:: RPS Archivés
Page 2 sur 2 • 1, 2
Deux inconnus, qu'un geste imprévu, rapproche en secret {Charles}
INFOS
FICHE DE PERSO
TW : érotisme ( parce qu'il faut quand même ! ), sang (pas assez ! )
Il faut croire qu’elle n’était pas la seule à avoir les idées mal placé et que ses mots n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Alors qu’il l’embrasser de nouveau, qu’ils transplaner, elle se retrouva ni plus ni moins que dans son lit. Lieu qui était bien plus en accord avec ses propres pensées. Captivé par sa brutalité sa façon de la regardé, comme un loup prêt à dévoré sa proie, elle appréciait l’adrénaline qui parcourait ses veines. Il lui donnait toujours cette impression de danger et le danger… elle adorait ça ! Elle avait oublié à quel point c’était grisant. Mais avait-elle vraiment déjà ressentit quelque chose d’aussi… intense ? Sa fougue lui laissait préduire qu’il serait violent. Agressif. Brutal. Pour assouvir au plus vite leur besoin de sentir leur corps au plus près. Sans artifice. Sans vêtement. L’appel du corps et de la chair. L’appel de l’autre. Ce besoin de sentir l’autre encore plus près. De ne faire qu’un. D’assouvir au plus vite ce désir qui montait en elle comme pour lui. Même si chez lui, ça n’était pas qu’au figuré mais visible. Bientôt il manquerait d’espace mais elle ne donnait pas plus de dix minutes à leur vêtement avant de retrouver le sol. Et pourtant… A sa plus grande surprise, il se montra doux dans ses coups de rein, alors qu’elle se retrouvait nu face à lui. Dans toute les sens du terme. Charles était prévenant dans ses regards. Tendre dans ses caresses. Affectueux dans ses baisers. Lara accepta même de lui laisser les rennes, elle qui préféré être celle qui chevauche. Celle qui donne le rythme et se mouve sur le corps de l’autre.
« Désolé ? » demanda-t-elle en se mordillant la lèvre inférieur, alors qu’il souligner un désir de 3ème rendez avant de passer à la phase « sexe ». Evidemment elle ne l’était pas le moins du monde. Un sourire était accroché à ses lèvres. Elle aussi à vrai dire n’aurait pas pensé se retrouver ici avec Charles. Pas comme ça. Aussi vite. « Je croyais que tu faisais rarement de 3ème rendez vous ? » rétorqua-t-elle avec insolence, ayant envie d’avoir les derniers mots. « Je peux te lancer un sort d’oubliette si tu préfère » lança-t-elle toujours aussi taquine avant qu’il n’énonce qu’il avait rarement connu ça. Elle ferma les yeux pour savouré l’instant. Elle aussi. Son sourire de bonheur s’agrandit quand il la serra contre elle. Comme une étrange impression de légèreté. Comme si là dans ses bras, le monde avait cesser d’être compliqué. Comme si seul sa tendresse lui suffisait.
« Idiot ! » lança-t-elle en lui donnant une légère tape sur le bras alors qu’il évoquait son petit ami imaginaire. Juste avant de se pencher pour poser ses lèvres sur les siennes.
« Peut-être. » reprit-elle avec malice, la façon dont elle le regardait trahissant son affection. Leur échange fût malheureusement interrompus par un bruit de transplanage. Lara le laissa s’en aller, priant intérieurement pour que ce ne soit sa femme qui venait de rentré. Encore nu dans le lit de Charles, elle ne savait pas si elle devait bougeait. Elle entendit une voie dans le salon. Masculine. Elle poussa un soupir de soulagement et se rhabilla d’un coup de baguette avant de doucement s’avancer. Sous ses yeux se passa un spectacle qu’elle n’aurait pas pût imaginer. Un homme blessé par une flèche. Mais pourquoi était-il ici plutôt qu’à saint Mangouste ?!? Et voilà que Charles lui demandait son aide. Elle sortit de l’ombre dans lequel elle était tapis jusqu’à présent et les rejoignit
. « C’est un loup garou ? » demanda-elle en essayant de comprendre. Elle avait eu ses MULOTS, elle savait ce que flèche en argent signifiait. Le pauvre inconnu avait l’air mal en points. « Je l’enlève à trois. » dit-elle, consciente que la situation était plus urgente que ses questions. « Un… » Et Lara enleva la flèche d’un grand sec alors que Matthias se mettait à hurler…
****
« Désolé ? » demanda-t-elle en se mordillant la lèvre inférieur, alors qu’il souligner un désir de 3ème rendez avant de passer à la phase « sexe ». Evidemment elle ne l’était pas le moins du monde. Un sourire était accroché à ses lèvres. Elle aussi à vrai dire n’aurait pas pensé se retrouver ici avec Charles. Pas comme ça. Aussi vite. « Je croyais que tu faisais rarement de 3ème rendez vous ? » rétorqua-t-elle avec insolence, ayant envie d’avoir les derniers mots. « Je peux te lancer un sort d’oubliette si tu préfère » lança-t-elle toujours aussi taquine avant qu’il n’énonce qu’il avait rarement connu ça. Elle ferma les yeux pour savouré l’instant. Elle aussi. Son sourire de bonheur s’agrandit quand il la serra contre elle. Comme une étrange impression de légèreté. Comme si là dans ses bras, le monde avait cesser d’être compliqué. Comme si seul sa tendresse lui suffisait.
« Idiot ! » lança-t-elle en lui donnant une légère tape sur le bras alors qu’il évoquait son petit ami imaginaire. Juste avant de se pencher pour poser ses lèvres sur les siennes.
« Peut-être. » reprit-elle avec malice, la façon dont elle le regardait trahissant son affection. Leur échange fût malheureusement interrompus par un bruit de transplanage. Lara le laissa s’en aller, priant intérieurement pour que ce ne soit sa femme qui venait de rentré. Encore nu dans le lit de Charles, elle ne savait pas si elle devait bougeait. Elle entendit une voie dans le salon. Masculine. Elle poussa un soupir de soulagement et se rhabilla d’un coup de baguette avant de doucement s’avancer. Sous ses yeux se passa un spectacle qu’elle n’aurait pas pût imaginer. Un homme blessé par une flèche. Mais pourquoi était-il ici plutôt qu’à saint Mangouste ?!? Et voilà que Charles lui demandait son aide. Elle sortit de l’ombre dans lequel elle était tapis jusqu’à présent et les rejoignit
. « C’est un loup garou ? » demanda-elle en essayant de comprendre. Elle avait eu ses MULOTS, elle savait ce que flèche en argent signifiait. Le pauvre inconnu avait l’air mal en points. « Je l’enlève à trois. » dit-elle, consciente que la situation était plus urgente que ses questions. « Un… » Et Lara enleva la flèche d’un grand sec alors que Matthias se mettait à hurler…
@Charles Graham
INFOS
FICHE DE PERSO
Sans un mot, j’observais de manière concentré Lara retirer la flèche. Elle avait eu la délicatesse de ne poser aucune question… Sauf celle qui était fatidique. Sans rien dire, je m’étais accroupi auprès d’elle et j’avais simplement répondu :
« Oui, s’en est un. »
Puis, une fois la flèche retirée, j’avais immédiatement apposé ma main pour éviter au sang de sortir. Même si je n’étais pas médicomage, j’avais fait cela plusieurs fois pour sauver mes congénères. Déposant ma baguette sur sa plaie, je murmurais.
« Vulnera Sanature, Vulnera Sanature... »
Ca sonnait comme un champs ancien. La plaie ne se referma pas, et Matthiaus restait blême. Je savais que le problème était complexe. Sans un mot, j’observais le carreau d’arbalète à la lumière du feu de cheminée que j’avais allumé d’un coup de baguette.
« De l’argent. » dis-je avec mépris.
Il allait mourir. Si certains éclats étaient restés, comme le faisait cette matière, elle allait droit dans son coeur de Loup, et il mourrait très certainement. Il n’y avait plus rien à faire, si ce n’est attendre. D’un coup de baguette, je fis apparaître un parchemin et je l’envoyais rejoindre Zahra. Peut être arriverait-elle à temps pour le sauver ?
Sans un mot, je continuais d’observer la plaie qui n’arrivait pas à guérir. Normalement, notre corps était capable de cicatriser plus rapidement mais ce n’était plus le cas lors d’une blessure à l’Argent. J’utilisais alors un sort que je connaissais pour ralentir un peu le saignement et je cautérisais la plaie dans un maléfice obscure. La plaie devint rouge incandescente et il se mit à hurler avant de tomber dans les pommes.
Une fois cela fait, je me mis à le porter pour l’amener dans mon lit. Il y avait encore une odeur de tension sexuelle dans l’air. Aussi, par respect pour mon blessé, j’allais ouvrir la fenêtre. En attendant Zahra, je pris doucement Lara par le bras et je l’entraînais vers mon salon.
« Ecoute… Je veux que tu ne parles de ça à personne... »
Je la tenais par les deux épaules. Elle était plus petite que moi et nous avions passé un si bon moment quelques minutes avant à peine. Sans un mot, je regardais autour de moi. Allais-je tout lui avouer ? Ou… Juste une partie. Oui, juste un partie. Après tout je n’avais plus vraiment le choix désormais.
« J’en suis un également… Mais ça, tu as du t’en douter… Tu es une fille intelligente. Aussi, si tu veux t’en aller et... »
D’un regard douloureux, je regardais ailleurs. Nous avions toujours été traité comme des moins que rien par les non-Loups. Lara ne ferait pas exception et c’était pour cela qu’à l’origine, je ne m’accouplais qu’avec des Louves.
« Je comprendrais tout à fait. Je suis désolé pour tout ça Lara… Je… je pensais vraiment que je pourrai faire semblant et te cacher ma vraie nature. Mais visiblement, c’est impossible dans ce monde de fou furieux. »
Je l’embrassais et je la serrai comme si j’allais la serrer contre moi une dernière fois.
« Tu devrais t’en aller, une Médicomage, une amie de… des Loups ne devrait pas tarder… Je ne veux pas qu’on t’associe à moi et... »
Au fond de moi, j’avais une furieuse envie qu’elle me gifle, ou qu’elle me frappe et qu’elle me dise qu’elle allait rester dans cette merde qui était arrivé jusqu’à nous d’eux. C’était tout ce que je voulais et j’étais prêt à tout pour ça. Mais… Allait-elle faire ça ?
Ou partir ?
Ou pire.
Nous dénoncer.
Pour elle, c’était l’heure du choix.
« Oui, s’en est un. »
Puis, une fois la flèche retirée, j’avais immédiatement apposé ma main pour éviter au sang de sortir. Même si je n’étais pas médicomage, j’avais fait cela plusieurs fois pour sauver mes congénères. Déposant ma baguette sur sa plaie, je murmurais.
« Vulnera Sanature, Vulnera Sanature... »
Ca sonnait comme un champs ancien. La plaie ne se referma pas, et Matthiaus restait blême. Je savais que le problème était complexe. Sans un mot, j’observais le carreau d’arbalète à la lumière du feu de cheminée que j’avais allumé d’un coup de baguette.
« De l’argent. » dis-je avec mépris.
Il allait mourir. Si certains éclats étaient restés, comme le faisait cette matière, elle allait droit dans son coeur de Loup, et il mourrait très certainement. Il n’y avait plus rien à faire, si ce n’est attendre. D’un coup de baguette, je fis apparaître un parchemin et je l’envoyais rejoindre Zahra. Peut être arriverait-elle à temps pour le sauver ?
Sans un mot, je continuais d’observer la plaie qui n’arrivait pas à guérir. Normalement, notre corps était capable de cicatriser plus rapidement mais ce n’était plus le cas lors d’une blessure à l’Argent. J’utilisais alors un sort que je connaissais pour ralentir un peu le saignement et je cautérisais la plaie dans un maléfice obscure. La plaie devint rouge incandescente et il se mit à hurler avant de tomber dans les pommes.
Une fois cela fait, je me mis à le porter pour l’amener dans mon lit. Il y avait encore une odeur de tension sexuelle dans l’air. Aussi, par respect pour mon blessé, j’allais ouvrir la fenêtre. En attendant Zahra, je pris doucement Lara par le bras et je l’entraînais vers mon salon.
« Ecoute… Je veux que tu ne parles de ça à personne... »
Je la tenais par les deux épaules. Elle était plus petite que moi et nous avions passé un si bon moment quelques minutes avant à peine. Sans un mot, je regardais autour de moi. Allais-je tout lui avouer ? Ou… Juste une partie. Oui, juste un partie. Après tout je n’avais plus vraiment le choix désormais.
« J’en suis un également… Mais ça, tu as du t’en douter… Tu es une fille intelligente. Aussi, si tu veux t’en aller et... »
D’un regard douloureux, je regardais ailleurs. Nous avions toujours été traité comme des moins que rien par les non-Loups. Lara ne ferait pas exception et c’était pour cela qu’à l’origine, je ne m’accouplais qu’avec des Louves.
« Je comprendrais tout à fait. Je suis désolé pour tout ça Lara… Je… je pensais vraiment que je pourrai faire semblant et te cacher ma vraie nature. Mais visiblement, c’est impossible dans ce monde de fou furieux. »
Je l’embrassais et je la serrai comme si j’allais la serrer contre moi une dernière fois.
« Tu devrais t’en aller, une Médicomage, une amie de… des Loups ne devrait pas tarder… Je ne veux pas qu’on t’associe à moi et... »
Au fond de moi, j’avais une furieuse envie qu’elle me gifle, ou qu’elle me frappe et qu’elle me dise qu’elle allait rester dans cette merde qui était arrivé jusqu’à nous d’eux. C’était tout ce que je voulais et j’étais prêt à tout pour ça. Mais… Allait-elle faire ça ?
Ou partir ?
Ou pire.
Nous dénoncer.
Pour elle, c’était l’heure du choix.
INFOS
FICHE DE PERSO
C’était irréaliste ! La plupart des choses avec Charles l’était et elle avait sa curieuse impression que ça aller l’être souvent. Il y a à peine une heure elle était au chaudron baveur à deux doigt de ne plus jamais revoir Charles. Il y à peine dix minutes elle unissait son corps au sien. Et voilà que maintenant elle se retrouvait à endosser le rôle d’infirmière, elle qui avait toujours trouvé ce fantasme surfait. Irréaliste ! C’était irréaliste ! Son Charles – en avait-elle le droit ? De l’appeler ainsi ? Elle se l’autorisait sans sa tête ! – essayait tant bien que mal de soigner le blesser mais ça n’avait pas l’effet escompté. Elle déglutit avec difficulté, un frisson parcourant son corps alors que Charles formulait à haute voie ce qu’elle voyait déjà. De l’argent. Il avait confirmé que c’était un loup garou, l’inconnu avait donc peu de temps devant lui avant de rendre l’âme. Lara ne le connaissait que depuis quelque seconde, mais une vie reste une vie et elle ne pouvait pas se montré insensible face à celle qui allait s’éteindre. Elle adressa alors un regard plein de compassion à cet homme qui vivait ses derniers instants. Charles essaya tant bien que mal de le soulager et il finit par tomber dans les pommes. Une fois que l’homme fût dans sa chambre, Charles emmena Lara à l’écart. Ça faisait beaucoup à digéré en peu de temps. Elle qui adorait l’action était servit ! Est-ce qu’elle avait deviné que Charles était également un loup garou ? Oui. Ça lui semblait le plus logique pour expliquer cet impression de danger quand elle était à ses côtés. Pour expliquer à quel point il pouvait… la captiver. Charles n’était pas quelqu’un de commun. Réellement ! Elle comprenait mieux désormais.
« Arrête de me dire de m’en aller, ça devient agaçant ! » répondit-elle pinçante, du tac au tac alors qu’il lui laisser le choix de partir. Ça lui donner l’impression qu’il la mettait dehors, qu’il la repousser et c’était… juste très déplaisant ! Elle n’était pas une petite chose fragile qu’on doit protéger et c’était son choix d’être ici. Ça avait été son choix de poser ses lèvres sur les siennes au lieu de lui laisser croire qu’elle était en couple. Bien sûr à ce moment elle ignorait qu’il possédait bien plus de poil que ceux sous sa chemise. Mais quand même !
« Tu pensais vraiment que tu pourrai faire semblant et me cacher ma vraie nature ? Tu veux dire… Me mentir ? »
C’était comme si l’idée lui était plus insupportable que d’apprendrez qu’il était un loup garou et dans un sens c’était le cas ! Lara pouvait pardonner et accepter bien des choses, mais le mensonge… La trahison… Non. Ça c’était au dessus de ses forces. Elle avait déjà été bien trop trompé par le passé. Elle poussa un soupir de satisfaction alors qu’il écrasait ses lèvres sur les siennes, réduisant à néant le début de colère qui pourrait naitre en elle. « Tu dis toujours aux femmes ce qu’elles doivent faire ? Ou ça m’est réservé ? » Elle poussa un soupir agacer.
« Je veux la vérité. TOUTE la vérité. Pas juste celle que tu es prêt à me dire pour être certain que je reste. Je veux l’entière vérité. Je veux savoir qui tu es parce…. L’homme qui m’a fait l’amour il y a une trentaine de minute… je n’arrive pas à le voir comme un monstre. Cet homme là est aussi homme que moi. Alors je veux que tu me dise tout afin de savoir si JE veux partir. Et non parce que tu me l’ordonne ou que ce serait plus simple pour toi ! Je veux tout savoir. Je ne suis pas fragile Charles, je peux tout entendre. »
« Arrête de me dire de m’en aller, ça devient agaçant ! » répondit-elle pinçante, du tac au tac alors qu’il lui laisser le choix de partir. Ça lui donner l’impression qu’il la mettait dehors, qu’il la repousser et c’était… juste très déplaisant ! Elle n’était pas une petite chose fragile qu’on doit protéger et c’était son choix d’être ici. Ça avait été son choix de poser ses lèvres sur les siennes au lieu de lui laisser croire qu’elle était en couple. Bien sûr à ce moment elle ignorait qu’il possédait bien plus de poil que ceux sous sa chemise. Mais quand même !
« Tu pensais vraiment que tu pourrai faire semblant et me cacher ma vraie nature ? Tu veux dire… Me mentir ? »
C’était comme si l’idée lui était plus insupportable que d’apprendrez qu’il était un loup garou et dans un sens c’était le cas ! Lara pouvait pardonner et accepter bien des choses, mais le mensonge… La trahison… Non. Ça c’était au dessus de ses forces. Elle avait déjà été bien trop trompé par le passé. Elle poussa un soupir de satisfaction alors qu’il écrasait ses lèvres sur les siennes, réduisant à néant le début de colère qui pourrait naitre en elle. « Tu dis toujours aux femmes ce qu’elles doivent faire ? Ou ça m’est réservé ? » Elle poussa un soupir agacer.
« Je veux la vérité. TOUTE la vérité. Pas juste celle que tu es prêt à me dire pour être certain que je reste. Je veux l’entière vérité. Je veux savoir qui tu es parce…. L’homme qui m’a fait l’amour il y a une trentaine de minute… je n’arrive pas à le voir comme un monstre. Cet homme là est aussi homme que moi. Alors je veux que tu me dise tout afin de savoir si JE veux partir. Et non parce que tu me l’ordonne ou que ce serait plus simple pour toi ! Je veux tout savoir. Je ne suis pas fragile Charles, je peux tout entendre. »
@Charles Graham
INFOS
FICHE DE PERSO
« Très bien. »
J’avais dit ça d’une voix assassine, sinistre et presque menaçante. Elle voulait connaître la vérité ? Elle allait l’avoir. Dans un élan de passion, on pouvait voir que la colère dominait largement mon visage. Depuis quand je recevais des ordres et des menaces ? Mais elle voulait tout savoir ! Alors elle allait tout savoir, avec tout ce que cela impliquait. Lui prenant la main, avec un peu de force, je l’entraînais dans le salon après avoir vérifier que l’état de Matthias était stabilisé.
« Tu veux tout savoir, alors assieds toi. »
Vérifiant que ma cheminée n’était pas espionnée, et envoyant une série de sorts afin de ne pas être entendu par qui que ce soit, je lui désignais le fauteuil au coin de la cheminée. Le feu ronflant à nos côté, je m’installais en face d’elle.
« Mais je te préviens, si tu dévoiles à qui que ce soit cette histoire, je te tuerai Lara. »
Je joignis les mains devant moi, la fixant, malgré mon amour qui était plus que naissant pour elle avec un air de menace dans le regard. Je n’avais pas fait tout ce chemin pour que tout soit fichu en l’air par la première non-Louve qui perturbait mon coeur… Et pourtant… C’était ce qui allait se passer. Elle allait être la quatrième personne sur cette planète à connaître ma véritable histoire.
« Je ne m’appelle pas Charles Graham, mais Charles Smith. Je suis un Né-Loup, né-Moldu de la banlieue de Liverpool. Mes parents étaient des ouvriers, et pauvres. Peu importe. J’étais quand même heureux. Alors que j’étais âgé de 8 ans, et que les problèmes que posaient mes parents et moi même le soir des pleines lunes vinrent aux oreilles du Ministère, une équipe d’ancien Mangemorts, pro-sang pur et anti-Loup bien évidemment, arrivèrent pour éliminer mes parents. »
Froidement, j’observais Lara dans les yeux. Au fur et à mesure que je parlais, mes yeux se plissait et j’affichais un masque dénudé de la moindre parcelle d’émotions.
« Chose qu’ils firent avec succès. J’arrivais à m’en sortir en me cachant entre le plancher et la cave. Bien évidemment, je vis l’intégralité de la scène dont je te passe les détails. »
Mes yeux se plissèrent un peu plus. Dans un mouvement lent de la main, que je fis tourner, je continuais mon récit.
« Frère Loup me retrouva. C’était un Sorcier né Loup lui aussi, un ami de la famille d’origine Russe. Il avait eu vent de l’attaque et venait vérifier les rumeurs par lui même. Lorsqu’il tomba sur moi, ce n’est pas un petit garçon en larme qu’il trouva, mais un jeune Loup éteint, dont le seule objectif fut la vengeance. »
Mes yeux se firent ternes. Il n’y avait pas de larme bien évidemment car je n’étais plus un petit garçon de huit ans. Mais on pouvait y lire de la tristesse, et en grande quantité. Me redressant de mon fauteuil, je nous fis apparaître des verres. Je pris un whisky et je bus une longue gorgée avant de reprendre.
« Frère Loup m’emmena chez lui, en Sibérie, je rentrais à l’âge de neuf ans à Koldovstoretz. Là bas, je fis toute ma formation de sorcier dés le plus jeune âge et je me fis la promesse solennel de me venger de la mort de mes parents. »
Déposant le verre devant moi, je continuais à parler, mais d’un autre côté j’étais en train de me demander si je ne faisais pas une erreur en lui délivrant tout ce qu’il y avait à savoir sur moi… Mais elle avait été très clair… Si elle n’avait pas l’entière vérité, elle partirait.
« Je suis revenu ensuite en Angleterre. J’ai fait un MULOT Diplomatie à Poudlard, en prenant l’identité de Charles Graham. J’ai fais mes classes au Ministère, où j’ai séduis les employés et diplomates pour gagner en notoriété et en puissance. Je suis devenu Ambassadeur le jour, et membre de la célèbre Meute la nuit. »
Je m’étais levé et j’avais levé ma baguette en même temps que mes jambes. J’avais pointé cette dernière directement sur son coeur, le visage légèrement déformé par la tristesse d’avoir tout révélé, mais en même temps le soulagement.
« J’oeuvre pour l’avènement de l’Homo-Lupus, et la chute de l’Homo-Sapiens. Je ne pensais pas qu’un jour je rencontrerai quelqu’un et que je serai capable d’aimer comme je t’aime. Mais, pour le respect de la mort de mes parents, je n’ai pas le droit à l’erreur. Maintenant que tu sais tout ça, je suis obligé. Je suis désolé, Lara. »
Brandissant ma baguette droit sur elle, je déclarai d’une voix défaillante :
« Legilimens. »
J’avais dit ça d’une voix assassine, sinistre et presque menaçante. Elle voulait connaître la vérité ? Elle allait l’avoir. Dans un élan de passion, on pouvait voir que la colère dominait largement mon visage. Depuis quand je recevais des ordres et des menaces ? Mais elle voulait tout savoir ! Alors elle allait tout savoir, avec tout ce que cela impliquait. Lui prenant la main, avec un peu de force, je l’entraînais dans le salon après avoir vérifier que l’état de Matthias était stabilisé.
« Tu veux tout savoir, alors assieds toi. »
Vérifiant que ma cheminée n’était pas espionnée, et envoyant une série de sorts afin de ne pas être entendu par qui que ce soit, je lui désignais le fauteuil au coin de la cheminée. Le feu ronflant à nos côté, je m’installais en face d’elle.
« Mais je te préviens, si tu dévoiles à qui que ce soit cette histoire, je te tuerai Lara. »
Je joignis les mains devant moi, la fixant, malgré mon amour qui était plus que naissant pour elle avec un air de menace dans le regard. Je n’avais pas fait tout ce chemin pour que tout soit fichu en l’air par la première non-Louve qui perturbait mon coeur… Et pourtant… C’était ce qui allait se passer. Elle allait être la quatrième personne sur cette planète à connaître ma véritable histoire.
« Je ne m’appelle pas Charles Graham, mais Charles Smith. Je suis un Né-Loup, né-Moldu de la banlieue de Liverpool. Mes parents étaient des ouvriers, et pauvres. Peu importe. J’étais quand même heureux. Alors que j’étais âgé de 8 ans, et que les problèmes que posaient mes parents et moi même le soir des pleines lunes vinrent aux oreilles du Ministère, une équipe d’ancien Mangemorts, pro-sang pur et anti-Loup bien évidemment, arrivèrent pour éliminer mes parents. »
Froidement, j’observais Lara dans les yeux. Au fur et à mesure que je parlais, mes yeux se plissait et j’affichais un masque dénudé de la moindre parcelle d’émotions.
« Chose qu’ils firent avec succès. J’arrivais à m’en sortir en me cachant entre le plancher et la cave. Bien évidemment, je vis l’intégralité de la scène dont je te passe les détails. »
Mes yeux se plissèrent un peu plus. Dans un mouvement lent de la main, que je fis tourner, je continuais mon récit.
« Frère Loup me retrouva. C’était un Sorcier né Loup lui aussi, un ami de la famille d’origine Russe. Il avait eu vent de l’attaque et venait vérifier les rumeurs par lui même. Lorsqu’il tomba sur moi, ce n’est pas un petit garçon en larme qu’il trouva, mais un jeune Loup éteint, dont le seule objectif fut la vengeance. »
Mes yeux se firent ternes. Il n’y avait pas de larme bien évidemment car je n’étais plus un petit garçon de huit ans. Mais on pouvait y lire de la tristesse, et en grande quantité. Me redressant de mon fauteuil, je nous fis apparaître des verres. Je pris un whisky et je bus une longue gorgée avant de reprendre.
« Frère Loup m’emmena chez lui, en Sibérie, je rentrais à l’âge de neuf ans à Koldovstoretz. Là bas, je fis toute ma formation de sorcier dés le plus jeune âge et je me fis la promesse solennel de me venger de la mort de mes parents. »
Déposant le verre devant moi, je continuais à parler, mais d’un autre côté j’étais en train de me demander si je ne faisais pas une erreur en lui délivrant tout ce qu’il y avait à savoir sur moi… Mais elle avait été très clair… Si elle n’avait pas l’entière vérité, elle partirait.
« Je suis revenu ensuite en Angleterre. J’ai fait un MULOT Diplomatie à Poudlard, en prenant l’identité de Charles Graham. J’ai fais mes classes au Ministère, où j’ai séduis les employés et diplomates pour gagner en notoriété et en puissance. Je suis devenu Ambassadeur le jour, et membre de la célèbre Meute la nuit. »
Je m’étais levé et j’avais levé ma baguette en même temps que mes jambes. J’avais pointé cette dernière directement sur son coeur, le visage légèrement déformé par la tristesse d’avoir tout révélé, mais en même temps le soulagement.
« J’oeuvre pour l’avènement de l’Homo-Lupus, et la chute de l’Homo-Sapiens. Je ne pensais pas qu’un jour je rencontrerai quelqu’un et que je serai capable d’aimer comme je t’aime. Mais, pour le respect de la mort de mes parents, je n’ai pas le droit à l’erreur. Maintenant que tu sais tout ça, je suis obligé. Je suis désolé, Lara. »
Brandissant ma baguette droit sur elle, je déclarai d’une voix défaillante :
« Legilimens. »
INFOS
FICHE DE PERSO
Lara ne pût s’empêcher d’avoir un geste de recul alors qu’il la menaçait, qu’il lançait un « je te tuerais Lara » comme d’autre aurait pût dire « Quelle temps il fait aujourd’hui ? » Avec autant d’habitude et de simplicité. Etait-elle vraiment idiote et folle de penser qu’il n’en serait pas capable ? Elle avait des certitudes à son égard alors que si on s’arrêtait aux faits… elle le connaissait à peine. Charles semblait presque en colère qu’elle cherche à connaitre la vérité. N’avait-il pas compris que c’était pour se sentir encore plus proche de lui ? Elle était consciente qu’il se mettait en danger en lui racontant son histoire, mais sans le savoir il était en train de lui donner la plus belle des marque d’affection : la confiance ! Il lui faisait confiance en se mettant en danger. Elle eut une vague de compassion, une envie de poser sa tête contre son torse pour apaiser ses maux alors qu’il lui avouait le meurtre de ses parents. Pauvre Charles… Ce n’était pas de la pitié mais une forte empathie. Son père était mort et elle était déjà adulte. Elle ne pouvait pas imaginer à quel point ça devait être douloureux pour un enfant de devenir orphelin à seulement huit ans. A quel point ça devait être traumatisant de voir l’acte se déroulait sous ses yeux. Consciente qu’elle ne devait pas l’interrompre, elle se fit violence pour ne pas aller se blottir dans ses bras et se contenta d’un regard qui en disant long. Un regard qui aurait pût sans mal se traduire par « je suis là ». Comme toujours quand il s’agissait de lui, Lara l’écoutait sans brancher. Toujours captiver. Petit à petit, elle arrivait à combler le puzzle de la vie de Charles Smith, puisque telle était son vrai nom. Patiente, elle n’avait pas bougeait alors qu’il se confier sans retenu comme elle l’avait invité à le faire.
Et d’un seul coup sans qu’elle ne s’y attende il se leva et pointa sa baguette sur elle. Allait-il la tuer ? La folie l’avait-elle emporté pour que la peur refuse de l’habité à cet instant ? A moins que la vie ne l’est déjà quittée quand elle était dans ses draps et que tout ceci ne soit que les songes d’une âme déjà monté là haut. Son cœur se décida à avoir un raté seulement quand les mots « comme je t’aime » se glissèrent jusqu’à son oreille. En d’autre temps. Avec quelqu’un d’autre. Aussi vite. Ces mots l’aurait pétrifié et elle aurait simplement transplaner sans demander son reste. Pas prête à entendre ces mots d’amour. En ce lieu et en cette heure… Lara ne pût s’empêcher d’esquiver un sourire. S’il comptait la tuer, elle rendrait au moins son dernier souffle en étant heureuse. Elle ferma les yeux et murmura simplement « Je t’aime aussi.».
Ce n’était pas ainsi qu’elle aurait imaginé sa mort. Elle l’aurait souhaité un petit plus… épique, mais le choix ne lui appartenait pas. On prend la mort comme elle vient. A sa plus grande surprise, ce n’était pas un Avada Kedevra qui s’échappa des lèvres de Charles mais un autre sort impardonnable. Il était en train de sonder son esprit. Premier flash. Petite fille. Sautant à pied joint sur l’affreuse Bettany qui lui avait volé son nounours. Deuxième flash. Aux côté de Lyvan. Portant une robe noire. Agé d’une dizaine d’année. Près d’une tombe. Troisième flash. Portant les habits de Quidditch de Serdaigle. Quatrième flash. En train de dessiner une BD humoristique en signant « Lutine ». Cinquième flash. En train de voler dans le ciel sous l’effet de la drogue. Sixième flash. Pendant les sélections pour les Harpies de Hollyhead. Septième flash. Devant la tombe de son père vêtue d’une jupe en cuir rouge. Huitième flash. A l’IDEM devant la cage d’une étrange bestiole. En avait-il assez vu ? Lara était livide, comme à deux doigt de s’évanouir…
Et d’un seul coup sans qu’elle ne s’y attende il se leva et pointa sa baguette sur elle. Allait-il la tuer ? La folie l’avait-elle emporté pour que la peur refuse de l’habité à cet instant ? A moins que la vie ne l’est déjà quittée quand elle était dans ses draps et que tout ceci ne soit que les songes d’une âme déjà monté là haut. Son cœur se décida à avoir un raté seulement quand les mots « comme je t’aime » se glissèrent jusqu’à son oreille. En d’autre temps. Avec quelqu’un d’autre. Aussi vite. Ces mots l’aurait pétrifié et elle aurait simplement transplaner sans demander son reste. Pas prête à entendre ces mots d’amour. En ce lieu et en cette heure… Lara ne pût s’empêcher d’esquiver un sourire. S’il comptait la tuer, elle rendrait au moins son dernier souffle en étant heureuse. Elle ferma les yeux et murmura simplement « Je t’aime aussi.».
Ce n’était pas ainsi qu’elle aurait imaginé sa mort. Elle l’aurait souhaité un petit plus… épique, mais le choix ne lui appartenait pas. On prend la mort comme elle vient. A sa plus grande surprise, ce n’était pas un Avada Kedevra qui s’échappa des lèvres de Charles mais un autre sort impardonnable. Il était en train de sonder son esprit. Premier flash. Petite fille. Sautant à pied joint sur l’affreuse Bettany qui lui avait volé son nounours. Deuxième flash. Aux côté de Lyvan. Portant une robe noire. Agé d’une dizaine d’année. Près d’une tombe. Troisième flash. Portant les habits de Quidditch de Serdaigle. Quatrième flash. En train de dessiner une BD humoristique en signant « Lutine ». Cinquième flash. En train de voler dans le ciel sous l’effet de la drogue. Sixième flash. Pendant les sélections pour les Harpies de Hollyhead. Septième flash. Devant la tombe de son père vêtue d’une jupe en cuir rouge. Huitième flash. A l’IDEM devant la cage d’une étrange bestiole. En avait-il assez vu ? Lara était livide, comme à deux doigt de s’évanouir…
@Charles Graham
INFOS
FICHE DE PERSO
« Très bien. »
Je levais ma baguette brusquement pour rompre le sortilège. Je la regardais d’un air… étrange. Est-ce que j’avais bien entendu ce qu’elle avait dit avant que je ne lance le maléfice ? Mes sourcils se froncèrent, me rendant compte de ce que j’avais fait. Petit à petit, je reprenais conscience de mon propre corps et mon propre esprit… J’étais peut être aller un peu loin. Je baissais immédiatement la baguette, que je rangeais sans rien ajouter de plus. Je finissais par briser le mètre qui me séparait de Lara et je la pris par les épaules, le visage… étonnement triste.
« Lara, je suis désolé. »
J’étais…. Terriblement sincère. Observant Lara dans les yeux, je déposais un baiser sur ses lèvres, mais qu’est ce que j’avais fait ? Qu’est ce que j’étais en train de devenir ?
« Je… je voulais seulement vérifier que tu n’étais pas un… un des leurs. Maintenant, c’est fini. Je te suivrai jusqu’à la mort et te confierai ma vie. »
Je posais mon front sur le siens. J’étais bien, contre elle. Mais… je savais que la tempête allait se lever. Lara n’était pas du genre à se faire malmener comme je l’avais malmené sans se mettre en colère. Aussi, je reculais avec prudence et je commençais à m’expliquer et à planifier la suite.
« Maintenant que tu es au courant, il faut que tu sois consciente que tu es complice de l’ensemble de mes actes si jamais je suis arrêté ! »
Je partais immédiatement vers un meuble. Cherchant une potion en particulier, je n’arrivais pas à mettre la main dessus. Fronçant les sourcils, je commençais à fouiller avec frénésie, ressemblant un peu à un fou. Surtout que la colère de Lara n’était pas encore arrivé. Je revins alors vers elle, sans avoir pu retrouver ce que je cherchais.
« Lara… Lara ! Il faut que tu… que tu comprennes. Je ne suis pas quelqu’un de bien. Je me bats pour les miens… Et au sens propre. Je ne veux pas que tu ailles à Azkaban à cause de moi. Si un jour ils remontent jusqu’à moi, je veux que tu subisses un Maléfice d’Amnésie ! »
J’étais un peu dingue. Mes yeux allaient alternativement sur les meubles où je cherchais une potion particulière et Lara. Qu’est ce que j’en avais fait ? D’ailleurs, en parlant de maléfice d’Amnésie, et si je lui en lançais un, et que je tirai un trait sur tout cela ? Elle m’oublierait, et continuerait sa vie sans danger.
« Je… je peux le faire maintenant si… si tu ne veux pas me suivre en enfer. »
Car là où je l’emmenais, c’était là-bas et il fallait qu’elle en ait conscience.
Je levais ma baguette brusquement pour rompre le sortilège. Je la regardais d’un air… étrange. Est-ce que j’avais bien entendu ce qu’elle avait dit avant que je ne lance le maléfice ? Mes sourcils se froncèrent, me rendant compte de ce que j’avais fait. Petit à petit, je reprenais conscience de mon propre corps et mon propre esprit… J’étais peut être aller un peu loin. Je baissais immédiatement la baguette, que je rangeais sans rien ajouter de plus. Je finissais par briser le mètre qui me séparait de Lara et je la pris par les épaules, le visage… étonnement triste.
« Lara, je suis désolé. »
J’étais…. Terriblement sincère. Observant Lara dans les yeux, je déposais un baiser sur ses lèvres, mais qu’est ce que j’avais fait ? Qu’est ce que j’étais en train de devenir ?
« Je… je voulais seulement vérifier que tu n’étais pas un… un des leurs. Maintenant, c’est fini. Je te suivrai jusqu’à la mort et te confierai ma vie. »
Je posais mon front sur le siens. J’étais bien, contre elle. Mais… je savais que la tempête allait se lever. Lara n’était pas du genre à se faire malmener comme je l’avais malmené sans se mettre en colère. Aussi, je reculais avec prudence et je commençais à m’expliquer et à planifier la suite.
« Maintenant que tu es au courant, il faut que tu sois consciente que tu es complice de l’ensemble de mes actes si jamais je suis arrêté ! »
Je partais immédiatement vers un meuble. Cherchant une potion en particulier, je n’arrivais pas à mettre la main dessus. Fronçant les sourcils, je commençais à fouiller avec frénésie, ressemblant un peu à un fou. Surtout que la colère de Lara n’était pas encore arrivé. Je revins alors vers elle, sans avoir pu retrouver ce que je cherchais.
« Lara… Lara ! Il faut que tu… que tu comprennes. Je ne suis pas quelqu’un de bien. Je me bats pour les miens… Et au sens propre. Je ne veux pas que tu ailles à Azkaban à cause de moi. Si un jour ils remontent jusqu’à moi, je veux que tu subisses un Maléfice d’Amnésie ! »
J’étais un peu dingue. Mes yeux allaient alternativement sur les meubles où je cherchais une potion particulière et Lara. Qu’est ce que j’en avais fait ? D’ailleurs, en parlant de maléfice d’Amnésie, et si je lui en lançais un, et que je tirai un trait sur tout cela ? Elle m’oublierait, et continuerait sa vie sans danger.
« Je… je peux le faire maintenant si… si tu ne veux pas me suivre en enfer. »
Car là où je l’emmenais, c’était là-bas et il fallait qu’elle en ait conscience.
INFOS
FICHE DE PERSO
Lara aurait souhaitait à cet instant avoir un retourneur de temps. Peut-être lui aurait-il permit de comprendre comment en quelque heures elle s’était retrouvé là, à l’aube d’une décision qui allait sans doute changer sa vie… Elle s’était toujours considéré comme indépendante, libre. L’amour ? Ce n’est pas qu’elle le fuyait ou en avait peur mais elle en avait juste pas besoin. Elle se suffisait à elle-même. Là où beaucoup ont besoin de moitié pour se sentir pour se sentir existait, Lara se sentait entière. L’aventure. La passion. La joie de la découverte, c’était suffisant pour elle. Alors comment se faisait-t-il que l’amour est jeter ainsi son dévolu sur elle ? Comment était-ce arrivé ? Elle avait du mal à comprendre. Son corps était épuisé par le sort impardonnable que Charles avait lancé sur elle. Sort qu’il n’avait pas hésité une seule seconde à lancer sur elle. Elle n’aurait pas dût en être étonné après tout ce qu’elle avait appris de lui ce soir, et pourtant… Naïve, elle continuait à garder en tête et pour elle, cette image d’un Charles doux et prévenant, celui qu’elle aurait volontiers ramené dans leurs draps pour ne plus jamais en sortir. A l’abri, bien au chaud sous la couette, à l’écart de la vie, comme deux enfants qui décide de ne pas grandir. Il lui avait raconté sa vie, la sienne, elle s’était reflétait dans la tête de Charles sans qu’elle n’ait son avis à donné.
« Maintenant c’est fini » répéta-t-elle alors que paniquait, il cherchait à justifier ses actes. Agissait-il toujours ainsi ou était-elle privilégier ? Tu es complice de l’ensemble de mes actes si jamais je suis arrêté Comment cela était-il arrivé ? Charles ne tenait pas en place alors qu’ elle-même se sentait comme figeait sur place. Elle ne savait pas ce qu’elle ressentait à cet instant, ce qui la retenait de juste la gifler. Tout les mots de Charles n’avait aucun sens. Comment pouvait qu’il l’aimait et l’instant d’après lui lancer un impardonnable ?! Comment pouvait-il juste après ce sort lui dire ensuite qu’il lui confierait sa vie comme si de rien n’était ?! Lara avait l’impression que le sol se dérobait au dessus d’elle. Il lui demandait de comprendre et il ne se rendait pas compte qu’il était en train de l’assommer d’information, qu’elle était déjà en train de ses débattre avec ses émotions et ses pensées. Elle ne voulait pas choisir dans la hâte et elle avait toujours cette crainte qu’il lui lance ce sort d’oubliette sans même lui demander son avis. Aussi alors qu’il attendait une réponse, les seuls mots qui sortirent de sa bouche furent
« Je ne dirais rien » Et dans un crac sonore, Lara transplana. Arrivant dans sa chambre, elle éclata en sanglot alors qu’elle avait cette horrible impression qu’on lui avait arrachée le cœur d’un coup sec. Ça faisait si mal. Elle s’appuya contre le mur pour ne pas tomber et se retrouva accroupit au sol, secouer par les sanglots…
« Maintenant c’est fini » répéta-t-elle alors que paniquait, il cherchait à justifier ses actes. Agissait-il toujours ainsi ou était-elle privilégier ? Tu es complice de l’ensemble de mes actes si jamais je suis arrêté Comment cela était-il arrivé ? Charles ne tenait pas en place alors qu’ elle-même se sentait comme figeait sur place. Elle ne savait pas ce qu’elle ressentait à cet instant, ce qui la retenait de juste la gifler. Tout les mots de Charles n’avait aucun sens. Comment pouvait qu’il l’aimait et l’instant d’après lui lancer un impardonnable ?! Comment pouvait-il juste après ce sort lui dire ensuite qu’il lui confierait sa vie comme si de rien n’était ?! Lara avait l’impression que le sol se dérobait au dessus d’elle. Il lui demandait de comprendre et il ne se rendait pas compte qu’il était en train de l’assommer d’information, qu’elle était déjà en train de ses débattre avec ses émotions et ses pensées. Elle ne voulait pas choisir dans la hâte et elle avait toujours cette crainte qu’il lui lance ce sort d’oubliette sans même lui demander son avis. Aussi alors qu’il attendait une réponse, les seuls mots qui sortirent de sa bouche furent
« Je ne dirais rien » Et dans un crac sonore, Lara transplana. Arrivant dans sa chambre, elle éclata en sanglot alors qu’elle avait cette horrible impression qu’on lui avait arrachée le cœur d’un coup sec. Ça faisait si mal. Elle s’appuya contre le mur pour ne pas tomber et se retrouva accroupit au sol, secouer par les sanglots…
@Charles Graham
INFOS
FICHE DE PERSO
Page 2 sur 2 • 1, 2
|
|