Dilshad Zaman

Identité :
Ses parents le nommèrent Dilshad. Un prénom qui lui va plutôt bien compte tenu de sa signification. Il est né au sein du clan Zaman, une famille originaire des Indes et du Pakistan qui n'a jamais su réellement trouvé sa place dans un pays qui les a pourtant vu grandir.

Date et Lieu de naissance :
Né le 23.12.1974, Dilshad a 48 ans. Il est né au domaine familial sur Godric's Hollow.

Statut civil :
Dilshad est divorcé. Malgré quelques tentatives à refaire sa vie, il est aujourd'hui célibataire.

Adresse :
Dilshad habite au dessus de sa boutique sur le Chemin de Traverse.

Scolarité :
Dilshad a fait ses études à Poudlard. Le Choixpeau Magique l'a envoyé à Serdaigle où il obtint ses B.U.S.E avec mention. Dans un désir de parfaire l'éducation de leur enfant, M & Mme Zaman ont envoyé leur fils à Beauxbâtons pour obtenir sa M.E.S.A.N.G.E, cursus qu'il parvint à rejoindre après avoir réussi l'examen qui lui permettrait de rejoindre directement la cinquième année au sein de l'Académie de magie française (cf. l'annexe). Il revint ensuite à Poudlard au milieu de la guerre sorcière pour se rapprocher des siens (au cas où) pour obtenir son M.U.L.O.T en Recherche magiques.

Si vous fréquentiez des clubs scolaires à l'époque, vous l'avez probablement croisé au club de Mécamagie (vu que le cursus n'existait pas à l'époque) ou encore à la Bibliothèque.

Profession :
Il fut Chercheur en Sortilèges au Dpt. des Mystères britannique, il y a plus de vingt ans maintenant mais suite à la disparition de son fils, Dilshad s'est enfoncé dans une espèce de dépression dans laquelle il s'enfonça en préférant s'isoler dans son atelier pour construire, construire et construire diverses artefacts mécamagiques. Si certains furent particulièrement doux et festifs en l'honneur de son fils et de sa fille, d'autres furent plus sombres, lui valant un contrat et des financements du Dpt. des Mystères.

En parallèle, Il tient une boutique spécialisée dans la mécamagie sur le Chemin de Traverse. Vous êtes très certainement passé à côté de l'Arcanum entre le Faeries Cakes et Tissard et Brodette.

L'Arcanum n'est pas seulement une boutique qui, au final, ne représente que la partie visible de la structure que Dilshad gère avec son neveu Hassan. En effet, dans les sous-sols de la boutique, il existe plusieurs laboratoires où il travaille sur divers prototypes et d'autres créations dont leur objectif reste le développement de la technologie sorcière par le biais des alliages et de la magie. Dilshad, passionné du monde moldu, n'hésite pas à puiser ses inspirations là-bas pour créer.

Dernièrement, Dilshad a travaillé en collaboration avec le ministère de la magie pour améliorer le procéder de détection de la magie chez les moldus. Un appareil capable de détecter le potentiel magique d'un individu. Ce n'est, d'ailleurs, pas la première fois que Dilshad travaille avec le ministère de la magie qui lui octroie quelques subventions de temps à autres.

Depuis peu, et par pur intérêt, il est le nouveau professeur de Métamorphose.

Baguette magique :
Bois de Sureau, la baguette magique de Dilshad renferme une plume d'un Nok Thet. Mesurant 26 cm, Dilshad est fier de dire qu'il n'a connu que cette baguette magique tout au long de sa vie. Parfaitement bien entretenu, elle semble tout juste sorti de son écrin de velours confectionnés par Salman Hussain (un créateur de baguette magique pakistanais reconnu dans la profession).

Famille :
Les Zaman sont originaires des Indes et du Pakistan. Pour faire simple, ils font partis des nombreuses victimes de la grande fracture qu'a subi le sous-continent indien lorsque l'Angleterre a scindé le pays en deux nations bien distinctes. Bien que les Zaman soient sorciers, la communauté magique indienne n'échappa pas à toute horreur. C'est principalement pour cela que les Zaman ont décidé de quitter leur pays qu'ils ne reconnaissaient plus pour venir s'installer en Angleterre. Une branche de leur famille persiste malgré tout au Pakistan, dans la région du Lahore.

Arrivés en Angleterre à la fin des années 50, les Zaman n'ont pas tardé à faire valoir leur rang pour obtenir le prestige dont ils ont toujours joui. Leur connaissance de l'Angleterre aidant (commerces, échanges, notamment avec la puissance coloniale britannique de l'époque), on ne les remarqua qu'à peine. Ils s'installèrent très vite sur Godric's Hollow, fréquentant des familles comme les Dunn ou encore les Pendragon.

Imtiyaz Zaman, le père de Dilshad a d'abord travaillé pour le Dpt. de la Coopération magique internationale avant de voir plus grand en continuant sa carrière de diplomate au sein de la Confédération international des Sorciers. Désormais, il s'occupe de son domaine, ayant pris goût au jardinage.

Imtiyaz épousa Kiran Khan comme le veut la tradition pakistanaise (une touche de religion tout en prenant en compte l'héritage magique dans lequel ils ont été éduqué). Un mariage arrangé qui s'est plutôt bien déroulé. Femme au foyer, Kiran, bien qu'aidée par des aides, a toujours veillé à ce que ses enfants ne manquent de rien tout en leur inculquant de bonnes valeurs afin d'en faire de parfait ambassadeur en Angleterre. Avec beaucoup d'amour, elle a su devenir la pièce maîtresse de la maison des Zaman. Kiran donna trois enfants à Imtiyaz : Deux garçons et une fille.

Shandar est le premier né. Un garçon qui devrait assumer l'héritage du clan Zaman. Beaucoup de poids sur ses épaules, très tôt, il est peut-être celui qui a reçu le moins d'indulgence. Une éducation écrasante, il en reste pas moins quelqu'un d'aimant et doux qui a toujours su s'interposer entre lui et ses parents lorsque le besoin s'en faisait sentir (s'attirant les foudres d'un père très dur (tout en recevant une profonde affection lorsque la tempête passée)). Il est marié et papa d'un garçon.

Mumtaz est arrivée en second. Tel un rayon de soleil, elle illumina la famille Zaman par sa candeur et son innocence. Pleine d'affections pour les autres, elle a su se montrer intrépide et intraitable lorsqu'il a fallu tirer baguette magique pour défendre ses idées lors des précédentes guerres. Mariée, elle a trois enfants.

Et enfin Dilshad, petit dernier, petit prince, celui qui amena le progressisme au sein du clan Zaman. Imtiyaz lui passa beaucoup de choses, lui permettant ainsi de réfléchir et de remettre en question l'éducation que lui-même a reçu. Néanmoins, cela n'en fait pas un progressiste pur et dur puisqu'Imtiyaz reste très proche de l'idéologie d'Adair Dunn.
Pour en savoir plus sur Dilshad, lire l'histoire.

Dilshad aurait du avoir deux enfants. Anwar, son ainé, un garçon robuste qui révéla très tôt ses dons de Métamorphomage et une fille répondant au doux nom de Layla. Mais le malheur frappa son couple à l'aube de sa trentième année lorsqu'on enleva leur fils. Frappée par cette cruelle destinée, son couple ne résistera pas à la douleur mortifère qui habita désormais le cœur de son épouse et le sien malgré la naissance de sa fille qu'il aime par dessus tout. Une relation complexe et difficile s'est aujourd'hui installée entre lui et Layla qu'il a tendance à surprotéger depuis toujours de peur de la voir, elle aussi, disparaître.

Dilshad a divorcé quelques années après la naissance de sa fille, Layla.

Hérédité du sang :
Dilshad est sang pur.

Particularité magique :
Aucune.

Caractère :
Dilshad a toujours été un sorcier particulièrement curieux. Vif d'esprit, il montra très tôt des signes d'une intelligence plus élevée que la moyenne malgré un petit côté rêveur. La tête régulièrement dans les nuages, il se perdait souvent dans le jardin à observer les plantes poussées quand ce n'était pas les insectes qui les habitaient. Aimant autant les extérieurs qu'un bon fauteuil avec un bon gros livre, Dilshad était un garçon plutôt calme et de bonne compagnie (ce qu'il est toujours, d'ailleurs, à bien des égards).

Il développa très vite un besoin de tout comprendre pour mieux apprendre. Ça a toujours été sa méthode d'apprentissage ce qui lui a valu quelques soucis avec certains professeurs. Plus autodidacte qu'en quête d'un mentor, Dilshad ne s'est jamais senti inférieur à ses professeurs quoiqu'ils aient pu lui apprendre. Cela ne l'a pas empêché de faire preuve d'élitisme quand on l'agaçait un peu (notamment vis-à-vis du Quidditch et de ses joueurs durant ses études à Poudlard), mais dans l'ensemble, il s'est toujours montré ouvert et prompt à aider ses camarades.

Le physique n'aidant pas forcément (apparence chétive, frêle, maigrichon jusqu'à la disparition de son fils), il fallait bien compenser avec la tête et le cœur.

Dilshad est quelqu'un de stressé que l'on pouvait facilement effrayé avant sa trentaine. Le fait d'avoir perdu son fils lui a permit de se défaire de pas mal de peur le concernant, bien qu'une seule subsiste réellement : La perte de sa fille. Longtemps considéré comme quelqu'un de lâche, les faits tendent à prouver qu'il n'en est rien. Dilshad est un sorcier sur qui l'on ne peut compter. Il tentera toujours d'aider son prochain. Il faut juste lui laisser l'opportunité de le faire à sa manière.

Aussi, Dilshad, de par son éducation assez strict lié notamment à son origine social, est quelqu'un qui aime l'ordre, l'autorité et qui la respecte tant qu'elle reste respectable. C'est un homme qui est rapidement agacé par le chaos. Il n'aime pas ça, ça obscurcit sa pensée, sa réflexion, en outre, ça l'empêche de performer comme il le devrait.

Passionné, érudit et vif d'esprit, Dilshad aime réfléchir. C'est aussi quelqu'un qui aime se perdre dans ses pensées, à contempler le monde autour de lui pour mieux s'immerger dedans. Loyal et travailleur, il sait faire preuve de détermination malgré son côté rêveur (ceci était surtout vrai du temps de ses études. La vie a fait qu'il a un peu perdu ce petit truc qui le rendait si... Serdaigle). Préférant la solitude aux endroits bondés de monde, Dilshad n'en reste pas moins quelqu'un de sociable. Malgré ses connaissances et son intelligence, il en reste pas moins quelqu'un de humble.

Anecdotes :
Dilshad a appris à lire très tôt. À trois ans, il savait lire correctement et à quatre ans, il écrivait sans aucun problème que ce fut au crayon ou à la plume. Très vite, ses parents se rendirent compte du potentiel de leur enfant. Si son père en tira une très grande fierté, sa mère, quant à elle, ne cessait de se faire du mouron pour son petit dernier, veillant sur lui comme s'il eut été fait de sucre. Ce fut compliqué pour Dilshad de s'émanciper de ses parents, surtout quand l'affection de ses parents se répercutèrent sur ses relations avec son grand-frère et sa grande-sœur.

Dilshad, bien qu'il passe la plus grande partie de son temps à l'intérieur, que ce soit dans une bibliothèque ou son atelier, a une passion réelle pour la botanique qu'il pratique énormément sur son temps libre. Constamment émerveillé par ce que la nature avait à lui offrir, il est persuadé que les plus belles créations du monde sont dans la nature quoique l'homme puisse faire de sensationnel. Dilshad est persuadé que jamais personne, même avec la magie, ne pourra recréer, à la perfection, ce qui se trouve tout autour d'eux.

Dilshad apprécie la magie sous toutes ses formes. Mais s'il y a bien une forme qui lui plaît, c'est celle qui s'exprime avec de la réflexion. Que ce soit l'arithmancie, la métamorphose ou l'alchimie, Dilshad a toujours nourri un intérêt profond pour les magies demandant autre chose que l'usage d'une baguette magique et d'une incantation. À cela, on ajoute son amour pour l'astronomie et on se rend très vite compte que Dilshad possède plus d'un centre d'intérêt ce qui fait de lui quelqu'un de très accessible pour un peu qu'on parvienne à l'accepter.

Dilshad a démonté l'horloge de la famille Zaman à ses six ans. Voulant comprendre le mécanisme des aiguilles, il fut bien malin de se rendre compte qu'il était incapable de la remonter correctement lorsqu'il eut défait le mécanisme dans son ensemble. En guise de punition, son père lui donna une semaine pour la remettre dans son état d'origine. En quatre jours, ce fut fait. C'est de cette anecdote qu'est née son amour pour la mécamagie, l'ingénieurie magique et les enchantements.

Dilshad est particulièrement fier de ses origines. Probablement du à une éducation qui mettait toujours en avant les valeurs d'une nation depuis longtemps quittée voir idéalisée que ses parents lui ont inculqués malgré la difficulté d'avoir à interagir avec un enfant surdoué. Par cela, cela passe forcément par le père et une éducation à mi-chemin entre la magie et les traditions islamiques et une mère fana de danses et d'histoires, de théâtres et de littératures.

Dilshad raffole de paneer paratha. Sa mère lui en fait régulièrement parce qu'elle sait que c'est un truc qui se mange partout, facilement, et qui permet à son fils de se restaurer un minimum quand il est plongé dans ses travaux et ses recherches. Dilshad est aussi un grand consommateur de chai bien qu'il préfère le tea bien anglais.

Dilshad est connu dans le milieu de la mécamagie pour plusieurs de ses travaux, notamment le Détecteur de Magie pour découvrir le potentiel magique chez les moldus sur lequel il a travaillé en partenariat avec le ministère de la magie.

Patronus :
Il prend la forme d'un Alangu Mastiff, un chien semblable au bulldog américain utilisé pour le travail, la chasse ou les combats. Mais comme tout canidé, c'est surtout pour son côté fidèle et loyal que l'Alangu Mastiff correspond si bien à Dilshad.

Miroir de Risèd :
Dilshad se voit en train de serrer ses deux enfants contre son sein. Malheureusement, il n'a que sa fille aujourd'hui (qu'il aime par dessus tout !).

Epouvantard :
Quand son fils, Anwar, est né, Dilshad lui avait construit un petit carrousel pour l'endormir le soir. Lorsqu'un épouvantard jaillit pour l'attaquer, il voit ce dernier prendre la forme d'un carrousel ensanglanté qui ne fonctionne pas comme prévu.

Particularités :
C'est un sorcier particulièrement (trop) intelligent.

Qui es-tu ? : Tu peux dire ici le pseudo que tu utilises, ton âge si tu le veux, ton pronom, ta zone géographique, etc. C'est totalement libre ! Tu peux même nous raconter ta vie !

Faceclaim & Crédits :
Kumail Nanjiani, par moi-même.

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Un petit plus ? :

Chronologie

23.12.1974 : Dilshad Zaman voit le jour. Petit dernier de la famille Zaman, il est accueilli comme un prince sous le regard médusé d'un père silencieux, mais gaga et sa fratrie bien trop excitée à l'idée d'avoir un petit bébé dans la famille. De ses trois enfants, c'est la grossesse qui s'est le mieux passée pour Kiran.

Première manifestation (1982) : Sa première manifestation magique s'est faite d'une manière assez simple. Bravant l'interdit de son père de faire renter Mazboot (le croup de la famille) alors qu'il tombait une pluie diluvienne. Malgré sa tentative de gérer l'animal, ce dernier fracassa l'intégralité du salon. Shandar, son grand frère, alerté par le bruit, arriva en courant pour ressortir le croup.

Dilshad, au milieu de la pièce, du haut de ses sept ans, se concentra machinalement sur le décor brisé du salon et aussitôt les meubles se reconstruisirent, les coussins se réparèrent aspirant les plumes en leur sein comme si l'on rembobinait la scène.  Shandar, surpris, fut submergé par une intense fierté. Une fierté qui s'empara de la famille entière lorsque tout le monde fut au courant de cette histoire.

Enfance (1974 → 1992) : Dilshad a d'excellents souvenirs de son enfance malgré le besoin d'excellence qu'éprouvait leur père dans l'éducation de ses enfants. Sang pur, ils ont reçu tout ce qu'il fallait pour attirer le prestige sur la famille. De par son esprit plus calme, sa mère l'orienta vers le piano où il se trouva une activité agréable pour soulager son esprit en besoin constant de stimulation.

Entourés d'amour, Dilshad et Mumtaz eurent la chance d'avoir Shandar qui prit son rôle de grand frère très à cœur. Véritable protecteur de la fratrie, le futur leader de la famille Zaman se montrait toujours attentionné envers ses cadets, ce qu'il continue encore de faire de nos jours. Son départ pour Poudlard fut particulièrement difficile pour ses deux cadets qui se rapprochèrent un peu plus l'un de l'autre.

Si l'école de sorciers devait suffire pour Shandar et Mumtaz, pour Dilshad, ce fut plusieurs précepteurs qui s'occupèrent de son éducation. Imtyaz n'a jamais lésiné sur les moyens pour pousser ses enfants lorsqu'ils développaient un talent ou une passion dans laquelle ils excellaient particulièrement. Pour Shandar, par exemple, ce fut l'escrime. Mumtaz, quant à elle, ce fut la lecture et l'histoire.

Enfin, ce fut au tour de Mumtaz (Gryffondor) de rejoindre Shandar (Poufsouffle) à Poudlard.

De 1992 à 1995 : Rentrée de Dilshad à Poudlard, l'excitation était palpable chez ce jeune garçon pour bien des raisons. Que ce fut l'idée de pouvoir se faire des amis ou de rejoindre sa fratrie dans l'une des écoles des plus réputées du monde magique, tous les ingrédients y étaient pour Dilshad afin qu'il soit enthousiaste pour affronter cette aventure qui, par ailleurs, l'effrayait beaucoup (notamment par l'absence de ses parents).

Lorsque la guerre se déclara, Dilshad obtenait ses BUSEs avec mention, se battant la première place avec son ami et confident @Luke Korrigan.

De 1995 à 1997 : Dilshad partit obtenir ses MESANGEs à Beauxbâtons. L'école était à la pointe de tout ce qui le passionnait. Que ce fût en Métamorphose avancée ou en Alchimie, le jeune Serdaigle s'épanouit particulièrement au sein de cette Académie de magie. Il préféra l'ambiance et la beauté des lieux de Beauxbâtons à Poudlard. S'il n'en a parlé qu'à peu de personnes, c'est là-bas qu'il fit l'expérience de l'amour. Une relation qu'il garda secrète de ses parents, mais qui se termina malheureusement avec la distance lorsqu'il revint à Poudlard.

De 1997 à 1999 : La guerre faisant rage en Angleterre, Dilshad demanda à ses parents de revenir à Poudlard pour y passer ses MULOTs. Si sa sixième année se fit dans le stress de voir son père ou son frère (devenu Auror) mourir sous les assauts des Mangemorts, Dilshad se montra particulièrement courageux malgré la peur aux ventres. Il se rapprocha de Yasmine pour finalement en tomber amoureux. Il obtint ses MULOTs en Recherches magiques avec mention.

De 1999 à 2003 : Dilshad était Chercheur en Sortilèges pour le Dpt. des Mystères. Il se marie avec Yasmin Khan en 2000. En 2003, face à sa propre détresse psychologique, il démissionne.

20 Février 2001 : Naissance de Anwar Zaman, son fils. Dilshad et Yasmine seront témoins de ses dons de Métamorphomagie très tôt puisque ces derniers se manifesteront notamment par ses pleurs. Ses cheveux changeaient de couleurs en fonction des besoins du petit. Vert, c'était la couche. Rouge, c'était la faim. Violet, un câlin. Bleu, c'était la fatigue. Il sera suivi spécialement par un Professeur à Sainte Mangouste en raison de ce don.

30 Mai 2002 : Au petit main de ce jour, la vie de Dilshad et Yasmine vola en éclat. Le berceau de leur fils est retrouvé vide. L'enquête sur sa disparition débutera en fin d'après-midi pour se continuer jusqu'en 2004.

30 Mai 2002 → 05 Septembre 2004 : Si plusieurs pistes sont rapidement trouvées, il s'avère qu'aucune ne déboucha sur quelque chose de concluant. Au fur et à mesure que le temps passait, la Brigade de Police magique met moins de moyens jusqu'à finalement leur annoncer à 10h le 5 septembre 2004 que l'enquête est classée, faute de preuves.

C'est aussi ce jour-là que Dilshad écopa d'un casier judiciaire pour avoir laissé exploser sa frustration sur les agents présents ce jour-là. Entre la destruction du mobilier, les coups et les insultes que Dilshad fit, il fut mis à l'arrêt pour quelques heures. C'est grâce à son père et son frère qu'il n'eut qu'une amende.

L'annonce provoqua un choc si douloureux pour Yasmin qu'elle perdit les eaux.

06.09.2004 : Naissance de Layla, la petite princesse.

13.12.2005 : Divorce de Dilshad et Yasmin. Ils n'arriveront jamais à surmonter cette épreuve malgré la naissance de Layla.

2005 → 2023 : Layla est équitablement partagée entre les deux parents qui parviennent à trouver un terrain d'entente pour cette dernière qui sera particulièrement choyée et surprotégée (d'un côté comme de l'autre).

Après beaucoup de difficulté à surmonter tout cela, il finit par quitter la maison de ses parents pour se reconstruire. Il ouvrit une boutique de mécamagie sur le Chemin de Traverse : l'Arcanum. Dilshad tente de s'y reconstruire doucement, ce qu'il finit par faire plus ou moins au cours des années qui suivirent. Au fil du temps, cette boutique devint une véritable entreprise de créations, et bien que cela restait entre les mains de la famille Zaman, l'Arcanum s'est vu doté d'un sous-sol particulièrement imposant. Après plusieurs tentatives de refaire sa vie, il est aujourd'hui un père célibataire (plus ou moins) heureux même s'il ne désespère pas de retrouver un jour son fils (dont il aura continué d'enquêter dans l'ombre).