Duncan Nightshade

Identité : Né au sein des Nightshade, une ancienne famille de sorcières et de sorciers connue pour ses illustres botanistes, Duncan (Donnchadh en gaélique) porte son prénom - typiquement écossais et signifiant « sombre » ou « brun » - en raison de la couleur de ses cheveux : un brun foncé tirant sur le noir.

Date et Lieu de naissance : Duncan est né à Édimbourg le 5 septembre 1995.

Statut civil : Célibataire

Scolarité : Duncan a été placé à Serdaigle, ce qui a tendance à étonner plus d’une personne ; ceux qui ne le connaissent mal sont souvent amenés à le percevoir comme une personne rusée et ambitieuse, parfois fourbe. S’il est vrai que ces traits s’appliquent d’une certaine manière à lui (le Choixpeau avait d’ailleurs hésité à l’y placer), sa véritable nature est définie par son intelligence, sa curiosité naturelle et sa soif de connaissance. Il est attiré par l’art et la musique et a souvent fait preuve de créativité dans son enfance.

Élève brillant, il a réussi son cursus universitaire avec brio. Naturellement habile avec sa baguette, il a rapidement été attiré par le Club de Duel, qu’il a intégré et où il a pu parfaire ses capacités martiales. Peu intéressé par le sport compétitif en équipe, il profitait des matchs de Quidditch pour s’infiltrer dans la réserve de la bibliothèque, ce qui l’a privé du poste de préfet, qu’il convoitait.

Dans sa quête de savoir, il a suivi le cursus d'archéologie magique dans le cadre de son M.U.L.O.T.

Profession : Duncan est aujourd’hui explorateur au sein de l'IDEM, il s’intéresse de près à l’usage de la magie à travers les âges et les civilisations et il est particulièrement attiré par les formes de magie anciennes et perdues.

Baguette magique : Sa baguette est faite de bois de frêne et possède une plume de phénix à son cœur. Elle est très flexible et mesure 31,75cm de long.

Famille : Duncan est le septième fils d’un septième fils, particularité rare entourée de mythes folkloriques dans divers pays du monde. Néanmoins, il n’en est pas pour autant devenu un vampire, un guérisseur ou un prophète, comme pourraient prédire certaines cultures, bien que son destin puisse encore se révéler à lui un jour. Il a souvent été charrié pour cela et même moqué par certains, qui lui disaient qu’il était maudit et condamné à vivre dans l’ombre de ses frères, ce qui fut vrai pour un temps. Pour compenser, Duncan s’est plongé dans la lecture avec, au départ, l’ambition de se démarquer, puis par pur intérêt et passion par la suite.

Duncan entretient une relation cordiale, bien que distante, avec ses frères aînés, et ce sans doute en raison de leur différence d’âge. Il n’a été et est resté proche que de son plus jeune frère, Cain, qui n’a que deux ans de plus que lui et avec qui il est allé à Poudlard pendant un temps.

Les parents de Duncan sont âgés et tous deux à la retraite. Ils ne sont plus particulièrement en lien avec leur fils cadet, sans doute à cause de la fatigue occasionnée par le fait d’avoir eu à éduquer et s’occuper d’un enfant en ayant déjà six autres avant. Ils écrivent tout de même à Duncan de temps à autre et le soutiennent encore financièrement, sans doute dans une tentative maladroite de compenser l’attention qu’ils ne lui avaient pas donné pendant son enfance.

Hérédité du sang : Sang-mêlé. Issu d’un père sorcier et d’une mère moldue, Duncan est le fruit de l’union de deux mondes. Ayant grandi à Édimbourg, il s’est familiarisé avec le monde de sa mère, tout en ayant un pied dans le monde magique par le biais de son père.  

Particularité magique : Aucune.

Caractère : Duncan est intelligent et a toujours su s’investir dans ses recherches. Naturellement curieux, il s’agit tant d’une force que d’un défaut chez lui. En effet, il ne recule devant rien pour obtenir les connaissances qu’il convoite. Cela l’a déjà amené à s’infiltrer plus d’une fois dans la réserve de la bibliothèque de Poudlard, dans diverses quêtes pour s’instruire sur des sujets que les professeurs ne tenaient pas à élaborer en cours. Ce comportement téméraire lui a valu d’être privé de la position de préfet, qu’il convoitait, en plus de lui valoir des heures de sanctions.

Son intérêt presque obsessionnel avec le savoir magique a fait de lui quelqu’un de quelque peu solitaire. Si lors de son cursus il lui arrivait bien évidemment de sortir à Pré-au-lard avec ses camarades de cours, il ne faisait pas pour autant partie des fêtards qui faisaient usage des passages secrets pour sortir du château la nuit.

Duncan a un tempérament colérique ; il se frustre et s’énerve facilement et il fait preuve d’une impulsivité qui lui a déjà attiré des ennuis par le passé. Il peine parfois à contrôler ses émotions et se laisse facilement guider par celles-ci. Ce n’est pas pour rien qu’il est passionné et passionnel : découvrir et comprendre de nouvelles choses, des mystères, les percer et les mettre à jour lui procure un plaisir et une satisfaction qui l’animent. C’est un phénomène qui se transpose également dans ses relations : la simplicité l’ennuie, les personnes unipolaires le lassent et il se trouve plus facilement en lien avec des caractères forts et aux multiples facettes.

Finalement, il est important de souligner que Duncan est une personne pour qui la fin justifie les moyens. Il ne partage pas la vision de la grande majorité de la communauté magique concernant l’usage de la magie noire et le fait qu’elle soit proscrite la rend d’autant plus intéressante pour lui. Il est de son avis que pour connaître la magie sous tous ses angles et ainsi mieux la comprendre et la contrôler, il est important d’en étudier tous ses aspects, même les plus sombres. Il va sans dire que Duncan suit une philosophie dangereuse qui pourrait le transformer en mage noir.

Patronus : Chat sibérien, compagnon au caractère sauvage et indépendant, mais loyal et affectueux. Duncan n'en a jamais fait usage en dehors de ses cours à Poudlard.

Miroir de Risèd : Si Duncan était amené à regarder le Miroir de Risèd, il y verrait son reflet tenant dans sa main droite une orbe mystérieuse et dont la nature n’est pas claire, et son père, sa main sur son épaule, qui lui dirait qu’il est fier de lui.

Epouvantard : Le Moremplis. Duncan est absolument horrifié par l’idée d’être réveillé la nuit par un voile sombre qui se pose sur soi pour étouffer sa victime et la digérer sur place.

Particularités : Duncan est une personne on ne peut plus simple. Outre ses yeux d'un bleu glacial, il n'a pas de particularité physique qui saute aux yeux. Il a une taille moyenne, une corpulence fine, une apparence soignée et élégante ; il ne se démarque pas particulièrement de la foule. Toujours habillé dans des tons sombres, il a adopté l'esthétique du monde magique. On le retrouvera donc plus souvent vêtu de longs manteaux et de capes que d'habits moldus.

Qui es-tu ? : Je m’appelle Seb, j’ai 27 ans, je vis en Suisse et je suis infirmier clinicien spécialisé en psychiatrie ! J’ai longtemps fait du RP sur forum avant de me lancer dans mes études, qui ne m’ont pas laissé l’énergie de continuer. Et puis les aléas de la vie m’ont amené vers d’autres horizons pendant plusieurs années. Après huit ans de hiatus, je me suis décidé à me remettre à l’écriture !

Faceclaim & Crédits : Daniel Sharman

Trigger Warnings : Meurtres, violence

Comment avez-vous connu le forum? : Google  

Un petit plus ? : Votre forum pète le feu !

« Il est temps que tu t’occupes de ton fils, Kenneth ! »

Les parents de Duncan étaient encore en train de se disputer à propos de leurs tâches parentales, sans avoir conscience que leur fils pouvait les entendre depuis sa chambre.

« Cain me prend suffisamment de temps comme ça, je ne suis pas magicienne, je ne peux pas m’occuper de deux gamins à mon âge ! »

Duncan s’était habitué à entendre ce genre de propos. Il savait qu’il était un poids et une responsabilité que le couple marié n’avait pas vraiment désiré et plutôt subi. Son père et sa mère s’étaient résignés à garder leur septième enfant lorsque Maria avait su qu’elle était, pour la septième fois consécutive, tombée enceinte. Qu’est-ce qu’était un fils de plus après en avoir eu six après tout ? La réponse était « celui de trop ».

Pour alléger ses parents, Duncan a vite appris à devenir indépendant et, aussitôt qu’il sut lire, s’était plongé dans les livres. Peut-être que s’il devenait un sorcier exceptionnel, il pourrait compenser le fait d’avoir été un fardeau ? Ou bien peut-être qu’il travaillerait chez les moldus, pour faire honneur à sa mère ? Peut-être qu’il pourrait devenir un grand médecin, ou un avocat ! Il s’agissait apparemment de métiers prestigieux dans le monde non-magique… Mais voulait-il vraiment renoncer à son héritage magique ? Il était beaucoup plus fasciné par les possibilités qu’ouvraient la magie que par les miracles technologiques des moldus comme internet ou l’exploration spatiale. Il y avait un attrait au monde caché des sorciers et des sorcières que le reste du monde n’avait pas. Donc que faire ?

« J’ai déjà beaucoup à faire au Ministère, et tu le sais… » rétorquait Kenneth. « NOTRE fils est déjà bien indépendant pour son âge, je ne vois pas ce qu’il y a de spécial à faire avec lui. »
« Je n’aime pas le fait qu’il passe autant de temps à lire, il devrait être en train de jouer avec ses camarades de classe, aller dehors, faire du sport ! »

Duncan n’allait pas se mêler de la conversation, mais s’il avait son mot à dire, il protesterait en mettant en avant qu’il n’est pas du tout intéressé à pratiquer du sport de moldu et que jouer dans les rues d’Édimbourg n’était pas son activité favorite. Il rappellerait également à sa mère qu’elle avait déjà incendié plusieurs fois certains de ses frères d’avoir été en ville sans avoir l’âge d’y aller seuls. Étrangement, cette règle ne semblait pas s’appliquer à lui, comme si elle préférait qu’il soit hors de la maison plutôt que dedans.

« Quelle différence entre le fait de jouer dehors et s’instruire s’il est occupé dans les deux cas ? »

Merci papa. Duncan était du même avis.

« Vivement qu’il aille à Poudlard alors, au moins il les aura ses livres… »

Oui, vivement, peut-être qu’il y rencontrera des gens qui apprécieront l’avoir à leurs côtés et avec qui il pourra s’émanciper. Duncan était las de ces disputes, las d’être un problème, las d’être celui de trop.





Duncan était presque en train de courir tant son père marchait d’un pas frénétique devant lui, et il peinait à tenir le rythme. Il ne connaissait pas la raison de son énervement, ou même s’il était énervé, et il n’avait même pas remarqué à quel moment il avait changé d’humeur. Ils étaient en train de faire leurs achats au Chemin de Traverse en vue de la rentrée universitaire et venaient de sortir de chez Olivanders, après avoir obtenu sa baguette magique. A partir de ce moment, Kenneth s’était alors lancé dans la foule sans autre avertissement, et son fils avait dû se mettre à le suivre en portant toutes ses affaires.

« Père, je ne comprends pas ! » s’exclama Duncan, tentant de protester ce changement brusque d’attitude.

Sa remarque n’eut aucune réponse et l’adolescent soupira d’agacement. Il était prêt à s’arrêter d’un coup et lâcher toutes ses affaires pour forcer son père à se retourner, mais il n’était même pas sûr que cela fonctionnât. Et il savait également qu’il s’agissait du type de comportement qui faisait sortir Kenneth de ses gonds. Il valait mieux qu’il n’insistât pas et qu’il suivît son paternel en silence, jusqu’à ce que leur destination soit atteinte.

Ils entrèrent dans une allée sombre et à l’atmosphère radicalement différente du reste du Chemin de Traverse, ce qui intrigua d’autant plus Duncan. Que faisaient-ils dans un coin aussi mal famé ? Ils entrèrent dans une boutique et dans la précipitation de son père, il n’eut le temps de lire son nom. Il remarqua rapidement que l’établissement sentait la poussière et le vieux bois et qu’il était plongé dans la pénombre.

« Donne-moi quelques minutes, Duncan », ordonna son père, sur un ton sérieux. « Trouve une babiole si tant est qu’il ait quelque chose qui te plaise ici. »

Le garçon sut au ton de la voix de son paternel qu’il valait mieux ne pas lui poser de question. Il posa donc ses affaires sur un meuble poussiéreux et se mit à vagabonder sans but.

La boutique était remplie d’objets étranges et sinistres. Poupées vaudous, têtes réduites, masques tribaux d’origines diverses et variées, pots remplis de fœtus d’animaux morts, les lieux n’inspiraient pas confiance et Duncan se sentit rapidement désemparé par le fait que son père put l’emmener dans un endroit pareil. Il ne comprenait pas non plus ce qu’ils y faisaient, aucun des articles en vente ne faisant partie de qu’il devait prendre pour sa rentrée à Poudlard.

Intimidé, il sortit sa baguette magique fraichement acquise dans une tentative de se rassurer. Il ne savait pas en faire usage encore et ne connaissait aucun sortilège, mais le simple fait de la tenir en main lui donnait le sentiment de pouvoir se défendre s’il en avait le besoin. Elle l’avait choisi, après tout, il en était même reconnaissant. Elle était à ses yeux magnifique. Taillée dans du bois de frêne, elle avait une couleur claire et permettant de deviner les veines de l’arbre dont elle était issue, ce qui ajoutait une texture visuelle intéressante. Mr Olivanders lui avait appris qu’elle contenait une plume de phénix, ce qui la rendait d’autant plus particulière ; Duncan se sentait très honoré d’avoir été choisi par une baguette si particulière.

Duncan, s’étant perdu dans l’admiration de sa baguette et ne faisant pas attention où il mettait ses pieds, se heurta contre une étagère, ce qui eut pour résultat de le faire sursauter. Il gesticula par reflexe, ce qui eut pour conséquence de produire un petit jet de lumière rouge du bout de sa baguette, qui vint percuter un tiroir et l’ouvrir. L’adolescent ne sachant comment cela était arrivé se précipita vers le meuble pour vérifier qu’il ne l’avait pas endommagé par inadvertance. Il ne vit aucune trace de l’impact du sortilège, mais trouva au sein du réceptacle en bois un objet qui attira son attention. Il s’agissait d’une sphère en pierre, visiblement ancienne et poussiéreuse. En la prenant en main, Duncan sentit qu’elle était imbibée d’une magie qui ne lui était pas familière. Elle semblait ancienne, primitive, incompréhensible.

Fasciné, le garçon l’admira pendant plusieurs minutes, scrutant le moindre de ses détails. Il identifia un symbole étrange sur sa surface, similaire à une rune, mais clairement différente de celles que son père employait. Il avait trouvé sa « babiole » à acheter et savait ce qu’il allait étudier dans son temps libre une fois ses cours entamé…





« Lumos. »

Les ténèbres se dissipèrent, révélant un décor lugubre et ancien, composé de pierres plates habilement disposées pour constituer un tombeau aux recoins tapissés de toiles d’araignées. Un silence étouffant inondait les lieux, créant une atmosphère claustrophobe. L’air était sec, poussiéreux et imbibé de l’empreinte de la mort, seule habitante de cet habitacle désolé et reculé de l’Ecosse. Bon nombre de personnes auraient décampé face à un tableau pareil ; il était contre-instinctif de s’aventurer de nuit dans un tel endroit. Mais Duncan était déterminé à trouver ce qu’il cherchait : une trace, un signe, une marque du passage du peuple ancien qui résidait dans ces contrées il y a des siècles de cela, des sorciers et des sorcières de l’époque.

Le cairn n’était pas répertorié auprès des associations de conservation écossaises, il était - comme beaucoup de reliques magiques - dissimulé du regard des moldus, ce qui avait permis un état de conservation remarquable. L’explorateur, fraichement diplômé de l’université de Poudlard et venant d’arriver dans la vie active, était sans doute le premier à y mettre les pieds depuis qu’il avait été scellé. La simple idée que tout ce qu’il y trouverait – si tant est qu’il trouvât quelque chose – lui procurait un sentiment d’excitation exaltant. L’ancien tombeau avait été délaissé depuis tant de temps que Duncan n’avait trouvé qu’une vague mention de son existence en fin de page d’un vieux grimoire poussiéreux et endommagé, abandonné au fin fond d’une bibliothèque au Chemin de Traverse. Par référence croisée et à force de persévérance, il avait fini par obtenir une approximation de la localisation de cet endroit ancien.

Duncan ne savait pas ce qu’il trouverait au cœur du cairn. Il ne savait même pas s’il possédait quelque relique que ce fût. A vrai dire, le peu d’informations à son sujet était sans doute la raison pour laquelle il avait été oublié pendant des siècles. Le jeune homme l’aurait d’ailleurs lui-même ignoré s’il n’avait pas aperçu le symbole étrange gribouillé sur la page du grimoire à la source de sa recherche, le même qui était gravé sur l’artéfact qu’il gardait avec lui depuis toutes ces années. Pour lui, il s’agissait d’une indication claire que la sphère avait appartenu à une tribu ancienne non répertoriée qui pratiquait la magie du temps des Pictes et des Gaëls, si ce n’est même avant. S’il pouvait percer à jour la nature de leurs sortilèges et les comprendre, il était convaincu de pouvoir ouvrir une nouvelle porte de la magie moderne et ainsi y associer les caractères plus archaïques et primitifs des époques anciennes, perdus au fil du temps et en raison des multiples persécutions qu’subirent les sorciers au fil du temps. Peut-être même qu’il serait possible de mieux comprendre la magie qui avait permis de bâtir Poudlard, un autre mystère digne d’être étudié !

« Revelio ! »

Une pierre vibra. Le cœur de Duncan commença alors à battre frénétiquement : il y avait bien quelque chose dans cette tombe ! Il coinça sa baguette entre ses dents et se rua vers la source de son attention. Il tira sur le roc, mais celui-ci résista. Frustré, le sorcier hésita à faire usage de la force. Après tout, ce cairn n’allait plus rien abriter de valeur après son passage… A peine sa réflexion terminée qu’il se ressaisit :

« Non Duncan, tu vaux mieux que ça, il y a peut-être plus à cet endroit que tu ne le penses », se dit-il mentalement.

Il redoubla d’effort et, petit à petit, la pierre sortit de son trou, révélant ce qui semblait être les fragments d’une très ancienne baguette magique, ruinée par le temps, et un objet étrange taillé dans une roche qui semblait être de l’obsidienne. En s’en saisissant, Duncan sentit immédiatement que la relique était imbibée de magie, encore plus que la sphère, et cette fois de nature très sombre. S'agissait-il de magie noire ? Il ne pouvait en comprendre la nature, ni ce dont il s’agissait, mais il sentit l’adrénaline lui monter à la tête lorsqu’il aperçut un symbole très familier gravé en sa surface : le même que sur son artéfact et que sur la page du grimoire.

Il rangea la pierre taillée dans sa sacoche, récupéra également les fragments de baguette magique et se releva. Sa quête avançait, sa trouvaille était importante et il pouvait le sentir…