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Be yourself; everyone else is already taken.
INFOS
FICHE DE PERSO
Be yourself; everyone else is already taken.
Dans le petit salon chaleureux et baigné de lumière, les tentures aux teintes chaudes et claires donnaient une impression de douceur et d'intimité. Une subtile odeur de bergamote et de rhum arrangé flottait dans l'air, créant une ambiance envoûtante. Les tableaux exotiques qui ornaient les murs semblaient raconter des histoires lointaines, transportant les occupants du petit salon dans des contrées exotiques et mystérieuses. Léandre aimait les voyages, découvrir et ramener de précieux souvenirs. C'était son moyen de s'évader. Et dans chaque objet unique, étrange, la beauté se révéler. Le sorcier aimait se dire artiste, et considérer son établissement comme un autel dédié à l'art. L'amour, l'érotisme, ou encore la sensualité étaient les instruments du plaisir, du bonheur et de l'amour.
De chaque côté de la pièce, d'anciennes cages à oiseaux dorées étaient suspendues, débordantes de plantes fleuries qui semblaient prospérer dans leur environnement enchanté. Les pétales colorés et les feuilles luxuriantes ajoutaient une touche de vie et de couleur à la pièce, créant un contraste fascinant avec le velours cramoisi des tentures. Un tourne disque laissait s'échapper la voix claire d'une litanie d'opéra.
Léandre, vêtu d'une chemise de satin mordoré qui capturait la lueur dansante des bougies, et d'un pantalon sombre élégant, incarnait l'élégance et le charme qui caractérisaient l'ambiance de la soirée. L'écossais observa sa montre à gousset avec un sourire, elle ne devrait pas tarder à arriver. Il avait laissé une note à sa collaboratrice et son amie la plus proche. Zoey Woods. Une louve au regard de banquise. Une sorcière incroyable dans sa complexité.
Depuis des semaines, elle l'aidait dans la préparation de la Grande Réouverture de l'Ensorceleur. Léandre était exigeant en matière de divertissements, et ses idées étaient précises, parfois difficiles à réaliser. Zoey était impliquée, et cela il ne pouvait que le remarquer. Le sorcier était d'une nature fidèle - Poufsouffle un jour, Poufsouffle toujours - et il avait une passion pour les belles tables. Il tenait à offrir un diner de remerciement, à sa complice.
Il prit place dans un des fauteuils confortables de son bureau. Il avait décidé de se détendre ce soir, une soirée suspendue avant de reprendre ses préparatifs. Quelques heures de détente, il ferme doucement les paupières. Se laissant surprendre par un sommeil si rare, dénué de souvenirs ou de cauchemars. Juste quelques minutes en attendant..
De chaque côté de la pièce, d'anciennes cages à oiseaux dorées étaient suspendues, débordantes de plantes fleuries qui semblaient prospérer dans leur environnement enchanté. Les pétales colorés et les feuilles luxuriantes ajoutaient une touche de vie et de couleur à la pièce, créant un contraste fascinant avec le velours cramoisi des tentures. Un tourne disque laissait s'échapper la voix claire d'une litanie d'opéra.
Léandre, vêtu d'une chemise de satin mordoré qui capturait la lueur dansante des bougies, et d'un pantalon sombre élégant, incarnait l'élégance et le charme qui caractérisaient l'ambiance de la soirée. L'écossais observa sa montre à gousset avec un sourire, elle ne devrait pas tarder à arriver. Il avait laissé une note à sa collaboratrice et son amie la plus proche. Zoey Woods. Une louve au regard de banquise. Une sorcière incroyable dans sa complexité.
Depuis des semaines, elle l'aidait dans la préparation de la Grande Réouverture de l'Ensorceleur. Léandre était exigeant en matière de divertissements, et ses idées étaient précises, parfois difficiles à réaliser. Zoey était impliquée, et cela il ne pouvait que le remarquer. Le sorcier était d'une nature fidèle - Poufsouffle un jour, Poufsouffle toujours - et il avait une passion pour les belles tables. Il tenait à offrir un diner de remerciement, à sa complice.
Il prit place dans un des fauteuils confortables de son bureau. Il avait décidé de se détendre ce soir, une soirée suspendue avant de reprendre ses préparatifs. Quelques heures de détente, il ferme doucement les paupières. Se laissant surprendre par un sommeil si rare, dénué de souvenirs ou de cauchemars. Juste quelques minutes en attendant..
Expertise : Stupefix !
Sortilège de Niv.4
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Expertise : Lumus Solem !
Sortilège de Niv.1
INFOS
Messages : 294
Faceclaim : Laura Vandervoort
Âge : 38
Sang : Sang mêlé
Particularités : Lycan niveau 2
Profession : Bras droit à l'Ensorceleur
Côté Cœur : Hamilton' wifey to be
Multis : Matthew & Naïri
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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La note posée sur ma coiffeuse, je glisse une énième épingle dans ma crinière blonde ainsi relevée en chignon. Les mèches rebelles persistant à encadrer mon visage. J’ai décidé de jouer le jeu. Je me pouponne, chose que je fais rarement quand ce n’est pas une exigence professionnelle. D’un point de vue pratique, je vois ça comme revêtir une armure, une carapace qui donne l’illusion d’une autre. C’est amusant aussi, au fond. Bien que parfois inconfortable ! Comme cette épingle qui s’est plantée dans mon cuir chevelu et m’extirpe un grognement. Respire ! Je la repositionne et inspecte mon reflet dans le miroir. Le contour charbonneux fait ressortir le bleu de mes prunelles, détail que j’apprécie particulièrement. Une touche de couleur sur les lèvres et me voilà fin prête. Je lisse les plis de ma robe longue noire dont je serais incapable de déterminer la matière.
C’est d’autant plus un challenge pour moi que d’essayer de réaliser les idées de mon ami et patron. Je ne vois pas les choses telles qu’il les voit. Pas seulement parce que ma vue de lycan diffère de celles des sorciers, mais parce que j’ai un côté plus basique – pour ne pas utiliser un terme qui serait moins sympathique envers ma personne. Cela a déjà navré ma mère durant mon enfance, elle qui avait espéré élever la nouvelle Frida Kahlo. A me mettre des pinceaux dans les mains avant que je ne sache formuler correctement un simple mot. Mais… Non. Mettez-moi un nuancier de couleur sous le nez et, certes, je percevrais des différences mais je ne saurais qu’en faire. Marier les couleurs, les matières et les objets était une épreuve. Mettre un client ivre mort à la porte est quelque chose de bien plus aisée et confortable. Cependant, les détails sont importants pour Léandre, alors je fais au mieux. Et apparemment il le sait. C’est ce qui compte, non ?
C’est avec froideur que je réponds aux regards intrigués sur mon passage. La tête haute, fière, je trace jusqu’à l’Ensorceleur. Je ne me risque pas à transplaner, je tiens à ce chignon de malheur. Et le son des talons hauts est agréable, tel le rythme d’un tambour de guerre. Une fois la porte principale passé, je me glisse à pas de loup jusqu’au salon privatif. Un sourire malicieux né sur mes lèvres quand je le vois ainsi assoupi. Je m’approche, me penche sur lui, mains posées sur les accoudoirs. Et je m’adresse à lui d’une voix bien distincte et claire. « Eh bien, j’ai raté la petite sauterie ? Je ne pensais pas avoir été si longue ! » Je me redresse et croise les bras sur ma poitrine tandis qu’il ouvre les yeux. « On peut remettre ça à une autre fois si tu es fatigué. » Mais je me ravise aussitôt. « En fait, non ! Il faut que je rentabilise tout ce boulot ! » Je pointe du doigt mon apparence plus que travaillée.
C’est d’autant plus un challenge pour moi que d’essayer de réaliser les idées de mon ami et patron. Je ne vois pas les choses telles qu’il les voit. Pas seulement parce que ma vue de lycan diffère de celles des sorciers, mais parce que j’ai un côté plus basique – pour ne pas utiliser un terme qui serait moins sympathique envers ma personne. Cela a déjà navré ma mère durant mon enfance, elle qui avait espéré élever la nouvelle Frida Kahlo. A me mettre des pinceaux dans les mains avant que je ne sache formuler correctement un simple mot. Mais… Non. Mettez-moi un nuancier de couleur sous le nez et, certes, je percevrais des différences mais je ne saurais qu’en faire. Marier les couleurs, les matières et les objets était une épreuve. Mettre un client ivre mort à la porte est quelque chose de bien plus aisée et confortable. Cependant, les détails sont importants pour Léandre, alors je fais au mieux. Et apparemment il le sait. C’est ce qui compte, non ?
C’est avec froideur que je réponds aux regards intrigués sur mon passage. La tête haute, fière, je trace jusqu’à l’Ensorceleur. Je ne me risque pas à transplaner, je tiens à ce chignon de malheur. Et le son des talons hauts est agréable, tel le rythme d’un tambour de guerre. Une fois la porte principale passé, je me glisse à pas de loup jusqu’au salon privatif. Un sourire malicieux né sur mes lèvres quand je le vois ainsi assoupi. Je m’approche, me penche sur lui, mains posées sur les accoudoirs. Et je m’adresse à lui d’une voix bien distincte et claire. « Eh bien, j’ai raté la petite sauterie ? Je ne pensais pas avoir été si longue ! » Je me redresse et croise les bras sur ma poitrine tandis qu’il ouvre les yeux. « On peut remettre ça à une autre fois si tu es fatigué. » Mais je me ravise aussitôt. « En fait, non ! Il faut que je rentabilise tout ce boulot ! » Je pointe du doigt mon apparence plus que travaillée.
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FICHE DE PERSO
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Il y avait plusieurs mois que Léandre ne s'était pas fais ravir par les bras de Morphée sans avoir recours à une potion. Il craignait les nuits sans bruits, sans plaisir, sans lecture. Le même rêve le hantait. Une maison à la couleur éclatante, dévorait par les flammes en cette nuit de Janvier. Les cris, l'odeur, le jeune Léandre qui tente d'extirper ses habitantes, M'dame Brigit qui le rattrape à temps. Les brulures sur son dos et ses avants-bras demeuraient les témoins de cette nuit cauchemardesque.
La finesse de ces tenues, et de ses déshabillés de nuit étaient un pansement subtile à ses cicatrices. L'art de s'habiller lui avait été enseigné par sa mère, et toutes ses tantes de la Maison dans laquelle ils vivaient. Ils avaient grandis au milieu de femmes merveilleuses, toutes différentes et uniques comme les fleurs qu'on choisit pour les sublimer dans un bouquet. Il avait reçu le plus beau des amours, celui de la tolérance, de l'acceptation de soi et des autres. Et en poursuivant cette voix, il voulait rendre ce qui avait de lui un homme. Offrir un lieu de culture, de merveilles, et d'amour à toutes les âmes qui entraient à l'Ensorceleur.
La voix claire de Zoey le tira de somnolence. Il passa sa main sur son visage, balayant sa fatigue.
- Excuse moi, je me suis perdu.. quelques instants. Il se redressa, posant son regard sur son invitée.
Osant un sourcil, avec un sourire grandissant, il ne pouvait qu'apprécier les efforts et la grâce que la sorcière avait mis dans le choix de ses vêtements et dans la complexité de sa coiffure. Sans parler des fards qui sublimaient son regard cristallin.
- Tu me fais honneur, Zoey. Tu es une apparition.. souffla t il, avant de se relever et de dédposer ses lèvres sur la joue de pêche de la louve. Il lui offrit un sourire chaleureux, avant de lui présenter la table basse qu'il avait dressé avec minutie.
- Que pense tu d'un verre de ce fameux rhum exotique, Celui que l'on proposera à nos clients lors de la Réouverture ? Celui qu'il avait fais découvrir à la mystérieuse Nott, en fin d'été. Ses arômes complexes aux arômes de fruits séchés, son nez boisé, la pomme ambré et son influence de Bourbon le rendait unique et chaleureux. Un voyage pour les sens.
- Ce soir, pas de préparatifs, pas de listes ou de sortilèges à réaliser. Une pause bien méritée pour nous deux, mais surtout pour toi. Il servit deux verres à la ciselure élégante, lui en tendant un.
La finesse de ces tenues, et de ses déshabillés de nuit étaient un pansement subtile à ses cicatrices. L'art de s'habiller lui avait été enseigné par sa mère, et toutes ses tantes de la Maison dans laquelle ils vivaient. Ils avaient grandis au milieu de femmes merveilleuses, toutes différentes et uniques comme les fleurs qu'on choisit pour les sublimer dans un bouquet. Il avait reçu le plus beau des amours, celui de la tolérance, de l'acceptation de soi et des autres. Et en poursuivant cette voix, il voulait rendre ce qui avait de lui un homme. Offrir un lieu de culture, de merveilles, et d'amour à toutes les âmes qui entraient à l'Ensorceleur.
La voix claire de Zoey le tira de somnolence. Il passa sa main sur son visage, balayant sa fatigue.
- Excuse moi, je me suis perdu.. quelques instants. Il se redressa, posant son regard sur son invitée.
Osant un sourcil, avec un sourire grandissant, il ne pouvait qu'apprécier les efforts et la grâce que la sorcière avait mis dans le choix de ses vêtements et dans la complexité de sa coiffure. Sans parler des fards qui sublimaient son regard cristallin.
- Tu me fais honneur, Zoey. Tu es une apparition.. souffla t il, avant de se relever et de dédposer ses lèvres sur la joue de pêche de la louve. Il lui offrit un sourire chaleureux, avant de lui présenter la table basse qu'il avait dressé avec minutie.
- Que pense tu d'un verre de ce fameux rhum exotique, Celui que l'on proposera à nos clients lors de la Réouverture ? Celui qu'il avait fais découvrir à la mystérieuse Nott, en fin d'été. Ses arômes complexes aux arômes de fruits séchés, son nez boisé, la pomme ambré et son influence de Bourbon le rendait unique et chaleureux. Un voyage pour les sens.
- Ce soir, pas de préparatifs, pas de listes ou de sortilèges à réaliser. Une pause bien méritée pour nous deux, mais surtout pour toi. Il servit deux verres à la ciselure élégante, lui en tendant un.
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Je pose une main sur l’épaule de Léandre et presse doucement, affectueusement, en réponse à ce baiser. Rares sont les gens dont j’accepte et apprécie le contact physique. Ce qui peut surprendre car, plus jeune, j’étais miss câlins, surtout éméchée, le genre de pot de colle qui déborde d’affection et qui vous le fait savoir. Cependant, mon rapport à mon corps est différent désormais. Quelqu’un l’a souillé, sans mon consentement, dans une grande violence qui a brisé quelque chose. Je pense m’être reconstruite avec les années, avoir renforcé mon organisme, l’avoir affûté pour en faire une armure, une arme si nécessaire. Mais je ressens le besoin de le protéger, encore. Des clients s’y sont mordus les doigts – brisés – pour avoir osé me mettre une main aux fesses. Léandre fait partie des exceptions, il a gagné la confiance nécessaire. Mais pas pour la main aux fesses, il ne faut pas déconner !
« C’est une bonne entrée en matière ! » Que j’acquiesce. Mes yeux pétillants s’attardent sur la table basse. Mon odorat, lui, se laisse submerger par tous ces parfums. Les sens développés ne sont pas toujours une mince affaire. Passer d’un milieu rural qui n’est que nature à l’état brut – si on oublie les engins agricoles bruyants et odorants – à une ville telle que le Marché aux Trolls aux parfums transformés, artificiels, mélangés parfois à l’excès… L’acclimatation a été brutale, au début. J’ai dû apprendre à filtrer les informations, à taire celles qui pouvaient m’agresser les nasaux et faire pour ne garder que les plus agréables. Ici, aucune agression, tout me réveille les papilles. « C’est… » Je porte une main à mon cou et joue avec le collier dont je me suis parée. « C’est parfait. » Que je dis dans un souffle, émue par ces préparatifs. « Une soirée VIP de chez VIP, je suis flattée. »
Je prends le verre qu’il me tend et viens le faire tinter contre le sien alors que je croise son regard, tout sourire. « A cette soirée. » Je porte le verre à mon nez et hume le nectar qu’il m’a servi. « C’est vraiment intéressant... Un jour j’aimerais que tu me dises où tu trouves toutes ces merveilles. » Cela me change tellement des premiers bouges où j’ai bossé et où peu importait aux patrons la qualité de ce qu’on servait au client. Cette véritable envie de Léandre à ce que les gens passent un moment inoubliable et non juste à leur soutirer de l’argent c’est ce qui m’a poussée à le suivre dans cette entreprise. « A combien on va facturer le verre ? » Mais je me rattrape. « Pas de préparatifs, pardon. Déformation professionnelle, tout ça… » Je hausse les épaules avant de m’installer sur une banquette, le dos bien droit en vraie dame du monde. Mama would be proud ! Je sirote un peu de rhum tandis que mon regard se pose sur lui, sourcils froncés, concernée. « Tu as encore du mal à dormir ? »
« C’est une bonne entrée en matière ! » Que j’acquiesce. Mes yeux pétillants s’attardent sur la table basse. Mon odorat, lui, se laisse submerger par tous ces parfums. Les sens développés ne sont pas toujours une mince affaire. Passer d’un milieu rural qui n’est que nature à l’état brut – si on oublie les engins agricoles bruyants et odorants – à une ville telle que le Marché aux Trolls aux parfums transformés, artificiels, mélangés parfois à l’excès… L’acclimatation a été brutale, au début. J’ai dû apprendre à filtrer les informations, à taire celles qui pouvaient m’agresser les nasaux et faire pour ne garder que les plus agréables. Ici, aucune agression, tout me réveille les papilles. « C’est… » Je porte une main à mon cou et joue avec le collier dont je me suis parée. « C’est parfait. » Que je dis dans un souffle, émue par ces préparatifs. « Une soirée VIP de chez VIP, je suis flattée. »
Je prends le verre qu’il me tend et viens le faire tinter contre le sien alors que je croise son regard, tout sourire. « A cette soirée. » Je porte le verre à mon nez et hume le nectar qu’il m’a servi. « C’est vraiment intéressant... Un jour j’aimerais que tu me dises où tu trouves toutes ces merveilles. » Cela me change tellement des premiers bouges où j’ai bossé et où peu importait aux patrons la qualité de ce qu’on servait au client. Cette véritable envie de Léandre à ce que les gens passent un moment inoubliable et non juste à leur soutirer de l’argent c’est ce qui m’a poussée à le suivre dans cette entreprise. « A combien on va facturer le verre ? » Mais je me rattrape. « Pas de préparatifs, pardon. Déformation professionnelle, tout ça… » Je hausse les épaules avant de m’installer sur une banquette, le dos bien droit en vraie dame du monde. Mama would be proud ! Je sirote un peu de rhum tandis que mon regard se pose sur lui, sourcils froncés, concernée. « Tu as encore du mal à dormir ? »
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Léandre savait reconnaître les conséquences d'une agression. Il en avait tellement connu, des femmes qui avaient été souillées par des monstres. Ils les avaient recueillis l'une après l'autre. S'il devait faire les comptes, et il avait cette facheuse habiture à tout noter, toutes ses artistes, ses demoiselles, ses fleurs avaient été un jour, blessées par une créature qui se disait homme. Il les avait soigné, consolé, et abrité. Et ils les aimait chacune d'entre elles. Il leur offrait ce qu'elle désirait. Parfois, c'était une soirée de lecture, ou encore un aprés midi sans l'eau. Un repas gastronomique, ou un récital de poésie. Une miriade de baisers, ou une nuit de chagrin. Léandre avait endossé tous les rôles pour les mener à la guérison. Et certaines avaient repris la route, tandis que d'autres avaient préféré rester à ses côtés.
Zoey avait son histoire, et ses cicatrices. Il n'avait pas besoin de détails. Comme toujours, il disposait, et elle se servait.
- Je voyage, ma douce. Je voyage. Et les surprises s'emparent de moi, et de mes papilles ! C'était le secret de Léandre se faire surprendre par le hasard ou le destin. Il aimait les rencontres, les découvertes et se laisse porter par le courant. Il se sentait vivant.
Il plongea ses lèvres dans la liqueur divine, soupirant d'aise. Il était incroyable ce Rhum. Il ne demandait qu'à être bu. Il fronça ses sourcils.
- Si la nuit est calme, le cauchemar revient. Avoua t il en grimaçant.
Il reprit une gorgée, avant de soupirer. Il n'avait pas envie d'en parler ce soir. Il se leva et se laissa porter par une mélodie qui s'élévait doucement dans la pièce. Il préférait danser, et boire ce soir, se laisser porter par la beauté de la soirée, et il s'agissait de l'intrépide Zoey. Elle était semblable à un portrait des reines d'autrefois. Noble et inaccessible.
- Et tes nuits, comment sont elles ? Il l'invita de sa main chaleureuse à le rejoindre dans ses pas improvisés. Il aimer veiller sur sa quiétude et sécurité. C'était ainsi qu'il était fait.
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« Un jour, peut-être, me glisserais-je dans tes bagages... » Les voyages. J’en ai longtemps rêvé, je voulais parcourir le monde, le découvrir. Les autres continents, les différentes cultures, tant de choses que j’ignore. Et qu’est-ce qui m’arrête, au fond ? Juste moi. Je suis responsable du fait de n’avoir jamais quitté le pays. Car j’ai toujours cette crainte de perte de contrôle loin d’un environnement connu et maitrisé.
Je bois une nouvelle gorgée, me délectant de la chaleur qui se propage le long de ma gorge, puis repose le breuvage pour me saisir de sa main et le rejoindre. Ma main libre se pose sur son épaule et les mouvements de mon corps se calent sur le sien. « Pour l’instant, mes nuits sont plutôt paisibles. Mais dans quelques temps, à l’approche de la transformation j’aurais probablement droit au mien de cauchemar. » Je hausse doucement les épaules. Je m’y suis faite, avec le temps. Un psy me dirait que, tant que je n’accepterais pas la part de loup en moi, que je ne ferais pas la paix, ce mauvais rêve me hanterait. Mais je ne suis pas prête. Le serais-je vraiment un jour ? Mystère. « Mais même quand c’est calme, je suis agitée. Il se pourrait bien que je rêve de gambader librement derrière un lièvre, ça expliquerait pourquoi mes draps terminent régulièrement en boule au pied du lit. » Ce qui n’est pas pour déplaire à Grincheux, mon colocataire poilu. « Un jour j’aimerais enregistrer mes nuits… » Ce serait plutôt simple. Judith doit bien avoir un camescope ou autre technologie moldue. « Savoir si je ronfle, si j’aboie. » Comme je refuse de partager ma couche dans un tel moment de vulnérabilité Control freak ! j’ignore ce genre de détails sur ma personne.
« Tu sais, s’il n’y a que ça, je connais plus d’une personne qui n’attendent qu’un geste de ta part pour agiter tes nuits. Je te donne les noms sans problème ! » Que je le charrie, revenant à sa situation en toute légèreté. « Non pas que tu ais besoin de mon aide, d’ailleurs ! Charmant comme tu es, tu n’as qu’à claquer des doigts. »
Je bois une nouvelle gorgée, me délectant de la chaleur qui se propage le long de ma gorge, puis repose le breuvage pour me saisir de sa main et le rejoindre. Ma main libre se pose sur son épaule et les mouvements de mon corps se calent sur le sien. « Pour l’instant, mes nuits sont plutôt paisibles. Mais dans quelques temps, à l’approche de la transformation j’aurais probablement droit au mien de cauchemar. » Je hausse doucement les épaules. Je m’y suis faite, avec le temps. Un psy me dirait que, tant que je n’accepterais pas la part de loup en moi, que je ne ferais pas la paix, ce mauvais rêve me hanterait. Mais je ne suis pas prête. Le serais-je vraiment un jour ? Mystère. « Mais même quand c’est calme, je suis agitée. Il se pourrait bien que je rêve de gambader librement derrière un lièvre, ça expliquerait pourquoi mes draps terminent régulièrement en boule au pied du lit. » Ce qui n’est pas pour déplaire à Grincheux, mon colocataire poilu. « Un jour j’aimerais enregistrer mes nuits… » Ce serait plutôt simple. Judith doit bien avoir un camescope ou autre technologie moldue. « Savoir si je ronfle, si j’aboie. » Comme je refuse de partager ma couche dans un tel moment de vulnérabilité Control freak ! j’ignore ce genre de détails sur ma personne.
« Tu sais, s’il n’y a que ça, je connais plus d’une personne qui n’attendent qu’un geste de ta part pour agiter tes nuits. Je te donne les noms sans problème ! » Que je le charrie, revenant à sa situation en toute légèreté. « Non pas que tu ais besoin de mon aide, d’ailleurs ! Charmant comme tu es, tu n’as qu’à claquer des doigts. »
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FICHE DE PERSO
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D'un pas habitué, il faisait valser la jeune femme avec une certaine légereté. Ne posant son regard clair que partiellement sur son visage, la laissant répondre à son rythme, lui racontait ses nuits qui bientôt seraient plus agitées. Une louve n'était pas la chose la plus aisée à approcher. Et quand c'était possible, il fallait prendre son mal en patience, et apprendre à se caler sur son rythme. Zoey avait fini par fleurir à son contact pour lui permettre de lui venir en aide, les soirs de pleine lune il veillait sur la sorcière. Il était la clé de sa propre sécurité, et ce n'est pas rare, qu'il pique du nez en restant à ses côtés. Mais il disparaissait au petit matin pour ne pas gêner son réveil. Il aimait respecter les limites, même en apparence.
- Si tes ronflements t'intéressent autant, je peux te servir de témoin répondit l'écossais avec un sourire léger. Il avait saisi la nécessité de comprendre sa nature, et de se rendre compte de ses nuits. Observer, comprendre pour mieux appréhender. En ce point Zoey et lui étaient similaires. Les informations étaient source de pouvoir. Et de maitrise. Hybride ou non, tout le monde possédait un monstre au fond de lui. La différence, c'est que les hybrides, eux, en avaient conscience.
Le sous entendu fit rire Léandre. Il ne feignait pas la fausse modestie, et se savait séduisant. En dehors de sa nature de Vélane. Qu'il n'utilisait jamais pour ses affaires de coeur. Il trouvait ça vulgaire. Le consentement était la base de toutes ses relations, et il n'y avait rien de meilleur que d'accepter de jouer la séduction, la tendresse ou l'amour. Il aimait que le plaisir soit synonyme de consentir. Peut-être était ce son éducation, et sa connaissance du monde obscure des charmes. Il se faisait l'apôtre de l'amour libre.
- Ma douce amie, j'offre bien des choses grâce à mes doigts.. Mais les claquements n'en font pas partie. Sourit il avec une pointe de malice.
Il la fit tourner sur elle-même avant de la reprendre dans ses bras, en poursuivant sa danse élégante.
Une série de bruits sourds vint interrompre leur étreinte dansante.
Une sorcière à la chevelure brune et coiffée dans un carré élégant vint s'annoncer auprès de Léandre;
- Monsieur Hamilton, Excusez-moi de vous déranger.. c'est à propos de la salle des eaux : Thalassas Ionnlaid commença t elle en se tenant à l'entrée du bureau circulaire de son patron. La réhabilitation est terminée, mais il semble que la température ne soit pas aussi agréable que prévu.. Les filles parlent de bain froid et sombre.. ajouta t elle avec maladresse.
Léandre se passa la main sur le visage d'un air contrarié. Il ne devait régler ce genre de détails au plus tôt. Les filles aimaient profiter de la salle des eaux, plutôt que de se contenter de leurs petites salles de bains attribuées. Et la réouverture s'approchaient. Si sa pièce aquatique restait une banquise, aucun plaisir ne s'écoulerait dans ses bassins.
- Je m'en occupe personnellement. Il remercia la sorcière, et reporta son attention sur sa seconde. Je suis navrée Zoey, je vais devoir interrompre pour faire .. de la plomberie, voir un plongeon de minuit.. Il soupira. Ce n'était pas ça que j'avais prévu pour no.. pour ce soir !
- Si tes ronflements t'intéressent autant, je peux te servir de témoin répondit l'écossais avec un sourire léger. Il avait saisi la nécessité de comprendre sa nature, et de se rendre compte de ses nuits. Observer, comprendre pour mieux appréhender. En ce point Zoey et lui étaient similaires. Les informations étaient source de pouvoir. Et de maitrise. Hybride ou non, tout le monde possédait un monstre au fond de lui. La différence, c'est que les hybrides, eux, en avaient conscience.
Le sous entendu fit rire Léandre. Il ne feignait pas la fausse modestie, et se savait séduisant. En dehors de sa nature de Vélane. Qu'il n'utilisait jamais pour ses affaires de coeur. Il trouvait ça vulgaire. Le consentement était la base de toutes ses relations, et il n'y avait rien de meilleur que d'accepter de jouer la séduction, la tendresse ou l'amour. Il aimait que le plaisir soit synonyme de consentir. Peut-être était ce son éducation, et sa connaissance du monde obscure des charmes. Il se faisait l'apôtre de l'amour libre.
- Ma douce amie, j'offre bien des choses grâce à mes doigts.. Mais les claquements n'en font pas partie. Sourit il avec une pointe de malice.
Il la fit tourner sur elle-même avant de la reprendre dans ses bras, en poursuivant sa danse élégante.
Une série de bruits sourds vint interrompre leur étreinte dansante.
Une sorcière à la chevelure brune et coiffée dans un carré élégant vint s'annoncer auprès de Léandre;
- Monsieur Hamilton, Excusez-moi de vous déranger.. c'est à propos de la salle des eaux : Thalassas Ionnlaid commença t elle en se tenant à l'entrée du bureau circulaire de son patron. La réhabilitation est terminée, mais il semble que la température ne soit pas aussi agréable que prévu.. Les filles parlent de bain froid et sombre.. ajouta t elle avec maladresse.
Léandre se passa la main sur le visage d'un air contrarié. Il ne devait régler ce genre de détails au plus tôt. Les filles aimaient profiter de la salle des eaux, plutôt que de se contenter de leurs petites salles de bains attribuées. Et la réouverture s'approchaient. Si sa pièce aquatique restait une banquise, aucun plaisir ne s'écoulerait dans ses bassins.
- Je m'en occupe personnellement. Il remercia la sorcière, et reporta son attention sur sa seconde. Je suis navrée Zoey, je vais devoir interrompre pour faire .. de la plomberie, voir un plongeon de minuit.. Il soupira. Ce n'était pas ça que j'avais prévu pour no.. pour ce soir !
Expertise : Stupefix !
Sortilège de Niv.4
B1єnv3иuз ɐu Лдrch3 ѧu∝ trѳl|ꙃ
Expertise : Lumus Solem !
Sortilège de Niv.1
INFOS
Messages : 294
Faceclaim : Laura Vandervoort
Âge : 38
Sang : Sang mêlé
Particularités : Lycan niveau 2
Profession : Bras droit à l'Ensorceleur
Côté Cœur : Hamilton' wifey to be
Multis : Matthew & Naïri
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Be yourself; everyone else is already taken.
« Je te confie déjà ma vie. Je t’offre mon corps. Et maintenant tu voudrais percer l’un des rares mystères qu’il reste de ma personne ? » Ma question est on ne peut plus sérieuse comme l’étonnement que cela soulève chez moi. Je sais que je ne suis pas la personne la plus facile à supporter au quotidien et, par Merlin, Léandre a déjà été témoin de mon sale caractère. Malgré cela il est toujours présent et ne semble pas las. J’exagère un soupire en mauvaise tragédienne. « On lui donne le doigt et il nous prend le bras. » Mais je note sa proposition dans un coin de ma tête. A dire vrai, il est l’une des personnes en qui j’ai le plus confiance, donc si je devais être amenée à baisser cette dernière barrière un jour, il est possible que ce soit avec lui. Encore faut-il que je m’en sente prête. « Sans parler que c’est prendre le risque que tu m’admires baver sur mon oreiller et casser par la même l’image que je travaille soigneusement depuis quelques années maintenant... »
Mon corps ondule au rythme du sien, en suit le moindre de ses mouvements et parfois semble même les anticiper, comme un prolongement. Je sourie en coin quand il élude habilement ma remarque, mes joues rosissant doucement aux images qui me viennent par bribes. « Tu sais très bien ce que je voulais dire. » Un éclat de rire m’échappe tandis que je virevolte. Je commence réellement à en oublier le stress qu’ont pu m’apporter ces dernières semaines de travail, il n’y a plus que ces pas de danses au son de la musique. Et il a fallu qu’elle arrive et fasse éclater la délicate bulle de confort.
Tandis qu’elle nous expose la mauvaise nouvelle, je me rembrunis. Si ça ne tenait qu’à moi, je l’enverrais bouler pour reprendre notre danse, loin de tous problèmes, et remettrait le reste à plus tard. Sauf que je sais qu’il ne le fera pas. Parce qu’il a un meilleur sens des priorités, certainement. Alors que la sorcière repart et que Léandre se confond en excuse, j’attrape la bouteille de rhum dans une main et récupère nos verres de l’autre. « Comme si tu allais te débarrasser de moi aussi facilement. » Je lui passe devant, les mains chargées, et m’engouffre par la porte. « Je suis ton bras droit, non ? Eh bien, je t’éclairerais ou te tiendrais les outils... J’ignore comment les sorciers jouent aux plombiers à vrai dire. » Que je lui lance par-dessus mon épaule tandis que je traverse le grand salon, d’un pas déterminée et regard rivé devant moi, ignorant les gens que je croise, grimpe les marches de l’escalier et avance dans le couloir jusqu’à arriver à l’entrée de la salle des eaux.
Comme à chaque fois, je suis hypnotisée par la lumière que diffusent les lustres et me sens comme transportée. Je retire mes escarpins et les laisse près de l’entrée, préférant marcher pieds nus sur le sol frais. Son souci du détail quant au choix de la décoration me stupéfie, une fois encore, alors que j’admire une sirène sur les murs. Je dépose délicatement nos verres et la bouteille près du rebord, m’accroupis et glisse une main dans l’eau. Ma température corporelle dépassant celle des humains de cinq degrés, je ne me fie pas trop à mon propre ressenti. « Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est froid mais j’admets que n’est pas suffisant pour le confort des clients, ni celui des filles. » Je me redresse et viens vers lui d’un pas léger. « Au boulot monsieur le plombier ! Sait-on jamais, si on règle ça rapidement, on pourra peut-être profiter d’une eau bien chaude, seuls. » Un sourire conspirateur sur les lèvres.
Mon corps ondule au rythme du sien, en suit le moindre de ses mouvements et parfois semble même les anticiper, comme un prolongement. Je sourie en coin quand il élude habilement ma remarque, mes joues rosissant doucement aux images qui me viennent par bribes. « Tu sais très bien ce que je voulais dire. » Un éclat de rire m’échappe tandis que je virevolte. Je commence réellement à en oublier le stress qu’ont pu m’apporter ces dernières semaines de travail, il n’y a plus que ces pas de danses au son de la musique. Et il a fallu qu’elle arrive et fasse éclater la délicate bulle de confort.
Tandis qu’elle nous expose la mauvaise nouvelle, je me rembrunis. Si ça ne tenait qu’à moi, je l’enverrais bouler pour reprendre notre danse, loin de tous problèmes, et remettrait le reste à plus tard. Sauf que je sais qu’il ne le fera pas. Parce qu’il a un meilleur sens des priorités, certainement. Alors que la sorcière repart et que Léandre se confond en excuse, j’attrape la bouteille de rhum dans une main et récupère nos verres de l’autre. « Comme si tu allais te débarrasser de moi aussi facilement. » Je lui passe devant, les mains chargées, et m’engouffre par la porte. « Je suis ton bras droit, non ? Eh bien, je t’éclairerais ou te tiendrais les outils... J’ignore comment les sorciers jouent aux plombiers à vrai dire. » Que je lui lance par-dessus mon épaule tandis que je traverse le grand salon, d’un pas déterminée et regard rivé devant moi, ignorant les gens que je croise, grimpe les marches de l’escalier et avance dans le couloir jusqu’à arriver à l’entrée de la salle des eaux.
Comme à chaque fois, je suis hypnotisée par la lumière que diffusent les lustres et me sens comme transportée. Je retire mes escarpins et les laisse près de l’entrée, préférant marcher pieds nus sur le sol frais. Son souci du détail quant au choix de la décoration me stupéfie, une fois encore, alors que j’admire une sirène sur les murs. Je dépose délicatement nos verres et la bouteille près du rebord, m’accroupis et glisse une main dans l’eau. Ma température corporelle dépassant celle des humains de cinq degrés, je ne me fie pas trop à mon propre ressenti. « Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est froid mais j’admets que n’est pas suffisant pour le confort des clients, ni celui des filles. » Je me redresse et viens vers lui d’un pas léger. « Au boulot monsieur le plombier ! Sait-on jamais, si on règle ça rapidement, on pourra peut-être profiter d’une eau bien chaude, seuls. » Un sourire conspirateur sur les lèvres.
INFOS
FICHE DE PERSO
Be yourself; everyone else is already taken.
La louve sembla soupirer avec une certaine humeur.
Il se doutait qu'elle contrôlait son caractère auprès de lui. Pour le plus grand bonheur de ses employés. Il n'y avait rien de pire que de contrarier une créature telle que Zoey, aussi charmante qu'elle était. Son côté animal pouvait être difficile à gérer. Le gentleman qui l'était, en avait vu des plus terribles. Mais il ne s'en vantait pas. Toutes les batailles n'étaient pas des victoires.
Il jeta un regard étonné face à la réaction de la sorcière qui se saisissait de la bouteille de Rhum et des deux verres ouvragés. Il rit légèrement. Il y avait d'autres raisons qui motivaient son déplacement pour réparer la salle de bain. Les enchantements étaient complexes, et composés de plomberie, de magie et de quelques créatures magiques.
- J'ai mes astuces, répondit il vaguement en l'observant ouvrir le chemin. Il apprécia discrètement la silhouette de son amie.
Léandre la suivit à un rythme plus avisé. Il salua quelques sorciers d'un hochement de tête. Il espérait que le feu de la chaudière n'avait que peu baissé, et que les salamandres qui faisaient office de thermostat étaient encore en pleine forme. Le sorcier avait mis au point un enchantement qui permettait que le feu s'entretienne grâce à la présence des Salamandres. La chaudière était une pièce étroite qui se situait sous l'immense bassin. Toute la pièce en bénéficiait. Cette boucle infinie et magique de flammes pouvait être interrompue par un trop plein de magie ou d'activités. Ce qui était sans doute le cas avec les travaux qui s'étaient déroulés pendant des mois.
Quelques ajustements, et cela serait réglé.
Il prit en compte les remarques de la sorcière. C'était sans doute, une légère perte de puissance.
- Tu veux dire, si je règle ça rapidement ! Attends moi ici. Rectifia t il avec un demi sourire. D'un geste de sa baguette il réleva les contours d'une trappe non loin de l'entrée du bassin, et d'y descendre par le biais d'un escalier en colimaçon
L'écossais disparu pendant une bonne dizaine de minutes. Il lança des sortilèges précis, pour relancer les flammes, et gâtés les salamandres qui se régalaient du feu magique. Il isola la pièce, la rendant la plus sèche que possible, avant de la fermer à l'aide de protection dont il avait le secret.
C'est tout en sueur, qui remonta, et clotura la trappe. Il sortit un mouchoir élégant de sa poche, et épongea son front avec minutie.
- La température devrait remonter dans les minutes qui vont suivre. Mais je vais devoir m'assurer, que les tuyaux ne soient pas encombrés tout comme l'évacuation. Annonça t il à la louve qui sirotait du rhum en profitant du spectacle des mosaiques ensorcelés. Sous entendu, qu'il devait d'hors et déjà plonger dans le bassin majestueux.
Léandre se glissa derrière un élégant paravent, se débarassant de son pantalon ainsi que de sa chemise. Découvrant ses avants bras et son dos couverts d'anciennes brûlures et cicatrices. Il ne dévoilait cette partie à peu de gens. Et ce soir la lumière était tamissée, lui offrant une certaine pudeur. Le sorcier plongea dans l'eau déjà bien tiède. Il alluma sa baguette qu'il coinca dans ses dents, pour s'enfoncer au fond du bassin et vérifier sa plomberie.
Il lui fallut quelques minutes pour constater avec satisfaction, que le problème était résolu.
Il se doutait qu'elle contrôlait son caractère auprès de lui. Pour le plus grand bonheur de ses employés. Il n'y avait rien de pire que de contrarier une créature telle que Zoey, aussi charmante qu'elle était. Son côté animal pouvait être difficile à gérer. Le gentleman qui l'était, en avait vu des plus terribles. Mais il ne s'en vantait pas. Toutes les batailles n'étaient pas des victoires.
Il jeta un regard étonné face à la réaction de la sorcière qui se saisissait de la bouteille de Rhum et des deux verres ouvragés. Il rit légèrement. Il y avait d'autres raisons qui motivaient son déplacement pour réparer la salle de bain. Les enchantements étaient complexes, et composés de plomberie, de magie et de quelques créatures magiques.
- J'ai mes astuces, répondit il vaguement en l'observant ouvrir le chemin. Il apprécia discrètement la silhouette de son amie.
Léandre la suivit à un rythme plus avisé. Il salua quelques sorciers d'un hochement de tête. Il espérait que le feu de la chaudière n'avait que peu baissé, et que les salamandres qui faisaient office de thermostat étaient encore en pleine forme. Le sorcier avait mis au point un enchantement qui permettait que le feu s'entretienne grâce à la présence des Salamandres. La chaudière était une pièce étroite qui se situait sous l'immense bassin. Toute la pièce en bénéficiait. Cette boucle infinie et magique de flammes pouvait être interrompue par un trop plein de magie ou d'activités. Ce qui était sans doute le cas avec les travaux qui s'étaient déroulés pendant des mois.
Quelques ajustements, et cela serait réglé.
Il prit en compte les remarques de la sorcière. C'était sans doute, une légère perte de puissance.
- Tu veux dire, si je règle ça rapidement ! Attends moi ici. Rectifia t il avec un demi sourire. D'un geste de sa baguette il réleva les contours d'une trappe non loin de l'entrée du bassin, et d'y descendre par le biais d'un escalier en colimaçon
L'écossais disparu pendant une bonne dizaine de minutes. Il lança des sortilèges précis, pour relancer les flammes, et gâtés les salamandres qui se régalaient du feu magique. Il isola la pièce, la rendant la plus sèche que possible, avant de la fermer à l'aide de protection dont il avait le secret.
C'est tout en sueur, qui remonta, et clotura la trappe. Il sortit un mouchoir élégant de sa poche, et épongea son front avec minutie.
- La température devrait remonter dans les minutes qui vont suivre. Mais je vais devoir m'assurer, que les tuyaux ne soient pas encombrés tout comme l'évacuation. Annonça t il à la louve qui sirotait du rhum en profitant du spectacle des mosaiques ensorcelés. Sous entendu, qu'il devait d'hors et déjà plonger dans le bassin majestueux.
Léandre se glissa derrière un élégant paravent, se débarassant de son pantalon ainsi que de sa chemise. Découvrant ses avants bras et son dos couverts d'anciennes brûlures et cicatrices. Il ne dévoilait cette partie à peu de gens. Et ce soir la lumière était tamissée, lui offrant une certaine pudeur. Le sorcier plongea dans l'eau déjà bien tiède. Il alluma sa baguette qu'il coinca dans ses dents, pour s'enfoncer au fond du bassin et vérifier sa plomberie.
Il lui fallut quelques minutes pour constater avec satisfaction, que le problème était résolu.
Expertise : Stupefix !
Sortilège de Niv.4
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Expertise : Lumus Solem !
Sortilège de Niv.1
INFOS
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Faceclaim : Laura Vandervoort
Âge : 38
Sang : Sang mêlé
Particularités : Lycan niveau 2
Profession : Bras droit à l'Ensorceleur
Côté Cœur : Hamilton' wifey to be
Multis : Matthew & Naïri
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Be yourself; everyone else is already taken.
Je fronce les sourcils alors qu’il s’éclipse dans la trappe, me laissant seule. Je n’ai pas l’habitude de rester les bras ballants pendant que les autres s’affairent. Cela me donne l’impression d’être inutile. Un poids mort, une charge pour les autres. Comme lors de mes débuts chez les Yards ( @Ellie Yard @Glenn Yard ), alors qu’ils se mettaient tous au travail tandis que je découvrais ce qu’était une exploitation agricole, complètement perdue, moi la citadine. Depuis cette époque, je ressens toujours une once de culpabilité à ne rien faire. Comme maintenant. Je tente de me rassurer. Après tout, n’était-ce pas ma soirée de repos selon ses propres termes ? Une pause bien méritée ? Oui, je m’y accroche.
Ma curiosité maladive me pousse à venir m’allonger près de la trappe pour y passer la tête. Seulement je n’y vois rien et suis juste assaillie par la forte chaleur qui en remonte, aussi je me relève, une moue boudeuse aux lèvres et retourne aux bords de l’eau. J’y plonge une main que je viens passer dans ma nuque pour me rafraichir avant de récupérer ma boisson. Le verre délicat dans une main, le pan de ma robe dans l’autre, j’esquisse quelques pas, la musique résonnant encore dans ma tête. Je longe la mosaïque durant plusieurs minutes, lentement, et m’arrête devant la représentation d’un groupe de naïade badinant dans les eaux. Je les salue en m’inclinant, lève mon verre et en prends une nouvelle gorgée. Fredonnant, je reviens vers le bassin alors qu’il émerge de la trappe.
Cela me ramène à certains spots publicitaires de mon enfance. Avec l’ouvrier, travailleur acharné en sueur, qui s’ouvre une canette de soda bien fraiche avant de se la passer sur le front devant les yeux de femmes qui l’observent, qui se pâment. On y est presque à quelques détails et vêtement près et je dois admettre que le spectacle est agréable et n’en perds pas une miette, affichant un sourire appréciateur. « Si tu partageais certaines de tes astuces, je pourrais t’être plus utile. Parfois, deux baguettes valent mieux qu’une. » Mais il a déjà plongé dans l’eau. Rah ! Je lui ai pourtant dit plus tôt que j’étais prête à jouer les éclaireuses mais là encore il préfère gérer seul.
Soit. Je laisse tomber la robe derrière le paravent ouvragé, me glisse tranquillement dans l’eau qui se réchauffe déjà et l’attends appuyée contre le rebord, savourant la sensation d’apesanteur, de légèreté. Et tant qu’à se libéré de contraintes, je retire une à une les maudites épingles à cheveux que je pose près de la bouteille et libère la cascade de cheveux. Quand il remonte à la surface, je lui laisse quelques secondes avant de le taquiner. « Non pas que te regarder travailler n’est pas un délice pour les yeux, bien au contraire ! Seulement j’ai la désagréable impression d’être une potiche ce soir. Une magnifique potiche, certes, mais tout de même. » Je nage jusqu’à lui, lui tourne autour. « Je risque de prendre ombrage. Douterais-tu de mes capacités ? N’ai-je pas déjà fait mes preuves ? » Je me redresse face à lui, lève le menton et le défie avec un sourire espiègle. « Je sais que l’Ensorceleur te tient très à cœur et que tu y mets ton âme. Et je te laisse le secret de ton omniprésence en ces lieux. » Comme le moyen par lequel il récolte toutes ces informations qu’il note précieusement. Un index appuyé sur son torse je continue. « Cependant ce serait une bonne chose que tu m’expliques un jour certains aspects techniques comme cette mystérieuse chaudière. Imaginons que cela arrive en ton absence, pendant un déplacement. Je fais comment avec les filles, hein ? Je n’ai pas ton bagou pour les amadouer et encore moins ta patience pour leurs jérémiades. » A cette idée je grimace quelque peu et me laisse tomber en arrière pour glisser sur l’eau. « Je ne demande qu’à apprendre. »
Ma curiosité maladive me pousse à venir m’allonger près de la trappe pour y passer la tête. Seulement je n’y vois rien et suis juste assaillie par la forte chaleur qui en remonte, aussi je me relève, une moue boudeuse aux lèvres et retourne aux bords de l’eau. J’y plonge une main que je viens passer dans ma nuque pour me rafraichir avant de récupérer ma boisson. Le verre délicat dans une main, le pan de ma robe dans l’autre, j’esquisse quelques pas, la musique résonnant encore dans ma tête. Je longe la mosaïque durant plusieurs minutes, lentement, et m’arrête devant la représentation d’un groupe de naïade badinant dans les eaux. Je les salue en m’inclinant, lève mon verre et en prends une nouvelle gorgée. Fredonnant, je reviens vers le bassin alors qu’il émerge de la trappe.
Cela me ramène à certains spots publicitaires de mon enfance. Avec l’ouvrier, travailleur acharné en sueur, qui s’ouvre une canette de soda bien fraiche avant de se la passer sur le front devant les yeux de femmes qui l’observent, qui se pâment. On y est presque à quelques détails et vêtement près et je dois admettre que le spectacle est agréable et n’en perds pas une miette, affichant un sourire appréciateur. « Si tu partageais certaines de tes astuces, je pourrais t’être plus utile. Parfois, deux baguettes valent mieux qu’une. » Mais il a déjà plongé dans l’eau. Rah ! Je lui ai pourtant dit plus tôt que j’étais prête à jouer les éclaireuses mais là encore il préfère gérer seul.
Soit. Je laisse tomber la robe derrière le paravent ouvragé, me glisse tranquillement dans l’eau qui se réchauffe déjà et l’attends appuyée contre le rebord, savourant la sensation d’apesanteur, de légèreté. Et tant qu’à se libéré de contraintes, je retire une à une les maudites épingles à cheveux que je pose près de la bouteille et libère la cascade de cheveux. Quand il remonte à la surface, je lui laisse quelques secondes avant de le taquiner. « Non pas que te regarder travailler n’est pas un délice pour les yeux, bien au contraire ! Seulement j’ai la désagréable impression d’être une potiche ce soir. Une magnifique potiche, certes, mais tout de même. » Je nage jusqu’à lui, lui tourne autour. « Je risque de prendre ombrage. Douterais-tu de mes capacités ? N’ai-je pas déjà fait mes preuves ? » Je me redresse face à lui, lève le menton et le défie avec un sourire espiègle. « Je sais que l’Ensorceleur te tient très à cœur et que tu y mets ton âme. Et je te laisse le secret de ton omniprésence en ces lieux. » Comme le moyen par lequel il récolte toutes ces informations qu’il note précieusement. Un index appuyé sur son torse je continue. « Cependant ce serait une bonne chose que tu m’expliques un jour certains aspects techniques comme cette mystérieuse chaudière. Imaginons que cela arrive en ton absence, pendant un déplacement. Je fais comment avec les filles, hein ? Je n’ai pas ton bagou pour les amadouer et encore moins ta patience pour leurs jérémiades. » A cette idée je grimace quelque peu et me laisse tomber en arrière pour glisser sur l’eau. « Je ne demande qu’à apprendre. »
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