All I ever wanted all I ever needed | Valérian

Identité : Théophile Valérian d'Avalon, né Theophilus Valerian d'Avalon. Il a choisi de franciser ses différents prénoms à la suite de ses études. Un acte réfléchi et discuté avec sa famille. Un moyen de plaire à sa belle. Il est tombé amoureux de cette langue et voyage beaucoup dans les contrées qui la parlent. C'est un plus professionnel.
Sa famille reste la seule à privilégier Theophilus. Tel un rappel à l'ordre.

Date et Lieu de naissance : 30 décembre 1975, Au manoir familial perdu en pleine campagne, 47 ans
Il est capricorne ascendant cancer. Deux signes qui le définissent mieux que des mots.

Statut civil : Célibataire ; son cœur appartient définitivement à une défunte.

Scolarité : Scolarisé à Beauxbâtons.
Il a ainsi pu bénéficier d'une éducation très aristocratique et portée sur les arts. L'étude de la poésie se révèle probablement le point le plus distrayant de son parcours. Il y a obtenu ses DINDE's.
Néanmoins, pour s'armer de pratique sur le terrain et acquérir de l'expérience, il est venu suivre un double cursus de MULOT's en Archéomagie et Recherche à Poudlard. Un érudit à n'en point douter. Réparti sans aucune hésitation chez les Serdaigles.

Profession : Aujourd'hui et depuis de nombreuses années, il travaille officiellement à l'idem en tant que chercheur en magies et pratiques oubliées. (Qu'elles soient anciennes ou non.) Un titre vague qui ne fait justement pas de vague pour pouvoir consigner les magies bannies et proscrites également.
Il joue parfois les explorateurs avec une équipe, lorsque son expertise est demandée ou qu'il se trouve déjà dans la région. Ce n’est pas là son fonds de commerce, mais il sait se prêter à l’exercice. Valérian a d’ailleurs déjà collaboré avec Irvin Vorpe.

Baguette magique : Baguette en bois de Bouleau et plume de Phénix ; 33,3 cm ; fine ; extrêmement rigide.

Famille : Possède quelques difficultés à ce propos depuis plusieurs années. (cf arbre)
Fils benjamin d’Aliénor d’Avalon née Pendragon et de son père.
Dernier de la fratrie, arrivé après Ester et son frère.
Compte des neveux et des petits-neveux qu’il ne fréquente pas.

Hérédité du sang : Sang-pur ; Issu d'une alliance entre Pendragon et d'Avalon.

Particularité magique : Animagus déclaré prenant la forme d'un corbeau.
Faculté apprise auprès de sa mère comme un lien privilégié tissé entre mère et fils. Avantage significatif dans son travail et dans son système de surveillance.

Caractère : Intellectuelle...
Il fait partie de ces personnes qui sont des érudits avant toute chose. La recherche du savoir, de la compréhension prime sur bien d'autres aspects plus moraux. Il respectera la science et les faits plus que l'homme qui les relate.
Assidu ; Curieux des faits, mais très peu des gens ; Ordonné ; Pointilleux ; Attentif ; Motivé ; Possède une éthique douteuse, pour lui la recherche et la science n'ont aucune limite.

...muraille, dure comme de la pierre...
Fiable avec ses collègues, mais pas amical pour autant. Il cherchera toujours à atteindre l'objectif fixé. Peu importe le temps que ça lui prendra.
Cynique ; Secret ; Distant ; Ne sait plus comment se lier avec les autres ; Prudent ; Obstiné.

...qui parfois roule vers de nouvelles contrées...
La recherche et l'attrait des magies oubliées l'emmènent à participer à diverses explorations, lui permettant de voyager. De découvrir le monde. D'accumuler du savoir et des connaissances. D'échanger sur les coutumes locales. Et parfois, il fait tout ça seul.
Insomniaque ; Solitaire ; Calme ; Endurant ; Aventureux ; Vigilant.

...avant de devenir...
Bloqué dans un passé qu'il est incapable d'oublier, il n'arrive pas à avancer dans sa vie personnelle. Néanmoins, son éducation lui permet de paraître à peu près ‘normal’ en société, aux yeux des autres. Non pas ordinaire, puisque beaucoup de ceux qui le côtoient ont compris que Valérian n'avait rien d'une créature sociable. Mais de ressembler à quelqu'un d'équilibré. Homme galant, c'est encore son éducation qui parle plus que de quelconques valeurs.
Il a d'ailleurs hérité de sa mère, feu Aliénor Pendragon, le devoir de paraître parfait, de ne pas montrer ses pensées profondes et son malheur. (Même s'il n'a jamais réussi à devenir un occlumens, il a trouvé la parade parfaite en devenant animagus.)
Gallion à double face.

...une éponge dégorgeant de sentiments...
Lunatique ; Psychologiquement instable lorsqu'il se retrouve confronté à ses pensées trop longtemps.
Vulnérable ; Émotionnellement fragile et instable.
Rongé par l'acte qu'il a commis, qu'il tente par tous les moyens de réparer. 

...parfois lumineux.
Passionné de poésie depuis sa scolarité, il se montre sensible à la beauté de l'art. Il éprouve une certaine affection envers les animaux. Particulièrement son corbeau de compagnie. Mais il perd volontiers son temps à tenter d'approcher n'importe quelle créature qu'il croise. Particulièrement les singes de la jungle, sa nouvelle lubie.

Patronus : Une colombe. Lorsqu'il arrive à le produire.

Miroir de Risèd : Une vision de Constance et lui, ensembles, heureux. Parfois avec des enfants, dont un qui ressemble étrangement à @Antor William d'Avalon. Parfois sans, devant une maison isolée entourée d'un magnifique jardin dans une clairière. Parfois, ils sont dans leur lit en train de faire l'amour. Parfois, ils somnolent juste dans une balancelle profitant des rayons chaleureux du soleil. Une douce torture qui le plonge un peu plus dans les embruns de la folie.

Epouvantard : Rien ne l'effraie plus que l'acte qu'il a commis. Il revit donc cet épisode. Néanmoins, il arrive à tromper l'assistance en prenant la peur la plus primaire de son animagus. Le faucon.

Particularités : Sujet à la folie, a des phases de démences.

Qui es-tu ? : Alice, encore moi...

Faceclaim & Crédits : Ian Bohen (Tumblr)

Trigger Warnings : Le meurtre, la mutilation, la folie, etc. Le côté sombre de la vie. De l'humain.

Comment avez-vous connu le forum ? : Je suis ici chez moi /pan

Un petit plus ? : J'avais promis avec moi-même que je ne ferai plus de nouveau compte... J'ai été si faible T_T Mais c'est la faute d'Archeas ! Je dénonce D: (t'as vu Shady, pour une fois je t'accuse pas )
Mais j'annonce, c'est pas lui qui sera le plus actif de mes comptes. J'ai pas envie de finir en PLS  
Et moi contrairement à Rémi je suis fiable

Né dans le manoir situé sur le domaine familial, Theophilus Valerian d’Avalon respecte la tacite tradition qui veut voir naître ses héritiers à domicile.

Enfant un poil différent du reste de sa fratrie. Plus jeune, petit dernier, plus proche de sa mère que de ses frère et soeur. Inconsciemment influencée par elle. Pas son aigreur et son côté acariâtre. Comme elle est enfermée dans son mariage arrangé et qu’elle n’apprécie pas les d’Avalon, il a hérité d’elle son côté détaché du reste de la famille.



Valérian suit une scolarité à la maison jusqu'à l’âge d’entrer à Poudlard. Se nourrissant de livres, de savoirs, d’une curiosité sur toutes les magies existantes. Autodidacte sur beaucoup de points, il se prend d’une passion pour les récits anciens et pour les recherches de Nicolas Flamel. Néanmoins, sa mère veille et distille différents savoirs et diverses méthodes à son égard. Elle lui imposera le savoir-vivre, les bonnes manières et l’aristocratie. Comme récompense ou en guise de privilège, il sera initié à l’art de la transformation en animagus avec elle. Il apprendra qu’elle en est un elle-même, non déclarée et qu’elle ne tient pas à ce qu’il régularise sa situation quand il aura terminé sa formation. Obéissant, il ne désobéit pas.
Il décide cependant, après des vacances en France et à cause de sa passion pour les Flamel, qu’il souhaiterait faire ses études là-bas. Le voilà parti pour Beauxbâtons. Loin de l’influence de sa mère ? Non, puisqu’il correspond énormément avec elle et qu’elle poursuit son initiation.

Dans l’enceinte de l’école française, il découvre les arts, la beauté de la poésie et la richesse de ses vers. Apprenant à maîtriser la langue. Il accumule donc là une nouvelle passion. Qui le conforte dans le choix de son école. Des récits de son frère et de sa sœur, rien de tel n’existe à Poudlard.
Il rencontre également Constance Delacroix. Une jeune femme incroyable en tout point. Pour lui, c’est le coup de foudre. Mettant son côté solitaire aux oubliettes, il se lie d’amitié avec elle. Pour finir par ne voir plus que par elle. Devenant proches. Plus qu’il ne l’a jamais été avec personne d’autre auparavant.



Il apprend qu’un mariage arrangé doit avoir lieu entre les d’Avalon et les Delacroix. Il se prend à espérer être l’heureux élu qui se voit offrir la main de la belle Constance. Après tout, bien qu’elle soit légèrement plus âgée que lui, il la connaît depuis plusieurs années déjà. Ils sont amis, Constance ne connaît pas son frère et sa sœur ayant déjà des enfants n’entre pas dans l’équation. À ses yeux, tout ne peut que s’aligner à sa volonté. Seulement, il déchante vite en apprenant que le contrat liera Constance à son frère.
Valérian tente par tous les moyens de faire changer cette décision. Prêchant auprès de sa mère pour obtenir gain de cause. Il sait qu’elle-même n’est pas heureuse de son mariage arrangé et qu’elle ne souhaite rien de tel pour son fils. Ou du moins, le pense-t-il. Cependant, Aliénor ne pourra rien y faire au plus grand désespoir de Val. Ou peut-être ne voulait-elle juste rien y faire. Bercée par la douce folie qui l’habite.
Il ne l’apprendra que plus tard, mais la santé mentale de sa mère était depuis de nombreuses années déjà dans le déclin.

Le jeune homme en veut à son frère de lui voler la femme qu’il aime désespérément. Puis il le torture un peu plus en le nommant témoin pour son mariage. Le forçant par ce biais à y assister. Ça lui brise le cœur. Mais malgré tout, il ne perd pas espoir. Un barrage cède dans son esprit, un plan prend place dans sa tête.

Des enfants ne tardent pas à voir le jour après ça. Ses neveux. Dans le domaine familial, comme il est de tradition chez les d’Avalon. D’abord une fille puis un garçon. Valérian ne va pas les voir. Néanmoins, il envoie toujours un mot à l’intention de Constance. Parce qu’il se doute que pour elle, c'est une épreuve.
Après la seconde naissance, il décide de mettre en place son terrible plan.




La retenue dont il faisait preuve jusqu’à présent cesse avec la naissance de Will. L’homme refuse de souffrir plus longtemps de cette situation. Voir Constance dans les bras de son frère ne lui est plus tolérable. Pour la femme de sa vie, il est prêt à tout. Même à un acte d’une noirceur terrible. Un fratricide. Pour suivre son plan qu’il a mûrement réfléchi, il donne rendez-vous à son frère un soir, tard, dans un lieu sensible. La guerre fait rage dehors et la moindre imprudence peut être fatale. Val, sous le prétexte d’une histoire importante, dont aujourd’hui, il a oublié les termes, réussit à rendre sa lettre criante de vérité. Du besoin de rencontrer son frère dans ce lieu.
Préparant un piège mortel, il s’assure que son frère n’en réchappera pas. Ou cas échéant, il finira fortement incapacité. Il est prêt à faire ce sacrifice si ça lui permet de récupérer la femme qu’il aime.

Malheureusement, rien ne se déroule comme il le désirait. Ce n’est pas son frère, mais Constance qui se rend au rendez-vous. Inquiète pour son ami de toujours. Val ne la verra que trop tard. Impossible à sauver. Figé dans un cri muet, il ne réussira pas à la retenir.
Il pleure sur son cadavre jusqu’à ce qu’il s’évanouisse de chagrin.

Amorphe face à la situation, il ne comprend pas ce qui l’entoure pendant plusieurs jours. Refusant d’accepter la réalité. N’assistant pas à la cérémonie pour dire adieu à sa belle Constance.
Il apprendra par la suite, de la bouche de son père, que ce dernier a fouillé ses souvenirs pour comprendre ce qu’il s’était passé ce soir-là. Le pot aux roses est découvert et Valérian pense honnêtement que c’en est fini de lui. Après tout, Constance n’est plus, son père sait qu’il est le seul responsable. À quoi bon lutter.
Sauf que son père se sent responsable de son dernier fils et de la ressemblance qu’il montre avec sa mère. Il va donc se retrouver avec une issue de secours. Soit il se dénonce et termine à Azkaban, soit il ne met plus jamais les pieds dans le pays et part vivre loin du domaine familial. Bien évidemment, Valérian choisit l’exil. Voilà la seule clémence qu’il se verra accorder pour le reste de sa vie.

Officiellement, aucune raison ne sera donnée pour sa mort, aucune enquête ne sera ouverte. Morte pendant la guerre, c’est tout ce dont on se souviendra concernant la cause du décès. C’est tout ce que son frère et leur père feront pour protéger Valérian qui ne verra rien de tout ça. Aveugle à la main tendue par son frère pour tenter, à défaut de les réconcilier, d’au moins, ne pas envenimer les choses. Aveugle à l’humiliation de son père auprès des Delacroix pour le couvrir. Entraînant un conflit entre leurs familles.
À partir de ce jour-là, il y a un tabou dans la famille des d’Avalon. Un secret que le patriarche a décidé de garder jusque dans sa tombe pour ne pas envoyer l'un de ses fils directement à Azkaban. Acceptant l'humiliation pour protéger son fils. Le dernier cadeau qu’il lui fera.

Exilé par son père ; Déteste son frère pour lui avoir volé la femme qu’il aime ; Tente de ne pas détester son neveu qui n’a rien demandé, y réussit parfois, d’autre non ; Voit en Will et sa soeur les enfants qu’il aurait dû avoir de Constance ; A depuis ce jour-là quelques problèmes avec le concept de famille.

N’aurait-il pas pu tout simplement en discuter avec elle depuis le début ? Ou en parler à son frère avant que les vœux ne soient prononcés ?



À la fin de ses études à Beauxbâtons, il enchaîne avec deux années supplémentaires à Poudlard cette fois. Profitant de l’enseignement, mais surtout des stages proposés pour acquérir de l’expérience. Le voilà donc partagé entre Poudlard et l’Idem.
Satisfaits de son travail, ils n’ont pas refusé sa postulation pour travailler à l’institut à plein temps après l’obtention de ses diplômes en archéomagie et en recherches.

Cependant, il ne se base pas en Angleterre pour son travail, respectant sa condition d’exilé, il parcourt le monde.

Valérian forme parfois des apprentis qui passent par l’Idem. Néanmoins, il choisit des étudiants passionnés pour ne pas avoir à dispenser son savoir dans le vent. Leur donnant le goût de la recherche et l’envie de déterrer les secrets des anciennes magies et des civilisations liées. Déteignant parfois sur eux. Laissant la formation pour l’exploration à ses collègues.




Ne sachant trop quoi faire pour réparer ses erreurs, Valérian se tourne vers la seule magie qu’il sait suffisamment puissante pour accomplir des exploits. Il plonge donc corps et âme dans la magie noire pour tenter de ramener Constance à la vie. Seule cette magie semble en mesure de défier la mort. Et le brun va tout faire pour gagner le combat.
Bien sûr, il a déjà pensé à s’obliviater, mais il refuse de perdre le souvenir de Constance. Et il se sait incapable de mener une vie à tenter de découvrir ce qui lui est arrivé, pour finalement apprendre qu’il est la propre cause de tous ses malheurs. Il a donc abandonné cette idée rapidement.
Il commence par déterrer et récupérer le corps de la toute jeune défunte qu’il conserve dans un puissant sort de glace dans un lieu extrêmement protégé. Pour que le jour où il réussira à la ramener parmi les vivants, elle n’ait subi aucun dégât de la nature. Qu’elle reste la même qu’au premier jour.

Le conte des trois frères fait partie de ses premières pistes également. Comme toute légende de ce monde, et il en connaît un rayon, elle possède forcément un fond de vérité. Il n’a jamais trouvé la pierre de résurrection, mais il n’abandonne pas l’idée pour autant. Le monde est trop vaste pour laisser tomber avant la fin.
Il s’est aussi penché sur les travaux, dont la principale création de son mentor spirituel, un grand sorcier qu’il admire depuis toujours, Nicolas Flamel. Tentant lui-même de fabriquer sa propre pierre philosophale. Ses connaissances en alchimie lui permettent de s’approcher du savoir nécessaire, sans jamais réussir à toucher du doigt le St Graal. Une discipline bien trop complexe pour s’y lancer sans cadre. Valérian sait abandonner lorsque le mur se révèle infranchissable. Parce que la mort, elle, ne l’est pas.

Expert en recherche, il s’est plongé dans l’étude de la nécromancie à ses nombreuses heures perdues. Perdant ses heures et son sommeil pour trouver une solution à son problème insoluble. Alliant théorie et pratique bien plus souvent que conseillé. Puisqu’aucune étude n’existe officiellement sur le sujet, il lui faut bien essayer. Sacrilège parmi les péchés.
Observant différentes pistes, il ne se cantonne pas à un seul pan de la magie noire. Passant par la création d’inferis, il tente de ne pas les transformer en zombies. Expérience non-concluante à ce jour.
Il a également tenté des expérimentations sur les détraqueurs, parce que c’était la suite logique de ses investigations.

La pratique intensive de la magie noire ne se fait pas sans conséquence. Il possède aujourd’hui ce grain de folie permanent, causé par la fréquence de son utilisation. Rendant son état émotionnel instable et rongeant un peu plus son âme déjà fortement abîmée par les remords. Par l’acte commis envers la seule femme qu’il aime.
Enseveli sous la culpabilité.

Depuis plusieurs années, il fait partie du projet Thanatos pour tenter de trouver des solutions. Val n’a cependant plus de nouvelles de leur part depuis quelque temps. Rien d’inquiétant, c’est déjà arrivé. Puis, il n’est pas un membre actif de l’organisation. Présent uniquement pour accéder à des bases de données et de recherches prohibées ainsi que des contacts. Faisant preuve d’un étrange sens de la moralité.



Valérian depuis son exil, se laisse porter par les projets professionnels et s’installe où le vent le porte. Il voyage relativement léger. C’est faux. Il transporte littéralement toute sa vie d’un point à l’autre du globe terrestre. Gloire à son statut de sorcier qui lui permet de connaître la joie d’un sac extensible et le sortilège pour alléger sa valise.

Il possède la chance de choisir ses destinations de recherches. Ainsi, il a parcouru la Louisiane pendant quelques années. Se penchant sur le vaudou, mais pour ses recherches alternatives, ça n’a rien donné. Même s’il a ramené différents contacts pour les bénéfices de l’Idem.

Actuellement, il vit en Guyane française. Parcourant involontairement la francophonie mondiale. Pour tenter de s’accrocher aux meilleures années de sa vie.

Comme certains excentriques, Val aime donner un nom à son logis. L’actuel porte le doux nom de “La Tanière”. Nom explicite en référence aux animaux qui se terrent et s'isolent pour fuir un plus grand prédateur. Le prédateur ici, c’est son passé. Cependant, son corbeau de compagnie aime cet endroit. Il ne se doute pas de comment ce sera dur d’en partir.



Il ne sait pas ce qui lui a valu la visite fortement musclée d’un clan de chasseurs des environs. Peut-être le nom de sa demeure justement ? Ou une dénonciation. Ou ses travaux pour l’Idem. Ou le fait qu’il se soit installé dans cet endroit. Que d’hypothèses. Finalement, il s’en fiche.
Quoiqu’il en soit, ils sont venus en force, ont saccagé une partie de sa maison. Merlin soit loué, pas ses recherches. Mais comme il n’est pas un lycanthrope, il leur porte peu d’intérêt. Pour lui, plus vite cette histoire se termine, plus vite il peut retourner à sa petite vie pas très normale.
Faute de résultat, ils s’en sont juste en aller comme des démarcheurs moldus. Avec en guise de souvenir, une balle d’argent avec leurs coordonnées. Comme si Valérian allait les tuyauter un jour. Des rustres à n’en pas douter.




Depuis son voyage en Louisiane, il y a de ça plusieurs années, Val possède la chance de détenir comme partenaire de vie un corbeau. Tombé du nid et abandonné par ses géniteurs, l’homme l’a recueilli et élevé. Au départ, il ne tenait aucun projet pour cette adorable bestiole qui le couve du regard à chaque fois qu’il se trouve dans son champ de vision. Cependant, il s'est vite rendu compte que l'animal se montre bien plus intelligent qu’une vulgaire boule de poils.
L’homme constate rapidement que ce dernier adore dormir sur son épaule. (Une peur de l’abandon ?) Ainsi, il décide de le nommer Dormeur. Parce qu’en érudit qu’il représente, il trouve que le jeu de mots est tout trouvé avec son propre prénom et sa passion pour la poésie française. Le dormeur du val.

Le jour où il se transforme pour la première fois en animagus devant Dormeur, ce dernier tente de l’attaquer avant de le reconnaître.
Depuis, il leur arrive de faire de longues séances de vol pour étendre leur territoire.

La transformation permet à Valérian de garder une certaine stabilité mentale. Laissant l’animal gommer tous les maux de l’homme. Gardant les prémices de la folie à distance. Protégeant son esprit autant des autres que de lui-même.

En binôme, ils ont réussi à mettre en place un système de surveillance. Reprenant le fonctionnement de surveillance de territoire basique des animaux de leur espèce. Patrouillant et chassant à tour de rôle. Une tâche qu’il délègue bien souvent à son compagnon, profitant que ce dernier assure ses arrières.
Un petit secret bien gardé entre leurs plumes.

Contrairement au souhait de sa mère, il n’a pas eu le choix que de s’inscrire sur les registres avant son exil. Condition sine qua non pour ne pas se faire dénoncer par son propre père. Et finir à Azkaban.



Aime les animaux. Ne trouvant aucune satisfaction au contact d’être humain, Val s’est rabattu sur ces adorables créatures qui peuplent le monde. Dont Dormeur, son corbeau. Et plus récemment, les singes de la jungle.

Membre depuis plusieurs années de la SPAF. Le d’Avalon milite à distance pour la protection des créatures fantastiques et de leurs habitats naturels. Il ne fait aucun doute qu’il aurait fini magizoologiste s’il ne s’était pas pris de passion pour toutes les formes de magie depuis tout petit. Et s’il avait eu Norbert Dragonneau plutôt que Nicolas Flamel comme modèle. Après tout, il s’agit là d’un écrivain également. Ça ne manque pas de pertinence.

Bien qu’il s’agisse de son employeur, il n’a pas hésité à dénoncer anonymement l’institut de découverte et d’exploration magique. Effectivement, il a assisté à un transfert d’animaux magiques depuis l’Amérique du Sud jusqu’en Angleterre. Le chercheur n’a pas hésité une seconde à contacter la SPAF, ne cherchant pas à trouver de preuves particulières. Laissant l’association enquêter pour trouver une justification pour ce déplacement et voir s’il possède une quelconque trace légale.



Ses rares élans d’altruisme n’effacent pas les pires extrémités dont il se montre capable. Bien qu’il soit contre l’expérimentation sur les animaux, il ne peut parfois pas y échapper. En revanche, il a moins de mal à le faire sur des humains.



Actuellement, et ce depuis plusieurs mois, le d’Avalon se trouve sur une nouvelle étude pour l’Idem. Il épluche les légendes d'Amérique latine et plus particulièrement celle concernant le Chupacabra. Un sujet fascinant qui entre parfaitement dans son domaine d’expertise. Puisqu’il s’agit de métamorphes, une malédiction du passé.
Peut-être sera-t-il temps de recontacter ces fameux chasseurs pour les interroger à son tour. Ça doit bien rentrer dans leur domaine d’expertise également.