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panne d'ascenseur - ft Elijah
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Cléophée & Elijah - Mai 2022
Le mois de mai avait été peu mouvementé pour la faction M de la BPM, mais cela ne voulait pas dire que l’on se tournait les pouces. L’entrainement restait important quand personne n’avait besoin que l’on intervienne. Aujourd’hui, en cette fin de mois, je revenais d’une journée beaucoup plus physique que l’ordinaire. Mes pieds avaient l’air enflés pour le coup, mais il fallait encore tenir bon, je demanderais un massage à Samuel en rentrant, il me le doit bien, je suis son épouse adorée. Il restait encore un dernier rapport à terminer avant d’être tranquille pour le week-end. Normalement, j’avais mon samedi et dimanche, sauf en cas d’urgence. C’était une bonne chose, nous devions aller diner chez des amis.
Je marchais doucement dans l’atrium du ministère de la magie, saluant les personnes aux passages, bavardant par moments avec certains. On parlait de tous et de rien, des enfants, me demandant comment se portait mon enfant depuis la mort de son père. Détournant le regard subitement face à cela, après tous, mon mari actuel est le véritable père de Liam, seulement personne ne le sait. Une fois au niveau de l’ascenseur, je rentre dedans alors qu’une personne s'y trouve aussi. Je salue d’un signe de tête le jeune homme. « Bonjour Jordan, journée tranquille ? » Les portes se ferment lentement et l’ascenseur comment à bouger pour se rendre au département de la justice magique, mais d’un coup, tout se stoppe et les lumières s’éteignent également.
« Vraiment ? Maintenant ? » murmurais-je en m’énervant un peu contre la paroi. Je n’étais pas d’humeur à me retrouver coincé dans un ascenseur. Je ne suis pas claustrophobe, loin de là, ou alors peut-être que si . C’est oppressant de se retrouver coincé entre 4 murs sans issue de secours. On ne peut pas transplaner, on ne peut pas utiliser la magie pour le faire repartir, pour cela il faut être un mécanicien magique certainement. Il fallait se montrer patient, mais là, maintenant . Je ne suis pas vraiment patiente, laissez-moi sortir. Inspire, expire, inspire, expire, il fallait que je reprenne mon souffle et surtout que je ne panique pas devant le tireur d’élite Jordan qui se trouvait lui aussi coincé dans cet endroit pour le moins exigu. « Pas de panique. » fis-je d’une voix très basse. Je me parlais plus à moi-même pour le coup. « Est-il possible d’envoyer un patronus de cet endroit ? » demandais-je à mon collègue.
Je marchais doucement dans l’atrium du ministère de la magie, saluant les personnes aux passages, bavardant par moments avec certains. On parlait de tous et de rien, des enfants, me demandant comment se portait mon enfant depuis la mort de son père. Détournant le regard subitement face à cela, après tous, mon mari actuel est le véritable père de Liam, seulement personne ne le sait. Une fois au niveau de l’ascenseur, je rentre dedans alors qu’une personne s'y trouve aussi. Je salue d’un signe de tête le jeune homme. « Bonjour Jordan, journée tranquille ? » Les portes se ferment lentement et l’ascenseur comment à bouger pour se rendre au département de la justice magique, mais d’un coup, tout se stoppe et les lumières s’éteignent également.
« Vraiment ? Maintenant ? » murmurais-je en m’énervant un peu contre la paroi. Je n’étais pas d’humeur à me retrouver coincé dans un ascenseur. Je ne suis pas claustrophobe, loin de là, ou alors peut-être que si . C’est oppressant de se retrouver coincé entre 4 murs sans issue de secours. On ne peut pas transplaner, on ne peut pas utiliser la magie pour le faire repartir, pour cela il faut être un mécanicien magique certainement. Il fallait se montrer patient, mais là, maintenant . Je ne suis pas vraiment patiente, laissez-moi sortir. Inspire, expire, inspire, expire, il fallait que je reprenne mon souffle et surtout que je ne panique pas devant le tireur d’élite Jordan qui se trouvait lui aussi coincé dans cet endroit pour le moins exigu. « Pas de panique. » fis-je d’une voix très basse. Je me parlais plus à moi-même pour le coup. « Est-il possible d’envoyer un patronus de cet endroit ? » demandais-je à mon collègue.
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Panne de
SANHEFORSEUR
Cela faisait une bonne heure que le dossier sur lequel bosser Elijah aurait dût être clos. Seulement il n’arrivait pas à se concentré. Rien à y faire. Même un peu de musique ne l’aider pas à se fixer sur son travail. Il y avait « quelque chose » qui le détourner toujours de son objectifs. Au bout de quelque minute le calme semblait être enfin revenu. Le jeune homme attrapa sa plume, ravi de pouvoir retrouver son sérieux. Il était beaucoup trop optimiste sur le coup ! Il observa un hibou vers la fenêtre qui vola jusqu’à lui. Il décrocha la lettre qu’il tenait entre ses pattes et sans même l’ouvrir il la déposa sur le bureau. Là où se trouvait un petit tas de lettre. Elles étaient toute du même destinataire : @Amy Jordan .
Il n’avait ouvert que les trois premières. Sa petite sœur, en internat à Poudlard, devait venir manger avec lui et ses parents ce soir même. Elijah avait eu cette idée afin de l’encouragé pour ses B.U.S.E.S , craignant qu’elle les prennent à la légère. Etant donné sa scolarité, cela faisait un petit moment qu’ils ne s’étaient pas vu et sa petite sœur ne pouvait de toute évidence pas cacher sa joie. Après trois lettres d’enthousiasme il avait renoncé à l’idée d’ouvrir les autres. Voilà ce qui empêcher Elijah de ce concentré : l’arrivé à tout moment d’une nouvelle lettre. Il finit par attraper un parchemin et écrire.
« Je suis content aussi Amy mais je travaille. A ce soir. » Il referma le parchemin et le glissa dans la lettre. Il s’apprêter à l’accrocher au hibou qui attendait toujours, mais il poussa un soupir. Il était bien trop dur avec elle. Il déplia le parchemin et rajouta. « ton Jaja. Ps : tu m’a manqué aussi » . Cette fois il replia la lettre et la confia à l’oiseau. Il avait besoin de prendre un peu l’air avant de se remettre à travailler. Elijah se dirigea alors vers l’ascenseur runique. Il se retrouva à l’intérieur avec Madame More.
« Bonjour Lieutenant. Vous vous portait bien ? » Demanda-t-il poliment. Les runes contre les parois commencèrent alors à disparaitre. « Ce n’est pas bon signe ça. » Le puissant sortilège qui permettait à l’ascenseur de descendre était souvent vérifier. C’était assez rare, voir du jamais vu, qu’il tombe en panne. Si Elie était juste perplexe mais restait calme, ça ne semblait pas être le cas de madame More.
« Vous allez bien lieutenant ? » demanda-t-il, prévenant. « Est-il possible d’envoyer un patronus de cet endroit ? » « Je crois qu'en magie rien n'est impossible » dit-il en la couvant du regard, elle et son ventre arrondis. Elijah avait ce chic pour se soucier de tout le monde, même de ceux dont il n’était pas proche. « Peut-être qu’il va redémarrer ? » dit-il, toujours optimiste.
Il n’avait ouvert que les trois premières. Sa petite sœur, en internat à Poudlard, devait venir manger avec lui et ses parents ce soir même. Elijah avait eu cette idée afin de l’encouragé pour ses B.U.S.E.S , craignant qu’elle les prennent à la légère. Etant donné sa scolarité, cela faisait un petit moment qu’ils ne s’étaient pas vu et sa petite sœur ne pouvait de toute évidence pas cacher sa joie. Après trois lettres d’enthousiasme il avait renoncé à l’idée d’ouvrir les autres. Voilà ce qui empêcher Elijah de ce concentré : l’arrivé à tout moment d’une nouvelle lettre. Il finit par attraper un parchemin et écrire.
« Je suis content aussi Amy mais je travaille. A ce soir. » Il referma le parchemin et le glissa dans la lettre. Il s’apprêter à l’accrocher au hibou qui attendait toujours, mais il poussa un soupir. Il était bien trop dur avec elle. Il déplia le parchemin et rajouta. « ton Jaja. Ps : tu m’a manqué aussi » . Cette fois il replia la lettre et la confia à l’oiseau. Il avait besoin de prendre un peu l’air avant de se remettre à travailler. Elijah se dirigea alors vers l’ascenseur runique. Il se retrouva à l’intérieur avec Madame More.
« Bonjour Lieutenant. Vous vous portait bien ? » Demanda-t-il poliment. Les runes contre les parois commencèrent alors à disparaitre. « Ce n’est pas bon signe ça. » Le puissant sortilège qui permettait à l’ascenseur de descendre était souvent vérifier. C’était assez rare, voir du jamais vu, qu’il tombe en panne. Si Elie était juste perplexe mais restait calme, ça ne semblait pas être le cas de madame More.
« Vous allez bien lieutenant ? » demanda-t-il, prévenant. « Est-il possible d’envoyer un patronus de cet endroit ? » « Je crois qu'en magie rien n'est impossible » dit-il en la couvant du regard, elle et son ventre arrondis. Elijah avait ce chic pour se soucier de tout le monde, même de ceux dont il n’était pas proche. « Peut-être qu’il va redémarrer ? » dit-il, toujours optimiste.
Elijah & @Cléophée More
Pando
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Cléophée & Elijah - Mai 2022
Quelques minutes, avant le drame de la stupide panne d’ascenseur, j’avais salué le jeune tireur d’élite prometteur du nom d'Elijah Jordan auquel il m’avait répondu et demandé comment j’allais. Esquivait-il ma question ? Avait-il passé une journée mouvementé ? Peut-être ne voulait-il simplement pas en parler. « Je me porte bien, merci de vous en acquérir. » lui répondis-je alors que je me posais un peu contre le mur histoire de me reposer un peu. Comme si le mur allait me maintenir debout si mes pieds se dérobaient. Absurde, cela j’en conviens, mais j’avais l’impression que c’était une petite aide bienvenue.
Nous avions à peine commencé notre petite aventure dans l’élévateur que celui-ci décida qu’il était temps pour faire une petite pause. Les runes magiques qui permettaient son fonctionnement avaient toutes disparues doucement les unes après les autres. Mes yeux parcouraient toutes les parois de cet ascenseur à la recherche d’une solution. Était-ce réellement une panne comme je le prétendais ou bien un incident voulu d’une personne ? De l’une de mes mains, je passais doucement ma main contre les parois avant de me concentrer sur le jeune homme présent avec moi. Je n’avais pas vraiment pris le temps de répondre à sa question que dans ma petite panique j’avais demandée si l’on pourrait envoyer un patronus d’ici.
Il fallait essayer d’en envoyer un, ne serait-ce que pour prévenir une personne qualifie. Ils doivent bien avoir des techniciens de maintenance dans ce ministère. Prenant ma baguette dans ma main droite, je lance le sortilège. « Expecto Patronum. » Un filet argenté se forma pour laisser place à mon magnifique aigle des Célèbes. Je souris en le voyant, avant de lui dire doucement. « Bonjour Lieutenante More, nous sommes coincés avec l’agent Jordan dans l’ascenseur runique du ministère, si vous pouviez résoudre le souci, je vous en saurais gré. » Je vois alors mon patronus s’envoler à travers les lieux. Prions pour qu’il trouve la personne rapidement.
Je me concentre sur mon partenaire de galère avant de faire un léger sourire. « Pour en revenir à votre question, je vais bien assurément, juste un peu trop enfermé à mon gout, pouvez-vous me tenir occupée afin que je ne pense à ses quatre murs et avoir l’impression qu’ils se renferment sur ma personne. » Je terminais par enlever mes chaussures à talons, si nous étions coincé ici un petit moment autant prendre ses aises.
Nous avions à peine commencé notre petite aventure dans l’élévateur que celui-ci décida qu’il était temps pour faire une petite pause. Les runes magiques qui permettaient son fonctionnement avaient toutes disparues doucement les unes après les autres. Mes yeux parcouraient toutes les parois de cet ascenseur à la recherche d’une solution. Était-ce réellement une panne comme je le prétendais ou bien un incident voulu d’une personne ? De l’une de mes mains, je passais doucement ma main contre les parois avant de me concentrer sur le jeune homme présent avec moi. Je n’avais pas vraiment pris le temps de répondre à sa question que dans ma petite panique j’avais demandée si l’on pourrait envoyer un patronus d’ici.
Il fallait essayer d’en envoyer un, ne serait-ce que pour prévenir une personne qualifie. Ils doivent bien avoir des techniciens de maintenance dans ce ministère. Prenant ma baguette dans ma main droite, je lance le sortilège. « Expecto Patronum. » Un filet argenté se forma pour laisser place à mon magnifique aigle des Célèbes. Je souris en le voyant, avant de lui dire doucement. « Bonjour Lieutenante More, nous sommes coincés avec l’agent Jordan dans l’ascenseur runique du ministère, si vous pouviez résoudre le souci, je vous en saurais gré. » Je vois alors mon patronus s’envoler à travers les lieux. Prions pour qu’il trouve la personne rapidement.
Je me concentre sur mon partenaire de galère avant de faire un léger sourire. « Pour en revenir à votre question, je vais bien assurément, juste un peu trop enfermé à mon gout, pouvez-vous me tenir occupée afin que je ne pense à ses quatre murs et avoir l’impression qu’ils se renferment sur ma personne. » Je terminais par enlever mes chaussures à talons, si nous étions coincé ici un petit moment autant prendre ses aises.
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@Cléophée More & Elijah - Mai 2022
Si Elijah d’un naturel tranquille – parfois trop tranquille affirmerait @Lucy Clearwater !- ne semblait pas s’inquiété de la panne de l’ascenseur, son lieutenant semblait plus enclin au stress et à l’anxiété. C’était sans doute dût à son état. Eli n’y connaissait pas grand-chose en matière de grossesse mais il avait l’habitude d’être couvée par sa mère, toujours prompt à prendre soin de lui et de sa sœur. Aussi il n’aurait pas étonnant que Madame More s’inquiète pour son bébé. Il n’est jamais très agréable d’être enfermer quelque part. Elijah prenait son mal en patience, Cléophée, elle, préféré envoyer un patronus. Il sourit en observant l’aigle s’envoler pour transmettre le message, se demandant si comme lui elle avait appartenu autrefois à la maison Serdaigle. Il connaissait très peu de chose la concernant. Elijah était le genre de personne à être très professionnel, il ne serait jamais parmi d’interrogeait sa supérieur sur sa vie priver. D’ailleurs c’est à peine s’il connaissait le nom du mari du Madame More. Sans son ventre arrondis il n’aurait même sans doute jamais su son état civil.
« Bien sûr » répondit-il avec gentillesse alors qu’elle lui expliquait la raison de son stress. « Vous êtes claustrophoebe ? » La réponse était peut-être évidente mais il avait ce chic pour ne pas toujours parler de façon judicieuse. Elijah commença à réfléchir. Comment pourrait-il l’occupé pour quelle pense à autre chose ? « Il pleut aujourd’hui. » Le temps. Le sujet qui synonyme d’ennui et qui tombe quand on ne sait pas quoi dire. Il faut souligner qu’elle n’avait pas de chance, elle n’était pas tombée sur l’homme le plus bavard du monde. Même avec ses proches, Eli ne faisait jamais de grand monologue. Lui il était plutôt du genre à écouter, l’épaule sur laquelle on vient pleurer. Celui qui reste en retrait. Son regard tomba sur son ventre arrondis.
« C’est une fille ou un garçon ? » Là encore il tombait dans les banalités mais c’était déjà un début de conversation. Une seconde il pensa à @Amy Jordan et toute ses lettres. Et s’il était bloqué suffisamment longtemps dans l’ascenseur pour louper le repas ensemble qu’elle attendait tant ? Sa petite sœur avait beau être souvent pot de colle, il l’aimait de tout son cœur et ne voulait pas le lui briser de par son absence.
« Bien sûr » répondit-il avec gentillesse alors qu’elle lui expliquait la raison de son stress. « Vous êtes claustrophoebe ? » La réponse était peut-être évidente mais il avait ce chic pour ne pas toujours parler de façon judicieuse. Elijah commença à réfléchir. Comment pourrait-il l’occupé pour quelle pense à autre chose ? « Il pleut aujourd’hui. » Le temps. Le sujet qui synonyme d’ennui et qui tombe quand on ne sait pas quoi dire. Il faut souligner qu’elle n’avait pas de chance, elle n’était pas tombée sur l’homme le plus bavard du monde. Même avec ses proches, Eli ne faisait jamais de grand monologue. Lui il était plutôt du genre à écouter, l’épaule sur laquelle on vient pleurer. Celui qui reste en retrait. Son regard tomba sur son ventre arrondis.
« C’est une fille ou un garçon ? » Là encore il tombait dans les banalités mais c’était déjà un début de conversation. Une seconde il pensa à @Amy Jordan et toute ses lettres. Et s’il était bloqué suffisamment longtemps dans l’ascenseur pour louper le repas ensemble qu’elle attendait tant ? Sa petite sœur avait beau être souvent pot de colle, il l’aimait de tout son cœur et ne voulait pas le lui briser de par son absence.
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Cléophée & Elijah - Mai 2022
Il fallait que je me montre patiente, le patronus ferait son job dans quelques instants et nous serions délivrés de ce cube magique, espérons simplement qu’il n’est pas susceptible de s’éclater dans les étages en dessous comme les ascenseurs moldus que l’on voit dans certains films. Je souris à mon acolyte de situation quand il affirme que oui, il veut bien m’occuper l’esprit. Je ne m’attendais pas à cette question. Suis-je réellement claustrophobe ? Vais-je affirmer ou non ce semi-vérité ? Il est vrai que je n’aime pas les endroits petits et que cela me rend excessivement nerveuse et que je commence à imaginer le pire. Alors oui, nous pourrions le dire ainsi. « Si on veut, c'est un trouble anxieux il est vrai, mais uniquement sur les petits espaces clos pour ma part. Voyez, je ne ressentirais aucune crainte dans un espace comme la grande salle de Poudlard si nous y étions enfermés. » Mais cet ascenseur en revanche était vraiment petit, totalement l’inverse des salles de Poudlard, ici dans cet espace nous pouvions tenir à 8 maximums il me semble, heureusement nous étions que deux, sinon nous aurions commencé à avoir chaud assez rapidement. Pourvu que la climatisation ne cesse pas non plus, parce que' dessous de ma chemise actuellement je n’ai rien d’autre que mon dessous finement brodé et je n’ai potentiellement pas envie de me retrouver ainsi devant un collègue.
Le voila qui me parle de la météo, sujet hautement banal, mais c’est ma faute, j’ai demandé qu’il me parle de quelques choses pour oublier l’espace fermé. Puis finalement, je n’étais pas au courant du temps qu’il faisait. « Vraiment ? Je n’en avais aucune idée, je passe la plus clair de mon temps dans les bureaux de la BPM en vue de mon état. Puis par les fenêtres magiques c’est un temps magique que l’on ne voit pas le vrai. Je vous remercie donc de cette information, je rentrerais donc par réseau de cheminette ce soir. » lui répondis-je doucement, en réprimant l’envie de rajouter si l’on rentre ce soir.
La conversation dévia sur ma grossesse, j’avais bien remarqué son regard sur mon petit ventre à peine arrondi de deux mois. « Aucune idée, un peu tôt pour le savoir. » lui dis-je avec un sourire avant de rajouter. « Mais dans tous les cas nous avons décidé de garder la surprise. » Nous n’allions tout de même pas parler uniquement de moi . Autant poser quelques questions sur lui. « Et votre sœur comment se porte-t-elle ? J’ai entendu dire qu’elle était à Poufsouffle, excellente maison, j’étais une poufsouffle. » Si lui ne savait certainement pas grand-chose à mon sujet, enfin si maintenant il savait que j’étais enceinte, marié et ancienne poufsouffle. En revanche j’en connaissais assez sur lui pour savoir qu’il avait une sœur, j’avoue que j’aime savoir avec qui je vais sur le terrain généralement.
Le voila qui me parle de la météo, sujet hautement banal, mais c’est ma faute, j’ai demandé qu’il me parle de quelques choses pour oublier l’espace fermé. Puis finalement, je n’étais pas au courant du temps qu’il faisait. « Vraiment ? Je n’en avais aucune idée, je passe la plus clair de mon temps dans les bureaux de la BPM en vue de mon état. Puis par les fenêtres magiques c’est un temps magique que l’on ne voit pas le vrai. Je vous remercie donc de cette information, je rentrerais donc par réseau de cheminette ce soir. » lui répondis-je doucement, en réprimant l’envie de rajouter si l’on rentre ce soir.
La conversation dévia sur ma grossesse, j’avais bien remarqué son regard sur mon petit ventre à peine arrondi de deux mois. « Aucune idée, un peu tôt pour le savoir. » lui dis-je avec un sourire avant de rajouter. « Mais dans tous les cas nous avons décidé de garder la surprise. » Nous n’allions tout de même pas parler uniquement de moi . Autant poser quelques questions sur lui. « Et votre sœur comment se porte-t-elle ? J’ai entendu dire qu’elle était à Poufsouffle, excellente maison, j’étais une poufsouffle. » Si lui ne savait certainement pas grand-chose à mon sujet, enfin si maintenant il savait que j’étais enceinte, marié et ancienne poufsouffle. En revanche j’en connaissais assez sur lui pour savoir qu’il avait une sœur, j’avoue que j’aime savoir avec qui je vais sur le terrain généralement.
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@Cléophée More & Elijah - Mai 2022
« Ce n’est pas là définition même de la claustrophobie ? Entre Anxieux dans les endroits clos ? » Elijah n’était pas un professionnel dans ce sujet et il posait la question aussi pour alimenter la conversation comme elle lui avait demandé, lui qui n’était forcément bavard. Elijah était quelqu’un de réserver et de professionnel, celui ne lui aurait pas venu à l’esprit d’étaler sa vie à une supérieur. Pour lui, ça ne se faisait juste pas. S’il était patient malgré la situation, madame More était quand à elle angoissait. L’avantage, c’est qu’elle, elle semblait bavarde. Il avait donc suffit à Eli de parler simplement du temps pour qu’elle enchaine les mots. Un sujet pas vraiment passionnant mais qui semblait être suffisant pour elle.
« Je vous en prie » dit-il de façon cordiale, s’efforçant de sourire alors qu’il se sentait quelque peu mal à l’aise. Si Elijah n’avait pas peur des espaces réduit, il savait toutefois qu’il n’arriverait pas à tenir une conversation pendant trop longtemps. Le silence ne l’avait jamais gêné, bien au contraire, c’est ainsi qu’il se ressourcé. Seulement à cet instant le silence n’aiderait pas sa supérieure à « se changer les idées ». Aussi c’est vers le bébé qu’il aiguilla la conversation, espérant qu’une fois encore elle ferait la conversation pour deux.
« Oh » dit-il simplement alors qu’elle annonça qu’il était « trop tôt » pour savoir, n’ayant aucune idée de l’avancé de sa grossesse. « Amy ? Je ne l’ai pas vu récemment mais elle est effectivement à Pouffsoufle. » Confirma-t-il, apprenant au passage que madame More était de la même maison.
« Je vous en prie » dit-il de façon cordiale, s’efforçant de sourire alors qu’il se sentait quelque peu mal à l’aise. Si Elijah n’avait pas peur des espaces réduit, il savait toutefois qu’il n’arriverait pas à tenir une conversation pendant trop longtemps. Le silence ne l’avait jamais gêné, bien au contraire, c’est ainsi qu’il se ressourcé. Seulement à cet instant le silence n’aiderait pas sa supérieure à « se changer les idées ». Aussi c’est vers le bébé qu’il aiguilla la conversation, espérant qu’une fois encore elle ferait la conversation pour deux.
« Oh » dit-il simplement alors qu’elle annonça qu’il était « trop tôt » pour savoir, n’ayant aucune idée de l’avancé de sa grossesse. « Amy ? Je ne l’ai pas vu récemment mais elle est effectivement à Pouffsoufle. » Confirma-t-il, apprenant au passage que madame More était de la même maison.
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Cléophée & Elijah - Mai 2022
Je m’arrête dans tout mouvements ou toutes réflexions pour le regarder après sa réplique. « Certainement que vous avez raison Jordan. Je n’ai juste jamais voulu vraiment le reconnaitre. » Non, je n’ai jamais voulu reconnaitre que j’étais claustrophobe, cela reviendrait à affirmer que j’avais une autre faiblesse. L’autre peu de personnes le savaient, qui pourrait savoir que le père Seymour envoyait des sortilèges foncièrement mauvais sur sa fille ? Personne. Pour cela, il faudrait que cela soit sortie du cercle familial ou que j’en ai parlé consciemment à une personne. Enfin, si Samuel était au courant, mais c’était l’évidence même que je mette au courant mon époux. J’avais de la chance d’avoir pu entrer à la BPM avec ce petit tremblement de main, après ce n’était pas ma main dominante, donc pas celle que j’utilise pour lancer des sortilèges.
Quand il me répond pour donner suite à mon remerciement par rapport aux conditions météorologiques de l’extérieur, je fais un hochement de tête en sa direction avec un petit sourire. « Non, c’est normal de vous remercier. » Et j’y tenais, je mettais un point d’honneur à enseigner le respect et la politesse à mon fils de six ans, ce n’est pas pour ne pas l’appliquer moi-même.
« C’est une bonne maison Poufsouffle, elle est de bonne valeur, bien que je trouve qu’il y a de bonnes valeurs dans toutes les maisons, mais je défendrais toujours ma maison, je pense. » répondis-je avec un petit rire. J’allais continuer la conversation sur sa tendre sœur quand un bruit de frappe se fit à la porte de l’ascenseur et une voix d’homme parvint aux oreilles annonçant qu’il travaillait à résoudre le problème. Voilà qui était un soulagement. « Nous devrions pouvoir sortir dans pas longtemps. C’est une bonne chose. » Je marque un temps de pause avant de poser une question avec un virage à 180 degrés et surtout personnelle. « Êtes-vous marié ou fiancé Jordan ? »
Quand il me répond pour donner suite à mon remerciement par rapport aux conditions météorologiques de l’extérieur, je fais un hochement de tête en sa direction avec un petit sourire. « Non, c’est normal de vous remercier. » Et j’y tenais, je mettais un point d’honneur à enseigner le respect et la politesse à mon fils de six ans, ce n’est pas pour ne pas l’appliquer moi-même.
« C’est une bonne maison Poufsouffle, elle est de bonne valeur, bien que je trouve qu’il y a de bonnes valeurs dans toutes les maisons, mais je défendrais toujours ma maison, je pense. » répondis-je avec un petit rire. J’allais continuer la conversation sur sa tendre sœur quand un bruit de frappe se fit à la porte de l’ascenseur et une voix d’homme parvint aux oreilles annonçant qu’il travaillait à résoudre le problème. Voilà qui était un soulagement. « Nous devrions pouvoir sortir dans pas longtemps. C’est une bonne chose. » Je marque un temps de pause avant de poser une question avec un virage à 180 degrés et surtout personnelle. « Êtes-vous marié ou fiancé Jordan ? »
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FICHE DE PERSO
@Cléophée More & Elijah - Mai 2022
Elijah baissa légèrement les yeux, une légère moue d’excuse sur le visage alors que madame More lui reprochait presque de la qualifier de « claustrophobe ». Il n’avait pas voulu la contrarié, bien au contraire. Il essayait seulement de l’occuper comme elle lui avait demandé, mais il n’était sans doute pas le mieux placer pour faire la conversation. Elijah était un garçon sympathique, facilement apprécié mais il respectait la hiérarchie et il fallait l’admettre, se retrouver coincé dans un ascenseur avec une supérieure… le rendait un peu mal à l’aise. Fort heureusement elle faisait la conversation pour deux pratiquement.
« J’ignorais que vous étiez une ancienne Pouffsoufle. » Il l’aurait plus vu à Serdaigle. Comme lui. Sans doute parce qu’en son sens la BPM était rempli de travailleur et que sa maison était connu pour recueillir les plus assidus. Peut-être aussi parce que sa meilleure amie était Serdaigle et qu’Elijah avait passer pas mal de temps parmi les bleus à Poudlard. Amy et Madame More avaient l’air si différente. Amy respirait l’innocence et la joie de vivre. Madame More… était plus réservé. Un homme était déjà là pour réparé l’ascenseur. Il y avait donc peu de chance pour qu’il rate son repas avec Amy. Une bonne chose. Il n’aurait pas aimé la décevoir. « Non madame » répondit-il alors qu’elle lui demandait s’il était marié ou fiancée.
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Cléophée & Elijah - Mai 2022
« Eh bien, je ne le crie pas forcément, je suis fière de ma maison, mais pour une raison que j’ignore beaucoup de personnes ai tendance à associer Poufsouffle avec ringard. Nous n’avons pourtant rien de ringard, les qualités principales sont la justice, la loyauté, la patiente, la gentillesse et tellement d’autres qualifications, je me demande toujours en quoi cela peut sembler ringard, certainement un élève renfrogné derrière cette anecdote. » Oui, je ne voyais pas d’autres raisons, cela devait être la vengeance d’un élève qui a décidé de pourrir l’existence de tous les poufsouffle après son passage à Poudlard.
Alors qu’il m’affirmait ne pas avoir de fiancé dans sa vie ou encore être marié, je lui souriais doucement avant de lui. « Vous êtes encore jeune, vous trouverez bien la personne qu’il vous faut. Un beau garçon comme vous ne restera pas longtemps seul. » Le compliment était peut-être de trop, mais il ne fallait pas se fourvoyer, il n’y avait aucune arrière-pensée derrière cette affirmation.
La porte de l’ascenseur s’ouvrait enfin sur un homme d’une carrure importante et j’eut l’impression de pouvoir de nouveau respirer convenablement. C’est pourquoi, une fois que l’homme de maintenance se rangea du passage pour nous intimer de sortir, je pris une grande inspiration avant de tous relâcher, je n’avais plus l’impression que leur mur se refermait sur moi progressivement maintenant. Me retournant pour faire face à mon acolyte de situation, je lui offre un sourire bienveillant. « Je vous remercie vraiment Jordan pour m’avoir occupé l’esprit. Je vous souhaite une bonne soirée et un bon repas en conséquence. Je vous quitte ici. » Après un dernier merci en sa direction et un signe de tête, je prends la direction des cheminées pour rentrer chez moi, pas la motivation pour transplané en toute discrétion depuis une ruelle moldue adjacente aux sorties du ministère de la magie.
Alors qu’il m’affirmait ne pas avoir de fiancé dans sa vie ou encore être marié, je lui souriais doucement avant de lui. « Vous êtes encore jeune, vous trouverez bien la personne qu’il vous faut. Un beau garçon comme vous ne restera pas longtemps seul. » Le compliment était peut-être de trop, mais il ne fallait pas se fourvoyer, il n’y avait aucune arrière-pensée derrière cette affirmation.
La porte de l’ascenseur s’ouvrait enfin sur un homme d’une carrure importante et j’eut l’impression de pouvoir de nouveau respirer convenablement. C’est pourquoi, une fois que l’homme de maintenance se rangea du passage pour nous intimer de sortir, je pris une grande inspiration avant de tous relâcher, je n’avais plus l’impression que leur mur se refermait sur moi progressivement maintenant. Me retournant pour faire face à mon acolyte de situation, je lui offre un sourire bienveillant. « Je vous remercie vraiment Jordan pour m’avoir occupé l’esprit. Je vous souhaite une bonne soirée et un bon repas en conséquence. Je vous quitte ici. » Après un dernier merci en sa direction et un signe de tête, je prends la direction des cheminées pour rentrer chez moi, pas la motivation pour transplané en toute discrétion depuis une ruelle moldue adjacente aux sorties du ministère de la magie.
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