:: RPS Archivés
The Niffler's Plane(Ayden)
INFOS
FICHE DE PERSO
@Zoey Woods m’avait dit d’aller voir ce nouveau professeur de Soins aux Créatures Magiques. Mais… Ca sentait le traquenard à plein nez. Le Woodtrap, comme j’aimais à l’appeler. Après quelques jours de réflexion, j’avais quand même décider par amener Picsou, un Nifleur que l’on nous avait confié pour des soins. Il avait appartenu à un membre de la famille Romanez, et… il avait besoin de soin, là où la personne était aller, il n’avait pas pu l’emporter.
Il allait certes mieux mais… Quoi de mieux que l’avis d’un expert en la matière ? C’était donc dénudée de bijou, que je m’étais rendu à Poudlard. Passant les grilles après m’être bien évidemment annoncé, et que l’on ait vérifié mon identité, je m’étais dirigé vers les enclos où les Soins aux Créatures Magiques se faisaient. Quel… bonheur de revoir cet endroit. Même si pour un dimanche, il était quasi-désert. D’ailleurs, j’espérai qu’il était là… Le fameux Ayden.
Toute calme, je regardais autour de moi. Mon flair de Lycan était bercé par les odeurs de la Forêt Interdite, proche de nous. J’entendais également les créatures et les merveilles de cette endroit où étudiante, j’aimais y passer des jours et des nuits. C’est en sursautant, que je vis apparaître un homme d’un âge indescriptible et plutôt beau garçon.
« Ah ! C’est vous le Professeur Callaghan ? » dis-je d’un ton enjoué.
Dans mes bras, Picsou était en train de se demander ce qu’il foutait là. Il avait l’air en forme mais… On était jamais sur de rien. Avec calme, j’expliquais ma situation.
« Bonjour professeur, désolé de vous déranger un Dimanche. Je m’appelle Ellie Yard, je suis une amie de Zoey Woods, c’est elle qui m’envoie. »
C’était un beau garçon et en plus j’étais certaine que la consultation allait être gratos. Y’avait tout de bon dans ce petit rendez-vous.
« On m’a confié un Nifleur, il s’appelle Picsou. Il était malade et… mal en point quand nous l’avons recueilli. Je lui ai donné des filtres revigorants, appliqués des cataplasmes régénératifs et fait un Vulnera Sanantur. Mais bon, je suis Médicomage et pas Zoologiste, du coup j’avais besoin de l’avis d’un spécialiste. »
Je lui approchais le nifleur, avec soin. Ce dernier le regarda d’un air suspicieux et se blottit un peu contre moi. Je lui fis un sourire et je le rassurais en le caressant sur la tête.
« Vous en pensez quoi ? Il a pas l’air trop mal non ? Il n’est pas à moi. Je veux pas le rendre en piteuse état… Ca fait longtemps que vous êtes ici ? A mon époque c’était la vieille Gueypur qui faisait les cours… C’était beaucoup moins... »
Je lui indiquais son buste et ces muscles certains sous ses vêtements.
« C’était beaucoup moins tout ça. »
Il allait certes mieux mais… Quoi de mieux que l’avis d’un expert en la matière ? C’était donc dénudée de bijou, que je m’étais rendu à Poudlard. Passant les grilles après m’être bien évidemment annoncé, et que l’on ait vérifié mon identité, je m’étais dirigé vers les enclos où les Soins aux Créatures Magiques se faisaient. Quel… bonheur de revoir cet endroit. Même si pour un dimanche, il était quasi-désert. D’ailleurs, j’espérai qu’il était là… Le fameux Ayden.
Toute calme, je regardais autour de moi. Mon flair de Lycan était bercé par les odeurs de la Forêt Interdite, proche de nous. J’entendais également les créatures et les merveilles de cette endroit où étudiante, j’aimais y passer des jours et des nuits. C’est en sursautant, que je vis apparaître un homme d’un âge indescriptible et plutôt beau garçon.
« Ah ! C’est vous le Professeur Callaghan ? » dis-je d’un ton enjoué.
Dans mes bras, Picsou était en train de se demander ce qu’il foutait là. Il avait l’air en forme mais… On était jamais sur de rien. Avec calme, j’expliquais ma situation.
« Bonjour professeur, désolé de vous déranger un Dimanche. Je m’appelle Ellie Yard, je suis une amie de Zoey Woods, c’est elle qui m’envoie. »
C’était un beau garçon et en plus j’étais certaine que la consultation allait être gratos. Y’avait tout de bon dans ce petit rendez-vous.
« On m’a confié un Nifleur, il s’appelle Picsou. Il était malade et… mal en point quand nous l’avons recueilli. Je lui ai donné des filtres revigorants, appliqués des cataplasmes régénératifs et fait un Vulnera Sanantur. Mais bon, je suis Médicomage et pas Zoologiste, du coup j’avais besoin de l’avis d’un spécialiste. »
Je lui approchais le nifleur, avec soin. Ce dernier le regarda d’un air suspicieux et se blottit un peu contre moi. Je lui fis un sourire et je le rassurais en le caressant sur la tête.
« Vous en pensez quoi ? Il a pas l’air trop mal non ? Il n’est pas à moi. Je veux pas le rendre en piteuse état… Ca fait longtemps que vous êtes ici ? A mon époque c’était la vieille Gueypur qui faisait les cours… C’était beaucoup moins... »
Je lui indiquais son buste et ces muscles certains sous ses vêtements.
« C’était beaucoup moins tout ça. »
INFOS
FICHE DE PERSO
The Niffler's Plane Ellie feat. Ayden |
|
INFOS
FICHE DE PERSO
La pleine lune approchait et cela allait de pair avec mes envies de rapprochement corporelles. Bien évidemment, je savais contrôler mon don de la Nature à la perfection et donc je me retenais parfaitement. Mais quand il tourna le dos, je ne pus m’empêcher de mordre ma lèvre inférieure. Complètement ailleurs, j’en avais presque oublié le Niffleur pour lequel j’étais venu. Je m’approchais alors de l’Augurey, chassant toutes ces pensées et le caressant d’un air distrait et mélancolique.
« Vous faites du bon travail.. Merci, c’est très gentil du compliment. Zoey est ma meilleure amie, mais elle doit avoir honte de moi pour ne pas m’avoir parler de vous. Ou alors, elle vous garde certainement pour elle ! »
Je me mis à ricaner, et je lui mis un petit coup de coude. J’observais alors le Niffleur gesticuler avec ses congénères malgré le boitillement de sa patte. Je fronçais les sourcils et écoutait ses précieux conseils, qui valait certainement son pesant d’or si j’avais consulté un Magicozoologiste. J’hochais alors la tête en souriant toujours et en le regardant dans les yeux.
« Euh… Avec plaisir. » dis-je avec un rougissement un peu honteux.
A vrai dire, même si la lune faisait son œuvre, j’étais quand même un peu timide de par mon éducation. Observant le Niffleur, et lui faisant bizarrement confiance quand à sa promesse d’en prendre soin, je me contentais de croiser les bras et de dire avec un petit sourire :
« Pourquoi pas. Mais si ya des chandelles, je devrais refusé l’invitation. Ca va un peu vite. Ce que je vous propose, c’est qu’on aille parler du fait que ma meilleure amie n’est pas eu la présence d’esprit de me parler de vous… Et ce que cela peut cacher. Vous n’êtes pas un bourreau des coeurs j’espère ? »
Je croisais les bras d’un air toujours aussi amusé. C’était déjà plié et dans la poche avant même que Picsou ait pu toucher le Gallion. Mais… Je ne comptais pas aller droit dans le mur avec un inconnu. On ne savait jamais quel Mage Noir pouvait se cacher sous un aussi joli sourire. Aussi, je me dirigeais vers la porte, tout en mettant mes poches dans ma veste en jean, abordant mon Tshirt de l’équipe de Quidditch de Loustry comme on porte un uniforme.
« Vous faisiez quoi avant d’être Prof ? J’veux dire, vous avez l’air d’être assez compétent. Pourquoi vous terrez dans l’éducation ? »
Je plissais des yeux, et je réfléchissais à ma propre question que je venais de lui poser. Après tout, je ne voyais pas l’intérêt de supporter des ados à retardement, car certains de ce que j’en avais entendu se comportait encore comme des gamins. Ca devait être épuisant. Sur le pas de la porte, je me tournais vers lui, en lui faisant un petit clin d’oeil.
« Trois balais ? C’est le plus proche, et c’est le meilleur endroit pour un rencard avec un inconnu. Y’a toujours du monde au cas où l’on veuille vous sautez à la gorge. Ou alors au bar de Zoey mais… Je suis pas sur que dans ce beau manteau, vous ne finissiez pas détroussé comme un première année dans l’Allée des Embruns. »
Je lui souriais, rayonnante. On allait bien s’amuser, et… profiter, un peu. Soudain, je me figeais. Alors qu'il était proche de moi, je captais l'odeur d'un... Loup. Mais pas comme mes congénères, c'était... différent. Je me méfiais alors brusquement et le regardait dans les yeux :
« Vous soignez un Loup? »
« Vous faites du bon travail.. Merci, c’est très gentil du compliment. Zoey est ma meilleure amie, mais elle doit avoir honte de moi pour ne pas m’avoir parler de vous. Ou alors, elle vous garde certainement pour elle ! »
Je me mis à ricaner, et je lui mis un petit coup de coude. J’observais alors le Niffleur gesticuler avec ses congénères malgré le boitillement de sa patte. Je fronçais les sourcils et écoutait ses précieux conseils, qui valait certainement son pesant d’or si j’avais consulté un Magicozoologiste. J’hochais alors la tête en souriant toujours et en le regardant dans les yeux.
« Euh… Avec plaisir. » dis-je avec un rougissement un peu honteux.
A vrai dire, même si la lune faisait son œuvre, j’étais quand même un peu timide de par mon éducation. Observant le Niffleur, et lui faisant bizarrement confiance quand à sa promesse d’en prendre soin, je me contentais de croiser les bras et de dire avec un petit sourire :
« Pourquoi pas. Mais si ya des chandelles, je devrais refusé l’invitation. Ca va un peu vite. Ce que je vous propose, c’est qu’on aille parler du fait que ma meilleure amie n’est pas eu la présence d’esprit de me parler de vous… Et ce que cela peut cacher. Vous n’êtes pas un bourreau des coeurs j’espère ? »
Je croisais les bras d’un air toujours aussi amusé. C’était déjà plié et dans la poche avant même que Picsou ait pu toucher le Gallion. Mais… Je ne comptais pas aller droit dans le mur avec un inconnu. On ne savait jamais quel Mage Noir pouvait se cacher sous un aussi joli sourire. Aussi, je me dirigeais vers la porte, tout en mettant mes poches dans ma veste en jean, abordant mon Tshirt de l’équipe de Quidditch de Loustry comme on porte un uniforme.
« Vous faisiez quoi avant d’être Prof ? J’veux dire, vous avez l’air d’être assez compétent. Pourquoi vous terrez dans l’éducation ? »
Je plissais des yeux, et je réfléchissais à ma propre question que je venais de lui poser. Après tout, je ne voyais pas l’intérêt de supporter des ados à retardement, car certains de ce que j’en avais entendu se comportait encore comme des gamins. Ca devait être épuisant. Sur le pas de la porte, je me tournais vers lui, en lui faisant un petit clin d’oeil.
« Trois balais ? C’est le plus proche, et c’est le meilleur endroit pour un rencard avec un inconnu. Y’a toujours du monde au cas où l’on veuille vous sautez à la gorge. Ou alors au bar de Zoey mais… Je suis pas sur que dans ce beau manteau, vous ne finissiez pas détroussé comme un première année dans l’Allée des Embruns. »
Je lui souriais, rayonnante. On allait bien s’amuser, et… profiter, un peu. Soudain, je me figeais. Alors qu'il était proche de moi, je captais l'odeur d'un... Loup. Mais pas comme mes congénères, c'était... différent. Je me méfiais alors brusquement et le regardait dans les yeux :
« Vous soignez un Loup? »
INFOS
FICHE DE PERSO
The Niffler's Plane Ellie feat. Ayden |
|
INFOS
FICHE DE PERSO
Je marchais toujours les mains dans les poches de ma veste, comme je le faisais avec ma blouse de Ste Mangouste. C’était juste plus pratique avec cette dernière qu’avec ma veste car plus ample. Tout en marchant, je le dévisageais un peu. Est-ce qu’il était au courant ou non ? Mes yeux se plissèrent un peu. Je n’étais pas assez stupide pour dire mon secret au premier venu, surtout si c’était un agent du ministère déguisé en Professeur, aussi séduisant soit-il. Avec un léger sourire, je gardais une once de mystère tout en arrivant vers le Pub. Ma réponse avait pu paraître un peu longue, durant la marche :
« Non, juste une intuition. Mais j’avais visé juste. Très intéressant, comme forme totémique. Je n’en avais jamais croisé. »
J’ouvris la porte du pub sans rien rajouter de plus. J’en avais assez dit sur le sujet pour que ce soit gros comme une maison, et je m’étais plus mise à nue que ce que je n’avais espéré avec cette phrase à la con. Me mordant la lèvre au moment où je rentrais dans le bar, je me promis de ne plus en parler à partir du moment où nous commencerions une nouvelle conversation.
« Zoey a fait confiance à de mauvaises personnes dans sa vie, j’espère que tu n’es pas l’un d’eux. »
Je lui accordais un léger sourire alors que nous nous installions. Un, je n’avais pas répondu à sa question et je l’avais éludé exprès, deux, j’avais également pris mes marques en terme de rapprochement en supprimant le tutoiement. Et trois… j’avais un peu marqué mon territoire en lui glissant que si c’était une mauvaise rencontre de Zoey, il allait le payer très cher. Mais… je doutais que ce soit le cas.
Alors que son repas arriva, mes narines se dilatèrent et mes yeux également à la vue du poulet. Un plat typiquement irlandais. Sans faire de commentaires, je me mis à sourire pour répondre à sa petite question assez… perspicace.
« Oui, c’est mon grand frère. Pourquoi tu le connais ? »
Je regardais alors la serveuse.
« La même chose s’il vous plait, mais une pinte pour moi… Les épices, ça coupe le vrai goût des choses ! »
Je me mis alors à lui sourire. Il ne pouvait pas être méchant. Aucun méchant digne de ce nom ne buvait de l’hydromel aux épices. C’était généralement réservé aux fragiles Poufsouffles ce genre de boisson. Passionné par son brevage, mes narines se dilatèrent encore, dérangé par l’odeur qui, grace à mon odorat dévéloppé me piqua un peu le nez. Je ne dis rien, tout en préférant me concentrer sur ma viande.
« Ne me dis pas que tu es un ami d’enfance, ou un truc du genre. Ca voudrait dire qu’on s’est jamais croisé, et que tu me tombes dessus comme un cheveux sur la soupe. Si tu connais mon frère et ma meilleure amie, soit tu es un espion rudement doué, soit mon prince charmant. »
Je levais alors les yeux, d’un air… brusquement triste et grave.
« Et dans les deux cas, je serai malheureusement obligé de t’éliminer. Personne ne prend mon coeur, et personne ne m’extrait des informations sur mes proches pour les vendre à une puissance étrangère… Tu es démasqué. »
Mes lèvres s’étirèrent en un vrai sourire, preuve que je plaisantais bien évidemment et que la situation n’était ni grave, ni triste. Par contre, c’était étrange qu’on ne se soit jamais vu s’il les connaissait tous les deux. Mes yeux se levèrent vers lui alors que je mangeais calmement.
« Je devais être à Médicomage Sans Frontière, et quand je suis rentré t’étais au fin fond de je sais pas où. C’est dingue les coincidences... »
Je relevais mes yeux brillants vers lui et je me penchais pour murmurer:
« C’était peut être toi l’homme de ma vie et je vais apprendre que tu es marié avec huit enfants… Dommage. »
Et je lui fis un léger clin d’oeil presque imperceptible en levant ma bière.
« Non, juste une intuition. Mais j’avais visé juste. Très intéressant, comme forme totémique. Je n’en avais jamais croisé. »
J’ouvris la porte du pub sans rien rajouter de plus. J’en avais assez dit sur le sujet pour que ce soit gros comme une maison, et je m’étais plus mise à nue que ce que je n’avais espéré avec cette phrase à la con. Me mordant la lèvre au moment où je rentrais dans le bar, je me promis de ne plus en parler à partir du moment où nous commencerions une nouvelle conversation.
« Zoey a fait confiance à de mauvaises personnes dans sa vie, j’espère que tu n’es pas l’un d’eux. »
Je lui accordais un léger sourire alors que nous nous installions. Un, je n’avais pas répondu à sa question et je l’avais éludé exprès, deux, j’avais également pris mes marques en terme de rapprochement en supprimant le tutoiement. Et trois… j’avais un peu marqué mon territoire en lui glissant que si c’était une mauvaise rencontre de Zoey, il allait le payer très cher. Mais… je doutais que ce soit le cas.
Alors que son repas arriva, mes narines se dilatèrent et mes yeux également à la vue du poulet. Un plat typiquement irlandais. Sans faire de commentaires, je me mis à sourire pour répondre à sa petite question assez… perspicace.
« Oui, c’est mon grand frère. Pourquoi tu le connais ? »
Je regardais alors la serveuse.
« La même chose s’il vous plait, mais une pinte pour moi… Les épices, ça coupe le vrai goût des choses ! »
Je me mis alors à lui sourire. Il ne pouvait pas être méchant. Aucun méchant digne de ce nom ne buvait de l’hydromel aux épices. C’était généralement réservé aux fragiles Poufsouffles ce genre de boisson. Passionné par son brevage, mes narines se dilatèrent encore, dérangé par l’odeur qui, grace à mon odorat dévéloppé me piqua un peu le nez. Je ne dis rien, tout en préférant me concentrer sur ma viande.
« Ne me dis pas que tu es un ami d’enfance, ou un truc du genre. Ca voudrait dire qu’on s’est jamais croisé, et que tu me tombes dessus comme un cheveux sur la soupe. Si tu connais mon frère et ma meilleure amie, soit tu es un espion rudement doué, soit mon prince charmant. »
Je levais alors les yeux, d’un air… brusquement triste et grave.
« Et dans les deux cas, je serai malheureusement obligé de t’éliminer. Personne ne prend mon coeur, et personne ne m’extrait des informations sur mes proches pour les vendre à une puissance étrangère… Tu es démasqué. »
Mes lèvres s’étirèrent en un vrai sourire, preuve que je plaisantais bien évidemment et que la situation n’était ni grave, ni triste. Par contre, c’était étrange qu’on ne se soit jamais vu s’il les connaissait tous les deux. Mes yeux se levèrent vers lui alors que je mangeais calmement.
« Je devais être à Médicomage Sans Frontière, et quand je suis rentré t’étais au fin fond de je sais pas où. C’est dingue les coincidences... »
Je relevais mes yeux brillants vers lui et je me penchais pour murmurer:
« C’était peut être toi l’homme de ma vie et je vais apprendre que tu es marié avec huit enfants… Dommage. »
Et je lui fis un léger clin d’oeil presque imperceptible en levant ma bière.
INFOS
FICHE DE PERSO
The Niffler's Plane Ellie feat. Ayden |
|
INFOS
FICHE DE PERSO
Son agriculteur préféré ? Je fronçais les sourcils en buvant ma bière et ne répondant pas à ce qu’il venait de dire. Je trouvais ça bizarre la façon dont il avait de voir mon frère. Finalement, quand il parla des louveteaux et du fait qu’il n’avait pas encore trouver la louve pour ça, je faillis m’étrangler. Toussant ma bière un peu partout, je m’essuyais le visage et je devins rouge comme une tomate. Ca ne pouvait pas m’être destinée, après tout puisqu’il ne savait pas que j’étais moi aussi… une louve. Je pris alors ma bière, je la vidais d’un trait comme je le faisais autrefois dans les bars et je la posais vide. Je levais alors la main pour en avoir une autre et cette dernière se remplit automatiquement.
« Désolé. J’ai bu de travers. » commençais-je simplement toujours rouge comme une tomate.
Deux whisky arrivèrent. En plus de ma pinte qui venait de se remplir à nouveau. J’allais finir saoule mais en même temps là, c’était la seule solution que je pouvais trouver comme porte de sortie. Et étant donné ma condition Lycane, ca allait prendre un peu de temps alors autant boire deux fois plus que lui.
« Tu me fais du rentre dedans. C’est pas très subtile, je vais croire que tu es vraiment un don juan et un bourreau des coeurs ! »
Je bus plusieurs gorgées pour me donner contenance. Vraiment, là je retenais le nom de Woods graver dans mon esprit et j’allais me venger c’était certains. Il me faisait de la vieille drague des années 70 et en plus de ça, il cherchait à se multiplier avec des enfants. Mon angoisse monta d’un cran à cette idée, mais je tins bon.
« Mais j’y suis pas insensible, cela dit. » me rattrapais-je.
Quitte à faire les choses, autant aller jusqu’au bout. Quand il me parla de Médicomage Sans Frontières, je m’assombris un peu. Je n’avais pas envie de ternir cette soirée avec mon kidnapping et mon histoire personnelle, aussi je me contentais de sourire du mieux que je pouvais et je déclarai :
« Oui. C’était très enrichissant et j’ai appris beaucoup de chose sur les infections du monde entier. J’ai fait à peu prêt les même pays que toi, ce qui est une terrible coïncidence. »
Je ricanais en mangeant un peu pour éponger tout ça. Relevant mes yeux vers lui, mon pied toucha un peu sa jambe par accident et je décidais de le laisser là. Mes pommettes rougirent encore un peu, mais je trouvais quand même le sang froid de poursuivre la conversation.
« Et toi alors ? Pourquoi ce brusque retour ici dans cette bonne vieille Ecosse dans un poste assez calme et sédentaire ? Une horde de jeunes femmes ont déposé un mandat d’arrêt international et tu es recherché par la CIS ? »
Je gardais mes yeux sur lui, toujours amusée. Espérant quand même au fond de moi que ce n’était pas la vérité, voir une demi-vérité maladroite.
« C’est curieux je trouve. Enfin je dis ça mais j’ai fait la même chose pour me rapprocher de ma famille alors... »
J’enlevais mon pied et je bus quelques gorgées de whisky pur feu pour me donner un peu de courage supplémentaire.
« Désolé. J’ai bu de travers. » commençais-je simplement toujours rouge comme une tomate.
Deux whisky arrivèrent. En plus de ma pinte qui venait de se remplir à nouveau. J’allais finir saoule mais en même temps là, c’était la seule solution que je pouvais trouver comme porte de sortie. Et étant donné ma condition Lycane, ca allait prendre un peu de temps alors autant boire deux fois plus que lui.
« Tu me fais du rentre dedans. C’est pas très subtile, je vais croire que tu es vraiment un don juan et un bourreau des coeurs ! »
Je bus plusieurs gorgées pour me donner contenance. Vraiment, là je retenais le nom de Woods graver dans mon esprit et j’allais me venger c’était certains. Il me faisait de la vieille drague des années 70 et en plus de ça, il cherchait à se multiplier avec des enfants. Mon angoisse monta d’un cran à cette idée, mais je tins bon.
« Mais j’y suis pas insensible, cela dit. » me rattrapais-je.
Quitte à faire les choses, autant aller jusqu’au bout. Quand il me parla de Médicomage Sans Frontières, je m’assombris un peu. Je n’avais pas envie de ternir cette soirée avec mon kidnapping et mon histoire personnelle, aussi je me contentais de sourire du mieux que je pouvais et je déclarai :
« Oui. C’était très enrichissant et j’ai appris beaucoup de chose sur les infections du monde entier. J’ai fait à peu prêt les même pays que toi, ce qui est une terrible coïncidence. »
Je ricanais en mangeant un peu pour éponger tout ça. Relevant mes yeux vers lui, mon pied toucha un peu sa jambe par accident et je décidais de le laisser là. Mes pommettes rougirent encore un peu, mais je trouvais quand même le sang froid de poursuivre la conversation.
« Et toi alors ? Pourquoi ce brusque retour ici dans cette bonne vieille Ecosse dans un poste assez calme et sédentaire ? Une horde de jeunes femmes ont déposé un mandat d’arrêt international et tu es recherché par la CIS ? »
Je gardais mes yeux sur lui, toujours amusée. Espérant quand même au fond de moi que ce n’était pas la vérité, voir une demi-vérité maladroite.
« C’est curieux je trouve. Enfin je dis ça mais j’ai fait la même chose pour me rapprocher de ma famille alors... »
J’enlevais mon pied et je bus quelques gorgées de whisky pur feu pour me donner un peu de courage supplémentaire.
INFOS
FICHE DE PERSO
The Niffler's Plane Ellie feat. Ayden |
|
INFOS
FICHE DE PERSO
Il avait tout pour plaire. Beau, intelligent, malin, et surtout très honnête. Alors… pourquoi est ce qu’il me faisait cet effet ? Celui qui me disait qu’il fallait que je m’en aille à tout prix. Pourquoi ? Alors que tout semblait me sourire et m’ouvrir les bras ? Là, je n’avais à lui dire. Aucun défaut à trouver. Rien. J’enlevais quand même mon pied et je restais silencieuse en mangeant mon plat et en le fixant tout à coup comme si cela avait la chose la plus importante du monde.
« Je suis désolée pour ta famille. » dis-je timidement en buvant quelques gorgées de whisky qui me restait.
Je ne savais pas quoi dire d’autres. J’avais des amis dans son cas, mais ça me rendait toujours mal à l’aise car pour moi la famille était un pilier de la construction. Peut être que sous ses aspects parfaits… Il y avait autre chose de caché. Mes yeux se posèrent sur lui et je mangeais, toujours en mettant des silences assez longs entre mes paroles.
« T’as l’air passionné. »
Mon estomac et mon coeur se contracta. Une petite vague d’angoisse m’envahit. Et si on se mettait ensemble ? Est ce que je serai une bonne partenaire ? Est-ce que je serai à la hauteur ? Combien de temps j’arriverai à tenir pour lui révéler le secret de ma famille et lui faire confiance ? Est-ce que je serai obligé de le mordre pour qu’il devienne lui aussi un Yard ? Mes joues blêmirent et je repoussais un peu mon assiette.
« Je… je suis au service des urgences. Je suis urgentiste. Désolé, je ne me sens pas très bien. J’ai eu une dure journée. »
Je regardais ailleurs, cherchant à un moyen de m’échapper d’ici sans passer pour une folle, ou pour une couarde. J’expirai un peu. Je devais être une piètre partenaire de dîner romantique. En même temps… est-ce que tout ça, c’était fait pour moi ? Est-ce que j’aurai assez de temps pour le rendre heureux ? Est-ce que sa passion et la mienne étaient compatible en terme de temps passé ensemble ?
Est-ce que tu n’essaieras pas de te trouver des prétextes Ellie Yard ?
Cette voix résonna dans ma tête encore et encore si bien que je n’entendis qu’à moitié le monologue de mon voisin d’en face. Je me levais et je déclarais :
« Je dois aller aux toilettes. Je ne me sens pas bien. »
Et voilà qu’il allait s’imaginer que j’étais en train de dégueuler ou pire que j’avais la gastro. Tant pis, de toute façon, je ne le reverrai jamais, ma décision était prise.
Je m’approchais du bar, pour aller voir le barman des Trois Balais et je disais d’une voix sans timbre :
« Je… je vais transplaner plus loin, une urgence à Ste Mangouste. Est-ce que vous pourrez dire… au… monsieur là bas, que… que j’ai du transplaner. »
Et je filais, presque en courant et en trottinant. Une fois arrivée dans les toilettes, je fermais la porte derrière moi et… je transplanais direction Ste Mangouste l’instant suivant.
« Je suis désolée pour ta famille. » dis-je timidement en buvant quelques gorgées de whisky qui me restait.
Je ne savais pas quoi dire d’autres. J’avais des amis dans son cas, mais ça me rendait toujours mal à l’aise car pour moi la famille était un pilier de la construction. Peut être que sous ses aspects parfaits… Il y avait autre chose de caché. Mes yeux se posèrent sur lui et je mangeais, toujours en mettant des silences assez longs entre mes paroles.
« T’as l’air passionné. »
Mon estomac et mon coeur se contracta. Une petite vague d’angoisse m’envahit. Et si on se mettait ensemble ? Est ce que je serai une bonne partenaire ? Est-ce que je serai à la hauteur ? Combien de temps j’arriverai à tenir pour lui révéler le secret de ma famille et lui faire confiance ? Est-ce que je serai obligé de le mordre pour qu’il devienne lui aussi un Yard ? Mes joues blêmirent et je repoussais un peu mon assiette.
« Je… je suis au service des urgences. Je suis urgentiste. Désolé, je ne me sens pas très bien. J’ai eu une dure journée. »
Je regardais ailleurs, cherchant à un moyen de m’échapper d’ici sans passer pour une folle, ou pour une couarde. J’expirai un peu. Je devais être une piètre partenaire de dîner romantique. En même temps… est-ce que tout ça, c’était fait pour moi ? Est-ce que j’aurai assez de temps pour le rendre heureux ? Est-ce que sa passion et la mienne étaient compatible en terme de temps passé ensemble ?
Est-ce que tu n’essaieras pas de te trouver des prétextes Ellie Yard ?
Cette voix résonna dans ma tête encore et encore si bien que je n’entendis qu’à moitié le monologue de mon voisin d’en face. Je me levais et je déclarais :
« Je dois aller aux toilettes. Je ne me sens pas bien. »
Et voilà qu’il allait s’imaginer que j’étais en train de dégueuler ou pire que j’avais la gastro. Tant pis, de toute façon, je ne le reverrai jamais, ma décision était prise.
Je m’approchais du bar, pour aller voir le barman des Trois Balais et je disais d’une voix sans timbre :
« Je… je vais transplaner plus loin, une urgence à Ste Mangouste. Est-ce que vous pourrez dire… au… monsieur là bas, que… que j’ai du transplaner. »
Et je filais, presque en courant et en trottinant. Une fois arrivée dans les toilettes, je fermais la porte derrière moi et… je transplanais direction Ste Mangouste l’instant suivant.
|
|