(amy) i choose you.
i choose you. ft. @amy jordan
les escaliers n'en finissaient pas, et tu viens à te demander si vous êtes pas simplement en train de tomber dans les abysses d'un mage noir ou pire... dans l'antre d'un professeur qui torture ses élèves. ce serait possible ça, non ?
et vu ton accoutrement, personne ne croira que tu es ton oncle. tu ne saurais même pas réagir comme il le ferait. ton oncle est quelqu'un de particulier... d'unique et d'inimitable. il t'a toujours impressionné mais là, ça dépasse l'entendement... que faire si tu dois te battre et que tu es ainsi vêtu ?
et puis franchement tonton, ça gratte ta barbe là.
après t'avoir arraché au moins cent poils du menton, tu sens la dernière marche sous tes pieds où la lumière change et devient plus accueillante.
tu vois la petite blonde te dépasser et tu aimerais la rattraper pour éviter qu'elle ne se mette inutilement en danger... mais une fois la porte ouverte sur un bar cosy, typiquement anglais, tu souris. « t'as la chance dans les doigts, amy. » que tu grondes de ta grosse voix en la suivant.
tes yeux se perdent sur la décoration et la drôle de sensation d'être bienvenu ici. d'un pétard vous finissiez dans l'antre secrète de quelqu'un qui conservait d'excellent produit dans sa valise. « par merlin ! » que tu dis en la suivant, voulant sautiller à ton tour. mais le poids de @jameson clearwater n'est clairement pas le même que le tien. et tu entends le tissu de ton pantalon continuer à craquer. « comment expliquer ça à ma mère pour qu'elle me rachète un uniforme ? » que tu dis en riant alors que ton amie s'affaire à préparer des boissons d'un whisky surement trop vieux pour vos palais inexpérimentés. « tu sais faire de la couture magique toi ? » parce que là c'est clairement une belle magie qu'il allait falloir pour rattraper tous les trous.
une fois le verre entre tes doigts, tu t'affales sur un fauteuil en face d'amy et trempe tes lèvres dans l'ambre qui vient brûler ta gorge et te tire une grimace défaite. « pouah ! » que tu dis en y remettant pourtant la langue pour retrouver l'alcool qui entre dans un état second. « un peu sucré et fort concentré, mais pas mauvais. » malgré l'aspect âcre en fin de bouche, tu te dis que tu pourrais faire parti de ces hommes qui aiment découvrir les vieux alcools âgés.
quel genre de vieux bonhomme tu seras toi ? belle question. mais pour le moment ce sont celles d'amy qui résonnent. « ouh là ! » que tu dis en riant. « rien de plus qu'hier et rien de moins que demain. » et tu ris en secouant les épaules. « pas d'attache, pas d'amour pour milo et ! » tu souris en la pointant du doigt. « toujours protégé ! » et tu ris en posant ton verre vide sur une petite table accoudée au fauteuil. « je ne désespère pas mais je doute trouver quelqu'un qui soit capable de me tenir. » cette tornade clearwater ne fait que des ravages sur son passage. pourquoi l'arrêter ? « mais en emmerde, j'ai une rousse de ma maison qui m'agace légèrement. » et tu plisses les nez... tu en parles beaucoup trop en ce moment. ce problème devient étrangement trop sérieux. « mon frère a... une amoureuse. » que tu dis en ironisant le moment et mimant des papillons avec tes mains. « mais bon, rien à foutre. toi, la belle blaireaute... comment va la vie ? les amours ? les emmerdes ? »
et alors que tu écoutes ses réponses, tu te lèves pour te resservir un verre. et tu te rends compte un peu tard que la lumière vire étrangement au vert et que la porte d'où vous venez est fermée... des bruits de pas lents se font entendre. et tu lèves ton doigt pour faire taire ton ami et te baisse légèrement pour la rejoindre en abandonnant ton verre sur le comptoir. la poignée tourne mais la porte ne s'ouvre pas. ce clic c'est quoi ? « on nous enferme ? » que tu chuchotes très bas malgré les vocalises graves de ton oncle. la lumière est définitivement verte et une armoire tapie dans l'obscurité se met à vibrer... tu trembles légèrement et tu attrapes la main de ton amie pour l'attirer derrière un fauteuil opposé, pile au moment où la porte de l'armoire cède. « putain de merde ! » que tu ne peux t'empêcher de jurer en regardant une fumée noire en sortir et se matérialiser en serpent. le coeur tambourinant dans la poitrine, tu ne sais plus quoi faire...
en réalité, un épouvantard vient juste de sortir de sa cachette... un piège ? un système de sécurité ? faut toujours que vous soyez mis à mal... t'aimais bien siroter ton whisky. tu sens tes traits changer lentement sans pour autant y prêter une quelconque attention, les yeux rivés sur le monstre géant. un boa... tu ne peux pas parler. non, surtout pas devant amy.
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I choose you Des morts-vivants… Ils ont des morts-vivants…
Amy s’était contentée de rire devant la question de Milo sur la couture magique. Il devait la connaître suffisamment pour savoir qu’à part des étincelles, elle n’arrivait pas à sortir grand chose de sa baguette… De là à faire de la couture de haute précision… Elle avait plus de chance d’attraper un vif d’or dans son sommeil ! Le visage de son professeur grimaça devant son verre d’alcool, avant finalement d’y retourner avec un air bien plus appréciateur.
Le jeune homme lui expliqua brièvement qu’il n’avait pas d’attache et que la tornade Milo était dure à contenir. Amy hocha la tête avec un sourire. Elle connaissait en effet peu de personnes capables d’avoir cette énergie folle, une idée à la seconde, et les tripes pour aller jusqu’au bout de celles-ci - à part peut-être sa cousine, la génialissime @Eleanora Clearwater. La Poufsouffle fronça cependant les sourcils à la mention d’une Gryffondor qui l’agaçait. Une rousse ? C’était noté. Elle se montrerait dorénavant vigilante à l’égard des roux de sa maison… Il mentionna son frère et Amy visualisa le visage d’@Israfel Clearwater qu’elle trouvait si semblable à celui de Milo. Pourtant, elle connaissait très peu ce dernier, et supposait juste qu’il devait être aussi sympathique que les autres Clearwater qu’elle connaissait.
Quand le jeune sorcier lui retourna sa question, la jeune fille soupira en faisant tournoyer son alcool dans son verre comme un vieux loup-garou.
- Oh ben moi, les trois sont réunis dans la même personne… Un beau Croate qui me mène en bateau… Mais pour lui, je ferai toutes les croisières du monde…
Mais alors qu’il s’était levé pour se resservir, Milo lui fit soudain un signe pour la faire taire. Tendant l’oreille à l’image de son compagnon, Amy perçu des bruits de pas, ainsi qu’un cliquetis sonore. Son ami chuchota, craignant qu’on ne les enferme dans cette pièce qui avait viré au vert. Une armoire derrière eux se mit à vibrer et Milo l’entraîna en sécurité derrière un fauteuil juste avant que les portes de cette dernière ne s’ouvre. Amy retint un cri d’exclamation quand elle vit un énorme serpent en sortir lentement, fixant Milo dans une posture menaçante. C’était peut-être un système anti-intrusion… Il fallait absolument qu’ils dégagent d’ici !
La jeune fille voulut pousser son camarade dans les escaliers mais l’immense corps du professeur Jameson ne voulait pas bouger, alors que le serpent se rapprochait dangereusement. Amy n’eut pas d’autre choix que de se positionner devant lui, baguette levée, sans même savoir quel sort elle pourrait bien lancer. Mais soudain, le serpent se transforma, prenant brusquement une forme humaine. Ou pour être plus exact, un cadavre en décomposition, en train d’avancer vers elle.
- Oh Doamne, marmonna l’étudiante qui se liquéfia de peur devant cette vision. Des morts-vivants… Ils ont des morts-vivants…
Dans une tentative désespérée de fuite, elle tenta de reculer pour pousser Milo vers les escaliers mais son poids de l’oncle fut de nouveau un obstacle. Alors que la peur faisait s’envoler son coeur dans sa poitrine, son collier - un artefact familial confié par son père - se mit à briller soudainement. Et alors que l'épouvantard allait poser la main sur elle, il fut projeté en arrière par une puissante onde magique. Sous le choc, la créature changea plusieurs fois de forme, passant du boa au cadavre dans des plops désordonnés.
- C’est un épouvantard, reconnut enfin la jeune fille dans un cri de soulagement.
Cependant, elle n’avait jamais été bien douée pour combattre ces créatures de l’enfer ! Pointant sa baguette vers lui, elle voulut profiter de son état d’égarement pour lancer un sortilège de Riddikulus, mais sa baguette se contenta de jeter des petites étincelles. Alors, elle attrapa Milo par la main pour courir en direction des escaliers. Malheureusement , quand ils parvinrent devant, ce fut une amère déception. Ces derniers avaient disparu, laissant la place à une pente dépourvue de marches qui les empêchaient de remonter. Se tournant alors vers la première porte qu’elle trouva, elle tenta de la déverrouiller. Mais de nouveau, ce ne furent que de brillantes étincelles qui s'éjectèrent de sa baguette à grand bruit.
- Rhhhhaaa mais j’arrive à rien, s’énerva-t-elle en tambourinant inutilement la porte en question.
(Deux lancers de dés, deux échecs)
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Mais, cela n’avait pas tellement d’importance, car en réalité, j’étais bien ici. Encore habillé, je lisais calmement un grimoire quand soudain, ma lampe de chevet se mit à clignoter et à hurler.
Fermant le grimoire d’un geste sec, je descendis du hamac et je fermais mon livre d’un claquement sec ! J’allais savoir enfin, qui tapait dans ma réserve de whisky irlandais !
Avec un léger sourire pervers, je me dis que l’épouvantard que j’avais placé serait suffisent à la retenir. C’est donc, le visage triomphant, que je me dirigeais donc vers le troisième étage. J’avais loué une salle désaffecté pour mettre des affaires trop encombrantes. J’étais là depuis quand même 12 années, j’avais bien le droit à ce petit service.
Sans cérémonie, je pointais ma baguette sur la malle. Elle s’ouvrit dans un fracas épouvantable. La lumière fit reculer instinctivement l’épouventard. Mais ce dernier n’hésita pas, quelques secondes après s’être réfugié sous forme de mort-vivant à se diriger vers moi. Aussitôt à quelques pas, il se transforma en un Ours immense qui se mit à mugir.
« Riddikulus. »
L’ours se transforma en ourson, perdit l’équilibre comme un bébé ours tout mignon et leva ses deux petites pattes dans un air désespéré. La lumière fut trop vive, et il refusa d’attaque quiconque, préférant se terrer dans un recoin de la pièce.
« Jameson ? C’était toi ? Avec… Miss Jordan ? »
Je levais les sourcils. Ma baguette toujours tendue, je la pointais directement sur Jameson. Mes yeux se plissèrent. Après tout, ce n’était pas si étonnant que cela. Il avait toujours aimé me casser les noises, depuis que j’étais ami avec son frère. On s’entendait bien mais… Il ne pouvait pas s’en empêcher, c’était plus fort que lui hein !
« Fluffy vous a ralenti hein ! » dis-je d’un air triomphant.
Oui, j’avais appelé l’épouvantard Fluffy. Parce que j’étais convaincu que sous sa forme naturelle, un épouvantard était quelque chose de très mignon. Ne me laissant ma déconcentrer, j’observais les bouteilles entamées, et je plissais des yeux.
« C’est curieux. Que tu aimes autant le whisky irlandais. Je ne m’attendais pas à toi… Ni à vous Miss Jordan. »
Comment pouvais-je la sanctionner alors qu’elle était avec un professeur ? Un directeur de maison qui plus est ! On était de rang égale à Poudlard… Mais pourquoi avait-il décidé d’entraîner une élève avec lui ? Ce n’était pas le genre de Jameson. Ou alors, ce petit coquin cachait bien son jeu. Je ne pouvais rien dire, puisque moi même il m’arrivait de flirter avec plus jeune que moi. Mais… Des étudiantes !
« Et donc, je peux savoir pourquoi tu tapes dans ma réserve ? Il n’y a plus de distillerie en écosse ? Ils se sont reconverti dans la tisane bio ? » dis-je avec amertume et le ton un peu cassant.
J’aimais bien Jameson. Mais j’aimais pas qu’on touche à mes affaires. Et bon sang que foutait Amy Jordan ici. Ma baguette glissa quelques peu vers elle.
« Et vous, Miss Jordan, on peut savoir quel bon vent vous amène ici ? En sa compagnie ? C’est le duo le plus improbable que j’ai vu depuis fort longtemps pour un méfait. »
J’allais pas lâcher l’affaire. Ma baguette faisait toujours la navette entre les deux. Je n’avais jamais su si je faisais le poids contre Jameson. On avait pas du tout la même expérience magique… Mais nos matières étaient aussi proche qu’éloignés. On pouvait s’amuser. Même si je ne raffolais pas de la violence, un petit duel amical ne pouvait pas faire de mal.
« Et bien, qu’est ce que tu attends pour sortir ta baguette ? Oh, tu as peur qu’on se fasse dénoncer. Jordan, si vous dites quoi que ce soit, je retirerai 150 points à Poufsouffle l’année prochaine. Cela voudra dire que quand votre attrapeur très doué attrapera le Vif d’or, les compteurs seront remis à zéro. »
D’un coup de baguette, je fis envoler Amy pour qu’elle se mette entre deux en position d’arbitrage.
« Vous allez être témoin du duel le plus époustouflant de l’histoire Jordan ! »
i choose you. ft. @amy jordan et @luke korrigan
la peur dans le bide, tu restes figé face au reptile qui siffle et arrives si proches de vous que tu t'entends déjà chuchoter des mots étranges. tu serres si forts les dents que tu les entends grincer et cela te fait terriblement souffrir... ce serpent est synonyme de malédiction, et tu sens au fond de tes tripes qu'elle risque d'exploser à nouveau.
tu as si bien tenu ton secret durant trois ans, tu peux faire mieux que ça, non ? tu sens le poids de la blonde chercher à te pousser, te tirer mais tes yeux sont fixés sur l'animal.
mais quand amy se met devant toi, tu sens ton cœur lâché. toute ton âme te condamne à la lâcheté alors qu'elle se sacrifie pour toi. « non, amy ! » que tu dis en l'attrapant par l'épaule. un léger sifflement sort d'entre tes lèvres. « saaa ya ra sief... » mais avant d'en dire davantage le serpent change pour devenir une autre créature bien plus répugnante. « mais par morgane ! » que tu hurles de ta grosse voix quand amy le fait projeter à plusieurs pas de vous.
un épouvantard, évidemment. dire que tu as failli parler fourchelangue dans le plus grand des calmes, pour la sauver... d'un foutu épouvantard. tu te fatigues d'être maudit par les situations incongrues. tu espères qu'elle a pris tes premiers mots pour des soupires de peur... mais c'est la suite qui devient particulièrement effrayante.
une lumière aveuglante vient pousser l'épouvantard dans ses retranchements. tu places ta paluche devant tes yeux pour en faire une ombre et tu observes le professeur korrigan transformer le monstre en peluche.
tu soupires... y a rien qui va.
mais le pire étant, que oui... tu n'es plus milo... tu es @jameson clearwater habillé de vêtement déchiré, presque en slip, dans une salle secrète cachée dans une malle avec une élève. tout va bien.
tu plisses le nez, essayes de sourire avec dédain comme le ferait ton oncle face à une connaissance peu appréciable.
néanmoins, tu ne trouves pas les mots pour lui répondre. qu'est-ce que dirait ton oncle ? ton cœur bat si fort que tu le sens tambouriner contre ta peau. ton regard glisse sur ta meilleure amie avant de revenir au professeur.
tu dois trouver quelque chose, et vite.
et alors que tu veux attraper la belle par le poignet pour la ramener, le professeur en décide autrement. « quoi ? » que tu dis de ta voix dure. « je ne me battrai pas contre toi, korrigan. » et tu te forces à tutoyer ton professeur. ça te semble si peu naturel.
mais tu te forces à prendre les gestuelles de ton oncle. par pitié, tonton, ne m'abandonne pas. tu fusilles alors le professeur d'un regard dur. « j'étais en train de discuter d'un devoir avec miss jordan quand on a entendu du bruit dans la salle voisine. » jusque là, ça tient, ta voix est calme. « nous sommes tombé sur ta réserve interdite, et j'ai octroyé à miss jordan un remontant... et par la même occasion, à moi également. » tu ne sais même pas si ton oncle parle avec autant de dédain. « et je me retrouve habillé ainsi car miss jordan a des soucis de baguettes. après avoir transformé mes habits, elle les as déchiré avec un sort de ciseau prodigieux mais mal maîtrisé. » et tu soupires en sentant ton estomac se contracter, tu sens déjà quelques changements opérer en toi.
non, pas maintenant. « donc laisse nous partir, tu veux ? tu sais que je te mets par terre quand je veux. et je refuse d'être la raison de tes pleurnicheries. » tu viens chercher le poignet de la blaireau, et l'attrape par les épaules, chuchotant pour ne pas être entendu. « je change, partir. » avant de te redresser et de faire face au professeur de métamorphose. « allez, laisse nous remonter, et je tairai ta cachette. je n'apprécie pas réellement la liqueur de gonzesse. » et c'était peut-être le mot de trop, celui que ton oncle, lui, n'aurait pas dit.
oui, tu te frappes mentalement la tête dans un mur actuellement.
te taire, tu dois apprendre à te taire.
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I choose you Le transformez pas en quelque chose… de pas naturel
La malle dans laquelle les deux étudiants étaient coincés s’ouvrit soudainement, les inondant de lumière. En plissant des yeux, Amy eut du mal à apercevoir le héros qui venait ainsi les sauver d’une mort certaine. Le zombie prit la forme d’un immense et effrayant ours qui finit par se changer en petit ourson mignon. La Poufsouffle eut du mal à détourner son regard de l’adorable petite boule de poil qu’elle eut brusquement très envie de serrer contre elle pour la couvrir de bisous.
Mais finalement, alors qu’elle se tourna pour habituer son regard à la nouvelle luminosité, la Jordan reconnut peu à peu la silhouette d’un professeur bien connu… Celui dont le bleu lumineux de ses yeux faisait régulièrement chavirer les premiers rangs de sa classe. Luke Korrigan, le professeur de métamorphose ! Il était visiblement assez remonté de voir celui qu’il prenait pour son collègue en compagnie d’une étudiante en train de siffler ses bouteilles d’alcool. Son beau regard semblait lancer des éclairs et son sourire éclatant portait une pointe de défi.
Il pointa sa baguette sur la Poufsouffle, la faisant s’envoler dans les airs afin de laisser libre cours au combat dont il voulait qu’elle soit témoin. Horrifiée, la jeune fille ouvrit la bouche et posa les mains sur sa tête en fixant son jeune ami sous les traits de @Jameson Clearwater. Ce dernier ne se laissa cependant pas démonter, jouant à merveille son rôle de vieil écossais bourru, aussi effrayant et désagréable que l’original. A sa suite, Amy se hâta de se précipiter entre les deux enseignants, bras tendus de part et d’autre pour stopper de potentiels sortilèges à mains nues.
- M’sieur Korrigan, faites pas de mal à M’sieur Clearwater s’il vous plait ! Tout est de ma faute ! Le transformez pas en quelque chose… de pas naturel…
Ramenant ses mains vers elle, elle tambourina nerveusement le col de sa robe alors que du coin de l’œil, elle observait le vieux Clearwater dans ses vêtements en haillon qui semblait bouillonner de colère… Est-ce que Milo était vraiment si fâché que ça ? Déjà un peu plus tôt, il avait agi bizarrement, en sifflant entre ses dents - presque comme s’il avait voulu parler à l'Épouvantard-serpent… Son visage était crispé, et son corps donnait l’impression d’onduler sur lui-même… Oh nom d’un croup ! L’effet du polynectar commençait à prendre fin ! Catastrophe ! Il fallait absolument qu’elle détourne l’attention du professeur Korrigan ! N’écoutant que son courage, elle se jeta sur ce dernier, serrant fermement ses bras dans ses petite mains.
- Pour vous dire la vérité M’sieur Korrigan, le professeur Clearwater a tout fait pour m’empêcher d’entrer… C’est moi qui voulais venir ici. Pour voir. Parce que… Parce que… Parce que je suis amoureuse de vous ! Voilà. Vous savez tout ! Je suis désolée ! Je sais que cet amour est impossible, mais c’est très dur pour moi de m’en empêcher ! Enlevez pas 150 points à Poufsouffle s’il vous plaît ! Même si je sais que Michel-Ange aurait aucune difficulté à les regagner… Je voulais juste… attraper Fluffy !
Mue par un coup de tête aussi stupide que dangereux, elle attrapa le charmant ourson poilu planqué derrière le fauteuil qui se changea sous ses yeux stupéfaits en un affreux ourson-mort-vivant aux dents acérées. Ses petites pattounes attrapèrent le cou de la jeune sorcière qui tomba à terre, à moitié étouffée par l’Epouvantard en furie.
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« Belle imitation. Mais, Jameson m’appelle toujours par mon prénom et… rah ! »
Je me dirigeais vers Miss Jordan qui s’était mis à vouloir caresser l’ourson. Sans un mot, je me dirigeais vers lui et ce dernier refonça vers moi sous la forme d’ours. Mais cette fois-ci, j’enlevais mon chapeau melon. D’un grand mouvement de ma baguette et de mon bras en arc de cercle, j’envoyais une détonation directement sur l’épouvantard. Ce dernier se mit à rétrécir et s’élança dans mon chapeau comme une balle de fusil. L’instant d’après, le chapeau tomba sur le sol en tremblant et en poussant un énorme hurlement. Je passais ma main dans mes cheveux d’un air un peu tendu et je me retournais vers Jordan et le faux-Clearwater.
« Je disais donc… Miss Jordan, vous avez beau défendre corps et âme cette personne ; et votre déclaration me touche beaucoup... »
Je tenais toujours ma baguette pointait vers eux. Mon index se posa sur mon menton et je me prêtais brusquement à dire :
« Mais ce n’est pas Jameson Clearwater. Donc, pour l’amour de Serdaigle, dites moi la vérité… Où je la prends moi même. »
Je pointais ma baguette vers le faux-Jameson. Je leur devais quand même une explication. Avec un léger sourire en coin je poursuivais :
« C’est certes une très bonne imitation, ce qui me fait déduire que j’ai en face de moi un vrai Clearwater. Car les intonations de voix sont presque parfaites ! En revanche, je connais le Professeur Clearwater depuis plus de vingt ans. Et… a défaut de vous décevoir, il n’aurait jamais été en difficulté face à un simple épouvantard. »
Ma baguette toujours passant de l’un à l’autre je les regardais avec un léger sourire. Comment Jameson avait pu laisser traîner son ADN ? Ca puait le Polynectar à plein nez. Est-ce qu’ils avaient acheter ou réaliser la potion ?
Je voyais déjà que la potion était d’ailleurs en train de perdre en efficacité. Les traits de Jameson laissèrent peu à peu la place à….
« Tiens tiens tiens... »
Je souriais en coin et… baissait ma baguette. Je n’allais pas me battre contre deux étudiants. Avec un léger sourire en coin emprunt d’un certain sadisme je les regardais tour à tour. Dans un silence qui ne présageait rien de bon, je commençais à réfléchir à la sanction la plus approprier.
« Cela fait beaucoup d’articles de règlement violés en peu de temps les enfants... »
J’appelais souvent mes étudiants les enfants. Parce que… C’était un peu le cas. Et ces deux imbéciles confirmaient mes soupçons sur la maturité des étudiants de Poudlard. J’attirais une caisse de whisky pour m’asseoir face au Gryffondor et à la petite Poufsouffle.
« Bien… Nous allons commencer par Monsieur Clearwater. J’aimerai savoir comment vous en êtes arrivés à… usurper l’identité de votre oncle. Etait-ce pour une blague ? Un jeu érotique avec Miss Jordan ? »
Je restais attentif à ses réponses. D’un calme olympien, je regardais le chapeau melon bougeait comme un dément un peu plus loin. Les yeux plissés, je me mis à réfléchir. Une main sur le menton, je me tournais vers Amy.
« Et vous ? Vous saviez que, justement si vous et Monsieur Grimm que vous semblez porter avec honneur, n’étaient pas à Poufsouffle ces derniers auraient gagné la coupe des quatre maisons ? »
Les calculs étaient terminés, et Serdaigle allait gagner. J’étais content, car j’étais le directeur de cette maison mais… ce n’était pas une raison. Je tapais alors brutalement des mains comme pour leur faire peur et les réveiller un petit peu.
« Bien ! Si je rapporte à qui que ce soit ce que j’ai vu ce soir, vous serez malheureusement tous les deux renvoyés de Poudlard. »
Je posais sur eux un air assez grave. Mes doigts passèrent également sur l’arrête de mon nez.
« Mais il faut bien que jeunesse se fasse… Je vais exceptionnellement faire comme si je n’avais rien vu. »
Je leur adressais un véritable sourire chaleureux. C’était disneyland hein comme disait les moldus ? Pas vraiment. Je gardais mon sourire entendu en les observant.
« En revanche, vous aurez une sanction. J’ai besoin de deux assistants pour mes travaux de recherche et pour Poudlard. Jordan, vous serez mon assistante pendant un mois. Vous nous suivrez cet hiver au Conciliabule de Métamorphose qui aura lieu au Japon et vous… porterez mes affaires... »
Je fis un geste vague de la main, lui laissant imaginer l’ensemble de valise remplis de divers objets et animaux.
« Et quand à vous Clearwater, puisque ce n’est pas la première fois que je vous attrape dans ce genre de situation, vous serez mon assistant toute l’année prochaine, en intégralité. »
Je le regardais dans les yeux. Je savais que ce gamin avait un potentiel et qu’il était en train de le gacher. Je savais aussi qu’il manquait cruellement de confiance en lui. D’un air dur, je continuais de le regarder dans les yeux afin qu’il comprenne bien que c’était une chance plus qu’autre chose que je lui offrais.
« Vous rejoindrez aussi Grimm et Clearwater en retenue les mois de Septembre et Octobre, Miss Jordan… Bien, je crois que j’ai tout dit. »
Je me levais, me dirigeant vers le chapeau melon qui tremblait encore. Arrivé à mi-chemin, je me retournais quand même vers eux :
« A moins que vous ne soyez pas d’accord ? » dis-je en souriant.
i choose you. ft. @amy jordan et @luke korrigan
bon, tu as conscience d'une chose. vous êtes dans la merde.
la plus grande des merdes que tu n'as jamais vu. même pire, tu ne sais absolument comment sortir de ce bourbier sans dire la moindre vérité.
déjà parce que tu mets en péril le boulot de ton oncle @jameson clearwater et que tu t'apprêtes à dire la simple vérité quand amy, courageuse et époufsoufflante blaireaute, se met en travers de votre chemin pour dire des mensonges aussi gros qu'elle que t'en viens presque à rire, tant la situation devient si désespérée que tout et n'importe quoi pourrait passer comme un excellent mensonge.
tu portes ton poignet à tes lèvres pour dissimuler le sourire et le fou rire qui t'étrangle quand enfin le prof korrigan ne se laisse pas prendre à vos jeux d'enfant.
tu paniques quand l'ourson s'en prend à ton amie. « merde, amy ! » que tu cries en voulant prendre les choses en main, mais comment ? finalement, c'est simple comme un bonjour... le professeur va percer à jour toutes les vérités de cette drôle de situation.
sauvée de l'ourson tueur, tu regardes la bête s'enfuir dans un chapeau et tu perds un instant tout repère. tu aimerais pouvoir avoir ce genre de don, ce don parfait qui t'aiderait à faire le bien plutôt que celui que tu as et qui te permet surtout de t'affilier aux sombres années de terreur.
les effets du polynectar s'estompent et tu sens ton corps rapetisser, tes vêtements déchirés te vont étrangement bien alors que tu récupères un visage parfaitement imberbe.
et tu perds toute crédibilité. « merde... » que tu siffles entre les deux. deux conneries, deux reprises... et deux bonnes raisons d'être viré de poudlard.
d'un côté c'est aussi ce que tu espérais. mais depuis ta discussion avec jameson, tu espérais bien continuer quelques années encore jusqu'à trouver ta voix. « je suis désolé. » que tu dis en haussant les épaules. tu passes devant amy. « j'ai voulu faire une blague à mon oncle, mais ça a mal tourné. on est tombé sur votre salle de classe par hasard... désolé. » tu te fais petit, pinces les lèvres en restant devant la jaune et noir comme pour la protéger mais quand il s'adresse à elle, tu te retires pour la laisser répondre à ses interrogations.
tu avais beau trouver korrigan étrange, tu t'en sortais toujours étrangement bien. même si tu passais des mois en retenues... tu n'étais jamais renvoyé. il était peut-être temps que tu calmes le jeu ?
et la double sentence tombe. « quoi ? » que tu dis incrédule. assistant ? de quoi ? pourquoi ? impossible. « sauf votre respect, je ... » mais aucune place à la discussion, il continue à déblatérer ses sanctions et sa dernière interrogation te fait fermer ton clapet. « non, professeur. »
l'espoir qu'il avait insinué était aussi vite retombé qu'un soufflet. d'un geste tendre, tu attrapes la main de amy et t'échappe de la pièce, oubliant jusqu'alors le serpent qui avait failli te coûter des explications.
tu la tires dans les escaliers et grimpes mais arrivés à mi-chemin, tu te mets à rire. à rire si fort que t'en as mal au ventre, les larmes aux yeux, tu arrives difficilement à monter les marches. « putain, c'était chaud ! » que tu dis entre deux respirations pénibles.
repenser à tout ce bordel ne faisait que te tordre de rire. des pétards dans le couloir, au polynectar, à l'apparence de jameson, au coffre caché, au whisky, à l'épouvantard, à la confrontation, à amy et son amour pour le professeur. « putain, t'aurais vu ta tête quand t'as dit que tu kiffais le prof. » et tu continues de rire quand tu sors du coffre en lui offrant ton aide. « je crois que je n'ai jamais passé un aussi bon moment de toute ma vie. » et tu lui ouvres la porte de la salle pour aller dans le couloir. « on me l'aurait raconter que je ne l'aurais jamais cru. » tu essuies tes larmes, toujours le sourire aux lèvres qui te crispent les joues. tes vêtements déchirés affichent fièrement ta peau de fesses, ton caleçon, tes cuisses, tes mollets, ton torse complètement à découvert et ta robe à rapiécer. « ma mère va me tuer. » que tu finis par conclure en riant à nouveau. « et cet ourson... que tu as pris pour une peluche ! » et c'est reparti, tu te tords en deux de rire.
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Novice (30%)
Maturité Magique (MM):
(21/50)
Education Magique (EM):
(30/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(5/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Quand le sorcier pointa sa baguette sur Amy, cette dernière déglutit avec difficulté. Le professeur Korrigan était bien trop intelligent pour se laisser prendre à leur jeu. Allait-il découvrir qui se cachait derrière le visage du professeur Clearwater ? Pourtant, Milo était le meilleur acteur qu’elle eut jamais vu, et elle-même n’était plus tout-à-fait certaine de se trouver en présence de son ami et non de l’effrayant enseignant de sortilèges. Mais pour son plus grand désarroi, Jameson Clearwater se mit à se gondoler, son visage prenant d’étranges proportions alors que son corps rapetissait. Milo était en train de reprendre son apparence ! Cognard, la catastrophe ! Le regard horrifié d’Amy se posa un court instant sur le postérieur dénudé de son ami avant qu’elle ne se tourne de nouveau vers leur professeur. Ce dernier semblait assez peu étonné de ce dont il avait été témoin et prenait son temps, décidant à quelle potion ils allaient être mangés.
Quand la question de leur renvoi fut prononcée, Amy faillit tourner de l’œil. La gravité de la sentence ne l’inquiétait pas tant : vu son appétence pour les études, elle ne comptait dans tous les cas pas faire prolonger son calvaire – et surtout celui de ses enseignants - trop longtemps. Elle serait simplement reniée par son adorable intellectuel de frère @Elijah Jordan. Mais à faire de bisous, câlins et divers cadeaux, elle était sûre qu’il finirait par lui pardonner. Non, sa crainte ne concernait que Milo. Il lui avait clairement exprimé sa peur de se faire expulser et Amy lui avait assuré que cela n’arriverait pas, malgré les catastrophes qui s’enchainaient bien malgré eux. Car finalement, toute cette situation n’était qu’un ramassis de malchance : la mauvaise potion de polynectar, une malle-bistro ensorcelée qui appartenait à un professeur… Ils étaient en réalité les victimes d’un destin s’acharnant contre eux… C’était ce qu’elle s’apprêtait à dire au professeur avant qu’il ne reprenne la parole pour atténuer leur punition.
Le soulagement la submergea tant qu’elle eut envie de prendre tout le monde dans ses bras : professeur, camarade, ourson-zombie… M. Korrigan était un véritable ange-gardien ! En échange de sa mansuétude, les deux étudiants devraient jouer aux esclaves pour un temps donné. Une aubaine, Amy avait l’habitude de servir son héro de grand frère depuis qu’elle était toute petite ! En comprenant qu’elle aurait de plus l’occasion de voyager, et de se muscler en portant les affaires du professeur, Amy sut qu’elle était toujours protégée par sa bonne étoile. Son père croyait fermement à la notion de destinée et tout prouvait à la jeune fille que la fortune prévoyait pour elle de formidables aventures ! Quand le professeur leur demanda si sa proposition leur convenait, la jeune Poufsouffle se pencha respectueusement en enchaînant les révérences avec de grands gestes de la main.
- Excellence, je m’engage à être la meilleure des assistantes pour vous, et vous servir du mieux que je le pourrai, et répondre à toutes vos attentes et besoins…
Déjà, Milo lui attrapait la main pour s’échapper, avant que le bon professeur ne change finalement d’avis. Les deux étudiants fuirent sans demander leur reste ; quittant la pièce et s’engouffrant dans les escaliers à grandes enjambées. Mais essoufflés et pliés de rire, ils durent rapidement s’arrêter pour laisser libre cours à leurs esclaffades. Milo commentait en pleurant de rire ce qui venait de leur arriver, et la tension soudain envolée, Amy finit par en tomber à genou de rire sans plus pouvoir se retenir. A son grand soulagement, Milo semblait avoir passé un excellent moment en sa compagnie et leur expérience ne trahirait pas la réputation de joyeux luron que s’était construite Amy. Elle était cependant bien trop occupée à rire pour exprimer sa gratitude envers son ami qui ne lui tenait pas rigueur d’avoir frôlé l’expulsion. Peinant à reprendre son souffle, Amy finit par tomber à la renverse, se posant de dos pour essuyer ses larmes de rire.
- Maintenant, dès que je verrai un épouvantard mort-vivant, je penserai à l’ourson ; je vais devenir experte en Ridikulus !
Son rire repartit de plus belle avant qu’elle ne le pointe du doigt dans ses lambeaux de vêtements.
- Moi j’trouve que ça te va plutôt bien, t’es beau-gosse Milo ! Enfin… Même si t’étais mieux en professeur Clearwater…
Un nouvel éclat de rire la coupa dans son élan et elle dû se redresser pour se remettre de ses émotions. Un coup d’œil à son ami suffit à lui fendre derechef la poire.
- Enfile un sweat Milo, je vais t’offrir à boire ! Tu l’as bien mérité !
Il n’y avait pas de meilleur moyen de finir cette aventure qu’en la narrant à tous les poivrots de Pré-au-Lard, grossissant les dangers qu’ils avaient frôlé et caricaturant leurs professeurs de manière comique pour s’assurer des tournées gratuites toute la soirée.
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