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Your dreams are your spirit, your soul and without them your are dead. || Léandre
Expertise : Stupefix !
Sortilège de Niv.4
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Expertise : Lumus Solem !
Sortilège de Niv.1
INFOS
Messages : 294
Faceclaim : Laura Vandervoort
Âge : 38
Sang : Sang mêlé
Particularités : Lycan niveau 2
Profession : Bras droit à l'Ensorceleur
Côté Cœur : Hamilton' wifey to be
Multis : Matthew & Naïri
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(37/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Your dreams are your spirit, your soul and without them your are dead.
Inverness - 25th december
La reprise du travail est une libération. Ne plus errer tel un spectre dans mes appartements, me sentir utile, retrouver une forme de normalité. Reprendre mes marques, ma place. Cela a quelque chose de réconfortant après ces derniers mois. Fantôme du passé, magie noire, départ de la meute, secret de famille… et l’organisation du mariage, qui me dépasse. Alors, retrouver une routine, un semblant de contrôle, de calme, ça me fait le plus grand bien.
Mais un soir, il est venu. Au départ j’ai simplement ressenti cette sensation étrange en allant jeter un œil aux tables de jeu. Un fourmillement le long de l’échine, un mauvais pressentiment que je ne pouvais expliquer. Jusqu’à ce que je croise son regard. Ce n’était pas le regard habituel qu’un client porte sur le personnel. Ses yeux n’étaient pas appréciateurs, gourmands. Non, j’avais le sentiment que cet homme m’étudiait, m’analysait. Ce n’était pas normal et ça me déplaisait au plus haut point. Parce que c’était le regard que j’offrais aux autres. Et il n’était nullement gêné que je le surprenne dans son observation. En m’approchant, j’ai senti. Qu’il était comme moi, un lycan, mais avec toujours cette désagréable sensation qui me prenait aux tripes, qui agitait mon autre, qui me poussait à partir, loin.
Mais, par fierté, je restais à l’observer, à mon tour. Un bel homme qui le savait, qui jouait de cette beauté d’une autre époque. Un profil élégant, une tenue soignée, une attitude nonchalante. Un sourire bienveillant et charmeur au prime abord mais, à regarder de plus près, ce sourire changeait et avait quelque chose de carnassier. Son regard noir brillait de malice quand il n’était pas d’une froideur sombre. Mon instinct hurlait à sa vue, c’était un combat intérieur qui commençait. La louve ne demandait qu’à aller se mettre à l’abris alors que la sorcière se refusait à laisser un potentiel danger sans surveillance. Il partit au bout de quelques heures sans faire d’histoire, non sans me lancer un dernier regard et revint le lendemain. Et le jour d’après. Et plus de signes de lui pendant plus d’une semaine. Jusqu’à aujourd’hui. Loin de l’Ensorceleur.
J’ai cru avoir halluciné, au début. Peut-être avais-je trop mangé à midi, ma digestion me demandait bien plus d’énergie que d’habitude et mon cerveau fatiguait ? J’ai changé d’alimentation depuis quelque temps, j’ai abandonné le végétarisme pour quelque chose de plus consistant pour la louve, pour trouver une force qui me manquait. Si mon corps m’en remercie, mon esprit en est affecté. Cela me ramène à mes craintes, à mes angoisses mais surtout à de mauvais souvenirs. La chair animale, sa texture… Une délicieuse torture. Les cauchemars ont été nombreux les premières nuits, me représentant toujours en prédatrice assoiffée de sang, la gueule rouge, les crocs luisants. Alors, oui, j’ai mis ça sur le dos du copieux festin de Noël. Et, surtout, qu’est-ce que ce sorcier ferait à Inverness ?
Aidonéus Talbot selon les informations qu’on avait sur lui. Sorcier français frôlant la quarantaine. Lycan non déclaré, d’ailleurs il n’y avait rien sur lui dans les fichiers du Ministère selon @Emrys Woods. Rien du tout, ce qui est difficile à croire pour un lycan avec une telle aura. Quelles sont les chances que ce type se trouve dans cette ville, en même temps que nous alors qu’on vient célébrer Noël en famille ?
Car, oui, je me focalise sur cette famille qui m’ouvre les bras, qui m’accepte, sans poser de question. Aucune leçon de morale, aucun conseil bien-pensant qui me ferait grincer des dents. Non, aucune condition à cette acceptation. Ils m’acceptent comme il m’a acceptée à l’époque. C’est déroutant mais tellement réconfortant, à réchauffer l’âme comme le corps. Noël en famille. Quelque chose que j’ai connu enfant jusqu’à la séparation de mes parents. Ensuite, cette fête avait un goût amer et je sentais qu’ils se forçaient pour moi. Ça n’avait plus rien de festif, de joyeux. Jusqu’à ce que les Yard m’accueillent, après ma morsure. J’avais alors redécouvert ce qu’étaient les fêtes en famille mais ne m’y étais pas sentie à ma place. Et là, je découvrais ma nouvelle famille. Je me sentais si reconnaissante ! Cependant, après ce copieux repas, j’ai ressenti un trop plein d’émotions et le besoin de prendre l’air, seule.
Chaussée de baskets, et après m’être longtemps excusée pour ce besoin, je parcours un sentier à grandes foulées, faisant crisser la neige sous mes pieds, me vidant l’esprit. Du moins, jusqu’à ce que je croise de nouveau ce regard pénétrant et terrifiant parmi les arbres qui longent le chemin. Alors que je cligne des yeux et tourne la tête pour vérifier qu’ils ne me font pas défaut, l’homme a disparu ou l’illusion s’est envolée. La boule au ventre, assaillie par une peur ancestrale, je ralentis l’allure avant de faire demi-tour pour rejoindre la demeure familiale. Si mon esprit me joue des tours malgré le grand air, autant capituler et rentrer savourer le vin épicé, noyer ces angoisses qui n’ont pas leur place, retrouver les bras forts et aimants de mon fiancé.
Quelques minutes plus tard, grâce à une allure plus déterminée et à la lycanthropie qui coule dans mes veines, je passe la lourde porte d’entrée, toujours avec ce sentiment persistant d’être observée. Je lance un sourire à la petite assemblée, les avertis que j’ai besoin de passer sous l’eau et lance un regard appuyé à mon écossais avant de m’éclipser vers la chambre que Brigitt nous a tendrement préparée. Je me doute qu’il ressent déjà l’angoisse qui me prend à la gorge aussi je préfère être honnête. Quand il me rejoint dans la pièce, je fais déjà les cent pas aux pieds du lit.
« Je crois qu’il est là. Talbot. » Je me mordille l’ongle du pouce tout en continuant mes aller et venu. « Je l’ai vu entre les arbre quand je courais. »
Je sais que c’est absurde mais mon instinct refuse de me laisser en paix. Je me plante devant la fenêtre, scrute l’extérieur à la recherche de ces prunelles sombres. Rien, si ce n’est ce mauvais pressentiment qui me colle à la peau autant que la sueur qui refroidie et fait trembloter mes membres. Je me rapproche de Léandre, viens me glisser dans ses bras, passe une main dans son cou, viens frôler du bout des doigts la chaîne en or blanc que je lui ai offerte, au bout de laquelle pend un médaillon ouvragé. Une tête de loup encerclée de runes, pour que la louve le protège même quand nous serions séparés par la distance, tant qu’il me garderait près de son cœur. Ellie en aurait eu la nausée et cette idée me confortait dans ce choix de présent.
« Dis-moi que je suis folle. Parce que je le suis, n’est-ce pas ? Je délire. Overdose de protéine… Sans parler de la pleine lune qui approche ! »
- Le lycan qui a mordu Zoey:
Aidonéus Talbot – Fin trentaine. Lycan niveau 3. Français.
Bel homme, d’une beauté d’une autre époque. Un profil élégant, une attitude nonchalante. Un sourire bienveillant au premier abord. Mais à l’observer de plus près, ce sourire change, il a quelque chose de carnassier. Son regard brille de malice quand il n’est pas d’une froideur sombre. C’est un esprit dérangé.
Il est devenu lycan dans la violence, dans le sang de sa mère, alors qu’il n’avait que cinq ans. Le lycan qui l’a transformé, un homme mauvais, l’a recueilli. A vrai dire, il l’avait choisi, il était sa cible. Recruter dès le plus jeune âge après observation, sélection, pour en faire de parfaits petits soldats, malléables. Aidonéus a grandi dans une meute, avec d’autres gamins volés à leur famille, comme lui. Il fut cependant le préféré de l’alpha. Obéissant, violent, sans état d’âme. Le bras droit parfait, qui ne rechigne jamais à la tâche, qui ne remet jamais les ordres en question. Jusqu’à ce que le jeune homme décide que la meute l’étouffait. Oh, il n’a pas gagné son indépendance, il l’a arrachée avec le cœur de son alpha avant de tuer toute sa meute, la seule famille dont il se souvienne.
Depuis près de quinze ans maintenant, il fait partie d’un groupe de mercenaires, de nationalités différentes, aux talents multiples. Des talents qui coûtent cher. Lycans, voyant, légilimens...
Cause you can be hurt by love or healed by the same.
Timing is everything.
INFOS
FICHE DE PERSO
Your dreams are your spirit, your soul and without them your are dead.
ft. @Zoey Woods
25 Décembre // Inverness
Le mois de Décembre avait filé à grandes allures, de nombreux changements s'étaient invités en cette fin d'année. Sa douce avait adopté un nouveau régime, plus énergétique mais aussi plus compliqué. Manger de la viande rouge pour un lycan qui avait fait le choix du végétarisme par conviction autant que par dégoût était un dilemne constant. Si Zoey retrouvait ses formes si appréciables, l'écossais sentait aussi que cela prendrait bien plus de temps que prévu.
Ils avaient décidé de se rendre à Inverness pour les fêtes de Noel. Léandre s'étant assuré que sa Granny cuisine des plats - certes avec de la viande - mais mijotés, dont la cuisson permettait une digestion et un goût moins prononcé qu'un rôti saignant. Rien qui pouvait évoquer un animal ou encore un cadavre. Il y avait donc des tourtes, du ragout, et des poissons également. Et des sides dishes qui puissent donner envie à sa fiancée. Les festivités furent chaleureuses et conviviales. Permettant à tout le monde et surtout à la nouvelle venue de se sentir chez elle.
Le sorcier observa sa douce s'eclipser pour aller s'aérer. Trop de mets ou de discussions assommantes sur les ancêtres Jacobites de la famille. Il lui laissa son espace et ses pensées, préférant piquer du nez sur le confortable fauteuil de Brigitt. Sombrant dans un étrange sommeil, dont les rêves ne lui appartenaient pas.
Léandre se reveilla en sursaut une bonne demie heure, observant le retour de sa fiancée et son regard si particulier lorsqu'elle traversa la pièce centrale alors qu'Isaac continuait son expérience avec toutes les liqueurs de sa grande-mère. Alors que la vieille sorcière faisait du charme à son vieille ami - un antiquaire de la vieille ville - qui avait sans doute eu d'autres activités illégales dans le temps.
Il rejoint la louve dans la chambre, la trouvant troublée, occupée à piétiner le parquet centenaire. Il accueille l'étrange nouvelle avec un regard surpris. Léandre connait l'identité de cet homme.. enfin cette créature. Lentement, il offre à la sorcière une étreinte chaleureuse. D'apparence, le sorcier semble calme et solide. A l'intérieur, il tente de faire de l'ordre dans ses pensées chaotiques. Talbot. Son regard clair se pose sur Zoey, la confortant dans son instinct.
Il ne mettra jamais en doute cette sensation qui se saisit des entrailles et qui noue la gorge. Il sait ce que cela signifie. Si les yeux sont aveugles, le coeur lui sait.
- Tu ne l'es pas mon amour.. Confirma t il avec une douceur maitrisé. Il avait les moyens de vérifier l'identité du stalker. Son frère Isaac pouvait renifler un hybride et encore plus un loup à des kilomètres à la ronde. Et à deviner l'étrange tension qui était en train de s'installer dans la maison, il l'avait déjà fait. La demeure des Hamiltons était capable de réagir à tous êtres hybrides inconnus.
- Tu es en sécurité ici. Et si Talbot est dans les parages, nous le trouverons. Léandre avait beau être un sorcier du monde, il n'en était pas moi une créature à part entière, et un homme qui avait évolué dans des sphères bien plus violentes que l'écrin que semblait être l'Ensorceleur. Une seule chose comptait, la famille. Et pour Zoey qui en était le coeur, il était prêt à tout.
Expertise : Stupefix !
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Âge : 38
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Rigueur Magique (RM):
(50/100)
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Potentiel Magique (PM):
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Rigueur Magique (RM):
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Expérience Magique (XM):
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Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Your dreams are your spirit, your soul and without them your are dead.
Inverness - 25th december
« J’aurais préféré l’être. »
La folie serait certainement plus facile à digérer que cette angoisse qui me gagne. Un chemin pas forcément très engageant vers Ste Mangouste, certes, mais au moins cela pourrait se résoudre avec les bons soins de médicomage. Alors qu’être épiée par un lycan, sans en connaître les raisons est une autre histoire. Bien trop d’inconnues dans cette équation, de questionnement. Sortir de sa zone de confort est désagréable pour beaucoup de monde mais lorsque ça m’arrive j’ai l’impression de perdre pied. Pour quelqu’un qui tente de tout maîtriser, que ce soit son environnement, son entourage, qui s’impose une routine, un entraînement pour garder l’animal sous contrôle… Me savoir observée et maintenant suivie réveille un instinct primaire, un besoin de replis, de sécurité à défaut d’attaquer de front. Et dans ses bras c’est ce que je trouve. Un apaisement bien que temporaire mais salvateur. Il est mon ancre quand tout semble s’écrouler, mon phare dans la nuit, mon refuge, ce repère immuable sans lequel je ne serais plus là depuis longtemps. Je me concentre sur les battements de son cœur sur lequel je pose ma main, me cale sur sa respiration.
« Notre premier Noël en tant que couple, notre premier Noël en… famille ! Il n’y a pas des lois qui protègent l’esprit sacré de ces fêtes ? »
Que je demande dans un triste sourire qui ne masque nullement mon inquiétude. Si on sait plus sur Talbot, on ignore toujours ce qu’il nous veut. Pourquoi venir m’observer à l’Ensorceleur ? Et surtout, pourquoi nous suivre jusqu’ici ? Je pense sérieusement que je ne suis pas la cible, qu’il y a un bien meilleur intérêt derrière tout ceci. Aux yeux d’un autre lycan, je ne suis personne, juste une louve parmi tant d’autre, non ? Et en dehors de ma lycanthropie, je n’ai rien accompli d’extraordinaire, je ne me démarque en rien si ce n’est que je suis la fille d’un escroc. Cela m’a déjà valu de me faire mordre et même ça n’a en rien modifié le comportement en affaire de ce cher Mr Woods. Ses associés ont donc déjà pu constater que je ne suis pas la meilleure façon de lui faire entendre raison. Et si ce n’est pas pour atteindre mon père, ce serait donc pour approcher l’homme que j’aime et mon futur époux.
« Je ne m’inquiète pas pour ma sécurité. Je ne suis personne, techniquement, juste une louve parmi tant d’autres. On me l’a rappelé un paquet de fois. Toi, en revanche… tu es l’Ensorceleur ! Ce serait plus logique qu’on essaie de t’atteindre par moi. »
Cette simple idée m’horripile et fait gronder la louve encore tapie. Cet homme, ce lycan s’approche dangereusement de ce que j’ai de plus cher à mes yeux. Si c’est bien pour nuire à Léandre, à cet être si précieux à mon cœur, plus précieux que ma propre vie… Je refuse d’être un instrument dans les mains de ce Talbot.
« Je hais l’idée d’être un possible point faible. »
Les paupières closes, la tête glissée dans le cou de Léandre, mon ouïe est attirée par des pas légers et prudents à l’extérieur de la maison. A bonne distance mais bien trop proches à mon goût alors que je suis sur le qui-vive. Je redresse la tête, sens en alerte, yeux écarquillés. Je m’écarte à contre cœur de l’homme qui fait battre le mien et attrape un sweat que j’enfile à la hâte.
« Je pense plutôt que c’est lui qui nous a trouvés. » Non. Pas aujourd’hui. Pas maintenant. Pas ici ! Je me retiens de retrousser les lèvres, de montrer les dents, mais l’envie est là, profonde. On empiète sur nôtre territoire, sans invitation. « A moins que Brigitt attende encore du monde ? »
Je n’y crois pas mais tente de me leurrer moi-même. Je sors de la chambre et rejoint le salon, l’oreille tendue. Les pas se rapprochent et ils appartiennent à plus d’une personne. Je croise le regard d’Isaac, lui aussi aux aguets. Un lycan s’avance bel et bien vers la maison. Je me retourne vers Léandre, viens glisser ma main dans la sienne, presse doucement mes doigts.
« Si c’est bien Talbot... Peut-être faut-il l’éloigner ? L’attirer loin d’ici, loin de… notre famille ? » Je pense surtout à cette femme au grand cœur qui a su élever ces garçons et m’accepter. A son ami qui semble si fragile à mes yeux de louve. Je baisse la voix et les désigne discrètement d’un signe de tête. « Est-ce qu’il y a une pièce plus… sûre pour les mettre à l’abris ? »
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