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Le vrai plaisir des disputes, c'est la reconciliation
INFOS
FICHE DE PERSO
Nina, Mayline & Blodeuyn - 28 décembre 2022
J’avais toujours la main sur la porte de la salle prête à l’ouvrir pour sortir en fonction de la réponse de la jolie rousse. Seulement ce fut la voix de Nina qui arriva à mes oreilles, surprise j’en lâchais la poignée de porte, alors qu’elle marmonnait qu’elle allait sortir. Je cligne des yeux en la regardant faire alors que je secoue un peu la tête à la suite de sa dernière réplique murmuré. Alors que la porte se ferme, je vais pour me retourner une dernière fois en sa direction quand sa voix me titille l’oreille. Je tournais juste légèrement la tête dans sa direction avant de prendre ma baguette magique pour lancer un « Assurdiato. » Pour une fois que je l’avais sur moi. Au moins maintenant on peut parler librement sans que Nina n’entende rien.
Je tourne les talons pour lui faire face à sa deuxième réplique. A quel moment je l’exhibe ? Jamais, elle veut trainer avec moi, qu’elle fasse, elle ne veut pas, passons, j’ai autre chose à faire que de m’attarder sur une crise d’adolescence bourrée d’hormone de jalousie ou je ne sais quoi visiblement. Les bras croisés contre ma poitrine, je m’avance rapidement vers elle avant de planter mon visage à quelques centimètres du sien. « Répète ? Dis-moi précisément à quel moment je t’ai insulté de folle ? » déclarais-je d’un ton autoritaire. « Eclaire ma lanterne, je n’ai vraiment pas souvenir de l’avoir dit. Tu veux être mon amie, TRES BIEN, soyons-le, mais je ne serais pas QUE ton amie. » rajoutais-je alors que je m’éloignais un peu et que je commençais à marcher dans la salle. « Je ne vais pas faire une croix sur mes amis POUR TOI. Faut arrêter là. »
Je tourne les talons pour lui faire face à sa deuxième réplique. A quel moment je l’exhibe ? Jamais, elle veut trainer avec moi, qu’elle fasse, elle ne veut pas, passons, j’ai autre chose à faire que de m’attarder sur une crise d’adolescence bourrée d’hormone de jalousie ou je ne sais quoi visiblement. Les bras croisés contre ma poitrine, je m’avance rapidement vers elle avant de planter mon visage à quelques centimètres du sien. « Répète ? Dis-moi précisément à quel moment je t’ai insulté de folle ? » déclarais-je d’un ton autoritaire. « Eclaire ma lanterne, je n’ai vraiment pas souvenir de l’avoir dit. Tu veux être mon amie, TRES BIEN, soyons-le, mais je ne serais pas QUE ton amie. » rajoutais-je alors que je m’éloignais un peu et que je commençais à marcher dans la salle. « Je ne vais pas faire une croix sur mes amis POUR TOI. Faut arrêter là. »
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FICHE DE PERSO
C’est elle qui me demandait des explications et elle s’emportait à peine avais, je finis de parler. Je n’étais pas gênée par cette soudaine proximité. Ce n’était pas la première fois que l’on cherchait à m’intimider comme ça. Ce qui me dérangeait vraiment, c’était le fait que j’avais cru que l’on pourrait devenir amie. Je sentais une froide colère m’envahir pour le moment noyé par le chagrin de cette triste réalité. Tu l’as insinuer, sifflais je. Je n’allais pas la laisser me sortir de mes gonds et lui prouver qu’elle avait raison.
Attristée, mais résignée, je croisais les bras avant de me détourner de @Blodeuyn Cynfeirdd . D’une voix neutre, je continuais. Tu crois que je n’ai pas vu vos messes basses ? C’est toujours le même refrain ; d’abord la gentilesse et faux semblant, puis les chuchotements et insinuation suivis des moqueries et des insultes et le harcèlement pour finir. Tu crois que je ne reconnais pas le schéma…. Douze ans que ça dure... Rien ne changeait jamais vraiment. L’orphelinat ou Poudlard, c’était la même merde.
Pour moi, la discussion était close. Elle ne pensait tout de même pas que j’allais la croire maintenant que j’avais découvert cette nouvelle facette de sa personnalité. J’étais certaine que: quoi qu’elle fasse, quoi qu’elle dise ça ne ferait qu’aggraver la situation.
Mon regard se porta sur la porte. C’est moi qui allais la laisser en plan. J’avais juste à faire mes adieux à @Maeve Cynfeirdd et la remercier avant d’utiliser la cheminée pour rentrer directement à Pré-au-Lard. D’un pas décidé, je contournais ma camarade réfléchissant déjà à la suite. Je voulais couper tout lien avec elle. Je devrais donc donner ma démission à @Hope Standford pour m’éloigner de @Nina Parker . Peut-être que @Neith Hayder voudra bien me prendre comme assistante ou autre. Pour le reste, il me restait encore deux ans ferme à tirer avant de rater les BUSEs et d’être enfin libre de vivre ma vie comme je l’entends.
Attristée, mais résignée, je croisais les bras avant de me détourner de @Blodeuyn Cynfeirdd . D’une voix neutre, je continuais. Tu crois que je n’ai pas vu vos messes basses ? C’est toujours le même refrain ; d’abord la gentilesse et faux semblant, puis les chuchotements et insinuation suivis des moqueries et des insultes et le harcèlement pour finir. Tu crois que je ne reconnais pas le schéma…. Douze ans que ça dure... Rien ne changeait jamais vraiment. L’orphelinat ou Poudlard, c’était la même merde.
Pour moi, la discussion était close. Elle ne pensait tout de même pas que j’allais la croire maintenant que j’avais découvert cette nouvelle facette de sa personnalité. J’étais certaine que: quoi qu’elle fasse, quoi qu’elle dise ça ne ferait qu’aggraver la situation.
Mon regard se porta sur la porte. C’est moi qui allais la laisser en plan. J’avais juste à faire mes adieux à @Maeve Cynfeirdd et la remercier avant d’utiliser la cheminée pour rentrer directement à Pré-au-Lard. D’un pas décidé, je contournais ma camarade réfléchissant déjà à la suite. Je voulais couper tout lien avec elle. Je devrais donc donner ma démission à @Hope Standford pour m’éloigner de @Nina Parker . Peut-être que @Neith Hayder voudra bien me prendre comme assistante ou autre. Pour le reste, il me restait encore deux ans ferme à tirer avant de rater les BUSEs et d’être enfin libre de vivre ma vie comme je l’entends.
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FICHE DE PERSO
Nina, Mayline & Blodeuyn - 28 décembre 2022
Je me tourne alors vers elle pour la regarder en plissant des yeux. Je l’ai insinué ? Je me demande bien quand tien. Jamais je ne parle d’elle aux autres faut arrêter, juste à Nina pour dire que cela m’énerve qu’elle m’ignore. Je crois même que le fait que je la trouve jolie, je le garde uniquement pour moi. Alors oui, je suis outrée qu’elle pense vraiment que je parle sur elle dans son dos. « Tu me connais très mal dans ce cas, les choses je l’ai dit en face. » Et certainement pas dans le dos des gens, je ne suis pas une personne hypocrite, quand je pense quelques choses je le dis c’est tout. Où alors je le garde au fond de moi.
Messes-basses ? Je porte la main à mon front, ne t’énerve pas Blo, ne casse pas tout, sinon elle va fuir dans un autre pays, se renfermer comme une huitre et Tante Maeve va encore me le mettre sur le dos. Me mettre sur le dos la réaction de la rousse, cela serait gonflé quand même, pas de ma faute si elle pense que tous le monde complote sur elle.
Je la regardais furibonde, alors qu’elle tournait la tête et qu’elle se mettait à faire des pas en direction de la porte. « Arg, mais ce n’est pas vrai. » ne puis-je m’empêcher de sortir en tirant sur mes cheveux énervé alors qu’elle s’approchait de plus en plus de la porte. Elle m’énerve, elle m’exaspère à toujours tout tourner autour d’elle alors que… J’avais en face de moi une Mayline aussi énervé que moi et visiblement cela me titillait encore plus mon estomac. Je la trouve encore attirante, encore plus… « Oh puis merde. » Je la rattrape rapidement en quelques enjambé et pose ma main sur la porte qu’elle s’apprête à ouvrir. Je la regarde dans les yeux, puis ses lèvres, puis de nouveaux ses yeux et ses lèvres. Puis la seconde d’après, j’avais mes lèvres contre les siennes alors que je l’avais pousser contre le mur.
Ce n’était pas humide, ce n’était pas salé, ni sucré, c’était pleins de colère, de frustrations, mais j’appréciais et si c’était le seul moyen pour qu’elle ferme son clapet et bien soit j’y consentirais comme j’avais fais une ou deux fois avec Milo. Je finis par me séparer d’elle, les lèvres un peu gonflé de ce contact. « Je ne m’excuse pas, j’en avais envie, besoin, je n’en sais rien. Mais tu sais quoi, vient me parler quand tu auras décidé que le monde ne tournait pas uniquement autour de toi. J’ai d’autre soucis que toi Mayline, à commencer par redonner forme humaine à mon deuxième père avec Tonton Luke. » Je ne lui laisse même pas le temps de répliquer ou quoi que ce soit, je sors seulement de la pièce et attrape Nina au passage par le bras, on devait parler de toute façon. Direction ma chambre.
Messes-basses ? Je porte la main à mon front, ne t’énerve pas Blo, ne casse pas tout, sinon elle va fuir dans un autre pays, se renfermer comme une huitre et Tante Maeve va encore me le mettre sur le dos. Me mettre sur le dos la réaction de la rousse, cela serait gonflé quand même, pas de ma faute si elle pense que tous le monde complote sur elle.
Je la regardais furibonde, alors qu’elle tournait la tête et qu’elle se mettait à faire des pas en direction de la porte. « Arg, mais ce n’est pas vrai. » ne puis-je m’empêcher de sortir en tirant sur mes cheveux énervé alors qu’elle s’approchait de plus en plus de la porte. Elle m’énerve, elle m’exaspère à toujours tout tourner autour d’elle alors que… J’avais en face de moi une Mayline aussi énervé que moi et visiblement cela me titillait encore plus mon estomac. Je la trouve encore attirante, encore plus… « Oh puis merde. » Je la rattrape rapidement en quelques enjambé et pose ma main sur la porte qu’elle s’apprête à ouvrir. Je la regarde dans les yeux, puis ses lèvres, puis de nouveaux ses yeux et ses lèvres. Puis la seconde d’après, j’avais mes lèvres contre les siennes alors que je l’avais pousser contre le mur.
Ce n’était pas humide, ce n’était pas salé, ni sucré, c’était pleins de colère, de frustrations, mais j’appréciais et si c’était le seul moyen pour qu’elle ferme son clapet et bien soit j’y consentirais comme j’avais fais une ou deux fois avec Milo. Je finis par me séparer d’elle, les lèvres un peu gonflé de ce contact. « Je ne m’excuse pas, j’en avais envie, besoin, je n’en sais rien. Mais tu sais quoi, vient me parler quand tu auras décidé que le monde ne tournait pas uniquement autour de toi. J’ai d’autre soucis que toi Mayline, à commencer par redonner forme humaine à mon deuxième père avec Tonton Luke. » Je ne lui laisse même pas le temps de répliquer ou quoi que ce soit, je sors seulement de la pièce et attrape Nina au passage par le bras, on devait parler de toute façon. Direction ma chambre.
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FICHE DE PERSO
Le vrai plaisir des disputes, c'est la réconciliation
ft @Mayline Smith & @Blodeuyn Cynfeirdd
28 décembre 2022
Si Nina avait décidée de rester à trainer dans les couloirs, ce n'était pas pour écouter aux portes - quoique, un peu au fond - mais elle cherchait surtout à rassurer sa meilleure amie par sa présence non loin de là, contre ce mur en train de mâchouiller un chewing-gum qu'elle avait fait sorti de sa poche. La Gryffondor se rendit assez vite compte que ses oreilles ne percevaient aucune conversation ni aucun bruits en fond. Un assurdiato, prononça-t-elle a haute voix, pensive. Elle n'avait plus qu'à attendre qu'une des deux ne daigne faire une apparition, prête à parier que ce sera @Blodeuyn Cynfeirdd qui passera le porche la première.
Bingo !
Nina Parker, toujours au top dans la déduction. Le Grand Sherlock Holmes n'avait qu'à bien se tenir ! Elle eu toute fois à peine le temps de se féliciter intérieurement de cette petite victoire personnelle que la Cynfeirdd l'entraina avec elle sans Mayline pour les suivre et sans plus d'explications de sa part. Sûrement qu'une fois de retour dans la chambre, sa colocataire sera sûrement amenée à vider son sac puisque rien qu'en constatant sa mine renfrognée, cette histoire semblait loin d'être réglée. Est-ce qu'elle le sera un jour, au moins ?
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FICHE DE PERSO
J’étais assez fière de moi. J’avais réussi à contrôler ma colère pour as qu’elle ne prenne pas le dessus, preuve que les séances avec Maeve étaient bénéfiques, bien que j’avais par moment l’impression de perdre une partie de moi. La main sur la poignée, j’allais ouvrir la porte et laisser les deux complices intriguer ensemble, mais celle de Blodeuyn m’empêcha de sortir.
J’étais coincée contre la porte par Blo. Une peur soudaine se mua très vite en une sourde colère. Ce n’était pas la première fois que je me trouvais dans cette posture sauf qu’elle était seule. J’étais prête à me battre si besoin. J’avais appris à me défendre depuis tout ce temps, elle allait être surprise si elle tentait quoi que ce soit. Tendue, j’attendais un coup qui ne venait pas, elle se contentait de me toiser du regard.
C'est moi qui fus stupéfaite de sa réaction aussi inattendue. À peine ses lèvres frôlèrent les miennes qu’un flot de sensation et d’émotion me submergeât. Tétanisée, je luttais pour ne pas sombrer. Je n’avais jamais ressenti mes émotions avec autant de clarté. Une colère omniprésente à côté d’une exaspération toute aussi forte se tenait dans l’ombre de quelque chose de plus profond que je n'avais pas souvenir d’avoir ressenti jusqu’à présent.
Si d’ordinaire un tel contact aussi intime m’aurait dégoûter, le temps que j’arrive à reprendre mes esprits, je me surpris à l’apprécier, mais interdite, je la sentis s’éloigner, m’arrachant cette lumière qui m ‘avait embrasé l’espace d’un instant, me laissant aussi vide qu’un gouffre sans fond.
Durant tout ce laps de temps, j’eus l’impression de n’être qu’une marionnette dans un corps sans vie. De n’être qu’une spectatrice, tandis que tous mes sens s’adaptaient aux changements brutaux imposés par le baiser. Sa voix me parvenait d’ailleurs comme d’un autre monde et quand j’ouvris la bouche pour la retenir, ses pas s’éloignaient déjà au loin dans le couloir.
C’est en pleurant de rage que je réalisais que j’étais tombée amoureuse et ce que je venais de perdre à l’instant. Seule, j’avais voulu être et je le restais jusqu’à la petite mélodie annonçant le début du conte. Je n’avais cessé de me repasser encore et encore la scène en boucle dans ma tête, venant effleure par moment mes lèvres du bout de mes doigts pour essayer de me rappeler son contact. Elle avait raison, j'avais été stupide.
Je ne sus combien de temps s’était passé depuis le baiser, mais quand la mélopée m tira de ma torpeur, je m’enfuis en passant par la porte de derrière, remerciant mentalement Blo pour m’avoir montré ce passage. Il me fallut peu de temps pour arriver au pont enjambant le bras de mer. En un rien de temps, je fus dans la maison et sortis une dose de poudre à cheminette : Les trois balais Pré-au-Lard. Je n'étais pas stupide, j’avais tout de suite compris l’utilité de cette poudre à ma première utilisation avec Braxton.
J’étais coincée contre la porte par Blo. Une peur soudaine se mua très vite en une sourde colère. Ce n’était pas la première fois que je me trouvais dans cette posture sauf qu’elle était seule. J’étais prête à me battre si besoin. J’avais appris à me défendre depuis tout ce temps, elle allait être surprise si elle tentait quoi que ce soit. Tendue, j’attendais un coup qui ne venait pas, elle se contentait de me toiser du regard.
C'est moi qui fus stupéfaite de sa réaction aussi inattendue. À peine ses lèvres frôlèrent les miennes qu’un flot de sensation et d’émotion me submergeât. Tétanisée, je luttais pour ne pas sombrer. Je n’avais jamais ressenti mes émotions avec autant de clarté. Une colère omniprésente à côté d’une exaspération toute aussi forte se tenait dans l’ombre de quelque chose de plus profond que je n'avais pas souvenir d’avoir ressenti jusqu’à présent.
Si d’ordinaire un tel contact aussi intime m’aurait dégoûter, le temps que j’arrive à reprendre mes esprits, je me surpris à l’apprécier, mais interdite, je la sentis s’éloigner, m’arrachant cette lumière qui m ‘avait embrasé l’espace d’un instant, me laissant aussi vide qu’un gouffre sans fond.
Durant tout ce laps de temps, j’eus l’impression de n’être qu’une marionnette dans un corps sans vie. De n’être qu’une spectatrice, tandis que tous mes sens s’adaptaient aux changements brutaux imposés par le baiser. Sa voix me parvenait d’ailleurs comme d’un autre monde et quand j’ouvris la bouche pour la retenir, ses pas s’éloignaient déjà au loin dans le couloir.
C’est en pleurant de rage que je réalisais que j’étais tombée amoureuse et ce que je venais de perdre à l’instant. Seule, j’avais voulu être et je le restais jusqu’à la petite mélodie annonçant le début du conte. Je n’avais cessé de me repasser encore et encore la scène en boucle dans ma tête, venant effleure par moment mes lèvres du bout de mes doigts pour essayer de me rappeler son contact. Elle avait raison, j'avais été stupide.
Je ne sus combien de temps s’était passé depuis le baiser, mais quand la mélopée m tira de ma torpeur, je m’enfuis en passant par la porte de derrière, remerciant mentalement Blo pour m’avoir montré ce passage. Il me fallut peu de temps pour arriver au pont enjambant le bras de mer. En un rien de temps, je fus dans la maison et sortis une dose de poudre à cheminette : Les trois balais Pré-au-Lard. Je n'étais pas stupide, j’avais tout de suite compris l’utilité de cette poudre à ma première utilisation avec Braxton.
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