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Speakeasy (Zoey)
INFOS
FICHE DE PERSO
J’aurai mieux fait de me taire. Mordant ma lèvre inférieure, je ne trouvais pas le coeur de lui mentir. De toute façon, je ne mentais jamais et je n’omettais jamais de dire la vérité. J’y mettais un point d’honneur. Préférant d’abord commencer par répondre à sa question sur la tournée des bars, malgré la gravité de la suite de la conversation, je me contentais juste de répondre :
« Je sais pas si c’est fait pour moi, tu sais, les histoires sans lendemain. »
Je roulais des yeux, enfin ; parce que j’allais répondre à sa fichue question . Je serrai les dents, et essayer de dévier son regard qui était plus qu’insistant. Non, je ne pouvais pas lui mentir, aussi, je déballais mon sac d’une traite :
« Je ne sais pas ce qu’il fait. Et je ne sais pas si c’est en rapport à l’article. Mais il bouge souvent du domaine, et je commence à le connaître tu sais. On est de la même meute et c’est mon frère. Y’a pas besoin d’être Voyant pour savoir qu’il va y mettre le museau. »
C’était la stricte vérité, j’en savais absolument rien, mais je redoutais beaucoup. Mes jambes revinrent vers moi et je la regardais timidement comme autrefois. Comme une petite louve apeuré. On ne pouvait pas, juste rester à l’écart du monde extérieur et arrêter pour une fois de s’occuper des autres ? J’en avais presque les larmes aux yeux, car pour une fois, mon égoisme voulait qu’il arrête tout ça.
« Il voit une Chasseuse, qui a déjà tué un bon nombre de nos pairs. Et il y a d’autres choses mais… mais... »
Ma lèvre inférieure trembla un peu, ressemblant mimiquement à Haruka Yard à s’y méprendre. Détournant le regard, je n’avais pas envie d’en dire plus mais pourtant je lui devais bien ça. C’était ma meilleure amie, et si je ne le disais pas à elle ou Nathan, je n’allais le dire à personne. Et ça allait me bouffer de l’intérieur.
« Mais je veux pas m’en mêler ! Mais en même temps, je peux pas le laisser faire n’importe quoi ! Je ne sais pas quoi faire, Zoey. »
Je baissais la tête, j’avais envie de partir. De quitter cette plage, de quitter le domaine, et de tout plaquer sans rien laisser derrière moi. C’était trop dur, trop compliqué à gérer. Chaque jour, je savais qu’à chaque pas que l’on faisait hors du domaine, c’était nos vies et celles des résidents qu’on mettait en danger.
« Si le Ministère apprend qui nous sommes, alors on est fichu car on ne s’est pas déclaré durant les Lois Dunn. Et tu sais ce qui se passera si jamais on l’apprend ? Ils viendront, ils raseront tout, et prendrons tous ceux qui n’ont pas voulu pointé. Et c’est pas en allant à gauche et à droite régler les affaires des autres qu’on excelle dans la discrétion, surtout quand on aune chasseuse pour amie ! »
Mes dents de louve ressortirent et la pupille de mes yeux se dilata pour révéler celle du loup. La colère m’avait fait perdre le contrôle de mon don, mais je savais que Zoey n’était pas apeuré pour autant.
« Aide moi, je t’en supplie. Ramène le à la raison, il t’écoutera. Pas moi. »
« Je sais pas si c’est fait pour moi, tu sais, les histoires sans lendemain. »
Je roulais des yeux, enfin ; parce que j’allais répondre à sa fichue question . Je serrai les dents, et essayer de dévier son regard qui était plus qu’insistant. Non, je ne pouvais pas lui mentir, aussi, je déballais mon sac d’une traite :
« Je ne sais pas ce qu’il fait. Et je ne sais pas si c’est en rapport à l’article. Mais il bouge souvent du domaine, et je commence à le connaître tu sais. On est de la même meute et c’est mon frère. Y’a pas besoin d’être Voyant pour savoir qu’il va y mettre le museau. »
C’était la stricte vérité, j’en savais absolument rien, mais je redoutais beaucoup. Mes jambes revinrent vers moi et je la regardais timidement comme autrefois. Comme une petite louve apeuré. On ne pouvait pas, juste rester à l’écart du monde extérieur et arrêter pour une fois de s’occuper des autres ? J’en avais presque les larmes aux yeux, car pour une fois, mon égoisme voulait qu’il arrête tout ça.
« Il voit une Chasseuse, qui a déjà tué un bon nombre de nos pairs. Et il y a d’autres choses mais… mais... »
Ma lèvre inférieure trembla un peu, ressemblant mimiquement à Haruka Yard à s’y méprendre. Détournant le regard, je n’avais pas envie d’en dire plus mais pourtant je lui devais bien ça. C’était ma meilleure amie, et si je ne le disais pas à elle ou Nathan, je n’allais le dire à personne. Et ça allait me bouffer de l’intérieur.
« Mais je veux pas m’en mêler ! Mais en même temps, je peux pas le laisser faire n’importe quoi ! Je ne sais pas quoi faire, Zoey. »
Je baissais la tête, j’avais envie de partir. De quitter cette plage, de quitter le domaine, et de tout plaquer sans rien laisser derrière moi. C’était trop dur, trop compliqué à gérer. Chaque jour, je savais qu’à chaque pas que l’on faisait hors du domaine, c’était nos vies et celles des résidents qu’on mettait en danger.
« Si le Ministère apprend qui nous sommes, alors on est fichu car on ne s’est pas déclaré durant les Lois Dunn. Et tu sais ce qui se passera si jamais on l’apprend ? Ils viendront, ils raseront tout, et prendrons tous ceux qui n’ont pas voulu pointé. Et c’est pas en allant à gauche et à droite régler les affaires des autres qu’on excelle dans la discrétion, surtout quand on aune chasseuse pour amie ! »
Mes dents de louve ressortirent et la pupille de mes yeux se dilata pour révéler celle du loup. La colère m’avait fait perdre le contrôle de mon don, mais je savais que Zoey n’était pas apeuré pour autant.
« Aide moi, je t’en supplie. Ramène le à la raison, il t’écoutera. Pas moi. »
Expertise : Stupefix !
Sortilège de Niv.4
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Expertise : Lumus Solem !
Sortilège de Niv.1
INFOS
Messages : 294
Faceclaim : Laura Vandervoort
Âge : 38
Sang : Sang mêlé
Particularités : Lycan niveau 2
Profession : Bras droit à l'Ensorceleur
Côté Cœur : Hamilton' wifey to be
Multis : Matthew & Naïri
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
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Inventaire:
Je l’ai écoutée en silence, mes yeux s’écarquillant de plus en plus face à la posture qu’elle prend, à croire qu’elle s’effondre sous mes yeux. Je ne suis même pas certaine de l’avoir vu dans un tel état et ça me fend le cœur ! Alors quand la louve prend le dessus je me dépêche de me poser à ses côtés et de la prendre dans mes bras, une main sur ses cheveux. « Oh, Sweetie ! » Je sens et j’entends son cœur battre la chamade à son contact. Je reste muette quelques minutes, me contentant de la réconforter par mes gestes, réfléchissant aux paroles…
Je la libère mais garde un bras autour de ses épaules. « Tu penses sérieusement qu’il m’écouterait ? » Je ne peux retenir une grimace à cette idée car j’ai de gros doutes sur la question. Si sa petite sœur ne parvenait pas à le convaincre, pourquoi est-ce que j’y arriverais ? Moi qui ai rejeté la meute à l’époque et lui ai tourné le dos – du moins je suppose que c’est comme ça qu’il l’a vécu. Moi qui ai gardé mes distances pendant si longtemps avant de revenir comme un cheveux sur la soupe au pire moment qu’une famille puisse vivre. Non, vraiment je ne pense pas avoir la moindre chance de réussir là où Ellie a visiblement échoué. Je commence à me demander si elle n’a pas idéalisé la relation que j’ai pu entretenir avec son frère. « Ce serait un coup à plus le braquer qu’autre chose... » D’autant plus que je semble douée pour l’agacer d’un rien. « Mais je peux essayer de discuter avec lui, oui. » Déjà lui dire combien sa sœur s’inquiète et essayer de comprendre ce qui se passe réellement à défaut d’avoir un argumentaire valable à présenter. Je tâcherai d’y mettre les formes et de ronger mon frein.
Je pince les lèvres. « Je ne le vois pas vous mettre en danger sans raison. Je veux dire que je sens bien qu’il stresse dès que je mets les pieds au Domaine uniquement parce que je vis au Marché aux Trolls. » Bien que je prenne toutes les précautions qui soient. Je ne veux certainement pas leur causer des ennuis, eux qui m’ont tant apporté. « Alors traîner avec une chasseuse… » Ça me tort tout de même l’estomac. Ces personnes sont nuisibles aux hybrides et je ne vois pas ce qu’on pouvait tirer de positif à leur présence. « Je ne lui cherche pas des excuses mais il y a certainement une bonne explication. » Il le faut. Si on est en désaccord sur pas mal de sujet, je dois admettre qu’il est l’image que je me fais d’un loup sage et raisonnable. Une partie de moi croit en ce qu’il dit, en ce qu’il voit pour les nôtres. J’en ai copié son régime alimentaire, comme pour garder un lien avec cette vision, un compromis avec mes convictions plus anarchiques dirons-nous. Alors s’il commence à faire n’importe quoi, une partie de mon monde va s’effondrer…
« Vous avez un sérieux problème de communication. » Je ne suis pas la mieux placée pour juger, certainement, il y a des choses que je tairais aussi longtemps que faire se peut, pour mon bien, pour le leur, mais leurs cachotteries impliquent un danger proche et non pas des fantômes du passé ! Des chasseurs, bon sang ! « Et, par Merlin, qu’est-ce que vous avez, les Yard, avec les chasseurs ?! » Un rire nerveux m’échappe. « Il y des façons bien moins risquées pour pimenter sa vie, hein. »
Je la libère mais garde un bras autour de ses épaules. « Tu penses sérieusement qu’il m’écouterait ? » Je ne peux retenir une grimace à cette idée car j’ai de gros doutes sur la question. Si sa petite sœur ne parvenait pas à le convaincre, pourquoi est-ce que j’y arriverais ? Moi qui ai rejeté la meute à l’époque et lui ai tourné le dos – du moins je suppose que c’est comme ça qu’il l’a vécu. Moi qui ai gardé mes distances pendant si longtemps avant de revenir comme un cheveux sur la soupe au pire moment qu’une famille puisse vivre. Non, vraiment je ne pense pas avoir la moindre chance de réussir là où Ellie a visiblement échoué. Je commence à me demander si elle n’a pas idéalisé la relation que j’ai pu entretenir avec son frère. « Ce serait un coup à plus le braquer qu’autre chose... » D’autant plus que je semble douée pour l’agacer d’un rien. « Mais je peux essayer de discuter avec lui, oui. » Déjà lui dire combien sa sœur s’inquiète et essayer de comprendre ce qui se passe réellement à défaut d’avoir un argumentaire valable à présenter. Je tâcherai d’y mettre les formes et de ronger mon frein.
Je pince les lèvres. « Je ne le vois pas vous mettre en danger sans raison. Je veux dire que je sens bien qu’il stresse dès que je mets les pieds au Domaine uniquement parce que je vis au Marché aux Trolls. » Bien que je prenne toutes les précautions qui soient. Je ne veux certainement pas leur causer des ennuis, eux qui m’ont tant apporté. « Alors traîner avec une chasseuse… » Ça me tort tout de même l’estomac. Ces personnes sont nuisibles aux hybrides et je ne vois pas ce qu’on pouvait tirer de positif à leur présence. « Je ne lui cherche pas des excuses mais il y a certainement une bonne explication. » Il le faut. Si on est en désaccord sur pas mal de sujet, je dois admettre qu’il est l’image que je me fais d’un loup sage et raisonnable. Une partie de moi croit en ce qu’il dit, en ce qu’il voit pour les nôtres. J’en ai copié son régime alimentaire, comme pour garder un lien avec cette vision, un compromis avec mes convictions plus anarchiques dirons-nous. Alors s’il commence à faire n’importe quoi, une partie de mon monde va s’effondrer…
« Vous avez un sérieux problème de communication. » Je ne suis pas la mieux placée pour juger, certainement, il y a des choses que je tairais aussi longtemps que faire se peut, pour mon bien, pour le leur, mais leurs cachotteries impliquent un danger proche et non pas des fantômes du passé ! Des chasseurs, bon sang ! « Et, par Merlin, qu’est-ce que vous avez, les Yard, avec les chasseurs ?! » Un rire nerveux m’échappe. « Il y des façons bien moins risquées pour pimenter sa vie, hein. »
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FICHE DE PERSO
Je soupirai bruyamment, jusqu’à l’exagération. Captain Evident commençait à me taper sur les nerfs, mais c’était pour ça que c’était ma meilleure amie. Je ne voulais juste pas entendre les vérités qui faisaient mal. Si j’avais pris quelqu’un pour meilleure amie qui allait dans mon sens… est-ce que j’aurais été véritablement heureuse ? Pas du tout. Je fis une horrible grimace et je me contentais de répondre :
« Ouais, vous parlez, déjà ça serait bien pour vous deux. » renvoyais-je avec la force d’une balle de fusil.
Parce qu’elle parlait de problème de communication, mais au moins nous on en avait une ! Et toc ! Moi aussi je lui prouvais que je n’étais pas une amie en carton et que je savais dire des vérités même si elles n’étaient pas bonnes à entendre.
Ramenant moi aussi mes jambes vers moi face à la mer je poursuivis :
« Tu as peut être raison. Mais ça me bouffe quand même parce qu’il veut faire cavalier seul, en nous protégeant ainsi. Mais normalement, c’est moi qui agi comme ça ! Pas lui ! »
Je m’emportais un peu. Quoi ? C’était vrai. Sur ce point là, on se ressemblait beaucoup plus qu’il ne voulait l’admettre. A la remarque sur les chasseurs, je passais ma main derrière sa tête et je lui mis une tape derrière cette dernière, un peu forte à la manière des loups qui se mordille pour qu’elle saisisse bien le message.
« Et arrête avec cette histoire de chasseur ! Ca n’a absolument rien à voir. »
Je lui fis une grimace et je commençais alors à déballer la vérité comme toujours. Avec moi, elle tardait à venir mais elle refaisait rapidement surface. Dans une grimace, je me levais et je lui déclarais droit dans les yeux.
« Je veux pas t’impliquer là dedans, c’est trop dangereux. Donc finalement, oublie cette idée de lui parler. En plus, je sais pas si c’est une bonne idée de faire parler deux ex ensemble. J’suis pas prête à une nouvelle dispute si jamais elle a lieu. Et me fais pas croire que vous êtes des grandes personnes ! De toute manière, à ce rythme je vais finir par en faire une affaire personnel, régler définitivement le soucis. Chacun retournera à ses occupations, Glenn à ses légumes et toi à tes mecs bourrés. L’équilibre sera rétabli et on dira : Merci Ellie ! »
Je tendis les mains sur le côté, attendant des applaudissements même si je savais pertinemment qu’ils ne viendraient pas. Même si c’était dit sur le ton de la déconnade, elle avait bien compris que j’allais passé la vitesse supérieure. Elle savait que pour eux, j’étais prêt à tout pour éviter ne serait-ce qu’ils se piquent avec des ronces… Alors quand des rumeurs comme celles qui circulaient prenaient formes, il fallait bien comprendre que je n’hésiterai pas à mordre à la gorge pour protéger les miens.
« Ouais, vous parlez, déjà ça serait bien pour vous deux. » renvoyais-je avec la force d’une balle de fusil.
Parce qu’elle parlait de problème de communication, mais au moins nous on en avait une ! Et toc ! Moi aussi je lui prouvais que je n’étais pas une amie en carton et que je savais dire des vérités même si elles n’étaient pas bonnes à entendre.
Ramenant moi aussi mes jambes vers moi face à la mer je poursuivis :
« Tu as peut être raison. Mais ça me bouffe quand même parce qu’il veut faire cavalier seul, en nous protégeant ainsi. Mais normalement, c’est moi qui agi comme ça ! Pas lui ! »
Je m’emportais un peu. Quoi ? C’était vrai. Sur ce point là, on se ressemblait beaucoup plus qu’il ne voulait l’admettre. A la remarque sur les chasseurs, je passais ma main derrière sa tête et je lui mis une tape derrière cette dernière, un peu forte à la manière des loups qui se mordille pour qu’elle saisisse bien le message.
« Et arrête avec cette histoire de chasseur ! Ca n’a absolument rien à voir. »
Je lui fis une grimace et je commençais alors à déballer la vérité comme toujours. Avec moi, elle tardait à venir mais elle refaisait rapidement surface. Dans une grimace, je me levais et je lui déclarais droit dans les yeux.
« Je veux pas t’impliquer là dedans, c’est trop dangereux. Donc finalement, oublie cette idée de lui parler. En plus, je sais pas si c’est une bonne idée de faire parler deux ex ensemble. J’suis pas prête à une nouvelle dispute si jamais elle a lieu. Et me fais pas croire que vous êtes des grandes personnes ! De toute manière, à ce rythme je vais finir par en faire une affaire personnel, régler définitivement le soucis. Chacun retournera à ses occupations, Glenn à ses légumes et toi à tes mecs bourrés. L’équilibre sera rétabli et on dira : Merci Ellie ! »
Je tendis les mains sur le côté, attendant des applaudissements même si je savais pertinemment qu’ils ne viendraient pas. Même si c’était dit sur le ton de la déconnade, elle avait bien compris que j’allais passé la vitesse supérieure. Elle savait que pour eux, j’étais prêt à tout pour éviter ne serait-ce qu’ils se piquent avec des ronces… Alors quand des rumeurs comme celles qui circulaient prenaient formes, il fallait bien comprendre que je n’hésiterai pas à mordre à la gorge pour protéger les miens.
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Dossier du Ministère
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Témoins de l'Histoire:
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Inventaire:
Je hausse les sourcils face à sa réaction à ma remarque que je savais déplacée mais ouvre de grands yeux quant à sa réplique. Sa pique ne fait pas mouche et m’amuse plus qu’autre chose. C’est tout sourire que je lui réponds. « Contrairement à toi, je ne vis pas avec ton frère, je n’ai pas besoin de communiquer avec lui. » Possiblement pour cette raison aussi que, pendant longtemps, j’ai persisté à vivre dans ce petit appartement sous les toits avec pour seule compagnie celle de mon chat. Aucune sociabilisation nécessaire, je pouvais me ressourcer dans un silence salvateur loin des tumultes de la ville. Mes choix de vie, mes décisions merdiques ou non, Grincheux s’en moque du moment qu’il a à manger et de la place sur son plaid fétiche. Quant à la communication, j’étais on ne pouvait plus transparente concernant ce qui se passait dans ma vie avec les personnes qui pouvaient en être éclaboussées. Actuellement cela se limitait principalement à la personne qui partageait ma vie sous bien des aspects de par notre longue amitié et notre collaboration : Hamilton.
Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit sur le fait que Glenn et elle étaient tous deux faits du même bois qu’elle me frappe. Je cligne des yeux et rentre ma tête dans mes épaules. « Tu n’es qu’une brute ! » Je me frotte l’arrière du crâne en maugréant alors qu’elle se relève. Je roule des yeux. « Encore une fois, notre clientèle ne se limite pas à des hommes ivres. Tu serais étonnée du nombre de femmes qui franchissent le seuil. » Je me mets debout à mon tour, m’époussette les fesses et me plante face à elle. « Ensuite, je commence à en avoir un peu ras le chaudron qu’on décide ce qui est dangereux pour moi ou non ! D’autant plus quand je n’ai pas toutes les infos. » A croire qu’elle a oublié ce sale caractère qui fait tout mon charme.
Elle m’agite sous le nez deux, voire trois, cibles potentielles, les désignant comme menaçantes, et s’attend maintenant à ce que j’oublie ? Ma mémoire peut, certes, être sélective, mais je suis têtue comme un gnome de jardin. On peut me repousser, je reviens à la charge ! Je ne suis pas une grande personne ? Qu’à cela ne tienne, je vais me comporter comme les enfants, dites-moi de ne pas toucher un objet et dans la seconde j’y collerai mes mains. Pour sûr que j’allais contacter son frère ! Et que j’allais fourrer mon nez là où il n’était pas désiré. « C’est pourtant simple. Si tu sautes, je saute. » Je croise les bras. C’est le prix à payer pour mon amitié, je ne me contente pas de donner une tape dans le dos et des encouragements, je m’implique qu’on le veuille ou non. « Tu veux jouer les têtes brûlées ? On sera deux, Ellie ! »
Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit sur le fait que Glenn et elle étaient tous deux faits du même bois qu’elle me frappe. Je cligne des yeux et rentre ma tête dans mes épaules. « Tu n’es qu’une brute ! » Je me frotte l’arrière du crâne en maugréant alors qu’elle se relève. Je roule des yeux. « Encore une fois, notre clientèle ne se limite pas à des hommes ivres. Tu serais étonnée du nombre de femmes qui franchissent le seuil. » Je me mets debout à mon tour, m’époussette les fesses et me plante face à elle. « Ensuite, je commence à en avoir un peu ras le chaudron qu’on décide ce qui est dangereux pour moi ou non ! D’autant plus quand je n’ai pas toutes les infos. » A croire qu’elle a oublié ce sale caractère qui fait tout mon charme.
Elle m’agite sous le nez deux, voire trois, cibles potentielles, les désignant comme menaçantes, et s’attend maintenant à ce que j’oublie ? Ma mémoire peut, certes, être sélective, mais je suis têtue comme un gnome de jardin. On peut me repousser, je reviens à la charge ! Je ne suis pas une grande personne ? Qu’à cela ne tienne, je vais me comporter comme les enfants, dites-moi de ne pas toucher un objet et dans la seconde j’y collerai mes mains. Pour sûr que j’allais contacter son frère ! Et que j’allais fourrer mon nez là où il n’était pas désiré. « C’est pourtant simple. Si tu sautes, je saute. » Je croise les bras. C’est le prix à payer pour mon amitié, je ne me contente pas de donner une tape dans le dos et des encouragements, je m’implique qu’on le veuille ou non. « Tu veux jouer les têtes brûlées ? On sera deux, Ellie ! »
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FICHE DE PERSO
Je secouais la tête quand elle affirma que des femmes fréquentaient l’endroit dans un style « C’est ca c’est ca à d’autre. » L’expression de mon visage suffisait largement comme réponse pour bien lui faire comprendre que je n’y croyais pas. Je me mis ensuite à ricaner quand elle déclara que je n’étais qu’une brute. Non seulement je n’avais pas tapé fort, mais en plus elle exagérait. Je passais alors mon bras par dessus son cou et je l’embrassais sur le front.
« Voilà. T’es guéri. T’es contente ? 7 ans de Médicomagie pour en arriver là... »
Je me mis à ricaner, et je restais sa tête appuyé contre son épaule à regarder la mer. Je fis une grimace quand elle déclara ne plus vouloir être materné. Mais… elle savait pertinemment que c’était plus fort que moi. Ne répondant pas immédiatement, je me contentais simplement de dire :
« Mais c’est juste parce que je tiens à toi, banane. »
Je me mis à réfléchir, et j’arrêtais de l’enlacer. Parfois, j’oublie qu’on était plus des adolescentes sur la fin mais deux adultes sensés être digne et respectable. Réfléchissant avec soin à ma réponse, je cherchais un meilleur moyen de lui dire la vérité :
« Je vais commencer par glaner quelques trucs seuls. Mais je te fais la promesse que si ça sent le roussi, je t’appelle immédiatement, comme tu le ferais pour moi. Déjà, je pense que je vais rendre visite à cette journaliste et après on avisera. Y’a rien de dangereux pour le moment et j’ai pas encore besoin qu’on surveille mes arrières. Dés que j’en sais un peu plus, je reviendrais vers toi. »
Je serrai les dents, parce que je savais que la suite allait m’engager pour toujours. Elle le savait, je n’avais qu’une parole.
« Promis, Zoey. »
Je levais le pouce, comme Arnold et Gérald de la série moldu Hé Arnold ! Puis je soupirais et je rabattais mes jambes vers moi. Essayant alors de m’expliquer :
« Depuis la mort de Papa, je ne veux plus qu’il arrive quoi que ce soit à qui que ce soit. C’est pour ça que je suis rentré au Domaine. Glenn a beau dire qu’il est l’Alpha, il faut toujours quelqu’un pour veiller sur lui… et les autres. Mais... »
Je tournais la tête vers elle et je lui offrais alors un grand sourire.
« Tu n’es pas l’Alpha, mais tu es toujours un membre de la Meute à mes yeux. Alors si tu veux qu’on avance ensemble, on le fera ensemble. L’avantage c’est que je sais que je peux compter sur moi, et que c’est réciproque. »
Je lui mis un petit coup de poing dans l’épaule, pour briser un peu ce moment entre fille super sympa et je lui accrochais un sourire sincère.
« Je t’aime comme ma sœur Zoey. Et… vu que c’est réciproque, bien sur que je te mets dans le coup. »
Je la regardais, sourcils froncés et bizarrement menaçante tout à coup.
« HEIN ? C’est réciproque ?! »
« Voilà. T’es guéri. T’es contente ? 7 ans de Médicomagie pour en arriver là... »
Je me mis à ricaner, et je restais sa tête appuyé contre son épaule à regarder la mer. Je fis une grimace quand elle déclara ne plus vouloir être materné. Mais… elle savait pertinemment que c’était plus fort que moi. Ne répondant pas immédiatement, je me contentais simplement de dire :
« Mais c’est juste parce que je tiens à toi, banane. »
Je me mis à réfléchir, et j’arrêtais de l’enlacer. Parfois, j’oublie qu’on était plus des adolescentes sur la fin mais deux adultes sensés être digne et respectable. Réfléchissant avec soin à ma réponse, je cherchais un meilleur moyen de lui dire la vérité :
« Je vais commencer par glaner quelques trucs seuls. Mais je te fais la promesse que si ça sent le roussi, je t’appelle immédiatement, comme tu le ferais pour moi. Déjà, je pense que je vais rendre visite à cette journaliste et après on avisera. Y’a rien de dangereux pour le moment et j’ai pas encore besoin qu’on surveille mes arrières. Dés que j’en sais un peu plus, je reviendrais vers toi. »
Je serrai les dents, parce que je savais que la suite allait m’engager pour toujours. Elle le savait, je n’avais qu’une parole.
« Promis, Zoey. »
Je levais le pouce, comme Arnold et Gérald de la série moldu Hé Arnold ! Puis je soupirais et je rabattais mes jambes vers moi. Essayant alors de m’expliquer :
« Depuis la mort de Papa, je ne veux plus qu’il arrive quoi que ce soit à qui que ce soit. C’est pour ça que je suis rentré au Domaine. Glenn a beau dire qu’il est l’Alpha, il faut toujours quelqu’un pour veiller sur lui… et les autres. Mais... »
Je tournais la tête vers elle et je lui offrais alors un grand sourire.
« Tu n’es pas l’Alpha, mais tu es toujours un membre de la Meute à mes yeux. Alors si tu veux qu’on avance ensemble, on le fera ensemble. L’avantage c’est que je sais que je peux compter sur moi, et que c’est réciproque. »
Je lui mis un petit coup de poing dans l’épaule, pour briser un peu ce moment entre fille super sympa et je lui accrochais un sourire sincère.
« Je t’aime comme ma sœur Zoey. Et… vu que c’est réciproque, bien sur que je te mets dans le coup. »
Je la regardais, sourcils froncés et bizarrement menaçante tout à coup.
« HEIN ? C’est réciproque ?! »
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(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Je vois qu’elle doute de la véracité de mes mots concernant nos clientes. Je roule des yeux avant de rire. « Un de ces quatre il va vraiment falloir que tu viennes y faire un tour ! » A une époque j’avais moi aussi tout un tas de préjugés quant à ce genre d’établissement. D’ailleurs, si on avait prédit à la jeune serpentard qu’elle finirait par y travailler elle vous aurait ri au nez. Mais maintenant j’avais appris à voir les choses autrement, comme un aperçu de la vision d’un certain demi-vélane cher à mon cœur ( @Léandre Hamilton ). Je ne voyais plus la perversion et les excès mais les blessures cachées et le besoin de les panser dans une quête de bonheur aussi fugace fût-il. Je ne voyais plus des femmes qui vendaient leurs charmes mais des survivantes. L’Ensorceleur était un refuge. « On pourrait en faire l’étape finale de notre tournée des bars si tu acceptes de mettre les pieds dans les bas-fonds de Londres. » Petit clin d’œil avant de souffler toute protestation de sa part. « Quoi ? Il n’y a pas de mal à s’accrocher à ses rêves, non ? »
Je fais une grimace heureuse au contact de ses lèvres sur mon front. « Ah oui ! Ca va tout de suite mieux ! » Je plisse les yeux. « C’est la méthode que tu enseignes à ton stagiaire ? En cours particulier ? » Que j’enchaine, moqueuse, revenant à un sujet plus léger le temps d’un moment.
Quand elle justifie sa surprotection par l’affection qu’elle me porte, je soupire. « Je le sais bien… » C’était leur truc, à cette famille. Je n’ai pas été habituée à être couvée. Ma mère m’a vite responsabilisée que ce soit pour les tâches ménagères ou pour la vie en générale. A neuf ans je savais déjà me préparer à manger, faire la lessive et remplir sa déclaration d’impôt. Et mon père, well, il m’a appris à flouer les vieux en costards cravate avec mon joli minois. Alors, arrivée chez les Yard, à avoir tout le temps Paul sur le dos et @Glenn Yard à regarder par-dessus mon épaule, ça n’a pas été simple. Comme si j’allais mettre le feu à leur domaine, non mais vraiment… Bon, OKAY, le coup du buisson ardent c’était moi, mais quand même ! Avec quelques verres – que dis-je, une bouteille – d’eau de vie maison chapardée dans la réserve, cela m’avait paru HI-LA-RANT.
Je fronce les sourcils mais acquiesce d’un signe de tête à sa promesse. « Sois prudente avec elle. » Que je ne peux m’empêcher de prodiguer comme conseil. « La moindre brèche, le moindre dérapage… Sa plume est acérée. » Si je n’aimais pas son style et la haine que provoquait son article, je devais admettre qu’elle savait manier les mots. C’était ce qui la rendait dangereuse. « Ne lui donne pas d’os à ronger. »
Je lui fais la poignée de main du dessin en riant avant de grogner une nouvelle fois quand elle me frappe l’épaule. « Et évidemment que tu peux compter sur moi. Comme toujours. Tu es ma sœur ! Une sœur violente, mais une sœur. » C’est quelque chose d’établi par quelque chose de plus fort que les liens du sang. Dans une réalité alternative, où je n’aurais pas foutu le camp, nous étions peut-être même belle-sœur. « Vous êtes ma famille. Tous aussi tarés que vous êtes. » J’en rajoute volontairement pour ne pas tomber dans le larmoyant. « Je donnerais ma vie pour toi et je sais que tu le sais. Et que c’est pour ça que tu me mets sur la touche pour l’instant. Mais si quelqu’un touche à un de tes cheveux, c’est simple, je le tue. » C’est le plus sérieusement du monde que je termine ma phrase.
Je fais une grimace heureuse au contact de ses lèvres sur mon front. « Ah oui ! Ca va tout de suite mieux ! » Je plisse les yeux. « C’est la méthode que tu enseignes à ton stagiaire ? En cours particulier ? » Que j’enchaine, moqueuse, revenant à un sujet plus léger le temps d’un moment.
Quand elle justifie sa surprotection par l’affection qu’elle me porte, je soupire. « Je le sais bien… » C’était leur truc, à cette famille. Je n’ai pas été habituée à être couvée. Ma mère m’a vite responsabilisée que ce soit pour les tâches ménagères ou pour la vie en générale. A neuf ans je savais déjà me préparer à manger, faire la lessive et remplir sa déclaration d’impôt. Et mon père, well, il m’a appris à flouer les vieux en costards cravate avec mon joli minois. Alors, arrivée chez les Yard, à avoir tout le temps Paul sur le dos et @Glenn Yard à regarder par-dessus mon épaule, ça n’a pas été simple. Comme si j’allais mettre le feu à leur domaine, non mais vraiment… Bon, OKAY, le coup du buisson ardent c’était moi, mais quand même ! Avec quelques verres – que dis-je, une bouteille – d’eau de vie maison chapardée dans la réserve, cela m’avait paru HI-LA-RANT.
Je fronce les sourcils mais acquiesce d’un signe de tête à sa promesse. « Sois prudente avec elle. » Que je ne peux m’empêcher de prodiguer comme conseil. « La moindre brèche, le moindre dérapage… Sa plume est acérée. » Si je n’aimais pas son style et la haine que provoquait son article, je devais admettre qu’elle savait manier les mots. C’était ce qui la rendait dangereuse. « Ne lui donne pas d’os à ronger. »
Je lui fais la poignée de main du dessin en riant avant de grogner une nouvelle fois quand elle me frappe l’épaule. « Et évidemment que tu peux compter sur moi. Comme toujours. Tu es ma sœur ! Une sœur violente, mais une sœur. » C’est quelque chose d’établi par quelque chose de plus fort que les liens du sang. Dans une réalité alternative, où je n’aurais pas foutu le camp, nous étions peut-être même belle-sœur. « Vous êtes ma famille. Tous aussi tarés que vous êtes. » J’en rajoute volontairement pour ne pas tomber dans le larmoyant. « Je donnerais ma vie pour toi et je sais que tu le sais. Et que c’est pour ça que tu me mets sur la touche pour l’instant. Mais si quelqu’un touche à un de tes cheveux, c’est simple, je le tue. » C’est le plus sérieusement du monde que je termine ma phrase.
INFOS
FICHE DE PERSO
J’écoutais et je prenais tout l’amour qu’elle m’envoyait se déverser sur moi. Je plissais un peu des yeux et je les fermais. Ca faisait du bien, beaucoup de bien. Avec un léger sourire, je me mis à ricaner sur la vision qu’elle avait de la famille. Elle était dans le vrai et ça je ne pouvais pas lui reprocher. Et c’était bien ce qui me faisait peur. Que par un effet boule de neige, toute la famille soit impliquée.
« Finir par ton bar serait la pire idée du monde… Alcool gratuit et plus aucune raison de s’arrêter de boire ahah. Autant aller se déclarer au Ministère toutes les deux. On serait moins en danger. »
Je voulus lui mettre un coup de coude, mais je me rappelais qu’elle n’aimait pas trop qu’on la tape et qu’on la morde et je déclarais simplement :
« Hé ! Laisse mon stagiaire en dehors de ça tu veux ? Il est trop amoché pour… bref. Même s’il dit le contraire. »
Je fis un signe de la main, du genre « c’est compliqué, changeons de conversation ». Quand elle parla de la journaliste, je m’assombris un peu et mon sourire s’effaça. Très sérieusement, je répliquais :
« Si tu casses le bras qui tient la plume, elle pourra plus écrire. »
Je tapotais ma tempe du genre j’étais une génie et mon idée était la meilleure idée du monde. Je lui tendis alors un sourire et je me mis à rire, de bon coeur cette fois-ci pour reprendre plus sérieusement :
« Je plaisante, je serais prudente. Et si jamais ça va pas, je t’enverrai un Patronus, promis. Mais je compte bien aller lui demander pourquoi elle se met à écrire comme ça, sur nous. Est-ce que c’est pour l’argent ? Pour la gloire ? Ou est-ce qu’elle se lève le matin en se demandant qui elle va bien pouvoir emmerder dans son canard... »
Je m’enfermais, resserrant un peu mes jambes. Mes yeux glissèrent alors sur Zoey, puis sur la mer, et enfin je soupirai. Je lui repassais encore une fois mon bras autour des épaules, et la forçait à me faire un calin face à la mer. Parce que c’était beau. Et parce que j’étais bien avec elle. Avec un léger sourire, qu’elle ne pouvait pas voir parce que je regardais la mer je répliquais :
« Et c’est réciproque. J’aime pas te savoir là bas, au Marché au Troll, je m’inquiète tous les jours. Mais bon… Je sais que là bas, t’as trouvé ta place et t’es heureuse, alors c’est le principal. »
Je la regardais, puis je me levais enfin, enlevant le sable sur mon jean et reprenant mon sac pour dire que je n’allais pas traîner. Observant l’heure, je la regardais dans les yeux et je déclarais :
« Bon, je vois dans tes yeux que t’as un truc à me dire. Jte propose d’aller boire un café en quelque part, parce que j’ai un peu froid. Et bon, la mer ca va deux minutes, mais ça reste moins beau que la ville ou que la campagne. Après tout je sais pas pourquoi on s’émerveille devant un immense lac de flotte salé. »
Je fronçais les sourcils, les mains sur les hanches, réfléchissant au pourquoi du comment les hommes en étaient venu à vénérer un endroit pareil.
« Finir par ton bar serait la pire idée du monde… Alcool gratuit et plus aucune raison de s’arrêter de boire ahah. Autant aller se déclarer au Ministère toutes les deux. On serait moins en danger. »
Je voulus lui mettre un coup de coude, mais je me rappelais qu’elle n’aimait pas trop qu’on la tape et qu’on la morde et je déclarais simplement :
« Hé ! Laisse mon stagiaire en dehors de ça tu veux ? Il est trop amoché pour… bref. Même s’il dit le contraire. »
Je fis un signe de la main, du genre « c’est compliqué, changeons de conversation ». Quand elle parla de la journaliste, je m’assombris un peu et mon sourire s’effaça. Très sérieusement, je répliquais :
« Si tu casses le bras qui tient la plume, elle pourra plus écrire. »
Je tapotais ma tempe du genre j’étais une génie et mon idée était la meilleure idée du monde. Je lui tendis alors un sourire et je me mis à rire, de bon coeur cette fois-ci pour reprendre plus sérieusement :
« Je plaisante, je serais prudente. Et si jamais ça va pas, je t’enverrai un Patronus, promis. Mais je compte bien aller lui demander pourquoi elle se met à écrire comme ça, sur nous. Est-ce que c’est pour l’argent ? Pour la gloire ? Ou est-ce qu’elle se lève le matin en se demandant qui elle va bien pouvoir emmerder dans son canard... »
Je m’enfermais, resserrant un peu mes jambes. Mes yeux glissèrent alors sur Zoey, puis sur la mer, et enfin je soupirai. Je lui repassais encore une fois mon bras autour des épaules, et la forçait à me faire un calin face à la mer. Parce que c’était beau. Et parce que j’étais bien avec elle. Avec un léger sourire, qu’elle ne pouvait pas voir parce que je regardais la mer je répliquais :
« Et c’est réciproque. J’aime pas te savoir là bas, au Marché au Troll, je m’inquiète tous les jours. Mais bon… Je sais que là bas, t’as trouvé ta place et t’es heureuse, alors c’est le principal. »
Je la regardais, puis je me levais enfin, enlevant le sable sur mon jean et reprenant mon sac pour dire que je n’allais pas traîner. Observant l’heure, je la regardais dans les yeux et je déclarais :
« Bon, je vois dans tes yeux que t’as un truc à me dire. Jte propose d’aller boire un café en quelque part, parce que j’ai un peu froid. Et bon, la mer ca va deux minutes, mais ça reste moins beau que la ville ou que la campagne. Après tout je sais pas pourquoi on s’émerveille devant un immense lac de flotte salé. »
Je fronçais les sourcils, les mains sur les hanches, réfléchissant au pourquoi du comment les hommes en étaient venu à vénérer un endroit pareil.
Expertise : Stupefix !
Sortilège de Niv.4
B1єnv3иuз ɐu Лдrch3 ѧu∝ trѳl|ꙃ
Expertise : Lumus Solem !
Sortilège de Niv.1
INFOS
Messages : 294
Faceclaim : Laura Vandervoort
Âge : 38
Sang : Sang mêlé
Particularités : Lycan niveau 2
Profession : Bras droit à l'Ensorceleur
Côté Cœur : Hamilton' wifey to be
Multis : Matthew & Naïri
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
« Le Ministère a bien mieux à faire que de gérer deux fêtardes, non ? » Même si on en venait on montrer les crocs, il faudrait que quelqu’un veuille les prévenir, nous balancer… Ce n’était pas trop le style du Marché aux Trolls. Moins on voyait le Ministère, mieux on se portait. « Et il n’y a pas plus sûr que l’Ensorceleur, crois-moi. » Il y aurait toujours la possibilité d’aller au sous-sol si vraiment elle avait peur de perdre le contrôle mais je ne comptais pas non plus me mettre autant la tête à l’envers ! Et ce n’était pas dit qu’elle apprécie ma belle cage à sa juste valeur.
Je note qu’elle parle déjà d’affaire de cœur avec son petit stagiaire. Quand on pense que je ne suis pas capable d’échanger sur la météo avec la majeure partie des employés, ça révèle nos différences. Et c’est ce qui fait tout son charme. Avec elle, c’était tout ou rien. Et quand je dis tout, c’est… tout ! Elle ne mâchait pas ses mots et ne prenait pas de pincette inutilement. Ça me plaisait, même si mon corps en faisait les frais.
J’éclate de rire quand elle explique la méthode envisagée pour empêcher la journaliste de leur nuire. « J’aime cette philosophie ! J’ai un peu la même concernant les occlumens. Si tu coupes la tête, ils ne peuvent pas rentrer dans la tienne. » Je trace une ligne sur ma gorge avec mon pouce pour imager mes propos.
Je frissonne en repensant à cet article. La magie noire… Vraiment, ça sentait mauvais. Ça sentait le renfermé et à la fois le détergeant et ça laissait une touche métallique sur le bout de la langue. Je me secoue pour sortir mon esprit de cette maudite cave avant que d’autres images ne suivent.
Ellie n’a pas à me forcer longtemps pour que je la serre dans mes bras. Il est important de faire savoir aux gens qu’on tient à eux, surtout dans des périodes si sinistres. La guerre était peut-être passée, mais la paix n’était pas encore là. « Je ne suis pas seule au Marché aux Trolls. On veille sur moi, ne t’en fais pas. » C’est d’une voix sereine que je lui lâche cette affirmation. Les années me l’ont prouvé, j’ai des personnes sur qui compter.
Je hausse un sourcil, amusée. « Tu veux parler de cet énorme lac glacé dans lequel on découvre encore des espèces qu’on pensait éteintes depuis des siècles ? Ce lac si profond qu’il regorge de mystère ? » Contrairement à elle, j’ai grandi avec l’océan. J’y ai appris à nager. J’ai même pêché quelques poissons… La Tamise ne le remplacera jamais à mes yeux. L’océan, cette étendue sublime, qui regorge de vie, et que l’humain détruit. « La mer est belle et dangereuse. Elle donne comme elle prend. Les hommes pensent pouvoir la dompter mais ils se trompent… » Et j’éclate une nouvelle fois de rire en venant cogner mon épaule contre la sienne. « C’est un peu comme nous, non ? » Je lui prends le bras et commence à marcher. « Allons te chercher ta dose de café. »
Je note qu’elle parle déjà d’affaire de cœur avec son petit stagiaire. Quand on pense que je ne suis pas capable d’échanger sur la météo avec la majeure partie des employés, ça révèle nos différences. Et c’est ce qui fait tout son charme. Avec elle, c’était tout ou rien. Et quand je dis tout, c’est… tout ! Elle ne mâchait pas ses mots et ne prenait pas de pincette inutilement. Ça me plaisait, même si mon corps en faisait les frais.
J’éclate de rire quand elle explique la méthode envisagée pour empêcher la journaliste de leur nuire. « J’aime cette philosophie ! J’ai un peu la même concernant les occlumens. Si tu coupes la tête, ils ne peuvent pas rentrer dans la tienne. » Je trace une ligne sur ma gorge avec mon pouce pour imager mes propos.
Je frissonne en repensant à cet article. La magie noire… Vraiment, ça sentait mauvais. Ça sentait le renfermé et à la fois le détergeant et ça laissait une touche métallique sur le bout de la langue. Je me secoue pour sortir mon esprit de cette maudite cave avant que d’autres images ne suivent.
Ellie n’a pas à me forcer longtemps pour que je la serre dans mes bras. Il est important de faire savoir aux gens qu’on tient à eux, surtout dans des périodes si sinistres. La guerre était peut-être passée, mais la paix n’était pas encore là. « Je ne suis pas seule au Marché aux Trolls. On veille sur moi, ne t’en fais pas. » C’est d’une voix sereine que je lui lâche cette affirmation. Les années me l’ont prouvé, j’ai des personnes sur qui compter.
Je hausse un sourcil, amusée. « Tu veux parler de cet énorme lac glacé dans lequel on découvre encore des espèces qu’on pensait éteintes depuis des siècles ? Ce lac si profond qu’il regorge de mystère ? » Contrairement à elle, j’ai grandi avec l’océan. J’y ai appris à nager. J’ai même pêché quelques poissons… La Tamise ne le remplacera jamais à mes yeux. L’océan, cette étendue sublime, qui regorge de vie, et que l’humain détruit. « La mer est belle et dangereuse. Elle donne comme elle prend. Les hommes pensent pouvoir la dompter mais ils se trompent… » Et j’éclate une nouvelle fois de rire en venant cogner mon épaule contre la sienne. « C’est un peu comme nous, non ? » Je lui prends le bras et commence à marcher. « Allons te chercher ta dose de café. »
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