:: RPS Archivés
(mich) we gonna break your hearts.
INFOS
FICHE DE PERSO
we gonna break your hearts. ft. @michel-ange grimm
encore enivrée par la chaleur du moment, tu te laisses rouler sur le dos en contemplant le plafond aux poutres apparentes. tu les comptes même en chassant la culpabilité de ton esprit.
ce que tu viens de faire est certainement la pire bêtise de toute une vie. si le sang qui coule dans vos veines est de la même couleur, tu as le tien qui se teint d'une étrange couleur de trahison.
pourtant à bien des égards, tu ne fais rien de mal. mais est-ce que tu ne brises pas le coeur de millier de personnes ?
sur ton front ont perlé quelques gouttes de sueurs que tu essuies de ton poignet avant de te tourner vers l'autre qui se tient aussi silencieux que toi à tes côtés. hésitante dans un premier temps, tu viens à rouler vers lui et poser ta tête sur son torse dans un silence étouffant.
ta main trace des signes insignifiants sur la peau nu de ton partenaire. encore fiévreuse de votre ébat.
comment en êtes-vous arrivé là, alycia ?
nue, tu observes les quelques muscles qui se contractent et se décontractent de ton homologue masculin avant de t'assoir et de regarder la porte fermée de la salle de classe d'histoire.
personne ne venait ici, parce que les cours étaient souvent d'un ennui, mais surtout parce que les élèves préféraient de loin étudier ailleurs que dans une classe vide.
mais tu n'étais pas à l'abri d'un hasard malheureux.
cette année commençait étrangement mal. léonard et toi n'avez échangé que quelques mots... céleste est redevenue la meilleure amie, et tu espérais que son amour pour michel-ange était aussi éteint que le tien. lyvan ne supporterait surement pas de savoir ce que tu venais de faire comme erreur.
une erreur que tu viens à répéter bien trop souvent à ton goût. apolline ne te le pardonnerait surement pas.
ces instincts primaires sont bien évidemment idiots, et tu ferais mieux de contrôler ses pulsions idiotes, alycia. avant qu'il ne soit trop tard.
mais n'est-ce pas déjà trop tard ? il l'est déjà bien trop pour regretter.
toutes ces années à espérer sentir les lèvres de michel-ange, de connaître son corps par cœur, de réussir à entrer en harmonie avec lui... mais tu n'imaginais pas que ce serait dans une telle souffrance que vous entreriez en telle communion.
tu finis par te rallonger près de lui, la tête sur son bras, le flanc contre le sien, ta jambe au dessus de la sienne, ton bras couvrant tes yeux, pour cacher tes joues rouges de honte d'un désir qui s'efface petit à petit.
au fond, peut-être que tu as encore des sentiments pour michel-ange, mais ce n'est plus comme avant... si avant tu l'aimais pour l'optimisme qu'il dégageait, aujourd'hui, tu es attirée par ses ténèbres qui t'emportent dans ses douleurs qui font étrangement échos aux tiennes.
léonard qui passe son temps à te rejeter, et qui ne s'est pas gêné d'avoir une autre... tu n'en peux plus de courir après lui. ton cœur a bien trop souffert pour supporter une énième humiliation.
mais pourquoi a-t-il fallu que tu atterrisses dans les bras du plus jeune grimm ? à croire que tu aimes rendre le monde fou.
alors même qu'aleksei réapparait dans ta vie comme par magie, et que tu es plus perturbée par tout ce bordel que par le réel fait d'avoir couché avec lui.
ton souffle revenu à la normale, tu n'oses pourtant pas affronter le jeune grimm et continues de garder les yeux clos. « on devrait penser à arrêter de faire ça, grimm. » que tu dis douloureusement, tes pensées passant d'un nom à l'autre. bien trop souffrirait de ce secret. « je n'arrive pas à savoir si c'est mal ou non. » que tu murmures en tournant finalement la tête vers lui, ton autre main venant se poser sur sa cuisse, comme pour chercher le soutien qu'on te refuse depuis longtemps. « qu'est-ce qu'on fera si un jour ça se sait ? »
tu te rappelles la réaction violente de léonard quand il a appris que michel-ange t'avait déjà embrassé, ou que tu avais déjà couché avec lyvan il y a cinq ans de cela... pourtant, tu sais au fond de toi... que tu n'as de compte à rendre à personne.
sauf à toi-même... et la liste de remord est bien trop longue pour l'énumérer entièrement.
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Expertise : Sortilège de Désillusion !
Sortilège de Niv.6
Expertise : Incendio !
Sortilège de Niv.1
Expertise : Săgitae Argentum !
Sortilège de Niv.6
INFOS
Messages : 623
Faceclaim : Dylan O'Brien
Sang : Sang Pur
Profession : Forgeron-Enchanteur
Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
J’observais le plafond sans vraiment le regarder à mon tour. Le corps encore chaud et plein de phéromone, je retrouvais peu à peu ma respiration. Les yeux vers les poutres anciennes moi aussi, je les regardais sans vraiment les voir. Comment on en était arrivé là exactement ?
D’abord, avoir revu Céleste m’avait véritablement fait plus de mal que de bien. Elle m’avait… complètement détruit. J’avais… mal évalué la situation. Et quel avait été mon plus grand défaut ?
Avoir encore été honnête et dit simplement la vérité.
J’aimais Apolline, et ça ne pouvait pas durer. Je n’avais pas le droit de poursuivre une relation avec quelqu’un que je n’aimerai probablement jamais comme j’aimais la jeune Dunn. Alors… j’avais rompu pour rendre ça plus facile. Mais j’avais rendu ça plus complexe.
Et puis il y avait eu la désillusion de la rentrée. J’étais convaincu que mon plan marcherait. [RAJOUTER TRUC SURPRISE QUE JAI PAS ENCORE PLACER POUR APO] avec Winona, le faux-départ pour Ilvermorny, la tentative de discussion, et enfin les avoeux les plus complets et la mise de la balle dans son camp en lui déballant tout ce que j’avais sur le coeur.
Résultat ?
Retour à la case départ.
Rien ne s’était produit de bien palpitant hormis ce baiser manqué. Pourquoi n’était-elle pas aller au bout ? Même après l’apparition d’Adil, elle aurait pu… juste lui parler. Mais non, rien.
Alors j’avais errer, comme je le faisais si souvent dans Poudlard, bien seul et malheureux, cherchant à combler un vide qui s’était créer. Et… J’étais tombé sur Alycia.
Alycia qui, elle, m’avait véritablement aimé sans jamais m’en parler. Alors évidemment… J’avais sauté sur l’occasion, pour discuter, me confier. Tout lui dire. Et écouter elle aussi tout ce qu’elle avait vécu et les déboire de mon frère. Au final, nous étions semblable à mes yeux. Des rejetés.
« Ce qui est mal, c’est d’être rejeté, Aly. Ce qui est mal, c’est d’avoir des sentiments, les exprimer et qu’ils soient ignorés. »
J’avais la voix un peu sèche, de l’effort physique que j’avais fourni bien évidemment, mais également par la rage que j’avais en moi. Soudain, mes yeux se dilatèrent un peu et je me rendis compte à qui je parlais. Alycia, elle, m’avait aimé. Mais elle ne me l’avait jamais avoué.
« On ne le dit à personne… Et si ça se sait… qu’est ce qu’on a fait fait de mal tu peux me dire ?… Rien… On a trompé personne… Et c’était même plutôt cool... »
Je ricanais et je l’embrassais sur le front. Sentir une présence, même si ce n’était pas celle que l’on désirait plus que tout au monde, c’était toujours rassurant. Au final, il y avait toujours cette angoisse de finir… complètement seul. Je me redressais alors, et j’observais Alycia inquiet.
« Mais… euh… et toi t’es sur que ca va ? Je veux dire… Par rapport à notre discussion au Lac Noir l’année dernière... »
Je passais ma main dans les cheveux. C’était peut être ça que je devais faire. Me mettre en couple avec Alycia. Peut être que les sentiments viendraient avec le temps. Ou peut être que cela réveillerait mon frère et lui mettrait le nez dans la bouse de dragon.
« Je veux dire… Je veux plus faire souffrir personne... »
Je baissais la tête.
« J’aurai vraiment du aller à Ilvermorny. »
D’abord, avoir revu Céleste m’avait véritablement fait plus de mal que de bien. Elle m’avait… complètement détruit. J’avais… mal évalué la situation. Et quel avait été mon plus grand défaut ?
Avoir encore été honnête et dit simplement la vérité.
J’aimais Apolline, et ça ne pouvait pas durer. Je n’avais pas le droit de poursuivre une relation avec quelqu’un que je n’aimerai probablement jamais comme j’aimais la jeune Dunn. Alors… j’avais rompu pour rendre ça plus facile. Mais j’avais rendu ça plus complexe.
Et puis il y avait eu la désillusion de la rentrée. J’étais convaincu que mon plan marcherait. [RAJOUTER TRUC SURPRISE QUE JAI PAS ENCORE PLACER POUR APO] avec Winona, le faux-départ pour Ilvermorny, la tentative de discussion, et enfin les avoeux les plus complets et la mise de la balle dans son camp en lui déballant tout ce que j’avais sur le coeur.
Résultat ?
Retour à la case départ.
Rien ne s’était produit de bien palpitant hormis ce baiser manqué. Pourquoi n’était-elle pas aller au bout ? Même après l’apparition d’Adil, elle aurait pu… juste lui parler. Mais non, rien.
Alors j’avais errer, comme je le faisais si souvent dans Poudlard, bien seul et malheureux, cherchant à combler un vide qui s’était créer. Et… J’étais tombé sur Alycia.
Alycia qui, elle, m’avait véritablement aimé sans jamais m’en parler. Alors évidemment… J’avais sauté sur l’occasion, pour discuter, me confier. Tout lui dire. Et écouter elle aussi tout ce qu’elle avait vécu et les déboire de mon frère. Au final, nous étions semblable à mes yeux. Des rejetés.
« Ce qui est mal, c’est d’être rejeté, Aly. Ce qui est mal, c’est d’avoir des sentiments, les exprimer et qu’ils soient ignorés. »
J’avais la voix un peu sèche, de l’effort physique que j’avais fourni bien évidemment, mais également par la rage que j’avais en moi. Soudain, mes yeux se dilatèrent un peu et je me rendis compte à qui je parlais. Alycia, elle, m’avait aimé. Mais elle ne me l’avait jamais avoué.
« On ne le dit à personne… Et si ça se sait… qu’est ce qu’on a fait fait de mal tu peux me dire ?… Rien… On a trompé personne… Et c’était même plutôt cool... »
Je ricanais et je l’embrassais sur le front. Sentir une présence, même si ce n’était pas celle que l’on désirait plus que tout au monde, c’était toujours rassurant. Au final, il y avait toujours cette angoisse de finir… complètement seul. Je me redressais alors, et j’observais Alycia inquiet.
« Mais… euh… et toi t’es sur que ca va ? Je veux dire… Par rapport à notre discussion au Lac Noir l’année dernière... »
Je passais ma main dans les cheveux. C’était peut être ça que je devais faire. Me mettre en couple avec Alycia. Peut être que les sentiments viendraient avec le temps. Ou peut être que cela réveillerait mon frère et lui mettrait le nez dans la bouse de dragon.
« Je veux dire… Je veux plus faire souffrir personne... »
Je baissais la tête.
« J’aurai vraiment du aller à Ilvermorny. »
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
INFOS
FICHE DE PERSO
we gonna break your hearts. ft. @michel-ange grimm
tu restes collé à son corps, chaleur que tu puises pour couvrir le froid de la culpabilité qui vient te couvrir de son manteau angoissant.
si d'autres gèrent des drames bien plus inquiétant, ce mélodrame amoureux commence à avoir raison de ta santé mentale. « c'était tellement plus facile de t'aimer en silence. » tu fermes les yeux en te laissant bercer par la respiration du poufsouffle. personne ne souffrait de ton amour, tu ignorais même la douleur d'un rejet.
et tu n'avais pas à vivre dans les remords. et pourtant, maintenant que tu as tout avoué... tout ne tourne plus rond. rien n'est clair, tout devient flou et tu gères terriblement mal tes émotions, et les protocoles sont encore moins exercé. « ma mère me tuerait de savoir ... ça. » que tu dis en riant à moitié.
oui, les amours peu pour elle, mais persuadée que sa fille est encore pure, elle aurait voulu l'offrir à celui qui viendrait prendre sa main. un homme digne qui ne laisserait certainement pas sa fille dans l'ombre. « ma mère apprécie les grimm, mais de là à m'offrir à léonard... j'en doute. » parce que lui-même ne veut pas de toi.
et comme le dit si bien michel-ange, ils ne veulent pas de vous... vous repoussent, vous poussent à pleurer chaque nuit, vous détruisent. « léonard m'a envoyé une photo de lui avec une fille, ils étaient sur le point de s'embrasser. » tu plisses le nez et à la place des caresses que tu effectuais sur son torse, tu plantes les ongles. « pardon. »
un rire presque cristallin emplit la pièce vide et tu te redresses sur un coude pour le regarder, un sourire sur les lèvres. « oui, je vais bien. et j'ai même réussi à faire mon deuil, monsieur grimm. » et oui, le soleil qui brillait au dessus de lui toutes ces années s'était décalé pour briller au dessus de son ainé... à grand mal, car son cœur ne semblait pas vouloir partager les sentiments que tu éprouvais. « et tu as raison... mais c'est tout de même avec le petit frère de celui que j'aime que je viens de coucher. » et tu secoues la tête.
tu ne sais pas si tu pardonnerais un tel mal. « je nierai, michel. je nierai jusqu'à mourir qu'il s'est passé quelque chose entre nous... » seul le véritaserum pourra te délier la langue. « ... mais on peut recommencer, si tu veux. » que tu dis pour le faire rire.
tu lui tapes doucement le torse avant de te mettre sur le ventre et le visage entre les mains, ton flanc toujours contre le sien. « je suis surtout contente que tu ne sois pas parti. » et tu soupires. « qu'est-ce qu'il se passe exactement ? » ton regard se perd sur sa mâchoire et tu roules légèrement contre lui, le dos contre son flanc avant de te redresser et de grimper sur lui à califourchon. « tu étais très en colère dans le train, j'imagine qu'avec apolinne, ça ne va pas mieux ? » car depuis la première année, tu jures une rivalité nette avec ta cousine et d'autant plus quand elle a commencé sa relation avec michel-ange et que tu as pu constater que cet amour ne s'éteindrait jamais, même lorsqu'il était avec @céleste delacroix que tu as détesté pour son mensonge... mensonge que tu perpétues désormais. « on fera toujours souffrir les autres... qu'on le veuille ou non. apparemment, c'est comme ça que ça marche... l'amour. » tu rejettes tes cheveux en arrière et commences à faire des arabesques sur son torse. « allez, crache ton venin, je suis là maintenant. »
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Expertise : Sortilège de Désillusion !
Sortilège de Niv.6
Expertise : Incendio !
Sortilège de Niv.1
Expertise : Săgitae Argentum !
Sortilège de Niv.6
INFOS
Messages : 623
Faceclaim : Dylan O'Brien
Sang : Sang Pur
Profession : Forgeron-Enchanteur
Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Un long moment mutique, je me contentais de me redresser et d’allumer une cigarette. Je savais que ça avait tendance à énerver mon entourage, mais je ne fumais pas beaucoup et uniquement quand j’avais besoin de réfléchir. La mine un peu maussade, j’étais complètement enfoui dans mes propres pensées. Je regrettais d’avoir fait cela par rapport à mon frère et aussi par rapport à Apolline. Mais en même temps ? J’en avais aussi marre d’être la victime de leurs inactions. Nous n’avions rien fait de mal. J’essayais de m’en persuader.
« Nous avons une histoire familiale complexe, ancienne et qui a mauvaise réputation. »
Je regardais le sol un peu morose. Je savais que c’était ce qui avait bloquer notre relation avec Céleste, et c’est ce qui bloquerait avec Apolline. Je regardais le sol, sans un mot, véritablement trop silencieux ce qui n’était pas vraiment dans ma nature.
« Léo et moi, on est responsable de rien, mais on est associé à des voleurs de secrets magiques et des tueurs de Gobelins. »
Je me mis à ricaner quand elle me parla de Léonard et sa photo. Au fond… On renvoyait la même image. De ne pas savoir ce que l’on voulait. Mais on ne le faisait pas exprès, je venais d’en prendre conscience. C’était le fait d’avoir cette famille là, qui nous bloquait. Mais en même temps, on restait aussi très silencieux sur ce qui se passait chez nous.
« Vraiment ? Je cherche pas à comprendre… J’suis pas vraiment mieux tu sais... »
Je me recouchais, et quand je me recouchais, je sentis son visage se poser contre moi pour parler. C’était vraiment étrange, d’en arriver là avec Alycia. Je n’avais pas pour habitude de discuter dans cette position avec mes amis, mais maintenant qu’elle m’avait vu en tenue d’Adam, je n’arrivais plus à faire la part des choses. Je me mis à lui caresser les cheveux. C’était plus un vieux réflexe qu’une véritable affection.
« Elle ne me voit pas. Ou alors, elle fait semblant. »
Je continuais de fixer le plafond. Je marquais encore une pause pour effectuer un petit silence et je me contentais de répondre sur le ton de la conversation.
« Elle… elle passe son temps à refouler ses sentiments envers moi. C’est une certitude. Je ne sais pas pourquoi. Elle préfère certainement sa famille et sa carrière à son bonheur sentimental. Quoi qu’il en soit, c’est pire que si elle ne m’aimait pas du tout. »
Je me rendis soudain compte que c’était la situation qu’Alycia avait vécu avec moi. Me relevant un peu pour me dégager de son calin, je mis mes mains sur mes yeux et je fis un rictus gêné.
« Je suis désolé, j’voulais pas dire ça pour te vexer. Mais… C’est ce que je pense. »
Et si ? Je lâchais tout ? Si je balançais tout ce que j’avais sur le coeur, là maintenant ? Je n’avais jamais eu l’occasion de m’ouvrir avec qui que ce soit, sauf peut être Solvi qui me connaissait mieux que personne sentimentalement. Asel, elle, avait lâché l’affaire depuis longtemps et je la soupçonnais de ne vouloir rien entendre.
« Ca me rend malade, alors je ne fais que des mauvais choix et des mauvaises actions. Je pensais que passer à autre chose l’année dernière avec Céleste m’aiderait à aller mieux. Résultat, j’ai fait souffrir une personne en me rendant compte un peu tard que j’aimais encore Apolline. Céleste ne me pardonnera jamais, et elle aura bien raison. »
Je ressortis une cigarette, l’allumant d’un coup de baguette magique, toujours assis car je ne tenais pas beaucoup en place.
« Je suis piégé, enfin c’est le sentiment que j’en ai. Je suis dans une impasse. Alors j’aspire juste à être heureux, à l’oublier… Mais je crois qu’on est lié plus intimement que deux amants… Je… tu ne le dis à personne, mais nos baguettes sont jumelles. »
Pour appuyer mes propos, je levais la mienne.
« C’est pour ça que tu nous vois jamais ensemble dans n’importe quelle matière et au club de Duel. Asel pense que nous sommes des âmes sœurs. Moi je crois plutôt que je suis maudit à une personne qui ne veut rien entendre. »
« Nous avons une histoire familiale complexe, ancienne et qui a mauvaise réputation. »
Je regardais le sol un peu morose. Je savais que c’était ce qui avait bloquer notre relation avec Céleste, et c’est ce qui bloquerait avec Apolline. Je regardais le sol, sans un mot, véritablement trop silencieux ce qui n’était pas vraiment dans ma nature.
« Léo et moi, on est responsable de rien, mais on est associé à des voleurs de secrets magiques et des tueurs de Gobelins. »
Je me mis à ricaner quand elle me parla de Léonard et sa photo. Au fond… On renvoyait la même image. De ne pas savoir ce que l’on voulait. Mais on ne le faisait pas exprès, je venais d’en prendre conscience. C’était le fait d’avoir cette famille là, qui nous bloquait. Mais en même temps, on restait aussi très silencieux sur ce qui se passait chez nous.
« Vraiment ? Je cherche pas à comprendre… J’suis pas vraiment mieux tu sais... »
Je me recouchais, et quand je me recouchais, je sentis son visage se poser contre moi pour parler. C’était vraiment étrange, d’en arriver là avec Alycia. Je n’avais pas pour habitude de discuter dans cette position avec mes amis, mais maintenant qu’elle m’avait vu en tenue d’Adam, je n’arrivais plus à faire la part des choses. Je me mis à lui caresser les cheveux. C’était plus un vieux réflexe qu’une véritable affection.
« Elle ne me voit pas. Ou alors, elle fait semblant. »
Je continuais de fixer le plafond. Je marquais encore une pause pour effectuer un petit silence et je me contentais de répondre sur le ton de la conversation.
« Elle… elle passe son temps à refouler ses sentiments envers moi. C’est une certitude. Je ne sais pas pourquoi. Elle préfère certainement sa famille et sa carrière à son bonheur sentimental. Quoi qu’il en soit, c’est pire que si elle ne m’aimait pas du tout. »
Je me rendis soudain compte que c’était la situation qu’Alycia avait vécu avec moi. Me relevant un peu pour me dégager de son calin, je mis mes mains sur mes yeux et je fis un rictus gêné.
« Je suis désolé, j’voulais pas dire ça pour te vexer. Mais… C’est ce que je pense. »
Et si ? Je lâchais tout ? Si je balançais tout ce que j’avais sur le coeur, là maintenant ? Je n’avais jamais eu l’occasion de m’ouvrir avec qui que ce soit, sauf peut être Solvi qui me connaissait mieux que personne sentimentalement. Asel, elle, avait lâché l’affaire depuis longtemps et je la soupçonnais de ne vouloir rien entendre.
« Ca me rend malade, alors je ne fais que des mauvais choix et des mauvaises actions. Je pensais que passer à autre chose l’année dernière avec Céleste m’aiderait à aller mieux. Résultat, j’ai fait souffrir une personne en me rendant compte un peu tard que j’aimais encore Apolline. Céleste ne me pardonnera jamais, et elle aura bien raison. »
Je ressortis une cigarette, l’allumant d’un coup de baguette magique, toujours assis car je ne tenais pas beaucoup en place.
« Je suis piégé, enfin c’est le sentiment que j’en ai. Je suis dans une impasse. Alors j’aspire juste à être heureux, à l’oublier… Mais je crois qu’on est lié plus intimement que deux amants… Je… tu ne le dis à personne, mais nos baguettes sont jumelles. »
Pour appuyer mes propos, je levais la mienne.
« C’est pour ça que tu nous vois jamais ensemble dans n’importe quelle matière et au club de Duel. Asel pense que nous sommes des âmes sœurs. Moi je crois plutôt que je suis maudit à une personne qui ne veut rien entendre. »
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
INFOS
FICHE DE PERSO
we gonna break your hearts. ft. @michel-ange grimm
alors que tu le chevauchais, et que tu cherchais à comprendre ses maux, tu te rendis vite compte que le moment passé venait justement de s'éteindre.
après avoir écouté ses soucis émotionnels, tu tentes de démêler tout cela sans pour autant prendre position. comme il l'avait fait juste avant avec @léonard grimm... il venait de défendre celui qui te brisait le cœur par mille façons.
mais sans doute parce que michel-ange a été le première à te détruire de cette manière. prenant rapidement conscience de ses incertitudes, il confirme la tienne : tu n'aurais pas aimé cette facette là du blaireau, qui pourtant t'a aidé à être plus ouverte, plus lumineuse.
ce côté-là de lui ne te plait absolument pas. et pourtant, tu te sens bien plus proche de lui quand il est dans cet état que lorsqu'il sourit au monde.
étrange sentiment que vient traduire ton cœur.
se redressant pour empester encore la pièce de sa nicotine, tu te pousses finalement et attrapes tes sous-vêtements. consciente que la conversation actuelle n'appellera pas à occulter vos douleurs à nouveau. « tu ne me vexes pas. » que tu dis en haussant les épaules. « je ne prends pas pour moi ce que tu racontes à propos d'apolline ou céleste. » et après avoir remis ta culotte et ton soutien-gorge, tu te tournes vers lui en haussant un sourcil. « ça m'est passé, je t'ai dit. » un sourire entendu qui glisse sur tes lèvres pour qu'il n'y ait plus besoin d'y penser, ni de se référer à toi. malgré l'immense douleur que tu as ressenti, cet amour a surtout eu le don de tout détruire... céleste, apolline et même toi et léonard.
tu soupires en l'écoutant se plaindre, se morfondre. tu ne l'as jamais connu si abattu, apolline ignore combien elle a détruit la confiance qu'il avait en lui et les autres. « c'est sûr qu'en s'apitoyant de la sorte, tu vas faire de grandes choses. » que tu finis par dire sur un ton dur, les bras croisés, toujours debout à le regarder sans offrir le moindre sourire, seul un regard un peu brumeux. « si tu es persuadé de faire de mauvais choix, arrête d'en faire alors ? mais dans ce cas, ne te plains pas de l'inaction. » tu soupires en décroisant les bras et cherches ton uniforme par terre. « sans ces choix, tu ne saurais pas le quart de ce que tu me racontes. » ni la certitude de ses sentiments pour ta cousine, bien que ça t'arrache un peu la langue de l'avouer. « sans ces mauvais choix, tu ne serais pas certain que c'est elle, et personne d'autre. »
et quand il vient à te confier le secret de leurs baguettes, tu restes un moment interdite en regardant l'objet brandit entre vous. tu t'accroupies en tenant ta robe entre les doigts et observes l'objet de ton ancien amour. « alors tu dois simplement prendre ton mal en patience. » que tu finis par dire en continuant de fixer sa baguette. « c'est extrêmement rare les baguettes jumelles... même si je ne suis pas de ceux qui croient à ces idioties de destin... cela reste exceptionnel. » remettant les cheveux en état de ton amant d'un coup. « ne perds simplement pas espoir, ne fais pas comme moi. » quand tu as fini par souffler ton amour à michel-ange, déjà persuadée du rejet, et de l'abandon dont tu faisais preuve face à léonard. peut-être qu'il serait temps de te battre, toi aussi. de montrer que tu n'es pas abattue, et que s'il en vaut la peine, c'est que tu es prête à faire aussi des efforts de ton côté. d'oublier ton égo.
peut-être.
ton regard se voilant légèrement en repensant à l'inconcevable, des douleurs que vous étiez prêt à faire endurer aux autres par pure faiblesse. « j'aime ton frère, sincèrement. » que tu finis par dire pour briser un peu ce chamboulement d'information. « peut-être même davantage que j'ai pu t'aimer. » puisqu'il n'y a jamais eu de secret avec léonard. « ton frère me fait bien plus souffrir que tu n'as pu le faire. » et en te rhabillant, tu décrètes cependant. « mais je n'abandonnerai pas, finalement. » car la situation de michel-ange et apolline te donne envie de ne surtout pas finir comme eux.
même si la base sera construite sur un mensonge immonde, un secret étrange. mais peu importe, l'amour n'a jamais été clair.
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Expertise : Sortilège de Désillusion !
Sortilège de Niv.6
Expertise : Incendio !
Sortilège de Niv.1
Expertise : Săgitae Argentum !
Sortilège de Niv.6
INFOS
Messages : 623
Faceclaim : Dylan O'Brien
Sang : Sang Pur
Profession : Forgeron-Enchanteur
Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
J’avais brusquement écraser ma cigarette. Comme si ce qu’elle venait de dire m’avait brusquement piqué au vif. Oui, ça m’avait piqué. Mais en bien. Un élan d’énergie nouveau avait parcourut mon corps, et était parti de mon coeur.
« Moi ? Inactif et regarder ma vie défiler ? Jamais ! »
J’avais moi aussi remis mon caleçon. Parce que ouais, j’étais le genre de gars à mettre des caleçons. Déjà je voulais pas finir stérile et c’était prouvé que ça avait un impact là dessus, et en plus j’étais plus à l’aise. Je me levais, pour la regarder de haut avec un léger sourire en coin :
« Tu as raison ! C’est nos échecs qui font ce que nous sommes. »
Je souriais un peu plus largement. Elle m’avait rappeler l’adage auquel je me fiais et que je m’efforçais d’appliquer à moi et que j’imposais aussi à mon entourage.
« Ne jamais rien lâcher. Ne jamais abandonner. Ni rien ni personne. »
Je tendis une main pour passer ma main dans les cheveux d’Alycia. Puis je m’accroupis derrière elle. J’avais besoin d’un peu d’affection. Ce que je n’arrivais pas à avoir avec d’autres, j’essayais de le prendre un peu avec Alycia. C’est ce que j’avais fait ce soir et c’est ce qu’elle faisait aussi avec moi. Au fond, nous étions tous des êtres en besoin affectifs permanents.
« Hé ! Tu pars déjà ! »
Je me reculais et fronçais un peu les sourcils quand elle s’habilla. Bon, c’était un peu de ma faute aussi. J’avais fait tourné la conversation au vinaigre avec mon mood un peu négatif. Un peu… c’était un bien grand mot. Je lui attrapais la manche, et je la forçais à revenir dans mes bras.
« Attends, reste. »
Je ne voulais pas que ça s’arrête maintenant. Je savais qu’il fallait couper l’enchantement comme disait mon père quand il parlait des artefacts mais… Je ne pouvais pas m’y résoudre. J’avais encore besoin de la sentir contre moi. Aussi ; alors que je l’invitais à se rasseoir à côté de moi, je me rhabillais aussi sommairement d’un coup de baguette magique.
Clignant plusieurs fois des yeux rapidement, comme je le faisais à chaque fois que je réfléchissais, je finis par dire.
« Je ne sais pas si Léo t’aime. Il est très complexe. On se ressemble pas beaucoup tu sais. Il aime sa liberté, sa vie, et il en fait parfois qu’à sa tête. Mais… Crois moi. C’est étrange qu’il cherche à ce point là à te blesser. Je le connais bien. Il essaie de voir à quel point tu l’aimes et surtout à quel point il peut t’aimer… Et là où nous nous ressemblons... »
Je passais ma main dans ses cheveux, avec un léger sourire mélancolique. Elle avait les même que sa cousine Apolline Dunn.
« C’est que nous vivons par passion tout ce que nous entreprenons. Si penses qu’il est passionné avec toi, alors je pense que tu peux garder espoir... »
J’avais l’air malin. J’avais couché avec celle qui, j’étais maintenant persuadé, mon frère avait dans son coeur. Cela ne devait jamais se savoir. Je m’assombris légèrement et je posais finalement ma tête contre elle. C’était un curieux paradoxe d’en être arrivé là.
« Je me sens idiot et j’ai l’impression d’avoir fait beaucoup de mal ce soir. » dis-je en gardant toujours ma main dans ses cheveux.
Et après tout ?
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
INFOS
FICHE DE PERSO
we gonna break your hearts. ft. @michel-ange grimm
ravie d'avoir réveillé la flamme qui dormait en son sein. tu t'apprêtes à fuir la salle et les horreurs que tu venais de commettre.
il fallait digérer et prendre le recul nécessaire. tu devras vivre avec une culpabilité lancinante que tu feras taire coûte que coûte pour ne pas déclencher une myriade de bombes dans le château. entre @apolline dunn et @léonard grimm, tu savais que vos vies seraient en danger. à l'un comme à l'autre.
tu te rends compte à quel point ce que tu viens de faire est risible, et que tu n'as aucune excuse à offrir. pas même ta propre douleur... rien ne pardonne ce forfait, et tu le sais. ton ventre se tord dans tous les sens alors que tu y poses les mains avec force comme si ce simple geste pouvait faire disparaître l'affreuse douleur.
il faudra t'habituer à la sentir. à la ressentir. car c'est maintenant ton fardeau. ta faute... ta douleur.
mais tu sens ta manche être tirée, tu sens la détresse encore présente du blaireau. et alors que tu regardes la porte avec envie, tu finis par céder une nouvelle fois à cette faiblesse qui te fait mal à avouer.
gagnant à nouveau ses bras, tu le laisses jouer dans tes cheveux alors que sa tête se pose tout contre toi après avoir donné son avis sur les sentiments de celui que tu aimes sans fin.
les larmes viennent glisser toutes seules les longs de tes joues pâlies par l'horreur et la faute. cet espoir dont il parle, tu viens de le tuer... de l'annihiler dans l'œuf en faisant avec michel-ange ce que léonard t'a refusé par deux fois.
tu te sens aussi idiote et tu ne sais pas quoi répondre à tout cela.
tu hésites entre rire et pleurer davantage... pourtant, la raison te ferait prendre la porte que tu claquerais derrière toi avec force en nourrissant ce maigre espoir. mais tu ne peux pas te montrer si naïve, tu sais que c'est fichu si tout se sait.
et tu as besoin de ce contact pour te rassurer, tu as besoin de ces bras pour pleurer, besoin de cette chaleur pour ne pas sombrer davantage.
tu restes un moment sans oser bouger avant de te défaire de sa prise sur tes cheveux et après avoir entouré son cou de tes bras, tu viens à déposer un nouveau baiser sur ses lèvres. « tu pues le tabac. » que tu finis par dire, un léger sourire sur les lèvres, les larmes ne cessant de courir et de s'écraser entre vous.
mais tu réitères, offres à nouveau tes lèvres pour oublier les douleurs qui vous étranglent. oubliant à quel point ce que tu fais, ce que vous faites détruit davantage le monde qui vous entoure.
mais après tout, ils vous refusent ce que vous demandez avec autant de hargne... ils refusent la chaleur que vous réclamez, refusent l'amour dont vous avez besoin et que vous donnez... alors pourquoi ? pourquoi vous devriez vous le refuser s'il n'y a rien de plus qu'un soutien charnel ?
la déraison nourrit en toi des crevasses de remords mais tu ne peux t'empêcher de pleurer en t'offrant entièrement.
mêlant le tabac au goût salé, offrant ta langue et ton corps à celui qui, quelques mois plus tôt, te repoussait par amour pour d'autres.
d'ordinaire, ta fierté aurait repousser toutes les avances mais cela s'est fait tellement naturellement que c'en est effrayant. « n'ont-ils pas créer ce mal à la base ? » que tu finis par dire en te laissant respirer, tentant d'ensevelir la salissure sous le mensonge de la mauvaise foi.
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Expertise : Sortilège de Désillusion !
Sortilège de Niv.6
Expertise : Incendio !
Sortilège de Niv.1
Expertise : Săgitae Argentum !
Sortilège de Niv.6
INFOS
Messages : 623
Faceclaim : Dylan O'Brien
Sang : Sang Pur
Profession : Forgeron-Enchanteur
Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Je sentais bien que ça l’affectait. Je sentais dans le ton de sa voix et dans son attitude sa culpabilité. Une lueur assez farouche dans mes yeux s’illumina. Parce que nous n’avions rien fait de mal. D’après ce que j’en avais compris, elle vivait à peu prêt la même chose que moi. Alors… La conséquence était certes grave pour eux, mais… en même temps ? Ce n’était pas aussi de leur responsabilité ? L’esprit un peu embrouillé, je me contentais de dire après son baiser et sa question :
« J’en sais trop rien. »
J’étais vraiment perdu. Totalement paumé. D’un côté j’avais abandonné Céleste car je m’étais rendu compte que j’aimais bien plus Apolline et que je me refusais de la faire souffrir. Puis, pensant qu’Apolline reviendrait dans mes bras avec facilité je m’étais complètement planté. Du coup, isolé et perdu, j’en étais venu à commettre ce que je venais de commettre avec Alycia. Mais en même temps…
« C’est fait, de toute façon. A moins d’avoir un retourneur de temps, je crois que c’est inévitable. »
Je lui offrais un sourire désolé. Puis je la serrai contre moi. Je savais que je cherchais à combler un manque en faisant cela. Mais j’avais toujours cette crainte. Etait-elle vraiment plus amoureuse de moi ? Elle me l’avait dit par deux fois mais… N’étais-je pas en train de faire souffrir une énième personne.
« L’avantage c’est qu’on peut recommencer autant de fois qu’on veut. »
J’avais ricaner et fais cette petite vanne pour essayer de détendre l’atmosphère. Puis j’avais soupirer. D’un vrai soupire de lassitude…
« Léo ne m’a jamais rien dit, mais il faut dire qu’en ce moment, on se voit pas beaucoup. »
On avait passé l’été à courir à droite et à gauche, sans qu’on puisse se croiser. Maintenant, j’étais pris de profonds remords. Pas envers Apolline, non, si elle me voulait, elle savait où elle avait à toquer. Non, j’étais vraiment pris de remords vis à vis de mon propre frère que je venais certainement de blesser sans le vouloir. J’avais promis de rien dire. Mais n’aggravais-je pas la situation ?
« Mais je le connais. T’inquiète. Crois-moi, quand cet imbécile se rendra compte qu’il t’aime ; il fera tout pour venir à toi. C’est un Grimm. On met longtemps à savoir ce qu’on veut, mais quand on le sait, on ne lâche pas l’affaire facilement. »
Et voilà qu’on en était à parler de nos sentiments respectifs sur ceux qu’on aimait. Je m’écartais un peu d’Alycia quand je commençais à parler d’eux, j’avais l’impression de rendre la trahison encore plus concrète en continuant à lui montrer des marques d’affection. Pourtant… Je l’avais toujours trouver véritablement joli et ce n’était pas l’envie qui me manquait de recommencer mais…
« Ta rentrée c’est bien passée ? »
Je restais assis, très proche d’elle, à observer encore ses lèvres avec envie. J’avais décidé de parler de tout et de rien… Au final, c’était peut être mieux de passer ce qui venait de se produire sous silence non ?
« J’en sais trop rien. »
J’étais vraiment perdu. Totalement paumé. D’un côté j’avais abandonné Céleste car je m’étais rendu compte que j’aimais bien plus Apolline et que je me refusais de la faire souffrir. Puis, pensant qu’Apolline reviendrait dans mes bras avec facilité je m’étais complètement planté. Du coup, isolé et perdu, j’en étais venu à commettre ce que je venais de commettre avec Alycia. Mais en même temps…
« C’est fait, de toute façon. A moins d’avoir un retourneur de temps, je crois que c’est inévitable. »
Je lui offrais un sourire désolé. Puis je la serrai contre moi. Je savais que je cherchais à combler un manque en faisant cela. Mais j’avais toujours cette crainte. Etait-elle vraiment plus amoureuse de moi ? Elle me l’avait dit par deux fois mais… N’étais-je pas en train de faire souffrir une énième personne.
« L’avantage c’est qu’on peut recommencer autant de fois qu’on veut. »
J’avais ricaner et fais cette petite vanne pour essayer de détendre l’atmosphère. Puis j’avais soupirer. D’un vrai soupire de lassitude…
« Léo ne m’a jamais rien dit, mais il faut dire qu’en ce moment, on se voit pas beaucoup. »
On avait passé l’été à courir à droite et à gauche, sans qu’on puisse se croiser. Maintenant, j’étais pris de profonds remords. Pas envers Apolline, non, si elle me voulait, elle savait où elle avait à toquer. Non, j’étais vraiment pris de remords vis à vis de mon propre frère que je venais certainement de blesser sans le vouloir. J’avais promis de rien dire. Mais n’aggravais-je pas la situation ?
« Mais je le connais. T’inquiète. Crois-moi, quand cet imbécile se rendra compte qu’il t’aime ; il fera tout pour venir à toi. C’est un Grimm. On met longtemps à savoir ce qu’on veut, mais quand on le sait, on ne lâche pas l’affaire facilement. »
Et voilà qu’on en était à parler de nos sentiments respectifs sur ceux qu’on aimait. Je m’écartais un peu d’Alycia quand je commençais à parler d’eux, j’avais l’impression de rendre la trahison encore plus concrète en continuant à lui montrer des marques d’affection. Pourtant… Je l’avais toujours trouver véritablement joli et ce n’était pas l’envie qui me manquait de recommencer mais…
« Ta rentrée c’est bien passée ? »
Je restais assis, très proche d’elle, à observer encore ses lèvres avec envie. J’avais décidé de parler de tout et de rien… Au final, c’était peut être mieux de passer ce qui venait de se produire sous silence non ?
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
|
|