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Welcome... To the Jungle
INFOS
FICHE DE PERSO
Welcome... To the Jungle
06.12.2022
Cela faisait bien un mois maintenant que j'étais arrivé au Brésil. Si la chaleur - surtout l'humidité en faites - m'avait causé quelques problèmes, les choses s'étaient finalement très vite arrangées grâce à quelques remèdes des sorciers brésiliens.
Après cela, je n'étais pas resté inactif à attendre que les diplomates de l'Institut et du département de la Coopération magique me facilitent les choses. J'ai toujours aimé le contact humain, encore plus lorsqu'il s'agissait de gens qui n'avaient pas ma culture. Ma curiosité était telle que j'allais toujours au-devant, quitte à me prendre quelques désagréments. Par chance, mon œil analytique me permettait généralement de faire mouche lorsque mon verbe ne suffisait pas à convaincre les locaux.
J'avais eu ce cas de figure il y a quelques années lorsque j'étais allé en Éthiopie. Plus de peur que de mal au final, un sorcier connaissant l'anglais était venu à mon secours.
Ici, ce fut pareil. Sauf que cette fois, c'était mon frère, Alan, qui bossait normalement au Chili qui était venu expressément pour moi afin que l'on passe du temps ensemble. Il maîtrisait les langues latines comme personne et puis, avec son tempérament, il était toujours très bien apprécié. Il savait séduire par le rire et c'était une qualité que je lui avais toujours un peu enviée.
Cependant, je me doutais bien qu'il était venu après avoir lu ma dernière lettre où je lui racontais rapidement la nouvelle que m'avait faite @Bianca Almadovar. J'avais beau être passé chez le barbier, coupe de cheveux taillés, barbe rasée, j'avais toujours dans mon regard cette petite lueur de colère ou de tristesse. Bref, quelque chose de tourmenté.
Mais Alan était génial. Et très vite, j'oubliais ma vie au Royaume-Uni, me familiarisant avec le portugais. Le travail était un médicament pour moi. Les mauvaises langues diront plutôt que ça me permettait de fuir. Cela ne me dérangeait pas. J'eus mon frère pour moi pendant un bon mois avant de le voir repartir pour rejoindre sa femme et ses enfants sur les mythes de l'île de Pâques.
Depuis une dizaine de jours donc, j'alternais entre mes visites à Castelobruxo, au ministère brésilien, au consulat britannique ainsi qu'au bureau d’antenne de l'Institut d'Exploration magique. Ce n’était beaucoup de paperasses pour pas grand-chose, mais c'était une étape importante à laquelle je m'étais plutôt habitué. Puis ça me permettait de préparer le terrain pour ce jeune Grimm dont j'aurais la charge pour la dizaine de jours de stage qu'il avait; entre son mois de cours et ses vacances de fin d'année.
Ce matin-là, tout vêtu de lin dans des tons bleus et sables, j'attendais avec impatience l'arrivée de mon jeune apprenti au niveau 0 du ministère brésilien, section transplanage.
Dans le doute où il n'est jamais vu une photo de mois, j'avais pris un parchemin sur lequel j'avais écrit son nom : Michel-Ange Grimm que je tenais devant moi, en attendant son arrivée.
09:03.
Son portoloin n'allait pas tarder. Un sourire se dessina sur mes lèvres lorsque je vis, sur le côté, une grand-mère donnait des coups de sacs à son mari parce qu'il avait oublié l'argent à la maison.
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Expertise : Sortilège de Désillusion !
Sortilège de Niv.6
Expertise : Incendio !
Sortilège de Niv.1
Expertise : Săgitae Argentum !
Sortilège de Niv.6
INFOS
Messages : 623
Faceclaim : Dylan O'Brien
Sang : Sang Pur
Profession : Forgeron-Enchanteur
Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Ma vie était devenue une véritable aventure. Quelques jours seulement après avoir vu le Chine intérieure par accident, j’avais rendez vous pour mon deuxième stage en tant que Briseur de Sort. Prêt, vêtu de pied en cap, je vérifiais l’ensemble de mon matériel pour la septième fois consécutive. Une fois certains que je n’avais rien oublié, je pris ma baguette, soigneusement lustré pour l’occasion et je la plaçais à l’intérieure de ma nouvelle veste.
« Asel ! Je vais pas tarder ! » beuglais-je.
Autour de nous,dans notre hangar servant de stockage à notre entreprise, plusieurs balais et prototypes étaient étalés ça et là. Il fallait dire que depuis que je m’étais rabibochés avec Apolline Dunn, j’avais trouvé moins de temps à leur consacré… Mettant mon énorme sac sur les épaules, j’attendis qu’elle arrive. Je l’entendais sur la Mezzanine déplacer des meubles. Mais qu’est ce qu’elle était encore en train de faire ?
« Bon ! J’y vais ! Oublie pas, de surtout RIEN TOUCHER en mon absence ! Je vais essayer de récupérer du bois enchanté là bas. Je vais peut être voir comment fonctionne les balais à l’âme vivante ! Promis on commercialise le premier prototype à mon retour ! »
Et j’avais saisi le portoloin, une espèce de trompette brésilienne qui servait à acclamer les sportifs moldus. L’instant suivant, je m’étais retrouvé comme convenu par l’IDEM et les autorité au milieu du Ministère Brésilien. Avec ma banane en guise de sourire, comme à mon habitude. Les agents du Ministère commencèrent à prendre mon sac pour vérifier leur contenu.
« J’vous préviens, si c’est pas comme je l’avais mis, j’appelle Sorcha MacGregor. C’est la patronne de l’IDEM. Elle plaisante pas ! »
Les agents se regardèrent d’un air étrange. Visiblement ils ne comprenaient pas l’anglais. Dans un haussement d’épaule, je regardais enfin autour de moi. Ah ! Un homme, qui devait être mon Maître de stage m’attendait. Avec un grand sourire, j’avançais vers lui et lui serrait la main avec chaleur.
« Vous devez être Lennox MacGregor ! On m’a parlé de vous ! Et en bien ! C’est ça… le Brésil ! WAHOU ! »
Je regardais autour de moi en écartant les bras. En fait je trouvais ça génial mais… ca ressemblait à n’importe quel bâtiment administratif. Mais l’ivresse de partir en exploration faisait que je trouvais ça totalement merveilleux.
« J’ai bien préparé mon matériel, comme convenu. J’ai vérifié sept fois, comme le préconise ma référente @Sorcha MacGregor . Le matériel, msieur MacGregor, c’est la vie. Il peut vous sauver et sans lui on est rien ! »
J’avais bien appris mes leçons. D’ailleurs, on me rendit mon immense sac que j’avais bien sur enchanté pour qu’il paraisse plus léger et je le mis sur mes épaules. Avec un air de hobbit, curieux de tout, je déclarai trop joyeux.
« On va où ? »
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
INFOS
FICHE DE PERSO
J'avais beau ne pas être trop regardant sur les tenues des gens, il fallait dire que celle du jeune homme qui s'approchait de moi me força à me mordre la lèvre inférieure pour ne pas éclater de rire. C'était quoi cette tenue ? Je ne pouvais m'empêcher de sourire, tentant de faire comme si de rien était bien que c'était plus compliqué qu'il ne le paraissait. Pour tout avouer, j'étais presque certain d'y voir une touche MacGregor dans son déguisement du parfait petit aventurier. @Théa Rosewell ne m'avait pas menti sur le spécimen Grimm. Et encore, je trouvais qu'elle y était allée avec le dos de la cuillère. J'avais hâte de retrouver mon apprentie pour lui raconter ma première rencontre avec son camarade.
Face à son air enjoué, je ne pus m'empêcher de cacher mes lèvres de ma main. C'était certain, je n'allais pas m'ennuyer. Puis... Pourquoi tous les Poufsouffle avaient cet air enjoué et si enthousiaste ? On était littéralement entre quatre murs dans un des endroits les moins glamours du ministère brésilien. Tu me diras, il ne pourrait que s'émerveiller un peu plus lorsque nous en sortirons.
« - Oh ! Je comprends mieux du coup. » Fis-je avec un sourire lorsqu'il mentionna le nom de ma cousine.
Je crois qu'il avait un petit peu trop pris à cœur ce qu'elle lui avait dit. Fronçant les sourcils, je répondis :
« - Euh... Tu as bien reçu ma lettre ? Celle où je t'indiquais qu'on allait surtout faire de la communication en vue des fouilles à venir ? »
Je n'avais pas le cœur d'ajouter que ce n'était pas encore gagné, lui qui semblait plein d'entrain. Quoique j'imaginais bien compter sur son aide pour finir de convaincre le bureau de la Coopération magique brésilien afin d'obtenir les signatures qui nous manquait. J'avais déjà obtenu celles de la direction de Castelobruxo.
« - Dans un premier temps et connaissant ma cousine qui a déjà du te dépeindre un tableau... Un peu trop passionné de notre profession, je vais te montrer le côté cool du métier. »
Chacun avait sa méthode. Mais les plus ouverts d'esprits d'entre nous, ceux qui aimaient s'immerger totalement dans une culture afin d'en comprendre les rouages, cela commençait par se mêler aux locaux. Néanmoins, je n'étais pas fou. Ne connaissant pas encore Michel-Ange, nous nous contenterons des sorciers de la ville.
Et puis, ça me laisserait le temps d'apprendre à le connaître avant de commencer les fouilles si nous obtenions notre signature demain.
« - On va commencer par flâner un peu, par se mêler aux gens d'ici. Du coup, il va falloir te changer et mettre quelque chose de moins... Agressif ? »
Je ne voulais pas le brusquer, mais j'avoue ne pas avoir trouvé un autre qualificatif.
« - Nous allons aller à l'hôtel, donc. »
Je lui fis un clin d’œil.
« - Et appelle-moi Lennie. »
Je me retournais pour prendre la direction de la sortie. Le hall était particulier puisqu'il était ouvert, montrant un ciel bleu et dégagé avec un soleil fort et puissant pour l'heure qu'il était. Si Michel-Ange n'était pas habitué à la chaleur humide, ça serait son baptême du feu.
L'architecture était quelque chose de magnifique, comme tirée d'un de ces univers latins où les murs sont de couleur terre d'ombre, tandis que l'on voyait des dorures ici et là, ainsi que des représentations animales. Il y avait des arbres un peu partout, laissant présager de l'endroit dans lequel nous étions, ainsi qu'une énorme statue où l'on voyait ce qui semblait être une femme-oiseau, un sorcier tenant un sceptre surmonté d'une pierre saphir, un tigre ailé ainsi que d'un soleil et d'une lune en lévitation derrière.
Au sud et au nord, il y avait des arches avec toujours ce rappel des astres où l'on voyait des espèces de portails menant à différents endroits d'Amérique latine. Ce n’était pas un de ceux se trouvant au sud que mon frère était venu. Je n'avais pas encore utilisé ce moyen de locomotion, mais l'idée me tentait. Alan m'avait parlé d'une espèce de sensation de fourmillements au bout des pieds avant de se rendre compte que son fils leur avait jeté un sortilège de rétrécissement progressif. Je n'étais donc sûr de rien.
Je lui montrais l'est. Derrière nous, à l'instar des temples mayas, le ministère s'élevait vers le ciel.
« - Nous allons sur la côte. La ville sorcière se trouve là-bas. »
De là où on était, on voyait des espèces de bâtiments ressemblant à des enclos. J'étais pressé de voir sa tête. Personnellement, j'étais complètement dingue de ce moyen de transport et j'étais particulièrement étonné de ne pas en avoir déjà vu ailleurs. Il était important de souligner que je n'étais pas le genre de garçon à trainer dans les pires endroits de la terre.
« - Tu es déjà monté sur un balai ? » Lui demandais-je en nous amenant tranquillement vers les enclos qui se dessinaient peu à peu pour laisser entendre les miaulements à mi-chemin du rugissement.
Tout à coup, nous vîmes des Jagons nous survoler pour venir toucher terre, sorciers sur le dos. Le sol semblait presque trembler sous le choc de ces créatures mi-tigres, mi-dragons. C'était des créatures magnifiques.
« - C'est avec ça qu'on va se rendre à Rio de Bruxo. »
J'avais un sourire fier, observant son visage pour voir sa réaction.
Face à son air enjoué, je ne pus m'empêcher de cacher mes lèvres de ma main. C'était certain, je n'allais pas m'ennuyer. Puis... Pourquoi tous les Poufsouffle avaient cet air enjoué et si enthousiaste ? On était littéralement entre quatre murs dans un des endroits les moins glamours du ministère brésilien. Tu me diras, il ne pourrait que s'émerveiller un peu plus lorsque nous en sortirons.
« - Oh ! Je comprends mieux du coup. » Fis-je avec un sourire lorsqu'il mentionna le nom de ma cousine.
Je crois qu'il avait un petit peu trop pris à cœur ce qu'elle lui avait dit. Fronçant les sourcils, je répondis :
« - Euh... Tu as bien reçu ma lettre ? Celle où je t'indiquais qu'on allait surtout faire de la communication en vue des fouilles à venir ? »
Je n'avais pas le cœur d'ajouter que ce n'était pas encore gagné, lui qui semblait plein d'entrain. Quoique j'imaginais bien compter sur son aide pour finir de convaincre le bureau de la Coopération magique brésilien afin d'obtenir les signatures qui nous manquait. J'avais déjà obtenu celles de la direction de Castelobruxo.
« - Dans un premier temps et connaissant ma cousine qui a déjà du te dépeindre un tableau... Un peu trop passionné de notre profession, je vais te montrer le côté cool du métier. »
Chacun avait sa méthode. Mais les plus ouverts d'esprits d'entre nous, ceux qui aimaient s'immerger totalement dans une culture afin d'en comprendre les rouages, cela commençait par se mêler aux locaux. Néanmoins, je n'étais pas fou. Ne connaissant pas encore Michel-Ange, nous nous contenterons des sorciers de la ville.
Et puis, ça me laisserait le temps d'apprendre à le connaître avant de commencer les fouilles si nous obtenions notre signature demain.
« - On va commencer par flâner un peu, par se mêler aux gens d'ici. Du coup, il va falloir te changer et mettre quelque chose de moins... Agressif ? »
Je ne voulais pas le brusquer, mais j'avoue ne pas avoir trouvé un autre qualificatif.
« - Nous allons aller à l'hôtel, donc. »
Je lui fis un clin d’œil.
« - Et appelle-moi Lennie. »
Je me retournais pour prendre la direction de la sortie. Le hall était particulier puisqu'il était ouvert, montrant un ciel bleu et dégagé avec un soleil fort et puissant pour l'heure qu'il était. Si Michel-Ange n'était pas habitué à la chaleur humide, ça serait son baptême du feu.
L'architecture était quelque chose de magnifique, comme tirée d'un de ces univers latins où les murs sont de couleur terre d'ombre, tandis que l'on voyait des dorures ici et là, ainsi que des représentations animales. Il y avait des arbres un peu partout, laissant présager de l'endroit dans lequel nous étions, ainsi qu'une énorme statue où l'on voyait ce qui semblait être une femme-oiseau, un sorcier tenant un sceptre surmonté d'une pierre saphir, un tigre ailé ainsi que d'un soleil et d'une lune en lévitation derrière.
Au sud et au nord, il y avait des arches avec toujours ce rappel des astres où l'on voyait des espèces de portails menant à différents endroits d'Amérique latine. Ce n’était pas un de ceux se trouvant au sud que mon frère était venu. Je n'avais pas encore utilisé ce moyen de locomotion, mais l'idée me tentait. Alan m'avait parlé d'une espèce de sensation de fourmillements au bout des pieds avant de se rendre compte que son fils leur avait jeté un sortilège de rétrécissement progressif. Je n'étais donc sûr de rien.
Je lui montrais l'est. Derrière nous, à l'instar des temples mayas, le ministère s'élevait vers le ciel.
« - Nous allons sur la côte. La ville sorcière se trouve là-bas. »
De là où on était, on voyait des espèces de bâtiments ressemblant à des enclos. J'étais pressé de voir sa tête. Personnellement, j'étais complètement dingue de ce moyen de transport et j'étais particulièrement étonné de ne pas en avoir déjà vu ailleurs. Il était important de souligner que je n'étais pas le genre de garçon à trainer dans les pires endroits de la terre.
« - Tu es déjà monté sur un balai ? » Lui demandais-je en nous amenant tranquillement vers les enclos qui se dessinaient peu à peu pour laisser entendre les miaulements à mi-chemin du rugissement.
Tout à coup, nous vîmes des Jagons nous survoler pour venir toucher terre, sorciers sur le dos. Le sol semblait presque trembler sous le choc de ces créatures mi-tigres, mi-dragons. C'était des créatures magnifiques.
« - C'est avec ça qu'on va se rendre à Rio de Bruxo. »
J'avais un sourire fier, observant son visage pour voir sa réaction.
Bêta Testeur
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Sortilège de Niv.1
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Sang : Sang Pur
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Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Je le regardais en diagonal. Impressionné. Puis, je soupirai légèrement quand il me parla de juste communiquer. Je m’imaginais des dialogues politiques assez pénible, avec les autochtones pour récupérer quelques informations. Entre ça, et le fait de toujours s’occuper du matériel, j’étais sincèrement en train de me demander si un jour j’allais briser un sort… Courir pourchassé par des pièges et des démons… Ou juste m’occuper du matériel toute ma vie comme un esclave. Mais je ne perdais pas ma bonne humeur et mon espoir.
« D’accord ! Changer de vêtements ? Ah ? Je croyais bien faire ! »
Je me renfermais un peu. Même s’il allait me parler de l’aspect cool du métier. Je restais quand même méfiant. Peut être que ce qui était « cool » pour un macGregor était juste terriblement ennuyeux pour la majorité des mortels ? S’il m’expliquait comment déballer et remballer un sac en vu de préparer une expédition, j’étais certains de changer de voie ! Mais je gardais quand même espoir. Je le sentais bien. Il avait l’air cool…
« Lennie... » marmonnais-je.
Je préférais quand même Monsieur MacGregor ! J’avais un profond respect pour lui, et j’étais là pour en apprendre un maximum sur le métier. C’était pour moi un sage et un mentor… Rien que de l’appeler par un sobriquet, même si cela venait de lui me donnait des démangeaisons.
La chaleur ne me fit pas grand-chose, contrairement à l’humidité. J’étais habitué aux chaleurs suffoquantes, mais sèches, grâce à la forge. Là, l’humidité me remplie les poumons et je dus m’y reprendre à plusieurs fois pour bien respirer et m’habituer. Mais comme je ne voulais ni passer pour un noob ; ni pour un fragile, je regardais simplement « Lennie » en bombant le torse de fierté.
« C’est magnifique ! »
C’était sortie tout seul. Bien sur parce que c’était le cas. Je trouvais ça véritablement merveilleux ! Pour le quidditch, je fis un léger sourire en coin et très fier je déclarai.
« Bien sur ! Je suis Attrapeur et Capitaine des Jaunes et Noirs ! Et on a gagné la Coupe l’année dernière alors si je sais vo... »
Je m’interrompis en voyant les créatures magiques apparaître devant nous dans l’enclos en me désignant l’Est. Clignant plusieurs fois des yeux, je blêmis légèrement. Les plumes de leurs ailes me donnaient la nausée. Ce n’était pas véritablement des oiseaux, donc il n’y avait aucune raison d’en avoir peur. Ils étaient visiblement fusionné avec des tigres… Bien que j’aimais les félins… J’eus un léger mouvement de recule en les voyant.
« Mon pote serait ravi... » marmonnais-je.
Je parlais bien évidemment d’Adil, qui quand je lui raconterai, aurait très sincèrement les yeux pétillants d’envie. Qu’est ce qui tournait pas rond chez lui, d’être fan de truc dans ce genre ? Comment on pouvait faire confiance à des trucs à plumes ? Je gardais quand même le torse bombé. Et je regardais Monsieur MacGregor d’un regard courageux qui se voulait confiant.
« Ca n’a rien à voir avec un balai. Mais je vais m’y faire ! Je veux pas que l’aventure s’arrête déjà ! Bon je prends lequel ? Le vert et jaune ? Il a l’air plus sympa que les autres. Je crois qu’il m’a souris… Et il est aux couleurs du Pays alors c’est forcément bon signe non ? Vous avez déjà volé la dessus ? Mon cousin Isaac c’est cassé brisé tous les os de la jambe en montant sur un Hippogryffe. Et ca ressemble à un Hippogryffe. Sauf qu’au lieu d’avoir un bec, ça possède une mâchoire capable d’arracher n’importe quelle partie de mon corps. Mais je veux pas avoir zéro au stage, et je veux pas vous décevoir M’sieur MacGregor ! »
J’étais rentré dans l’enclos, dans un élan de courage. En même temps, si je n’y allais pas maintenant, je n’irais jamais. Sauf que je ne savais pas précisément comment on faisait. D’ailleurs je ne savais pas si ca se faisait comme ça. Peut être que je pouvais les calmer comme dans Crocodiles Dundees, ce film moldu que ma cousine m’avait fait voir. Quoi qu’il en soit, les trois Jagons se tournèrent brusquement vers moi.
« Euh… Fallait rentré dans l’enclos ? »
« D’accord ! Changer de vêtements ? Ah ? Je croyais bien faire ! »
Je me renfermais un peu. Même s’il allait me parler de l’aspect cool du métier. Je restais quand même méfiant. Peut être que ce qui était « cool » pour un macGregor était juste terriblement ennuyeux pour la majorité des mortels ? S’il m’expliquait comment déballer et remballer un sac en vu de préparer une expédition, j’étais certains de changer de voie ! Mais je gardais quand même espoir. Je le sentais bien. Il avait l’air cool…
« Lennie... » marmonnais-je.
Je préférais quand même Monsieur MacGregor ! J’avais un profond respect pour lui, et j’étais là pour en apprendre un maximum sur le métier. C’était pour moi un sage et un mentor… Rien que de l’appeler par un sobriquet, même si cela venait de lui me donnait des démangeaisons.
La chaleur ne me fit pas grand-chose, contrairement à l’humidité. J’étais habitué aux chaleurs suffoquantes, mais sèches, grâce à la forge. Là, l’humidité me remplie les poumons et je dus m’y reprendre à plusieurs fois pour bien respirer et m’habituer. Mais comme je ne voulais ni passer pour un noob ; ni pour un fragile, je regardais simplement « Lennie » en bombant le torse de fierté.
« C’est magnifique ! »
C’était sortie tout seul. Bien sur parce que c’était le cas. Je trouvais ça véritablement merveilleux ! Pour le quidditch, je fis un léger sourire en coin et très fier je déclarai.
« Bien sur ! Je suis Attrapeur et Capitaine des Jaunes et Noirs ! Et on a gagné la Coupe l’année dernière alors si je sais vo... »
Je m’interrompis en voyant les créatures magiques apparaître devant nous dans l’enclos en me désignant l’Est. Clignant plusieurs fois des yeux, je blêmis légèrement. Les plumes de leurs ailes me donnaient la nausée. Ce n’était pas véritablement des oiseaux, donc il n’y avait aucune raison d’en avoir peur. Ils étaient visiblement fusionné avec des tigres… Bien que j’aimais les félins… J’eus un léger mouvement de recule en les voyant.
« Mon pote serait ravi... » marmonnais-je.
Je parlais bien évidemment d’Adil, qui quand je lui raconterai, aurait très sincèrement les yeux pétillants d’envie. Qu’est ce qui tournait pas rond chez lui, d’être fan de truc dans ce genre ? Comment on pouvait faire confiance à des trucs à plumes ? Je gardais quand même le torse bombé. Et je regardais Monsieur MacGregor d’un regard courageux qui se voulait confiant.
« Ca n’a rien à voir avec un balai. Mais je vais m’y faire ! Je veux pas que l’aventure s’arrête déjà ! Bon je prends lequel ? Le vert et jaune ? Il a l’air plus sympa que les autres. Je crois qu’il m’a souris… Et il est aux couleurs du Pays alors c’est forcément bon signe non ? Vous avez déjà volé la dessus ? Mon cousin Isaac c’est cassé brisé tous les os de la jambe en montant sur un Hippogryffe. Et ca ressemble à un Hippogryffe. Sauf qu’au lieu d’avoir un bec, ça possède une mâchoire capable d’arracher n’importe quelle partie de mon corps. Mais je veux pas avoir zéro au stage, et je veux pas vous décevoir M’sieur MacGregor ! »
J’étais rentré dans l’enclos, dans un élan de courage. En même temps, si je n’y allais pas maintenant, je n’irais jamais. Sauf que je ne savais pas précisément comment on faisait. D’ailleurs je ne savais pas si ca se faisait comme ça. Peut être que je pouvais les calmer comme dans Crocodiles Dundees, ce film moldu que ma cousine m’avait fait voir. Quoi qu’il en soit, les trois Jagons se tournèrent brusquement vers moi.
« Euh… Fallait rentré dans l’enclos ? »
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
INFOS
FICHE DE PERSO
Je remarquais que la vue des Jagons semblait perturber Michel-Ange. Quelque chose semblait l'impressionner au point d'avoir une petite hésitation lorsque nous arrivâmes à leur niveau. Si moi, je tremblais littéralement d'excitation à l'idée de les chevaucher, pour le Poufsouffle, cela semblait être une véritable épreuve. Qu'est-ce qu'il pouvait parler... J'étais resté soufflé de sa capacité à raconter sa vie en l'espace de quelques instants. Nous ne nous connaissions pas et le voilà déjà en train de me raconter des anecdotes sur son cousin.
Mon seul jugement là-dessus fut de penser qu'il devait avoir peur de quelque chose. Ou peut-être était-il juste stressé ? Je ne saurais le dire, je venais de le rencontrer. Néanmoins, je gardais cette information à l'esprit au cas où nous nous retrouvions à devoir fréquenter les perroquets du coin. Il y en avait qui faisait la taille d'un enfant de six ans. Quoique c'était peut-être leur côté félin qui l'impressionnait ?
J'étais littéralement fan. Le laissant entrer dans l'enclos avec un sourire, je constatais qu'il ne manquait pas de courage. Tout du moins, il en avait bien plus que moi à son âge. Je posais mes bras sur la barrière de l'enclos, l'invitant à se présenter vers les Jagons d'un geste de la main.
« - Ceux sont des créatures très nobles. Par contre, la prochaine fois, attends que le palefrenier entre avec toi. »
En parlant du palefrenier, je le vis sortir de sa cabane, se mettant aussitôt à rouspéter en portugais sur l'impatience des Occidentaux et notre façon à venir chez eux comme en territoire conquis. Je me tournais vers l'homme à la barbe court et noir avec le crâne ras comme un caillou. Aussitôt, je me détachais de la barrière pour aller à sa rencontre afin de lui expliquer la situation.
Mes explications ne suffirent pas à lui passer son agacement. Néanmoins, il semblait se détendre quelque peu, venant se mettre à son tour près de Michel-Ange. Je réintégrais ma place.
« - Je vais te traduire ce qu'il va te dire. Je pense qu'il parle un peu l'anglais... »
Ce dernier me fusilla du regard avant de s'approcher des jagons.
« - ... Mais il aime que les choses soient faites respectueusement. »
L'homme jura, me faisant rougir quelque peu. Je ne lui traduis pas ces mots, préférant faire comme si de rien n’était.
Le palefrenier se mit aussitôt à lui parler. Son portugais était rapide et je ne pouvais m'empêcher de le soupçonner de faire exprès. Par chance, j'avais eu un bon professeur - mon frère - et un peu plus d'un mois d'exercice.
« - Il te dit que ce sont des créatures nobles, royales, qu'elles étaient là bien avant nous, et qu'elles servaient les dieux. Par la suite, elles ont été offertes aux castes dirigeantes des différentes nations Mayas. Donc, il te faudra te montrer aussi respectueux que tu as dû le faire face à un hippogriffe. »
Le brésilien finit de seller le jagon jaune et vert. Il lui tapota le cou, lui caressant dessous la mâchoire avant de poser son front contre le sien. Ils échangèrent un regard plein de complicité avant de se tourner vers Michel-Ange.
« - Il te dit que tu vas pouvoir le monter. Il faut que... » Je me mordis la lèvre, réprimant un sourire. « Il faut que tu tournes sur toi trois fois puis que tu sautilles en battant des bras avant de t'incliner devant le jagon. »
Mon seul jugement là-dessus fut de penser qu'il devait avoir peur de quelque chose. Ou peut-être était-il juste stressé ? Je ne saurais le dire, je venais de le rencontrer. Néanmoins, je gardais cette information à l'esprit au cas où nous nous retrouvions à devoir fréquenter les perroquets du coin. Il y en avait qui faisait la taille d'un enfant de six ans. Quoique c'était peut-être leur côté félin qui l'impressionnait ?
J'étais littéralement fan. Le laissant entrer dans l'enclos avec un sourire, je constatais qu'il ne manquait pas de courage. Tout du moins, il en avait bien plus que moi à son âge. Je posais mes bras sur la barrière de l'enclos, l'invitant à se présenter vers les Jagons d'un geste de la main.
« - Ceux sont des créatures très nobles. Par contre, la prochaine fois, attends que le palefrenier entre avec toi. »
En parlant du palefrenier, je le vis sortir de sa cabane, se mettant aussitôt à rouspéter en portugais sur l'impatience des Occidentaux et notre façon à venir chez eux comme en territoire conquis. Je me tournais vers l'homme à la barbe court et noir avec le crâne ras comme un caillou. Aussitôt, je me détachais de la barrière pour aller à sa rencontre afin de lui expliquer la situation.
Mes explications ne suffirent pas à lui passer son agacement. Néanmoins, il semblait se détendre quelque peu, venant se mettre à son tour près de Michel-Ange. Je réintégrais ma place.
« - Je vais te traduire ce qu'il va te dire. Je pense qu'il parle un peu l'anglais... »
Ce dernier me fusilla du regard avant de s'approcher des jagons.
« - ... Mais il aime que les choses soient faites respectueusement. »
L'homme jura, me faisant rougir quelque peu. Je ne lui traduis pas ces mots, préférant faire comme si de rien n’était.
Le palefrenier se mit aussitôt à lui parler. Son portugais était rapide et je ne pouvais m'empêcher de le soupçonner de faire exprès. Par chance, j'avais eu un bon professeur - mon frère - et un peu plus d'un mois d'exercice.
« - Il te dit que ce sont des créatures nobles, royales, qu'elles étaient là bien avant nous, et qu'elles servaient les dieux. Par la suite, elles ont été offertes aux castes dirigeantes des différentes nations Mayas. Donc, il te faudra te montrer aussi respectueux que tu as dû le faire face à un hippogriffe. »
Le brésilien finit de seller le jagon jaune et vert. Il lui tapota le cou, lui caressant dessous la mâchoire avant de poser son front contre le sien. Ils échangèrent un regard plein de complicité avant de se tourner vers Michel-Ange.
« - Il te dit que tu vas pouvoir le monter. Il faut que... » Je me mordis la lèvre, réprimant un sourire. « Il faut que tu tournes sur toi trois fois puis que tu sautilles en battant des bras avant de t'incliner devant le jagon. »
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Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Expertise : Sortilège de Désillusion !
Sortilège de Niv.6
Expertise : Incendio !
Sortilège de Niv.1
Expertise : Săgitae Argentum !
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INFOS
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Sang : Sang Pur
Profession : Forgeron-Enchanteur
Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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Inventaire:
« Oh désolé ! Woaw ! Ils ont même des gens pour s’occuper de nous ! »
J’étais un peu plus rassuré quand même d’avoir Monsieur MacGregror et le Palfrenier à porté de main. Les bras croisés, proche de la barrière et quand à bonne distance des jagons, je plissais des yeux de concentration. J’écoutais le portugais et l’anglais de Lennox avec une attention décuplée. J’avais l’expérience dans l’art de faire des conneries, et je savais que là, on était à un moment important où on pouvait en éviter une. Je redoublais de concentration.
« Il se fout d’moi ? »
C’était sorti tout seul. J’avais levé brusquement les sourcils sur cette histoire de lever les bras et de battre des ailes en tournant autour de moi. Jusque là, le côté hippogryffe m’avait rassuré. Mais là… je me demandais si ce n’était pas une manière de se venger de ma petite incursion imprévue dans l’enclos. Mais comme je ne voulais pas créer d’incident diplomatique, je m’inclinais en joignant les mains comme un indien.
« Désolé. Je vais faire ce que vous me dites. »
Contrairement à lui qui avait parlé rapidement portugais, je m’étais mis à parler lentement comme j’aurai parlé à Sheraz s’il avait encore réduit ses oreilles à la taille de cacahuètes. Prenant mon courage à deux mains, je me mis face à un Jagon. Le jaune et vert, comme j’avais dit juste avant. Dans un mouvement gracieux malgré la trouille que les plumes de ses ailes m’offraient, je sautillais trois fois sur moi même avec grace et je battais des bras comme si j’avais des membres immondes semblables à des ailes. Je fis une légère grimace, mais je regardais le sol car je ne voulais pas froissé le Jagon. Finalement, je m’avançais d’un pas et je m’inclinais devant lui dans une révérence sans trembler. Quelle idée de merde, d’exposer sa nuque à un animal capable de la déchirer en deux secondes. Je relevais la tête et je continuais de le fixer dans les yeux.
« Allez… Emmène moi au point suivant… J’veux pas échouer dés le début... » marmonnais-je.
Soudain, et sans quitter le Jagon des yeux, je me mis à dire à Monsieur MacGregor que je n’avais pas dans mon champs de vision.
« Vous avez du tourner vous aussi ? Ca se passe comment avec le votre ? On peut toujours y aller en balai non... »
J’avais marmonné la dernière phrase plus pour moi que pour les autres. C’était hors de question que je me voile la face mais… Il était surtout hors de question d’échouer ce stage dés le début ! S’il fallait braver des décrets Ministérielles, j’irai en balais. Quoi que. Ils devaient avoir des balais ici ! Il y avait une fabrique qui donnait presque une âme à ces derniers, les rendant presque vivant...
J’étais un peu plus rassuré quand même d’avoir Monsieur MacGregror et le Palfrenier à porté de main. Les bras croisés, proche de la barrière et quand à bonne distance des jagons, je plissais des yeux de concentration. J’écoutais le portugais et l’anglais de Lennox avec une attention décuplée. J’avais l’expérience dans l’art de faire des conneries, et je savais que là, on était à un moment important où on pouvait en éviter une. Je redoublais de concentration.
« Il se fout d’moi ? »
C’était sorti tout seul. J’avais levé brusquement les sourcils sur cette histoire de lever les bras et de battre des ailes en tournant autour de moi. Jusque là, le côté hippogryffe m’avait rassuré. Mais là… je me demandais si ce n’était pas une manière de se venger de ma petite incursion imprévue dans l’enclos. Mais comme je ne voulais pas créer d’incident diplomatique, je m’inclinais en joignant les mains comme un indien.
« Désolé. Je vais faire ce que vous me dites. »
Contrairement à lui qui avait parlé rapidement portugais, je m’étais mis à parler lentement comme j’aurai parlé à Sheraz s’il avait encore réduit ses oreilles à la taille de cacahuètes. Prenant mon courage à deux mains, je me mis face à un Jagon. Le jaune et vert, comme j’avais dit juste avant. Dans un mouvement gracieux malgré la trouille que les plumes de ses ailes m’offraient, je sautillais trois fois sur moi même avec grace et je battais des bras comme si j’avais des membres immondes semblables à des ailes. Je fis une légère grimace, mais je regardais le sol car je ne voulais pas froissé le Jagon. Finalement, je m’avançais d’un pas et je m’inclinais devant lui dans une révérence sans trembler. Quelle idée de merde, d’exposer sa nuque à un animal capable de la déchirer en deux secondes. Je relevais la tête et je continuais de le fixer dans les yeux.
« Allez… Emmène moi au point suivant… J’veux pas échouer dés le début... » marmonnais-je.
Soudain, et sans quitter le Jagon des yeux, je me mis à dire à Monsieur MacGregor que je n’avais pas dans mon champs de vision.
« Vous avez du tourner vous aussi ? Ca se passe comment avec le votre ? On peut toujours y aller en balai non... »
J’avais marmonné la dernière phrase plus pour moi que pour les autres. C’était hors de question que je me voile la face mais… Il était surtout hors de question d’échouer ce stage dés le début ! S’il fallait braver des décrets Ministérielles, j’irai en balais. Quoi que. Ils devaient avoir des balais ici ! Il y avait une fabrique qui donnait presque une âme à ces derniers, les rendant presque vivant...
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
INFOS
FICHE DE PERSO
Lorsque Michel-Ange me demanda si le palefrenier se moquait de lui, je ne pus m'empêcher de rire, me mordant la langue pour ne pas agresser le brésilien qui semblait déjà bien remonté. Je me contentais de continuer de traduire ses directives du mieux que je le pouvais. Le jeune homme semblait tout de même particulièrement docile, et c'était une qualité que je ne pouvais lui retirer. Surtout lorsqu'ils sont en phase d'apprentissages. Pour la suite, et même lorsque nous nous retrouverons dans un bureau, je préférais les pousser à toujours prendre des initiatives, à toujours aller plus loin pour éviter de stagner et de ne rien faire des compétences qu'ils avaient déjà.
J'étais le genre de gars à penser qu'on était tous capables, qu'il fallait s'en donner les moyens, mais surtout lorsque l'on avait les moyens de le faire. Je restais quand même compréhensif au cas par cas, comprenant que certains étaient nés avec une cuillère en argent dans la bouche, comme je le fis en naissant MacGregor. J'avais beau en vouloir à mes parents continuellement, ils m'avaient déjà tout donné en me mettant au monde.
Le Jagon observait Michel-Ange d'un air impérial. Le palefrenier croisa son regard, et aussitôt, il éclata de rire. Le Jagon sembla partager son hilarité, car il tomba au sol, levant un petit nuage de poussière dans un grand bruit. Comme nous nous en doutions, le palefrenier se payait sa tête.
La créature ne tarda pas à se redresser sur ses pattes pour approcher sa gueule afin de lécher la main du Poufsouffle. Les Jagons étaient les créatures les plus gentilles et les plus protectrices. C'était d'ailleurs à cause de leur naïveté que les gouvernements magiques d'Amérique latine les avaient classifiés comme protéger pour éviter la contrebande et autres mauvaises choses dont nous, les Hommes, étions capables.
Le Palefrenier tapota l'épaule de Michel-Ange avant de s'éloigner pour s'occuper des autres créatures fantastiques. Je m'approchais avec un sourire amusé, essuyant le coin de mes yeux pour camoufler un maximum mon hilarité. C'était un bizutage comme j'en voyais de temps à autre. Une curieuse façon de juger les visiteurs sur leur façon d'être de manière assez brutale quand même, j'étais prêt à lui concéder si jamais Michel-Ange se mettait à se pester.
« - Première règle, Michel-Ange, fais comme les locaux. Tu apprendras bien vite que nous avons une image particulièrement agressive suivant là où tu seras amené à te rendre. S'il y a bien un conseil que je peux te donner, c'est bien celui-ci. Le balai, il restera dans la malle. »
Je m'approchais d'un jagon vert et bleu. Nous nous regardâmes quelques instants dans le fond des yeux avant que ce dernier ne vienne me donner un léger coup de son museau sur ma joue. Je lui fis un sourire charmé, avant de le contourner pour lui grimper sur le dos.
« - Super de mon côté. Tu n'auras juste qu'à me suivre. Et cramponne-toi du mieux que tu peux. »
Pas de selle, pas de corde, rien. Bon courage, Michel-Ange, ici, c'était à l'amazone.
Je tapotais le cou de mon jagon, et aussitôt, il se mit en mouvement. D'une marche rapide à la course, pour ensuite voler, je ressentis de nouveau cette excitation qui augmentait terriblement les pulsations de mon cœur. C'était grisant. Je ne pouvais m'empêcher d'y prendre un plaisir certain, alors que mes cheveux virevoltaient légèrement derrière moi, alors que le Jagon prenait de l'altitude.
« - Attention aux hélicoptères et aux avions ! » Lui criais-je avant de voir mon jagon s'amusait à son tour sans savoir s'il connaissait ces deux moyens de locomotion moldu. Par chance, les Jagons étaient dressés pour, en tout cas.
(...)
Ils volaient vite, avalant les miles plus rapidement que nous le pensions. Très vite, nous vîmes les rives de l'océan atlantique et ses vagues s'écraser sur le sable des plages brésiliennes. Nous survolâmes quelques instants l'océan avant de pénétrer d'épais nuages blancs. J'étais mouillé de la tête aux pieds.
Si l'on ne voyait rien autour de nous pendant quelques instants, tout à coup, une île nous apparûmes comme par enchantement, sous un soleil resplendissant.
Je mis un coup léger dans les flancs de mon jagon pour qu'il se calme un peu afin que je puisse expliquer où nous étions à Michel-Ange.
« - Rio de Bruxo. Tu vas voir, c'est génial. »
Je me passais une main dans les cheveux alors que le soleil venait réchauffer mon corps mouillé. Un sourire trônant sur mes lèvres, je fis prendre une accélération à mon jagon qui vint nous poser non loin de l'enclos où nous posâmes les pieds à terre.
Les jagons nous saluèrent, puis ils retournèrent rejoindre les autres.
« - On va remonter le sentier, nous serons à la ville rapidement. »
Une île volcanique, semblait-il. Elle s'élevait vers le ciel bleu. Couvertes d'une végétation épaisse et dense, il y avait certains pans de l'île vierge de bois, montrant rochers et prairies où nous pouvions voir des créatures ici et là. Il y avait beaucoup d'oiseaux dans les environs. Tout du moins, c'était le bruit qu'ils faisaient qui me laissait penser cela.
« - Alors, t'en as pensé quoi de ce premier vol à dos de Jagon ? C'est énorme, hein ? » Lui demandais-je alors que nous nous mettions en marche.
Je ne savais pas pour lui, mais en tout cas, sur mon visage, il y avait un sentiment de joie et de liberté que je ne ressentais que dans pareilles situations.
J'étais le genre de gars à penser qu'on était tous capables, qu'il fallait s'en donner les moyens, mais surtout lorsque l'on avait les moyens de le faire. Je restais quand même compréhensif au cas par cas, comprenant que certains étaient nés avec une cuillère en argent dans la bouche, comme je le fis en naissant MacGregor. J'avais beau en vouloir à mes parents continuellement, ils m'avaient déjà tout donné en me mettant au monde.
Le Jagon observait Michel-Ange d'un air impérial. Le palefrenier croisa son regard, et aussitôt, il éclata de rire. Le Jagon sembla partager son hilarité, car il tomba au sol, levant un petit nuage de poussière dans un grand bruit. Comme nous nous en doutions, le palefrenier se payait sa tête.
La créature ne tarda pas à se redresser sur ses pattes pour approcher sa gueule afin de lécher la main du Poufsouffle. Les Jagons étaient les créatures les plus gentilles et les plus protectrices. C'était d'ailleurs à cause de leur naïveté que les gouvernements magiques d'Amérique latine les avaient classifiés comme protéger pour éviter la contrebande et autres mauvaises choses dont nous, les Hommes, étions capables.
Le Palefrenier tapota l'épaule de Michel-Ange avant de s'éloigner pour s'occuper des autres créatures fantastiques. Je m'approchais avec un sourire amusé, essuyant le coin de mes yeux pour camoufler un maximum mon hilarité. C'était un bizutage comme j'en voyais de temps à autre. Une curieuse façon de juger les visiteurs sur leur façon d'être de manière assez brutale quand même, j'étais prêt à lui concéder si jamais Michel-Ange se mettait à se pester.
« - Première règle, Michel-Ange, fais comme les locaux. Tu apprendras bien vite que nous avons une image particulièrement agressive suivant là où tu seras amené à te rendre. S'il y a bien un conseil que je peux te donner, c'est bien celui-ci. Le balai, il restera dans la malle. »
Je m'approchais d'un jagon vert et bleu. Nous nous regardâmes quelques instants dans le fond des yeux avant que ce dernier ne vienne me donner un léger coup de son museau sur ma joue. Je lui fis un sourire charmé, avant de le contourner pour lui grimper sur le dos.
« - Super de mon côté. Tu n'auras juste qu'à me suivre. Et cramponne-toi du mieux que tu peux. »
Pas de selle, pas de corde, rien. Bon courage, Michel-Ange, ici, c'était à l'amazone.
Je tapotais le cou de mon jagon, et aussitôt, il se mit en mouvement. D'une marche rapide à la course, pour ensuite voler, je ressentis de nouveau cette excitation qui augmentait terriblement les pulsations de mon cœur. C'était grisant. Je ne pouvais m'empêcher d'y prendre un plaisir certain, alors que mes cheveux virevoltaient légèrement derrière moi, alors que le Jagon prenait de l'altitude.
« - Attention aux hélicoptères et aux avions ! » Lui criais-je avant de voir mon jagon s'amusait à son tour sans savoir s'il connaissait ces deux moyens de locomotion moldu. Par chance, les Jagons étaient dressés pour, en tout cas.
(...)
Ils volaient vite, avalant les miles plus rapidement que nous le pensions. Très vite, nous vîmes les rives de l'océan atlantique et ses vagues s'écraser sur le sable des plages brésiliennes. Nous survolâmes quelques instants l'océan avant de pénétrer d'épais nuages blancs. J'étais mouillé de la tête aux pieds.
Si l'on ne voyait rien autour de nous pendant quelques instants, tout à coup, une île nous apparûmes comme par enchantement, sous un soleil resplendissant.
Je mis un coup léger dans les flancs de mon jagon pour qu'il se calme un peu afin que je puisse expliquer où nous étions à Michel-Ange.
« - Rio de Bruxo. Tu vas voir, c'est génial. »
Je me passais une main dans les cheveux alors que le soleil venait réchauffer mon corps mouillé. Un sourire trônant sur mes lèvres, je fis prendre une accélération à mon jagon qui vint nous poser non loin de l'enclos où nous posâmes les pieds à terre.
Les jagons nous saluèrent, puis ils retournèrent rejoindre les autres.
« - On va remonter le sentier, nous serons à la ville rapidement. »
Une île volcanique, semblait-il. Elle s'élevait vers le ciel bleu. Couvertes d'une végétation épaisse et dense, il y avait certains pans de l'île vierge de bois, montrant rochers et prairies où nous pouvions voir des créatures ici et là. Il y avait beaucoup d'oiseaux dans les environs. Tout du moins, c'était le bruit qu'ils faisaient qui me laissait penser cela.
« - Alors, t'en as pensé quoi de ce premier vol à dos de Jagon ? C'est énorme, hein ? » Lui demandais-je alors que nous nous mettions en marche.
Je ne savais pas pour lui, mais en tout cas, sur mon visage, il y avait un sentiment de joie et de liberté que je ne ressentais que dans pareilles situations.
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Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Je fis une grimace quand on se moqua de moi. Ce n’était pas le genre de chose que j’appréciais au plus au point. Mais… Il n’y avait pas de quoi non plu sen faire un fromage. J’étais de bonne constitution. Je me prêtais même à rire avec eux et à me moquer de moi même. C’est vrai que j’étais naïf… et que que c’était drôle. Donc ils avaient bien raison de rigoler. Je m’arrêtais et je plissais les yeux en écoutant ce que Lennox avait à me dire. Que nous étions réputé pour être des gens agressifs. Il devait parler des occidentaux de manière générale. J’hochais la tête sans rien dire, et je me prêtais à caresser de manière négligée et calme la tête de Jagon qui ronronnait à côté de moi.
« Hey salut toi... » lui dis-je en lui grattant sous le menton tout en écoutant Lennox.
Sans un mot de plus, j’hochais la tête en observant mon maître de stage et je le regardais monter sur le Jagon sans selle, sans rien et avec une aisance digne des plus grands films moldus que je regardais en cachette avec Léonard. Quand je le vis partir, je regardais mon Jagon avec un visage un peu blême.
« Bon bah quand faut y aller, faut y aller... »
Je m’y pris à plusieurs reprises pour monter. La première fois, je pris une gamelle sur le flanc gauche digne des plus belle cascade de Quidditch de l’année 2022. Puis la seconde fois, j’arrivais quand même à me stabiliser, et à trouver une position confortable pour nous deux. C’était important à mes yeux que le Jagon puisse voler en tout confort.
***
J’avais chaud, j’étais trempé. J’étais totalement enfermé avec moi même. Contrairement aux moments où je volais sur un balais, j’avais passé le trajet accrocher au cou du Jagon a lui marmonner des trucs pour essayer de me rassurer. Finalement, j’avais perdu la notion du temps et je m’étais perdu dans mes pensées, comme il m’arrivait souvent de le faire quand j’étais dans une situation inconfortable comme celle là.
Alors, quand je sentis le Jagon ralentir et la voix de Monsieur MacGregor me parvenir, je dressais la tête dans un petit mouvement furtif et craintif.
« Boargh. »
Une fois arrivé, je m’effondrais à quatre pattes et je me mis à vomir tripes et boyau. L’inconvénient de ne pas avoir regarder devant moi très certainement, et le fait d’être aussi mal à l’aise dans cette posture. Le Jagon resta quelques instants auprès de moi, s’assurant visiblement de mon confort malgré tout. Lui tapotant la tête affectueusement et nettoyant tout ça avec ma baguette d’un recurvite, je me tournais vers Lennox en me tenant le dos, comme si j’avais passé la plus mauvaise nuit de ma vie.
« C’est super beau, c’est merveilleux... »
Mon attitude disait l’inverse mais je pensais bien ce que j’étais en train de dire. C’était tout simplement merveilleux. C’était juste l’humidité qui commençait à me gêner et je la soupçonnais de m’avoir rendu un peu malade durant le trajet.
J’arrivais cependant à mieux mettre un pied devant l’autre au fur et à mesure que nous marchions, et les couleurs me revinrent.
« C’était pas une très bonne expérience pour moi… Mais les Jagons y sont pour rien. Ce sont des créatures vraiment merveilleuses ! Non c’est de ma faute, j’ai eu peur et j’ai pas regardé durant le trajet… Faut jamais faire ça... Où est-ce qu’on va précisément ? »
Je suivais le sentier. J’étais tellement naïf de nature que Lennox pouvait m’amener à ma propre exécution sans aucun soucis. Les mains sur les hanches, je pris un peu d’eau dans ma gourde en faisant une petite pause.
« J’vous admire déjà ! Vous avez le truc vous aussi, comme votre cousine même si ça s’voit moins. Cet émerveillement et cette curiosité pour tout. C’est ça le secret non ? »
Je bus plusieurs gorgées, surpris un peu par l’audace de ma question philosophique.
« Hey salut toi... » lui dis-je en lui grattant sous le menton tout en écoutant Lennox.
Sans un mot de plus, j’hochais la tête en observant mon maître de stage et je le regardais monter sur le Jagon sans selle, sans rien et avec une aisance digne des plus grands films moldus que je regardais en cachette avec Léonard. Quand je le vis partir, je regardais mon Jagon avec un visage un peu blême.
« Bon bah quand faut y aller, faut y aller... »
Je m’y pris à plusieurs reprises pour monter. La première fois, je pris une gamelle sur le flanc gauche digne des plus belle cascade de Quidditch de l’année 2022. Puis la seconde fois, j’arrivais quand même à me stabiliser, et à trouver une position confortable pour nous deux. C’était important à mes yeux que le Jagon puisse voler en tout confort.
***
J’avais chaud, j’étais trempé. J’étais totalement enfermé avec moi même. Contrairement aux moments où je volais sur un balais, j’avais passé le trajet accrocher au cou du Jagon a lui marmonner des trucs pour essayer de me rassurer. Finalement, j’avais perdu la notion du temps et je m’étais perdu dans mes pensées, comme il m’arrivait souvent de le faire quand j’étais dans une situation inconfortable comme celle là.
Alors, quand je sentis le Jagon ralentir et la voix de Monsieur MacGregor me parvenir, je dressais la tête dans un petit mouvement furtif et craintif.
« Boargh. »
Une fois arrivé, je m’effondrais à quatre pattes et je me mis à vomir tripes et boyau. L’inconvénient de ne pas avoir regarder devant moi très certainement, et le fait d’être aussi mal à l’aise dans cette posture. Le Jagon resta quelques instants auprès de moi, s’assurant visiblement de mon confort malgré tout. Lui tapotant la tête affectueusement et nettoyant tout ça avec ma baguette d’un recurvite, je me tournais vers Lennox en me tenant le dos, comme si j’avais passé la plus mauvaise nuit de ma vie.
« C’est super beau, c’est merveilleux... »
Mon attitude disait l’inverse mais je pensais bien ce que j’étais en train de dire. C’était tout simplement merveilleux. C’était juste l’humidité qui commençait à me gêner et je la soupçonnais de m’avoir rendu un peu malade durant le trajet.
J’arrivais cependant à mieux mettre un pied devant l’autre au fur et à mesure que nous marchions, et les couleurs me revinrent.
« C’était pas une très bonne expérience pour moi… Mais les Jagons y sont pour rien. Ce sont des créatures vraiment merveilleuses ! Non c’est de ma faute, j’ai eu peur et j’ai pas regardé durant le trajet… Faut jamais faire ça... Où est-ce qu’on va précisément ? »
Je suivais le sentier. J’étais tellement naïf de nature que Lennox pouvait m’amener à ma propre exécution sans aucun soucis. Les mains sur les hanches, je pris un peu d’eau dans ma gourde en faisant une petite pause.
« J’vous admire déjà ! Vous avez le truc vous aussi, comme votre cousine même si ça s’voit moins. Cet émerveillement et cette curiosité pour tout. C’est ça le secret non ? »
Je bus plusieurs gorgées, surpris un peu par l’audace de ma question philosophique.
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
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FICHE DE PERSO
À le voir vomir, je ne pus m'empêcher de froncer les sourcils. J'avais du mal à l'imaginer sur un balai et à gagner la coupe de Quidditch des quatre maisons. Néanmoins, je n'y connaissais rien. C'était un sport que je n'affectionnais pas particulièrement, ne parvenant pas à comprendre ce qui pouvait passionner les sorciers de façon générale. J'avais peut-être une anecdote à raconter là-dessus sur mon temps à Poudlard, mais je préfère vous la garder pour plus tard.
Je m'approchais de lui pour lui tendre un mouchoir sans rien dire. Je ne voulais pas le rendre plus mal qu'il ne l'était déjà en lui soulignant son état nauséeux. Les jeunes de son âge étaient généralement sensibles à leur égo et au vu de ce qu'il venait de vivre avec le palefrenier, je préférais le ménager.
« - Oui, c'est magnifique. J'aime beaucoup cet endroit, mais si on a un peu de temps, je t'amènerais au Chili sur l'île de Pâques où mon frère travaille avec son épouse. Là-bas, c'est dingue ce qui s'en dégage ! »
Bon, après les goûts et les couleurs, hein. J'avais toujours préféré les espaces plutôt que les villes, même si je m'y plaisais pareil. Peut-être parce que j'avais grandi au domaine, en Écosse, avec de quoi courir dans tous les sens sans être limité par quoique ce fut.
Je m'arrêtais pour l'écouter me dire qu'il avait juste eu peur. Pourquoi ne me l'avait-il pas dit clairement ? On aurait pris un portoloin, ou quelque chose. Moi, je voulais juste lui montrer un peu le paysage, le grand air et surtout ces créatures que l'on ne voyait pas en Angleterre (tout du moins en liberté. Vu la politique de protection par ici, j'imaginais bien quelques spécimens chez des sorciers particulièrement riches et crapuleux).
« - Tu n'aimes pas les créatures volantes ? » Hasardais-je, en m'inquiétant pour Michel-Ange qui continuait pour me demander où on allait.
« - Je compte sur toi pour m'aider à convaincre un dignitaire brésilien pour nous permettre, à l'Institut et nous, plus tard dans l'année, à donner son accord. Un mois que je suis là, et je n'ai pas été fichu de le convaincre. »
Je ne lui cachais rien. Je repris la marche de quelques pas avant de m'arrêter pour me retourner vers lui. Michel-Ange avait sorti une gourde avec laquelle il s'hydratait tout en m'avouant m'admirer.
Je ne pus m'empêcher de rougir jusqu'à la racine de mes cheveux. Je n'aimais pas me sentir comme ça sous les feux des projecteurs. J'étais plus tôt timide sur mes travaux ou sur ma façon de faire, laissant des gens comme Irvin Vorpe ( @Iris Faux-Orpin ) tirer toute la couverture sans que cela ne me dérange le moins du monde. Puis, il me compara à ma cousine @Sorcha MacGregor, et un sourire vint mettre fin à mon malaise.
« - Je pense que ce qu'il y a de plus important dans notre métier, c'est notre capacité à rester des enfants face à la découverte. Avoir un sérieux besoin de vivre, de rencontrer, de découvrir. »
Je levai la tête vers le ciel où des Jagons s'éloignaient vers les terres brésiliennes avant de reposer mon regard sur lui.
« - Et toi ? Qu'est-ce qui t'intéresse dans ce métier ? »
Je m'approchais de lui pour lui tendre un mouchoir sans rien dire. Je ne voulais pas le rendre plus mal qu'il ne l'était déjà en lui soulignant son état nauséeux. Les jeunes de son âge étaient généralement sensibles à leur égo et au vu de ce qu'il venait de vivre avec le palefrenier, je préférais le ménager.
« - Oui, c'est magnifique. J'aime beaucoup cet endroit, mais si on a un peu de temps, je t'amènerais au Chili sur l'île de Pâques où mon frère travaille avec son épouse. Là-bas, c'est dingue ce qui s'en dégage ! »
Bon, après les goûts et les couleurs, hein. J'avais toujours préféré les espaces plutôt que les villes, même si je m'y plaisais pareil. Peut-être parce que j'avais grandi au domaine, en Écosse, avec de quoi courir dans tous les sens sans être limité par quoique ce fut.
Je m'arrêtais pour l'écouter me dire qu'il avait juste eu peur. Pourquoi ne me l'avait-il pas dit clairement ? On aurait pris un portoloin, ou quelque chose. Moi, je voulais juste lui montrer un peu le paysage, le grand air et surtout ces créatures que l'on ne voyait pas en Angleterre (tout du moins en liberté. Vu la politique de protection par ici, j'imaginais bien quelques spécimens chez des sorciers particulièrement riches et crapuleux).
« - Tu n'aimes pas les créatures volantes ? » Hasardais-je, en m'inquiétant pour Michel-Ange qui continuait pour me demander où on allait.
« - Je compte sur toi pour m'aider à convaincre un dignitaire brésilien pour nous permettre, à l'Institut et nous, plus tard dans l'année, à donner son accord. Un mois que je suis là, et je n'ai pas été fichu de le convaincre. »
Je ne lui cachais rien. Je repris la marche de quelques pas avant de m'arrêter pour me retourner vers lui. Michel-Ange avait sorti une gourde avec laquelle il s'hydratait tout en m'avouant m'admirer.
Je ne pus m'empêcher de rougir jusqu'à la racine de mes cheveux. Je n'aimais pas me sentir comme ça sous les feux des projecteurs. J'étais plus tôt timide sur mes travaux ou sur ma façon de faire, laissant des gens comme Irvin Vorpe ( @Iris Faux-Orpin ) tirer toute la couverture sans que cela ne me dérange le moins du monde. Puis, il me compara à ma cousine @Sorcha MacGregor, et un sourire vint mettre fin à mon malaise.
« - Je pense que ce qu'il y a de plus important dans notre métier, c'est notre capacité à rester des enfants face à la découverte. Avoir un sérieux besoin de vivre, de rencontrer, de découvrir. »
Je levai la tête vers le ciel où des Jagons s'éloignaient vers les terres brésiliennes avant de reposer mon regard sur lui.
« - Et toi ? Qu'est-ce qui t'intéresse dans ce métier ? »
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Expertise : Sortilège de Désillusion !
Sortilège de Niv.6
Expertise : Incendio !
Sortilège de Niv.1
Expertise : Săgitae Argentum !
Sortilège de Niv.6
INFOS
Messages : 623
Faceclaim : Dylan O'Brien
Sang : Sang Pur
Profession : Forgeron-Enchanteur
Côté Cœur : Apolized
Multis : Luke Fergus Ellie Ebenezer Alejandra
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Amateur (50%)
Maturité Magique (MM):
(24/50)
Education Magique (EM):
(65/100)
Potentiel Magique (PM):
(35/100)
Rigueur Magique (RM):
(70/100)
Expérience Magique (XM):
(50/100)
Témoins de l'Histoire:
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Inventaire:
Je reprenais un peu contenance. Réajustant mes vêtements, je fixais désormais Lennox d’un air curieux. De le voir mal à l’aise suite à mes compliments me fit quelque peu sourire et je notais à moi même qu’il ne fallait plus que je fasse ce genre de chose. Epoussetant mes vêtements, j’écoutais avec attention ce qu’il était en train de dire… Convaincre un dignitaire… Alors qu’il n’y était pas arrivé ?
« Ah ! Je veux bien vous aider. Je suis très sociable et j’arrive à m’entendre avec tout le monde. Sauf une petite poignée d’imbéciles. Mais mon père dit qu’ils sont 33 % sur terre… Et si on en voit plus, c’est qu’on fait parti des 33 %. »
J’allais commencé ma présentation avec le dignitaire comme ça, avec cette petite vanne. Ca mettrait une bonne ambiance j’en étais certains. Regardant les Jagons s’en allait, je commençais à prendre un peu la confiance avec Lennox. J’avais rarement vu quelqu’un d’aussi gentil et ça me faisait vraiment plaisir d’être ici. Souriant jusqu’aux oreilles, je rentrais dans la confidence.
« J’ai la phobie des oiseaux. Depuis que mon frère m’a enfermé petit avec un Dirico. Ca a été un calvaire de passer mes ASPICS de soin aux créatures magiques. Je suis tombés sur les Phénix… Une horreur. Mais heureusement mes amis sont là pour m’encourager à chaque fois. C’est l’avantage d’être à Poufsouffle. On a plein d’amis. »
Et on parlait beaucoup. Les mains sur les hanches, je regardais encore les Jagons partir. Sourcils froncés, j’étais déjà en train de me demander comment j’allais aborder ce dignitaire. Par une analyse simple, je compris que la simple gentillesse ne suffirait pas, car Lennox n’y était pas arrivé et il me surpassait là dedans. Non, je devais jouer la ruse. J’étais malin, je savais que j’y arriverai. Il fallait juste que j’ai confiance en moi.
« C’est pour ce genre de situations que je veux faire ce métier. Je veux que chaque journée soit différente. Si je me lève, et que j’entame la même tâche que la veille… J’accorde pas beaucoup d’utilité à mon existence. La vie, elle est faites pour en découvrir tous les aspects. Tout voir, tout faire. Je veux faire explorateur magique. Découvrir de nouvelles cultures, des civilisations passées… Toujours en connaître un maximum sur les gens et leurs façons de vivre. Par ce qu’ils étaient, ce qu’ils sont et ce qu’ils seront. C’est important ça. Très important. Qui on est, d’où l’on vient et ce qu’on va devenir. Bref. Globalement je fais ça pour ça, et aussi parce que je suis doué dans les Enchantements. Mon père pense que l’IDEM et la voie du Briseur de Sort est la meilleure pour reprendre la forge familiale. Que c’est une expérience exceptionnelle pour qui veut faire forgeron magique. Mais moi, j’ai pas trop envie de rester enfermer dans une forge et de faire des objets… Je veux sentir l’air du dehors sur mon visage. Profitez aussi de ma famille, quand j’en aurai fondé une. Voyager avec elle. Vivre quoi. »
Je me rendais compte que je parlais beaucoup. Soudain, je sursautais en me demandant si j’étais pas en train de le saouler.
« On va voir ce dignitaire. Dignitaire de quoi d’ailleurs ? Il me faut des infos si je veux argumenter ! »
« Ah ! Je veux bien vous aider. Je suis très sociable et j’arrive à m’entendre avec tout le monde. Sauf une petite poignée d’imbéciles. Mais mon père dit qu’ils sont 33 % sur terre… Et si on en voit plus, c’est qu’on fait parti des 33 %. »
J’allais commencé ma présentation avec le dignitaire comme ça, avec cette petite vanne. Ca mettrait une bonne ambiance j’en étais certains. Regardant les Jagons s’en allait, je commençais à prendre un peu la confiance avec Lennox. J’avais rarement vu quelqu’un d’aussi gentil et ça me faisait vraiment plaisir d’être ici. Souriant jusqu’aux oreilles, je rentrais dans la confidence.
« J’ai la phobie des oiseaux. Depuis que mon frère m’a enfermé petit avec un Dirico. Ca a été un calvaire de passer mes ASPICS de soin aux créatures magiques. Je suis tombés sur les Phénix… Une horreur. Mais heureusement mes amis sont là pour m’encourager à chaque fois. C’est l’avantage d’être à Poufsouffle. On a plein d’amis. »
Et on parlait beaucoup. Les mains sur les hanches, je regardais encore les Jagons partir. Sourcils froncés, j’étais déjà en train de me demander comment j’allais aborder ce dignitaire. Par une analyse simple, je compris que la simple gentillesse ne suffirait pas, car Lennox n’y était pas arrivé et il me surpassait là dedans. Non, je devais jouer la ruse. J’étais malin, je savais que j’y arriverai. Il fallait juste que j’ai confiance en moi.
« C’est pour ce genre de situations que je veux faire ce métier. Je veux que chaque journée soit différente. Si je me lève, et que j’entame la même tâche que la veille… J’accorde pas beaucoup d’utilité à mon existence. La vie, elle est faites pour en découvrir tous les aspects. Tout voir, tout faire. Je veux faire explorateur magique. Découvrir de nouvelles cultures, des civilisations passées… Toujours en connaître un maximum sur les gens et leurs façons de vivre. Par ce qu’ils étaient, ce qu’ils sont et ce qu’ils seront. C’est important ça. Très important. Qui on est, d’où l’on vient et ce qu’on va devenir. Bref. Globalement je fais ça pour ça, et aussi parce que je suis doué dans les Enchantements. Mon père pense que l’IDEM et la voie du Briseur de Sort est la meilleure pour reprendre la forge familiale. Que c’est une expérience exceptionnelle pour qui veut faire forgeron magique. Mais moi, j’ai pas trop envie de rester enfermer dans une forge et de faire des objets… Je veux sentir l’air du dehors sur mon visage. Profitez aussi de ma famille, quand j’en aurai fondé une. Voyager avec elle. Vivre quoi. »
Je me rendais compte que je parlais beaucoup. Soudain, je sursautais en me demandant si j’étais pas en train de le saouler.
« On va voir ce dignitaire. Dignitaire de quoi d’ailleurs ? Il me faut des infos si je veux argumenter ! »
Je ne reviens jamais sur ma parole! C'est ça être un vrai sorcier!
Priori Incantatem.
Blacksmith
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