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You can ride it if you like [ft. Ebe]
INFOS
Messages : 90
Faceclaim : Sonam Kapoor
Âge : 29
Sang : Sang mêlé
Profession : Mécamage
Côté Cœur : Parlerait-il Gobelbabil ?
Multis : Samir / Selma / Sean / Aram
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé:
Maturité Magique (MM):
(27/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(50/100)
Rigueur Magique (RM):
(80/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
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Dé utilisé:
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Inventaire:
En gravissant les marches qui menaient au loft d’Ebenezer, Mira cachait bien mal son excitation. Le sorcier était actuellement en repos, elle le savait bien car ils n’avaient pu se voir pendant plusieurs jours d’affilée. Quand il était en mission, la mécamage se gardait bien de poser la moindre question, sachant qu’il était lié au secret professionnel. Cette entente mutuelle sur les jardins secrets qu’ils conservaient mutuellement loin des yeux de leur partenaire lui allait en réalité très bien.
Elle-même n’avait en effet pas tout révélé de sa vie au sorcier qui partageait son quotidien depuis maintenant quelques semaines. Ebenezer ne savait rien de la condition particulière qui avait récemment affecté son frère @Dâriush Aslan, le faisant se transformer en bête incontrôlable à chaque pleine lune. Ce n’était pas que Mira manquait de confiance en son compagnon, mais ce dernier travaillait pour le Ministère, et il aurait été possiblement mis dans une situation délicate s’il savait que son beau-frère en devenir était l’un de ces lycans non déclarés.
Parvenue devant la porte, Mira toqua trois coups discrets contre son battant. Ce n’était pas la première fois qu’elle venait ici. Sa toute première visite avait fait suite à l’une de ces sorties passionnées qui n’en finissaient plus, et qu’ils n’avaient finalement pu se résoudre à terminer de manière séparée. La jeune Aslan ne pouvait encore se la remémorer sans rougir violemment.
Elle avait trouvé le loft d’Ebenezer tout-à-fait charmant, bien qu’un tantinet dépersonnalisé à son goût. Le genre d’endroit où l’on pouvait facilement faire venir et repartir tout un tas de jolies minettes. Il lui avait pourtant affirmé, avec une franchise et un manque de tact qui le caractérisait bien, qu’il n’avait pas l’habitude de ramener ses conquêtes jusqu’à chez lui. Une première différence de traitement dans la manière dont il envisageait sa relation avec Mira. Cependant, quand la porte de son logement s’ouvrait, cette dernière avait toujours la crainte de se retrouver nez-à-nez avec un ravissant petit minois un cheveux blonds portant encore la chemise d’Ebenezer. Peut-être qu’elle ne lui faisait pas encore tout-à-fait confiance, à moins que ce ne soit tout simplement elle qui manquait de confiance en elle.
C’était pourtant bien le visage d’Ebenezer qui s’afficha sur le seuil de l’ouverture, visiblement à peine réveillé. Mira se percha sur la pointe des pieds pour lui coller sur la bouche un baiser qu’il n’aurait pu éviter avec ses réflexes matinaux, avant de lever les mains pour lui montrer ce qu’elle avait apporté avec elle: deux casques de moto.
- Bonjour mon cher Ebenezer, lança-t-elle gaiement avec une pointe d’amusement dans la voix. Une petite virée en moto, ça te dit ? A moins que tu ne me fasses pas assez confiance pour monter dans le side-car à côté de moi ?…
A cette idée, elle prit une moue déçue d’avance bien théâtrale afin d’empêcher toute retraite possible de sa part.
INFOS
FICHE DE PERSO
Assis dans la pénombre, j’étais en train de ranger mes affaires. En décalage horaire avec le Japon, pays d’où j’étais parti plusieurs jours, j’avais du mal à me remettre et j’étais encore complètement décalé. Ouvrant ma valisette et triant divers dossiers, je repassais en revu les informations que j’avais pu glaner pour le compte de la Grande-Bretagne Magique. Les yeux plissés, à la lueur d’une chandelle enchantée, je lisais les lignes du rapport d’une source, confirmant mes soupçons sur une ingérence à un bon niveau de l’état. Fort de cette information, je me penchais en avant pour…
L’alarme magique sonna. Un intrus, ou un invité. Parfois, ça pouvait être les deux. Sans cérémonie, je rangeais les documents dans ma mallette d’un simple coup de baguette, et la mallette glissa sous mon lit. Plaçant un enchantement d’enfermement dont moi seul avait le secret, je me dirigeais vers la porte, baguette dans le dos. Avec une lenteur extrême, je passais d’abord par la petite cuisine qui ne me servait jamais vu que je mangeais très souvent ailleurs, ou à emporter. Mais… curieusement, les épices venues d’Iran flottait encore, preuve d’une autre présence que moi ces dernières semaines dans le domicile. Mes yeux se posèrent sur une chevelure, que je reconnus parmi beaucoup d’autre. Mon coeur fit un bond dans ma poitrine, mais cependant, je gardais toujours ma baguette dans le dos. On n’était jamais trop prudent depuis la découverte des Métamorphages et l’invention du Polynectar.
De ma main gauche, j’ouvris la porte doucement, comme à mon habitude. Mon regard fatigué passa sur le corps de Mira comme un scanner, évaluant rapidement sa démarche pour voir si c’était la bonne. Mais… je n’eus pas le temps de faire quoi que ce soit d’autres, qu’un baiser rapide se posa sur mes lèvres. Les soupçons totalement éteints, je me mis à sourire, rangeant ma baguette et l’attirant à moi pour échanger à mon tour le manque affectif qui m’avait bien plus lourdement affecté que je ne l’aurai pensé au Japon.
« Euh... » commençais-je
Mon regard se posa derrière moi, alors que je savais qu’un long travail d’identification et de relecture assez pénible m’attendait. Il ne fallait pas croire que la vie d’un agent des renseignements étaient de courir sur des toits à longueur de temps. La plupart du temps, cela consistait surtout à relire et écrire des rapports sur les informations récoltés. C’était aussi chiant qu’au Bureau de Liaison des Gobelins.
« Ca me va, mais à deux conditions ! »
Je levais mes doigts, faisant le symbole de paix avec ces derniers et je souriais en coin d’un air amusé.
« La première, c’est que la virée ne doit pas excédé une journée entière parce que j’ai beaucoup de travail. La deuxième c’est que tu dois me promettre que ton frère n’est pas caché dans le fond du side-car pour me faire la peau. »
J’avais d’ailleurs passé la tête, pour bien vérifier que Dariush ne soit pas dans le coin. Ouvrant entièrement l’appartement, j’invitais Mira à rentrer dans l’unique pièce, hors salle d’eau. Sans un mot, je me dirigeais vers mon armoire et je mis une veste en cuir qui me donnait l’air d’un vrai loubard. Sauf que… j’avais pas tellement le visage d’un loubard.
« Je l’ai récupéré au Japon. C’est en peau de Bouttefeu chinois, avec ca je peux me casser la gueule sans problème. J’ai aussi un casque anti-gravité au cas où et des chaussures à lévitation partielle. C’est pas que j’ai pas confiance mais tu me connais... »
J’étais pas très serein en Moto. Mais en side-car, ça allait même si j’avais une dégaine de clodo. Attrapant un paquet au passage, je sortais un châle rouge et or, que j’avais trouvé à un marché de Tokyo.
« Et ça c’est pour toi. D’après le vendeur moldu, il repousse les mauvais-esprits, et les troubles fêtes ! »
L’alarme magique sonna. Un intrus, ou un invité. Parfois, ça pouvait être les deux. Sans cérémonie, je rangeais les documents dans ma mallette d’un simple coup de baguette, et la mallette glissa sous mon lit. Plaçant un enchantement d’enfermement dont moi seul avait le secret, je me dirigeais vers la porte, baguette dans le dos. Avec une lenteur extrême, je passais d’abord par la petite cuisine qui ne me servait jamais vu que je mangeais très souvent ailleurs, ou à emporter. Mais… curieusement, les épices venues d’Iran flottait encore, preuve d’une autre présence que moi ces dernières semaines dans le domicile. Mes yeux se posèrent sur une chevelure, que je reconnus parmi beaucoup d’autre. Mon coeur fit un bond dans ma poitrine, mais cependant, je gardais toujours ma baguette dans le dos. On n’était jamais trop prudent depuis la découverte des Métamorphages et l’invention du Polynectar.
De ma main gauche, j’ouvris la porte doucement, comme à mon habitude. Mon regard fatigué passa sur le corps de Mira comme un scanner, évaluant rapidement sa démarche pour voir si c’était la bonne. Mais… je n’eus pas le temps de faire quoi que ce soit d’autres, qu’un baiser rapide se posa sur mes lèvres. Les soupçons totalement éteints, je me mis à sourire, rangeant ma baguette et l’attirant à moi pour échanger à mon tour le manque affectif qui m’avait bien plus lourdement affecté que je ne l’aurai pensé au Japon.
« Euh... » commençais-je
Mon regard se posa derrière moi, alors que je savais qu’un long travail d’identification et de relecture assez pénible m’attendait. Il ne fallait pas croire que la vie d’un agent des renseignements étaient de courir sur des toits à longueur de temps. La plupart du temps, cela consistait surtout à relire et écrire des rapports sur les informations récoltés. C’était aussi chiant qu’au Bureau de Liaison des Gobelins.
« Ca me va, mais à deux conditions ! »
Je levais mes doigts, faisant le symbole de paix avec ces derniers et je souriais en coin d’un air amusé.
« La première, c’est que la virée ne doit pas excédé une journée entière parce que j’ai beaucoup de travail. La deuxième c’est que tu dois me promettre que ton frère n’est pas caché dans le fond du side-car pour me faire la peau. »
J’avais d’ailleurs passé la tête, pour bien vérifier que Dariush ne soit pas dans le coin. Ouvrant entièrement l’appartement, j’invitais Mira à rentrer dans l’unique pièce, hors salle d’eau. Sans un mot, je me dirigeais vers mon armoire et je mis une veste en cuir qui me donnait l’air d’un vrai loubard. Sauf que… j’avais pas tellement le visage d’un loubard.
« Je l’ai récupéré au Japon. C’est en peau de Bouttefeu chinois, avec ca je peux me casser la gueule sans problème. J’ai aussi un casque anti-gravité au cas où et des chaussures à lévitation partielle. C’est pas que j’ai pas confiance mais tu me connais... »
J’étais pas très serein en Moto. Mais en side-car, ça allait même si j’avais une dégaine de clodo. Attrapant un paquet au passage, je sortais un châle rouge et or, que j’avais trouvé à un marché de Tokyo.
« Et ça c’est pour toi. D’après le vendeur moldu, il repousse les mauvais-esprits, et les troubles fêtes ! »
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Inventaire:
Mira observa Ebenezer établir ses conditions avec un sourire. Elle adorait le voir mettre une ribambelle de mots sur ce qu’il souhaitait, sur ses limites et ses envies; là où tant d’autres hommes qu’elle avait connu s’entêtaient dans des silences qui détruisaient tout autour d’eux, à commencer par leurs propres émotions.
Son sourire s’agrandit en réalisant que la première clause du sorcier pourrait aisément être respectée. Mais la plaisanterie de l’agent concernant la seconde glaça légèrement son hilarité. Une semaine à peine s’était passée depuis la dernière pleine lune, et ce n’était que la veille que Mira s’était autorisée à quitter @Dâriush Aslan et sa famille pour proposer cette virée à son compagnon. Ce mois d’août verrait deux de ces phénomènes. La jeune Aslan connaissait à présent parfaitement le calendrier lunaire afin d’aménager son agenda et se mettre au service des siens.
- Je te promets que mon frère ne m’a pas accompagnée, se contenta-t-elle de répondre avec son air doux habituel, entrant à pas feutrés dans l’appartement qui lui était enfin ouvert.
Le pitre de sorcier qui vivait là la fit instantanément oublier ses sombres pensées en la faisant éclater de rire, s'attifant tel un apprenti conducteur sur le point de passer son baptême du feu.
- Tu es très beau ainsi, reconnut la jeune fille en s’approchant de lui, passant ses mains sous la veste de cuir de dragon. La carrure imposante du sorcier sous ses doigts la fit rougir légèrement, sans pour autant qu’elle ne les retire aussitôt, profitant encore un peu de ce contact qui lui avait manqué.
La jeune mécamage passa outre le fait que l’agent lui dévoilait avoir mis les pieds au Japon. De ce qu’elle avait compris sur ses mises en garde, moins elle en savait sur ses activités, mieux ils se porteraient. Mais quand il plaça devant son regard une soyeuse étoffe écarlate, elle ne put retenir une exclamation de ravissement.
- Quelle adorable attention ! Merci, c’est absolument charmant !
Le tissu glissait entre ses doigts dans un froissement presque liquide. Ebenezer n’avait jamais fait la moindre remarque sur ce voile qu’elle portait parfois. Mais depuis qu’elle s’était dévoilée devant lui, laissant ses mains caresser sa lourde chevelure brune alors qu’ils se découvraient l’un l’autre, elle se montrait à ses yeux de plus en plus souvent ses cheveux à découvert. C’était cependant une délicate prévenance de sa part et elle orna son cou de l’accessoire avec un plaisir non contenu.
- Oh, est-ce que tu penses que ce foulard risque de te repousser alors, lança-t-elle sur un ton amusé en réponse à ses derniers propos.
Cependant, derrière la plaisanterie, elle se promit de contrôler les véritables effets du tissus afin de s’assurer qu’ils ne risquaient pas d’affecter son frère. Peut-être irait-elle demander l’avis de @Glenn Yard, ce client sur lequel Dâriush lui avait à demi-mot révélé qu’ils pourraient compter en cas de besoin.
L’heure n’était cependant pas aux préoccupations mais à l’excitante aventure d’une expédition dans la campagne londonienne. Aussi, elle attrapa amoureusement la main d’Ebenezer pour l'entraîner à sa suite. Au bas de son immeuble, sa moto les attendait, un side-car solidement accroché à l’un de ses côtés. Mira resplendissait de fierté devant son engin entièrement retapé par ses soins depuis sa dernière mésaventure. Elle prouverait au sorcier qu’il n’avait vraiment rien à craindre en sa compagnie. Montrant son penchant parfois autoritaire, elle le força à s’assoir en lui montrant exactement comment se tenir et les comportements à éviter une fois qu’ils seraient dans les airs.
Puis, enfilant à son tour sa veste, son casque et ses gants, elle grimpa sur la machine assez imposante en regard de sa taille avant de lever son pouce dans la direction de son passager. Quelques instants plus tard, le moteur rugissait et ils s'élancèrent dans la rue vide de tous passants. Cette dernière prenait un virage très serré à quelques pâtés de maison de là. Heureusement que là où ils allaient, ils n’avaient pas besoin de route !
Quelques pieds leurs suffirent avant de s’élever au-dessus du bitume, filant à travers les bâtiments avant de les survoler à leur tour. Le fameux bouton d’invisibilité leur permit d’échapper aux yeux des curieux moldus tandi qu’un sortilège permettait de relier leurs casques et de se parler comme s’ils se trouvaient côte à côte.
- Comme Londres est belle vue d’en-haut, tu ne trouves pas, lui demanda-t-elle la voix chargée d’émotion en se tournant vers lui afin de vérifier si tout allait bien.
INFOS
FICHE DE PERSO
Accroché au side car, je ne disais rien. Qu’est ce qu’il ne fallait pas faire par amour ! D’aussi loin que je me souvienne, c’était ma carrure qui m’avait ridiculisé sur un balai, qui faisait que je détestais voler. On s’était bien moqué de moi en première année lors de mes leçons de vols. Je me contentais de regarder devant c’est à dire… que dalle. Quand elle me parla, je me tournais vers elle, le visage assez blême :
« Ouais ! C’est… euh super joli. »
Il fallait quand même que je place un truc drôle. Un truc qui me permette de m’échapper de cette situation plus que gênante. Réfléchissant un très court instant, je rajoutais d’un air calme et qui se voulait super détendu mais ma voix trembla :
« Mais je peux que regarder ce qu’il y a de plus beau et mon regard est maintenant bloqué sur toi ! »
J’allais surtout vomir. Tout tanguait autour de nous. Je fis un semblant de sourire et je continuais de m’accrocher. Je me tournais vers Mira et je commençais à lui gueuler à cause du vent :
« Tu sais, il faut que je t’avoue quelque chose ! Un truc assez important ! Ca fait un moment que je voulais te le dire et je crois que j’ai enfin le courage de l’avouer ! Tu vois, j’ai pas été souvent dans cette situation mais il faut que tu saches que je crois… que je... »
J’allais dire je t’aime. Parce que je l’aimais forcément. Y’avait que l’amour pour me faire monter sur cette connerie. Mais je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’une demi douzaine de balais arrivèrent, avec des individus masqués à l’effigie d’animaux. D’instinct, je sortis ma baguette et je regardais les modèles de balais qu’ils avaient.
« Les Yamatori ! On va avoir des problèmes ! »
C’était sur eux, que j’avais du suivre au Japon. C’était un petit gang qui était néfaste et qui avait pignon sur rue là bas et qui voulait maintenant étendre leur emprise sur le Royaume Uni. Comment est-ce qu’ils avaient fait pour me retrouver ? La question se poserait plus tard, je m’étais un peu redressé et je dansais comme un âne, à balancer des contre-sort pour protéger Mira des maléfices.
« Accélère ! »
Un sort vert passa entre nous deux. Un sortilège de mort. Je savais qu’il ne visait pas moi, mais Mira. Puisque visiblement ils avaient besoin des informations que j’avais récolté. Je marmonnais un « fais chier » bien placé et je me ratatinais en donnant un cap à Mira. Le Ministère. C’était là qu’il fallait aller. Si on s’approchait d’assez prêt, on tomberait certainement sur des collègues en patrouille.
« Par là ! Je te couvre ! »
D’un coup de baguette, je fis apparaître un bouclier bien réel, en argent qui semblant ancien mais bien entretenue. Seul héritage des Grimm que j’avais su conservé. Quand les sorts arrivèrent sur nous, je projetais mon bouclier sur eux. Ils rebondirent dans un « DONG » sonore sur ce dernier.
« Ca va pas suffire ! C’est moi qu’ils veulent ! »
Je m’étais levé du side car, et j’avais alors balancé le bouclier dans le side. Finalement, je la regardais dans les yeux.
« Mira ! Je t’aime ! »
Et j’avais sauté dans le vide, au milieu des ténèbres et des nuages, réfléchissant déjà à comment amortir ma chute ou planer. Les balais changèrent de cap pour se diriger vers moi. J’allais peut être mourir mais au moins, j’allais mourir heureux et la conscience libérée d’un poids que j’avais sur la poitrine depuis que j’avais rencontré l’iranienne.
« Ouais ! C’est… euh super joli. »
Il fallait quand même que je place un truc drôle. Un truc qui me permette de m’échapper de cette situation plus que gênante. Réfléchissant un très court instant, je rajoutais d’un air calme et qui se voulait super détendu mais ma voix trembla :
« Mais je peux que regarder ce qu’il y a de plus beau et mon regard est maintenant bloqué sur toi ! »
J’allais surtout vomir. Tout tanguait autour de nous. Je fis un semblant de sourire et je continuais de m’accrocher. Je me tournais vers Mira et je commençais à lui gueuler à cause du vent :
« Tu sais, il faut que je t’avoue quelque chose ! Un truc assez important ! Ca fait un moment que je voulais te le dire et je crois que j’ai enfin le courage de l’avouer ! Tu vois, j’ai pas été souvent dans cette situation mais il faut que tu saches que je crois… que je... »
J’allais dire je t’aime. Parce que je l’aimais forcément. Y’avait que l’amour pour me faire monter sur cette connerie. Mais je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’une demi douzaine de balais arrivèrent, avec des individus masqués à l’effigie d’animaux. D’instinct, je sortis ma baguette et je regardais les modèles de balais qu’ils avaient.
« Les Yamatori ! On va avoir des problèmes ! »
C’était sur eux, que j’avais du suivre au Japon. C’était un petit gang qui était néfaste et qui avait pignon sur rue là bas et qui voulait maintenant étendre leur emprise sur le Royaume Uni. Comment est-ce qu’ils avaient fait pour me retrouver ? La question se poserait plus tard, je m’étais un peu redressé et je dansais comme un âne, à balancer des contre-sort pour protéger Mira des maléfices.
« Accélère ! »
Un sort vert passa entre nous deux. Un sortilège de mort. Je savais qu’il ne visait pas moi, mais Mira. Puisque visiblement ils avaient besoin des informations que j’avais récolté. Je marmonnais un « fais chier » bien placé et je me ratatinais en donnant un cap à Mira. Le Ministère. C’était là qu’il fallait aller. Si on s’approchait d’assez prêt, on tomberait certainement sur des collègues en patrouille.
« Par là ! Je te couvre ! »
D’un coup de baguette, je fis apparaître un bouclier bien réel, en argent qui semblant ancien mais bien entretenue. Seul héritage des Grimm que j’avais su conservé. Quand les sorts arrivèrent sur nous, je projetais mon bouclier sur eux. Ils rebondirent dans un « DONG » sonore sur ce dernier.
« Ca va pas suffire ! C’est moi qu’ils veulent ! »
Je m’étais levé du side car, et j’avais alors balancé le bouclier dans le side. Finalement, je la regardais dans les yeux.
« Mira ! Je t’aime ! »
Et j’avais sauté dans le vide, au milieu des ténèbres et des nuages, réfléchissant déjà à comment amortir ma chute ou planer. Les balais changèrent de cap pour se diriger vers moi. J’allais peut être mourir mais au moins, j’allais mourir heureux et la conscience libérée d’un poids que j’avais sur la poitrine depuis que j’avais rencontré l’iranienne.
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Ebenezer était en train de changer d’avis et de tomber sous le charme des escapades en moto, Mira le sentait et son sourire s’agrandissait sous son col de veste. Fidèle à lui-même, l’agent se mit à la complimenter éhontément, la faisant rougir furieusement derrière ses lunettes de motarde. Il partit dans une de ces longues tirades dont il avait le secret quand soudain, la moto se retrouva entourée par une nuée de balais aux trajectoires menaçantes.
- Qu’est-ce que c’est, s’écria Mira en hésitant sur la conduite à tenir alors que son compagnon lui apportait une réponse qui ne satisfaisait pas du tout.
Le sorcier lui ordonna d’accélérer et la sorcière s’exécuta en tremblant comme une feuille. Soudain, un sortilège la frôla et elle sursauta en hurlant, détruisant sous doute au passage l’ouïe de son compagnon de vol. Mais Ebenezer gardait son calme, lui donnant un objectif précis sur lequel se concentrer. Blême de terreur, la jeune Aslan acquiesça en prenant la direction du Ministère. Il leur faudrait cependant bien une dizaine de minutes avant de pouvoir survoler l’édifice. Ils passeraient avant au-dessus du chemin de traverse et Mira pria pour que son frère ne soit pas témoin de leur mésaventure. @Dâriush Aslan était capable de faire apparaître la pleine lune juste pour pouvoir les décimer tous, Ebenezer compris évidemment.
Mais les mages noirs se rapprochaient d’eux, multipliant tant les sorts à leur encontre que Mira n’allait pas tarder à perdre le contrôle de son engin. Après avoir fait apparaître un étrange bouclier, Ebenezer choisit alors de se lever – posture bien dangereuse dans un side-car lancé à pleine vistesse.
- Qu’est-ce que tu fais, lui cria Mira en le regardant du coin de l’œil sans perdre de vue leur trajectoire.
Mais le sorcier se contenta de la fixer en lui déclamant sa flamme avant de basculer dans le vide. Cette fois-ci, Mira avait tourné toute son attention sur lui, écarquillant les yeux devant l'absence qu’il venait de créer. Elle n’avait rien eu le temps de faire. Ni le retenir, ni lui répondre les premiers mots qui lui seraient venus à l’esprit :
« Je sais. »
Sans doute que le Langue-de-Plomb avait un plan… Il ne se serait pas bêtement sacrifié pour sa survie... En se penchant, Mira le vit tomber en tournoyant comme un chaudron. Il avait raison cependant. Les mages se mirent tous à le suivre en descendant en piqué. Montés sur leurs balais, ils n’auraient aucun mal à le rattraper et à lui faire son compte. Mira fronça les sourcils, ses joues rougissant en réaction au vent qui fouettaient son visage. Emporter ainsi un homme qui avait enfin réussi à lui ouvrir son cœur ? Il en était hors de question !
A son tour, elle descendit en piqué droit sur la nuée de balais avec comme objectif de les prendre en sandwich tajrish entre elle et l’immense bâtiment qu’ils frôlaient. Avec un peu de chance, l’explosion de la moto sur le mur suffirait à souffler la majorité d’entre eux, laissant ainsi Ebenezer le soin de s’occuper des mages restants. Stratégie stupide ? Peut-être, mais Mira n’était pas agent du Ministère, et incapable de réfléchir correctement sous ce genre de pression. Quid de sa propre survie ? Il n’était plus temps de se poser la question. La sorcière s’administra un simple sortilège de bouclier en espérant qu’il serait suffisant avant de foncer droit sur les mages en criant pour se donner du courage.
INFOS
FICHE DE PERSO
Tombant dans les ténèbres comme une poupée de chiffon, j’eus un moment de doute. Et si j’allais crever comme ça ? Bêtement ? Non. J’avais encore ma place dans le monde des vivants ! Sortant ma baguette, un fil argentée en sortie comme une corde et je m’enroulais autour du balai du premier venu. Mon poids plus le siens nous fit tanguer dangereusement et je me mis à me balancer comme un gueudin. Les sorts pleuvaient autour de moi. Et je la vis, sur le side car arriver à toute vitesse.
« Bon sang mais va t’en Mira ! » lui hurlais-je alors que les sorts pleuvaient et ne me touchaient pas car je bougeais trop.
Dans un mouvement acrobatique, je me balançais et libérait le lien de la corde pour le retrouver suspendu au side-car.
« T’es une malade ! Prends de l’altitude ! »
Pointant ma baguette sur le side, je me mis alors à dire de manière précise et concentré, tout en réfléchissant à l’endroit où j’allais nous envoyer.
« Portus. »
Le sort du Portoloin frappa le side car. J’avais programmé à plusieurs secondes. Essayant de remonter sur le side, la gueule en coeur et le sourire aux lèvres, une balafre sur la joue, nous disparûmes alors instantanément dans les abîmes de l’espace et du temps…
… pour réapparaître l’instant suivant au bord de la mer, sur les plages de Timworth.
« Freeeeeeeeiiiine ! »
Mais trop tard, je sautais déjà du sidecar pour m’écraser comme une merde dans le sable à quelques mètres du sol. D’instinct, je levais ma baguette, prêt à affronter cette armée de sorciers japonais surentraîner et défendre ma peau et celle de Mira aussi chèrement que je l’aimais. Mais rien ne se produisit.
Je me dirigeais alors vers le side en courant, prenant Mira dans mes bras.
« T’as rien ? Rien de cassé ? Promis, je vais demander une mutation vers un poste moins dangereux ! Et promis, je remonte plus jamais sur cet engin de malheur. Je crois qu’ils en avaient après toi en réalité, t’es trop belle et ils doivent vouloir connaître ton secret au Japon Magique... »
« Bon sang mais va t’en Mira ! » lui hurlais-je alors que les sorts pleuvaient et ne me touchaient pas car je bougeais trop.
Dans un mouvement acrobatique, je me balançais et libérait le lien de la corde pour le retrouver suspendu au side-car.
« T’es une malade ! Prends de l’altitude ! »
Pointant ma baguette sur le side, je me mis alors à dire de manière précise et concentré, tout en réfléchissant à l’endroit où j’allais nous envoyer.
« Portus. »
Le sort du Portoloin frappa le side car. J’avais programmé à plusieurs secondes. Essayant de remonter sur le side, la gueule en coeur et le sourire aux lèvres, une balafre sur la joue, nous disparûmes alors instantanément dans les abîmes de l’espace et du temps…
… pour réapparaître l’instant suivant au bord de la mer, sur les plages de Timworth.
« Freeeeeeeeiiiine ! »
Mais trop tard, je sautais déjà du sidecar pour m’écraser comme une merde dans le sable à quelques mètres du sol. D’instinct, je levais ma baguette, prêt à affronter cette armée de sorciers japonais surentraîner et défendre ma peau et celle de Mira aussi chèrement que je l’aimais. Mais rien ne se produisit.
Je me dirigeais alors vers le side en courant, prenant Mira dans mes bras.
« T’as rien ? Rien de cassé ? Promis, je vais demander une mutation vers un poste moins dangereux ! Et promis, je remonte plus jamais sur cet engin de malheur. Je crois qu’ils en avaient après toi en réalité, t’es trop belle et ils doivent vouloir connaître ton secret au Japon Magique... »
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