(wendy) side to side.

INFOS FICHE DE PERSO

side to side. ft. @wendy andersen

le soleil dans le ciel écossais était rare, alors il fallait profiter de ces moments lumineux quand il était présent.
et c'était bien ce que tu comptais faire aujourd'hui. le weekend bienvenu, tu avais réussi à faire régner un halo de tension qui n'était propre qu'à toi, et tu étais étrangement fier de l'effet que tu faisais.
en croisant @apolline dunn, tu lui frôles les doigts discrètement sans lui accorder un regard avant de sortir de la salle commune avec ton sac de sport sur l'épaule.
chantonnant en descendant les escaliers, tu t'assoies sur la rembarde pendant que les escaliers tournent à leur guise. deux serdaigles te regardent en bas de ceux ci et tu leur lances un clin d'œil avant de sauter à pied joint sur le sol et dévalant les dernières marches pour rejoindre le hall.
la petite blondinette était pas trop mal, peut-être lui arracher un rendez-vous si tu viens à la recroiser.

en attendant, tu respires l'air à plein poumons et tu t'arrêtes en reconnaissant ta capitaine temporaire. « wendy ! » que tu roucoules en t'approchant d'elle et en lui tournant autour sans la toucher.
de toutes les filles, c'était celle que tu avais le plus de mal à cerner. elle n'était pas comme les autres, ne se laissaient pas faire... et surtout, elle ne succombait pas à ton charme. et ça avait tendance à t'agacer par dessus tout.
la beauté de cette fille à la peau hâlée t'avait frappé le premier jour, mais elle semble inaccessible et tu te revois dire à ton frère, @israfel clearwater, que cette fille est une vraie porte de prison.
mais en réalité, quand tu creuses un peu, elle est juste brute de décoffrage... et ne sembles pas charmée par ton jeu.
un challenge ? non, tu n'as pas d'énergie à dépenser là dedans, mais y a un truc chez elle qui t'attire irrémédiablement. « je vais m'entrainer un peu... » tu montres ton sac et l'observes un instant. « tu viens me coacher ? » ton sourire en coin s'étire pour devenir enjôleur.
même si tu n'obtiendras rien d'elle, tu as cette nature joueuse qui ne s'arrache pas comme un poil sur une verrue de troll.

tu repenses à norà et tu t'en veux encore.
dire ou ne pas dire.
ton regard se perd un instant dans les yeux de l'ami aux cheveux changeants et tu l'aguiches d'une nouvelle manière. « j'aurais besoin de tes conseils sur un soucis épineux entre mon frère et moi. » l'avis d'une fille sera toujours plus salvateur.
car ton jeu a des répercutions, et tu as peur de perdre celui que tu aimes bien au dessus de tout le monde. et si c'était norà qui parlait la première, ou pire... s'il l'apprenait de rumeurs grotesques qui amplifient tout.
ok, tu aurais l'opportunité de le voir s'énerver et de dire qu'il a finalement des sentiments pour elle, mais n'est-ce pas cruelle comme façon de faire ?
tu sors de ta poche une réglisse que tu tends à la capitaine des lions. « tu pourras te foutre de moi autant que tu veux. » ton sourire s'étire davantage alors que tu reprends ton chemin vers le stade de quidditch, un regard en coin pour l'inviter à te suivre.

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Arrête tes conneries... @Milo Clearwater

La lionne revenait de l'infirmerie pour faire contrôler le fait qu'elle aille bien car oui, elle était suivie et faisait toujours en sorte d'être en forme lorsqu'elle pointait le bout de son nez, il fallait avouer qu'elle aimerait pouvoir prendre plus souvent le traitement d'avant match car elle pouvait faire ce qu'elle voulait mais on refusait de lui dire ce qu'il y avait dedans car le but n'était pas de le prendre de manière constante pour pas que son corps s'y habitue. Certes mais au moins elle pouvait faire ce qui lui chantait. Bon ici le Quidditch mais de temps à autre, d'autres choses pouvaient être sympas.

Elle marchait pour aller prendre l'air dehors lorsqu'elle croisa un des Clearwater, Milo plus exactement. Il était dans l'équipe lui aussi et il était bien trop goujat à son goût. Disons qu'elle qui était généralement dans la séduction, lui était dans l'excès, il les lui fallait toutes. Et un truc qui l'avait sagement agacé même si certes ça ne la regardait pas, c'est de voir comment il tournait autour d'une fille dont son frère avait le béguin, il n'avait donc aucune étique ? Elle sourit lorsqu'il l'accosta. Il avait cette voix minaudante, charmeur, ça la faisait rire mais très peu pour elle. Il avait un charme fou, certes mais hors de questions d'être la je sais pas combien tième sur une liste interminable.

Il faisait parti de l'équipe de Quidditch dont elle était la capitaine si tout continuait de bien se passer avec cette foutue maladie. Elle était surveillée à chaque match, à chaque entrainement presque enfin vous voyez un peu le genre ? Un calvaire ! Les profs étaient pires que sa mère.

Elle l'écouta parler, il voulait être coaché ? Hum curieux ça, mais bon soit pourquoi pas, de toute les façons, rien de plus intéressant s'offrait à elle en cet instant. «J'ai aucune affaire ni même mon balai mais soit, je te suis, par contre tu as intérêt d'être parfait, je vais être intransigeante !» Dit elle avec un petit sourire en coin.

Il aurait besoin d'un conseil sur un sujet épineux. Hum, tout pour elle ça, elle avait déjà son avis sur la question et elle ne prendrait pas de pincette pour lui dire que c'était un crétin, après tout, c'était fait pour ça aussi les potes, dire ce qui ne va pas autant que ce qui va. «J'avoue avoir déjà mon sujet sur la question ET je te le donnerai volontiers !» Dit elle en riant. Elle attrapa le bonbon tendu et en mis un morceau dans sa bouche. «Et je compte bien me foutre de toi, je comptais pas avoir ton aval de toute façon !» Dit elle avec un petit clin d'oeil avant de le suivre direction le stade qui n'était plus très loin à présent.

En réalité elle ne savait pas tout dans ce qu'il se passait entre Nora et Israfel mais elle voyait bien le jeu auquel Milo s'attarder, il jouait avec Nora et c'était mal, c'était dans un premier temps son frère avant d'être une personne lambda.

Sinon c'est moi qui vais te stopper !

KoalaVolant

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side to side. ft. @wendy andersen

une chose est sûre, c'est que wendy ne mâchera pas ses mots pour te dire que tu fais de la merde. et peut-être qu'elle arrivera même à réordonner les pensées qui s'entrechoquent. toi qui te trouves coincés entre deux balais.
quand elle affirme n'avoir aucun attirail, tu hausses les épaules. « c'est surtout pour me contempler que je t'invite. » que tu la taquines en avançant vers le terrain en posant ton sac sur un banc d'entrainement.
c'était ta capitaine, et elle pouvait très bien, au sol te rappeler à l'ordre à la moindre incartade.
ce côté autoritaire qu'elle avait, la rendait affreusement sexy. mais tu te gardas bien de le commenter.
tu sors ta gourde, ta serviette éponge et poses ton balai sur le banc à côté de toi. « c'est plus compliqué que ce que tu crois, wendy. » dis-tu, soudain gravement.
mais tu reviens aussitôt à sourire en coin, la malice dans le regard. tu veux être sérieux, mais si tu as réussi à te montrer à norà sous ton vrai jour, c'est bien plus compliqué de le faire quand la colère n'est pas à l'origine du processus. « j'ai dragué une meuf. » et tu sais que ça peut être n'importe qui, étonnamment, tu ne comptes plus le nombre de nana que tu essaies d'aguicher. même celles en couple, c'est peut-être ce qui te vaut cette sale réputation.
méritée, entend-on le.
« et cette meuf n'a pas succombé. » et tu fais des gros yeux en ouvrant les mains devant toi comme si ce que tu venais de dire était une aberration. « rien, même pas un baiser. que dal ! » et ça t'étonne, tu avais pourtant joué tes meilleures cartes. « mais parce qu'elle aime ... non, enfin, elle. elle compte pour quelqu'un qui compte bien plus encore pour moi mais... » putain, tu te perds pour ne pas trop en dire mais en même temps tu en dis déjà trop et tu ne sais pas te dépatouiller de tout ça.
« c'est pas clair. » que tu finis par dire en fronçant les sourcils. « j'ai jamais su garder un secret. » tu lèves les yeux au ciel avant de poser tes coudes sur tes genoux. « en gros cette fille est amoureuse de mon frère. et mon frère l'ignore mais je sais que c'est réciproque. » et tu fronces encore les sourcils. « et ça me saoule parce qu'il va fatalement s'éloigner de moi à cause d'une gonzesse. » et tu secoues la tête en pestant contre toutes les poules de poudlard. « alors elle veut pas que ça se sache et je ne compte rien dire à israfel parce que tu penses bien, ce serait attiser le feu déjà présent. » et tu finis ta tirade en te tournant vers elle, les traits visiblement vexés. « mais elle m'a quand même résisté, c'est incroyable ! » avant d'éclater de ton rire cristallin.
tu ne savais pas faire autrement qu'être exubérant, tu ne savais pas parler sans crier ou mettre trop d'émotions sur des choses simples. tu te compliquais étrangement la vie pour rien mais en même temps, tu n'as jamais su faire autrement. « tu penses que je devrais quand même le dire, hein ? » tu fais une moue déconcertée avant de regarder le terrain d'un air vaguement pensif. ta main se posant sur ton balai. « allez maintenant que tu sais tout, dis ce que tu penses, et je t'emmène au septième ciel, princesse. » un sourire en coin, enjôleur et le regard rieur.

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Arrête tes conneries... @Milo Clearwater

La métamorphomage rit à ses paroles. «Laisse moi rire un instant, c'est toi qui me contemple je sais hein !» Dit elle en lui adressant un clin d'oeil. Elle se posa par terre, assise en tailleur, au besoin elle s'allongerait le dos au sol pour lui hurler dessus d'en bas s'il faisait de la merde. Ce qui était possible en toute honnêteté, personne n'était parfait. Pas même elle, au contraire même.
Il venait de poser sur le banc des tribunes à côté d'eux ses affaires et elle le regarda alors qu'il lui expliqua que c'était plus compliqué que prévu. Non, c'était simple, il était un crétin ! M'enfin laissons le expliquer voir si on avait bien compris toute la situation sans que personne ne la lui explique.

Elle sourit lorsqu'il lui dit qu'il avait dragué une meuf. «Pour changer !» Dit elle ironiquement. «Et ça t'étonne qu'elle n'ai pas succombé ? T'es pas un dieu vivant Clearwater tu sais ?» Dit elle en haussant un sourcil. Bon ok il n'était pas dégueu à regarder, même si jamais elle ne le lui dirait. Mais en soit, qu'une fille lui résiste n'était pas non plus une fin en soit. Elle écouta la suite avec un petit sourire en coin lorsqu'il lui parlait. Si c'était clair, elle savait de qui il parlait du moins il lui semblait savoir mais elle préféra le laisser s'expliquer en mettant les noms sur les personnes. «Et ça te choque que Norà préfère ton frère et qu'elle reste focus sur lui ?» Un sourcil levé, Wendy le regarda d'un air grave. «Tu préfère rendre ton frère fou, malheureux ou autre pour pas qu'une fille se mette en travers de vous ? Non mais t'es vraiment con quand tu t'y mets non ?» Dit elle en soupirant. «Non mais j'espère que tous les mecs sont pas comme toi, imagine mon désespoir sinon...» Finit elle, elle préférait être honnête avec lui, elle ne connaissait pas tout mais en soit la situation était un poil abusée, Milo ne se rendait pas compte de sa connerie.
«Toi m'emmener au 7ème ciel ? Rêve pas, t'y arriveras jamais !» Dit elle en riant. Il avait de l'espoir, c'était déjà un bon début mais ça n'irait pas plus loin à moins qu'elle ai bu ou autre folie particulière.

Sinon c'est moi qui vais te stopper !

KoalaVolant

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side to side. ft. @wendy andersen

wendy était la plus à même à te comprendre, mais surtout à te dire des vérités qui tranchent et qui blessent. parce que ta jolie gueule ne t'apportaient pas que des vérités. à qui voulait bien te regarder, les minettes avaient tendance à te mentir pour mieux te séduire quand ta famille te protégeait d'un mal que tu ne comprenais pas.
wendy ne faisait pas dans la dentelle. directe et piquante, elle faisait tomber son jugement comme un glas sur la tête d'un assassin. si tu devais un jour être jugée justement, c'est vers elle que tu te tournerais sans même réfléchir.
sa beauté n'égalait aucune des filles de poudlard mais son manque de douceur dépeignait ce tableau trop parfait, et ça te plait. de l'avoir comme amie sans chercher à faire plus que la séduire mielleusement sans rien avoir en retour.
ça te fait parfois du bien que l'on te résiste... comme la fille du feu, comme cette métamorphomage. les filles intéressantes étaient évidemment inaccessibles. voilà bien ta peine.

tu ne peux t'empêcher d'esquisser un sourire taquin quand elle commente avec animosité tes aventures. tu t'exprimes mal... mais tu n'arrives pas à te défaire de ce masque jovial pour lui en expliquer toute la complexité. la laissant alors croire que tu es un salaud qui va jusqu'à draguer la future gonzesse de son frère.
voilà ici, un tableau peint de piètre manière... ton portrait est détestable et tu te rends compte qu'à chaque coup de pinceau que tu ajoutes, ça empire. « je sais. » que tu finis par dire plus sérieusement, sans un sourire.
évidemment que tu n'es pas un dieu vivant, que tu n'as pas inventé l'eau chaude ou que tu peux faire tomber tout le monde en claquant des doigts... mais tu avais tellement espéré qu'elle craque.
pour prouver qu'elle n'était pas pour lui... ni pour toi. surtout pas pour toi. finalement cette fille est respectable et va sauver ton frère des ténèbres, quand tu y seras seul à pourrir dans le noir.
ses piques transpercent ton cœur, wendy a raison.
et elle ajoute à nouveau des coups de pinceaux sur ton portrait déjà sali, tu y lis facilement l'égoïsme dont tu fais preuve et tu te questionnes sur la bienséance. as-tu raison d'éprouver une telle jalousie ?

préférant mille fois retourner à ton masque impassible et ce sourire aussi faux que les horcruxes du professeur korrigan (d'après les rumeurs), tu la taquines sur le fait de désirer l'emmener au septième ciel.
team premier degré, elle saute à pied joint dedans et tu ne peux t'empêcher de rire, d'un rire cristallin où l'on peut desceller, pour les plus observateurs, une curieuse tristesse. « je ne suis pas un mec avec qui on se range. » que tu finis par dire en te levant, prenant ton balai dans la main avant de tendre l'autre à wendy. « je suis de celui qu'on abuse une nuit, qu'on découvre en grimaçant et qu'on se plait à ajouter sur une liste de trophée. » tu hausses les épaules. « je fais de même. » tu souris en la levant, enjambant ton balai, tu l'invites à monter avec toi. « l'amour, c'est surfait, wendy. et si je peux sauver mon frère d'une douleur inévitable, je ne me gênerai pas. » même si tu dois pour cela faire en sorte d'être détesté de tout ceux que tu aimes.
mais cette finalité n'attirera-t-elle pas tout le monde dans l'obscurité. « ou alors il est temps que je le libère... et que j'avance seul. » ta dernière réflexion se voulait silencieuse mais tu l'as dite à voix haute. t'en rendant compte, tu souris et chasses ces démons en reprenant ton entrain habituel. « allez en selle, on va se promener ! »

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Arrête tes conneries... @Milo Clearwater

Elle comprenait une partie de la situation mais la deuxième partie lui échappait, pourquoi Milo se comportait ainsi ? Son frère avait bien le droit de vivre comme il l'entendait, d'être amoureux, d'être libre de choisir s'il voulait quelqu'un ou non dans sa vie mais également d'être libre de se tromper et de faire ses propres erreurs lui même. «Pourquoi tu voulais l'avoir dans ton lit au juste ?» Demanda t'elle en espérant avoir un brin d'honnêteté de sa part. Car après tout, c'était toute la question, faire du mal à son frère ? Lui ouvrir les yeux ? Si oui pourquoi pas d'une autre manière...

Le voilà à parler de septième ciel mon dieu qu'il pouvait être couillon, mais c'était drôle il fallait bien l'avouer. Il n'était pas un mec avec qui on se range, ça c'était lui qui voulait bien le dire. «Ca c'est ce que tu essais de faire croire ou de te faire croire à toi même, mais tout le monde a une part de "rangement" au fond de soit. Même toi j'en suis persuadée, c'est juste que tu n'as pas trouvé, la personne qui te fera dire que » Elle termina la phrase en faisant claquer son pouce et son majeur ensemble. Le déclic quoi.
Elle n'était pas non plus du genre à se poser mais elle aimait se dire qu'elle pourrait plaire à quelqu'un un jour et que cette personne lui plairait en retour. Lui apportant ce dont elle pourrait avoir besoin.

L'amour c'est surfait, le sourcil de la métamorphomage se hissa un peu plus haut sur son front. «Non mais toujours plus ! Laisse ton frère décider lui même de ce qui est bien ou non pour lui, laisse le faire ses propres erreurs, apprendre, vivre !» Dit elle simplement en attrapant sa main pour l'aider à se relever. Vivre, elle savait ce que c'était, elle la première, elle voulait qu'on la laisse faire ses propres erreurs, se mettre en danger était le seul moyen qu'elle avait trouvé pour l'adrénaline vu que tout le monde l'empêchait de faire ce dont elle avait envie. «Que tu le libères de quoi ? Qu'est-ce que tu as fait Milo ?» Demanda t'elle attentive, qu'est-ce qu'il lui avait bien fait encore ?

Monter derrière lui ? Quelle drôle d'idée, mais après tout pourquoi pas, elle savait comment il volait, elle l'avait choisi cette année pour qu'il fasse parti de l'équipe alors au pire, qu'est-ce qu'elle risquait ?
La lionne enjamba le balai pour se mettre derrière lui, elle n'était jamais monté derrière quelqu'un, elle ne pouvait pas se tenir au manche du balai, il faudrait donc qu'elle s'accroche à lui, mais bon, l'attraper par la taille, avec ses idées farfelues. «J'aurai du me mettre devant toi je crois...» Dit elle avec un petit sourire alors qu'elle était à présent collé à son dos, ne sachant que faire de ses mains.

Sinon c'est moi qui vais te stopper !

KoalaVolant

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side to side. ft. @wendy andersen

cette conversation tourne en rond et tu t'en rends compte. même si wendy a tendance à te dire des vérités qui blessent, tu n'arrives pas à capituler comme à ton habitude.
non, tu es aigri. et tu t'en rends compte... c'est étrangement douloureux, et tu commences même à éprouver une colère constante pour tout ce qui est attrait à cet amour qui dégouline de partout.
tu aimerais la fusiller du regard et dire que tout le monde abandonne tout le monde... et que tu aimerais sauver ton frère de cette douleur atroce que tu sembles comprendre plus que tu ne le penses. ce ressenti est terrifiant, car tu as peur ... pour toi oui, mais surtout pour lui.
parce que tu sais quelque chose sur cet abandon, et sur l'amour défectueux... tu sais que le monde n'est pas aussi beau qu'on le laisse prétendre. c'est qu'un marais dégueulasse rempli de limaces à crasse.
alors tu te contentes seulement de lui sourire. n'avouant rien des desseins que tu réserves à @norà millar et @israfel clearwater... ta décision est prise. et si tu ne parviens pas à réussir pendant la fin d'année, tu auras tout le loisir de gangréner durant les vacances avant de tout exploser à la rentrée.
c'est un fait, tu ne rendras pas cette relation facile. et le risque de perdre israfel te pend au nez, mais tu ne peux te résoudre à rester les bras croisés.

non, tu ne seras pas seul.
et s'il faut l'envelopper de tes ténèbres. tu le feras... jusqu'à vous noyer tous les deux.

au lieu de quoi, tu l'embarques sur ton balai mais réponds à une question. « rien, je n'ai encore rien fait. » et tu souris davantage, défiant et malicieux.
tu ne peux décemment pas parler de tes plans à wendy, même si tu adorerais entendre sa rage dans la voix. tu le lui laisseras exploser en même temps que le reste, quand tu avoueras que tu as détruit plus que tu ne pensais.
tu es une boule de nerf qu'on ignore... et si tu prends plaisir à écrire tes plans, tu souffres de les exécuter. mais comment être neutre dans une telle situation ? le feu menace l'eau...
mais les mots de wendy viennent rebondir sur ton ressenti... ce qui te permettra peut-être de réfléchir à cette funeste suite de tes plans diaboliques.

une fois qu'elle enjambe le balai, tu donnes un coup sur le manche pour que les trépieds sortent sous vos pieds et attrapes ses mains hésitantes pour les coller sur ton ventre. « si j'étais derrière, je ne pourrai pas m'empêcher de toucher... » que tu dis taquin alors que tu tapes une fois au sol pour t'élancer.
dans les airs, tu fais un simple tour de chauffe avant de t'immobiliser dans les airs. « je sais que je suis un con, wendy. » que tu viens à dire plus sérieusement, brisant quelques règles imposées à toi-même. « mais je ne sais pas penser autrement que comme ça... » dans les airs, tu te sens loin de tout, même un peu de ta peine. « j'ai un secret familial difficile. » et tu poses tes doigts sur les siens. « comme ta maladie, il m'handicape. » et d'un geste délicat, tu viens à caresser la bouture de ses phalanges. « quand tu te bats contre, je me recroqueville face. » tu regardes vos doigts et souris. « m'attacher ne ferait que raviver une partie de moi qui brûle sans que je le sache. » haussant ainsi les épaules. « j'ai été adopté, wendy. et je ne me rappelle de rien avant mes dix ans... j'ai été lâchement abandonné par des gens censés m'aimer. » alors oui, l'amour c'est de la merde, et c'est surfait. « d'ailleurs, tu m'as rarement parler de toi, andersen. » et alors que tu l'invites à se confier, tu reprends doucement la course dans les airs, volant suffisamment doucement pour l'entendre parler et éviter le vent de fouetter vos oreilles délicates.
ce moment te permet d'être proche d'elle, de la sentir près de toi. et d'être un tant soi peu apaisé.
ton coeur pourrait battre pour plusieurs, entre apolinne, amy, norà et elle... tu ignores bien ce que l'amour est... et sera.
peut-être les quatre ? tu souris à cette pensée. non, certainement pas. déjà une, c'est beaucoup trop.

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Arrête tes conneries... @Milo Clearwater

Il n'avait encore rien fait... Hum, ce n'était pas la réponse qu'elle attendait. «Qu'est ce que tu t'apprêtes à faire ou qu'est-ce que tu as en tête ? Tu vas pas t'en sortir comme ça Milo !» Dit elle en fronçant les sourcils tout en le regardant bien qu'elle était en train d'enjamber le balais, les pieds encore au sol.
Milo attrapa les mains de la métamorphomage et les plaça sur son ventre, elle sourit avec un petit secouement de tête qui voulait tout dire. S'il était derrière, il ne pourrait pas s'empêcher de toucher. Quel dragueur mon dieu. «Tu oserais pas, t'as peur de moi !» Dit elle en riant. C'est vrai que le Clearwater n'avait jamais vraiment tenté quoi que se soit avec elle, elle ne savait pas si c'était une bonne chose mais au moins, pas de concurrence avec tout Poudlard.

Lorsqu'il tapa du pied et que le balais s'envola, elle s'accrocha à Milo un peu plus fermement en se collant à lui. Elle fronça les sourcils en l'écoutant parler. Elle l'écouta parler, lorsqu'il évoqua sa maladie, Wendy ferma les yeux en respirant profondément, elle évitait d'évoquer le sujet au maximum pour éviter de s'en rappeler elle même. Elle frissonna lorsqu'il passa ses doigts contre les siens, où serait-ce le vent qui venait caresser ses épaules dénudées ? Un secret familial handicapant ? Qu'est-ce que ça pouvait bien être ? Attentive, elle l'écoutait, attendant la suite. S'attacher lui fait du mal ? Quelqu'un l'a donc abandonné ? Laissé pour compte sur un côté ? Vu la famille qu'il a, les Clearwater, ce n'était surement pas de ce côté. Du moins c'était la réflexion qu'elle s'était faite juste avant qu'il continue de parler.

Là, le coeur de la métamorphomage fit un bon, comment était-ce possible d'abandonner un enfant, un enfant qu'on doit protéger, chérir et aider le plus de temps possible. Comment avaient ils pu faire une chose pareille ? «Les Clearwater ne savent pas de qui il s'agit ?» Demanda t'elle tendrement, une attitude qui ne lui ressemblait que lorsqu'on la connaissait au plus profond d'elle même.
Wendy vint alors entrelacer ses doigts à la main libre de Milo, sans arrière pensée, juste par besoin de contact, ils n'auraient pas été sur ce balai, elle se serait surement rué dans ses bras. Non pas par pitié, elle ne voulait pas que les gens aient pitié d'elle, mais uniquement par besoin et par confort.

Elle sourit en regardant autours d'eux lorsqu'il lui dit qu'elle ne lui avait que rarement parlé d'elle. Après de telles confidences, elle ne pouvait pas lui cacher ce que d'autres pouvaient savoir du bouche à oreille. «Je ne connais pas mon père, ma mère ne m'a jamais dit qui c'était... Et je pense qu'il ne sait même pas que j'existe, et ma maladie, et bien c'est héréditaire alors, possiblement dans sa famille, quelqu'un doit avoir la même, peut être même savoir la soignée et ma mère ne respecte même pas le fait que je veuille savoir qui c'est pour ça, elle préfère me laisser avec ma maladie, me privant de ma vie plutôt que de m'avouer qui c'est...» Dit elle dans un souffle un peu furax, prenant les émotions qu'elle avait en elle en racontant ce mini passage de son histoire à Milo.

Ca faisait longtemps qu'elle n'avait pas parlé de ça, en réalité, elle n'aimait pas en parler, d'une part car ça lui faisait toujours aussi mal de savoir que sa mère pourrait la laisser mourir de sa maladie plutôt que de lui avouer la vérité. Bon elle savait qu'elle ne risquait pas de mourir à l'instant présent mais elle trouvait ça scandaleux de la part de cette dernière et parfois elle lui menait la vie dure pour lui faire payer ce manque de réponse.

Sinon c'est moi qui vais te stopper !

KoalaVolant

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side to side. ft. @wendy andersen

tu ne veux pas répondre à cette question. ni même aux autres. tu sais parfaitement qu'elle a raison sur le fond, même sur la forme... tu sais que tu n'as aucune revendication à avoir avec tes intentions mauvaises de nuire au futur couple de ton frère.
pourtant, rien n'y fait. cette douleur qui te perce le bide est si présente que tu n'arrives pas à entendre raison. tu as besoin de tuer l'enfant dans l'œuf pour qu'il ne voit pas le jour.
oui, tu es prêt à rendre ton frère malheureux pour ne pas être le seul à l'être. mais ce mal être si inconnu des autres tend à te rendre simplement présomptueux, orgueilleux... voire méchant.
même aux yeux de la métamorphomage, tu n'étais qu'une enfant pourri gâté qui n'espérait aucun bonheur aux autres, si lui ne pouvait l'atteindre.
ce qui est faux.
tellement faux... car tu as besoin de voir le monde heureux pour l'être. mais cette prison de ténèbres que vous vous êtes forgés ton frère et toi, elle est à vous. s'il la quitte pour les bras d'un brasier... la lumière s'éteindra pour de bon.

alors tu préfères jouer avec l'humour, la taquiner sur un possible pelotage que tu n'oserais faire. si tu avais l'habitude des âmes affamées, tu avais grandement du mal avec les grandes gueules. et wendy n'échappait pas à cette exception.
incontrôlable, intouchable... et surtout, tu avais un respect pour elle qui t'empêchait de jouer. et peut-être de voir au delà ?
tu n'en sais rien. cette friendzone est si dense que tu n'arrives pas à l'imaginer autrement que cette confidente au caractère tranchant, prête à t'égorger à la moindre incartade.
alors tu assumes une partie de ton histoire.
sans doute pour qu'elle te comprenne mieux, ou pour justifier cette douleur palpable au creux du cœur. hésitant un instant, tu ouvres ton cœur sans trop en dire.
oui, lâchement abandonné... c'est ce que tu penses. mais ta mère a pour toi des vérités bien plus blessantes, et tu le sais. est-ce que ton don est une malédiction ? est-ce que tes parents étaient des gens malsains ? es-tu descendant de meurtriers ?
tu n'en sais rien. « si, ils savent. » que tu dis sans grande conviction. « ils me protègent c'est tout. » de quoi ? de qui ? de quel malheur ?
mais tu détournes aussitôt la conversation pour t'intéresser davantage à elle. ce partage est étranger, tu n'as pas l'habitude. depuis @norà millar, tu as évité de fissurer ton masque d'argile, mais ce besoin de confession ne fait qu'écho à la stupeur de perdre ton unique pilier.
et tu l'écoutes. « comme moi, tu dois avoir un lien avec quelqu'un de... peu fréquentable. » pour que l'on cache des choses aussi importantes. « elle te protège sans doute de quelqu'un ou de quelque chose. » tu hausses les épaules.
le vent sur vos visages est agréable, tu avances un peu avec le balai, prends davantage de hauteur pour n'être que seuls au milieu du ciel. « je n'en veux pas à mes parents ni à ma famille... j'ai envie de savoir. mais en même temps, j'ai peur. » parce que ta vie peut basculer. « ta mère ne doit pas vouloir t'empêcher de vivre, mais peut-être qu'elle te cache cette vérité pour ne pas raviver une autre douleur, plus grande encore. » tu ne sais pas, tu spécules simplement.
peut-être même que sa mère est simplement lâche de ne pas vouloir reconnaître qu'elle a tiré un coup sans même se rappeler de qui cela était. « on peut faire appel à des experts pour ta maladie... peut-être même chez les moldus, non ? » après tout.
tu continues de grimper doucement sans piquer, et tu t'arrêtes au dessus d'un nuage. passant ta main au travers comme si ce dernier allait être doux, tu te rends compte que ce n'est qu'illusion et de l'air te traverse. « les mensonges ont tendance à briser des vies. mais qu'en est-il de la vérité ? » tu te questionnes et après un soupire. « j'ai un aveu, wendy. » un secret que seuls ta mère et ton frère connaissent. « je te fais confiance pour le garder, mais il faut que tu comprennes pourquoi. » pourquoi tu es si con. pourquoi tu as si peur. « [color=#cc0033]je suis fourchelangue. "

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Arrête tes conneries... @Milo Clearwater

Malgré tout ce qu'il a subi ou pourrait avoir subi, faire du mal à son frère volontairement, non elle ne comprend pas. Bon si elle pouvait faire changer sa mère d'avis elle le ferait mais pas la faire souffrir enfin de petites choses mais pas ça. Pour elle, c'est franchement abusé. Il a intérêt à lui dire ce qu'il a en tête plus tard avant qu'elle ne le cogne.

Il aurait donc été un peu les mains baladeuses alors là, elle aimerait bien voir ça tient. Souvent le truc avec les mecs qui plaisent pas mal aux nanas, c'est qu'ils ont que de la gueule et clairement, c'est un peu ce qu'elle croit sur Milo.

Les Clearwater savaient et ils ne lui avaient rien dit ? Était-ce lui qui ne voulait rien savoir ? «Tu ne veux pas savoir ?» Elle pouvait comprendre après tout, ce n'était pas évident de chambouler sa vie pour rien s'il était bien ainsi. Lorsqu'elle lui parla d'elle, elle avait l'impression qu'ils avaient tous les deux des similitudes qu'elle n'aurait pas cru. «Le souci c'est que je m'en fou qu'elle me protège, je veux juste savoir, je m'en fiche d'être déçue, c'est toujours mieux que de n'avoir personne, aucune figure paternelle pour avancer, j'ai besoin de savoir d'où je viens, même si je viens d'un coup d'un soir.» Dit elle en posant son menton sur l'épaule du lion.

Elle se serra un peu plus contre lui, sentant à présent son coeur battre contre le dos de Milo. «C'est normal d'avoir peur, peur l'avenir, de la déception, de l'aventure, de tomber sur des choses pas jolies à entendre ou à voir mais, c'est ce qui nous forge et nous rend plus forts.» Dit elle tendrement en regardant la vue autours d'eux. Elle ferma les yeux lorsqu'il parla comme sa mère pouvait le faire parfois.
Reparlant de sa maladie, elle réouvra les yeux, le voyant passer sa main à travers les nuages et sourit. «C'est déjà fait tu penses bien, enfin pas chez les moldus. Mais les médecins m'ont appris il y a peu que c'était très souvent héréditaires ce type de problèmes et si quelqu'un l'a du côté de mon père alors... Peut être que quelqu'un a trouvé la façon de guérir ça... C'est pour ça que je lui en veux encore plus...» Dit elle en soupirant.

Il avait un aveu à lui faire, quel genre d'aveu ? Tant qu'ils étaient dans les confidences, en plus personne ne pouvait les entendre d'ici. Elle fronça les sourcils en l'écoutant parler. Un fourchelangue. Oh... Bien sûr du coup, c'était logique qu'il ai peur de savoir qui était sa famille. «Il n'y a pas que de mauvaises personnes qui ont ce don Milo, après je comprends ce que tu ressens, ce n'est jamais évident d'apprendre des choses en se disant qu'on aurait peut être préféré ne pas les savoir finalement. Seul le temps te dira ce que tu veux au fond de ton coeur.» Dit elle en déposant un baiser sur sa joue. «On est un peu pareil, on a un don, on est deux lions et on ne connait pas réellement toute notre famille !» Dit elle avec un petit sourire pour tenter de le rassurer. «Tu me dis quelque chose ?» Demanda t'elle avec le sourire «En fourchelangue je veux dire.» Continua t'elle tendrement. Elle ne savait pas s'il le maitrisait ou non mais soit, elle non plus ne maitrisait pas toujours son don de métamorphomage.

Sinon c'est moi qui vais te stopper !

KoalaVolant

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