'ennemi d'une vie, le verrou lui faisait face, le narguait avec insolence. Les méninges en ébullition, comme toujours lorsqu'il s'agissait de se frotter l'arrière-train des règles en vigueur, le gamin d'Orient posa sa caisse vide contre la verrière afin de s'enfermer d'un cent-pas réfléchit, ses doigts conspuant sur la boiserie d'un sylve inoffensif.
Chassant la terre gelée, ses talons se rompirent au sprint d'un éclair de génie et ainsi slalomant entre des obstacles invisible, Hao fonça tête baissée dans le précaire clair-obscur. Haletant, mais revigoré par l'effort, un pot en argile fermement agrippé, le sorcier revint là où il avait laisser ses plans éclore. L'avant-bras levé et prêt à fondre sur la fragile poignée, le bruissement du gel le poussa à avorter toute tentative. L'arme du crime plaqué contre son dos et les paupières plissées, le trouble-fait s'avança vers la source de son dérangement. Pour regret, se profilant à même le nébuleux givre, les formes féminines d'une jeune demoiselle perçait le filtre brumeux de sa blondeur. « Héhé, alors... Je sais ce que tu pense, mais c'est absolument pas ce que tu crois, vraiment ! » Prit sur le fait, nul n'aurait put se méprendre sur les intentions d'un type en plein méfait. D'un raclement de gorge, le rouge bazarda la céramique avec la discrétion du verre brisé. Les iris cloués à la voute céleste et maudissant le Karma de lui avoir donner pareille chance, le gosse chassa une mèche rebelle de son front, embarras d'un instant critique.
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Joueur.se de Quidditch pour Gryffondor
Vous êtes joueur.se de Quidditch pour Gryffondor
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INFOS
Messages : 2686
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Âge : 21
Sang : Sang-mêlée
Profession : 2ième année
Côté Cœur : Amoureuse (Milo)
Multis : Zahra Jekyll ; Solenn Pendragon ; Jehánn Cynfeirdd
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
Maturité Magique (MM):
(19/50)
Education Magique (EM):
(40/100)
Potentiel Magique (PM):
(45/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(35/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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Let's slide into trouble
@Shen Haoran (27.02.23)
L’astronomie, ce n’est franchement pas ta passion. Le ciel nocturne est joli et savoir se repérer grâce aux étoiles, c’est sympa. Mais en dehors de ça, tu n’y prêtes pas grand intérêt. Surtout qu’il ne se ressemble jamais d’un jour à l’autre. La lune ne t’inspire aucune envolée lyrique et tu penses honnêtement que tu ne prêteras plus jamais autant attention à ce qu’il se passe dans la sphère céleste une fois tes études terminées. Alors pourquoi donc t’es-tu attardée après le cours en sortant de la tour plutôt que de te rendre dans la salle commune de Gryffondor puis directement dans ton dortoir ? Comme tu le fais toujours. Parce que tu as aperçu une silhouette dans la nuit près des serres. À quel moment as-tu pensé qu’il s’agissait d’une bonne idée d’aller voir seule ce qu’il s’y passe ? Ne t’es-tu pas promis de rester dans la lumière avec une personne de confiance quoiqu’il arrive, pour justement éviter de reproduire le même schéma que cet été ? N’as-tu pas suffisamment de traumatisme à ton actif pour en plus de ça partir à l’aventure de nuit ? Seule. Qu’as-tu donc à l’intérieur de ta tête Queenie ?! Une curiosité démesurée et un sens de l’auto-préservation nul. Puis la forme de la silhouette te semble vaguement familière. Comme si ça justifiait tout. Au pire, tu rebrousses juste ton chemin. Si la situation dérape, ta baguette se trouve dans ta poche, à portée de main et sur ta langue, le sort d’expulsion que tu as appris à maîtriser cette année. Tu ne risques rien. Il est doux de se bercer d’illusions. Pathétique.
Arrivée à destination, ta discrétion te fait défaut et la silhouette se retourne pour te faire face. Foutu sol qui n’est pas capable de se faire ton allié. Tu n’as pas saisi ta baguette. Tu n’en as pas besoin, le fauteur de troubles parle le premier.
Pas ce que tu crois ? Il n’y a pas plus cramé qu’un type qui cherche à s’introduire dans une pièce fermée à clé. À coup de magie. Les deux. Sauf que généralement la pièce en question ne ressemble pas aux serres de botanique. Tu ne vois pas trop ce qu’il pourrait y avoir d’intéressant dans cette salle de classe bien spécifique. Encore que, un endroit tranquille avec vue sur l’infinité stellaire présente un attrait certain non négligeable. Surtout pour un rencard. Et les plantes, c’est cool. Ce qui n’a pas l’air d’être le cas du jeune homme pris en flagrant délit de tentative de braquage. À moins qu’il n’ait balancé la pauvre demoiselle damoiseau ? dans un buisson environnant. Ce que tu ne lui souhaites pas vu le froid polaire et humide de la soirée. De la nuit, vu l’heure.
Tu sursautes légèrement au bruit de pot cassé. Jetant un œil à ton camarade gryffondor que tu as eu le temps de reconnaître à la voix, et de confirmer avec la lumière que vous prodigue le premier quartier lunaire. « Je pense actuellement que la discrétion voudrait que tu ramasses les morceaux pour n’en laisser aucune trace. » Viens-tu de te faire complice d’un délit ? Oui. Totalement. Éprouves-tu un quelconque regret ou sentiment d’inconfort ? Aucun. Pensée que tu regretteras sûrement plus tard. « Et je pense aussi qu’il fait un froid de canard. » Enroulée dans ton écharpe en laine, indiquant d’un geste vague de ta main non gantée et passablement gelée les environs, tu le questionnes enfin. « Que fais-tu Haoran ? » Le ton n’accuse personne, la curiosité domine. Tu viens involontairement de troquer la chaleur de tes couvertures contre le froid de l’aventure. Un frisson te parcourt le dos. Froid ou adrénaline ? Le sang qui pulse dans tes veines crie gryffondor. Définitivement, trop téméraire pour ta propre survie.
When the night is falling
And the wild heart beating
Dancing thru the heat and dark
The devil will getcha
Coming to you
And the wild heart beating
Dancing thru the heat and dark
The devil will getcha
Coming to you
Arrivée à destination, ta discrétion te fait défaut et la silhouette se retourne pour te faire face. Foutu sol qui n’est pas capable de se faire ton allié. Tu n’as pas saisi ta baguette. Tu n’en as pas besoin, le fauteur de troubles parle le premier.
Pas ce que tu crois ? Il n’y a pas plus cramé qu’un type qui cherche à s’introduire dans une pièce fermée à clé. À coup de magie. Les deux. Sauf que généralement la pièce en question ne ressemble pas aux serres de botanique. Tu ne vois pas trop ce qu’il pourrait y avoir d’intéressant dans cette salle de classe bien spécifique. Encore que, un endroit tranquille avec vue sur l’infinité stellaire présente un attrait certain non négligeable. Surtout pour un rencard. Et les plantes, c’est cool. Ce qui n’a pas l’air d’être le cas du jeune homme pris en flagrant délit de tentative de braquage. À moins qu’il n’ait balancé la pauvre demoiselle damoiseau ? dans un buisson environnant. Ce que tu ne lui souhaites pas vu le froid polaire et humide de la soirée. De la nuit, vu l’heure.
Tu sursautes légèrement au bruit de pot cassé. Jetant un œil à ton camarade gryffondor que tu as eu le temps de reconnaître à la voix, et de confirmer avec la lumière que vous prodigue le premier quartier lunaire. « Je pense actuellement que la discrétion voudrait que tu ramasses les morceaux pour n’en laisser aucune trace. » Viens-tu de te faire complice d’un délit ? Oui. Totalement. Éprouves-tu un quelconque regret ou sentiment d’inconfort ? Aucun. Pensée que tu regretteras sûrement plus tard. « Et je pense aussi qu’il fait un froid de canard. » Enroulée dans ton écharpe en laine, indiquant d’un geste vague de ta main non gantée et passablement gelée les environs, tu le questionnes enfin. « Que fais-tu Haoran ? » Le ton n’accuse personne, la curiosité domine. Tu viens involontairement de troquer la chaleur de tes couvertures contre le froid de l’aventure. Un frisson te parcourt le dos. Froid ou adrénaline ? Le sang qui pulse dans tes veines crie gryffondor. Définitivement, trop téméraire pour ta propre survie.
I SEE A RED DOOR AND I WANT IT PAINTED BLACK
No colors anymore I want them to turn black
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Serres de Botanique
Les iris roulant dans leur orbite, l'apprenti braqueur secoua légèrement la tête comme pour se défaire de cette poisse qui lui collait si bien au teint. Pris en flagrance, un être averti n'aurait guère cherché à se trouver d'excuses ou à jurer de son innocence. Dégoulinant d'une naïveté à toute épreuves, Hao n'était point de ceux-là, toujours à vouloir se dépêtrer des ennuis dans lesquels il glissait malgré lui, il comptait définitivement sur ses médiocres talents de malin-coquin pour se sortir de cette mauvaise passe. Ainsi, un sourire irradia son visage, soupçon de culpabilité mêlé d'une pincée d'embarras. D'un pas rassuré par l'identité de la fouineuse, il s'approcha tel un fantôme dans la nuit, sans un bruit, un regard désolé pour ce pauvre pot qu'un simple sortilège de reparo viendrait à lui pardonner l'offense d'un vol solitaire. Une foulée après l'autre, le voilà désormais que la contempla sous les filets lunaires, son visage balafré des ombres nocturnes. « Tu ne vas pas me croire, mais j'ai oublié ma baguette dans la serre et je comptais la récupérer, sauf que je me suis endormi... » Un index ganté fauchant sa tempe, le piètre mensonge n'aurait fait mouche qu'auprès d'un écervelé de chez Serpentard et encore aurait-il fallut au lion de tomber sur la plus troll des vipères.
D'un soupir nasal, lui-même n'arrivait pas à digérer l'insignifiante fabulation, butant sur le superficiel de sa situation et le comique d'une guigne éternelle, le Shen se surprit d'un éclat cristallin, écho d'un malaise patent et enracinant sa carcasse sur le sentier de l'orangerie. Sa lippe fiévreuse fauchée d'une incisive maladroite, le chinois souffla de tout son soûl, la brume de son agacement dessinant une frontière illusoire entre les deux rouges. « T'y crois pas non plus hein ? » À raison, son murmure creva d'un silence moribond, en l'absence des frasques nuiteuses du château, l'impression d'une voix portante lui arracha un frisson d'horreur. Les paumes bien en évidence, le sang-mêlé rompit la faible distance qui le séparait de la blonde et ôtant une à une ses mitaines de cuir, il tendit les maniques à la frileuse tout en rentrant l'une de ses menottes à l'abri de sa parka. « T'sais, on aurait moins froid à l'intérieur, pas vrai ? » Un nouveau rictus moins aise aborda la commissure de ses lèvres craquelées par le polaire de l'hiver, alors que ses amandes suppliaient Queenie de lui ouvrir les portes de l'Eden.
Battant en retraite, redressant son fin col afin de se protéger de l'hostile brise, le lionceau pointa de l'arête de son nez rougit, le vantail de cette serre dont il ressentait le cruel besoin de pénétrer. « On fait un marché ? Si tu m'offre l'accès aux ch… à l'intérieur, je te dis ce que je compte faire, deal ? » Attiser la curiosité de sa camarade, l'Asiatique misait ses dernières noises sur l'esprit vif de la lionne afin de gagner sa confiance et en faire sa complice, d'une pierre deux coups, le gamin du Ciel n'était pas dupe et l'avoir comme partenaire de crime débauchait sur le grandiose d'un méfait à venir. Désormais accoudé contre la verrière, transit par le froid, l'ivoire de ses dents se mit à jouer des claquettes tandis que son teint d'Orient se peignait d'une essence de géranium. Les talons grattant la pelouse sclérosée, l'impatience guettait l'imprudent et à tout moment un tiers intervenant pouvait les interrompre en plein complot. Soutenant son regard, le prédisposé aux nuisances se fit un brin plus pressant, incapable de contenir la pétulance de cette adrénaline fouettant son carmin.
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Let's slide into trouble
@Shen Haoran (27.02.23)
Tu le regardes approcher, constatant le silence de ses pas. Une démarche que tu jalouses presque. Tu devrais peut-être lui demander s’il utilise un sortilège pour assourdir le tout. Voilà qui te donne des idées.
Tout en l’écoutant, tu lui donnes silencieusement raison. Tu ne vas effectivement pas le croire. Ton expression semble criante de vérité sur le sujet. Sourcils haussés et moue dubitative sur tes lèvres. Il n’y a pas plus explicite. Tu pourrais le prendre pour un fou. Sauf que tu connais le rire gêné de celui pris sur le fait d’une connerie monumentale. Tu t’abstiens donc de juger. De peu.
Au moins, ton camarade possède l’intelligence de s’en rendre compte tout seul. « Pas le moins du monde. » Tu ne retiens pas la parole qui suit. « Je peux même pas faire semblant parce que le professeur @Jameson Clearwater t’aurait ouvert sans problème pour ça. » Avec une moquerie plus ou moins cinglante selon le degré d’appréciation pour l’élève en question. Mais il l’aurait fait. Pour toi, tu n’en doutes pas. « Il va falloir trouver mieux. » Et tu souris cette fois. Parce que des idées et excuses loufoques, tu en as à la pelle depuis ta dernière conversation avec @Eynaelle Sanderson.
Son prochain mouvement te surprend. Tu fixes bêtement les mitaines de cuir qu’il te tend. Ne sachant qu’en faire sur le moment. Tu te décides néanmoins rapidement à les saisir, comprenant qu’il ne s’agit que d’un acte bienveillant. Probablement en réponse à ta pensée lâchée innocemment.
Bravo Einstein. Pourtant la morsure du froid t’indiffère lorsque tu pratiques le quidditch. Tu te demandes cependant pourquoi il n’entre pas. Aurait-il des problèmes avec le sortilège d’ouverture Alohomora ? Tu as vaguement un souvenir du cours magistral de métamorphose du début du mois où ton camarade ne semblait guère plus passionné que toi. Mais tu ne partages pas vraiment de cours avec lui au final. Donc tu ne sais pas franchement quelle est son affinité avec la magie. Tu ne le devines pas non plus. Tu vas donc t’abstenir de tout jugement. Il peut tout aussi bien avoir des problèmes de baguettes. Ça arrive. Même aux meilleurs.
Tu l’entends se reprendre dans sa proposition. C’est dommage, il a failli se vendre tout seul. Tu n’imagines pas un instant que ce soit volontaire. Fourbe, rusé. Serpentard. Tu le laisses malgré tout mariner. Prenant le temps d’enfiler ces gants tout chaud qui ne t’appartiennent pas. Tu te montrerais stupide de n’en point profiter. Surtout pour une question de fierté mal placée. Puis ton amoureux n’a aucune raison d’être jaloux de ça.
Tu te décides enfin à lui apporter une réponse. Le St Graal. « Et je te menace si tu ne tiens pas parole. » Tu lui offres un sourire joueur, espiègle. Il te prouve que ton détour n’a finalement rien d’inutile. « Deal. » Tu te saisis de ta baguette qui se trouve dans la manche de la robe de sorcière qui te sert d’uniforme. Tu t’avances, faisant craquer une dernière fois le givre, vers la porte qui vous sépare d’un autre monde. Plus doux, plus éthéré, plus vert accessoirement aussi. Pas la salle commune de serpentard non plus. Tu n’es pas sûre qu’elle corresponde au reste de ta description. D’un geste fluide et avec un sortilège bien articulé, tu ouvres la barrière de verre qui sépare cette partie du reste du monde. Oubliant ce pauvre pot qui n’aura pas droit à sa rédemption. Après tout, il ne fait pas partie de votre deal.
Jetant un coup d'œil à Haoran, tu le précèdes à l’intérieur. Cherchant à réchauffer tes membres inférieurs qui subissent l’injustice de devoir porter une jupe en guise d’uniforme par des températures pareilles. Tu es de mauvaise foi. Tu aurais pu mettre ton pantalon, si tu n’avais pas stupidement oublié le cours d’astronomie de la soirée. « Alors. » Tu ne patienteras pas plus longtemps avant de vouloir la contrepartie de votre arrangement. « Que comptes-tu faire ? » S’il veut distiller des plants de mandragores pour les fumer, tu vas juste repartir et le laisser faire tout seul. Tu ne trempes pas dans ce genre de magouilles.
Tout en l’écoutant, tu lui donnes silencieusement raison. Tu ne vas effectivement pas le croire. Ton expression semble criante de vérité sur le sujet. Sourcils haussés et moue dubitative sur tes lèvres. Il n’y a pas plus explicite. Tu pourrais le prendre pour un fou. Sauf que tu connais le rire gêné de celui pris sur le fait d’une connerie monumentale. Tu t’abstiens donc de juger. De peu.
Au moins, ton camarade possède l’intelligence de s’en rendre compte tout seul. « Pas le moins du monde. » Tu ne retiens pas la parole qui suit. « Je peux même pas faire semblant parce que le professeur @Jameson Clearwater t’aurait ouvert sans problème pour ça. » Avec une moquerie plus ou moins cinglante selon le degré d’appréciation pour l’élève en question. Mais il l’aurait fait. Pour toi, tu n’en doutes pas. « Il va falloir trouver mieux. » Et tu souris cette fois. Parce que des idées et excuses loufoques, tu en as à la pelle depuis ta dernière conversation avec @Eynaelle Sanderson.
Son prochain mouvement te surprend. Tu fixes bêtement les mitaines de cuir qu’il te tend. Ne sachant qu’en faire sur le moment. Tu te décides néanmoins rapidement à les saisir, comprenant qu’il ne s’agit que d’un acte bienveillant. Probablement en réponse à ta pensée lâchée innocemment.
Bravo Einstein. Pourtant la morsure du froid t’indiffère lorsque tu pratiques le quidditch. Tu te demandes cependant pourquoi il n’entre pas. Aurait-il des problèmes avec le sortilège d’ouverture Alohomora ? Tu as vaguement un souvenir du cours magistral de métamorphose du début du mois où ton camarade ne semblait guère plus passionné que toi. Mais tu ne partages pas vraiment de cours avec lui au final. Donc tu ne sais pas franchement quelle est son affinité avec la magie. Tu ne le devines pas non plus. Tu vas donc t’abstenir de tout jugement. Il peut tout aussi bien avoir des problèmes de baguettes. Ça arrive. Même aux meilleurs.
Tu l’entends se reprendre dans sa proposition. C’est dommage, il a failli se vendre tout seul. Tu n’imagines pas un instant que ce soit volontaire. Fourbe, rusé. Serpentard. Tu le laisses malgré tout mariner. Prenant le temps d’enfiler ces gants tout chaud qui ne t’appartiennent pas. Tu te montrerais stupide de n’en point profiter. Surtout pour une question de fierté mal placée. Puis ton amoureux n’a aucune raison d’être jaloux de ça.
Tu te décides enfin à lui apporter une réponse. Le St Graal. « Et je te menace si tu ne tiens pas parole. » Tu lui offres un sourire joueur, espiègle. Il te prouve que ton détour n’a finalement rien d’inutile. « Deal. » Tu te saisis de ta baguette qui se trouve dans la manche de la robe de sorcière qui te sert d’uniforme. Tu t’avances, faisant craquer une dernière fois le givre, vers la porte qui vous sépare d’un autre monde. Plus doux, plus éthéré, plus vert accessoirement aussi. Pas la salle commune de serpentard non plus. Tu n’es pas sûre qu’elle corresponde au reste de ta description. D’un geste fluide et avec un sortilège bien articulé, tu ouvres la barrière de verre qui sépare cette partie du reste du monde. Oubliant ce pauvre pot qui n’aura pas droit à sa rédemption. Après tout, il ne fait pas partie de votre deal.
Jetant un coup d'œil à Haoran, tu le précèdes à l’intérieur. Cherchant à réchauffer tes membres inférieurs qui subissent l’injustice de devoir porter une jupe en guise d’uniforme par des températures pareilles. Tu es de mauvaise foi. Tu aurais pu mettre ton pantalon, si tu n’avais pas stupidement oublié le cours d’astronomie de la soirée. « Alors. » Tu ne patienteras pas plus longtemps avant de vouloir la contrepartie de votre arrangement. « Que comptes-tu faire ? » S’il veut distiller des plants de mandragores pour les fumer, tu vas juste repartir et le laisser faire tout seul. Tu ne trempes pas dans ce genre de magouilles.
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Serres de Botanique
D'instinct, les mains du jeune Shen se joignent à l'ombre d'un dos droit, leur flanc flirtant avec la silhouette fluette de ce sylve si doux et épineux, bois curatif et refusant tout à la fois de se plier à sa volonté. D’une inspiration insipide, les lèvres baisées d’une brise hostile, les commissures de sa bouche se fendille déjà en sourire acide avant que l’élan de son cou ne se soumette à l’inclinaison d’un marché conclu. De ses billes à l’onyx argenté, les éclats sélénites se reflètent sur le miroir d’un regard espiègle balayé par le spectre de cette camarade bienveillante. Dans ce même silence, de cette adresse quiet, l'enfant du ciel pivote, les semelles de ses chaussures voletant sur le givre crissant et broyé sous les foulées de la poursuiveuse dorée. Un bras tendu, le gentleman, sans arrière pensée, mais poussé par la galanterie et la primeur d'une effraction, l'invite à passer la verrière à la pointe de leur maigre équipe. Le froid l'enlace, le glace et le pourchasse jusque dans l'antre du délit. Du bout des doigts, le grincement frappé d'effroi du vitrail les accompagne, avant de se refermer sur leurs talons.
Paume contre paume, le nez caressé de ses pouces, l'asiatique cherche à se réchauffer de la tiède atmosphère du jardin d'Eden. À peine le seuil de l'orangerie franchi, faisant fit de l'empressement de la blonde, tel un niffler en quête de son métal précieux, les amandes du chinois se jettent sur la récompense d'une patience travaillée. En douceur, l'épaule du sang-mêlé vient bousculer la menue tigresse, un rictus amusé fauche ses fossettes, creusant le lit d'une malice naturelle. Pas après pas, son carmin ne fait qu'un tour, ruisselle avec fougue sans se tacher des effluves magiques, de l'adrénaline à l'était pure, une euphorie dans son plus simple appareil. Sa lippe pavant sa jumelle, l'intérieure de sa joue fondit sous l'attaque véhémente de l'ivoire, il jubile. Les iris brillant d'un lustre facétieux, son attention dévorée par ces monstres du pays, d'un geste délicat, le rouge interpella cette complice, après tout une promesse reste une promesse et la lionne avait rempli sa part du contrat. « Approche, ils ne te sauteront pas dessus, le courant d'air leur à grillé le cerveau.» Penché au dessus de céramiques d'où fleurissent le feuillage flétris de ces pousses, le troisième année se targue de son idiotie à venir.
Les bras croisés à l'orée de son épine dorsale, il le contemple se tortiller et bousculer le terreau. Petit être fragile, victime de leur entrée givrante, le bourgeon s'enterre toujours plus profond au creux de son alcôve argileuse. « Des choux mordeurs de Chine, une vraie plaie pour un sorcier peu averti... Crois-moi, mes chevilles s'en souviennent ! » Hao vibre d'une excitation aussi mordante que ces boutons hibernant, tandis que ses malléoles frémissent du souvenir piquant de leur première rencontre. Sa voix ne tarde à trahir la fascination éprouvée à l'égard de cette flore méconnue. La tête légèrement inclinée, le courageux n'a d'yeux que pour lui, ce fugitif timide, oubliant pratiquement la présence de miss Walker. D'un bond enfantin, le gamin de l'Est se tourne vers elle, la toise succinctement. Il ne parviendrait à tromper personne, même avec toute la volonté du monde, ses ambitions joueuses se livraient sans même qu'il n'ait besoin de les verbaliser. « Je comptais en faire entrer clandestinement à la rentrée, mais c'est plus compliqué que des pétards magiques, du coup je me suis dis autant se servir à la source... » Aussi innocent qu'un coupable pouvait l'être, le sorcier venait de vendre la mèche sur ses faits délictueux passé.
D'un raclement de gorge à l'embarras patent, ses phalanges se mêlent à l'ébène de ses mèches rebelles et fougueuses. Relevant le menton, ses mirettes se noient aux creux du marbre aux échos azurés de la Gryffondor. « J'ai tendance à trop en dire quand je m'emballe... Je devrais me taire hum ? » La gêne enfilée, ses joues se peignent des accords pudiques, rougeurs farceuses et capricieuses ne répondant que des élans d'un esprit maladroit. Du bout de sa chaussure, l'effusion de sa confusion éclabousse les bacs, dégouline des boiseries avant d'épouser les fibres des collants de son escorte. Une moue contrit au bout des lèvres, sa mine se crispe et d'une tentative fébrile, le presque-cracmol s'affaire à rediriger la conversation. « Ah oui le plan, hum, j'ai l'intention d'envoyer ces gaillards à la guerre… une fois qu'ils seront arrivé à maturité, d'ici quelques mois, histoire de se venger des serpents de Yule… » Se tordant d'un timbre bidonnant, le lionceau battit en retraite avant de goûter aux foudres guerrières et vengeresses de sa condisciple.
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Âge : 21
Sang : Sang-mêlée
Profession : 2ième année
Côté Cœur : Amoureuse (Milo)
Multis : Zahra Jekyll ; Solenn Pendragon ; Jehánn Cynfeirdd
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
Maturité Magique (MM):
(19/50)
Education Magique (EM):
(40/100)
Potentiel Magique (PM):
(45/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(35/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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Let's slide into trouble
@Shen Haoran (27.02.23)
Tu humes l’amusement et l’espièglerie de ton camarade tel un envoûtant parfum venant troubler tes sens. Citron de préférence. Te laissant contaminer telle la frêle victime de l’hiver qui attrape une grippe moldue. Tu ne sais toujours pas ce que tu fais là présentement. Cependant, tu entrevois la possibilité d’une aventure digne d’un preux chevalier. Ou d’une connerie monumentale, mais les deux te vont. Et ça, plus que tout, ça te fait vibrer. La témérité coule dans tes veines et appelle ton côté aventureux à s’épanouir. Un peu trop au goût de ton frère d’ailleurs. Que Merlin lui vienne en aide, tu ne comptes pas changer pour si peu.
Les mots de Haoran te parviennent fort bien tant tu es concentrée à l’écouter. Le froid semble avoir grillé un autre cerveau que ceux des pousses. Tu vois un ensemble de pots, néanmoins, tu ne distingues pas ce qui s’y trouve. Tu observes juste un monticule de terre bouger avant que les paroles du gryffondor ne te percutent. « Des choux mordeurs ? » Tu éprouves un moment de latence à la suite de ces mots. Un instant qui t’empêche de te moquer de la taille desdites chevilles. Un vague rapport avec du melon et autre pastèque. Tu hausses les épaules. Tu trouveras bien un moment plus propice pour faire de l'humour le cas échéant.
Puis au fur et à mesure des mots de ton camarade, tu vois un plan s'organiser et le potentiel énorme de la fameuse connerie monumentale que tu suspectais plus tôt. Dès l’instant où il y a un approvisionnement quasiment infini à proximité, tu ne vois même pas l’intérêt de tenter de faire entrer clandestinement la marchandise. Bien sûr, voler un professeur, surtout @Amaranth Mapleleaf, ne relève pas d’un acte innocent.
Le raclement de gorge te fait reprendre contact avec la réalité. Tu offres un sourire avant de répondre à la question. « Tu devrais surtout t’estimer chanceux que je ne ressemble en rien à notre chère préfète en chef. » Rien d’élogieux dans le titre d’@Apolline Dunn. Au contraire. Puis tu serais toi-même déçue si tu ne te trouvais pas ici au profit de la gryffondor qui vous sert de caporal. Cependant, tu fronces les sourcils en le voyant prendre une retraite stratégique. Dans quel bourbier es-tu en train de te faire entraîner ? Les sables mouvants brassicaceae à n’en point douter.
Lorsqu’il te détaille enfin le fameux plan pour lequel tu viens de te révéler complice, tu clignes bêtement des yeux. Une guerre. Contre les serpentards. Parce qu’ils ont eu l’audace de s’en prendre à vous cet hiver avec cette farce fort peu amusante. En voilà un qui ne perd pas le nord et qui ne manque pas d’ambition. Tu ris. Laissant éclater cette flamme guerrière en toi. « Oh Merlin oui ! » Tu te rends compte que ça implique de laisser ton frère et tes connaissances tomber au combat. Tu ne mets pas deux secondes avant de calculer que ça en vaut largement la peine. Puis Alvaro n’ayant rien fait pour toi cette fameuse soirée, tu t’arrangeras pour lui laisser déguster le chou. Littéralement. Évidemment, tu vas t’arranger pour garder du dictame à proximité au cas où.
Puis enfin, tu baisses tes yeux, tombant sur tes collants tâchés de terre. Tu fronces à nouveau les sourcils avant de te diriger vers le brun pour lui donner un coup dans le bras. « Fais attention un peu ! » Tu n’as aucun problème avec le fait de te salir. Surtout pour une activité amusante. Comme une bataille de paintball. Mais pas pour aucune raison. « J’ai déjà eu des problèmes avec les elfes de maison pour ma lessive, n’aggrave pas mon cas. » Une sombre histoire d'uniforme de quidditch rétréci. Tu reprends ta baguette pour réparer les dégâts causés d’un récurvite. Un sort que tu maîtrises assez bien en général. « Bon, c’est quoi la suite ? » Parce que présentement, les choux n’ont rien de mordant et sont incapables de mener la moindre bataille. « D’ailleurs, ça met combien de temps pour arriver à maturité ces petites bêtes-là ? » Tu n’as pas encore eu la chance de les étudier en cours.
Les mots de Haoran te parviennent fort bien tant tu es concentrée à l’écouter. Le froid semble avoir grillé un autre cerveau que ceux des pousses. Tu vois un ensemble de pots, néanmoins, tu ne distingues pas ce qui s’y trouve. Tu observes juste un monticule de terre bouger avant que les paroles du gryffondor ne te percutent. « Des choux mordeurs ? » Tu éprouves un moment de latence à la suite de ces mots. Un instant qui t’empêche de te moquer de la taille desdites chevilles. Un vague rapport avec du melon et autre pastèque. Tu hausses les épaules. Tu trouveras bien un moment plus propice pour faire de l'humour le cas échéant.
Puis au fur et à mesure des mots de ton camarade, tu vois un plan s'organiser et le potentiel énorme de la fameuse connerie monumentale que tu suspectais plus tôt. Dès l’instant où il y a un approvisionnement quasiment infini à proximité, tu ne vois même pas l’intérêt de tenter de faire entrer clandestinement la marchandise. Bien sûr, voler un professeur, surtout @Amaranth Mapleleaf, ne relève pas d’un acte innocent.
Le raclement de gorge te fait reprendre contact avec la réalité. Tu offres un sourire avant de répondre à la question. « Tu devrais surtout t’estimer chanceux que je ne ressemble en rien à notre chère préfète en chef. » Rien d’élogieux dans le titre d’@Apolline Dunn. Au contraire. Puis tu serais toi-même déçue si tu ne te trouvais pas ici au profit de la gryffondor qui vous sert de caporal. Cependant, tu fronces les sourcils en le voyant prendre une retraite stratégique. Dans quel bourbier es-tu en train de te faire entraîner ? Les sables mouvants brassicaceae à n’en point douter.
Lorsqu’il te détaille enfin le fameux plan pour lequel tu viens de te révéler complice, tu clignes bêtement des yeux. Une guerre. Contre les serpentards. Parce qu’ils ont eu l’audace de s’en prendre à vous cet hiver avec cette farce fort peu amusante. En voilà un qui ne perd pas le nord et qui ne manque pas d’ambition. Tu ris. Laissant éclater cette flamme guerrière en toi. « Oh Merlin oui ! » Tu te rends compte que ça implique de laisser ton frère et tes connaissances tomber au combat. Tu ne mets pas deux secondes avant de calculer que ça en vaut largement la peine. Puis Alvaro n’ayant rien fait pour toi cette fameuse soirée, tu t’arrangeras pour lui laisser déguster le chou. Littéralement. Évidemment, tu vas t’arranger pour garder du dictame à proximité au cas où.
Puis enfin, tu baisses tes yeux, tombant sur tes collants tâchés de terre. Tu fronces à nouveau les sourcils avant de te diriger vers le brun pour lui donner un coup dans le bras. « Fais attention un peu ! » Tu n’as aucun problème avec le fait de te salir. Surtout pour une activité amusante. Comme une bataille de paintball. Mais pas pour aucune raison. « J’ai déjà eu des problèmes avec les elfes de maison pour ma lessive, n’aggrave pas mon cas. » Une sombre histoire d'uniforme de quidditch rétréci. Tu reprends ta baguette pour réparer les dégâts causés d’un récurvite. Un sort que tu maîtrises assez bien en général. « Bon, c’est quoi la suite ? » Parce que présentement, les choux n’ont rien de mordant et sont incapables de mener la moindre bataille. « D’ailleurs, ça met combien de temps pour arriver à maturité ces petites bêtes-là ? » Tu n’as pas encore eu la chance de les étudier en cours.
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Serres de Botanique
La surprise de Walker eut un faux air de déconvenue, peut-être espérait-elle tout autre chose de la part de son camarade. La joue creusée d'une appréhension patente, le lionceau ne cria guère victoire trop vite, si la demoiselle lui avait ouvert le jardin d'Eden, elle pouvait tout aussi bien battre en retraite et faire capoter les plans d'un chinois bouillonnant d'une indicible espièglerie. Ravalant sa salive, l'attente d'une approbation lui rongeait sang et os, expectativement, les phalanges du diable accrochèrent les pans de sa robe, s'enfermant d'un cirque à l'anxiété maladive. Soutenant son regard avec insistance, l'Asiatique savait que rien ne servait de tirer la flèche d'une conclusion hâtive, le genre humain étant bien plus souvent réticent à se défaire des règles et mœurs en vigueur, crachant ainsi sur l'affranchissement de chaînes aux pouvoirs de baillons. Les secondes se parèrent d'atours aux effluves éternelles et dans le sillage d'amandes inquiètes, Haoran analysa les faits et gestes de la blonde. Les signaux émanant de la jeune femme le laissèrent perplexe, était-elle finalement de ceux préférant l'ordre au chaos ?
Déglutissant à s'en rincer les poumons, le soupir d'un soulagement fendit les lèvres du gamin d'orient à l'explosion d'un optimisme effrayant. Sursautant à l'enclenchement d'une euphorie foudroyante, le Shen se vit en partie rassuré de s'être octroyé le soutien de la lionne. La sincérité d'un rire, l'authenticité d'un chant guerrier la reliant à la cause du malin scellèrent un accord tacite entre ces deux âmes hissant déjà haut les couleurs de l'affrontement. Si la satisfaction d'avoir convaincue se volatilisa au profit d'une prompte bévue, le fauve se mordit la lèvre tout en esquivant grossièrement la résultante boueuse d'un malaise croissant. « OH ! Désolé… Je suis un peu maladroit quand je suis nerveux ! » Une main emmêlée de ses mèches à l'ébène soutenue, les pommettes pigmentées d'une carnation embrassant l'embarras d'une gaucherie, Hao suivit le mouvement d'une baguette effaçant les preuves d'un impair. Une moue bénigne griffant les berges de sa bouche, il se prit d'un élan de jalousie à la faveur d'un pincement de myocarde souffreteux. Ce qu'il pouvait leur envier cette jouissance magique, sans avoir à essuyer les répercussions d'une constitution inapte à canaliser ce flux pervers.
La moiteur de ses paumes caressant les bords d'un berceau, le trémor d'une excitation ravivée d'un coup d'éclat à basculer dans les bras du désordre fit grincer l'argile et suspendu au phrasé de la Gryffondor, un haussement d'épaules chassa la célérité facétieuse de sa complice. « Patience est mère de verdure, ou un truc du genre… Pour le moment, on en pique juste assez pour que la Mapleleaf ne se rende compte de rien et on se tire de là avant que Peeves nous prenne la main dans le chaudron ! » La gouaille de l'imprudent s'était murée d'une solennité déconcertante. Pour s'être crêper le chignon à plusieurs reprises avec l'esprit frappeur, au dîner des cons, il espérait sérieusement ne pas à avoir à lui faire le service. Sans perdre plus de temps en tergiversations inutiles, d'un appel du pied peu galant, l'enfant du ciel invita son auxiliaire à lui rendre une mitaine. Bourgeons ou adolescent en plein crise, l'ingénu n'aspirait point à sacrifier l'un de ses précieux doigts durant la sélection des vaillants petits soldats. « Si tu veux je te montre comment faire avec un de ces chenapans et tu t'occupe de l'autre ? » Échange de bons procédés intéressé, d'un ton bienveillant et racolant qu'un esprit avertis aurait fuit, il comptait bien s'assurer de son plein investissement en franchissant la fine frontière la séparant du royaume des méfaits.
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@Shen Haoran (27.02.23)
Tu hausses un sourcil. Maladroit quand il est nerveux ? « Parce que ça t’arrive d’être nerveux ? » L’incrédulité se mélange à la curiosité dans ta voix. Tu ne l’imaginais pas ainsi. Mais après tout, tu ne le connais pas si bien pour vraiment savoir et te permettre de juger. Ni pour anticiper ses réactions. Cependant, il remarquera peut-être que tu ne fais aucune réflexion sur sa maladresse. Autant pour taquiner que parce que tu ne te moques pas des faiblesses des autres.
Tu pouffes face à l’appropriation de l’expression. Tu l’aimes bien celle-là. Il ne faudra pas oublier de la réutiliser. Néanmoins, à l’évocation de l’esprit frappeur, tu déchantes bien vite. « Attends, il vient dans les serres, celui-là ? » Ta voix monte un poil dans les aigus. Explicitant bien mieux que des mots ta crainte de le croiser dans un tel endroit. Faire une bêtise avec Peeves ou à ses dépens dans l’enceinte de l’établissement, c’est une chose. Dehors, c’en est une autre. Il n’y a pas d’échappatoire ici. Pas d’issue de secours pour rejoindre la salle commune. Quoiqu’il en soit, tu ne le pensais pas suffisamment téméraire pour filer hors des portes du château.
Tu ne comprends pas tout de suite ce qu’Haoran te veut, la main tendue ainsi. Puis la connexion entre tes neurones réfrigérés se fait. Tu lui rends ses gants. Voyant qu’il n’en prend qu’un seul, tu en déduis que le second te sera nécessaire pour la suite. Ce qui signifie, récolte !
Tu hoches la tête. Tu ne vas certainement pas te risquer à faire mumuse avec une bestiole qui porte le nom de mordeur. Tu l’observes donc se saisir de l’un d’entre eux, comme s’il s’agissait d’un chaton. Sauf qu’un chou n’a pas de peau dans le cou. Ni de cou accessoirement. Vu comme ça, ça semble éminemment facile. Tu te doutes bien qu’il y a niffleur sous gallion. « Si je finis à l’infirmerie, t’as intérêt à me tenir compagnie si tu veux pas que je te dénonce. » Le ton dramatique, il ne te manque plus que l’oscar de la meilleure actrice.
Quoiqu’il en soit, embrigadée dans un mauvais coup ou non, tu ne vas pas reculer devant le défi. Tu prends donc ton courage à deux mains et le chou dans une seule, celle qui porte un gant. Délicatement, comme s’il s’agissait de porcelaine. « Il a l’air plus petit. » Moins développé ? Ou au contraire plus hargneux ? Tu n’en sais fichtrement rien.
« Et on en fait quoi maintenant ? » Parce que tu ne vas pas le mettre dans ta poche. Quoique ça pourrait être une idée pour piéger vos adversaires dans cette petite guerre inter-maison. Tu ne donnes vraiment pas cher de leurs doigts. Paix à leurs cuticules.
Tu pouffes face à l’appropriation de l’expression. Tu l’aimes bien celle-là. Il ne faudra pas oublier de la réutiliser. Néanmoins, à l’évocation de l’esprit frappeur, tu déchantes bien vite. « Attends, il vient dans les serres, celui-là ? » Ta voix monte un poil dans les aigus. Explicitant bien mieux que des mots ta crainte de le croiser dans un tel endroit. Faire une bêtise avec Peeves ou à ses dépens dans l’enceinte de l’établissement, c’est une chose. Dehors, c’en est une autre. Il n’y a pas d’échappatoire ici. Pas d’issue de secours pour rejoindre la salle commune. Quoiqu’il en soit, tu ne le pensais pas suffisamment téméraire pour filer hors des portes du château.
Tu ne comprends pas tout de suite ce qu’Haoran te veut, la main tendue ainsi. Puis la connexion entre tes neurones réfrigérés se fait. Tu lui rends ses gants. Voyant qu’il n’en prend qu’un seul, tu en déduis que le second te sera nécessaire pour la suite. Ce qui signifie, récolte !
Tu hoches la tête. Tu ne vas certainement pas te risquer à faire mumuse avec une bestiole qui porte le nom de mordeur. Tu l’observes donc se saisir de l’un d’entre eux, comme s’il s’agissait d’un chaton. Sauf qu’un chou n’a pas de peau dans le cou. Ni de cou accessoirement. Vu comme ça, ça semble éminemment facile. Tu te doutes bien qu’il y a niffleur sous gallion. « Si je finis à l’infirmerie, t’as intérêt à me tenir compagnie si tu veux pas que je te dénonce. » Le ton dramatique, il ne te manque plus que l’oscar de la meilleure actrice.
Quoiqu’il en soit, embrigadée dans un mauvais coup ou non, tu ne vas pas reculer devant le défi. Tu prends donc ton courage à deux mains et le chou dans une seule, celle qui porte un gant. Délicatement, comme s’il s’agissait de porcelaine. « Il a l’air plus petit. » Moins développé ? Ou au contraire plus hargneux ? Tu n’en sais fichtrement rien.
« Et on en fait quoi maintenant ? » Parce que tu ne vas pas le mettre dans ta poche. Quoique ça pourrait être une idée pour piéger vos adversaires dans cette petite guerre inter-maison. Tu ne donnes vraiment pas cher de leurs doigts. Paix à leurs cuticules.
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Une moue boudeuse colora confusément les traits de l'enfant du ciel, mais sans chercher à savoir ce qu'elle attendait de lui, d'un haussement d'épaules, les joues gonflées par l'éther sifflé à grandes lapées, comme chamboulé par l'intérêt de la blonde, Haoran balaya sous le tapis cette interrogation jugée trop intrusive. Le regard fuyant l'ombre voisine, les amandes égayées du fils d'un géant sommeillant jonglaient de pot en pot, scrutant les moindres mouvements de cette flore sous-estimée et éveillant la curiosité du farfadet. Et d'un soupir de diva, Hao pelleta de sa main gantée le premier récipient. Là, la patte dans le terreau, un sourire sincère naquit aux bords de ses lèvres superposées, creusant ainsi le lit de ses fossettes à la malice communicative. « Ne te fais pas de mauvaises idées, c'est pas toi qui me rend nerveux, je suis complètement à l'aise avec les filles, c'est... c'était pas la question right ? » Un murmure jeté en pâture au silence, l'embarras se fit spontanément la barrière d'une bêtise sans frontière, le jeune homme s'auto-censura avant de glisser au creux d'un filet du diable sécrétant l'onguent d'une gêne poisseuse. Une grimace en masque de parade, les yeux s'apprêtant au cabriole d'une fuite éphémère, le lionceau se mura d'une inhabituelle quiétude inquiète.
Préférant ainsi se focaliser sur leurs futurs complices, le trouble-fête ne se donna guère la peine de divaguer, et si, jamais il n'avait vu l'esprit frappeur hors des murs du château, le rugissement quasi authentique d'une pousse de mandragore allait sans nul doute leur offrir la primeur d'un sommet sur les méfaits d'une excursion défendue. La langue humectant sa lippe et pincée d'une concentration éreintante, le rouge et or passa ainsi de longues minutes à sonder bac après bac. Secouant son aile entre chacune de ces incursions en terrain inconnu, le chinois investiga sans mot piper les alcôves au demeurant vides. Soudain, la paume du Lion se ferma sur l’un de ses compagnons d'enfance. Assez dodu, mais pas trop grand, épris d'une hargne patente, mais pas assez agile pour sectionner le cuir d’une paluche de daim, en soit, le candidat parfait pour l'exercice à venir. Le bras tendu au-dessus du lit de compost, d'un doigté délicat, Shen recouvrit le rasoir d'une dentition élimée de cette jupe striée caractéristique des crucifères. « Tiens-le à la base de ses feuilles sans trop le presser et lâche surtout pas si t'veux pas y laisser une phalange ! » Un rictus empreint d'une certaine fierté harangua ses lèvres cueillies d'une crânerie puérile, triomphant, le troisième année hocha la tête à la découverte d'une pêche fructueuse de sa partenaire aux cheveux d'or.
Le sens des réalités le percuta tel un train en marche, Miss rabat-joie marquait un point tout en ternissant l'écho d'une suffisance malvenue. Aussitôt, une moue cabra les traits fins d'un visage en pleine réflexion. Le gamin de l'Est prit sur le fait d'un plan bancal de bout en bout, étudia dans l'agitation relative de sa matière grise, les opportunités s'offrant à eux. « Humm, j'pensais déjà pas rentrer dans les serres, mais s'tu veux, tu peux le mettre dans ton sac, rajoute juste un peu d'humus ! » D'une poigne bourrue, l'imbécile piocha une bonne portion de glaise de la faïence d'où il venait de tirer son chou et sans plus de délicatesse, fourra la fraîche boue dans le pli de sa cape. De sa menotte de cuir, le démon, maintenu par ses protubérances verdâtres, vint se loger sur le fin matelas d'engrais. Agrippant le bock d'argile de sa pogne libre, le garçon se retourna finalement vers la joueuse émérite de Gryffondor, un éclat de naïveté luisant au travers de ses iris à l'onyx envoûtant. « Tu devrais te dépêcher ! » Et clopin-clopant, sillonnant les rangées de bacs, le lutin de Cornouaille se pencha de-ci et là sur les pensionnaires de @Amaranth Mapleleaf sans prêter attention au seul être de chair et d'os l'épaulant dans sa sottise.
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@Shen Haoran (27.02.23)
Le rire qui franchit tes lèvres ne pouvait pas rester emprisonné plus longtemps dans ta gorge. Le moment que tu vis actuellement en compagnie de ton camarade de maison a tout du comique de situation employé par les grands auteurs de la littérature moldue. Tu aurais voulu le provoquer volontairement, tu n’aurais pas pu t’y prendre mieux. Ton rire colore un peu plus tes joues déjà bien rougies par le froid extérieur et emplit le silence de ta voix. Dans un film romantique à l’eau de rose, le moment se révélerait propice à un premier baiser entre les deux protagonistes. Ce qui ravive ton rire qui commençait tout juste à se tarir. Doux Merlin, tu dois reprendre ta respiration si tu ne veux pas littéralement mourir de rire.
Lorsque le calme revient un peu en toi, tu ne peux t’empêcher d’acquiescer. « Non effectivement, ce n’était pas la question. » Un soupçon d’amusement perce encore dans ta voix. Tu ne veux pas spécialement le contenir. Et ce n’est pas le sourire qui trône sur tes lèvres qui va aider. Tu fais déjà l’effort de ne pas relever que le silence qui a suivi sa petite fanfaronnade prouve au contraire qu’il n’est pas si à l’aise que ça avec les filles. Ou peut-être juste toi au final ? Ou la situation. Peu importe.
Toute ouïe, tu prends en compte les conseils de ton camarade. Il ne te viendrait certainement pas à l’esprit de n’en faire qu’à ta tête sur un sujet que tu ne maîtrises pas. Quoique, si. Tu pourrais clairement le faire. Mais certainement pas avec le spécimen que vous vous apprêtez à cambrioler dans son état naturel.
Cependant, la grimace sur le visage de Haoran ne t’inspire guère de confiance quant à la suite. L’a-t-il seulement prévu cette suite ? Parce que, tu te ferais la voix de la raison que tu ne parierais pas dessus. Il ne met pas longtemps à confirmer ta pensée.
Toute trace d’amusement déserte ta figure pour ne laisser qu’un ébahissement le plus total. Dans quelle bouse de dragon te fais-tu entraîner actuellement ? Bougre d’inconsciente que tu es. « Attends quoi ?! » Tu manques d’échapper la créature de l’enfer que tu tiens toujours dans ta main. Moins confiante que quelques minutes auparavant. Serrant inconsciemment plus fort ta main pour empêcher le chou mordeur de s’échapper. Ne t’en faisant naturellement pas un ami, même si tu n’y penses pas vraiment. « Je vais pas mettre un chou mordeur dans mon sac ! » Tu ne comprends pas comment une telle idée peut sortir de la tête de ton camarade. Oh, bien sûr, tu l’aurais fait sans problème en temps normal. Te salir les mains ne te pose pas beaucoup de problèmes. Tes mains ou tes affaires. Cependant, la situation actuelle ne s’y prête pas. Tu sors tout juste de cours avec des notes que tu as difficilement prises, l’enfer de l’astronomie, et un devoir à moitié fait pour ton directeur de maison qui traîne entre les pages de ton livre de sortilège. Tu refuses de prendre encore plus de retard sur tes travaux à effectuer. Et tu ne prendras pas le risque de détruire tes efforts pour un végétal qui doit baigner dans des excréments d'hippogriffe qui sert d’engrais.
Et en plus, il t’incite à te dépêcher. Zut. T’es dans la bouse de dragon jusqu’au cou et la créature dans ta main s’agite de plus en plus. Ta voix n’est pas très assurée lorsque tu reprends la parole et tu ne quittes pas ta main des yeux. Prête à utiliser ta baguette, de ta main gauche s’il le faut, pour te défendre contre une potentielle attaque de cette minuscule boule feuillue. « Alors, soit tu le prends en colocation dans ta poche avec le tien, soit je le remets dans sa terre. » Ce n’est pas une menace, juste un fait. « Mais je vais pas pouvoir le garder plus longtemps. » Il a clairement l’air en colère. Et des végétaux en colère, ça te fiche la trouille. Si en plus, il veut retrouver sa liberté, tu as peur d’en perdre tes doigts. Tu préférerais clairement tomber de ton balai en plein match de quidditch que de subir ça.
Lorsque le calme revient un peu en toi, tu ne peux t’empêcher d’acquiescer. « Non effectivement, ce n’était pas la question. » Un soupçon d’amusement perce encore dans ta voix. Tu ne veux pas spécialement le contenir. Et ce n’est pas le sourire qui trône sur tes lèvres qui va aider. Tu fais déjà l’effort de ne pas relever que le silence qui a suivi sa petite fanfaronnade prouve au contraire qu’il n’est pas si à l’aise que ça avec les filles. Ou peut-être juste toi au final ? Ou la situation. Peu importe.
Toute ouïe, tu prends en compte les conseils de ton camarade. Il ne te viendrait certainement pas à l’esprit de n’en faire qu’à ta tête sur un sujet que tu ne maîtrises pas. Quoique, si. Tu pourrais clairement le faire. Mais certainement pas avec le spécimen que vous vous apprêtez à cambrioler dans son état naturel.
Cependant, la grimace sur le visage de Haoran ne t’inspire guère de confiance quant à la suite. L’a-t-il seulement prévu cette suite ? Parce que, tu te ferais la voix de la raison que tu ne parierais pas dessus. Il ne met pas longtemps à confirmer ta pensée.
Toute trace d’amusement déserte ta figure pour ne laisser qu’un ébahissement le plus total. Dans quelle bouse de dragon te fais-tu entraîner actuellement ? Bougre d’inconsciente que tu es. « Attends quoi ?! » Tu manques d’échapper la créature de l’enfer que tu tiens toujours dans ta main. Moins confiante que quelques minutes auparavant. Serrant inconsciemment plus fort ta main pour empêcher le chou mordeur de s’échapper. Ne t’en faisant naturellement pas un ami, même si tu n’y penses pas vraiment. « Je vais pas mettre un chou mordeur dans mon sac ! » Tu ne comprends pas comment une telle idée peut sortir de la tête de ton camarade. Oh, bien sûr, tu l’aurais fait sans problème en temps normal. Te salir les mains ne te pose pas beaucoup de problèmes. Tes mains ou tes affaires. Cependant, la situation actuelle ne s’y prête pas. Tu sors tout juste de cours avec des notes que tu as difficilement prises, l’enfer de l’astronomie, et un devoir à moitié fait pour ton directeur de maison qui traîne entre les pages de ton livre de sortilège. Tu refuses de prendre encore plus de retard sur tes travaux à effectuer. Et tu ne prendras pas le risque de détruire tes efforts pour un végétal qui doit baigner dans des excréments d'hippogriffe qui sert d’engrais.
Et en plus, il t’incite à te dépêcher. Zut. T’es dans la bouse de dragon jusqu’au cou et la créature dans ta main s’agite de plus en plus. Ta voix n’est pas très assurée lorsque tu reprends la parole et tu ne quittes pas ta main des yeux. Prête à utiliser ta baguette, de ta main gauche s’il le faut, pour te défendre contre une potentielle attaque de cette minuscule boule feuillue. « Alors, soit tu le prends en colocation dans ta poche avec le tien, soit je le remets dans sa terre. » Ce n’est pas une menace, juste un fait. « Mais je vais pas pouvoir le garder plus longtemps. » Il a clairement l’air en colère. Et des végétaux en colère, ça te fiche la trouille. Si en plus, il veut retrouver sa liberté, tu as peur d’en perdre tes doigts. Tu préférerais clairement tomber de ton balai en plein match de quidditch que de subir ça.
I SEE A RED DOOR AND I WANT IT PAINTED BLACK
No colors anymore I want them to turn black
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