Une présentation courte de votre personnage, de qui il est, du style c'est l'histoire d'un mec ou d'une citation un peu longue, qu'importe ! C'est une mise en bouche, une façon de l'introduire, de le présenter au forum.
Dossier Administratif
Identité : Il s'appelle
Farès El Mahdi, fils d'Amjad.
Date et Lieu de naissance : Né à
Fès, dans le
Royaume de l'Atlas (
www), au nord-ouest du Maghreb, le
29 novembre 1971, il y a 53 ans à peu près.
Statut civil : Farès est
veuf. Il s'occupe, aujourd'hui, seul, de son fils qu'il aime par dessus tout. Il lui semble compliqué d'imaginer refaire sa vie un jour même s'il le désire au plus profond de lui. Peut-être est-ce à cause de son âge, peut-être est-ce à cause d'autre chose... Il n'en sait rien. Tout ce que Farès sait, c'est que ce n'est pas le bon moment.
Scolarité : Farès a étudié à Poudlard dans la célèbre maison d'
Helga Poufsouffle. C'était le jeune garçon particulièrement solaire, passionné des canassons (qu'ils soient magiques ou non) et qui ne vivait que pour passer le plus clair de son temps à s'occuper des
sombrals de l'école. Pourtant, il n'a jamais été considéré comme bizarre par ses camarades qui appréciaient beaucoup sa présence réconfortante et apaisante. Un peu farceur, il lui est arrivé de recevoir quelques heures de colles, surtout lorsqu'il fallait tenter de séduire une fille d'une manière quelque peu exubérante. Il fut d'ailleurs un excellent
préfet de Poufsouffle avant de devenir l'
un des deux préfets-en-chef de Poudlard où ses compétences de
leader lui permirent de fédérer la résistance entre les murs de l'école.
Lorsque la guerre se déclara, Farès faisait ses études à Poudlard. Comme tous les élèves de son âge, c'est aussi là où il a amorcé un certain changement dans sa façon de se comporter. Fier Poufsouffle, loyal et ouvert, Farès se rangea très vite derrière les idées de l'Ordre du Phénix bien qu'il n'en fasse pas parti personnellement. Au lieu de résister en dehors des murs du château, le jeune maghrébin, qu'il était à l'époque, s'affairait à protéger l'école du mieux qu'il le pouvait en compagnie des autres élèves et des professeurs. C'est d'ailleurs à cette époque où Farès développa un goût prononcé pour les duels. La peur, peut-être, de ne pas pouvoir défendre ses valeurs, le poussa à fréquenter la salle de duel plus que de mesure et de devenir le chouchou du professeur de Combat magique de l'époque.
Profession : Il fut,
pendant longtemps,
Brigadier au sein du Dpt. de la Justice magique où il passa l'essentiel de sa vie à protéger les honnêtes gens ou en les aidant dans la vie de tous les jours. Très vite, son assiduité et son implication le firent se démarquer de ses collègues ce qui lui permirent d'évoluer dans sa carrière. Il quitta le département de la Justice magique au grade de
Capitaine.
Il y a quelques années, à la mort de sa femme, Farès devint
professeur de Combat magique à Poudlard, une matière qu'il entend bien rendre obligatoire à tous les étudiants. Depuis bientôt deux ans maintenant, il est également
Directeur de Poufsouffle.
Habitation : Farès possède une jolie maison sur
Tinworth.
Baguette magique : Croyez le ou non, Farès n'a connu qu'une baguette magique dans sa vie, et c'est celle qu'il utilise encore aujourd'hui. Faites en bois de
Surreau, elle contient une plume de
Sîmorgh. Elle mesure
31 centimètres. Particulièrement bien entretenue, elle est particulièrement rigide, laissant supposer à quiconque s'y connaît en baguette magique que Farès n'aime pas trop le changement.
Famille :La famille
El Mahdi n'a rien de bien exceptionnelle. C'est, du moins, l'apparence que cette vieille famille de sorciers (
?) démontre chaque jour que Dieu fait, que ce soit ici, en Angleterre, ou au Maroc, terre de leurs aïeux. On les trouve à tous les étages de la société : que ce soit dans l'enseignement, le commerce, la sécurité ou la médecine. Ils n'ont pas de domaine de prédilection, préférant se laisser porter par leur étrange aura, tant qu'ils peuvent rendre service à leur communauté.
Farès est venu vivre en Angleterre très tôt, suivant sa mère (
Zuhra) au sein de l'empire britannique alors qu'il n'avait que quatre ou cinq ans. Son père (
Sa'id) resta à Fès, préférant rester là-bas où il refit sa vie après un divorce particulièrement compliqué avec la mère de son fils aîné. De cette histoire, Farès n'en retient rien sinon le plaisir et la chance de faire parti de deux mondes bien différents.
Aujourd'hui, Farès vit à Tinworth, en compagnie de sa mère et de son fils unique,
Hamza. Son épouse, Diana, fut assassinée, il y a quelques années. Cette dernière enquêtait sur une série de meurtres visant particulièrement les hybrides sur le Marché aux Trolls.
Hérédité du sang :A défaut, il est de
sang mêlé. Même si c'est vrai, il possède un sang fée dans ses veines. Mais cela, il l'ignore pour le moment.
Particularité magique : Demi-fée.
Djinn (lumière), pour être plus précis. Il a, également, quelques bases de magie sans baguette (culturel), notamment pour lancer des sorts simples.
Bilan psychologique
Caractère :
Avant la mort de Diana, Farès était un homme solaire, agréable, social qui avait toujours le bon mot pour ses amis et ses collègues. C'était quelqu'un de particulièrement accessible, de loyal, de travailleur mais aussi quelqu'un qui savait écouter les autres pour les soutenir plus que pour leur prodiguer des conseils. Farès était un homme avec le sourire facile et le rire prompt. Il avait cette petite lueur espiègle constamment dans le regard, brillant d'un feu ardent, dans le noir de ses iris. C'était aussi quelqu'un de doux, de câlin, d'attentionné. Il avait un petit côté passionné avec Diana. Elle le rendait fou. Il en était mordu. Elle pouvait tout lui faire qu'il aurait juste hausser les épaules avant de quémander ses lèvres après une grosse journée de travail. Il s'était toujours efforcé de se montrer particulièrement enthousiaste car il n'y avait qu'ainsi que l'on pouvait soigner le monde après la deuxième grande guerre sorcière dans laquelle il prit part pour défendre l'école de l'assaut mangemort. Il avait choisi le sourire comme arme pour affronter la vie en inspirant les autres autour de lui dans les moments les plus sombres de leur existence.
Mais un jour, Diana ne rentra pas. On lui annonça sa mort quelques jours après en même temps qu'on l'arrêta pour meurtre avec violence sur son épouse. Farès avait beau être l'homme le plus lumineux d'Angleterre, ce fut comme si quelqu'un souffla sa flamme pour ne plus laisser qu'un homme perdu dans des ténèbres dont la seule existence de son fils parvenait encore à le maintenir dans ce monde, lui qui ne voulait que mourir. Comme si cela ne suffisait pas, ces anciens collègues le salirent en mettant sa parole en doute, lui, homme d'honneur. La mort de sa femme, plus son accusation, suffit à Farès pour ne plus devenir qu'une ombre, attendant vaguement qu'un jour, la mort viendrait le chercher pour qu'il puisse retrouver son épouse dans les jardins du Firdaws.
Aujourd'hui, Farès est quelqu'un de plutôt taciturne, qui donne cette impression de ne plus se soucier de rien avec un regard éteint. Hamza était le seul qui lui donnait encore la motivation d'avancer si tant on pouvait encore appeler ça une motivation. Un devoir serait plus exacte. Ce n'était pas qu'il n'aimait pas son fils, bien au contraire. Il était tout pour lui. Mais la mort de Diana le blessa si profondément qu'il parvenait difficilement à aller de l'avant. Et s'il n'y avait pas eu sa mère, Zuhra, les choses auraient été bien plus compliqués.
Farès est quelqu'un de croyant. Il a beau être sorcier, il n'en reste pas moins quelqu'un de pieux, se rattachant à la religion comme à une bouée dans une mer déchaînée dans l'unique espoir de revoir le beau visage de Diana.
Droit, travailleur, silencieux, observateur, Farès est à cheval sur les règles, les lois et le civisme. Si les sorciers avaient une armée, nul doute que le maghrébin serait colonel ou quelque chose dans ce goût-là. L'organisation, la propreté, l'hygiène, l'excellence... Tant de choses qui peuvent faire de lui quelqu'un de désagréable.
Anecdotes :
Farès est un passionné de cheval. Il aime ces créatures avec une affection toute particulière. Pour lui, il n'y a rien de plus beau, de plus majestueux, qu'un cheval au galop. D'ailleurs, si vous ne le voyez pas au château, vous le trouverez très certainement près des enclos à Sombral où il passe beaucoup de temps lorsque son besoin de solitude devient trop important. Son père, Sa'id, possède un ranch au Maroc. Farès est incollable en matière d'équidés.
Il aime l'odeur des oranges et de la fleur d'oranger. Son père lui envoie régulièrement des fruits des Tahiri (une puissante famille oranaise avec qui il entretient de très bonnes relations). Farès en mangerait des kilos, tout le temps.
Farès pratique beaucoup de sports. Principalement de la natation. Habitant à quelques centaines de mètre des plages de Tinworth, il n'est pas rare de le voir nager dans les remous de la Manche qu'il préfère à l'Atlantique dans lequel il se baigne lorsqu'il va voir sa famille au Maroc.
L'escrime est une de ses passions, également. C'est un sport qu'il lui a beaucoup servi au cours de sa carrière de brigadier de police magique, lui permettant d'avoir de solides appuies et des réflexes aiguisés en duel. Farès préfère le sabre à l'épée pour des raisons qu'il ne s'explique pas.
Farès est ambidextre. Gaucher de naissance, Sa'id fit tout ce qu'il put pour le faire utiliser sa maison droite dès qu'il en avait l'occasion provoquant des colères de Zuhra. Par amour pour ses parents, Farès sait désormais utilisé aussi bien sa gauche que sa droite.
À son annulaire gauche, Farès porte une belle chevalière argentée sertie d'une belle pierre d'un noir profond. Peu importe la température, cette dernière se trouve être constamment froide comme si elle aspirait la chaleur ou quelque chose dans ce goût-là.
Patronus :
Le patronus de Farès n'est autre qu'un Albatros.
Miroir de Risèd :
La question ne se pose même pas ! Paradoxalement, s'il avait la possibilité d'en contempler un, Farès refuserait tout simplement de le faire de peur de la revoir. L'incapacité de pouvoir la toucher, la sentir, la caresser, l'embrasser, lui parler, entendre le son de sa voix le rendrait si fou de chagrin qu'il serait capable de faire une bêtise.
Epouvantard :
Hamza est son épouvantard. Paradoxalement, il est la seule personne que Farès aime le plus au monde. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il ne regarde plus son fils dans les yeux. Il y voit l'étincelle pleine de vie qui brillait dans les yeux de Diana.
Particularités :
Farès a plusieurs cicatrices sur son torse, ses mains, ses jambes et même une dans le cou. Des blessures depuis longtemps refermés dont certaines ont gardé leur taille malgré la guérison.
Quand il fait beaucoup trop humide, Farès a des douleurs au niveau du genou gauche. Plusieurs chutes, notamment à cheval ou dans l'exercice de sa profession, lui ont fragilisé sa jambe au point que, aujourd'hui, il lui arrive de grimacer lorsqu'il se déplace.
Farès a tendance à jouer avec ses doigts sur une surface plate lorsqu'il est particulièrement tendu. Lorsqu'il fait ceci, sa colère est proche et il vaut mieux prendre les jambes à son cou.
Derrière l'écran
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