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1, 2Merci pour le carry - Feat Freya Korrigan
INFOS
FICHE DE PERSO
Peu avant de détaler Koffi avait rassuré sa camarade en disant :
« Je ne pensais pas à ca en m’excusant, même si ca me rassure que ton origine n’influe pas de la sorte sur ta façon de te comporter. J’ai côtoyé des personnes qui étaient plus sensible à l’envahissement de leur sphère privée et je cherchais à savoir si mon geste t’avait importuné de quelque façon que ce soit ».
Il avait prononcé la phrase avec un accent pincé et distingué, taquin. L’imitation était plutôt réussi, l’orphelin étant habitué à ce genre d’exercice. Il adressa un sourire accompagné d’un clin d’œil à Freya pour la rassurer du fait que tout ceci n’était qu’une plaisanterie.
Aussi, lorsque la jolie rousse le rattrapa en lui demandant si il désirait rentrer dans la cabane, l’agrippant de ses deux bras, le lionceau répondit avec humour : « Bien sûr ! Surtout si ca me permet de t’avoir si près de moi ! ». La phrase fut une nouvelle fois accompagnée d’un rire, ce qui devenait récurent cette après-midi il fallait l’admettre, faisant un bien fou à l’élève de Gryffondor.
En réalité, l’humour l’aidait à dédramatiser la situation, très angoissante, d’autant plus depuis que l’aiglonne lui avait demandé s’il voulait rentré, signe qu’elle ne l’avait pas encore fait probablement. La dangerosité de l’escapade risquait donc d’être plus grande que ce que Koffi avait pensé.
L’orphelin marqua un arrêt en regardant l’édifice qui se trouvait désormais à quelques mètres. Des sons lugubres s’échappaient de chacune de ses entrées, parfois une porte claquant, parfois le son du vent s’infiltrant dans des cavité de la façade délabrée ou encore des murmures semblant émaner des fenêtres de l’étage.
D’un haussement d’épaule, l’orphelin chassa ses doutes, se convaincant que c’était surement moins effrayant que ca en avait l’air de dehors et qu’il s’agissait la d’esprit frappeurs qui essayaient de les tourmenter sa camarade et lui. Il avait également pris un peu plus confiance en ses capacités magiques depuis sa leçon particulière avec le professeur Amonwë.
Il se retourna alors vers Freya en lui disant, d’un ton quand même moins détendu de celui qu’il utilisait encore quelques secondes auparavant :
« Tu es prête ? Je compte bien sur toi pour me sauver la mise s’il se passe quelque chose la dedans ! »
Koffi trouvait dans la légèreté de la situation un coté très rafraichissant par rapport à son état d’esprit de ses derniers mois. La présence de Freya à ses côtés lui faisait vraiment du bien, en plus elle lui ressemblait tellement…
« Je ne pensais pas à ca en m’excusant, même si ca me rassure que ton origine n’influe pas de la sorte sur ta façon de te comporter. J’ai côtoyé des personnes qui étaient plus sensible à l’envahissement de leur sphère privée et je cherchais à savoir si mon geste t’avait importuné de quelque façon que ce soit ».
Il avait prononcé la phrase avec un accent pincé et distingué, taquin. L’imitation était plutôt réussi, l’orphelin étant habitué à ce genre d’exercice. Il adressa un sourire accompagné d’un clin d’œil à Freya pour la rassurer du fait que tout ceci n’était qu’une plaisanterie.
Aussi, lorsque la jolie rousse le rattrapa en lui demandant si il désirait rentrer dans la cabane, l’agrippant de ses deux bras, le lionceau répondit avec humour : « Bien sûr ! Surtout si ca me permet de t’avoir si près de moi ! ». La phrase fut une nouvelle fois accompagnée d’un rire, ce qui devenait récurent cette après-midi il fallait l’admettre, faisant un bien fou à l’élève de Gryffondor.
En réalité, l’humour l’aidait à dédramatiser la situation, très angoissante, d’autant plus depuis que l’aiglonne lui avait demandé s’il voulait rentré, signe qu’elle ne l’avait pas encore fait probablement. La dangerosité de l’escapade risquait donc d’être plus grande que ce que Koffi avait pensé.
L’orphelin marqua un arrêt en regardant l’édifice qui se trouvait désormais à quelques mètres. Des sons lugubres s’échappaient de chacune de ses entrées, parfois une porte claquant, parfois le son du vent s’infiltrant dans des cavité de la façade délabrée ou encore des murmures semblant émaner des fenêtres de l’étage.
D’un haussement d’épaule, l’orphelin chassa ses doutes, se convaincant que c’était surement moins effrayant que ca en avait l’air de dehors et qu’il s’agissait la d’esprit frappeurs qui essayaient de les tourmenter sa camarade et lui. Il avait également pris un peu plus confiance en ses capacités magiques depuis sa leçon particulière avec le professeur Amonwë.
Il se retourna alors vers Freya en lui disant, d’un ton quand même moins détendu de celui qu’il utilisait encore quelques secondes auparavant :
« Tu es prête ? Je compte bien sur toi pour me sauver la mise s’il se passe quelque chose la dedans ! »
Koffi trouvait dans la légèreté de la situation un coté très rafraichissant par rapport à son état d’esprit de ses derniers mois. La présence de Freya à ses côtés lui faisait vraiment du bien, en plus elle lui ressemblait tellement…
INFOS
FICHE DE PERSO
Freya leva les yeux au ciel après l'innocente tentative de flirt de Koffi. Elle répondait toutefois favorablement à ce genre de compliment. Elle aimait se sentir belle et attirer les regards. Même si la galloise ne s'apprêtait pas plus que ça. A l'image de sa mère, elle aimait à penser qu'elle possédait un charme qui ne laissait pas les autres indifférents. En bonne aiglonne, elle savait s'en servir et en profiter lorsque cela jouait en sa faveur. Et c'était évidemment la cas en cette après-midi printanière. Cela mettait son partenaire dans de meilleurs dispositions et lui permettait de passer un moment plus agréable en sa compagnie.
- Bien entendu ! Je suis la meilleure !
Freya fanfaronna en relâchant la pression sur le bras du Gryffondor, répondant favorablement aux compliments de ce dernier. Elle lui avait avoué un peu plus tôt qu'elle ne serait probablement pas capable de réitérer son exploit lors de la simulation du cours de métamorphose dans la vraie vie. Après tout, en dépit de l'apparent réalisme de cette simulation, les enjeux s'avéraient bien différents. C'était particulièrement vrai pour l'aiglonne qui était étonnement pragmatique et d'une logique implacable dans ce domaine.
Freya savait faire la part des choses.
Engaillardie par son compagnon, la galloise prit les devants. Elle s'approcha de la porte d'entrée décorée d'une mosaïque opaque veillotte. Elle plissa les yeux afin de distinguer ce qui se trouve à l'intérieur. En vain. L'aiglonne prit une grande inspiration avant de se saisir de la poignée de métal et d'ouvrir la dite porte. Son regard fut attirée par les débris de planches visiblement tombés récemment. Le duo fut accueilli par les hurlements d'un vent qui vint se briser sur leurs visages. Elle frissonna mais força le pas de la porte, ses longs doigts effilés cherchant par réflexe ceux de son partenaire.
- Tu peux compter sur... Freya se gaussa avant de remarquer une forme s'apparentant à un rongeur du coin de l'œil. - Par Merlin, c'est quoi ce truc ! Y'a une bestiole là !
Surprise et légèrement tremblante, Freya s'empara de la main de Koffi pour se rassurer, trahissant ainsi une facette plutôt vulnérable de sa personnalité. Très loin des standards de femme parfaite qu'elle arborait au quotidien et qui faisait sa petite renommée.
INFOS
FICHE DE PERSO
Visiblement, @Freya Korrigan partageait l’humeur de Koffi, tous deux ne cherchant pas à se prendre la tête cette après-midi. En y réfléchissant, c’était peut-être la première fois que Koffi abordait son nouvel environnement magique de façon ludique, et ça lui faisait le plus grand bien.
Il sourit quand sa partenaire du jour pris les devant pour pousser la porte de la vieille bâtisse. A en juger par certains bouts de planches entourant le cadre de la porte, elle devait avoir été condamnée dans le passé. C’était d’ailleurs le cas de la plupart des fenêtres.
Sans surprises, le grincement de la porte retentit avec force aux alentours, autre signe, s’il en fallait encore, que le bâtiment méritait une belle rénovation. Les analyses d’entrepreneur quittèrent vite l’esprit de l’aiglon lorsque son visage fut frappé par une énorme bourrasque de vent. Même le doux parfum de Freya ne put empêcher l’odeur rance et pourrie que la rafale apportait d’envahir le nez de Koffi, qui du refreiner un léger haut le cœur.
L’exclamation de la rousse mit fin à l’état nauséeux du jeune sorcier.
Répondant à un réflexe, Koffi fit irruption dans la maison en passant devant sa jeune compagne, dégainant sa baguette par la même occasion.
La bestiole qu’elle avait aperçue quelques secondes auparavant avait déjà disparue. Le son qu’il entendit ensuite dans les murs lui fit comprendre qu’il s’agissait là probablement d’un rongeur. Se retournant vers sa partenaire, Koffi ne put s’empêcher d’éclater de rire face au comique de la situation.
Sa partenaire avait les yeux encore imprégnés d’effroi et lui avait tenté un geste héroïque pour essayer de la sauver de ce qui devait s’apparenter, dans le pire des cas, à un gros grignoteur. Cela prouvait bien que les deux jeunes camarades étaient vraiment tendus par leur escapade.
“Quoi? La grande Freya a peur d’une créature de quelques dizaines de centimètres?”
Le ton était léger et taquin, mais les coups d'œil continuaient à être lancés de tout côté alors qu’il reprenait son avancée dans la maison. Koffi avait beau faire semblant, il aurait sûrement eu la même réaction que sa partenaire.
Les lieux étaient très sombres aussi l’orphelin prit le temps de prononcer doucement le sort Lumos.
Grâce aux cours particuliers du professeur Amonwë, sa maîtrise de la magie s’était améliorée, toutefois la lueur qui apparut était faible et vacillante, ce qui empêchait les jeunes sorciers d’y voir très loin devant eux. Cette fois, ce fut la main de Koffi qui serra plus intensément celle de Freya, cherchant le courage de continuer à avancer.
C’est alors qu’un soupir profond se fit entendre dans la pièce vers laquelle ils se dirigeaient. Sur le coup un frisson parcourut l’échine de l’aiglon, se raidissant soudainement face à ce bruit lugubre. Une lueur bleue sortit ensuite de la pièce et fila directement sur les deux aventuriers, accompagnant d’un cri lointain et puissant qui glaça le sang du sorcier. Par réflexe, il sauta sur le côté, emmenant sa partenaire avec lui. Toutefois il fut trop lent et la lueur bleutée lui traversa le bras, lui arrachant un léger cri de surprise.
En se réceptionnant, Koffi sentit le long de son bras trois piqûres. Il tourna sa tête vers sa partenaire et n’eut pas le temps de comprendre ce qu’il se passait lorsque son corps quitta le sol lui arrachant un réel cri d’effroi…
Il sourit quand sa partenaire du jour pris les devant pour pousser la porte de la vieille bâtisse. A en juger par certains bouts de planches entourant le cadre de la porte, elle devait avoir été condamnée dans le passé. C’était d’ailleurs le cas de la plupart des fenêtres.
Sans surprises, le grincement de la porte retentit avec force aux alentours, autre signe, s’il en fallait encore, que le bâtiment méritait une belle rénovation. Les analyses d’entrepreneur quittèrent vite l’esprit de l’aiglon lorsque son visage fut frappé par une énorme bourrasque de vent. Même le doux parfum de Freya ne put empêcher l’odeur rance et pourrie que la rafale apportait d’envahir le nez de Koffi, qui du refreiner un léger haut le cœur.
L’exclamation de la rousse mit fin à l’état nauséeux du jeune sorcier.
Répondant à un réflexe, Koffi fit irruption dans la maison en passant devant sa jeune compagne, dégainant sa baguette par la même occasion.
La bestiole qu’elle avait aperçue quelques secondes auparavant avait déjà disparue. Le son qu’il entendit ensuite dans les murs lui fit comprendre qu’il s’agissait là probablement d’un rongeur. Se retournant vers sa partenaire, Koffi ne put s’empêcher d’éclater de rire face au comique de la situation.
Sa partenaire avait les yeux encore imprégnés d’effroi et lui avait tenté un geste héroïque pour essayer de la sauver de ce qui devait s’apparenter, dans le pire des cas, à un gros grignoteur. Cela prouvait bien que les deux jeunes camarades étaient vraiment tendus par leur escapade.
“Quoi? La grande Freya a peur d’une créature de quelques dizaines de centimètres?”
Le ton était léger et taquin, mais les coups d'œil continuaient à être lancés de tout côté alors qu’il reprenait son avancée dans la maison. Koffi avait beau faire semblant, il aurait sûrement eu la même réaction que sa partenaire.
Les lieux étaient très sombres aussi l’orphelin prit le temps de prononcer doucement le sort Lumos.
Grâce aux cours particuliers du professeur Amonwë, sa maîtrise de la magie s’était améliorée, toutefois la lueur qui apparut était faible et vacillante, ce qui empêchait les jeunes sorciers d’y voir très loin devant eux. Cette fois, ce fut la main de Koffi qui serra plus intensément celle de Freya, cherchant le courage de continuer à avancer.
C’est alors qu’un soupir profond se fit entendre dans la pièce vers laquelle ils se dirigeaient. Sur le coup un frisson parcourut l’échine de l’aiglon, se raidissant soudainement face à ce bruit lugubre. Une lueur bleue sortit ensuite de la pièce et fila directement sur les deux aventuriers, accompagnant d’un cri lointain et puissant qui glaça le sang du sorcier. Par réflexe, il sauta sur le côté, emmenant sa partenaire avec lui. Toutefois il fut trop lent et la lueur bleutée lui traversa le bras, lui arrachant un léger cri de surprise.
En se réceptionnant, Koffi sentit le long de son bras trois piqûres. Il tourna sa tête vers sa partenaire et n’eut pas le temps de comprendre ce qu’il se passait lorsque son corps quitta le sol lui arrachant un réel cri d’effroi…
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FICHE DE PERSO
Freya n'avait pas peur de grand chose mais était prône à la surprise. Un rongeur passant près de ses jambes était une raison suffisante pour activer ses alertes internes. Elle tenta immédiatement de faire la maline, comme si c'était bel et bien la surprise qui avait provoqué sa perte de contrôle et son petit cri d'effroi pour le coup très féminin et immature. Deux caractéristiques qu'on lui attribuait rarement.
- Mais genre ! J'ai peur de rien !
Freya s'indigna en relâchant la main de Koffi, ses joues se parant d'une belle couleur cramoisie. Comme c'était souvent le cas lorsqu'elle laissait ses émotions prendre le dessus. Sa peau d'albâtre marquait extrêmement facilement et une part de l'aiglonne détestait qu'on puisse ainsi lire en elle avec facilité. C'était d'ailleurs la principale raison pour laquelle elle dépensait autant d'énergie à la création de ce masque qu'elle offrait quotidiennement à autrui.
- Et non, on est pas quitte !
Freya bomba la poitrine en croisant les bras sur cette dernière, sa tête se tournant sur le côté à la manière d'une gamine vexée. Elle faisait évidemment référence au soi-disant sauvetage du Gryffondor qui n'avait rien de comparable avec son exploit lors du fameux cours magistral de son oncle Luke. Même si pour le coup, la phrase était sortie toute seule. Il n'y avait aucune réelle logique, ni aucun but derrière ses mots. Alors que Koffi reprenait les devants et se fendait d'un Lumos, la galloise s'accrocha à son vêtement. Pour ne pas se perdre dans l'obscurité bien entendu.
- C'est quoi ce bruit ?
Freya demanda inquiète, resserrant sa prise sur le vêtement de son partenaire. Elle n'eut en guise de réponse qu'une embardée sur le côté afin d'éviter ce qui ressemblait à un sort ! Koffi venait pour le coup de lui éviter le pire ! Cependant, elle remarqua rapidement que ce dernier avait été touché. Elle sortit immédiatement sa baguette et se releva pour se mettre accroupie, cherchant de son regard azuré l'origine de l'attaque. L'aiglonne n'attendit pas que cette dernière vienne. Elle fit le geste et sans un mot prononcé, un brouillard opaque vint les recouvrir. La jeune sorcière ne maitrisait pas beaucoup de sorts informulés mais Nebulus en faisait partie.
- Finite.
Freya prononça en visant son camarade en espérant que ce dernier retombe au sol.
INFOS
FICHE DE PERSO
Les yeux exorbités par la panique, le jeune sorcier accueillit avec soulagement le sort que formula l’aiglonne. Malheureusement, aucun effet ne prit forme.
«Oh my… C’est quoi cette m… » Le ton paniqué avec lequel Koffi avait débuté sa phrase se métamorphosa au fur et à mesure de celle-ci en un ton plutôt émerveillé.
« Merveilleuse sensatiooooooon, je vooooooooole, je gazouiiiiiillle ». Sur ce, Koffi émit une forme très peu reconnaissable de gazouillis animal.
« Regarde Freyaaaaaaa, je voooooole sans balaaaaaaaais ! C’est tellement faciiiiiiiiile ».
Le corps s’était stabilisé à 1m50 du sol et seul un léger mouvement de balancier de haut en bas était encore perceptible. L’orphelin inspectait les lieux qui l’entouraient avec un enthousiasme décuplé, d’autant plus que la pénombre ne lui permettait pas de discerner grand-chose. Une sensation d’euphorie l’avait envahit et semblait rendre chaque chose qui l’entourait bien plus intéressante qu’elle ne l’était auparavant.
Parfois, le lionceau semblait prendre conscience, comme soumit à une dissociation de son corps et de son esprit avant que l’euphorie prenne à nouveau le dessus. L’inquiétude et la panique qu’il éprouvait encore peu avant, semblaient bien éloignées.
« Freeeeeyaaaaaa, on va mangerrrr une glaaaaaace ? »
En posant sa question, le jeune sorcier prit les cheveux roux de sa camarade entre ses mains, jouant avec sa couette.
« Ils sont beaux tes cheveuuuux, comme ceux d’Hannaaaaah »
A l’évocation de cette dernière info plongea l’orphelin dans des souvenirs heureux et voluptueux, traçant un énorme sourire sur son visage et à l’occasion quelques éclats de rires.
«Oh my… C’est quoi cette m… » Le ton paniqué avec lequel Koffi avait débuté sa phrase se métamorphosa au fur et à mesure de celle-ci en un ton plutôt émerveillé.
« Merveilleuse sensatiooooooon, je vooooooooole, je gazouiiiiiillle ». Sur ce, Koffi émit une forme très peu reconnaissable de gazouillis animal.
« Regarde Freyaaaaaaa, je voooooole sans balaaaaaaaais ! C’est tellement faciiiiiiiiile ».
Le corps s’était stabilisé à 1m50 du sol et seul un léger mouvement de balancier de haut en bas était encore perceptible. L’orphelin inspectait les lieux qui l’entouraient avec un enthousiasme décuplé, d’autant plus que la pénombre ne lui permettait pas de discerner grand-chose. Une sensation d’euphorie l’avait envahit et semblait rendre chaque chose qui l’entourait bien plus intéressante qu’elle ne l’était auparavant.
Parfois, le lionceau semblait prendre conscience, comme soumit à une dissociation de son corps et de son esprit avant que l’euphorie prenne à nouveau le dessus. L’inquiétude et la panique qu’il éprouvait encore peu avant, semblaient bien éloignées.
« Freeeeeyaaaaaa, on va mangerrrr une glaaaaaace ? »
En posant sa question, le jeune sorcier prit les cheveux roux de sa camarade entre ses mains, jouant avec sa couette.
« Ils sont beaux tes cheveuuuux, comme ceux d’Hannaaaaah »
A l’évocation de cette dernière info plongea l’orphelin dans des souvenirs heureux et voluptueux, traçant un énorme sourire sur son visage et à l’occasion quelques éclats de rires.
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FICHE DE PERSO
Si Freya fut frustrée que son sort se révèle inefficace, elle n'eut pas le temps de s'apitoyer sur son sort ou encore celui de Koffi. Ce qui venait de frapper ce dernier n'était clairement pas un sortilège. Une fois la brume évacuée et le duo plus proche de la prote d'entrée, l'aiglonne put enfin apercevoir nettement les piqures sur la peau de son camarade. Là encore elle ne fut pas au bout de ses surprises. Ce dernier commença à délirer, comme s'il était sous l'emprise de drogue. Descendante de deux familles de chasseurs, cela lui mit directement la puce à l'oreille.
- Oh ! je reconnais ces symptômes. Les billywigs !
Freya s'exclama en relâchant la prise de Koffi sur sa queue de cheval. Elle secoua d'ailleurs la tête pour libérer sa crinière imposante, lui laissant faire joujou avec l'élastique qui nouait cette dernière. Ca l'occuperait pendant que la galloise faisait le tour de ses options. Il n'y avait pas trente-six solutions. Elle ne connaissait aucun sortilège qui aiderait le Gryffondor et de mémoire, rien lui parlait. Elle décida finalement d'opter pour une potion de guérison. Elle sortit de nouveau sa baguette et lança un Brachialigo.
- Oui Koffi, on va manger une glace. Viens.
Freya sourit à pleines dents, visiblement très amusée de la situation actuelle. Après tout le danger était passé. Une corde vient alors liée les pieds de son camarade et la galloise s'empara du bout de cette dernière. Elle traina ensuite Koffi tel un ballon rempli d'hélium jusqu'à la rue principale du village en quête de la boutique de potions. Pour un début de ballade à Pré-au-Lard on était pas loin de la perfection à ses yeux ! Elle n'avait même pas pensé une seule fois à la situation de son père ou encore à ses BUSES.
- Excusez-moi, y'a quelqu'un ?
Freya chanta toute guillerette après une bonne dizaine de minutes passées à trainer Koffi devant une foule qui ne manqua évidemment pas de se moquer. Il fallait avouer que la situation était hilarante. Le comportement du Gryffondor l'était plus encore. Certains s'en seraient offusqués mais l'aiglonne n'avait que faire de ces regards. L'important c'était de le guérir. Le reste constituerait une magnifique histoire à raconter autour d'une bière.
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Les formes autour de Koffi s’allongeaient et se rétrécissaient à mesure que Freya le tirait vers une destination encore inconnue pour l’orphelin. Soudain des personnes rondouillardes, vieilles et aux nez crochus apparurent d’entre les buissons qui bordaient le sentier que les deux élèves parcouraient. Elles semblaient constituées d’air, et à l’image de ballons de baudruches, se gonfler et se dégonfler en fonction de leur degré de menace. Koffi sentit instantanément ce qu’il fallait faire pour protéger @Freya Korrigan de ces attaques belliqueuses.
“Pcheeew pcheeeew! Sus aux gros capitalistes véreux! T’inquiètes Freya, je te protège! Pcheeew pcheeew! Essayez donc de vous protéger avec vos sacs de billets maintenant! Prrrrrrrwwwwwww” finit-il, mimant une explosion avant de baisser les yeux vers sa compagne:”C’est bon me suis occupé d’eux, tant que tu seras avec moi, ces pervers capitalistes ne pourront pas te faire de mal!”.
Vu de l’extérieur, la scène était très comique, sauf pour certains passants voyant subitement un sorcier flottant agiter son index vers eux en prononçant des mots dépourvus de réelle signification.
“Mais fais gaffe! Ton front! Il est énormeeeeeeeee! T’as une frontite aiguë!! Je reconnais, c’est quand ton front il gonfle jusqu’à exploser en pudding à la fraise… Faut aller chez un mec qui fait des potions sinon tu vas éclabousser tout le monde!”
Tout cela ressemblait en fait à ce qu’on pouvait vivre dans un rêve, le réalisme se transformant rapidement dans l’irréel le plus total. Freya sembla prendre sa mise en garde à la légère, s’exclamant de rire face à son regard horrifié.
“Mais quoiiii? Elle tient pas à la vieeeeee? Mais bon faut que je me montre fort pour elle et que je la sauve…”. Koffi pensait avoir pensé la phrase, mais en réalité il la prononça d’une voix assez forte pour que Freya et la dizaine de personnes s'agglutinant autour d’eux puissent l’entendre, ce qui déclanchat une hilarité générale.
Soudain, les visages des personnes de la petite foule assistant au spectacle reprit la forme des capitalistes de baudruches. C’est donc sur des “pchew pchew” frénétiques que Freya fit son entrée dans l’échoppe ou elle demanda de l’aide.
“Pcheeew pcheeeew! Sus aux gros capitalistes véreux! T’inquiètes Freya, je te protège! Pcheeew pcheeew! Essayez donc de vous protéger avec vos sacs de billets maintenant! Prrrrrrrwwwwwww” finit-il, mimant une explosion avant de baisser les yeux vers sa compagne:”C’est bon me suis occupé d’eux, tant que tu seras avec moi, ces pervers capitalistes ne pourront pas te faire de mal!”.
Vu de l’extérieur, la scène était très comique, sauf pour certains passants voyant subitement un sorcier flottant agiter son index vers eux en prononçant des mots dépourvus de réelle signification.
“Mais fais gaffe! Ton front! Il est énormeeeeeeeee! T’as une frontite aiguë!! Je reconnais, c’est quand ton front il gonfle jusqu’à exploser en pudding à la fraise… Faut aller chez un mec qui fait des potions sinon tu vas éclabousser tout le monde!”
Tout cela ressemblait en fait à ce qu’on pouvait vivre dans un rêve, le réalisme se transformant rapidement dans l’irréel le plus total. Freya sembla prendre sa mise en garde à la légère, s’exclamant de rire face à son regard horrifié.
“Mais quoiiii? Elle tient pas à la vieeeeee? Mais bon faut que je me montre fort pour elle et que je la sauve…”. Koffi pensait avoir pensé la phrase, mais en réalité il la prononça d’une voix assez forte pour que Freya et la dizaine de personnes s'agglutinant autour d’eux puissent l’entendre, ce qui déclanchat une hilarité générale.
Soudain, les visages des personnes de la petite foule assistant au spectacle reprit la forme des capitalistes de baudruches. C’est donc sur des “pchew pchew” frénétiques que Freya fit son entrée dans l’échoppe ou elle demanda de l’aide.
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Si le comportement de Koffi était marrant au départ, elle le trouvait à présent bien moins drôle à mesure des minutes. Pas en mal bien entendu mais il semblait délirer et presque la prendre pour une autre personne. Du moins la galloise s'était juxtaposée avec une autre femme de sa vie ? Une ancienne amie à lui peut être ? Ses sens de Serdaigle la poussa à plus de curiosité mais elle s'y refusa.
- Bonjour mademoiselle... Et monsieur. Oh ça à l'air grave. Heu... Je vous prie de le faire léviter par ici s'il vous plait.
Freya s'exécuta, tirant sur la corde et amenant Koffi vers l'arrière de la boutique. Elle était relativement inquiète en dépit de la nature comique de la situation. De plus, cela la génait un peu que le Gryffondor se confie contre son gré. Pourtant la galloise était plutôt du genre à aimer les commérages et autres informations qu'elle pourrait utiliser ultérieurement. A son avantage bien entendu. Faut dire qu'elle mettait un point d'honneur à paraitre aussi lisse et parfaite que possible, justement pour éviter qu'on utilise ses défauts contre sa personne. Une excellente manière de s'isoler des autres aussi...
- C'est grave, monsieur ?
Freya demanda alors que le potionniste avait sorti son équipement et commençait à inspecter un Koffi qui semblait littéralement dans un autre monde. Il délirait tellement qu'il était à présent difficile à comprendre. Ce fut véritablement à cet instant que l'aiglonne regretta sa visite à la cabane hantée. Pourquoi avait-elle décidé de s'y rendre alors qu'ils auraient pu passer du bon temps en mangeant des bonbons chez Honeydukes comme c'était prévu... Elle soupira de plus belle.
- Eureka ! Des piqûres de Billywigs ! Ca fait une éternité que j'en avais pas vu ! Vous auriez pas réussi à capturer un spécimen par hasard ? Leurs dards font de très bons ingrédients pour les potions.
Le vieux sorcier fut visiblement déçu de la réponse négative de Freya mais ravi d'apprendre que ces bestioles avait été aperçues non loin. L'aiglonne s'empara de la main de Koffi pour le rassurer tandis que le potionniste se mit à préparer une mixture. Elle tenta de communiquer comme elle le ferait avec un enfant. D'ailleurs, elle sortit un petit bonbon de son sac à main. Pour le distraire...
- Je suis là Koffi. Patiente encore un peu. Tu veux un bonbon ?
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