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Pretty little lie - Queenie
Bêta Testeur
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INFOS
Messages : 852
Faceclaim : Abigail Cowen
Âge : 21
Sang : Sang-Mêlé
Particularités : Aucune
Profession : 3e année (2023-24)
Côté Cœur : En couple avec Israfel Clearwater.
Multis : Finn Gavalagh-Korrigan, Céleste Delacroix
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Novice (30%)
Maturité Magique (MM):
(19/50)
Education Magique (EM):
(10/100)
Potentiel Magique (PM):
(40/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(20/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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Pretty little lie
Jeudi 12 mai 2022 - @Queenie Walker
L’année touchait à sa fin, les parchemins débordaient des affaires de Norà, toujours prête à réviser ses leçons sur le premier siège venu si le temps le lui permettait et… si personne ne cherchait à la déconcentrer. Elle avait croisé @Israfel Clearwater pour son plus grand plaisir alors qu’elle tentait de revoir les dernières notions étudiées en cours de potion. Son regard avait plongé dans le sien alors qu’elle faisait mine de ne pas être affectée. Il redescendit rapidement sur le bout de papier qu’elle tenait entre les mains avant de risquer quelques oeillades alors qu’ils amorçaient un début de conversation. La nuit de Beltane n’avait pas suffi à freiner les montagnes russes dans lesquelles sont coeur grimpait dès que le brun posait ses yeux sur elle. Un regard suffisait à embraser chaque fibre en elle, éteignant suffisamment son cerveau pour qu’elle ne suive plus vraiment le cours.
Israfel poursuivit sa route jusqu’aux cachots, vite remplacé par Queenie qui vint brièvement s’installer à ses côtés pour papoter avec elle. Norà retenait un sourire aux commissures de ses lèvres, s’empêchant d’afficher un air ridiculement béat. La blonde ne fit aucun commentaire, pourtant Millar savait qu’il en fallait peu pour lancer son moulin à paroles. Elle se garda d’en parler, persuadée que viendrait un moment où son amie finirait par imploser. Queenie faisait l’écureuil: elle faisait ses provisions en potins, stockait chaque miette qu’elle pouvait consommer pour finir par ne plus avoir de place. Le mutisme de la Gryffondor finirait par s’effacer au profit d’une vraie bourrasque.
Queenie et Norà se dirigèrent vers les cachots peu de temps après Israfel, juste à temps avant que le cours ne commence. Elles s’assirent sur une rangée à gauche, plutôt en retrait alors qu’Israfel s’était assis à droite, un peu plus en avant. Etonnant quand on connaît son amour pour la matière. L’étudiante déroula son parchemin et mit de côté toutes ses émotions pour tendre une oreille attentive à la leçon. Norà était d’ordinaire une gamine volontaire, relativement sérieuse lorsqu’elle se retrouvait entre les quatre murs d’une classe. Comme beaucoup d’élèves, l’étudiante finissait par décrocher un peu alors que les soirées de fin d’année continuaient de se multiplier, aux dépens de ceux qui passaient des examens. Elle, ce qui la déconcentrait, ce n’était ni la perspective de ces soirées, ni Queenie qui bavassait à côté d’elle. C’était le Clearwater qui se tournait discrètement de profil pour lui adresser un sourire. C’était ces petits regards entendus qui la laissaient imaginer tout et n’importe quoi. Qui lui faisaient se remémorer cette douce soirée de début mai.
Un coup de coude de Queenie suffisait à ce qu’elle revisse le regard sur son parchemin. Norà passait une main dans ses cheveux et cachait une partie de son visage. Le menton enfoui dans sa paume, elle renvoyait un regard chargé de promesses à @Israfel Clearwater puis le laissait retomber sur son chaudron. Norà parvenait tout de même à réussir deux potions sur trois, par on ne sait quel miracle. Peut-être grâce aux leçons qu’elle potassait lorsqu’elle n’était pas occupée à squatter le stade de Quidditch ou à sortir le soir. Lorsque le cours toucha à sa fin, Norà rassembla très vite ses affaires pour sortir avant le brun. Histoire de ne pas le laisser croire qu’il maîtrisait totalement la situation. Pour une fois, ce serait elle le chat et lui la souris.
Elle entraîna Queenie par la manche, manquant de renverser quelques fioles au passage puis elles s’éclipsèrent pour rejoindre leur dortoir.
Norà ne s’arrêta pas une seule seconde dans la salle commune. Les dortoirs n’étaient pas mixtes. A moins d’enfreindre le règlement, Israfel n’irait pas la chercher ici. Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis. Elle déballa le contenu de sa sacoche sur son lit, commençant à trier ses affaires pour ne conserver que le nécessaire pour les prochaines leçons. Son regard se leva vers le second lit, celui de Queenie. Ses prunelles croisèrent les siennes alors que son regard descendait sur ses mains, fermement posées sur ses hanches. Qu’allait bien pouvoir lui dire la jeune Walker? L’heure de la tempête avait-elle sonné?
INFOS
FICHE DE PERSO
Pretty Little Lie
Norà Millar (12.05.22)
Tu n'es pas aveugle. S'il y a bien une qualité dont tu peux te targuer, il s'agit bien de ton sens de l'observation. Il ne te fait que rarement défaut celui-là. Ou peut-être est-ce plutôt quelque chose comme un sixième sens, ou un instinct assez développé. Tu ne sais pas. Quoiqu'il en soit, tu le vois. Ce petit quelque chose, un échange de regard discret. Parce que malgré tout, de la part de la rousse qui depuis le début de l'année jouit de la place de meilleure amie dans ta petite vie, ça reste discret. Bien que tu ne puisses pas louper son manège. Tu passes ta scolarité et la majorité de ton temps au château avec elle. Tu as fini par la connaître par cœur. Quasiment par cœur. Donc tu les as vus. Ces échanges de regard. Entre ta jolie colocataire et ce rustre de Clearwater. Ces frôlements parfois, volontaires ou non. Tu ne sais pas si ton cerveau les a ignorés avant ou si tu les as cramés dès le début, mais voilà une petite dizaine de jours que tu collectes chacune de ces attentions que tu perçois. Comme à l'instant, en plein milieu d'un cours de potion. Tu ne dis rien. Ou plutôt tu bavardes sur des sujets quelconques pour occuper l'heure de cours. À quel point cet ingrédient pue. Que celui que tu viens de couper en fine lamelle possède une texture étrange. Jusqu'au moment où le professeur esquisse une tentative d'approche dans votre direction et où tu plantes délicatement ton coude dans les côtes de ton amie pour la ramener sur terre.
La suite se révèle assez floue, tu as tout juste le temps de ranger tes affaires que tu te retrouves embarqué dans votre dortoir. Ce n'était pas une course, mais la traversée des cachots jusqu'au septième étage ne s'effectue pas aussi rapidement d'habitude.
Tu refermes la porte derrière toi, regardant Norà déballer ses affaires. Tu attends qu'elle prenne la parole. Sinon pourquoi donc tout ce cinéma ? Lorsque tu vois qu'elle ne compte pas ouvrir la bouche, tu prends une position autoritaire que tu vois souvent Diana, adopter envers Alvaro. Tu remarques, que tu as pris quelques habitudes comportementales de ta mère adoptive. Tu rirais bien de la prise de conscience, mais ça amoindrirait l'effet. Les représailles. Avant de finalement croiser les bras une fois le regard anoràble posé sur toi. Tu lui offres en réponse un sourire de requin. Prédateur ayant capturé sa proie. Tes yeux pétillent. Tu ne comptais pas faire ça maintenant, néanmoins, tu ne peux pas priver la jolie rousse du moment qu'elle a elle-même choisi. Tu n'es pas cruelle à ce point. Tu ne peux pas non plus te retenir plus longtemps d'ouvrir la bouche. Le vent se lève.
« Norà, Norà, Norà. » Tu chantonnes, comme un lion ronronnant de satisfaction de voir la pauvre souris prisonnière de ses griffes tendues. « Jolie Norà... » Tu ne tiens plus en place, tes bras décroisés prennent vie, effectuant des gestes qui ne parlent que pour toi. « J'attendais que tu m'en parles, mais je vais finalement commencer. » Tu es à deux doigts de sauter d'excitation comme une gamine devant un cadeau trop bien. « Depuis quand ça duuuuuuuure ?! Pourquoi tu ne me l'as pas dit plus tôt ? Non, je comprends pourquoi, vouloir vivre une relation cachée aux yeux de tous au début, pour avoir cette espèce d'adrénaline face au risque de se faire surprendre. Mais à moi quoi ! J'aurais pu te couvrir ! » Tu exagères clairement. Tu ne sais pas s'il y a déjà une relation ou si c'est juste une attirance. Cependant, tu connais les règles de négociations. Tu vas en demandant gros, pour obtenir ce que tu désirais vraiment au final. Manipulation psychologique. Et qui sait, peut-être que tu n'es pas si bonne observatrice et qu'il y a plus que ce dont tu te doutes, et là, là, tu gagneras le gros lot. Pas qu'une relation éventuelle de ton amie soit une récompense. Loin de là même. Tu finiras pas être délaissée et abandonnée au profit d'un sourire ravageur d'un casse-cou de Clearwater. Tu fais des rimes quand tu t'exprimes Queenie.
La suite se révèle assez floue, tu as tout juste le temps de ranger tes affaires que tu te retrouves embarqué dans votre dortoir. Ce n'était pas une course, mais la traversée des cachots jusqu'au septième étage ne s'effectue pas aussi rapidement d'habitude.
Tu refermes la porte derrière toi, regardant Norà déballer ses affaires. Tu attends qu'elle prenne la parole. Sinon pourquoi donc tout ce cinéma ? Lorsque tu vois qu'elle ne compte pas ouvrir la bouche, tu prends une position autoritaire que tu vois souvent Diana, adopter envers Alvaro. Tu remarques, que tu as pris quelques habitudes comportementales de ta mère adoptive. Tu rirais bien de la prise de conscience, mais ça amoindrirait l'effet. Les représailles. Avant de finalement croiser les bras une fois le regard anoràble posé sur toi. Tu lui offres en réponse un sourire de requin. Prédateur ayant capturé sa proie. Tes yeux pétillent. Tu ne comptais pas faire ça maintenant, néanmoins, tu ne peux pas priver la jolie rousse du moment qu'elle a elle-même choisi. Tu n'es pas cruelle à ce point. Tu ne peux pas non plus te retenir plus longtemps d'ouvrir la bouche. Le vent se lève.
The future's in the air
I can feel it everywhere
Blowing with the wind of change
I can feel it everywhere
Blowing with the wind of change
« Norà, Norà, Norà. » Tu chantonnes, comme un lion ronronnant de satisfaction de voir la pauvre souris prisonnière de ses griffes tendues. « Jolie Norà... » Tu ne tiens plus en place, tes bras décroisés prennent vie, effectuant des gestes qui ne parlent que pour toi. « J'attendais que tu m'en parles, mais je vais finalement commencer. » Tu es à deux doigts de sauter d'excitation comme une gamine devant un cadeau trop bien. « Depuis quand ça duuuuuuuure ?! Pourquoi tu ne me l'as pas dit plus tôt ? Non, je comprends pourquoi, vouloir vivre une relation cachée aux yeux de tous au début, pour avoir cette espèce d'adrénaline face au risque de se faire surprendre. Mais à moi quoi ! J'aurais pu te couvrir ! » Tu exagères clairement. Tu ne sais pas s'il y a déjà une relation ou si c'est juste une attirance. Cependant, tu connais les règles de négociations. Tu vas en demandant gros, pour obtenir ce que tu désirais vraiment au final. Manipulation psychologique. Et qui sait, peut-être que tu n'es pas si bonne observatrice et qu'il y a plus que ce dont tu te doutes, et là, là, tu gagneras le gros lot. Pas qu'une relation éventuelle de ton amie soit une récompense. Loin de là même. Tu finiras pas être délaissée et abandonnée au profit d'un sourire ravageur d'un casse-cou de Clearwater. Tu fais des rimes quand tu t'exprimes Queenie.
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Pretty little lie
Jeudi 12 mai 2022 - @Queenie Walker
L’heure de la fin du cours avait sonné, Norà en avait profité pour rassembler toutes ses affaires à la vitesse de l’éclair. Elle aurait certainement pu être inscrite sur le livre des records moldus tant elle prit la poudre de cheminette rapidement. Elle avait entraîné Queenie derrière elle, ne lui laissant pas même le temps de piper mot. La blondinette, sans nul doute, ne manquerait pas de la questionner. Norà, même si elle ne manquait pas d’astuces, n’était pas très douée pour inventer des excuses. Ça finissait souvent par tourner au bobard qui manque cruellement de conviction. Si sa colocataire venait à demander des explications, elle réussirait sans mal à faire céder son amie. Un regard sous-entendu suffirait à faire ouvrir la boîte de Pandore. A bien y penser, toute cette mascarade n’avait rien de secret. Depuis la sortie aux Trois Balais, leur rapprochement crevait les yeux. Il fallait être complètement aveugle ou ne jamais sortir de sa tanière pour n’avoir rien remarqué. Des oeillades, quelques câlineries discrètes, beaucoup de baisers sans pudeur. Israfel et Norà avaient, à leurs dépens, semé derrière eux toutes les graines nécessaires à la naissance de folles rumeurs futiles. Elle était d’ailleurs étonnée que Queenie ne lui en ai pas parlé dès le lendemain de Beltane. La rousse avait affiché un si grand sourire à son retour d’Edimbourg qu’il était difficile d’imaginer Queenie rester muette.
Beaucoup disaient que Norà et Israfel étaient en couple. A les entendre, l’un comme l’autre était libre comme l’air. Pourtant, dès que Charlotte venait à piquer le Clearwater, Norà ne pouvait s’empêcher de grommeler de son côté, en profitant pour caricaturer Charlotte. Elle ne la portait pas dans son coeur, pour une raison qu’elle ignorait. Pourquoi cherchait-elle des poux au brun?
Norà retourna ses affaires sur son lit, essoufflée mais satisfaite d’elle-même. A moins d’avoir anticipé le coup ou de connaître un passage secret, @Israfel Clearwater n’aurait jamais eu le temps d’arriver avant elles au dortoir. Elle s’assit sur son lit, ses doigts glissants sur les parchemins qu’elle envoyait dormir sur une petite étagère d’un simple Accio. Elle s’apprêtait à aborder un tout nouveau sujet mais réajusta son plan dès lors que son regard se posa sur celui de son amie. Elle ne lui lançait pas un coup d’oeil comme quelqu’un prêt à bavasser. Elle la fixait de ses grands yeux, les mains posées fermement sur ses hanches. Queenie allait la disputer. Ou lui tirer les vers du nez. Elle commençait à la connaître par coeur. Baissant doucement les yeux pour continuer son petit manège comme si de rien n’était, ses doigts arrêtèrent finalement leur course alors que son prénom résonnait dans la pièce.
Elle crut un instant que son estomac s’était retourné sur lui-même. Queenie rêvait de devenir Auror. Norà, elle, l’imaginait très bien à la tête du département de la Justice magique. Elle ferait aussi un parfait détective. Il n’y avait pas à dire, Queenie était douée pour glacer le sang du premier venu. Norà se sentait piégée. Elle pourrait essayer de rire, de changer de sujet, c’était clairement fichu. Queenie ne la lâcherait plus maintenant que le piège s’était refermé sur elle. Elle ose lever les yeux de nouveau et observe les bras de la belle blonde s’agiter dans les airs. Norà en soufflerait presque de soulagement. La scène tournait à la comédie. J’attendais que tu m’en parles. La gorge de Norà se serra instinctivement. Elle s’attendait à ce que le calme précède la tempête. Norà était devenue la proie de Queenie et il lui semblait qu’elle s’apprêtait à la dévorer sur place.
Millar baissa les yeux, fouillant dans sa sacoche à la recherche d’un objet qui n’existait pas. « Je ne sais pas de quoi tu me parles. » commença-t-elle par dire, sans aucune animosité. Comme si elle ne savait réellement pas. Queenie allait littéralement la tuer. « Si je suis partie aussi vite c’est… parce que… » Elle s’arrêta puis repris: « Parce que j’avais envie d’aller aux toilettes. D’ailleurs je vais y aller de ce pas. » Elle pouvait tenter autant qu’elle voudrait, quelque chose lui soufflait qu’elle aurait pu la suivre dans tout Poudlard tant qu’elle n’avait pas craché le morceau. Ça valait le coup d’essayer. La main qui se posa sur l’avant-bras de Norà alors qu’elle tentait de s’éclipser souligna le manque de conviction qui animait Queenie. « Bon ça va, je vois de quoi tu parles! » râla Norà qui retourna s’asseoir sur le bord de son lit avant de s’écrouler dedans.
« On n’est pas ensemble Queenie. C’est juste un flirt comme ça. Enfin je crois. »
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FICHE DE PERSO
Pretty Little Lie
@Norà Millar (12.05.22)
Tu la vois trifouiller, tu ne sais quoi, dans sa sacoche. Tu décryptes les signes évidents de gênes. Vas-tu pour autant l’en sortir ? Non. Si crueeeeeeeelle. De ton point de vue, ce n’est que juste punition pour t’avoir fait mariner aussi longtemps. Même si, en vérité, Norà fait bien ce qu’elle veut de sa vie, tu n’es pas franchement en position d’affirmer le contraire. Sa première affirmation, tu t’y attendais un peu, est de nier en bloc. Plus simple. Un peu gryffondor aussi. Mettre les pieds dans le plat également. Vous faites la paire.
Lorsqu’elle se lève pour s’enfuir en direction des toilettes, tu la retiens par le bras. Malgré ta forte envie de la charrier, tu ne peux que la trouver adorable dans son comportement de petite fille prise en flagrant délit de fuite. Anoràble. « Tu veux aller aux toilettes ? Parfait, allons-y. Je viens avec toi. » Le sous-entendu est clairement audible dans ta phrase. Ton sourire de chacal, aide probablement. Tu vas avec elle. Aucune gêne à partager sa cabine pour être sûre qu’elle ne transplane pas, Merlin sait où. Tu sais bien que tout comme toi, elle n’a pas encore appris cette merveilleuse faculté qu’est le transplanage. Néanmoins, personne ne se trouve à l'abri d’accomplir un petit miracle dans l’enceinte du château. Tu serais d’ailleurs drôlement fière si la jolie rousse s’en révélait capable. Utopie.
Elle cède si vite. Presque trop facile. Tu la regardes s’écrouler sur son lit, choisissant de t’asseoir à côté d’elle, pour ne rien louper de la suite. Contemplant son visage pour être sûre de ne rater aucune expression.
Pas ensemble, juste un flirt. Ça ne ressemble pas vraiment à ta définition du flirt, néanmoins, tu es ultra mal placée pour parler en la matière. Le jeu de la séduction, tu n’es pas franchement rodée à ça. Voire même plutôt maladroite. Ce qui fait probablement partie de ton charme. « D’accord. » Parce que tu ne cherches pas non plus à te la mettre à dos. « Mais pourquoi tu ne m’as pas dit que ce Clearwater en question te tapait dans l'œil ? » Puis tu poursuis avant d’avoir une quelconque réponse. « Ou même juste qu’un garçon te plaisait ? » Tu n’empiètes pas sur le domaine privé de tes proches tout de même. Tu sais faire preuve de respect. En es-tu sûre ?
Ne voulant pas créer de malaise, tu enfonces ton doigt dans sa cuisse, plusieurs fois, un brin taquine. « Bon et alors, ce garçon. Qu’a-t-il de si bien pour avoir l’immense honneur de pouvoir flirter avec toi ? » Tu tentes d’alléger l’atmosphère autant que possible et de plaisanter plutôt que d’incriminer. « Ce sont les bouclettes ? Parce que j’avoue que ça donne du charme aux gens. » Chez toi, tu te retrouves entourée de bouclettes avec les Lopez. Est-ce le charme hispanique ou juste une coïncidence ? Peu importe. Mais ce sont indéniablement des atouts pour faire succomber les jolies filles. « Même sur Kuzco l’empereur mégalo. Je me demande si son animal totem pour une transformation en animagus serait le lama. » Et tu ne peux t’empêcher d’éclater de rire à imaginer @Israfel Clearwater devenir un lama. Comme dans le film. Tu ne t’inquiètes pas de laisser échapper les surnoms loufoques que tu donnes aux gens devant la rousse. Depuis septembre, elle devrait y être habituée. Après tout, tu lui as déjà servi du aNoràk et du hoNoràble sur un plateau. Elle possède même l’apanage des jeux de mots perchés et pas drôles. Ce qui paradoxalement, te fait beaucoup rire.
Lorsqu’elle se lève pour s’enfuir en direction des toilettes, tu la retiens par le bras. Malgré ta forte envie de la charrier, tu ne peux que la trouver adorable dans son comportement de petite fille prise en flagrant délit de fuite. Anoràble. « Tu veux aller aux toilettes ? Parfait, allons-y. Je viens avec toi. » Le sous-entendu est clairement audible dans ta phrase. Ton sourire de chacal, aide probablement. Tu vas avec elle. Aucune gêne à partager sa cabine pour être sûre qu’elle ne transplane pas, Merlin sait où. Tu sais bien que tout comme toi, elle n’a pas encore appris cette merveilleuse faculté qu’est le transplanage. Néanmoins, personne ne se trouve à l'abri d’accomplir un petit miracle dans l’enceinte du château. Tu serais d’ailleurs drôlement fière si la jolie rousse s’en révélait capable. Utopie.
Elle cède si vite. Presque trop facile. Tu la regardes s’écrouler sur son lit, choisissant de t’asseoir à côté d’elle, pour ne rien louper de la suite. Contemplant son visage pour être sûre de ne rater aucune expression.
Pas ensemble, juste un flirt. Ça ne ressemble pas vraiment à ta définition du flirt, néanmoins, tu es ultra mal placée pour parler en la matière. Le jeu de la séduction, tu n’es pas franchement rodée à ça. Voire même plutôt maladroite. Ce qui fait probablement partie de ton charme. « D’accord. » Parce que tu ne cherches pas non plus à te la mettre à dos. « Mais pourquoi tu ne m’as pas dit que ce Clearwater en question te tapait dans l'œil ? » Puis tu poursuis avant d’avoir une quelconque réponse. « Ou même juste qu’un garçon te plaisait ? » Tu n’empiètes pas sur le domaine privé de tes proches tout de même. Tu sais faire preuve de respect. En es-tu sûre ?
Pour un flirt, avec toi
Je pourrais me damner
Pour un seul baiser volé
Pour un flirt, avec toi
Je pourrais me damner
Pour un seul baiser volé
Pour un flirt, avec toi
Ne voulant pas créer de malaise, tu enfonces ton doigt dans sa cuisse, plusieurs fois, un brin taquine. « Bon et alors, ce garçon. Qu’a-t-il de si bien pour avoir l’immense honneur de pouvoir flirter avec toi ? » Tu tentes d’alléger l’atmosphère autant que possible et de plaisanter plutôt que d’incriminer. « Ce sont les bouclettes ? Parce que j’avoue que ça donne du charme aux gens. » Chez toi, tu te retrouves entourée de bouclettes avec les Lopez. Est-ce le charme hispanique ou juste une coïncidence ? Peu importe. Mais ce sont indéniablement des atouts pour faire succomber les jolies filles. « Même sur Kuzco l’empereur mégalo. Je me demande si son animal totem pour une transformation en animagus serait le lama. » Et tu ne peux t’empêcher d’éclater de rire à imaginer @Israfel Clearwater devenir un lama. Comme dans le film. Tu ne t’inquiètes pas de laisser échapper les surnoms loufoques que tu donnes aux gens devant la rousse. Depuis septembre, elle devrait y être habituée. Après tout, tu lui as déjà servi du aNoràk et du hoNoràble sur un plateau. Elle possède même l’apanage des jeux de mots perchés et pas drôles. Ce qui paradoxalement, te fait beaucoup rire.
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Jeudi 12 mai 2022 - @Queenie Walker
L’excuse était toute trouvée. Elle n’était pas très crédible, mais elle était toute trouvée. Ce petit mensonge était suffisant pour dessiner les contours d’une discussion anxiogène, une discussion que Norà aurait aimé fuir à toute vitesse. Pourtant, si la rousse avait eu quelque chose à raconter, Queenie aurait certainement été sa première interlocutrice, autant que sa première alliée. Ceci dit, dans une telle situation, sa colocataire l’encouragerait-elle ou finirait-elle par essayer d’anéantir ses sentiments avant qu’ils n’aient le temps d’éclore? S’ils ne l’avaient pas déjà fait, ce dont il était moins sûr. Prendre la fuite, juste le temps d’y voir plus clair était certainement la meilleure solution. Oser en parler, c’était laisser la porte ouverte à une multitude de doutes supplémentaires, à des questions que Norà voulait esquiver. Etait-ce malsain de profiter de ces instants de joie sans oser ouvrir les yeux sur la vérité?
Norà ne résista pas longtemps à Queenie. Son mensonge avait été dicté avec si peu de conviction qu’il était terriblement difficile d’y croire. C’était le genre d’excuses qu’un gamin de six ans aurait pu sortir pour échapper à une situation délicate. A 19 ans, Norà était toujours aussi douée pour sortir des prétextes sans queue ni tête. L’aînée afficha un sourire triomphant. Queenie avait clairement le dessus. Ce n’était pas très difficile, il fallait l’avouer, mais elle en demeurait aussi fière que si elle avait remporté la coupe de Quidditch des Quatre Maisons. Norà fit demi-tour sans se faire prier et s’étala de tout son long sur son lit. Elle fixa alternativement le plafond et Queenie, une petite préférence tout de même pour le plafond qui ne risquait pas de la juger. Quoi qu’elle dise, lui ne réagirait pas.
Il était particulièrement difficile de démêler le maelström d’émotions qui engloutissait Norà à ce moment précis. Doutes, espoirs, embarras, fébrilité, amour? Elle savait bien à quoi jouait la blonde. Elle cherchait sans aucun doute à lui tirer les vers du nez, mais elle ne s’arrêtait certainement pas là. Elle avait son visage tourné vers le sien et Norà remerciait Merlin de ne pas avoir fait de Queenie une legilimens. Une sensation horrible d’être un drôle de créature de foire donnée en spectacle envahissait la petite rousse. « Me regarde pas comme ça » pesta Norà, impassible, alors que Queenie commençait à s’enthousiasmer. Alors Norà débuta avec des platitudes prévisibles. Pas ensemble. Juste un flirt. Même Norà sentait ces mots lui brûler la gorge. Disait-elle la pure et simple vérité? Elle-même avait un peu de mal à y croire.
Elle quitta le plafond des yeux pour observer la blondinette. D’accord. C’est tout? Juste « d’accord »? Pourquoi n’avait-elle rien dit? Question difficile. Pour ne pas admettre que j’en pince un peu trop pour lui? Elle jeta un regard étrange à Queenie, un regard dénué de regrets mais plein de tracas. Elle n’eut pas le temps de lui répondre avant qu’elle se mette à enchaîner. Depuis quand retenait-elle toutes ces questions? Elle soupira pour elle-même, tirée de son propre méli-mélo de questions par le doigt de Queenie qui s’enfonçait dans sa cuisse. Ça lui tira un petit sourire.
Queenie et elle n’étaient vraiment que deux gamines. Deux gamines qui reprenaient leur commérage habituel. Elle n’est pas certaine qu’@Israfel Clearwater ait vraiment une chance inouïe de la fréquenter. Après tout, contrairement à une sorcière baignée dans ce monde depuis sa naissance, elle n’avait pas grand chose pour plaire. A cet instant, Norà était à l’image des jeunes ados qu’on pouvait voir dans les séries: candide, anormalement timide. Ce n’était pourtant pas sa première histoire d’amour.
Elle rougit un peu, se retenant d’énumérer tout ce qui pouvait lui plaire chez le brun. Ç’aurait certainement provoqué une vague de dégoût chez sa voisine.
Ses bouclettes, c’était sûr. Surtout quand elle arrivait à glisser des petites fleurs dedans et qu’il se laissait faire. Elle éclate de rire à l’idée que le patronus d’Israfel puisse être un lama. Rien n’abondait en ce sens. Israfel avait des attitudes félines: il pouvait se montrer possessif tout autant que je m’en-foutiste, maladroit autant qu’habile, têtu autant que docile. Juste avec elle. A bien y penser, il la laissait faire de lui presque ce qu’elle voulait. Et l’inverse était tout aussi vrai.
Un véritable jeu de séduction s’était installé entre eux, une séduction qui n’avait rien à voir avec celle du premier soir. Israfel ne voulait plus ses cours de potions, il voulait certainement plus que cela. Les baisers qu’ils échangeaient criaient silencieusement des « Je te veux » aussi bien que des « Tu m’as manqué. » Pourtant, leur mutisme respectif instillait le doute. Norà se faisait-elle des idées? La chute serait fatale si ces doutes finissaient par révéler une vérité douloureuse. Ne pas en parler, c’était se protéger.
« Il est… » Elle chercha quoi dire, quels mots choisir parmi sa liste de qualificatifs longue comme le bras. « Il prend soin de moi. » finit-elle par dire. C’était certainement ce qui comptait le plus aux yeux de Queenie. « Ce n’est pas ce qu’il montre de lui, mais c’est quelqu’un de véritablement doux et attentionné. Il joue les branleurs et il a la grogne facile, mais c’est bien plus que ça. » Un sourire bête s’esquissa sur son visage alors qu’elle fixait le plafond. Elle fixait surtout ses souvenirs qui passaient sous ses yeux. « On est sortis ensemble au début du mois d’avril. Pour aller à Pré-au-Lard. » Elle tourna la tête pour regarder Queenie avec un sourire épris. « Il s’est acheté des gants pour voler… Et il a acheté les mêmes pour moi, en douce. Pour que je puisse m’entraîner à voler. » Si Queenie avait démontré un véritable talent en vol, l’Écossaise avait fait montrer d'une maladresse exceptionnelle depuis le début d’année. Voler avec Israfel l’avait poussé à s’entraîner un peu plus. La progression avait été remarquable et soudaine mais la petite Millar manquait toujours d’adresse et de précision. La douceur du lion insufflait en Norà une confiance soudaine qui la poussait dans ses retranchements, qui lui faisait déployer ses ailes à mesure que le temps passait et qu’Israfel restait.
INFOS
FICHE DE PERSO
Pretty Little Lie
@Norà Millar (12.05.22)
Tu as envie de lui demander comment tu dois la regarder si ce n’est pas ‘comme ça’. Avec tes pieds peut-être ? Tu trouverais ça très drôle d’essayer. « Mais je te regarde pas comme çaaaa ! » Ça sonne très idiot, un brin plaintif, digne d’un mauvais film. Ou d’une comédie. Pour un public avec un humour particulier. Tu aurais clairement ri à cette punchline. Tu ne sais pas si tu dois te désespérer de te faire rire.
Une petite victoire à consigner précieusement dans tes faits d’armes survient au moment où un minuscule sourire pointe le bout de son nez sur les lèvres de ton amie.
Tu ne lis pas dans les pensées, sinon tu lui aurais clairement dit que tu la trouves plutôt chanceuse de découvrir le monde magique et de pouvoir s’en émerveiller avec des yeux d’enfants. Malheureusement, tu n’es pas legilimens.
Deuxième bataille remportée lorsque tu prends de plein fouet l’éclat de rire de la rousse. Un immense sourire trône sur ton visage face à cette victoire. Au moins, tu as réussi à la dérider. Tu savais bien que le lama plairait ! Les lamas plaisent toujours, ou à défaut, font rire.
Lorsqu’elle reprend la parole, tu ne peux retenir ton buste qui penche légèrement vers l’avant, intéressée. Il prend soin d’elle ? La première réaction que tu as, c’est d’imiter le roucoulement d’un piaf, avant de te retenir. Maintenant que ton amie se lance, tu ne vas pas lui couper la parole inutilement. Pourtant, sa dernière réplique te scotche sur place. « Haaan ! C’est de là que viennent tes progrès dans les cours de vol ! Je me doutais bien que tu t'entraînes en cachette, mais je pensais que tu le faisais seule. » Tu ne voulais pas te montrer vexante en étalant ta facilité, c’est pour ça que tu as préféré attendre qu’elle vienne te demander si elle en ressentait le besoin plutôt que de t’imposer en miss-je-sais-tout que tu détestes tant. Néanmoins, tu es contente pour elle si elle a réussi à se trouver un compromis qui lui convient. Tu ne peux t’empêcher de hausser tes sourcils de manière subjective. « Des cours de vol hein ? »
Néanmoins, tu te retrouves interpellée par ce qu’aNoràble a dit plus tôt. Il prend soin d’elle. C’est certes mignon, mais ce n’en est que la perception de ton amie qui semble être pas mal accro au type. Tu ne vas pas sortir le mot amoureuse tout de suite. Après tout, tu ne te permets pas de juger ses sentiments. Quels qu’ils soient. Cependant, s’il prend soin d’elle, pourquoi n’est-ce qu’un flirt ? Prendre soin, signifie s’impliquer. Et le bougre ne t’en donne pas l’impression. Norà l’a évoqué, il ne montre pas cette facette de lui. Mais tu as vu son regard quand il file sur son balai en plein match de quidditch. Quand il prend de la vitesse et qu’il frôle de si près les tribunes des spectateurs, qu’il se retrouve à deux doigts de s’emplafonner dessus. Ça le fait vibrer. Tu mettrais ta main à couper. Il ne fait donc pas que jouer au branleur le @Israfel Clearwater. Tu ne juges pas son côté gryffondor exacerbé, tu serais très mal placée pour le faire, tu doutes juste de l’implication qu’il a auprès de ta rousse préférée.
Pour ne pas laisser ton scepticisme prendre le pas sur ta joie de partager le secret de ton amie, tu te reprends. Et ta langue aussi, elle reprend. « Bon, et ils sont comment ces gants ? » Probablement pas rose bonbon flashy, ça ne va pas du tout avec le roux. Si Kuzco à le malheur de lui en offrir un jour, tu prendras bien soin de le lui faire savoir. « Tu me les montres ? » Bien que tu lui ais dit ça, tu ne fais pas le moindre geste pour la laisser se relever. « Vous en avez prévu d’autres des sorties ? » Puis le retour du haussement de sourcils suggestifs. « Vous en avez peut-être déjà fait d’autres… » Après tout, début avril, ça fait déjà plus d’un mois ! Ça dure depuis plus longtemps que tu ne le pensais. Pas si fine observatrice que ça…
Une petite victoire à consigner précieusement dans tes faits d’armes survient au moment où un minuscule sourire pointe le bout de son nez sur les lèvres de ton amie.
Tu ne lis pas dans les pensées, sinon tu lui aurais clairement dit que tu la trouves plutôt chanceuse de découvrir le monde magique et de pouvoir s’en émerveiller avec des yeux d’enfants. Malheureusement, tu n’es pas legilimens.
Deuxième bataille remportée lorsque tu prends de plein fouet l’éclat de rire de la rousse. Un immense sourire trône sur ton visage face à cette victoire. Au moins, tu as réussi à la dérider. Tu savais bien que le lama plairait ! Les lamas plaisent toujours, ou à défaut, font rire.
Lorsqu’elle reprend la parole, tu ne peux retenir ton buste qui penche légèrement vers l’avant, intéressée. Il prend soin d’elle ? La première réaction que tu as, c’est d’imiter le roucoulement d’un piaf, avant de te retenir. Maintenant que ton amie se lance, tu ne vas pas lui couper la parole inutilement. Pourtant, sa dernière réplique te scotche sur place. « Haaan ! C’est de là que viennent tes progrès dans les cours de vol ! Je me doutais bien que tu t'entraînes en cachette, mais je pensais que tu le faisais seule. » Tu ne voulais pas te montrer vexante en étalant ta facilité, c’est pour ça que tu as préféré attendre qu’elle vienne te demander si elle en ressentait le besoin plutôt que de t’imposer en miss-je-sais-tout que tu détestes tant. Néanmoins, tu es contente pour elle si elle a réussi à se trouver un compromis qui lui convient. Tu ne peux t’empêcher de hausser tes sourcils de manière subjective. « Des cours de vol hein ? »
Néanmoins, tu te retrouves interpellée par ce qu’aNoràble a dit plus tôt. Il prend soin d’elle. C’est certes mignon, mais ce n’en est que la perception de ton amie qui semble être pas mal accro au type. Tu ne vas pas sortir le mot amoureuse tout de suite. Après tout, tu ne te permets pas de juger ses sentiments. Quels qu’ils soient. Cependant, s’il prend soin d’elle, pourquoi n’est-ce qu’un flirt ? Prendre soin, signifie s’impliquer. Et le bougre ne t’en donne pas l’impression. Norà l’a évoqué, il ne montre pas cette facette de lui. Mais tu as vu son regard quand il file sur son balai en plein match de quidditch. Quand il prend de la vitesse et qu’il frôle de si près les tribunes des spectateurs, qu’il se retrouve à deux doigts de s’emplafonner dessus. Ça le fait vibrer. Tu mettrais ta main à couper. Il ne fait donc pas que jouer au branleur le @Israfel Clearwater. Tu ne juges pas son côté gryffondor exacerbé, tu serais très mal placée pour le faire, tu doutes juste de l’implication qu’il a auprès de ta rousse préférée.
Je ne sais pas ou je suis quelque part dans sa vie
Si je compte aujourd'hui plus qu'une autre pour lui
Il est si près de moi pourtant je ne sais pas
Comment l'aimer
Lui seul peut décider qu'on se parle d'amour
Ou d'amitié
Si je compte aujourd'hui plus qu'une autre pour lui
Il est si près de moi pourtant je ne sais pas
Comment l'aimer
Lui seul peut décider qu'on se parle d'amour
Ou d'amitié
Pour ne pas laisser ton scepticisme prendre le pas sur ta joie de partager le secret de ton amie, tu te reprends. Et ta langue aussi, elle reprend. « Bon, et ils sont comment ces gants ? » Probablement pas rose bonbon flashy, ça ne va pas du tout avec le roux. Si Kuzco à le malheur de lui en offrir un jour, tu prendras bien soin de le lui faire savoir. « Tu me les montres ? » Bien que tu lui ais dit ça, tu ne fais pas le moindre geste pour la laisser se relever. « Vous en avez prévu d’autres des sorties ? » Puis le retour du haussement de sourcils suggestifs. « Vous en avez peut-être déjà fait d’autres… » Après tout, début avril, ça fait déjà plus d’un mois ! Ça dure depuis plus longtemps que tu ne le pensais. Pas si fine observatrice que ça…
Bêta Testeur
Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Participation au All Hallow Fest
Vous avez participé au All Hallow Fest
INFOS
Messages : 852
Faceclaim : Abigail Cowen
Âge : 21
Sang : Sang-Mêlé
Particularités : Aucune
Profession : 3e année (2023-24)
Côté Cœur : En couple avec Israfel Clearwater.
Multis : Finn Gavalagh-Korrigan, Céleste Delacroix
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Novice (30%)
Maturité Magique (MM):
(19/50)
Education Magique (EM):
(10/100)
Potentiel Magique (PM):
(40/100)
Rigueur Magique (RM):
(50/100)
Expérience Magique (XM):
(20/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
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Témoins de l'Histoire:
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Inventaire:
Pretty little lie
Jeudi 12 mai 2022 - @Queenie Walker
La scène est digne d’une comédie américaine. Le genre de feuilleton qui ne fait rire personne sauf ceux qui sont payés pour le faire, histoire de faire croire aux spectateurs que c’est hi-la-rant. Deux gamines, l’une allongée sur son lit, l’autre à ses côtés. Une gamine éplorée, l’autre dévorée de curiosité. L’une redécouvrant les joies et les peines que provoquaient les relations amoureuses, l’autre enthousiaste à souhait pour sa copine. Au moins en apparence. Norà le savait, Queenie avait beau mettre les pieds dans le plat quand cela était nécessaire, jamais elle ne s’était montrée indélicate envers elle. Elle avait toujours réussi à trouver les bons mots et à trouver le moment juste pour décrire le fond de sa pensée. Une main de fer dans un gant de velours. « Bien sûr que si que tu me regardes comme çaaaaaa » renchérit-elle alors imitant ses grands yeux de chouette.
Finalement, la conversation prenait un air plus léger, un air de confidences à la belle étoile ou au coin de la cheminée à dévorer des petits biscuits. Il faut dire qu’imaginer @Israfel Clearwater transformé en lama le temps d’un cours de métamorphose avait de quoi déclencher un fou rire. Ce serait le plus beau des lamas. Un lama couronné de fleurs.
Queenie la fixait toujours alors que Norà osait enfin parler. La blonde avait réussi à ouvrir la boîte de Pandore pour en extraire quelques secrets. Si sa relation n’avait jamais eu quoi que ce soit de secret, la petite rousse ne l’avait jamais crié sur les toits et n’en avait, en réalité, parlé à personne. Elle qui était si prompte à raconter toutes sortes d’âneries à Queenie. Il avait fallu du temps, du temps pour comprendre ce qui se passait. Du temps pour être sûre qu’elle n’allait pas déchanter du jour au lendemain et passer pour l’abrutie de service, pour celle qui avait craqué pour un dragueur hors pair. Ce temps avait-il vraiment suffi à ce qu’elle y comprenne quelque chose? Absolument pas. Etait-elle désormais sûre qu’elle n’allait pas tomber de bien haut? Pas du tout. Pourtant elle se lançait, elle se livrait enfin.
La réflexion de la Walker tira un sourire à Norà. « J’ai été à bonne école. Franchement… ça donne envie d’être assidue… » gloussa-t-elle deux secondes, se rappelant des mains du Gryffondor fermement accrochées à ses hanches, cette fois où il l’avait forcée à voler à sa place. Sur son Black Lightning. Le balai qu’il chérissait tant. Une chose était sûre, @Israfel Clearwater n’avait pas eu peur pour sa vie. Norà si. Il avait plus eu confiance en ses capacités qu’elle-même.
Norà ne releva pas le sous-entendu de Queenie. Il n’y avait pas eu que des cours de vol. Le soir de Beltane, ils s’étaient bien envolés, à leur manière. Elle fronça des sourcils, retenant l’information croustillante.
Norà observait sa colocataire d’un air tourmenté. Elle savait qu’elle aurait fait cette tête. Elle l’aurait parié pour cinquante gallions. Elle faisait une drôle de tête, une tête qui lui aurait donné envie de la secouer de toutes ses forces pour qu’elle crache le morceau. Une tête qui, à bien y réfléchir, ne donnait pas envie d’imaginer ce qui se tramait dans sa tête. Elle avait la tête d’une Queenie perplexe. Trop perplexe. Avait-elle eu vent de quelque chose en Quidditch? Allait-elle lui prendre la main et la serrer contre elle avant d’énoncer le pire des scénario? Norà s’accrochait aux lèvres de Queenie, prête à saisir le premier mot au vol. Finalement, ce n’était pas ce qu’elle avait cru apercevoir. La Walker perplexe était finalement redevenue la Walker curieuse. A moins qu’elle ne prenne des détours pour énoncer une vérité cinglante.
La question lui effleurait les lèvres. A-t-il dit quelque chose? Mais finalement elle ne dit rien et se redressa d’un coup, pleine d’enthousiasme. Elle roula sur elle-même dans son lit, de l’autre côté pour ne pas écraser Queenie au passage, et tendit le bras vers sa table de nuit. Elle en sortit une jolie paire de gants en cuir blanc. Des gants uniques. Elle les garda dans les mains comme un petit trésor et les tendit à sa blonde préférée pour qu’elle les regarde d’un peu plus près. « Je n’avais pas assez d’argent sur moi. » Norà ne croulait pas sous les gallions, les calculs précédaient souvent les excès voire les anéantissaient. « Alors il me les a offerts. » Elle sourit bêtement. « Tu as peut-être déjà vu les siens au Quidditch. Ce sont les mêmes, en brun. » Elle fit volte-face et les rangea précieusement dans son tiroir, à l’abri de tous les regards.
Elle profita d’avoir le dos tourné pour répondre aux autres questions de Queenie. « Les Trois Balais… et puis Beltane… Tu sais, ce week-end là je me suis absentée… » Elle laissa planer un blanc. « On a été à Beltane ensemble, du côté magique. C’était incroyable, tu te rends compte il a même réussi à marcher sur le feu! Il m’a même fait promettre de marcher avec lui sur au moins la moitié du feu l’année prochaine! » Elle s’arrêta encore. L’année prochaine. Avec lui. Elle se tourna alors vers Queenie, comme si elle s’apprêtait à dévoiler son plus grand secret. « Et puis… » Elle rougit subitement, bien plus qu’à l’ordinaire. « J’ai dormi chez lui. On a dormi ensemble. Et… » Elle mourait d’envie de faire marche arrière, de dire non rien, et on a pris le petit-déjeuner ensemble, mais Queenie l’aurait étripée. « On a fait un peu plus que dormir ensemble. »
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FICHE DE PERSO
Pretty Little Lie
@Norà Millar (12.05.22)
Tu pouffes parce qu’effectivement, il est plus que probable que tu imites le hibou. Mais c’est d’autant plus drôle de le voir sur la tête de l’aNoràble devant toi. À croire que c’est scripté.
Tiens donc. Forcément que si la demoiselle batifole sur un balai, ça lui donnera d’autant plus envie de savoir en faire. Mais c’est plus attendrissant qu’autre chose. Le cliché de l’aide extra-scolaire. Si un jour, un garçon te la fait, tu peux être sûre que tu vas le remballer aussi sec. Tu veux des frissons, pas un simagré dans lequel il étale son savoir. Que tu dis. Cependant, ça rend le sourire de Norà si pétillant que tu ne peux qu’être heureuse pour elle. Quitte à vous transformer en guimauve dégoulinante de sentimentalisme.
Tu siffles lorsque la rousse sort les gants de sa table de nuit. Il ne se fout pas d’elle finalement le Clearwater. Plutôt que d’être ostentatoires, ils sont délicats et joliment ouvragés. Lorsqu’elle te les tend, tu te permets de regarder de plus près, pour tenter d’identifier les symboles qui te semblent vaguement familiers avant d’abandonner quand tu remarques que ça ne te revient pas. En revanche, les coutures semblent solides et capables de tenir la durée. Clairement pas de la petite qualité, comme ce que les moldus trouvent sur wish et compagnie. Tu les lui rends pour qu’ils ne trainent pas et ne finissent pas dans ton propre bordel. Paix à votre chambre.
L’argent n’est pas un tabou entre vous deux parce que toi aussi, tu comptes avant de dépenser inutilement. Refusant d’être une charge pour ta famille adoptive, tu te contentes de l’argent que tu gagnes pendant l’été pour te payer tes loisirs en plus de tes fournitures. Et une fois les frais de conversion retenus par les gobelins, il en reste forcément moins. Peut-être devrais-tu envisager d’arrêter les jobs étudiants moldus et de passer à des jobs étudiants sorciers. Payés en gallions. Sauf que ça te permet de rester à jour sur l’actualité et les potins moldus…
Puis si votre restriction budgétaire permet à la plus belle rousse des gryffondors d’obtenir un tel cadeau de qualité, c’est le jackpot.
Tu tapes ton poing dans ta main lorsqu’elle t’avoue que Israfel possède les mêmes en brun. « C’est ça ! Je savais bien que les symboles me parlaient. Mais je n’ai pas fait le rapprochement avant que tu me le dises. » Tu hausses les épaules. « C’est que ce doit être suffisamment discret. » Tu ponctues ta phrase d’un clin d'œil.
Le demoiselle te tourne le dos quand elle poursuit la conversation. Comme si te voir en face était trop dur. Peut-être est-ce le cas, selon ce qu’elle veut te dire. Alors tu écoutes juste. Jusqu’à la révélation finale. Tu notes tout de même que marcher sur le feu, c’est une idée du tonnerre. Là, tu lui sautes dessus, passant tes bras autour de son cou et te collant à son dos. « Noooooon. » Tu laisses quelques secondes au silence avant de ne pouvoir t’empêcher de reprendre. « Vraiment ? » Tu ne hurles pas, mais tu dois tout de même lui tuer les oreilles. « Et c’était bien ? » Ta curiosité te jouera des tours un jour… Parce que tu ne veux pas qu’elle s’épanche en détail non plus. Tu es presque sûre de percevoir du rouge sur ses joues.
Tu la relâches pour te reculer un peu et lui laisser la chance de se retourner. Si elle se sent capable d’affronter ta curiosité et les questions que tu ne cesses d’enchaîner. « Il est confortable bouclette ? » Tu pouffes de ta question. Le double sens n’étant pas totalement volontaire.
Puis lui laissant un peu de temps pour se reprendre de la tornade que tu viens de lui infliger, tu reviens sur ce qu’elle a dit avant. « Ce sont des ‘rendez-vous’ ? » Dit avec un affreux accent français que tu ne parles pas. « Et tu veux marcher sur du feu ? C’est trop bien ! Il faut que tu me racontes ça ! C’est genre une attraction ? Tu es protégée par un sort ou c’est au courage ? Il y en a beaucoup qui l’ont fait ? Si les moldus voyaient ça ! » Toi aussi, tu veux voir ça. Mais d’abord respire. Parce que là, tes poumons manquent cruellement d’oxygène…
Si tu ne viens pas définitivement de l'assommer avec un tel flot, Norà mérite une récompense. Quelle qu’elle soit.
Tiens donc. Forcément que si la demoiselle batifole sur un balai, ça lui donnera d’autant plus envie de savoir en faire. Mais c’est plus attendrissant qu’autre chose. Le cliché de l’aide extra-scolaire. Si un jour, un garçon te la fait, tu peux être sûre que tu vas le remballer aussi sec. Tu veux des frissons, pas un simagré dans lequel il étale son savoir. Que tu dis. Cependant, ça rend le sourire de Norà si pétillant que tu ne peux qu’être heureuse pour elle. Quitte à vous transformer en guimauve dégoulinante de sentimentalisme.
Tu siffles lorsque la rousse sort les gants de sa table de nuit. Il ne se fout pas d’elle finalement le Clearwater. Plutôt que d’être ostentatoires, ils sont délicats et joliment ouvragés. Lorsqu’elle te les tend, tu te permets de regarder de plus près, pour tenter d’identifier les symboles qui te semblent vaguement familiers avant d’abandonner quand tu remarques que ça ne te revient pas. En revanche, les coutures semblent solides et capables de tenir la durée. Clairement pas de la petite qualité, comme ce que les moldus trouvent sur wish et compagnie. Tu les lui rends pour qu’ils ne trainent pas et ne finissent pas dans ton propre bordel. Paix à votre chambre.
L’argent n’est pas un tabou entre vous deux parce que toi aussi, tu comptes avant de dépenser inutilement. Refusant d’être une charge pour ta famille adoptive, tu te contentes de l’argent que tu gagnes pendant l’été pour te payer tes loisirs en plus de tes fournitures. Et une fois les frais de conversion retenus par les gobelins, il en reste forcément moins. Peut-être devrais-tu envisager d’arrêter les jobs étudiants moldus et de passer à des jobs étudiants sorciers. Payés en gallions. Sauf que ça te permet de rester à jour sur l’actualité et les potins moldus…
Puis si votre restriction budgétaire permet à la plus belle rousse des gryffondors d’obtenir un tel cadeau de qualité, c’est le jackpot.
Tu tapes ton poing dans ta main lorsqu’elle t’avoue que Israfel possède les mêmes en brun. « C’est ça ! Je savais bien que les symboles me parlaient. Mais je n’ai pas fait le rapprochement avant que tu me le dises. » Tu hausses les épaules. « C’est que ce doit être suffisamment discret. » Tu ponctues ta phrase d’un clin d'œil.
Le demoiselle te tourne le dos quand elle poursuit la conversation. Comme si te voir en face était trop dur. Peut-être est-ce le cas, selon ce qu’elle veut te dire. Alors tu écoutes juste. Jusqu’à la révélation finale. Tu notes tout de même que marcher sur le feu, c’est une idée du tonnerre. Là, tu lui sautes dessus, passant tes bras autour de son cou et te collant à son dos. « Noooooon. » Tu laisses quelques secondes au silence avant de ne pouvoir t’empêcher de reprendre. « Vraiment ? » Tu ne hurles pas, mais tu dois tout de même lui tuer les oreilles. « Et c’était bien ? » Ta curiosité te jouera des tours un jour… Parce que tu ne veux pas qu’elle s’épanche en détail non plus. Tu es presque sûre de percevoir du rouge sur ses joues.
Tu la relâches pour te reculer un peu et lui laisser la chance de se retourner. Si elle se sent capable d’affronter ta curiosité et les questions que tu ne cesses d’enchaîner. « Il est confortable bouclette ? » Tu pouffes de ta question. Le double sens n’étant pas totalement volontaire.
Se libérer de nos chaînes
Lâcher le lion dans l'arène
Lâcher le lion dans l'arène
Puis lui laissant un peu de temps pour se reprendre de la tornade que tu viens de lui infliger, tu reviens sur ce qu’elle a dit avant. « Ce sont des ‘rendez-vous’ ? » Dit avec un affreux accent français que tu ne parles pas. « Et tu veux marcher sur du feu ? C’est trop bien ! Il faut que tu me racontes ça ! C’est genre une attraction ? Tu es protégée par un sort ou c’est au courage ? Il y en a beaucoup qui l’ont fait ? Si les moldus voyaient ça ! » Toi aussi, tu veux voir ça. Mais d’abord respire. Parce que là, tes poumons manquent cruellement d’oxygène…
Si tu ne viens pas définitivement de l'assommer avec un tel flot, Norà mérite une récompense. Quelle qu’elle soit.
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Jeudi 12 mai 2022 - @Queenie Walker
Le visage de Queenie s’animait à mesure que Norà agrémentait son histoire de petits détails. Des petits détails qui avaient toute leur importance et qui permettaient à la jeune femme de resituer la relation des deux Gryffondor à sa juste place. Peut-être que cette relation allait un peu plus loin que tous l’imaginaient? Eux y compris. Dire les choses à haute voix avait ce petit quelque chose d’étrange. C’était comme admettre. Admettre devant les faits. Comme un criminel qui fait sa confession devant trop de preuves incriminantes. Le détective n’a plus qu’à laisser parler le brigand et le faire signer deux ou trois papiers avant de l’incarcérer. C’était donc ça, Norà était en train de tomber amoureuse mais faisait tout pour ne pas l’admettre.
Plutôt que de dire les choses franchement, Norà préféra continuer son histoire, comme si Queenie allait pouvoir l’aider à tout décoder, elle qui venait simplement d’apprendre les détails les plus croustillants. En alimentant les potins, Norà trouvait aussi la parfaite parade pour contourner le problème. Tant qu’elle parlait, c’était elle qui portait la culotte. Elle pouvait faire autant de fois qu’elle voulait le tour du pâté de maisons avant de se décider à passer la porte d’entrée. La petite Walker finirait par mettre les pieds dans le plat, en attendant la rousse continuait de courir tout en lançant des miettes de ragot à Queenie qui s’en satisfaisait, pour le moment.
Elle suivit son regard alors qu’elle lui tendait la paire de gants blancs, presque à contrecoeur tant elle les chérissait. Une paire simple mais travaillée qui lui rappelait @Israfel Clearwater dès qu’elle osait monter sur son vieux Friselune d’occasion. Comme une piqûre de rappel pour la ramener à leur première sortie à Pré-au-Lard le temps de quelques secondes. Comme une piqûre de rappel pour lui rappeler qu’elle est capable de voler seule, comme cette fois où il ne lui avait pas laissé le choix. Alors elle arbora un large sourire, de ces sourires mielleux et embarrassés qui laissent entrevoir toute la timidité d’une jeune femme amourachée. Elles étaient toutes les deux si différentes. Norà imaginait Queenie à sa place, aussi éberluée qu’un étranger débarquant dans un pays dont elle ne connait ni la langue ni l’écriture. Elle serait sûrement monté sur ce balai sans hésitation et aurait juré à coeur joie tout le long du trajet. La petite flamme avait laissé Israfel se reposer tout contre elle, lui confiant sa sécurité alors qu’elle était aussi douée qu’un panda qui essayait de skier. Incroyable quand on y pense.
Les gants furent rangés soigneusement dans le tiroir de la table de nuit. Norà prit tout son temps et ne se retourna pas tout de suite pour poursuivre la conversation. Comment devait-elle tourner sa phrase? Il n’y avait certainement pas mille manière de dire les choses. La rousse craignait la réaction de Queenie. Identifier une once de déception dans ses yeux lui scinderait le coeur en deux. Alors elle avoua à demi mot. « On a fait un peu plus que dormir ensemble. » C’était dit. Ça voulait tout dire et rien en même temps. Il était encore temps de rattraper la situation si Queenie ne réagissait pas positivement à la nouvelle. On a fait un peu plus que dormir ensemble: on a mangé une pizza dans le lit; on a lu un vieux grimoire de sa tante; on a fait des papouilles au vieux matou; on a débriefé la soirée; on s’est fait des massages. Toutes ces excuses étaient valables. Pas crédibles, mais valables.
Queenie lui bondit au cou dès que les quelques mots furent prononcés. Si Norà arborait déjà une jolie couleur pivoine, ses joues avaient du finir par tourner teinte carmin. Queenie avait très bien compris. Elle n’aurait besoin d’aucune excuse bidon. Elle hocha la tête avant de se retourner lorsque la blonde lâcha prise. « C’était incroyable. » commenta-t-elle en jetant un oeil à son amie. Elle se retint d’en dire plus, bien que l’envie ne lui manque pas. Norà était trop pudique pour cela, et ça n’intéressait pas Queenie de manière générale.
« Con.. confortable? » bégaya-t-elle, désarçonnée par la question de Queenie. Elle s’arrêta un instant pour réfléchir à ce qu’elle voulait dire par là. « Oui, euh non, enfin oui. » répondit-elle dans un mouvement de panique alors qu’elle se rejouait toutes les scènes, y compris celle où elle avait pu détailler le moindre centimètre de la peau d’Israfel. Elle cacha son visage entre ses mains avant de se lever et de proposer à Queenie d’aérer leur chambre. Il faisait étonnamment chaud dans cette chambre.
« Des rendez-vous? Erm… » Elle jeta un oeil à l’extérieur pour regarder les étudiants qui profitaient du soleil de Mai, un peu perdue. « Peut-être? Pas vraiment? » C’était beaucoup trop compliqué. Elle-même n’y comprenait plus rien. « Je sais pas, ça arrive comme ça, on n’y réfléchit pas plus que ça je suppose. » C’était faux, totalement faux. Dès que l’occasion se présentait, Norà mourait d’envie d’inviter @Israfel Clearwater . Peut-être tenterait-elle de l’inviter à la fête de la musique.
« Du vrai feu oui, c’était vraiment dingue. C’est comme une épreuve pour tester ta résistance, ta volonté aussi je suppose. Des guérisseurs sont là pour soulager tes pieds en fin de parcours. C’est incroyable qu’Israfel ait réussi à le faire. » Elle disait cela, des étoiles plein les yeux. Il avait suscité toute son admiration, à ce moment-là mais aussi à d’autres occasions. « Il m’a dit qu’il me regarderait faire l’an prochain. J’suis sûre que j’en serai incapable. » Qui sait si l’amour suffira à lui faire pousser des ailes. Qui sait s’il sera toujours là pour l’accompagner.
INFOS
FICHE DE PERSO
Pretty Little Lie
@Norà Millar (12.05.22)
Incroyable, carrément ! Tu pourrais te moquer et taquiner un peu plus ton amie, mais tu n’es pas mesquine. Puis ce serait hypocrite sachant que tu es incapable de comprendre ce que vit la rousse. Pour toi, le sexe n’a rien d’incroyable. Ni quoi que ce soit d’autre. Tu es plutôt contente pour elle. Qu’elle puisse vivre une histoire d’amour toute douce, ou pimentée si elle le préfère, dans son coin avec les bouclettes qu’elle veut.
Tu pouffes néanmoins, devant l’hésitation sur le confort. Et tu finis par rire franchement en voyant Norà ouvrir votre fenêtre de chambre. Tu restes sur le lit pour lui permettre de prendre la distance voulue. « Je ne veux pas savoir ce que tu as imaginé, mais je parlais juste de te vautrer contre lui. » S’il avait des muscles agréables à regarder, une peau agréable à toucher. Tu es la meilleure amie au monde pour veiller à ce qu’elle ait ce genre de confort dans sa relation. Mais le sourire s’entend dans ta voix. Tu la laisseras amplement te charrier le jour où tu trouveras quelqu’un pour toi. Ce sera mérité.
S’il devient un idiot et ne tient pas sa promesse, tu feras en sorte d’être là pour l’aNoràble rousse. Autant en guise de soutien émotionnel que pour lui permettre de marcher sur le feu. Tu veux absolument tenter l’expérience. Tu n’oublieras pas de lancer un maléfice cuisant à @Israfel Clearwater au passage.
Tu la regardes avant de t’allonger sur son lit. Prenant tes aises comme si tu étais sur le tien. De toute façon, mis à part le privilège d’être près de la fenêtre, le lit de la rousse n’a rien de différent du tien. « Je ne sais pas vraiment comment tu voudrais que se déroule ton idylle amoureuse, mais je pense que tu as le droit de lui demander d’être clair dans ses intentions. » Ce n’est qu’une constatation. Tu sais bien que personne ne jurera fidélité inconditionnelle et amour éternel pour un crush scolaire. Ça n'empêche personne d’être franc et de dire clairement ce qu’il attend. Histoire qu'à défaut d’empêcher un cœur d’être brisé, elle soit au courant de ce qui lui arrive.
Réflexion faite, tu ne sais pas si tu veux voir un débordement de mignonnerie et d’affection à tout bout de champ. Qu’ils t’épargnent ça au moins pendant les repas. Manger, c’est important ! « C’est bien d’avoir quelqu’un à aimer. » Tu murmures cette vérité. Tu ne la jalouses pas, au contraire. Tu es heureuse pour Norà. Tu as bien d’autres choses à gérer de ton côté que d’envier le bonheur de ton amie. Ta maison.
« Ah ! Une épreuve de courage. » Voilà qui te parle bien plus que la complexité d’une potentielle relation amoureuse. « Quelque chose de gryffondor ne peut qu’être bien ! » Tu es persuadée que Kuzco l’aurait fait même sans guérisseur pour soulager la douleur post-épreuve. Tu chasses une mouche imaginaire de ta main. « Je pourrais faire un pari sur ta tête pour te motiver. » Tu pouffes à l’idée.
Tu te relèves pour venir te poster devant la fenêtre également. Avant de donner un léger coup de coude à ton amie. « Aller, j’arrête de t’embêter. » Avec comme sous-titre, ‘j’ai suffisamment contenté ma curiosité’. « On bouge ? » Tu indiques l’extérieur d’un coup de menton. « Ou tu veux rejoindre bouclettes pour lui donner tes cours de potion ? » Tes sourcils se montrent de nouveau suggestifs. Montrant bien que tu n’as pas loupé le manège de tout à l’heure.
Tu pouffes néanmoins, devant l’hésitation sur le confort. Et tu finis par rire franchement en voyant Norà ouvrir votre fenêtre de chambre. Tu restes sur le lit pour lui permettre de prendre la distance voulue. « Je ne veux pas savoir ce que tu as imaginé, mais je parlais juste de te vautrer contre lui. » S’il avait des muscles agréables à regarder, une peau agréable à toucher. Tu es la meilleure amie au monde pour veiller à ce qu’elle ait ce genre de confort dans sa relation. Mais le sourire s’entend dans ta voix. Tu la laisseras amplement te charrier le jour où tu trouveras quelqu’un pour toi. Ce sera mérité.
S’il devient un idiot et ne tient pas sa promesse, tu feras en sorte d’être là pour l’aNoràble rousse. Autant en guise de soutien émotionnel que pour lui permettre de marcher sur le feu. Tu veux absolument tenter l’expérience. Tu n’oublieras pas de lancer un maléfice cuisant à @Israfel Clearwater au passage.
Tu la regardes avant de t’allonger sur son lit. Prenant tes aises comme si tu étais sur le tien. De toute façon, mis à part le privilège d’être près de la fenêtre, le lit de la rousse n’a rien de différent du tien. « Je ne sais pas vraiment comment tu voudrais que se déroule ton idylle amoureuse, mais je pense que tu as le droit de lui demander d’être clair dans ses intentions. » Ce n’est qu’une constatation. Tu sais bien que personne ne jurera fidélité inconditionnelle et amour éternel pour un crush scolaire. Ça n'empêche personne d’être franc et de dire clairement ce qu’il attend. Histoire qu'à défaut d’empêcher un cœur d’être brisé, elle soit au courant de ce qui lui arrive.
Réflexion faite, tu ne sais pas si tu veux voir un débordement de mignonnerie et d’affection à tout bout de champ. Qu’ils t’épargnent ça au moins pendant les repas. Manger, c’est important ! « C’est bien d’avoir quelqu’un à aimer. » Tu murmures cette vérité. Tu ne la jalouses pas, au contraire. Tu es heureuse pour Norà. Tu as bien d’autres choses à gérer de ton côté que d’envier le bonheur de ton amie. Ta maison.
« Ah ! Une épreuve de courage. » Voilà qui te parle bien plus que la complexité d’une potentielle relation amoureuse. « Quelque chose de gryffondor ne peut qu’être bien ! » Tu es persuadée que Kuzco l’aurait fait même sans guérisseur pour soulager la douleur post-épreuve. Tu chasses une mouche imaginaire de ta main. « Je pourrais faire un pari sur ta tête pour te motiver. » Tu pouffes à l’idée.
Tu te relèves pour venir te poster devant la fenêtre également. Avant de donner un léger coup de coude à ton amie. « Aller, j’arrête de t’embêter. » Avec comme sous-titre, ‘j’ai suffisamment contenté ma curiosité’. « On bouge ? » Tu indiques l’extérieur d’un coup de menton. « Ou tu veux rejoindre bouclettes pour lui donner tes cours de potion ? » Tes sourcils se montrent de nouveau suggestifs. Montrant bien que tu n’as pas loupé le manège de tout à l’heure.
Round and round like a horse on a carousel, we go,
Will I catch up to love? I could never tell, I know,
Chasing after you it's like a fairytale, but I,
Feel like i'm glued on tight to this carousel
Will I catch up to love? I could never tell, I know,
Chasing after you it's like a fairytale, but I,
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