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/!\ (léonard) you take my breath away.

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you take my breath away. ft. @léonard grimm


tout te semble étrange depuis ce jour. rien n'a la même saveur et rien ne semble réussir à te faire sourire... même un instant. ce manque au creux du ventre te ronge alors que l'humiliation n'a pas fini de hanter tes songes.
ressassant sans cesse ce moment où il s'est ravisé, où ses mains ont quitté ton corps, où ses lèvres ont quitté les tiennes, pour ne laisser que le néant croître entre vous.
quand les jours se sont égrainés comme un temps lent, tu as eu l'impression de suffoquer. heureusement pour toi, il n'en restait pas suffisamment pour souffrir davantage.
quand les portes de poudlard t'ont permise de te libérer, tu as fui près de ta mère sans même oser en dire un mot. mais toute mère sait, et ton tourment ne lui a pas échappé. avec ses doigts délicats, elle est venue caresser tes cheveux avec douceur et malice, prête à te faire parler. mais nul besoin de plus que cette attention nécessaire, tu ouvres alors la bouche : « je suis tombée amoureuse, maman. » et si ta mère ne dit pas un mot, tu sens se raidir ses doigts et son souffle se faire plus lourd. « un sang-pur. » mais rien ne change, ce complément n'arrange pas son inquiétude naissante. « il s'appelle léonard. » et ta mère s'arrête : « grimm ? » surprise, tu hoches la tête sur ses genoux. « comment tu sais ? » ta mère reprend sa caresse avant de réfléchir un instant, te laissant perdue dans tes pensées. « rien, rien d'important. » que sait-elle que tu ignores ? après t'avoir dégagé les cheveux, elle te demande : « et donc, ce garçon ? » tu hausses les épaules discrètement. « je ne sais pas, on s'est embrassé. » et ta mère glousse. « mais il m'a finalement repoussé pour ne plus me parler. » tu te redresses alors en la regardant de ton œil azur. « j'embrasse mal ? » mais ta mère te rassure en quittant tes cheveux et en tapotant ta cuisse. « non, ma fille, c'est un jeune homme. il a eu peur. s'il t'a embrassé, c'est qu'il y a bien quelque chose. » elle hausse les épaules et se lève pour sortir de ta chambre. mais avant de fermer, elle se retourne, l'encadrement de la porte dans les mains. « invite le, chérie. on ne sait jamais. et prépare toi, veux-tu ? ce soir on va chez les de clare. » au moins, tu pourras passer la soirée avec @lyssa de clare sans avoir à ruminer cette histoire.


[...]


entre tes murs sombres d'un bleu d'encre marine, tu regardes le portrait d'une sorcière de la famille avant de reprendre ta plume pour écrire cette missive. à tes pieds jonchent d'innombrables exemplaires de cette même lettre avant que tu te décides à poser un point final.

cher léonard,

je te donne rendez-vous, au chemin de traverse devant la boutique de glace de mr fortârome.
sois présent pour 18h.

tienne,

alycia


une fois que ton effraie est partie, impossible de faire machine arrière. et tu éprouvais un drôle de sentiment.
un mélange d'apaisement et d'angoisse, vraiment incompréhensible. et quand enfin, tu t'habilles, tu perds la notion du temps et des choses.
ta famille est prestigieuse, depuis toujours... hors de question de laisser sous entendre le contraire par la famille grimm, après le rejet de l'âinée. tu te pares alors d'une de tes plus jolies robes à pailettes à fines bretelles avec un manteau rose bleu argenté et des chaussures à paillettes de la même couleur.
l'élégance des mcwood, la fierté sur le visage. tes cheveux lâchés au gré du vent.

et tu te diriges à ton lieu de rendez-vous. les traits fermés et la solide résolution d'avoir des réponses à tes questions.
après un instant à attendre, tu t'apprêtes à partir alors que les larmes montent à tes yeux. il ne viendra pas et ça te fend le cœur, mais quand tu enclenches un départ, tu le vois se démarquer dans la foule.
tous tes sentiments ressurgissent d'un coup, comblant ainsi le manque qui te rongeait.
mais cette colère ne faiblit pas, même si tu es heureuse de le voir. « grimm. » que tu sommes au moment de te croiser.
tu es perdue... dévastée.
et tu ne rêves que d'une chose, qu'il te serre contre lui pour oublier tout ça.


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T'as fait le con, tu vas ramasser @Alycia McWood  


Il avait pété les plombs apprenant que son frère l'avait embrassé, un brin de jalousie s'était installé au creux de son estomac, il faisait en sorte de l'éviter, de ne pas la croiser jusqu'à ce qu'elle mette les pieds dans le plat et qu'elle lui demande ce qu'il avait. Là, le trop plein, il avait été pris pour un con, on lui avait menti. Pourquoi ?
Bref, elle l'avait embrassé, non il l'avait embrassé, il ne savait plus, se souvenant encore de ce contact si charnel qu'il avait tant aimé. Plus que pour toutes les autres fois avec d'autres. Son estomac avait papillonné, lui en redemandant encore. Mais une fois au moment de passer aux choses sérieuses, il avait fuit comme un serpent, la laissant seule, prétextant que non. Il n'était pas comme ça et il ne pourrait pas lui donner plus. Ses derniers mots pour elle étant : «Je veux pas que tu souffres, je veux pas te faire de mal, et je sais pas si je suis capable de t'apporter ce que tu veux, je... Je sais très bien que si je te donne tout là tout de suite comme ça, après les vacances tu n'auras plus rien, je sais, je suis comme ça Aly...» Il ne l'avait pas appelé baby comme d'habitude. Bref il lui tarder les vacances, il savait qu'il avait été con mais il n'avait pas pu faire autrement.

@Lyvan Phoenix était arrivé pour les vacances, l'emmenant loin, le sortant des pensées de la belle H24. Le 10 Juillet, il avait pu retrouver son pote, soufflant quelques mots à ce sujet sans lui dire qu'il éprouvait un truc et que c'était pour ça qu'il l'avait repoussé. Lyvan l'avait pris pour un débile, refuser de s'envoyer en l'air, ridicule pour les deux Serpents c'est sur. Il arrivait à se changer les idées en matant de temps en temps le corps de Phoenix qui clairement était à son goût. Il fallait qu'il se sorte Alycia de la tête, elle était trop présente, mais l'été allait l'aider - ou pas ! - Voilà donc un hibou, par merlin, son coeur s'arrêta lorsqu'il vit l'écriture, il connaissait celle d'Alycia, ils étaient tout le temps ensemble. Un rendez vous, elle allait l'achever c'était certain, elle allait lui en mettre plein les dents et se serait mérité. Après tout il valait mieux que ce message arrive au début des vacances pour pouvoir profiter sur le reste du temps.

Dans un premier temps, il avait dit qu'il n'irait pas. Ensuite Lyvan lui avait dit que si il irait et qu'en plus il en profiterait pour passer une bonne soirée en lui tendant une capote ! Quelle originalité. Ensuite il s'était dit qu'il irait en se faisant une sorte de suçon au cou à la fois assez visible mais pas trop pour que ça ne fasse pas grillé histoire qu'elle comprenne. Mais non il ne pouvait pas faire ça c'était naze. Bref il avait décidé d'y aller, il était déjà 18h15 lorsqu'il sorti de la forge les mains dans les poches. Son pantalon beige, une veste légère sur son t-shirt blanc et sa gueule d'ange.

Elle prononce son nom et il esquisse un vague sourire un peu gêné malgré tout sans trop savoir comment se comporter. «Désolé pour le retard, j'ai Lyvan à la maison...» Comme pour prétexter son retard alors que c'était seulement qu'il ne savait pas lui même s'il viendrait ou non.
«Tu veux une glace ?» Lui demanda t'il en montrant d'un signe de tête le glacier en face d'eux. Il espérait pouvoir crever l'abcès rapidement mais détendre l'atmosphère pourrait surement être nécessaire bien qu'il se prendrait peut être le cornet de glace par les yeux mais bon.

Prépare toi à courir, tu vas te faire défoncer mon vieux Grimm.

KoalaVolant
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you take my breath away. ft. @léonard grimm

Ton coeur s'arrête de battre un instant. Cette façon qu'il a de s'adresser à toi te rappelle les innombrables moments complices que vous avez pu passer ensemble.
Rien ne semblait pouvoir vous séparer, à jamais liés l'un à l'autre. Et pourtant aujourd'hui, il semble se creuser une distance qui te fait tant souffrir.
Impossible de dire pourquoi cette douleur est si forte pour toi, si dure à gérer... Si dure à comprendre.
Tant d'années à aimer @Michel-Ange Grimm, à idolâtrer une ombre, un faux semblant.
Et maintenant que tu aimes de la chair, tu es ainsi récompensée.
Comment ? Comment faire pour que cette douleur s'évanouisse ? Cela te semble si insurmontable, que tu hésites à partir quand il ouvre la bouche.
Son excuse pour son retard te rend même jalouse. Même si @lyvan phoenix n'était pas une menace, tu avais la terrible impression de passer juste après lui, et c'est d'autant plus douloureux.
Ton regard s'arrête dans le sien, tu te veux inexpressive. Discrète. Énigmatique...
Cette Aly que les autres se sont plus à appeler sans coeur, l'émotion inexistante. Celle qui cachait chaque ressenti, celle qui pensait pouvoir même gérer un trop plein d'émotions. Celle que Léonard avait réussi à faire fondre pour découvrir la petite poupée fragile que tu es réellement.
Ce sentiment d'être maltraitée te revient... Comment peut-il faire comme si rien ne s'était passé entre vous ? Comment peut-il te regarder dans les yeux et t'offrir une glace ?
Se moque-t-il de toi ?

Tu croises les bras et détournes le regard pour observer la foule qui s'amassait dans la rue de traverse.
Ton coeur souffre mais le sien ne semble absolument pas saigner. Cette douleur est seulement tienne, et sans un mot de sa part, tu te rends compte que tu t'es fourvoyée. Encore une fois.
Encore avec un Grimm.
Pourquoi t'embrassaient-ils pour te rejeter ? C'est une façon cruelle de dire adieu, et tu y as eu le droit deux fois.
Ton regard de glace coule sur lui une deuxième fois avant que tu capitules. « Allons-y. » Sans grande conviction. Mais le temps était chaud, agréable et même si ton manteau traînait sur le sol, tu n'avais pas trop chaud, grâce à ta petite robe à carreaux et à paillette.
Tu balayes tes cheveux sur ton épaule avant de rentrer dans la boutique de fortarôme. « J'adore les odeurs. » Car même si les saveurs étaient parfois particulières, les odeurs, elles, se mariaient à la perfection. Un peu comme toi et Léonard.
Non, tu chasses cette pensée idiote de ton esprit. « Bonjour Florian, un double melon et cacahuète. S'il-te-plaît. » Tu attends que Léonard passe sa commande en observant la boutique. Ta mère avait investi un peu pour offrir à Florian des saveurs d'outre-mer, et tu avais trouvé le propriétaire des plus intéressants.

La glace à la main, tu te diriges à l'extérieur de la boutique en sentant les rayons du soleil caresser ta peau. « Il serait peut-être temps qu'on parle. » Ton ton redevient cassant. Marchant quelques pas, tu le regardes en passant ta langue sur une boule. « Si je ne suis pas assez bien pour toi, soit. Mais tu m'as embrassé, fais espérer. » Et tu as encore le coeur endolori, pire que le sort impardonnable. Et tu te raidis, connaissant l'animal. « Tu en as d'autres ? » Tu t'arrêtes de marcher. « Je t'aime, Léonard. Et je n'ai pas peur de le dire. » Défiante au possible. « Est-ce que tu ne ressens rien, toi ? » Car tu n'y crois pas.
Ou bien tu ne veux pas y croire.
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T'as fait le con, tu vas ramasser @Alycia McWood  


Toutes les possibilités de fuites lui étaient venues à l'esprit mais la voir était difficile. Elle était si belle avec sa robe, sans manteau ça aurait été encore mieux pour découvrir ses formes et sa peau. Finalement, heureusement qu'elle avait ce manteau.
Il avait été si jaloux d'apprendre que son frère avait posé ses lèvres sur elle, avait pu lui faire du mal toutes ses années et pourtant il reproduisait la même chose alors qu'il tentait de la protéger. Elle parait si froide, c'est tellement rare lorsqu'ils étaient ensemble.

Elle ne le regarde plus, il sent son cœur se serrer, il ne veut pas se poser avec quelqu'un, il n'en est pas capable et puis ce qu'il ressent c'est de l'attirance, il finirait par la faire souffrir, c'est pour son bien uniquement voilà tout. Il fallait s'en convaincre de toute façon.
Son parfum parvenant jusqu'à son nez lorsque ses cheveux virevoltèrent devant lui. Lui c'était cette odeur qu'il préférait mais il secoua la tête pour revenir à la raison. «Bonjour, pour moi se sera passion et chocolat s'il vous plait.» Dit il avec un sourire à l'adresse du glacier. Il sorti ses gallions et les donna au marchant de glace. «Vous pouvez garder la monnaie.» Dit il avec un petit clin d'oeil. Il aimait beaucoup se balader dans la rue et il venait parfois draguer des filles ou des garçons sur la terrasse de Florian. C'était une bonne approche, du moins il trouvait.

Il suivit Alycia hors de la boutique marchant au soleil et commença à lécher sa glace jusqu'à ce que la Serpentarde vienne lui glacer le sang. Bam comme ça elle sortait ça direct. Elle n'avait pas froid aux yeux mais elle n'allait pas aimer la réponse. «Je sais pas ce que je peux te dire de plus que l'autre jour...» Dit il en haussant les épaules. Disons qu'il avait été franc malgré la difficulté à se contrôler dans la situation où ils étaient. «C'est pas une question d'être assez bien ou pas, arrête tu le sais très bien !» Dit il en haussant les sourcils, c'était le truc des filles pour vous faire flancher ça. «Attend... Je t'ai embrassé ? Non... TU m'as embrassé, et je t'ai rien fait espérer du tout, je nous ai stoppé pour pas faire de conneries pour éviter justement que tu espères quoi que se soit...» Dit il bien plus sèchement que ce qu'il aurait cru. Non mais assumer quand il avait merdé, ça pas de problèmes mais hors de question d'assumer une chose qu'il n'avait pas commise. «Que tu me dises que Michel-Ange t'as fait espérer je dis pas mais moi jamais !» Dit il, venant de perdre toute envie de manger sa glace.

Ses yeux se posèrent sur elle et là, la phrase de trop non mais... Il en avait d'autres, elle n'avait pas besoin de le savoir même si non il n'avait eu personne d'autre depuis leur dérapage. Il était prêt à lui répondre lorsque la suite le scia sur place. «Non, tu ne m'aimes pas, il y a encore moins de trois mois de ça tu étais encore amoureuse de mon frère, tu reportes seulement cet amour sur moi, tu te rends pas compte...» Dit il en s'arrêtant à côté d'elle. Sur le principe, ça pourrait être vrai. Même si en toute honnêteté, lorsqu'elle lui avait dit ça, son coeur s'était arrêté et qu'il avait failli échapper sa glace par terre. «Je te l'ai jamais caché, j'ai jamais rien ressenti, ni pour une fille, ni pour un garçon, alors si pour l'avoir dans mon lit mais pas plus et je voulais te protéger de ça justement, c'est pour ça que... Que j'ai tout stoppé baby...» Le baby apaiserait surement les tensions et ferait surement mieux passer la pilule s'il ne se retrouvait pas avec son cône de glace dans le trou de son nez.

Prépare toi à courir, tu vas te faire défoncer mon vieux Grimm.

KoalaVolant
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you take my breath away. ft. @léonard grimm


tu jurerais d'entendre ton cœur se briser à chaque fois qu'il a fini par ouvrir la bouche. à chaque fois qu'il a usé de ses mots durs pour casser tout espoir que tu essayais de faire naître.
tu aimerais mentir, et lui dire qu'il a raison. te protéger le cœur et l'âme d'un mal qui semble davantage te ronger.
tu aurais espéré une remise en question, un peu de sentiment qui viendrait naître au creux de son sein plutôt qu'aux creux de ses reins. mais même ce schéma là semble biaisé par une non réciprocité qui te brise.
oui, tu es brisée. la peur n'a plus d'effet sur toi, depuis que tu as tout avoué à son cadet... tu es juste déçue de l'image qu'il a de toi. déçue qu'il pense pour toi, et qu'il croit même mieux savoir ce que tu ressens que toi.
oui, tu as encore beaucoup à apprendre sur les sentiments, sur le jeu et le poids des mots, mais as-tu pour autant besoin de lui pour connaître les mots qui planent sur tes sentiments ?
non, car si tu as un sentiment bien connu, c'est l'amour. et ce que tu ressens pour lui est unique, et surtout vrai.
un instant, tu te demandes même comment tu peux bien faire pour aimer un mufle pareil. il ne perd pas une occasion de te mettre dans les dents que tu étais folle de michel-ange et ça t'énerve qu'il l'utilise contre toi.
tu aimerais lui jeter ta glace dans le nez et partir en furie. mais tu as une dignité, une décence et surtout un honneur. « je ne te permets pas de penser pour moi. » ni de réfléchir, ni même de prendre ces décisions à ta place. « je sais parfaitement ce que je ressens, et j'en ai pleinement conscience. » à ton grand regret sur l'instant. « je vais me réexpliquer, et ce sera la dernière fois. » que tu dis en prenant le temps de déguster ta glace en reprenant la marche. « je n'ai pas aimé michel-ange mais une image que je me suis faite de lui. une erreur de ma part qui m'a jetée dans une illusion pendant des années, le retour à la réalité a été brutale mais bénéfique. » tu pèses tes mots, tentes de ne pas t'énerver. « à mon grand désarroi, l'amour que j'ai pour toi est tout sauf une illusion. tu as beau jouer aux idiots, je t'aime quand même. » et c'est surement le plus dur.
d'être faible et de ne pas résister à ses assauts.
ton seul succès est de ne pas pleurer, de croire encore à l'espoir jusqu'à ce qu'il finisse par achever tout ce qui se créait dans ton cœur. « ne m'appelle pas baby. » que tu coupes net en jetant la glace à moitié terminée au sol de colère. « ne te rends-tu pas compte des mensonges que tu dis ? » tu pointes sur lui un doigt accusateur alors que tu te rapproches dangereusement de lui, ta poitrine collé à son buste, tes yeux dans les siens. « je l'ai vue cette flamme dans ton regard, léonard. et ce n'était pas que pour un soir... avoue que tu as déjà pensé à nous. avoue que là, maintenant... » et ton souffle lui caresse les lèvres, tes yeux se perdent sur le dessin de ces dernières avant de retomber dans son regard ténébreux. « tu veux m'embrasser. » tes mains se faufilent le long de ses côtes, tes lèvres effleurent son menton et tu le relâches aussitôt avant de t'accroupir pour ramasser ta glace et la faire disparaitre d'un coup de baguette magique. « quel gâchis. » tu t'époussettes les mains sur ta robe avant de reporter ton attention sur lui. « je ne lâcherai pas l'affaire, léonard. » et tu lèves un sourcil. « car si tu n'éprouvais rien, tu ne ferais pas attention à quoi que ce soit. on aurait eu notre nuit ensemble et basta. » tes émeraudes se veulent enjôleuses et tu souris. « tu t'inquiètes de mes sentiments, et moi je te les donne clairement. effrayant, oui. à toi d'être honnête, maintenant. » car ta mère a raison, tu le sais... même si ton assurance est mise à mal par la sienne.

l'issue de votre histoire n'est pas celle que tu espérais.
un simple baiser pourrait tout réparer.
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T'as fait le con, tu vas ramasser @Alycia McWood  


TW : Paroles vulgaires, sexuelles et déplacées à la fin du rp.

La conversation allait partir en sucette. Il le sentait, il le savait, il voyait bien comment elle se contenait lorsqu'elle lui parlait, complètement différente de d'habitude et puis elle s'était mise sur son trente et un, très belle, comme habituellement mais encore plus diront le. Il l'avait bien remarqué. Il l'écouta parler en soupirant. Il écoutait d'une oreille, quoi qu'il en soit, elle avait embrassé Michel-Ange, elle avait couché avec Lyvan, oui ça il le savait depuis qu'il avait reçu le hibou de la brune et clairement ça l'avait rendu fou.
Pourquoi fou ? La question était inutile, il ne savait pas, il avait prétexté avoir besoin d'aller au petit coin pour aider à prendre sur lui. Il n'avait jamais su ça. Son pote, son frère, tout le monde avait touché à Alycia et personne ne lui disait jamais rien. Il était furax à ce propos, finalement ce n'était qu'une amie elle faisait bien ce qu'elle voulait. Pffff.

Il la regardait mais finalement il était saoulé par la situation et les reproches. Ne m'appelle pas baby, elle était bien bonne celle là. «Quand je t'appelle pas baby ça va pas et quand je t'appelle comme ça, ça va pas non plus, je t'appellerais plus du tout comme ça au moins on sera fixé sur ce que tu préfères !» Dit il avec froideur en jetant sa glace dans la poubelle qui lui faisait face et en croisant les bras contrariés.

Des mensonges, elle était bonne celle là, quels mensonges, elle essayait de se rassurer avec un tissu de paroles qu'elle jugeait vrai mais même lui ne savait rien de ce qu'il pouvait ressentir. Lorsqu'elle rapprocha son corps du sien, Léo recula et se retrouva plaqué contre le mur par la brune. Ses yeux se baissèrent sans le vouloir sur sa poitrine en évidence contre lui et il releva la tête illico presto sans respirer. Sa respiration devient saccadée lorsqu'elle s'approche de ses lèvres, mais qu'est-ce qu'elle fait encore ? Il la laissa dire sans répondre. En effet il avait envie de l'embrasser et de la mettre dans son lit mais c'est tout.

Il sent cruellement qu'elle a raison et lorsqu'elle finit par se baisser, il écarquille les yeux, ayant eu peur un instant de ce qu'elle allait faire devant tout le monde. «Ok, très bien bah allons s'envoyer en l'air dans un recoin de quelque part, tu seras triste car tu as des sentiments pour moi, j'aurai tiré un coup, je serai content et voilà !» Dit il en la prenant par la main pour aller dans une ruelle un peu plus loin. C'était complètement inconscient mais après tout si c'était comme ça qu'elle pouvait comprendre. «Je ne fais pas l'amour Alycia, je baise, je m'envoie en l'air, je prends mon pied et c'est tout !» Dit il après l'avoir plaqué contre le mur frais de la ruelle étroite donnant sur une cours d'un appartement.

Prépare toi à courir, tu vas te faire défoncer mon vieux Grimm.

KoalaVolant
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you take my breath away. ft. @léonard grimm

tw : langage vulgaire, sexe.



tu reçois une énième claque. ras le bol de devoir supporter ces tissus de mensonges et ces humeurs en dents de scie.
tu regrettes d'avoir voulu essayer de te rapprocher de lui autrement que d'un simple ami. tout était plus simple avant, tout était bien plus facile à gérer que de devoir te battre constamment pour lui ouvrir les yeux.
tu as peur, alycia. peur de ce qu'il pourrait davantage briser, mais tu insistes tellement que tu en viens à réveiller chez lui ce que tu détestais le voir devenir. l'impulsif qui répond agressivement. tu t'en veux de faire ressortir de lui que le meilleur, et tu te rends compte que tu n'es finalement pas faite pour lui... que tu détruits tout sur ton passage jusqu'à même votre amitié.
si forte, si douce... et tu appréciais passer du temps avec lui et lyvan, l'impression d'avoir un clan, des amis.
depuis que vous vous êtes éloignés, tu as tout perdu... jusqu'à même le contact avec lyvan, et tu y remédieras. tu te le jures... peu importe votre passif. d'ailleurs, fallait-il l'avouer à léonard ?

quand ta glace disparaît et que tu provoques une énième fois léonard, tu sens ta main être tirée et tu t'échappes dans une ruelle sombre sans passage.
pourtant tu entends la rumeur des conversations qui s'élèvent au loin, tu as peur d'être surprise et en même temps cette adrénaline te rend vivante. une étrange sensation qui fait naître les papillons au creux de ton ventre... tant pis si tu n'es qu'un nom sur une liste trop longue. tant pis si tu passes après trop de monde.
tu as toujours eu envie de lui, encore plus maintenant. cette colère qui vous a engorgé vous rend fous, l'un et l'autre... et cette ivresse te rend incapable de juger rationnellement. « alors baise moi. » que tu chuchotes quand ton dos rencontre la pierre froide de la ruelle.
ce n'était pas dans ton habitude de parler si crument. ni ton habitude de te laisser aller dans une allée sombre en public.
tu manques de jugement et de discernement, mais ta colère est si grande, ta peine si douloureuse que tu es prête à tout foutre en l'air juste pour avoir le dernier mot.
juste pour pouvoir toucher ses lèvres encore une fois.

d'un geste lent, tu fais tomber la veste à paillette et t'accroches à son cou, en posant fiévreusement tes lèvres contre les siennes avant de glisser ta langue à la rencontre de la sienne et de vous apprendre à nouveau.
tu sens ton souffle se saccader, ta respiration manquer alors que tes yeux se ferment doucement quand le baiser se prolonge. tes mains s'agrippent à ses cheveux alors que ton cœur cogne durement contre tes seins.
tu as rêvé de cet instant un nombre incalculable de fois et tu finis par te laisser aller. tant pis si ce n'est qu'une fois, tant pis si c'est qu'un nom sur une liste... pourquoi serait-ce mal de se faire plaisir ?
mais tu comptes bien y mettre ton emprunte. le marquer au fer blanc sur la peau... et ce lien ne fera que révéler cette vérité que tu espères.
il la verra forcément, tu ne seras pas comme les autres, n'est-ce pas ?
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T'as fait le con, tu vas ramasser @Alycia McWood  


TW : Paroles vulgaires, sexuelles et déplacées.

Ce caractère tant Serpentard qui te ronge souvent, cette impulsivité, cette fougue, là c'est trop et la conduire dans cette ruelle, lui parler ainsi, arriver à la faire réagir que le Léo qu'elle connait n'est pas que comme elle le connait doux et attentionné et la faire réagir. Cependant, c'est elle qui le fait réagir, les paroles qu'elle lâche le laisse ébahi. Alors baise moi. Ce n'est pas le langage qu'elle utilise habituellement, ce n'est pas la Aly qu'il connait. Son coeur s'emballe car il en a envi plus qu'il n'oserait se l'admettre et pourtant une petite voix en lui, crie si fort LYVAN ! MICHEL-ANCHE ! Il tente alors de les chasser lorsqu'elle laisse tomber le surplus de vêtements, laissant sa robe englober ses seins. Mon dieu qu'elle est belle putin. Il se laisse alors envahir par ses lèvres, sa langue se mélangeant à la tienne, la plaquant un peu plus contre le mur de pierre, posant ses mains fermes sous ses fesses.

Mais non, son cerveau ne le lâche pas, il lui hurle si fort ce qui l'a rendu hystérique aujourd'hui. LYVAN et ALYCIA. «Tu comptes me dire quand que t'as couché avec Lyvan, avant ou après que je te baise pour faire la comparaison ?!» Il s'éloigna d'elle, se reculant dos contre le mur d'en face. La ruelle était étroite et ils n'étaient donc pas éloignés l'un de l'autre. Ca lui faisait mal de lui dire ça mais il avait besoin de savoir pourquoi elle lui avait caché ces deux choses. Michel-Ange et Lyvan.

D'un côté ce qu'il préférait chez elle c'était le fait qu'elle ai eu qu'un moldu dans sa vie, mais petit à petit, cette petite chose fragile n'était plus. En vrai, il n'avait jamais eu de conquête qui n'avait pas eu de relations, sauf un mec, qui n'avait eu que des filles avant lui. Mais c'était encore différent. Pourquoi était-il énervé et fou de rage d'apprendre qu'elle avait couché avec son pote ? Qu'elle avait embrassé son frère si en effet ce n'était qu'une amie ou qu'un coup d'un soir ?

Le mauvais côté du Grimm en lui était en train de ressortir et il n'aimait pas forcément ce côté de lui malheureusement, c'était lui, son côté jaloux, possessif, tant en amitié qu'en conquête, pourtant elle n'était pas une conquête mais que ses potes ou son frère sortent ou autre avec son "amie", non ça il n'aimait pas.

Prépare toi à courir, tu vas te faire défoncer mon vieux Grimm.

KoalaVolant
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you take my breath away. ft. @léonard grimm

tw : langage vulgaire, sexe.


tu n'en reviens pas que l'on puisse encore te reprocher de vivre ta vie sans pour autant prendre en considération que tu es une belle femme de vingt-trois ans avec un certain vécu.
oui, il n'y a pas grand monde sur la liste contrairement à lui, mais il y figure bien le nom de lyvan juste après marc. et alors ?
la colère vient à l'étrangler. tu en as marre d'être jugée sur ton passé, marre d'être trimballée comme un sac que l'on jette contre le mur quand on en a ras le bol.
tu n'es pas un objet et tu n'as pas à te justifier. c'est ce qui gronde dans ta poitrine quand il te repousse, du moins se repousse.

la frustration se manifeste par un râle sourd quand il s'éloigne pour encore te balancer sa méchanceté au visage.
les larmes ne tardent pas à bercer tes yeux, c'en est trop. tu n'en peux plus... il va t'avoir à l'usure. une telle usure que tu perds pieds, ta colère t'étrangle encore et tu ne peux plus la contenir. « putain que tu m'énerves, léonard ! » que tu grondes, les mots résonnants contre les parois étroites de la ruelle. « qu'est-ce que ça peut foutre ??? » les perles salées glissent finalement sur tes joues rougies par une honte que tu ne devrais pas avoir. « c'était il y a des années ! pourquoi je te le raconterai ! c'est privé ! et c'était sans sentiment ! comme ce que tu t'apprêtais à faire maintenant ! » tu pourrais presque cracher tes mots mais tu te contiens encore, en fille de bonne famille que tu es. digne et le dos droit malgré tes larmes de colère. « j'en ai marre léonard, de justifier mon passé ! j'ai eu le moldu marc et lyvan, oui ! j'ai embrassé michel-ange parce qu'il m'a embrassé ! une seule fois ! » et tu viens taper du poing contre son torse, à bout de force, la voix enrouée par tes cris. « mais bordel, c'est toi que j'aime. » et tes larmes viennent finir de s'écraser sur le sol.

ta détresse est palpable autant que ta résiliation, tu n'en peux plus de te battre constamment contre ses démons et les tiens.
si tu arrives à accepter son nombre de conquêtes, il devrait accepter les tiennes, peu importe qui elles sont.
tu as une double peine, il est intéressé par tout ce qui bouge... quand toi, tu ne vois que par lui. tu as beau prouver ton amour de toutes les manières possibles, il ne semble pas vouloir le comprendre. pourtant, tu donnerais le monde à cet homme.
tu viendrais même à t'excuser d'avoir vécu avant lui... tu t'excuserais presque de ne pas l'avoir attendu. mais alycia, tu dois te rendre compte que malgré tes sentiments, il doit t'accepter entièrement. aucune concession ne sera faite. « veux-tu aussi que je te dise quand j'ai fait ma première fois ? quand j'ai eu mes règles pour la première fois ? quand j'ai vu un garçon nu pour la première fois ? qui j'ai embrassé en soirée pour un jeu... il y a même eu apolline une fois. » que tu dis en posant ton front sur son torse, faible et le ton cassé mais bas.
les cris ont laissé place à un désespoir réel. « je devrais sans doute partir... » tu la brises, léonard. tu la tues à petit feu. « c'était une mauvaise idée... j'ai bien compris... que tu m'en veux pour tout et rien. » que tu la rejettes pour tout et rien. « pourtant, c'est pas normal que tu sois si jaloux... » et tu te redresses en le regardant une dernière fois dans les yeux. « je t'aime. » et tu n'attends rien, un léger sourire avant de tourner doucement les talons.
ce parfum de passion/chocolat encore sur les lèvres.
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T'as fait le con, tu vas ramasser @Alycia McWood  


TW : Paroles vulgaires, sexuelles et déplacées.

Et voilà c'était trop tard, c'était sorti de sa bouche, il savait à l'instant où il l'avait dit qu'il était le plus con de la terre, le plus jaloux et possessif alors qu'elle ne lui devait rien, c'était surement il y a longtemps, mais il avait besoin de le savoir finalement, de comprendre. C'était bizarre car d'un côté il n'éprouvait rien et d'un autre il voulait qu'elle ne soit qu'à lui.
Il détestait lorsqu'elle l'appelait Léonard mais il savait qu'au fond s'était mérité. Qu'est-ce que ça pouvait bien lui foutre ? Oui, bah il s'intéresse c'est tout. Il leva les yeux au ciel alors qu'elle était en train de lui hurler dessus. Heureusement qu'ils étaient seuls dans la ruelle. Son cœur se serra si fort lorsqu'il la vit pleurer, des larmes dansant sur ces joues, il y a quelques semaines de ça, il l'aurait prises dans ses bras, essuyant ses larmes d'un revers de pouce, sentant son parfum contre lui mais là, il reste plaqué contre le mur froid, il n'arrive même pas à bouger, finalement c'était peut être mieux ainsi.

C'était il y a des années, bon tant mieux. C'était privé, une claque de plein fouet vint lui caresser le creux de l'estomac. Comme ce qu'il s'apprêtait à faire maintenant, oui bon bah ça va hein, on va pas le répéter cent fois. Lorsqu'elle se rapprocha, il prit peur, il ne l'avait jamais vu ainsi et entre vous et moi, il n'avait plus du tout envie à cet instant précis, il se sentait tellement con, méchant, cruel avec elle. Etre méchant pour la faire fuir, la protéger, ce n'était pas la bonne solution. Pourtant lui hurler qu'elle avait couché avec Lyvan lui avait fait tant de bien que le mal qu'il avait eu en l'apprenant quelques heures plus tôt. Le coup contre le torse de Léo ne lui fit pas mal non mais ses mots si, il voulait pouvoir la protéger comme il l'avait toujours fait contre Michel-Ange qu'il avait traité d'abruti mais finalement il n'était peut-être pas bien différent de son frère.

Non il n'avait pas besoin de savoir tout ça, mais il l'écouta parler sans broncher.  @Apolline Dunn, la seule qu'il ne toucherait pas en plus de la française de Michel-Ange. C'était les plates bandes de son frère. Il regarda ses cheveux, sentant l'odeur de son parfum qu'il reconnaitrait parmi tant d'autres lorsqu'elle posa son front contre lui. Il n'arrivait même pas à bouger ni à dire quoi que se soit. Il la laissait parler, pleurer, tel un sombre crétin mais que dire de toutes façons. Lui dire que non elle ne devait pas partir mais pour lui dire quoi d'autres ? Même lui il ne savait pas. Ce n'était pas normal qu'il soit si jaloux ? Il l'avait toujours été, pourquoi ça changerait ?
Après tout ce qu'il lui avait fait, elle arrivait toujours à le regarder dans les yeux en lui disant qu'elle l'aimait ? Son cœur lui faisait mal tant il battait fort dans sa poitrine.

Il la regarda partir avec l'envie de lui crier attends... Mais attend quoi ? Attend moi ? Laisse moi du temps ? T'es belle... Non, à la place il ne dit rien et s'accroupi dans la ruelle en la laissant partir. Il ne pouvait pas rentrer dans cet état, il faudrait qu'il reprenne ses esprits avant de retrouver Lyvan chez lui.

Prépare toi à courir, tu vas te faire défoncer mon vieux Grimm.

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