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petite discussion - Ft Michel-Ange
INFOS
FICHE DE PERSO
Thea & Michel-Ange - 15 Octobre 2022
Le mois de septembre avait filé à une vitesse folle et nous voilà déjà au mois d’octobre qui semblait lui aussi passé rapidement, nous étions déjà au milieu du mois. À croire que les mois défilent d’une manière beaucoup plus rapide en dernière année. En ce samedi 15 octobre, avec Michel-Ange, nous nous étions fixé un petit rendez-vous pour papoter gentiment, comme nous avions l’habitude de le faire de temps en temps, seuls sans personne pour nous importuner. Le sujet qui serait abordé, je n’en avais aucune idée, cela serait la surprise du chef.
Je déambulais dans le chemin qui menait de Poudlard au petit village sorcier affublé d’une salopette en jean bleu marine avec un haut blanc en dessous, d’une veste et d’un foulard autour du cou pour ne pas attraper un petit rhume. Certes les chaleurs étaient encore appréciables en pleine journée, mais il suffisait d’un petit vent. Les mains dans les poches, je souriais à pleine dent en voyant les oiseaux chanter allègrement. Mon appareil photo autour du cou, j’en profitais pour prendre quelques clichés à droite et à gauche. Je les montrerais à papa aux prochaines vacances.
Arrivé aux trois balais, je pousse la porte doucement, l’établissement n’est pas encore blindé, mais d’un côté ce n’est pas étonnant vu l’heure. Il n’est que dix heures, la majorité des élèves viendront certainement au cours de l’après-midi. Je salue la propriétaire des lieux avant de lui commander deux bièraubeurre. Une pour Micky et une pour moi-même. Une fois les deux verres dans les mains, je me tourne du comptoir pour regarder la salle, un petit sourire se forme sur mon visage. Parfait, la table la plus reculée et qui ne donne pas de visibilité sur la porte d’entrée de l’établissement.
J’avance vers la table avant de m’y installer, je pose les verres, l’un devant une chaise vide. Je pose également mon appareil sur la table avant de m’asseoir doucement sur une chaise et d’atteindre l’arrivée, j’espère, imminente du capitaine de l’équipe de quidditch de ma maison.
Je déambulais dans le chemin qui menait de Poudlard au petit village sorcier affublé d’une salopette en jean bleu marine avec un haut blanc en dessous, d’une veste et d’un foulard autour du cou pour ne pas attraper un petit rhume. Certes les chaleurs étaient encore appréciables en pleine journée, mais il suffisait d’un petit vent. Les mains dans les poches, je souriais à pleine dent en voyant les oiseaux chanter allègrement. Mon appareil photo autour du cou, j’en profitais pour prendre quelques clichés à droite et à gauche. Je les montrerais à papa aux prochaines vacances.
Arrivé aux trois balais, je pousse la porte doucement, l’établissement n’est pas encore blindé, mais d’un côté ce n’est pas étonnant vu l’heure. Il n’est que dix heures, la majorité des élèves viendront certainement au cours de l’après-midi. Je salue la propriétaire des lieux avant de lui commander deux bièraubeurre. Une pour Micky et une pour moi-même. Une fois les deux verres dans les mains, je me tourne du comptoir pour regarder la salle, un petit sourire se forme sur mon visage. Parfait, la table la plus reculée et qui ne donne pas de visibilité sur la porte d’entrée de l’établissement.
J’avance vers la table avant de m’y installer, je pose les verres, l’un devant une chaise vide. Je pose également mon appareil sur la table avant de m’asseoir doucement sur une chaise et d’atteindre l’arrivée, j’espère, imminente du capitaine de l’équipe de quidditch de ma maison.
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FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
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Maturité Magique (MM):
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(65/100)Potentiel Magique (PM):
(35/100)Rigueur Magique (RM):
(70/100)Expérience Magique (XM):
(50/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
J’étais arrivé rapidement aux Trois Balais. Comme tous les samedi, je m’étais levé tôt pour aller m’entraîner au Quidditch. J’avais ensuite pris un bain dans la salle de bain des Préfets, mon statut de Capitaine des Jaunes et Noirs m’y donnant accès. Ensuite, j’avais mis ma cape d’hiver car j’étais assez frileux et je m’étais dirigé vers Pré-Au-Lard d’un pas calme et assuré. Une fois arrivé, j’avais pris la direction des Trois balais. La propriétaire, en grande conversation avec deux adultes me fit un salue de la main et un clin d’oeil. Je lui répondis avec un sourire. Depuis notre soirée avec Sean, Hope et moi étions… assez proche, à l’instar d’amis.
Reconnaissant ma Théa entre toutes, je me dirigeais vers elle avec un large sourire. Comme mon frère Léonard, elle semblait toujours autant passionnée par la photo.
« Hey ! Ca va ? »
Je lui fis un bisou sur la joue et je m’installais en face, ma bierraubeurre devant les yeux. Avec un léger sourire, je pris une petite gorgée.
« Merci ! J’en avais besoin, je me suis déchaîné à l’entraînement. Bon, j’suppose qu’on est là pour parler d’Apolline. Alors ça avance pas mal. Ta méthode de la rendre jalouse m’a permis de voir qu’elle avait encore des sentiments. Et là, je suis en train de tenter des rapprochements comme on avait dit. Ca marche pas trop mal ! »
J’avais les yeux rieurs et j’étais vraiment fou de joie. Buvant une autre gorgée j’allais demander à Théa comment elle allait quand… deux personnes entrèrent brusquement dans le bar, baguette en main. Par réflexe, je saisis l’avant bras de Théa pour la mettre derrière moi et ma main saisit à mon tour ma baguette ayant le même coeur qu’Apolline. Mais, reconnaissant le fiancé de ma cousine Solvi, je fronçais les sourcils.
« Que personne ne bouge et ne sorte d’ici, sur ordre du Ministère. Nous vous prions de rester calme. Un agent va venir vous poser des questions et vous demandera de décliner votre identité pour éventuellement approfondir l’interrogatoire au Ministère. »
Il avait un ton… Apaisant. Il me reconnu et me fit un signe calme, imperceptible. Visiblement, l’ensemble du bar était suspect. Dans un soupire, la propriétaire s’avança pour entamer une discussion avec lui. L’autre personne s’arrêta devant la porte, mains croisés devant lui, afin d’être sûr que personne ne sorte ou ne transplane.
« Hé beh… Je sais pas ce qui s’était passé, mais… ça me dit rien qui vaille. Ca à l’air grave... »
Je soupirai ma bieraubeurre contre moi. Décontracté, je me mis en face de Théa et je reprenais la discussion comme si de rien n’était. Pendant ce temps, Fergus déambula parmi les clients. Il n’en était pas encore à nous.
« C’est Fergus Clearwater, le fiancé de ma cousine… Je vais lui demander ce qui se passe. T’as rien fait de mal ces dernières 24h ? Ton sourire peut faire des dégats tu sais ? » dis-je pour détendre l’atmosphère pesante.
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
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FICHE DE PERSO
Thea & Michel-Ange - 15 Octobre 2022
Je n’ai pas attendu bien longtemps avant de voir arriver le grand capitaine de quidditch de la maison Poufsouffle. L’entrainement a certainement du bien se passer ce matin puisqu’il semble être de bonne humeur. Je n’avais pas vraiment envie de m’occuper d’un Micky grognons, je souhaitais une journée tranquille. Oui, boire une bonne bièraubeurre, échanger sagement et qui sait finir ma journée dans la librairie. Il me faut de nouveaux bouquins à lire, je n’ai plus rien à me mettre sous la dent et c’est frustrant. Relire le même livre très peu pour moi si ce n’est pas un livre nécessaire pour des recherches ou des devoirs. « Je vais bien. » déclarais-je en souriant avant de me pincer le nez et de lui demander d’une voix un peu étrange du coup. « Tu as pris une douche au moins, je ne veux pas de ta sueur de mal alpha du quidditch. » J’aime bien le taquiner un peu, ça met du baume au cœur.
Je m’amusais à faire le tour de mon verre avec mon doigt alors que je le scrutais d'un regard inquisiteur en mode dis-moi tous maintenant. « De rien, j’ai appris à te connaitre avec les années. » Je laissais continuer sa tirade et le sujet principal de notre raison ici arriva. @Apolline Dunn, la femme dont il était éperdument amoureux depuis qu’il l’a vue en première année certainement. Je n’ai jamais demandé à Micky depuis quand il l’avait dans la peau parce que cela ne me regardait nullement. « Fait attention à toi quand même. Ne te brule pas trop, je n’ai pas envie de te récupérer en miettes. Elle t’a brisé une fois. » commençais-je en le pointant du doigt avant de rajouter en le regardant avec une étincelle de fureur dans les yeux. « Ne la laisse pas recommencer, sinon, même si je suis contre la violence, elle finit en pâture pour lions. » terminais-je doucement en lui faisant un petit sourire espiègle. Il se doute bien que je rigole sur le fait de la donner à manger à des lions, en revanche, fille de ministre ou pas, elle finirait avec les quatre vérité dans sa face.
Je vais pour boire une gorgée de ma boisson avant qu’elle ne perde toute fraîcheur quand je me sens embarqué de force par une main. Mais quoi ? Laissez-moi profiter de ma boisson en paix. Petite bièraubeurre tu me manques déjà. Mes yeux regardaient tristement cette boisson dont quelques gouttes avaient terminé sur la table, oh non, quel gâchis. Je finis par regarder en boudant légèrement la raison de cette situation. La main en question appartenait à Micky et dans son autre main il tenait sa baguette. Je fronce un peu les sourcils avant de me pencher lentement sur le côté pour voir ce qui se passe, j’ai un peu un mur humain devant moi qui me bloque la vue. Oh ce n’était qu’un contrôle si on veut, c’est rassurant, pendant un moment j’ai cru que c’était genre un holdup ou je ne sais quoi.
Souriante, je glisse ma main jusqu’à la joue de Micky pour y passer délicatement et en douceur mon majeur. « Tellement courageux, tu voulais me protéger, c’est mignon petit Micky. » lançais-je avant de rire doucement et retourner à ma place comme s’il n’y avait pas eu de dérangement. « En vrai, merci, j’ai lamentablement oublié ma baguette dans ma chambre. Ne me regarde pas comme ça, ça arrive. » J’ai tellement l’habitude de ne pas l’avoir à la maison que j’ai dû la laisser par habitude. En revanche, si je ne la prends pas durant mon alternance, je vais me faire déchirer en deux par le professeur.
Enfin j’allais profiter de ma bièraubeurre, sourire appréciateur sur les lèvres, je prenais le verre dans ma main avant de le porter à mes lèvres pour en boire une gorgée importante. Ce gout me manque tellement quand on est dans l’enceinte de l’université. Bordel, pourquoi on n'a que du jus de citrouille dans Poudlard ? « Mon sourire, celui-ci. » demandais-je innocemment. « Tu t’améliores en attaque, tu as eu un bon professeur. Plus sérieusement, tu penses que c’est quoi ? Une attaque ? Une autre manifestation ? On peut aussi d'autre chose choses, cela ne me dérange pas de parler de tous et n’importe quoi avec toi. »
Je m’amusais à faire le tour de mon verre avec mon doigt alors que je le scrutais d'un regard inquisiteur en mode dis-moi tous maintenant. « De rien, j’ai appris à te connaitre avec les années. » Je laissais continuer sa tirade et le sujet principal de notre raison ici arriva. @Apolline Dunn, la femme dont il était éperdument amoureux depuis qu’il l’a vue en première année certainement. Je n’ai jamais demandé à Micky depuis quand il l’avait dans la peau parce que cela ne me regardait nullement. « Fait attention à toi quand même. Ne te brule pas trop, je n’ai pas envie de te récupérer en miettes. Elle t’a brisé une fois. » commençais-je en le pointant du doigt avant de rajouter en le regardant avec une étincelle de fureur dans les yeux. « Ne la laisse pas recommencer, sinon, même si je suis contre la violence, elle finit en pâture pour lions. » terminais-je doucement en lui faisant un petit sourire espiègle. Il se doute bien que je rigole sur le fait de la donner à manger à des lions, en revanche, fille de ministre ou pas, elle finirait avec les quatre vérité dans sa face.
Je vais pour boire une gorgée de ma boisson avant qu’elle ne perde toute fraîcheur quand je me sens embarqué de force par une main. Mais quoi ? Laissez-moi profiter de ma boisson en paix. Petite bièraubeurre tu me manques déjà. Mes yeux regardaient tristement cette boisson dont quelques gouttes avaient terminé sur la table, oh non, quel gâchis. Je finis par regarder en boudant légèrement la raison de cette situation. La main en question appartenait à Micky et dans son autre main il tenait sa baguette. Je fronce un peu les sourcils avant de me pencher lentement sur le côté pour voir ce qui se passe, j’ai un peu un mur humain devant moi qui me bloque la vue. Oh ce n’était qu’un contrôle si on veut, c’est rassurant, pendant un moment j’ai cru que c’était genre un holdup ou je ne sais quoi.
Souriante, je glisse ma main jusqu’à la joue de Micky pour y passer délicatement et en douceur mon majeur. « Tellement courageux, tu voulais me protéger, c’est mignon petit Micky. » lançais-je avant de rire doucement et retourner à ma place comme s’il n’y avait pas eu de dérangement. « En vrai, merci, j’ai lamentablement oublié ma baguette dans ma chambre. Ne me regarde pas comme ça, ça arrive. » J’ai tellement l’habitude de ne pas l’avoir à la maison que j’ai dû la laisser par habitude. En revanche, si je ne la prends pas durant mon alternance, je vais me faire déchirer en deux par le professeur.
Enfin j’allais profiter de ma bièraubeurre, sourire appréciateur sur les lèvres, je prenais le verre dans ma main avant de le porter à mes lèvres pour en boire une gorgée importante. Ce gout me manque tellement quand on est dans l’enceinte de l’université. Bordel, pourquoi on n'a que du jus de citrouille dans Poudlard ? « Mon sourire, celui-ci. » demandais-je innocemment. « Tu t’améliores en attaque, tu as eu un bon professeur. Plus sérieusement, tu penses que c’est quoi ? Une attaque ? Une autre manifestation ? On peut aussi d'autre chose choses, cela ne me dérange pas de parler de tous et n’importe quoi avec toi. »
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Ca avait le mérite d’avoir été assez clair sur les ordres. M’asseyant calmement je sirotais ma bière car je savais que je n’aurai pas le temps d’en commander une de si tôt. Distraitement, je me décalais à côté de Théa pour observer les deux Aurors et deux Brigadiers commencer à interroger les gens. Sans un mot je portais ma bière à mes lèvres et je finis quand même par dire.
« J’en sais trop rien. Mais ça doit pas être un vol à l’étalage. C’est rare quand les Brigadiers et les Aurors s’unissent. C’est rarement bon signe… Bref ! »
On allait quand même pas laisser ce petit contre-temps empêcher notre conversation. De toute façon, nous étions bloqués ici. Il y avait pire compagnie ceci dit ! Passant ma main dans les cheveux de Théa pour ébouriffer ses cheveux bouclés en ricanant je poursuivais :
« Toujours à vouloir veiller sur moi hein ! »
Le regard rieur, je perdis peu à peu le sourire. Ce qu’elle avait dit était… Lucide. Et c’était la seule d’ailleurs à me l’avoir dit. Tout le monde pensait que nous étions deux personnes qui étaient faites l’un pour l’autre et que c’était évident. Mais elle avait peut être raison. Je m’investissais toujours énormément dans mes relations avec Apolline, qu’elle soit amoureuse ou amicale. Passant une main dans mes propres cheveux je souriais.
« Ne t’inquiète pas pour moi, tout est sous contrôle. Le plan se déroule à merveille. »
Je parlais toujours du Plan. Le fameux qui consistait à faire revenir Apolline dans mes draps. Je n’avais jamais parlé des détails de ce fameux plan à qui que ce soit. Peut être qu’il n’y avait pas de plan… Peut être qu’il y en avait un. Quoi qu’il en soit, ce mystère entretenait ma légende !
« Et toi ? Personne n’a réussi à envahir ton coeur ? Pour moi ce qui se passe avec Alister, ça compte pas vraiment... »
Je bus ma bière, tendant mon bras par dessus son épaule pour lui masser et la pincer un peu avec in grand sourire. Nous avions toujours été proche, et connaissant son parcours, c’était étrange qu’elle n’ait jamais pensé à sortir avec moi. Peut être qu’elle ne me trouvait pas assez à son goût. Ou peut être étais-je rentré dans cette FriendZone. Quoi qu’il en soit… Je n’avais jamais eu l’occasion d’être avec elle ! C’était marrant non quand on y pensait ?
Enlevant la main, je bus à nouveau une gorgée.
« On va rester combien de temps à jouer à ce jeu. Moi qui te parle d’Apolline et toi de conquête hein ? Ca va pas durer éternellement. Un jour, quelqu’un fera basculer ton coeur, et ce jour là, je veux être aux premières loges comme toi lors des match de Quidditch ! »
Elle était toujours au devant des supporters. Toujours avec légereté, je déposais ma bière en souriant. Sourire qui s’effaça un peu lorsque je me rendis compte que les Aurors et les Brigadiers en avait fini avec la propriétaire du bar. Visiblement, elle était assez contrarié. L’ordre de sortir n’avait toujours pas été levé.
« C’est bizarre qu’il nous garde aussi longtemps quand même... »
Surtout qu’on n’était pas dans une zone ou le Secret Magique risquait d’être dévoilé… C’était donc de plus en plus inquiétant. Inquiétude qui parti bien vite, quand Hope Standford nous envoya en lévitation un pichet entier de bière.
« Je crois qu’il est tant pour toi d’abandonner la bieraubeurre et de passer aux choses sérieuses. »
« J’en sais trop rien. Mais ça doit pas être un vol à l’étalage. C’est rare quand les Brigadiers et les Aurors s’unissent. C’est rarement bon signe… Bref ! »
On allait quand même pas laisser ce petit contre-temps empêcher notre conversation. De toute façon, nous étions bloqués ici. Il y avait pire compagnie ceci dit ! Passant ma main dans les cheveux de Théa pour ébouriffer ses cheveux bouclés en ricanant je poursuivais :
« Toujours à vouloir veiller sur moi hein ! »
Le regard rieur, je perdis peu à peu le sourire. Ce qu’elle avait dit était… Lucide. Et c’était la seule d’ailleurs à me l’avoir dit. Tout le monde pensait que nous étions deux personnes qui étaient faites l’un pour l’autre et que c’était évident. Mais elle avait peut être raison. Je m’investissais toujours énormément dans mes relations avec Apolline, qu’elle soit amoureuse ou amicale. Passant une main dans mes propres cheveux je souriais.
« Ne t’inquiète pas pour moi, tout est sous contrôle. Le plan se déroule à merveille. »
Je parlais toujours du Plan. Le fameux qui consistait à faire revenir Apolline dans mes draps. Je n’avais jamais parlé des détails de ce fameux plan à qui que ce soit. Peut être qu’il n’y avait pas de plan… Peut être qu’il y en avait un. Quoi qu’il en soit, ce mystère entretenait ma légende !
« Et toi ? Personne n’a réussi à envahir ton coeur ? Pour moi ce qui se passe avec Alister, ça compte pas vraiment... »
Je bus ma bière, tendant mon bras par dessus son épaule pour lui masser et la pincer un peu avec in grand sourire. Nous avions toujours été proche, et connaissant son parcours, c’était étrange qu’elle n’ait jamais pensé à sortir avec moi. Peut être qu’elle ne me trouvait pas assez à son goût. Ou peut être étais-je rentré dans cette FriendZone. Quoi qu’il en soit… Je n’avais jamais eu l’occasion d’être avec elle ! C’était marrant non quand on y pensait ?
Enlevant la main, je bus à nouveau une gorgée.
« On va rester combien de temps à jouer à ce jeu. Moi qui te parle d’Apolline et toi de conquête hein ? Ca va pas durer éternellement. Un jour, quelqu’un fera basculer ton coeur, et ce jour là, je veux être aux premières loges comme toi lors des match de Quidditch ! »
Elle était toujours au devant des supporters. Toujours avec légereté, je déposais ma bière en souriant. Sourire qui s’effaça un peu lorsque je me rendis compte que les Aurors et les Brigadiers en avait fini avec la propriétaire du bar. Visiblement, elle était assez contrarié. L’ordre de sortir n’avait toujours pas été levé.
« C’est bizarre qu’il nous garde aussi longtemps quand même... »
Surtout qu’on n’était pas dans une zone ou le Secret Magique risquait d’être dévoilé… C’était donc de plus en plus inquiétant. Inquiétude qui parti bien vite, quand Hope Standford nous envoya en lévitation un pichet entier de bière.
« Je crois qu’il est tant pour toi d’abandonner la bieraubeurre et de passer aux choses sérieuses. »
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Thea & Michel-Ange - 15 Octobre 2022
Je le regardais faire son manège sans rien dire, je le suivais de mon regard chocolat en plissant légèrement les yeux. Que fabrique-t-il au juste ? Je regarde rapidement dans le bar, non pas de trace d’Apolline Dunn dans les parages. Peut-être aurait-il joué la carte séduire une autre personne devant sa dulcinée pour la faire réagir ? Enfin la jouer avec moi n’était pas la bonne chose à faire, elle me déteste déjà bien assez comme ça. Raison principale ? Avoir montré à Micky qu’il était capable d’être un homme à femmes et qui s’est se faire désirer. Puis franchement même si Michel-Ange est un homme dramatiquement beau, je n’ai jamais voulu franchir ce cap avec lui. Je ne sais pas, je ressens plus comme un amour fraternel pour lui qu’une attirance charnelle. Cependant cela ne m’empêche pas de m’amuser à flirté avec lui verbalement ou gestuellement, c’est amusant. « Le fait que tu te rapproches de moi ainsi, sous-entendent quelques choses ? Où c’est simplement pour me parler de ce que tu penses de ce qu’il se passe. Mais effectivement comme tu le pressens, cela n’annonce rien de bon. » demandais-je en posant ma main sous mon menton et en le regardant d’un regard interrogatif faisant monter et descendre mes sourcils rapidement de manière sérieuse.
Avant de perdre mon sourire et de me renfrogner un peu, à la limite de bouder légèrement. « Sérieusement ? Tu avais vraiment besoin de jouer avec mes cheveux ? Sont déjà bien emmerdants quand ils veulent, si en plus tu as décidé de faire comme si une bombe était venue ce matin. Tu n’aides vraiment en rien. » terminais-je en m’enfonçant subitement dans mon dossier de siège et en croisant les bras et de tourner la tête de l’autre côté, mon regard tombant sur l’homme qui gardait farouchement la porte de sortie. Au moins, ils ne sont pas déplaisants à regarder dans les services de sécurités magiques.
« Il le faut bien. Elle te dirait de sauter d’un pont que tu le ferais avant d’avoir vérifié s’il y a un filet en bas. J’assure juste tes arrières on va dire. Même si elle t’envoie paître 1000 fois et que tu décides de toujours l’aimer, je serais toujours là pour te consoler entre-temps. Simplement, je n’ai pas pour vocation de devenir ton mouchoir personnel Micky, j’ai d'autres ambitions dans la vie. » lui répondis-je en tournant finalement la tête vers lui avec un petit sourire. C’est compliqué de rester fâché contre lui, il a toujours ce petit quelques choses qui fait qu’il a une bouille d’ange, certainement le pourquoi il porte ange dans son prénom. Ses parents avaient prédit les choses qu’il serait un ange charmeur. « Ton fameux plan. » Toujours pas compris en quoi il consistait principalement si ce n’est en haut de la liste il doit y avoir une case faire d’Apolline Dunn une Apolline Grimm, espérons juste qu’elle ne terminera pas avec l’autre frère Grimm parce que là, il ne s’en remettrait pas, il ramperait au sol pour l’éternité.
Oh alors là, je suis outré, comment cela ce qui se passe avec Alister ne veut rien dire ? Que cela ne compte pas . Bien sûr que ça compte et beaucoup. C’est… Il est… Il est quoi au juste, c’est vrai, on passe du bon temps ensemble, beaucoup je dois dire, il est juste parfait dans son domaine. Il n’y a pas mieux. Est-ce que je suis amoureuse de lui ? Non, puis lui non plus n’est pas amoureux de moi. On est juste très bien dans notre relation libre. « Tu n’es pas gentil, je ne te montrerais pas mon dernier tatouage. » Et ce n’est peut-être pas une bonne idée de le lui montrer ou encore lui dire de quoi il est question. ‘Angel’ sur le haut de mon bras, il va penser que je l’ai fait spécialement pour lui en plus. Alors que NON, absolument pas. Il a une autre signification, mais Micky serait bien capable de se l’approprier.
Je porte mon attention sur le reste des trois balais, certains clients avait l’air d’en avoir marre de ne pas pouvoir sortir. Je pouvais les comprendre un peu. Retournant mon regard sur notre table, je prends mon verre pour en boire une grande gorgée avant de regarder notre capitaine de quidditch.
« Est-ce que tu sous-entends qu’Alister est la bièraubeurre ? Qui serait alors les choses sérieuses. » demandais-je en faisant des guillemets au moment de dire choses sérieuses. Je pose ma main sur sa cuisse et me rapproche légèrement de lui. « Je suis vraiment curieuse de savoir à qui tu penses ? Surtout que tu sais pertinemment que ma vie sentimentale me convient aisément ainsi. » J’enlève ma main de sa cuisse pour y mettre une jambe par-dessus ses cuisses, l’autre jambe se trouvait collée au sien. Lui faire du pied ? Non, pas encore ce n’est que le début du jeu pour moi. Ne faudrait pas qu’il se lève subitement prétextant un ‘je dois aller aux toilettes. Cela me vexerait énormément. Attrapant son menton avec une main pour le faire me regarder. « Serais-tu cette chose sérieuse ? Je doute fortement, on sait très bien que toi et moi, c’est presque comme l’huile et l’eau, jamais on ne se mélangera de cette manière. Dans une autre vie peut-être que… » Je laisse en suspens ma phrase pour regarder les déplacements de l’auror qui questionnait les gens. Il avait l’air de se rapprocher de plus en plus de notre table.
Avant de perdre mon sourire et de me renfrogner un peu, à la limite de bouder légèrement. « Sérieusement ? Tu avais vraiment besoin de jouer avec mes cheveux ? Sont déjà bien emmerdants quand ils veulent, si en plus tu as décidé de faire comme si une bombe était venue ce matin. Tu n’aides vraiment en rien. » terminais-je en m’enfonçant subitement dans mon dossier de siège et en croisant les bras et de tourner la tête de l’autre côté, mon regard tombant sur l’homme qui gardait farouchement la porte de sortie. Au moins, ils ne sont pas déplaisants à regarder dans les services de sécurités magiques.
« Il le faut bien. Elle te dirait de sauter d’un pont que tu le ferais avant d’avoir vérifié s’il y a un filet en bas. J’assure juste tes arrières on va dire. Même si elle t’envoie paître 1000 fois et que tu décides de toujours l’aimer, je serais toujours là pour te consoler entre-temps. Simplement, je n’ai pas pour vocation de devenir ton mouchoir personnel Micky, j’ai d'autres ambitions dans la vie. » lui répondis-je en tournant finalement la tête vers lui avec un petit sourire. C’est compliqué de rester fâché contre lui, il a toujours ce petit quelques choses qui fait qu’il a une bouille d’ange, certainement le pourquoi il porte ange dans son prénom. Ses parents avaient prédit les choses qu’il serait un ange charmeur. « Ton fameux plan. » Toujours pas compris en quoi il consistait principalement si ce n’est en haut de la liste il doit y avoir une case faire d’Apolline Dunn une Apolline Grimm, espérons juste qu’elle ne terminera pas avec l’autre frère Grimm parce que là, il ne s’en remettrait pas, il ramperait au sol pour l’éternité.
Oh alors là, je suis outré, comment cela ce qui se passe avec Alister ne veut rien dire ? Que cela ne compte pas . Bien sûr que ça compte et beaucoup. C’est… Il est… Il est quoi au juste, c’est vrai, on passe du bon temps ensemble, beaucoup je dois dire, il est juste parfait dans son domaine. Il n’y a pas mieux. Est-ce que je suis amoureuse de lui ? Non, puis lui non plus n’est pas amoureux de moi. On est juste très bien dans notre relation libre. « Tu n’es pas gentil, je ne te montrerais pas mon dernier tatouage. » Et ce n’est peut-être pas une bonne idée de le lui montrer ou encore lui dire de quoi il est question. ‘Angel’ sur le haut de mon bras, il va penser que je l’ai fait spécialement pour lui en plus. Alors que NON, absolument pas. Il a une autre signification, mais Micky serait bien capable de se l’approprier.
Je porte mon attention sur le reste des trois balais, certains clients avait l’air d’en avoir marre de ne pas pouvoir sortir. Je pouvais les comprendre un peu. Retournant mon regard sur notre table, je prends mon verre pour en boire une grande gorgée avant de regarder notre capitaine de quidditch.
« Est-ce que tu sous-entends qu’Alister est la bièraubeurre ? Qui serait alors les choses sérieuses. » demandais-je en faisant des guillemets au moment de dire choses sérieuses. Je pose ma main sur sa cuisse et me rapproche légèrement de lui. « Je suis vraiment curieuse de savoir à qui tu penses ? Surtout que tu sais pertinemment que ma vie sentimentale me convient aisément ainsi. » J’enlève ma main de sa cuisse pour y mettre une jambe par-dessus ses cuisses, l’autre jambe se trouvait collée au sien. Lui faire du pied ? Non, pas encore ce n’est que le début du jeu pour moi. Ne faudrait pas qu’il se lève subitement prétextant un ‘je dois aller aux toilettes. Cela me vexerait énormément. Attrapant son menton avec une main pour le faire me regarder. « Serais-tu cette chose sérieuse ? Je doute fortement, on sait très bien que toi et moi, c’est presque comme l’huile et l’eau, jamais on ne se mélangera de cette manière. Dans une autre vie peut-être que… » Je laisse en suspens ma phrase pour regarder les déplacements de l’auror qui questionnait les gens. Il avait l’air de se rapprocher de plus en plus de notre table.
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FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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(50/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
« Ouais, mon fameux plan. »
Je lui fis un clin d’oeil et je bus quelques gorgées. La tension sembla se stabiliser. Maintenant on attendait juste d’avoir quelques informations pour savoir quoi entreprendre pour la suite et savoir quand partir. Moi, j’étais avec Théa, donc je m’en moquais. Je pouvais rester ici plusieurs jours à parler avec elle.
Le fameux plan donc… Celui que tout le monde connaissait : Devenir Ministre de la Magie et épouser Apolline Dunn. J’allais y arriver, j’en étais certains.
« Attends… Tu me fais du rentre dedans je rêve ! »
Je pris une bière que je venais de commander. Visiblement, on avait le droit de boire de l’alcool et la propriétaire ne s’était pas gênée pour nous offrir des verres. C’était vraiment une soirée… Particulière ! Avec soin, je posais ma biere sur la table et je déclarai d’un air espiègle.
« Je me rapproche pas ! Je te drague pas ! Et je veux pas me mélanger avec toi ! Woh Théa ! »
Je ricanais et je levais les yeux au ciel. Elle était certes vraiment très belle. Mais c’était plus une amie qu’autre chose. Décalant mon verre et le faisant tourner avec calme sur la table je roulais yeux. Je repris une gorgée et je me mis à ricaner de plus belle.
« C’était pas une métaphore mais c’était une très belle esquive pour Alister. Regarde... »
Je pris le Sel et le Poivre. Je les posais devant moi et je désignais le Poivre.
« Ca c’est Alister. Et le Sel c’est toi. On va inverser les couleurs, comme ça y’aura pas de problème de racisme. L’un prétend qu’il peut très bien vivre sans l’autre mais… Avoue quand même que manger un plat avec du sel et du poivre c’est quand même meilleur non ? »
Je bus plusieurs gorgées de bière. Mon regard se fit quand même inquiet car les Aurors et les Brigadiers ne semblèrent pas bouger. Cela ressemblait à un délit assez important. Et pas en rapport avec le Secret magique, car nous étions dans un endroit réservé aux sorciers et qu’il n’y avait aucun Oubliator.
« J’arrête de t’embêter. Et pour répondre à ta curiosité, oui, toi et moi ça serait cool. Mais… Ca serait un peu gênant par la suite non ? Enfin moi ça me gênerait ! C’est quoi ce nouveau tatouage ? Il est où ? Sur une partie que tu peux montrer j’espère... »
Je fronçais des sourcils. Elle était bien du genre à se faire tatouer une partie du corps comme les fesses et me proposer de me le montrer juste pour m’embêter ! Cette conversation commença un peu à me faire rougir, et la bière aussi. Elle savait très bien que j’étais timide avec les filles et surtout sur ce genre de chose. Et j’avais un plan ! Et le plan s’appelait Apolline Dunn. Il ne fallait pas que je change de cap.
« Le sel, le poivre, l’huile, l’eau… Que des métaphores culinaires. C’est que t’as faim ? Je pense qu’on devrait manger là... »
Ca allait traîner. Je mangeais souvent aux Trois Balais. La propriétaire n’avait pas changé la carte, et on pouvait manger tout ce qu’il y avait dans un Pub britannique. Sans un mot, je levais le bras pour demander la carte que la serveuse m’expédia d’un coup de baguette avec de reprendre sa discussion avec Fergus Clearwater.
« Dans une autre vie, on était sûrement frère et sœur ! Parce que si on avait été amant, je l’aurai su quand je t’ai vu. »
Et je lui fis un léger clin d’oeil par dessus la carte.
« Je vais prendre un burger je crois. »
Je lui fis un clin d’oeil et je bus quelques gorgées. La tension sembla se stabiliser. Maintenant on attendait juste d’avoir quelques informations pour savoir quoi entreprendre pour la suite et savoir quand partir. Moi, j’étais avec Théa, donc je m’en moquais. Je pouvais rester ici plusieurs jours à parler avec elle.
Le fameux plan donc… Celui que tout le monde connaissait : Devenir Ministre de la Magie et épouser Apolline Dunn. J’allais y arriver, j’en étais certains.
« Attends… Tu me fais du rentre dedans je rêve ! »
Je pris une bière que je venais de commander. Visiblement, on avait le droit de boire de l’alcool et la propriétaire ne s’était pas gênée pour nous offrir des verres. C’était vraiment une soirée… Particulière ! Avec soin, je posais ma biere sur la table et je déclarai d’un air espiègle.
« Je me rapproche pas ! Je te drague pas ! Et je veux pas me mélanger avec toi ! Woh Théa ! »
Je ricanais et je levais les yeux au ciel. Elle était certes vraiment très belle. Mais c’était plus une amie qu’autre chose. Décalant mon verre et le faisant tourner avec calme sur la table je roulais yeux. Je repris une gorgée et je me mis à ricaner de plus belle.
« C’était pas une métaphore mais c’était une très belle esquive pour Alister. Regarde... »
Je pris le Sel et le Poivre. Je les posais devant moi et je désignais le Poivre.
« Ca c’est Alister. Et le Sel c’est toi. On va inverser les couleurs, comme ça y’aura pas de problème de racisme. L’un prétend qu’il peut très bien vivre sans l’autre mais… Avoue quand même que manger un plat avec du sel et du poivre c’est quand même meilleur non ? »
Je bus plusieurs gorgées de bière. Mon regard se fit quand même inquiet car les Aurors et les Brigadiers ne semblèrent pas bouger. Cela ressemblait à un délit assez important. Et pas en rapport avec le Secret magique, car nous étions dans un endroit réservé aux sorciers et qu’il n’y avait aucun Oubliator.
« J’arrête de t’embêter. Et pour répondre à ta curiosité, oui, toi et moi ça serait cool. Mais… Ca serait un peu gênant par la suite non ? Enfin moi ça me gênerait ! C’est quoi ce nouveau tatouage ? Il est où ? Sur une partie que tu peux montrer j’espère... »
Je fronçais des sourcils. Elle était bien du genre à se faire tatouer une partie du corps comme les fesses et me proposer de me le montrer juste pour m’embêter ! Cette conversation commença un peu à me faire rougir, et la bière aussi. Elle savait très bien que j’étais timide avec les filles et surtout sur ce genre de chose. Et j’avais un plan ! Et le plan s’appelait Apolline Dunn. Il ne fallait pas que je change de cap.
« Le sel, le poivre, l’huile, l’eau… Que des métaphores culinaires. C’est que t’as faim ? Je pense qu’on devrait manger là... »
Ca allait traîner. Je mangeais souvent aux Trois Balais. La propriétaire n’avait pas changé la carte, et on pouvait manger tout ce qu’il y avait dans un Pub britannique. Sans un mot, je levais le bras pour demander la carte que la serveuse m’expédia d’un coup de baguette avec de reprendre sa discussion avec Fergus Clearwater.
« Dans une autre vie, on était sûrement frère et sœur ! Parce que si on avait été amant, je l’aurai su quand je t’ai vu. »
Et je lui fis un léger clin d’oeil par dessus la carte.
« Je vais prendre un burger je crois. »
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
INFOS
FICHE DE PERSO
Thea & Michel-Ange - 15 Octobre 2022
Je roule des yeux un peu, du rentre-dedans tous de suite. Alors que oui peut être pour passer le temps. Clairement, c’est juste un peu pour moi, jamais je n’aurais envie de voir Micky aussi bien musclé il peut être avec le quidditch dans son plus simple appareil. Ouai, non, c’est comme si je surprenais mon cousin dans la salle de bain, c’est horrible, je vais en faire des cauchemars rien que d’y penser. « Je ne te drague pas non plus. » dis-je en lui donnant un coup dans l’épaule avec ma main. « Je te taquine c’est tout, si je te draguais, j’y mettrais vraiment plus de caresses et de subtilité tournée dans mes mots et un peu plus d’entrain. Je sais bien que tu appartiens corps et âme à @Apolline Dunn jusqu’à l’Apocalypse. »
Je retire délicatement mes cuisses de sur Micky pour me réinstaller correctement et boire un peu de ma bièraubeurre. Une esquive, il pensait que je m’amusais à le charmer pour qu’il oublie momentanément Alister et qu’il me foute la paix sur ma relation peu orthodoxe comme dirait ma grand-mère. Je m’amuse discrètement avec la lanière de mon appareil photo quand notre capitaine d’équipe national décide de me donner une nouvelle leçon. Je le regarde en haussant un sourcil. Je secoue doucement la tête et rigole un peu. « Je sais très bien que tu n’es pas raciste. » Je ne suis pas sûr de penser comme lui, enfin si, certains mets demandent de l’assaisonnement des deux, mais pour les frites je ne mets que du sel personnellement. La fin de sa tirade me laisse perplexe cela dit. « Attends le plat ce n’est tout de même pas une troisième personne ? Non parce que j’aime avoir la possibilité de m’amuser avec d’autres hommes qu’@Alister Dunn et il fait de même de son côté, mais ajouté une troisième personne ? NEVER. » Je fais un non énergique de la tête. Juste pas possible. A un moment donné, t’en a toujours un qui est mis de côté.Puis dans mes ébats , je reste un temps soit peu possessive.
« Non, il n’est pas sur une partie intime, je peux te le montrer facilement, mais je ne sais pas si c’est une bonne idée. Tu as un esprit aussi tordu que les miens par moments et j’ai peur de ce que tu pourrais croire. » Je réfléchissais au pour et contre l’idée de le lui montrer, d’un côté, je me dis qu’il pourrait me surprendre et ne pas du tout croire que c’est pour lui et d’un autre, il pourrait avoir cette tendance à croire qu’il est tellement important dans ma vie que j’avais besoin de me l’imprimer sur la peau. Je le regarde doucement de biais et j’arque un sourcil en le voyant rouge. Mais à quoi il pense ? Je ne veux même pas savoir. « Va falloir stopper la bière mon petit, semblerait que tu ne le tiennes absolument pas. » Et encore ce n’était que de la bièraubeurre et non du whisky pur feu.
« Je crois que c’est surtout toi qui as faim, puis manger fera certainement partir ses colorations sur tes joues. Ton ventre on dirait un monstre qui hiberne dans une grotte, tellement c’était puissant. » Je pointe son ventre du doigt et qu’il ne dise pas le contraire. Je souris devant sa réplique sur le fait qu’on était peut-être frère et sœur dans une vie antérieure. « Avec @Amy Jordan, Amy c’est comme ma petite sœur comme toi que je considère comme un frère. » À défaut de son propre frère @Léonard Grimm que je ne vois absolument pas comme ça, vu la petite soirée que l’on a passée ensemble.
« Je crois que je vais prendre un Fish and Chips. » Je ne regardais même pas la carte, au bout de huit ans, je commençais à la connaitre par cœur cette carte. Sans me préoccuper des gens présents dans la pièce, je remonte la manche de mon haut jusqu’à l’épaule, bien que ce soit assez compliqué. J’aurais pu enlever le haut directement en enlevant une bretelle puis l’autre de ma salopette, mais je n’ai pas vraiment envie de me faire embarquer pour atteinte à la pudeur. Sur mon bras droit, on pouvait distinctement lire A N G E L. « C’est celui-ci que j’ai fait. » Et maintenant ? J’attendais simplement de voir sa réaction qui ne tarderait pas, à moins qu’il bug comme un ordinateur.
Je retire délicatement mes cuisses de sur Micky pour me réinstaller correctement et boire un peu de ma bièraubeurre. Une esquive, il pensait que je m’amusais à le charmer pour qu’il oublie momentanément Alister et qu’il me foute la paix sur ma relation peu orthodoxe comme dirait ma grand-mère. Je m’amuse discrètement avec la lanière de mon appareil photo quand notre capitaine d’équipe national décide de me donner une nouvelle leçon. Je le regarde en haussant un sourcil. Je secoue doucement la tête et rigole un peu. « Je sais très bien que tu n’es pas raciste. » Je ne suis pas sûr de penser comme lui, enfin si, certains mets demandent de l’assaisonnement des deux, mais pour les frites je ne mets que du sel personnellement. La fin de sa tirade me laisse perplexe cela dit. « Attends le plat ce n’est tout de même pas une troisième personne ? Non parce que j’aime avoir la possibilité de m’amuser avec d’autres hommes qu’@Alister Dunn et il fait de même de son côté, mais ajouté une troisième personne ? NEVER. » Je fais un non énergique de la tête. Juste pas possible. A un moment donné, t’en a toujours un qui est mis de côté.
« Non, il n’est pas sur une partie intime, je peux te le montrer facilement, mais je ne sais pas si c’est une bonne idée. Tu as un esprit aussi tordu que les miens par moments et j’ai peur de ce que tu pourrais croire. » Je réfléchissais au pour et contre l’idée de le lui montrer, d’un côté, je me dis qu’il pourrait me surprendre et ne pas du tout croire que c’est pour lui et d’un autre, il pourrait avoir cette tendance à croire qu’il est tellement important dans ma vie que j’avais besoin de me l’imprimer sur la peau. Je le regarde doucement de biais et j’arque un sourcil en le voyant rouge. Mais à quoi il pense ? Je ne veux même pas savoir. « Va falloir stopper la bière mon petit, semblerait que tu ne le tiennes absolument pas. » Et encore ce n’était que de la bièraubeurre et non du whisky pur feu.
« Je crois que c’est surtout toi qui as faim, puis manger fera certainement partir ses colorations sur tes joues. Ton ventre on dirait un monstre qui hiberne dans une grotte, tellement c’était puissant. » Je pointe son ventre du doigt et qu’il ne dise pas le contraire. Je souris devant sa réplique sur le fait qu’on était peut-être frère et sœur dans une vie antérieure. « Avec @Amy Jordan, Amy c’est comme ma petite sœur comme toi que je considère comme un frère. » À défaut de son propre frère @Léonard Grimm que je ne vois absolument pas comme ça, vu la petite soirée que l’on a passée ensemble.
« Je crois que je vais prendre un Fish and Chips. » Je ne regardais même pas la carte, au bout de huit ans, je commençais à la connaitre par cœur cette carte. Sans me préoccuper des gens présents dans la pièce, je remonte la manche de mon haut jusqu’à l’épaule, bien que ce soit assez compliqué. J’aurais pu enlever le haut directement en enlevant une bretelle puis l’autre de ma salopette, mais je n’ai pas vraiment envie de me faire embarquer pour atteinte à la pudeur. Sur mon bras droit, on pouvait distinctement lire A N G E L. « C’est celui-ci que j’ai fait. » Et maintenant ? J’attendais simplement de voir sa réaction qui ne tarderait pas, à moins qu’il bug comme un ordinateur.
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Dossier du Ministère
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Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
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Education Magique (EM):
(65/100)
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Rigueur Magique (RM):
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Expérience Magique (XM):
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Témoins de l'Histoire:
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Inventaire:
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(50/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
Il se passa beaucoup d’évènement en un laps de temps très court. Premièrement, l’enchantement que j’avais réussi à monter pour arranger mon visage céda. Un des Aurors avaient levé sa baguette et avait utilisé un Finite assez puissant dans l’optique de trouver éventuellement le suspect parmi la foule. Mon arcane se déforma et une cicatrice apparut dessus, ainsi qu’un œil au beurre noir. Immédiatement, l’Auror qui avait lancé le Finite se dirigea vers nous.
« Laisse moi faire… Et t’emporte pas. »
Il arriva droit sur moi. Sans plus attendre, il sortit une plume à papote et m’observa en regardant les sourcils.
« Bonsoir jeunes gens. J’aimerai savoir pourquoi vous avez ces marques sur le visage, qui sont apparus lorsque j’ai brisé les enchantements de l’endroit. »
Je regardais alternativement Théa, et l’Auror. Avec un léger sourire en coin, un brin insolent qui m’avait toujours caractérisé je déclarai simplement :
« Je me suis battu avec mon frère aîné, et je me suis maquillé avec magie pour éviter de paraître trop moche aux yeux de cette charmante jeune femme… »
La plume à papote nota l’ensemble de mes paroles. Et elle sembla en noter plus. Il s’appuya sur la table et me regarda alors dans les yeux. Enfin surtout dans celui qui était encore valide. L’autre était en train de guérir.
« Très bien. Il y a eu un meurtre juste devant l’établissement, jeune homme. Une enquête va être ouverte, et je suis en train de voir avec la propriétaire de l’établissement pour vous soumettre au Veritaserum. Donc je suppose que vous n’avez rien à vous reprocher ? »
Je l’observais dans les yeux. Cette histoire de meurtre me jeta quand même un froid dans le dos.
« Si, d’avoir été cruel avec mon frère. Mais je crois que vous n’y pouvez rien. J’accepte le Veritaserum, si ça peut faire avancer l’enquête. Je n’ai rien à cacher et... »
Soudain, Fergus interpela l’Auror qui était avec moi.
« Finch, laisse le tu veux. Viens plutôt voir dehors ce que le Briseur de Sort à trouver. »
Fergus me regarda d’un air un peu inquiet en voyant mon visage. Allait-il tout dire à Solvi ? L’Auror m’observa un long moment et déclara :
« Restez ici. »
Puis il s’en alla, nous laissant à nouveau seul avec Théa. Inspirant d’un air un peu soulagé, je bus une longue gorgée de bière. A ce rythme là, j’allais absolument pas avoir besoin de Veritaserum pour dire la vérité ! Levant ma main pour en commander une autre, je regardais Théa la gueule en coeur.
« Donc je disais ! Ah oui ! Très joli tatouage ! C’est pour moi ? Si c’est le cas, il est ravissant et il me fait infiniment plaisir. Et il est mieux là que sur ta poitrine. Effectivement. T’as entendu ? Y’a eu un meurtre ! »
J’essayais bien sûr de changer le sujet. La bière arriva alors et je bus plusieurs gorgées assez grande. J’allais subir deux interrogatoires ce soir. Un par les Aurors et Brigadiers, l’autre par Théa. Et j’avais beaucoup moins peur de celui des agents du Ministère que celui qu’allait m’imposer mon ami.
« Si je me tatoue Théa sur la cuisse, on peut décaler cette conversation à plus tard ? » tentais-je dans une blague hasardeuse.
« Laisse moi faire… Et t’emporte pas. »
Il arriva droit sur moi. Sans plus attendre, il sortit une plume à papote et m’observa en regardant les sourcils.
« Bonsoir jeunes gens. J’aimerai savoir pourquoi vous avez ces marques sur le visage, qui sont apparus lorsque j’ai brisé les enchantements de l’endroit. »
Je regardais alternativement Théa, et l’Auror. Avec un léger sourire en coin, un brin insolent qui m’avait toujours caractérisé je déclarai simplement :
« Je me suis battu avec mon frère aîné, et je me suis maquillé avec magie pour éviter de paraître trop moche aux yeux de cette charmante jeune femme… »
La plume à papote nota l’ensemble de mes paroles. Et elle sembla en noter plus. Il s’appuya sur la table et me regarda alors dans les yeux. Enfin surtout dans celui qui était encore valide. L’autre était en train de guérir.
« Très bien. Il y a eu un meurtre juste devant l’établissement, jeune homme. Une enquête va être ouverte, et je suis en train de voir avec la propriétaire de l’établissement pour vous soumettre au Veritaserum. Donc je suppose que vous n’avez rien à vous reprocher ? »
Je l’observais dans les yeux. Cette histoire de meurtre me jeta quand même un froid dans le dos.
« Si, d’avoir été cruel avec mon frère. Mais je crois que vous n’y pouvez rien. J’accepte le Veritaserum, si ça peut faire avancer l’enquête. Je n’ai rien à cacher et... »
Soudain, Fergus interpela l’Auror qui était avec moi.
« Finch, laisse le tu veux. Viens plutôt voir dehors ce que le Briseur de Sort à trouver. »
Fergus me regarda d’un air un peu inquiet en voyant mon visage. Allait-il tout dire à Solvi ? L’Auror m’observa un long moment et déclara :
« Restez ici. »
Puis il s’en alla, nous laissant à nouveau seul avec Théa. Inspirant d’un air un peu soulagé, je bus une longue gorgée de bière. A ce rythme là, j’allais absolument pas avoir besoin de Veritaserum pour dire la vérité ! Levant ma main pour en commander une autre, je regardais Théa la gueule en coeur.
« Donc je disais ! Ah oui ! Très joli tatouage ! C’est pour moi ? Si c’est le cas, il est ravissant et il me fait infiniment plaisir. Et il est mieux là que sur ta poitrine. Effectivement. T’as entendu ? Y’a eu un meurtre ! »
J’essayais bien sûr de changer le sujet. La bière arriva alors et je bus plusieurs gorgées assez grande. J’allais subir deux interrogatoires ce soir. Un par les Aurors et Brigadiers, l’autre par Théa. Et j’avais beaucoup moins peur de celui des agents du Ministère que celui qu’allait m’imposer mon ami.
« Si je me tatoue Théa sur la cuisse, on peut décaler cette conversation à plus tard ? » tentais-je dans une blague hasardeuse.
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
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Thea & Michel-Ange - 15 Octobre 2022
Je buvais une gorgée de mon verre quand le visage de Micky prit une tournure différente. Serait-ce le résultat de @Léonard Grimm, très certainement. Je reste avec mon verre au niveau de ma bouche pour cacher mon petit sourire. J’avais dit au serpentard que je ne prendrais pas partie mais il fallait avoué que Micky l’avait un peu mérité celui-ci. Il a de la chance que ce n’est qu’un coup de poing, cela aurait pu être plus dramatique. Je suis curieuse. Pourquoi ne pas m’empoter ? Je suis le calme incarné. Peut-être pas, mais je ne frappe pas les gens, je ne l’ai encore jamais fait. Après une réplique cinglante peut-être tout autant blessante qu’une bonne gifle.
Je pose mon verre un peu trop brusquement sur la table si bien que j’ai cru que je l’avais fissuré mais non. Je braque directement mon regard sur le farfadet qui n’est visiblement pas capable de voir plus loin que le bout de son nez. C’est cela qu’on recrute chez les aurors maintenant ? A défaut d’avoir une cervelle, pourrait au moins avoir un physique. De loin il avait l’air potable, mais de près on dirait qu’un camion lui est rentré dedans. Il a le visage tout aplatit, si, si, rien de séduisant la dedans. Je crois bien que je préfère encore le poteau derrière lui.
Je roule des yeux en entendant la réponse de mon ami, va s-y soit encore plus désinvolte et on va finir tous les deux au ministère de la magie jusqu’à demain. En revanche je souris au charmante jeune femme qu’il affirme. Mais ce n’est pas comme ça que tu vas m’amadoué pour autant Micky. Essaye encore. Ne pas faire ta Thea, ne pas faire ta Thea et partir dans une espèce de manifestation pour abus de pouvoir sur ton ami. Restons zen, souris et massacre juste la face de thon d’auror seulement mentalement. Ne pas sortir ses quatre vérité non plus. Micky a dit qu’il gérait, laissons-le faire. Au pire des cas, je suis certains que le Fergus en question remettra l’autre sur les rails, il n’a pas l’air très futé. Vraiment mère nature n’a pas été très aimable avec cet auror.
Quand il parle de meurtre, je frisonne un peu de peur et si le meurtrier était toujours dans le coin ? Après je doute fortement que ce soit Micky. Micky un meurtrier, la bonne blague, il n’est déjà pas capable de tuer une mouche. Quoi qu’en vrai, je ne sais pas, je ne suis pas h24 avec lui, mais je plussoie le fait qu’il soit innocent. Devant ? Vraiment ? On l’aurait remarqué en passant dans la ruelle. La scène doit certainement se trouver dans un autre bâtiment non loin.
« Vous êtes sûr que ce n’est pas Fish. » marmonnais-je très bas pour pas qu’ils entendent, il a une bonne tête de poisson avarié. Cela lui correspondrait bien mieux au vue de sa personne. Je tourne de nouveau mon regard vers l’auror Finch quand il informe clairement de rester ici. Et quoi encore, il n’est pas en état d’arrestation. Il peut bien faire ce qu’il veut.
Je hoche la tête alors que je le regarde en secouant la tête de façon désespéré. Le pauvre il pensait vraiment que j’allais oublié la partie ou son frère l’a amoché ? « J’aurais aussi pu le faire surmon cul . » Phrase sortie plus vite que je n’aurais voulu. « Non, aucune remarque. Puis ce n’est pas pour toi que je l’ai fait, même si je sais que ça va être extrêmement compliqué pour toi de l’assimiler. » Je vais laisser courir. « Ne dis pas d’absurdité tu veux. » Je ne pouvais pas dire que Léonard m’avait déjà raconté l’histoire, il aurait fini par tourné la conversation sur le fait que j’ai vu son frère et bla bla bla. Sans compter que j’ai promis à Léo que je ne dirais. On va faire celle qui ne sait pas, on verra bien ce qu’il raconte. « Du coup, la raison du pourquoi ton frère a décidé de te refaire le portrait ? » J’attrape au passage son verre pour le finir. « Finis les bièraubeurre pour toi, tu ne sais pas tenir l’alcool. J’aurais peut-être du t’apprendre ça aussi. » Il aura beau faire les gros yeux ou chouiner pas mon soucis, j'ai pas envie de gérer un Micky fortement alcoolisé, je ne connais pas cette espèce là. Un Micky au bord du gouffre et triste à souhait je connais, mais là, on va partir en terrain inconnu.
Je pose mon verre un peu trop brusquement sur la table si bien que j’ai cru que je l’avais fissuré mais non. Je braque directement mon regard sur le farfadet qui n’est visiblement pas capable de voir plus loin que le bout de son nez. C’est cela qu’on recrute chez les aurors maintenant ? A défaut d’avoir une cervelle, pourrait au moins avoir un physique. De loin il avait l’air potable, mais de près on dirait qu’un camion lui est rentré dedans. Il a le visage tout aplatit, si, si, rien de séduisant la dedans. Je crois bien que je préfère encore le poteau derrière lui.
Je roule des yeux en entendant la réponse de mon ami, va s-y soit encore plus désinvolte et on va finir tous les deux au ministère de la magie jusqu’à demain. En revanche je souris au charmante jeune femme qu’il affirme. Mais ce n’est pas comme ça que tu vas m’amadoué pour autant Micky. Essaye encore. Ne pas faire ta Thea, ne pas faire ta Thea et partir dans une espèce de manifestation pour abus de pouvoir sur ton ami. Restons zen, souris et massacre juste la face de thon d’auror seulement mentalement. Ne pas sortir ses quatre vérité non plus. Micky a dit qu’il gérait, laissons-le faire. Au pire des cas, je suis certains que le Fergus en question remettra l’autre sur les rails, il n’a pas l’air très futé. Vraiment mère nature n’a pas été très aimable avec cet auror.
Quand il parle de meurtre, je frisonne un peu de peur et si le meurtrier était toujours dans le coin ? Après je doute fortement que ce soit Micky. Micky un meurtrier, la bonne blague, il n’est déjà pas capable de tuer une mouche. Quoi qu’en vrai, je ne sais pas, je ne suis pas h24 avec lui, mais je plussoie le fait qu’il soit innocent. Devant ? Vraiment ? On l’aurait remarqué en passant dans la ruelle. La scène doit certainement se trouver dans un autre bâtiment non loin.
« Vous êtes sûr que ce n’est pas Fish. » marmonnais-je très bas pour pas qu’ils entendent, il a une bonne tête de poisson avarié. Cela lui correspondrait bien mieux au vue de sa personne. Je tourne de nouveau mon regard vers l’auror Finch quand il informe clairement de rester ici. Et quoi encore, il n’est pas en état d’arrestation. Il peut bien faire ce qu’il veut.
Je hoche la tête alors que je le regarde en secouant la tête de façon désespéré. Le pauvre il pensait vraiment que j’allais oublié la partie ou son frère l’a amoché ? « J’aurais aussi pu le faire sur
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Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Expertise : Sortilège de Désillusion !
Sortilège de Niv.6
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INFOS
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Faceclaim : Dylan O'Brien
Sang : Sang Pur
Profession : Forgeron-Enchanteur
Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)Education Magique (EM):
(65/100)Potentiel Magique (PM):
(35/100)Rigueur Magique (RM):
(70/100)Expérience Magique (XM):
(50/100)Témoins de l'Histoire:
(0/0)Inventaire:
« WOH MA BIERE CA VA PAS LA TETE NON ? »
Je m’étais mis à beugler au milieu du bar. Meurtre ou pas j’en avais absolument rien à faire. On prenait surtout pas ma bière ! C’était hors de question ! Quand je vis Théa se l’enfiler cul-sec, mon expression passa de la pure colère à la déception la plus expressive du monde.
« Ma bière… » répétais-je en regardant me verre désespérement vide.
Là, j’allais être chonchon. Je regardais ailleurs un instant. Puis, d’un air morose et sans rien dire de plus, je croisais les bras et je regardais ailleurs, disant d’une voix claire et simple :
« Je l’ai trahi et blessé. Le pourquoi reste entre nous, j’ai pas envie de m’étaler sur le sujet. »
J’en avais assez gros sur la patate. Entre Léonard qui ne me parlait plus et Apolline qui ne voulait toujours pas accepter ses sentiments, ma vie commençait à me gonfler et je n’avais pas envie de passer les seuls moments que j’avais sans eux à en parler. Il y avait trois personnes qui arrivaient à me vider totalement l’esprit d’Apolline quand j’étais avec elles : Asel, Amy et Théa. Les autres, même Adil, me faisait penser à elle.
« J’ai mérité ce que j’ai, c’est fait, c’est comme ça je m’arrangerai avec lui. Parle moi plutôt de ton tatouage. C’est qui ce Angel ? On a quelqu’un a pris le même prénom que moi ? C’est rare tu sais ? J’accepterai pas du tout qu’un autre s’appelle Michel-Ange. Déjà qu’Adil a eu du mal à prononcer mon prénom pendant un an, non. Tu peux pas me faire ça. Et pourquoi tu te taoues pas les fesses ? Si j’avais un tatouage, j’en ferai un là. Et y’aurait Théa écrit en gros dessus. »
Je levais la main. Immédiatement une bière s’envola du bar pour venir jusqu’à moi. Je payais mes bières comptant tout le monde le savait ! Je l’attrapais en vol comme un digne attrapeur. L’ivresse fit que mon geste fut quand même plus maladroit et j’en renversais une partie sur les jambes de Théa.
« Oops. Ca t’apprendra tiens ! »
Je me reculais avec soin pour éviter qu’elle ne prenne encore ma bière. Les yeux plissés, j’épiais ses moindre geste, prêt à lui jeter un sort si elle recommençait. Finalement… je déballais tout d’un coup, passant du dirico à l’augurey.
« Je crois qu’on va être libéré. Bon, on parle beaucoup de moi mais j’vois bien que t’esquive quand on parle d’Alister… Tout ça parce que tu sais que j’ai raison… Vous êtes fait l’un pour l’autre, ça se voit… T’es juste aveugle. Ou tu acceptes pas tes sentiments pour lui. Si c’est le cas, c’est pas bien parce que c’est ce qu’Apo me fait subir. »
Je fronçais les sourcils tout en la sermonant. Les Aurors arrivèrent et annoncèrent que le barrage était levé et qu’on pouvait rentrer chez nous.
Je m’étais mis à beugler au milieu du bar. Meurtre ou pas j’en avais absolument rien à faire. On prenait surtout pas ma bière ! C’était hors de question ! Quand je vis Théa se l’enfiler cul-sec, mon expression passa de la pure colère à la déception la plus expressive du monde.
« Ma bière… » répétais-je en regardant me verre désespérement vide.
Là, j’allais être chonchon. Je regardais ailleurs un instant. Puis, d’un air morose et sans rien dire de plus, je croisais les bras et je regardais ailleurs, disant d’une voix claire et simple :
« Je l’ai trahi et blessé. Le pourquoi reste entre nous, j’ai pas envie de m’étaler sur le sujet. »
J’en avais assez gros sur la patate. Entre Léonard qui ne me parlait plus et Apolline qui ne voulait toujours pas accepter ses sentiments, ma vie commençait à me gonfler et je n’avais pas envie de passer les seuls moments que j’avais sans eux à en parler. Il y avait trois personnes qui arrivaient à me vider totalement l’esprit d’Apolline quand j’étais avec elles : Asel, Amy et Théa. Les autres, même Adil, me faisait penser à elle.
« J’ai mérité ce que j’ai, c’est fait, c’est comme ça je m’arrangerai avec lui. Parle moi plutôt de ton tatouage. C’est qui ce Angel ? On a quelqu’un a pris le même prénom que moi ? C’est rare tu sais ? J’accepterai pas du tout qu’un autre s’appelle Michel-Ange. Déjà qu’Adil a eu du mal à prononcer mon prénom pendant un an, non. Tu peux pas me faire ça. Et pourquoi tu te taoues pas les fesses ? Si j’avais un tatouage, j’en ferai un là. Et y’aurait Théa écrit en gros dessus. »
Je levais la main. Immédiatement une bière s’envola du bar pour venir jusqu’à moi. Je payais mes bières comptant tout le monde le savait ! Je l’attrapais en vol comme un digne attrapeur. L’ivresse fit que mon geste fut quand même plus maladroit et j’en renversais une partie sur les jambes de Théa.
« Oops. Ca t’apprendra tiens ! »
Je me reculais avec soin pour éviter qu’elle ne prenne encore ma bière. Les yeux plissés, j’épiais ses moindre geste, prêt à lui jeter un sort si elle recommençait. Finalement… je déballais tout d’un coup, passant du dirico à l’augurey.
« Je crois qu’on va être libéré. Bon, on parle beaucoup de moi mais j’vois bien que t’esquive quand on parle d’Alister… Tout ça parce que tu sais que j’ai raison… Vous êtes fait l’un pour l’autre, ça se voit… T’es juste aveugle. Ou tu acceptes pas tes sentiments pour lui. Si c’est le cas, c’est pas bien parce que c’est ce qu’Apo me fait subir. »
Je fronçais les sourcils tout en la sermonant. Les Aurors arrivèrent et annoncèrent que le barrage était levé et qu’on pouvait rentrer chez nous.
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
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