Arthwr où les neufs vies du cracmol

Identité : Arthwr Cynfeirdd Se prononce pour vous autre analphabètes Arthur Kanverth

Date et Lieu de naissance : Vingt-huit ans, je veux dire vingt huit ans que j’habite ici à plein à Poudlard. À cela, il faut y rajouter cinq ans d’études pour les Aspics et encore dix-huit de plus que je passais au manoir familiale avant mon entrée officiel dans le monde magique et ma plus grande honte sans oublier quatorze années sabbatique dans le monde moldu durant les quels je disparus complètement du monde des sorciers.

Statut civil : célibataire. Dépense tout son salaire en une fois dans un bordel réputé du marché au troll.

Scolarité : gryffondor

Profession : Professeur d'étude des moldus

Baguette magique : Une épée d'un mètre vingt environ surnommé Excalibur. Epée emprunté au manoir familiale, à défaut d'hériter d'une baguette.

Famille : Je suis la honte de ma famille. Un cracmol issue d'une famille de la haute société. J'ai tout fait pour que ma présence ne contrarie par leurs plans.

Hérédité du sang : Famille de sang pur d'après les registresdu ministère, mais ne serais je pas la preuve que les Cynfeirdd sont bel et bien des sangs mêlé?

Particularité magique :Cracmol et honte de l'être

Caractère : Je suis quelqu’un que la vie a aigri avec le temps. Je vis la honte d’être un cracmol issue d’une famille de sang pur. Un sort qui a mes yeux est pire que la mort. Mes parents se sont vite désintéressés de moi dès qu’ils eurent appris la nouvelle. Je devins jaloux de mes frères et sœurs qui accaparaient toutes leurs attentions. Le temps n’arrangea rien à l’affaire et je finis même par tourner le dos à ma famille.
Durant mes études à Poudlard, je me réfugiais dans l’autodérision pour me défendre. Je faisais en sorte que les insultes coulent sur moi en me tournant plus encore en ridicule.
Je suis quelqu’un de taciturne avec qui il ne fait pas bon de passer du temps. J’ai toujours essayé de trouver la mort sans succès.
Je ne suis pas quelqu’un de très patient et peux vite devenir colérique si l’on ose encore se moquer de moi aujourd’hui.
Même après la mort de nos parents et malgré leurs tentatives de réconciliation, je les ai itoujours ignorés.
Je ne suis pourtant pas rancunier au point de reporter ma haine contre leurs progénitures à qui j’ai pu enseigner.
j'ai besoin de leurs prouver que je suis tout aussi capable que eux.
Patronus : aucun

Miroir de Risèd : Vaincre un monstre et ramener sa tête à son frère.

Epouvantard : lui même grabataire et ne pouvant plus rien faire de sa vie.

Particularités : Ne s'embête pas à apprendre les noms et prénoms. Appelle tout le monde mon petit, ou autre sobriquet du même genre.

Qui es-tu ? : Archeas faiseur de tarés qui trouve la magie "Has Been"

Faceclaim & Crédits : Charles Dance par moi même

Trigger Warnings : violence, insulte, alcool drogue, autre? Demandez si vous avez un doutes.

Comment avez-vous connu le forum? : en me dédoublant pour vous donner deux fois plus d'amour

Un petit plus ? :

On a plusieurs vies. La première, c’est la plus douce, la plus simple, tu n’as rien à faire, tout te tombe sous la main et arrive dans ton assiette. On peut jouir de l’innocence de l’enfance, de l’amour de sa mère et de son père. Elle commence à notre premier cri et se termine que bien plus tard. Pour nous autre sorciers de sang pur, elle se finit quand l’on commence à apprendre la magie, quand on rentre dans une école de sorcier. Ce que j’ai fait durant ces dix-huit années de vie ? Pas-grand-chose comme tous les enfants, je suppose. Je me suis battu avec mon frère. On jouait au monstre et au sorcier avec des épées en bois. On écoutait le grand-père nous raconter ses épopées d’un temps passé. On suivait des cours avec des précepteurs engagés par nos parents. Bref, comme je le disais, on n’avait pas grand-chose à faire à part grandir, mais toute bonne chose avait une fin et aussi agréable que fut cette période, elle s’acheva pour laisser place à ma deuxième vie.

Cette vie-là, ma vie de jeune sorcier s’achevât aussi vite qu’elle avait commencé. Je n’étais pas un sorcier comme mes parents mes frères et mes sœurs. J’étais un cracmol. Imaginer la honte d’être cracmol alors que j’étais un sang pur. Je découvris ma condition très rapidement durant ma première année à Poudlard. Au bout de quelques cours de sortilège, la terrible nouvelle était tombée. J’étais dénué de magie, je serais la risée de la famille aux prochaines vacances. Comme je le pensais, ma condition fit le tour de l’école et tomba dans l’oreille de mes frangins. Je ne pouvais plus me cacher.

C’est ainsi que ma troisième vie commença. Cracmol j’étais, cracmol je serais. Au tant m’habituer à tous ces sobriquets dont on allait m’affubler pendant ces interminables années que je devrais passer ici au sein de ce château qu’était Poudlard. Je finis même par me tourner en ridicule pour couper l’herbe sous le pied de ceux qui voulait m’humilier. Je finis même par jouir d’une certaine réputation de comique. Je passais tout de même mes Buses et réussis même à avoir mes Aspics haut la main contre toute attente. Et c’est comme ça que cette vie s’achevât ;

La quatrième commença par une décision pouvant paraître stupide, mais je ne pouvais plus accepter ces regards de ma famille que je trouvais accusateur. Comme si j’avais fait exprès d’être cracmol et de ne pouvoir perpétuer la tradition familiale de chasseur de monstre. Je pris le choix de laisser le monde magique derrière moi et rejoindre celui des moldus. Pendants, plusieurs années, je parcourus le monde m’initiant à divers pratique moldus plus ou moins dangereuse. Je pris des cours de AMHE et participas avec grand plaisir à quelques tournois de Béhourd. Je fis même le tour des sports extrême dans l’espoir d’y trouver la mort par accident, mais Morganne semblait avoir d’autre projet pour moi.

Ma cinquième vie fut peut-être tout aussi courte que la deuxième. La déception bien que différente en fut toute aussi douloureuse, et même pire. Tomber amoureux d’une moldu sans pouvoir lui révéler sa vraie nature. La perdre, car elle savait que je lui cachais des choses, la perdre, car je ne voulais qu'elle rencontre mes parents et devoir affronter leurs regards, la perdre pour s’être vu refuser le droit de la ramener dans le monde magique.

Ma sixième vie débuta avec un groupe de pote sorcier et cracmol motard. Les chevaliers de l’apocalypse qu’on aimait s’appeler. On a fait les quatre cents coups ensemble oubliant le reste du monde. L’expression tous pour et un pour tous ne pouvaient mieux nous définir. On a voyagé a travers les continents bu les meilleurs alcools et gouté au de chaque pays. Avant que nos pas ne nous séparent et que solitude revienne me tenir compagnie.

Ma septième vie débuta avec un type étrange et un fol espoir. Il existerait possiblement une chance que je trouve l’usage de la magie. Il me fallait simplement le suivre. Aveuglé par une telle opportunité, je n’hésitais pas et je finis par rejoindre le projet Thanatos. Ils voulaient de l’argent et j’avais toujours accès aux fonds de ma famille.L'utilisation de la magie a t’elle un coûts?

Ironiquement, ma huitième vie débuta par la mort de ma mère. Je suivis la cérémonie de loin sans me mélanger à tous ceux venus se recueillir Depuis Poudlard c’était la première fois que je revoyais ma famille. Désir de me poser et d’arrêter mes conneries ou simplement envie de les voir plus souvent. Je décidais finalement de prendre un poste à plein à poudlard me permettant cette proximité tout en pouvant prétexter d’être trop occupé pour accepter leurs invitations.

Ma neuvième vie et peut être la dernière commence maintenant avec ce besoin de rédemption, de leur montrer que moi aussi, je peux chasser des monstres. Avec ma vieille épée, je suis bien décidé à reformer les quatre chevaliers pour une dernière chevauchée, la plus dangereuse qui soit : tuer un des monstres rodant dans la forêt interdite de Poudlard et le ramener à mon frère pour lui prouver que je ne suis pas un moins-que-rien.