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1, 2, 3 Sur la terre de mes ancêtres
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FICHE DE PERSO
Maeve, Mayline & Blodeuyn - 20 juillet 2022
Je sursaute un peu sur mon lit, je ne m’attendais pas à ce genre de réponse. Surtout que cela n’est absolument pas en corrélation avec ma question. Elle n’est pas un peu barge ? Tante Maeve ramène des jeunes perdus, j’ai l’habitude et avec Freya on essaye de les mettre le plus à l’aise possible, mais là, Tata est certaine que la rousse elle n’a pas une case en moins ? Les sorciers tordus avaient tous une case en moins ou alors des problèmes émotionnels très puissant, genre impossible d’aimer. Gardant mon regard sur elle, je calculais dans ma tête, la distance avec ma baguette, aurais-je même le temps de l’attraper avant qu’elle ne m’égorge ? Après tout, elle semblait avoir un fort sentiment de rancune et de vengeance en elle et personnellement, je n’ai pas prévu de finir en brochette aujourd’hui, surtout que je porte une robe, mourir en robe franchement très peu pour moi. La raisonner ? Oui, je devrais pouvoir ? On est chasseur de monstre dans ma famille, ce n’est pas une fille en mal d’amour, de confiance en l’humanité qui va me faire peur.
Prenant sur moi, j’inspire avant de me lever de mon lit, sérieusement pourquoi je me suis porté volontaire pour lui montrer le château ? Heureusement que je sais me défendre à mains nue. Je me rapproche doucement de la rousse pour y agiter ma main devant ses yeux. Rien, aucune réaction physique de sa part. Elle est partie dans un autre monde ou bien elle est en transe comme un médium ? « La magie appelle la sorcière. » Devrais-je la toucher ? La secouer un peu ? Je ne veux pas qu’elle parte dans une crise de paranoïa. On est gryffondor ou on ne l’est pas. Je suis une fonceuse, trop téméraire qui agit et réfléchit après, on me le répète bien trop souvient alors pourquoi, je me pose toutes ces questions avant de bouger mon petit doigt ? « Dis, tu pourrais revenir parmi nous ? » soufflais-je en la secouant un peu. « Non pas que j’ai peur. » Si un peu, mais je ne vais pas l’avouer, même sous la torture. « Mais j’aimerais évité que tes yeux ils se révulsent et deviennent tous blanc. » Je devrais peut-être aller chercher ma marraine, elle serait quoi faire dans ce genre de situation, c’est elle la psychologue pas moi.
Prenant sur moi, j’inspire avant de me lever de mon lit, sérieusement pourquoi je me suis porté volontaire pour lui montrer le château ? Heureusement que je sais me défendre à mains nue. Je me rapproche doucement de la rousse pour y agiter ma main devant ses yeux. Rien, aucune réaction physique de sa part. Elle est partie dans un autre monde ou bien elle est en transe comme un médium ? « La magie appelle la sorcière. » Devrais-je la toucher ? La secouer un peu ? Je ne veux pas qu’elle parte dans une crise de paranoïa. On est gryffondor ou on ne l’est pas. Je suis une fonceuse, trop téméraire qui agit et réfléchit après, on me le répète bien trop souvient alors pourquoi, je me pose toutes ces questions avant de bouger mon petit doigt ? « Dis, tu pourrais revenir parmi nous ? » soufflais-je en la secouant un peu. « Non pas que j’ai peur. » Si un peu, mais je ne vais pas l’avouer, même sous la torture. « Mais j’aimerais évité que tes yeux ils se révulsent et deviennent tous blanc. » Je devrais peut-être aller chercher ma marraine, elle serait quoi faire dans ce genre de situation, c’est elle la psychologue pas moi.
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- Robe que Blo porte:
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Maeve, Mayline & Blodeuyn - 20 juillet 2022
Elle me suppliait de ne rien dire à ma marraine. Je ne savais pas quoi faire. D’un côté je voulais la mettre à l’aise, apprendre à la connaître pour devenir son amie peut-être ? Puis de l’autre il y a la conscience beaucoup plus rationnelle qui m'intimait de raconter ce qu’elle venait de lâcher dans un silence glacial ce qu’elle souhaitait faire. Mais cela reviendrait à la blesser et me faire cataloguer comme nouvelle fille qui s’en prend à moi. Parce qu'elle n’est pas juste étrange, elle semble aussi fragile. J’étais partagé, d’un côté je voulais le dire à ma tante et si elle était une mage noire en devenir et que je ne dis rien ? Je m’en voudrais toute ma vie après.
« Je pourrais éventuellement ne rien dire, si tu lui en parle toi-même. Ce n’est pas bon d’avoir un sentiment de vengeance en soi. » Heureusement, je n’en avais pas développé, mais j’aurais pu à la suite de la mort de mes parents vouloir les venger, vouloir anéantir toutes les créatures, mais les créatures ne sont pas toutes mauvaises. Je la regardais, attendant de voir un signe quelconque de sa part qui m’inciterait à croire qu’elle en parlerait à Maeve, sinon j’en ferais le moment opportun. Je peux lui laisser une chance pour l’instant.
D’accord on était passé du mot unique, à la phrase unique et maintenant c’est limite si je n’avais pas un petit discours. Entrecoupé certes par ses pauses silencieuses, d’ailleurs je ne rajoutais rien pour le moment. Je hochais la tête quand elle mentionna qu’elle avait grandi dans un orphelinat. Cela ne devait pas être facile tous les jours. Elle ne devait plus avoir de famille, c’est triste. Je vais devenir son amie, comme ça elle aura au moins une personne.
Quand elle parla de ma chambre, je haussais les épaules. C’était juste une chambre, il est vrai que maintenant à mon âge j’étais contente d’avoir une chambre rien qu’à moi. Dans mon enfance, au contraire cela ne m’aurait pas dérangé de la partager avec ma cousine. De toute façon, j’étais constamment avec elle durant notre enfance. N’ayant pas de frère et sœur, Freya l’était devenu inconsciemment. « Ce n’est pas toi qui décides, c’est ce que tu es une sorcière. Tu es née avec des pouvoirs magiques et tu dois apprendre à les maitriser. Une fois adulte, l'école terminée, si tu veux vivre comme une simple moldue tu pourras, mais si tu ne suis pas de formation basique, tu continueras de faire des accidents magiques et cela pourrait très mal finir. » Je me tais un peu et décide de retourner m’assoir sur mon lit, elle peut faire comme elle veut. Je ne vais pas la forcer à s’installer, si elle préfère prendre racine sur le sol de ma chambre. « Qui est venu te mettre au courant ? On ta un peu parlé de Poudlard ? »
« Je pourrais éventuellement ne rien dire, si tu lui en parle toi-même. Ce n’est pas bon d’avoir un sentiment de vengeance en soi. » Heureusement, je n’en avais pas développé, mais j’aurais pu à la suite de la mort de mes parents vouloir les venger, vouloir anéantir toutes les créatures, mais les créatures ne sont pas toutes mauvaises. Je la regardais, attendant de voir un signe quelconque de sa part qui m’inciterait à croire qu’elle en parlerait à Maeve, sinon j’en ferais le moment opportun. Je peux lui laisser une chance pour l’instant.
D’accord on était passé du mot unique, à la phrase unique et maintenant c’est limite si je n’avais pas un petit discours. Entrecoupé certes par ses pauses silencieuses, d’ailleurs je ne rajoutais rien pour le moment. Je hochais la tête quand elle mentionna qu’elle avait grandi dans un orphelinat. Cela ne devait pas être facile tous les jours. Elle ne devait plus avoir de famille, c’est triste. Je vais devenir son amie, comme ça elle aura au moins une personne.
Quand elle parla de ma chambre, je haussais les épaules. C’était juste une chambre, il est vrai que maintenant à mon âge j’étais contente d’avoir une chambre rien qu’à moi. Dans mon enfance, au contraire cela ne m’aurait pas dérangé de la partager avec ma cousine. De toute façon, j’étais constamment avec elle durant notre enfance. N’ayant pas de frère et sœur, Freya l’était devenu inconsciemment. « Ce n’est pas toi qui décides, c’est ce que tu es une sorcière. Tu es née avec des pouvoirs magiques et tu dois apprendre à les maitriser. Une fois adulte, l'école terminée, si tu veux vivre comme une simple moldue tu pourras, mais si tu ne suis pas de formation basique, tu continueras de faire des accidents magiques et cela pourrait très mal finir. » Je me tais un peu et décide de retourner m’assoir sur mon lit, elle peut faire comme elle veut. Je ne vais pas la forcer à s’installer, si elle préfère prendre racine sur le sol de ma chambre. « Qui est venu te mettre au courant ? On ta un peu parlé de Poudlard ? »
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Maeve, Mayline & Blodeuyn - 20 juillet 2022
Lui montrer de la magie ? Je pourrais, mais quoi. Le patronus, on ne l’apprend pas au début de poudlard, le protégo ce n’est pas sûr qu’elle le distingue. Je détourne mon regard d’elle pour aller en direction de mon bureau où se trouve toujours ma baguette magique. Je la récupère et la tourne doucement entre mes doigts avant de regarder ce qui se trouvait sur mon bureau. Livre, livre, parchemin, magazine de métamorphose, tiens faut que je termine la lecture de celui-ci et que je parle de cette découverte récente à mon oncle Luke, il doit en savoir beaucoup sur le sujet. J’aurais bien lancé un vera verto, mais il m’aurait fallu un rat sous la main et même si je ne doute pas qu’il y en ait dans les cachots, je n’irais pas m’y aventurer pour en récupérer un.
Je me retourne pour lui faire face et m’appuie contre mon bureau, la baguette toujours dans ma main. Je pourrais toujours lancer un accro sur un des vêtements présent sur le sol pour qu’il atterrisse dans ma main. « Accio. » dis-je en pointant l’objet mais rien ne se produisit. « J’ai encore loupé mon mouvement, le professeur va me tuer à la rentrée. » Surtout quand on sait que c’est un sortilège de première année. Je vais revoir toutes les bases et mouvements durant le reste de mes vacances. « Accio. » formulais-je de nouveau en faisant le mouvement de baguette correctement et le moment d’après ma chemise à carreaux se retrouva dans ma main. Je la pose sur ma chaise avant de poser ma baguette sur mon bureau. « Je préfère la métamorphose de toute façon. » Mais, il fallait avouer que parfois sortilège et métamorphose se croisaient facilement.
« Allez viens, on va voir le reste de la demeure. » dis-je en passant à côté d’elle, l’attrapant par les épaules pour la faire avancer avec moi. « Tu verras Poudlard c’est plus grand qu’ici et c’est mieux, tu te sens rapidement à la maison. » Je la mène devant moi en lui tenant les épaules pour la guider vers l’escalier pour rejoindre le grenier. « Monte, n’est pas peur, je ne te ferais strictement rien promis. » Une fois arrivé au niveau du grenier, je pousse la porte et la fais entrer avec moi, j’allume la pièce et commence à vadrouiller. « Il y a plein de vieilleries par ici, j’aime bien venir parfois quand je ne sais pas quoi faire. » J’attrape un foulard à froufrou rose dans un carton que je m’amuse à aller mettre autour du cou de la rousse. « Jolie » m’exclamais-je avec un petit rire.
Je me retourne pour lui faire face et m’appuie contre mon bureau, la baguette toujours dans ma main. Je pourrais toujours lancer un accro sur un des vêtements présent sur le sol pour qu’il atterrisse dans ma main. « Accio. » dis-je en pointant l’objet mais rien ne se produisit. « J’ai encore loupé mon mouvement, le professeur va me tuer à la rentrée. » Surtout quand on sait que c’est un sortilège de première année. Je vais revoir toutes les bases et mouvements durant le reste de mes vacances. « Accio. » formulais-je de nouveau en faisant le mouvement de baguette correctement et le moment d’après ma chemise à carreaux se retrouva dans ma main. Je la pose sur ma chaise avant de poser ma baguette sur mon bureau. « Je préfère la métamorphose de toute façon. » Mais, il fallait avouer que parfois sortilège et métamorphose se croisaient facilement.
« Allez viens, on va voir le reste de la demeure. » dis-je en passant à côté d’elle, l’attrapant par les épaules pour la faire avancer avec moi. « Tu verras Poudlard c’est plus grand qu’ici et c’est mieux, tu te sens rapidement à la maison. » Je la mène devant moi en lui tenant les épaules pour la guider vers l’escalier pour rejoindre le grenier. « Monte, n’est pas peur, je ne te ferais strictement rien promis. » Une fois arrivé au niveau du grenier, je pousse la porte et la fais entrer avec moi, j’allume la pièce et commence à vadrouiller. « Il y a plein de vieilleries par ici, j’aime bien venir parfois quand je ne sais pas quoi faire. » J’attrape un foulard à froufrou rose dans un carton que je m’amuse à aller mettre autour du cou de la rousse. « Jolie » m’exclamais-je avec un petit rire.
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Maeve, Mayline & Blodeuyn - 20 juillet 2022
« Une matière enseigné à Poudlard, il y en a plusieurs, beaucoup trop pour que je te les énumère toutes et te les expliques en détails. C’est mon oncle Luke le professeur. Tu verras c’est un bon professeur et il est gentil. C’est le directeur de la maison Serdaigle. » dis-je en souriant alors que je la conduisais vers le grenier. « Enfin la métamorphose je pourrais en parler, j’aime beaucoup cela. Je suis abonné au magazine c’est ma grand-mère qui paye l’abonnement. Je t’en passerais un si tu veux lire. » Et j’avais une idée précise de celui que je pourrais lui prêter, celui qui explique déjà le fondement de la métamorphose, en soit le premier magazine.
Je hausse les épaules alors que nous gravissons les escaliers pour le grenier. « Franchement, je ne m’amuse pas à compter. Tu sais, tu ne seras pas la seule à ne pas connaitre grand-chose sur la magie, il y aura d’autre né-moldu. Il ne faut pas t’en faire. » terminais-je.
Une fois dans le grenier, j’avais fouillé pour l’affubler d’un espèce de foulard à froufrou, ce qui m’avait faire rire. Il était dans les tons roses. « Cela fait ressortir votre chevelure très chère. » déclarais-je alors d’une voix aristocrates en lui attrapant une de ses mèches rousses et de m’amuser à l’entortiller autour de mon doigt avec un sourire. Je finis par la lâcher pour aller fouiller de nouveau et je mets une paire de lunette de soleil vieillotte sur mon nez, elles étaient rouges et dataient certainement de la même période que le foulard. J’avais également un chapeau à fleur, il semblait un peu abimé dans un coin au niveau du tressage de la paille. « Le foulard est à grand-mère. » formulais-je alors que je me retourne vers elle en baissant légèrement les lunettes sur mon nez. « Elle a du le porter durant sa période disco. » terminais-je en prenant la pose. « Tu connais le disco ? Tu en as déjà dansé ? Il parait que c’est moldu. »
Je me rapproche d’elle pour la regarder un peu mieux, elle était un peu plus petite que moi, d’un ou deux centimètres. « Tu ne restes que pour le week-end alors ? Tu ne veux pas rester plus longtemps ? On peut demander à tante Maeve. Tu aurais rencontré Freya, je crois qu’elle rentre Lundi. » dis-je en posant mon index sur mes lèvres en regardant en hauteur. A moins que ce ne soit la semaine prochaine.
Je hausse les épaules alors que nous gravissons les escaliers pour le grenier. « Franchement, je ne m’amuse pas à compter. Tu sais, tu ne seras pas la seule à ne pas connaitre grand-chose sur la magie, il y aura d’autre né-moldu. Il ne faut pas t’en faire. » terminais-je.
Une fois dans le grenier, j’avais fouillé pour l’affubler d’un espèce de foulard à froufrou, ce qui m’avait faire rire. Il était dans les tons roses. « Cela fait ressortir votre chevelure très chère. » déclarais-je alors d’une voix aristocrates en lui attrapant une de ses mèches rousses et de m’amuser à l’entortiller autour de mon doigt avec un sourire. Je finis par la lâcher pour aller fouiller de nouveau et je mets une paire de lunette de soleil vieillotte sur mon nez, elles étaient rouges et dataient certainement de la même période que le foulard. J’avais également un chapeau à fleur, il semblait un peu abimé dans un coin au niveau du tressage de la paille. « Le foulard est à grand-mère. » formulais-je alors que je me retourne vers elle en baissant légèrement les lunettes sur mon nez. « Elle a du le porter durant sa période disco. » terminais-je en prenant la pose. « Tu connais le disco ? Tu en as déjà dansé ? Il parait que c’est moldu. »
Je me rapproche d’elle pour la regarder un peu mieux, elle était un peu plus petite que moi, d’un ou deux centimètres. « Tu ne restes que pour le week-end alors ? Tu ne veux pas rester plus longtemps ? On peut demander à tante Maeve. Tu aurais rencontré Freya, je crois qu’elle rentre Lundi. » dis-je en posant mon index sur mes lèvres en regardant en hauteur. A moins que ce ne soit la semaine prochaine.
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- Lunette qu'elle vient de mettre et le chapeau:
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Participation au All Hallow Fest
Vous avez participé au All Hallow Fest
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Administrateur
B1єnv3иuз ɐu Лдrch3 ѧu∝ trѳl|ꙃ
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Messages : 503
Faceclaim : katheryn winnick
Sang : pur
Particularités : aucune
Profession : Directrice de Serpentard (temporairement), rentière, occasionnellement barde { officieusement chasseuse de monstres }
Côté Cœur : en couple avec @"Jameson Clearwater"
Multis : Sheraz, Aphrodite, Urielle, Ana
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Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Expert (80%)
Maturité Magique (MM):
(44/50)
Education Magique (EM):
(80/100)
Potentiel Magique (PM):
(70/100)
Rigueur Magique (RM):
(90/100)
Expérience Magique (XM):
(90/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Expert (80%)
Maturité Magique (MM):
(44/50)Education Magique (EM):
(80/100)Potentiel Magique (PM):
(70/100)Rigueur Magique (RM):
(90/100)Expérience Magique (XM):
(90/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
Elle dépassa le chenil de Drustan sans vraiment prêter attention à ses occupants. Ils le lui rendirent bien. Pas un son ne s'échappa de la petite cabane aveugle lovée entre l'appentis et l'ancienne chèvrerie. L'après-midi touchait à sa fin et comme tous les autres habitants du caer, Maeve se dirigeait vers la Grande Salle. L'antique horloge à clepsydre s'étira dans un cliquetis délicat, alignant ses esquilles précieuses pour simuler un très joli ciel de juillet puis on entendit son carillon dans toutes les pièces de la maison. Ca n'était pas le ding dong assourdissant d'une vulgaire horloge à balancier mais un son mélodieux qui se propageait par enchantement jusqu'à l'oreille la plus chenue de la maison, sonnant le rassemblement général. Et pas un Cynfeirdd ne faisait entorse à cette tradition. Certes, à dix-sept heure, pour une oreille étrangère, il était extrêmement tôt pour songer à passer à table. Mais pour nos cymraeg, qui savaient que le dîner ne serait pas servi avant vingt-et-une heure, dix-sept heures sonnait l'heure d'un joyeux moment en famille, que tous s'efforçaient de respecter lorsqu'ils étaient entre les murs de la forteresse familiale.
D'ailleurs, on ne tarda pas à voir une quinzaine d'individus passer les quatre portes de cette pièce qui était véritablement le cœur de Caer Cynfeirdd, tous investis d'un instrument ou d'un autre. La harpe monumentale de Lady Rowene, elle, les avait bien évidemment devancés puisque, trop lourde, elle était installée à demeure près de la grande cheminée. Lyre-guitare, harmonica de verre, vieille à roue, ocarina, et d'autres raretés dont le nom avait depuis longtemps disparu des mémoires s'assemblèrent. Aderyn Cynfeirdd arriva parmi les dernières, s'installant dans la moelleuse litière garnie de coussins qui se trouvaient près de la cheminée. La sorcière, d'un grand âge désormais, jouissait toujours de l'aimante attention des siens et, si elle n'avait jamais été musicienne, elle était excellent public. Bien loin de montrer le moindre signe de faiblesse, Geraint Cynfeirdd, son époux, s'était lui aussi joint à la bande. Il n'avait aucun instrument, car sa voix suffirait. En tant que père de tous, il prenait toujours le rôle du conteur très à coeur et, jouant de sa magie, de son charisme, autant que son timbre naturellement grave, il n'avait aucune difficulté à donner vie à ses histoires, exhumées du fond des âges.
Maeve se posta un peu en retrait, épiant les derniers retardataires dont feraient sans doute partie Blodeuyn et, par la force des choses, leur hôte.
L'histoire de ce soir était celle d'Artemis à l'Arc d'Or. Tous la connaissaient bien sûr sur le bout des doigts mais ils la savouraient d'autant plus d'avance.
Maeve eut un sourire pour sa cousine Eiluned mais elle ne la suivit pas encore à l'intérieur...
#Caer_Cynfeirdd
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Maeve, Mayline & Blodeuyn - 20 juillet 2022
J’avais tourné la tête vers elle et haussé les épaules. « Ce n’est pas grave, on est tous pareil la première année des mollusques sans intérêt d’après le professeur @Jameson Clearwater. » déclarais-je avant de retourner à la chasse aux trouvailles, a moins que ce ne soit que Nina et moi ? Aucune idée.
Je farfouillais dans un carton, la tête littéralement plongé dans le carton quand je laissais sortie un éternument qui pourrait s’entendre jusqu’en Papouasie. Je me remets droite et je jette un petit regard direction de la rousse. « Oups, pardon, trop de poussière. » On va éviter de lui dire que c’est une araignée qui est entrée dans ma narine. Je me frotte le nez alors qu’elle me pose une question. Je tends l’oreille et j’entends le carillon enfin la mélodie annonçant l’histoire. Je lâche ce que j’ai dans la main et sur moi avant de m’approcher de Mayline pour lui enlever son attirail. « Faut qu’on se dépêche si on est retard tante Maeve ne sera pas contente quoi que ce n’est pas tante Maeve qui me fait le plus peur en cet instant, mais bien Geraint. On reviendra plus tard ou pas si on n’a pas le temps. » Je lui attrape la main pour la faire courir à ma suite.
Je descendais les marches rapidement suivit de Mayline, mais j’ai loupé deux marches tombant en bas de l’escalier, la rousse termina sa course sur moi. Bougeant mes hanches pour la faire partir de mon dos, je me relève rapidement et la tire vers moi pour la relever, elle termine dans mes bras. Je lui souris avant de rigoler un peu. « Extrême comme descente, tu vas bien ? » Je n’attends pas vraiment sa réponse et la traine avec moi dans les dédales de couloirs pour rejoindre la pièce principale où sera compter l’histoire.
En passant devant tante Maeve, je lui fais un magnifique sourire en mode on n’est pas si en retard et je rentre dans la salle et je vais m’assoir en trainant toujours la rousse. Contrairement aux autres membres de la famille Cynfeirdd, je ne jouais pas de musique, je ne chantais pas non plus, j’avais une voix catastrophique, à croire que j’ai pris le plus gros du côté de maman. Alors je ne faisais qu’écouter les histoires depuis que j’étais toute petite.
Je farfouillais dans un carton, la tête littéralement plongé dans le carton quand je laissais sortie un éternument qui pourrait s’entendre jusqu’en Papouasie. Je me remets droite et je jette un petit regard direction de la rousse. « Oups, pardon, trop de poussière. » On va éviter de lui dire que c’est une araignée qui est entrée dans ma narine. Je me frotte le nez alors qu’elle me pose une question. Je tends l’oreille et j’entends le carillon enfin la mélodie annonçant l’histoire. Je lâche ce que j’ai dans la main et sur moi avant de m’approcher de Mayline pour lui enlever son attirail. « Faut qu’on se dépêche si on est retard tante Maeve ne sera pas contente quoi que ce n’est pas tante Maeve qui me fait le plus peur en cet instant, mais bien Geraint. On reviendra plus tard ou pas si on n’a pas le temps. » Je lui attrape la main pour la faire courir à ma suite.
Je descendais les marches rapidement suivit de Mayline, mais j’ai loupé deux marches tombant en bas de l’escalier, la rousse termina sa course sur moi. Bougeant mes hanches pour la faire partir de mon dos, je me relève rapidement et la tire vers moi pour la relever, elle termine dans mes bras. Je lui souris avant de rigoler un peu. « Extrême comme descente, tu vas bien ? » Je n’attends pas vraiment sa réponse et la traine avec moi dans les dédales de couloirs pour rejoindre la pièce principale où sera compter l’histoire.
En passant devant tante Maeve, je lui fais un magnifique sourire en mode on n’est pas si en retard et je rentre dans la salle et je vais m’assoir en trainant toujours la rousse. Contrairement aux autres membres de la famille Cynfeirdd, je ne jouais pas de musique, je ne chantais pas non plus, j’avais une voix catastrophique, à croire que j’ai pris le plus gros du côté de maman. Alors je ne faisais qu’écouter les histoires depuis que j’étais toute petite.
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