Matthew Iverson - Introduction

Identité : Iverson, Matthew.

Date et Lieu de naissance : 12 Juin 2002. Bergen, Norvège. Il est ainsi âgé d'une vingtaine d'années.

Statut civil : Célibataire.

Scolarité : Troisième année, Poufsouffle.

Profession : Pas pour le moment !

Baguette magique : Chêne blanc, crin de licorne, d'une taille de 28 centimètres, pour une relative souplesse. Celle-ci semble être fait d'un entrelacs de deux branches, s'enroulant l'une autour de l'autre jusqu'à la garde qui dévoile qu'elles partent de la même base.

Famille : La famille Iverson est originaire des contrées nordiques d'Europe. Il est difficile de dire si celle-ci viens de Norvège, Suède ou Finlande, toujours est-il que les derniers descendants de celles-ci sont désormais habitants de Londres. Remarquablement ouverte d'esprit, la famille Iverson n'a jamais réellement rechignée à l'union entre sorciers et moldus, ce qui en fait désormais une famille de sang-mêlé.

Hérédité du sang : Sang-mêlé.

Particularité magique : Aucunes.

Caractère : Les gens disent bien souvent de lui que d'abord, il paraît peut-être un peu renfermé, dans sa bulle. Il aime bien avoir son calme et une certaine zone de sécurité, un endroit où se replier en cas de besoin.
Ce côté de sa personne peut laisser à penser qu'il est assez égoïste, dans une certaine mesure, pourtant, il n'en est rien. Lorsqu'on apprends à le connaître, il s'avère être un ami sympathique, et loyal, qui saura soutenir les gens qu'il aime dans les bons comme dans les mauvais moments, ou à défaut, il fera acte de présence s'il est désiré dans ces instants.

Certains disent également de lui qu'il est assez drôle, même si l'humour est surtout subjectif. Il est également capable d'adaptation, assez aisément d'ailleurs, aussi surprenant que ce soit lorsqu'on le sait plutôt introverti.

Plutôt studieux dans l'ensemble, il a néanmoins l'habitude de se reposer quelque peu sur ses lauriers, lorsqu'il ressent le fait qu'il a des facilités, comparé aux autres. Fort heureusement pour lui, ça n'arrive qu'assez rarement.

Son amour et son intérêt pour les animaux fantastiques, les créatures magiques, n'a que peu d'égal, à vrai dire. Pour l'instant, il rêve plus tard d'être un Magizoologiste, à écumer le monde à la recherche de diverses créatures dans différents pays.

Patronus : Il ne le maîtrise pas encore, mais dans le futur, il devrait s'agir d'un écureuil roux, quoiqu'il apparaisse blanc, comme tout Patronus finalement, plutôt petit et mignon, sommes toutes.

Miroir de Risèd : L'image est encore assez floue, mais ce serait certainement avec un brevet / diplôme de Magizoologiste, à voyager aux quatre coins du monde.

Epouvantard : Lui-même, le regard vitreux et vide, comme si son âme lui avait été retirée, ou tout bonnement une sorte de métaphore de la mort, finalement.

Particularités : Si ce n'est des yeux bleus très clairs, agrémentés de cernes plus ou moins marquées, qu'il ait bien ou mal dormi, il ne dispose d'aucunes particularités physique ou psychologique, un type lambda, en sommes.

Qui es-tu ? : On peut m'appeler Math, j'ai déjà le quart de siècle (à mon grand damn), et c'est à peu près tout ma foi !

Faceclaim & Crédits : Alex Hogh Andersen.

Trigger Warnings : Ce sont l'ensemble des sujets qui peuvent être sensibles mais que vous êtes susceptibles d'aborder dans le cadre du développement de votre personnage.

Comment avez-vous connu le forum? : Par quelques recherches Google !

Un petit plus ? : Rien à déclarer.

C'est par une agréable nuit d'été, que j'avais vu le jour, à l'hôpital de Bergen en Norvège. Du moins, c'est ce que mes parents avaient pour habitude de me raconter. Mon père, lui-même originaire de Norvège avait rencontré ma mère quelques années auparavant, lors d'un voyage à Londres, et ce en pleine Seconde Guerre Mangemort.

Mon père m'avait peu parlé de cette période, juste assez pour que je comprenne de quoi il en retourne, mais avait certainement dû me cacher la plus grande partie des horreurs auxquels il avait été confronté. C'est quelques mois après la fin de cette même guerre, qu'ils étaient rentrés en Norvège tout les deux, et qu'ils m'avaient conçus. J'étais donc arrivé neuf mois plus tard, comme l'espoir d'un futur meilleure pour le Monde Magique, et la cohésion avec le monde Moldu.

Mes premières années avaient été relativement calme, nous étions restés en Norvège, où j'avais suivi un cursus générique. Ma famille étant une famille de Sang-Mêlé, ma mère une moldu, et mon père sorcier, aussi, celui-ci avait préféré m'éloigner des problèmes du Monde Magique, du moins jusqu'à ce qu'il découvre finalement mon potentiel, aux alentours de la dizaine d'années.




Ce n'est qu'à partir de mes dix ans, que mes parents, surtout mon père, et moi réalisèrent le potentiel magique qui s'était alors bien gardé de se manifester jusqu'alors, et la question de mon éducation, et de la vie en fût chamboulée. Ils m'avaient promis à un avenir dans le monde moldu, en pensant que je n'aurais pas de capacités, mais faute est de constater que désormais, la chose n'était plus envisageable.

Pour mon avenir, il était même mieux de quitter la Norvège. Les nés-moldus étaient interdit dans l'université nordique de Durmstrang, et même si mon père était un sorcier, ma mère n'en était pas une, c'était certain, et mon accession à l'université n'aurait peut-être pas été possible dans cette optique. Ils avaient donc décidés de déménager à Londres, où j'aurais davantage ma place, et où on pourrait m'éduquer jusqu'à mon arrivée à Poudlard.

J'avais donc rejoins l'école londonienne Matinluntin Malinpesti dès ma douzième année, et malgré le fait que je sois arrivé en retard par rapport à bon nombres de jeunes sorciers qui y étaient scolarisés depuis leur plus jeune âge, j'avais réussi à m'intégrer suffisamment, et même me faire quelques amis.

Pour autant, ma vie en Norvège et mes amis de là-bas me manquaient quelque peu. Je n'avais guère le loisir d'aller les voir quand je le voulais, quand bien même nous y retournions assez souvent en vacances avec mes parents, et j'avais perdu bon nombres d'entre eux de vue, avant que l'émergence des réseaux sociaux soit une réalité moldue.

Même si je ne me l'étais jamais réellement avoué, c'était certainement ce déménagement tardif qui m'avait rendu quelque peu plus introverti, après tout, il n'était pas évident, même si je m'en étais plutôt bien sorti, de quitter ma vie d'avant pour un ensemble de nouveautés auxquelles je n'avait pas été habitué.




L'arrivée à Poudlard sonna comme un nouveau départ. Si j'avais réussi à nouer des amitiés lors de mes jeunes années, le fait qu'on m'arrache à la Norvège m'avait quelque peu travaillé, et je n'avais encore jamais réellement saisi la chance que j'avais d'avoir rejoins Londres, et d'avoir grandi entre le Monde Magique et Moldu.

La cérémonie de la Répartition était apparue comme un rêve, et j'avais eu la chance d'être envoyé dans une Maison qui me ressemblait, et que j'appréciais. Ce n'était résolument pas le cas de tout le monde, alors je m'estimais heureux. C'était mon souvenir le plus mémorable de mon arrivée à Poudlard, jusqu'alors, bien que beaucoup d'autres viendraient certainement rivaliser avec celui-ci durant mes années.

La première année fût agréable, et rien à dénoter, mais c'est résolument la seconde qui marqua mon entrée dans une passion certaine pour les créatures et animaux magiques, car si même dans le monde Moldu, j'appréciais grandement la présence des animaux, et que la chose était réciproque, ce fait avait été décuplé avec les créatures du monde magique, et désormais, sauf si je me trouvais une nouvelle lubie, je désirais devenir Magizoologiste et parcourir le monde à la recherche de toutes sortes d'espèces, et qui sait, en découvrir d'autres ?