[FB] Peace has no price (Amicia)
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INFOS
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FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Correct (60%)
Maturité Magique (MM):
(36/100)
Education Magique (EM):
(70/100)
Potentiel Magique (PM):
(60/100)
Rigueur Magique (RM):
(80/100)
Expérience Magique (XM):
(70/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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24 Juin 2022:
Si Aziz se trouvait en ce moment au Brésil c'était pour aider un Duruwaqa. L'un de ses informateurs, lui avait indiqué que l'un d'eux s'était retrouvé piéger par des filets de capture de pécheur et que ceux-ci l'avait remis à des braconniers afin en échange de nourritures qu'ils n'avaient pas dans leur village proche des îles Fidji. Grâce aux échanges, à son repérage, l'observation et son attente, il avait pu secourir le Duruwaqa la nuit en se transformant en jaguar pour agir en toute discrétion.
Bien qu'il a pu réussir la raison de sa venue, les quelques jours qu'il a passé pour celle-ci l'a épuisé au possible et il a besoin de se reposer un peu. Pour ça, il n'a pas voulu repartir de suite. Il sait où il peut se rendre afin de ne pas mettre en branle bas de combat sa famille paternel et ne pas trop se faire remarquer non plus. Plusieurs endroits lui vient rapidement en tête, mais l'une d'elle lui plaît davantage que les autres. Une plage où très peu ou pas du tout de moldus vont. La raison ? La plage est resté à l'état sauvage et pourtant se trouve être l'une des plus belles au monde.
En s'y rendant, Aziz a prit son temps. Et tout cela en restant un jaguar pour chasser des animaux et les manger afin de subvenir à ses besoins journaliers en nourriture. Quant à l'eau, il lui suffisait de trouver un ruisseau ou autre pour boire. Il n'use pas de sa magie de suite préférant se défouler avec ses pattes. Ce n'est qu'une fois à bonne distances qu'il use une seule fois du transplanage pour s'y retrouver. Là-bas, comme il le pensait, il n'y avait personne. La plage de Patacho... Un havre de paix qu'il a trouvé lors de l'une de ses anciennes expéditions. Il y installe sa tente de nature ordinaire, sauf à l'intérieur. Après quoi, il y rentre pour dormir et se reposer. Ce n'est que le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil qu'il sorti en ne portant qu'un short sur lui et en se posant allonger, dos nu sur le sable.
Ce silence... Personne. Cela lui fait un bien fou. Seul l'odeur iodé de la mer avec la légère brise vient chatouiller ses narines. Dans ses oreilles ? Le bruit des vagues de la mer et des oiseaux piaillant en volant en groupe. Sur sa peau, la chaleur du soleil venant lui rappeler brièvement le temps qu'il avait passé en Afrique... Fermant les yeux, il ne réfléchit plus à rien laissant tout dans son esprit en ne cherchant pas à y penser afin de profiter de ce moment de paix temporaire.
Si Aziz se trouvait en ce moment au Brésil c'était pour aider un Duruwaqa. L'un de ses informateurs, lui avait indiqué que l'un d'eux s'était retrouvé piéger par des filets de capture de pécheur et que ceux-ci l'avait remis à des braconniers afin en échange de nourritures qu'ils n'avaient pas dans leur village proche des îles Fidji. Grâce aux échanges, à son repérage, l'observation et son attente, il avait pu secourir le Duruwaqa la nuit en se transformant en jaguar pour agir en toute discrétion.
Bien qu'il a pu réussir la raison de sa venue, les quelques jours qu'il a passé pour celle-ci l'a épuisé au possible et il a besoin de se reposer un peu. Pour ça, il n'a pas voulu repartir de suite. Il sait où il peut se rendre afin de ne pas mettre en branle bas de combat sa famille paternel et ne pas trop se faire remarquer non plus. Plusieurs endroits lui vient rapidement en tête, mais l'une d'elle lui plaît davantage que les autres. Une plage où très peu ou pas du tout de moldus vont. La raison ? La plage est resté à l'état sauvage et pourtant se trouve être l'une des plus belles au monde.
En s'y rendant, Aziz a prit son temps. Et tout cela en restant un jaguar pour chasser des animaux et les manger afin de subvenir à ses besoins journaliers en nourriture. Quant à l'eau, il lui suffisait de trouver un ruisseau ou autre pour boire. Il n'use pas de sa magie de suite préférant se défouler avec ses pattes. Ce n'est qu'une fois à bonne distances qu'il use une seule fois du transplanage pour s'y retrouver. Là-bas, comme il le pensait, il n'y avait personne. La plage de Patacho... Un havre de paix qu'il a trouvé lors de l'une de ses anciennes expéditions. Il y installe sa tente de nature ordinaire, sauf à l'intérieur. Après quoi, il y rentre pour dormir et se reposer. Ce n'est que le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil qu'il sorti en ne portant qu'un short sur lui et en se posant allonger, dos nu sur le sable.
Ce silence... Personne. Cela lui fait un bien fou. Seul l'odeur iodé de la mer avec la légère brise vient chatouiller ses narines. Dans ses oreilles ? Le bruit des vagues de la mer et des oiseaux piaillant en volant en groupe. Sur sa peau, la chaleur du soleil venant lui rappeler brièvement le temps qu'il avait passé en Afrique... Fermant les yeux, il ne réfléchit plus à rien laissant tout dans son esprit en ne cherchant pas à y penser afin de profiter de ce moment de paix temporaire.
INFOS
Messages : 49
Faceclaim : Madelaine Petsch
Sang : Sang-pur
Profession : Sixième année à Poudlard, spécialisée en Botanique, Potions et SACM.
Côté Cœur : L'amour ? Court toujours !
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Peace has no price
zone libre
Peace has no price.
Are you sure ?
Amicia marchait d’un pas mesuré sur la plage de Patacho, le sable chaud glissant sous ses pieds, offrant à chaque pas cette douce sensation de liberté que seule la marée pouvait inspirer. L’air salin se mêlait à la brise légère qui jouait dans ses cheveux, les soulevant par moments, l’enveloppant dans le doux murmure de sa propre paix intérieure. Elle aimait ces instants volés au monde, où elle pouvait s’évader de l’effervescence de Castelobruxo, des examens imminents et surtout de la pression latente de son frère, sur lequel elle veillait bien trop souvent d’un œil inquiet. Pourtant, cette quiétude était bien trompeuse, Amicia n’était pas en quête de repos, et encore moins du genre à s’enfermer dans une salle d’étude pour des révisions de dernière minute. Elle avait toujours eu cette assurance étrange, presque provocante, face aux épreuves académiques. Les examens ? Une formalité, pensait-elle. Après tout, c’était bien la première année de sa vie qu’elle avait suivie ses cours avec tant d’assiduité, et cela, par une espèce de curiosité inédite qui s’était éveillée en elle en vivant au Brésil. Ce pays avait su éveiller quelque chose de primal en elle, une connexion avec la nature qu’elle n’avait jamais réellement ressentie à Poudlard. Et depuis cette période, l’échec ne l’inquiétait plus, l’idée même d’être sous l’emprise du stress semblait presque risible. Des futilités comparées aux méandres de la vie.
Mais tout cela, aussi agréable que cela puisse paraître, n’était pas chez elle. Ce pays si chaleureux, aux paysages grandioses et à la lumière dorée, n’était qu’un passage dans sa vie, un refuge temporaire. Poudlard… Ce nom seul évoquait pour elle une époque de pure insouciance, un temps révolu où chaque pierre du château semblait murmurer des secrets anciens et où elle avait véritablement trouvé sa place. Si Castelobruxo l’avait sauvé, ce n’était qu’un baume appliqué sur une plaie encore béante. Les souvenirs de Poudlard restaient trop vivaces, trop douloureux, et malgré tout ce qu’elle pouvait tenter, Amicia savait qu’elle ne retrouverait jamais ce sentiment de véritable appartenance.
Elle soupira doucement perdue dans ses pensées alors qu’elle avançait sur cette plage qu’elle avait déjà effleurée, lors d’un stage de terrain organisé par l’école. La végétation tropicale environnante contrastait avec l’immensité de l’océan, et chaque vague semblait chanter une mélodie familière à ses oreilles. Ici, elle pouvait enfin laisser vagabonder son esprit sans être rattrapée par les contraintes du quotidien. Sa recherche d’une espèce particulière, occupait ses pensées depuis plusieurs jours, se permettant ainsi de prendre une pause dans ce fléau de période d’examen. Sa victime, le Virola surinamensis, un arbre aux propriétés médicinales précieuses, dont les feuilles, riches en huiles, avaient la réputation de soigner les plaies les plus récalcitrantes. C’était sa curiosité habituelle qui l’avait poussée à explorer les profonds recoins de cet écosystème fragile. Elle avait appris, au fil de ses explorations, à respecter ce qu’elle voyait, à ne jamais prendre sans redonner, à honorer cette terre nourricière qui offrait tant.
Sous ce ciel d’un bleu limpide, elle scrutait les plantes environnantes avec un œil exercé, cherchant les indices d’une possible présence. Les palmiers élancés la surplombaient, leurs ombres ondulant doucement sur le sable tandis que des oiseaux criaient au loin. Elle s’approchait de la mangrove, là où les racines semblaient s’enfoncer dans le sol avec une force tranquille, une promesse de vie insoupçonnée. C’est alors que, presque par hasard, son regard fut attiré par une silhouette au loin, une forme vague qui se découpait contre l’horizon scintillant. Elle plissa les yeux, amusée par ce jeu du destin. Non, ce n’était pas possible, son imagination lui jouait sûrement des tours. Une personne connue ? Par ici ? Impossible. Et pourtant… Nonchalamment, elle haussa les épaules et décida de ne pas y prêter attention, retournant à ses propres occupations.
Plusieurs heures passèrent. Amicia s’immergeait dans son activité, son esprit se préoccupant avec minutie à sa quête érudite de savoir. Mais à mesure que le soleil s’élevait, laissant place à une lumière douce et dorée, la fatigue commença à s’immiscer. Ses pieds voulaient s’échouer dans le sable, et son esprit s’évadait de plus en plus. Il était temps de rejoindre la plage, de s’y poser et de laisser ses pensées dériver avec le rythme des vagues. Elle se dirigea vers un coin de la plage de façon aléatoire, cherchant un endroit où se poser un moment. Mais à peine avait-elle posé ses affaires que son regard fut de nouveau attiré par cette silhouette, plus proche cette fois-ci. Cette silhouette… elle la connaissait. Il n’y avait plus de doute. Amicia éclata de rire intérieurement. Ce n’était autre qu’une très vieille connaissance de ses parents, un magizoologiste renommé chez elle pour son immense expérience, mais aussi pour son caractère ombrageux. Un vieux grincheux quoi. Qu’est-ce qu’il faisait là, allongé sur le ventre, comme une baleine échouée sur la plage ?
L’occasion, elle la vit. C’était bien trop beau. Amicia jeta un coup d’œil autour d’elle, cherchant de quoi alimenter l’effluve diabolique de son esprit. Non loin, une poignée d’algues marines, échouées avec la marée, attirèrent son attention. Avec un sourire malicieux, elle dégaina sa baguette et murmura un sort. Lentement, les algues s’animèrent, se mouvant comme des serpents rampants, gagnant peu à peu en vivacité. Elles se traînèrent jusqu’au sorcier endormi, mais cela ne suffisait pas à satisfaire son esprit joueur. Avec un geste vif, elle attrapa une poignée d’algues et les lança sur le dos du sorcier, puis d’une voix claire et théâtrale, s’écria : « Ô créature échouée des abysses ! On vous attaque ! ». Dans ce même élan, elle observa les algues rampantes qui commençaient à s’enrouler autour de ses mollets. Help is on the way...
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