Putain. Putain. Putain. Il est clair que Lyvan n’avait pas imaginé son samedi ainsi. Ces projet consisté à rejoindre @Freya Korrigan à la volière afin qu’elle lui apprendre le prénom des élèves. Jusqu’à lors le Gremlins n’en avait pas trouvé l’intérêt, il faut dire qu’il passait pas mal de temps avec les même, Léo étant son centre de gravité il fallait bien l’avouer. D’ailleurs s’il ne cessait de juré c’était de sa faute, mais allait-il vraiment s’en plaindre ?! Il aurait pût car il avait dû fausser compagnie à l’aiglonne plus vite qu’il ne l’aurait fait, quand Léo avait commencé à lui envoyer des notes magiques. C’était l’anniversaire de Léo ! Une info qu’il aurait aimé découvrir plus tôt, sans quoi il aurait décalé sa rencontre avec Freya.

Le «  problème » ce n’était pas que Léo lui envoie des notes, c’était plutôt leur contenu ! C’était le genre de note qui se lisait seul. Le genre de notes qui met tout de suite les hommes dans une position inconfortables au niveau de leur pantalon.  Le plus compliqué c’est que Lyvan n’avait pas put dire à Léo «  j’suis pas seul » car il gardait ses projets secrets pour l’instant et il voulait évité une dispute le jour de l’anniversaire de son homme. Sourire aux lèvres, émoustillé, ne pouvant résolument pas en vouloir au Grimm, il se dirigeait d’un pas décidé vers leur chambre afin de savoir si Léo bleuffer. Il avait envie de passer du temps avec lui.

Léo avait un pouvoir magique : celui de le faire sourire. C’est fou comme l’amour rend les choses plus belles, plus intéressante. Lyvan l’avait oublié. Il avait laissé les blessures et la peine lui laisser croire que l’amour ne se résumer qu’à ça : souffrir. Alors qu’il y a tout le reste ! Léo lui rappelait la joie d’être amoureux et il était vraiment joyeux et enthousiaste à l’idée de le rejoindre.

«  Petit con ! » Ce fût les premiers mots que prononça le Gremlins en ouvrant la porte, sans même savoir s’il bluffer ou non dans ses messages.

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Se réveiller seul le jour de son anniversaire... Qu'avait il de mieux à faire que de réveiller son homme avant de partir ? Un Grimm vexé ? Pas loin.
Sa mère lui avait fait livrer son cadeau mais il décida d'attendre un peu pour l'ouvrir.
La note de Lyvan arrivait à point nommer pour que ça ne se produise pas. Le Grimm enfila donc un bas de jogging, juste un bas car oui gardons les bonnes habitudes et alla se préparer un temps soit peu. Un lavage de dents, un coiffage rapide avec un peu de gel et les notes commençaient à fuser avec le serpentard.

Est-ce qu'il le chauffait ? Atrocement oui et il avait intérêt à ramener son cul bien plus vite que prévu s'il ne voulait pas d'un Léo très très grognon le jour de son anniversaire.
Une photo pour le faire revenir plus vite et le tour était joué. Léo était du genre assez direct pour faire comprendre à Lyvan ce dont il avait envie et aucun doute pour Lyvan en passant la porte de leur dortoir.
Il y avait encore bien des choses qu'il devrait faire découvrir à son homme et son anniversaire était un bon moment du moins si Lyvan se montrait assez ouvert ce qui n'avait pas été encore le cas.

Le serpent avait rejoint leurs lits qui étaient à présent rapprochés au milieu de la pièce pour ne faire qu'un et il était posé vêtu uniquement d'un jogging noir. Lorsque la poignée de la porte s'ouvrit, il jeta à travers la porte en direction de la pièce son caleçon. Si jamais c'était quelqu'un d'autre, il était fichu. «Petit con» Un sourire se dessina alors sur ses lèvres, c'était bien lui. Le sourire qui se dessinait sur son visage était raccord avec le terme de son amoureux. «Avec plaisir mon amour ! J'espère que tu aimes ce genre de notes dès le matin ?!» Demanda t'il avec toujours le même sourire aux lèvres correspondant à l'insulte affective qu'il venait de recevoir de la part de son homme.

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Lyvan baissa les yeux vers le truc qu’il venait de se prendre en pleine poire et qui venait d’atterrir au sol. Un caleçon ! C’est naturellement qu’un «  petit con » s’échappa de ses lèvres. Des mots qui sonner bien plus comme un je t’aime que comme une insulte dans la bouche de Lyvan. Le Gremlins le traitait toujours de petit con quand il l’agaçait au point de vouloir l’embrasser, quand le Grimm le touchait derrière la carapace qu’il s’était forgeait.  Il affichait un sourire des plus insolents et Lyvan secoua la tête légèrement de droite à gauche.

«  T’es impossible ! » Sans le savoir, Léo avait écourté son rende vous avec Freya, visant à récolté de l’argent pour leur avenir. Le Gremlins se rapprocha de son petit ami juste vêtu de son jogging.

«   A ton avis ? » lui demanda-t-il par provocation, plantant son regard dans le sien avec intensité. Il se pencha alors sur Léo pour l’embrasser. «  Joyeux anniversaire. » Lyvan aurait aimé lui donner la clé de leur appartement en guise de cadeau mais ses projets n’était pas encore au point, il n’avait pas encore l’argent pour leur permettre de s’afficher sans craindre les représailles de son père.

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Il se mordilla la lèvre inférieure après la réaction de son homme face à l'attaque de boxer enflammé. C'était leur insulte de prédilection, un mot d'amour comme un autre finalement. Lui impossible ? Nooon jamais ! «Oh tu trouves ? Pourtant j'ai pas encore poussé le vice tu sais ?! Mais jpeux si tu veux !» Ricana t'il tel un ado.
A son avis ? Une petite moue vicieuse parcourue son visage. «A mon avis non... T'en as pas eu assez !» Alors que le Gremlins se penchait pour l'embrasser et lui souhaiter un joyeux anniversaire. Il sourit avant de le rattraper alors qu'il commençait déjà à reculer. Upupup.

Le sexe était un point crucial dans leur couple mais ils partageait bien d'autres choses heureusement. Léo avait fait découvrir la moto à Lyvan et il comptait bien pouvoir l'embarquer bientôt derrière lui, il travaillait pour la finir rapidement. Il en avait deux, une très sport qu'il aimait particulièrement. Puis il fallait aussi qu'il trouve un casque à Lyvan, un vrai pas un de prêt. Depuis qu'ils étaient ensemble, le Grimm avait ressorti les crayons à dessin, son appareil photo bien plus souvent et reprenait sa moto en main plus souvent.
Léo reprenait petit à petit le goût à bien des choses et c'était grâce à Lyvan, à la confiance qu'il lui accordait et qu'il commençait petit à petit à avoir en lui aussi.

La curiosité passait tout de même avant l'envie de coller sa peau contre celle de son amoureux. «Du coup qu'est-ce qui était plus urgent que me faire l'amour pour mon anniversaire ?» Demanda t'il en dévorant ses lèvres alors qu'il poussait Lyvan pour l'allonger sur le lit et monter sur lui venant à présent dévorer son oreille. Il savait que son homme ne résistait jamais à ça, c'était la douce torture. Léo aimait autant son âme que son anatomie et aujourd'hui, il avait les deux à porté de main.

Lyvan passa sa langue à l’intérieur de sa bouche, souriant à moitié, levant les yeux aux ciels, comme s’il avait envie de râler mais qu’il ne pouvait pas face à la bouille d’ange de Léo. «  Ah oui ? Tu veux jouer à ça ? » Dit-il alors qu’il proposait de pousser le vice plus loin. «  Méfie toi, je peux être plus insupportable que toi je m’y mets. » Un sourire arrogant et pleine s’assurance, oh oui ! Léo sous estimer clairement son pouvoir et sa faculté à être provoquant. Si au début ils étaient en décalage, Lyvan ne sachant pas comment géré la drague de Léo, ne sachant pas si c’était que du jeu ou une réelle attirance, aujourd’hui ils étaient à égalité et le Gemlins savait très bien comment rendre dingue le Grimm.

 « A mon avis non... T'en as pas eu assez !» « Quoi ? On déjà d’accord ? » Demanda-t-il avec malice avant de l’embrasser. «Du coup qu'est-ce qui était plus urgent que me faire l'amour pour mon anniversaire ?» Evidemment ! Léo était curieux comme à son ordinaire, c’est fou ça ! Un sourire passa sur les lèvres de Lyvan alors qu’il se retrouvait rapidement à la merci de son amoureux. Sourire, C’est vrai qu’il était bien là. «  Ton cadeau. » Ce n’était pas l’entière vérité mais c’était vrai. «  Descend et ferme les yeux. » dit-il avec assurance. «  Promis je reviens dès que je l’ai attrapé. » Il descendit du lit et attrapa sa baguette. Il chercha des yeux quelque chose. N’importe quoi. Un sourire se dessina sur les lèvres du Gremlins. Et pourquoi pas ?! Après tout il faisait partit de leur histoire celui là.

«  Si tu triche t’aura kedal Grimm !  » Autant prévenir que guérir. Lyvan attrapa le cousin de Léo et à l’aide d’un sort de métamorphose le transforma en clé. «  N’ouvre toujours pas ! » Il farfouilla alors dans le tiroir de sa table de nuit et attrapa l’étuis de ses lunettes et glissa la clé à l’intérieur. Voilà. C’était parfait. «  Ouvre » dit-il en lui tendant l’étui.

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S'il voulait jouer à ça ? Il ne savait pas trop mais un peu en effet. Sa connerie, son côté dragueur, le sexytude du Gremlins dans ces moments là. Hum, se serait surement un régal.
«Mais t'es tellement sex quand t'es insupportable !» Dit il sourire pervers sur les lèvres.

Le contact des lèvres de Lyvan le rendait souvent fou et encore une fois, il avait un parfum apaisant. Cependant la curiosité est un vilain défaut Grimm. Enfin non, il était curieux et n'avait aucun remord à ça. Léo à califourchon sur son amoureux, venant l'embrasser à nouveau. Si la question dérivait et qu'ils finissaient au lit, rien à faire. Il la reposerait plus tard. Mais un sourire se dessina sur ses lèvres lorsque la réponse parvint à ses oreilles. Descend et ferme les yeux... «Rohh...» Ronchonna t'il avant de s'exécuter malgré tout. Le promis je reviens dès que je l'ai attrapé répondait à ses questions qu'il n'avait pas eu le temps de prononcer. Ce n'était donc pas une ruse pour se soustraire.

Léo attendit sagement pour une fois. «Tu m'appelles pas Grimm déjà !» Dit il un peu plus grognon à présent. Ses yeux étaient fermés mais il s'était couché sur le lit et avait posé son doudou - l'oreiller de Lyvan - sur son visage, humant son parfum. "Ouvre" Léo se redressa et l'oreiller qui était sur son visage tomba sur ses genoux. Il s'assit alors en tailleur. «Tu m'offres un étui à lunettes ? Je sais bien qu'homme à lunettes... Mais elle est déjà à moi !» Dit il en ricanant alors qu'il avait bien évidemment l'esprit mal placé. Léo attrapa alors l'étui que Lyvan lui tendait et l'ouvrit. Un instant le serpentard beugua. «Si tu me dis que c'est la clef de ton coeur chaton, je meurs d'amour tu sais ?!» Dit il avec un petit sourire en coin.

« Mais t'es tellement sexe quand t'es insupportable !» «  Je sais » répondit-il avec un sourire fier non dissimulé, bien conscient de ses atouts et sachant les utilisé. Toujours à bon escient et rien qu’avec Léo évidemment. Ce dernier ronchonna quand Lyvan lui demanda de descendre de son trône, lui dans le rôle de trône. Le Gremlins ne pût s’empêcher de lui ébouriffer les cheveux, attendrit par autant de «  grognon attitude », bien qu’il ait le monopole de ce côté-là.

«Tu m'appelles pas Grimm déjà !» «  hum,  T’a dit un truc   Grimm ? » Répondit-il du tact au tact, sourire aux lèvres, le mot insolent semblant être inventé pour lui. Quoi ce n’était pas Léo qui affirmait il y a moins de cinq minute qu’il était sexe quand il était insupportable ?! Fallait qu’il assume maintenant ! Lyvan avait tout à y gagner, rien à y perdre !

Léo avait les yeux fermer et le cadeau de son anniversaire étant son alibi pour sa sortie de ce matin, il se dépêcha d’en crée un. Après tout ce n’était qu’une question de temps avant qu’il n’ait une vraie clé non ?! En plus il détestait garder des secrets pour Léo. Tout finit par ce savoir et les secrets brisent tout. « Tu m'offres un étui à lunettes ? Je sais bien qu'homme à lunettes... Mais elle est déjà à moi !»

Si Lyvan s’était toujours vanté de savoir manier les mots, usant de sarcasme et sachant toujours quoi répondre, Léo avait vraiment le chic pour le laisser sur le cul. Avec lui il en perdait son Anglais.

« Petit con ! » Mot jocker en quelque sorte, il ne trouva rien de mieux à dire et laissa Léo ouvrir l’étui.

«  Ça pourrait. Respire c'est pas une bague » dit-il en souriant parce qu’en effet l’homme face à lui détenait son cœur. Il l’aimait. Intensément.
« C’est la clé de notre appartement.  »

Son cœur tambouriné dans sa poitrine. Et si l’idée déplaisait à Léo ? Il n’avait vraiment pas envie qu’ils se disputent le jour de son anniversaire. « En vérité c’est plus une promesse qu’une vrai clé. » dit-il en attrapant sa baguette, mettant fin au sort de métamorphose. «  Je n’ai pas encore l’argent pour la caution mais… ouais… mon cadeau c’est… ça te dirait qu’on vive tout les deux ? » Il eut un sourire mal à l’aise. «  Je sais que c’est tôt et sans doute idiot mais au moins toi tu sera pas à la rue si ton père le sait et moi j’aurais pas à flipper de voir Mégara à chaque vacances. Puis on vit déjà plus ou moins ensemble non ? » Présenter comme ça c’était moins flippant que «  j’en ai envie ».

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Je sais ? Il osait vraiment répondre je sais ? Mon dieu, comment rendre Léonard encore plus fou de son homme qu'il ne l'était déjà. Une vraie tête à claque.
Le coussin sur la tête, il ronronnait de ne pas l'appeler Grimm alors que Lyvan en profitait pour recommencer. Grrrrrr, il le payerait plus tard.

Lorsqu'il ouvrit les yeux découvrant le boitier à lunettes, un petit pic, lui rappelant qu'il était tout à lui et Lyvan lui offrit un nouveau petit con. Il avouait qu'il avait raison, c'était appréciable.
Respire c'est pas une bague, Léo sourit alors en levant les yeux au ciel. C'était donc la clef de leur appartement. Léo fronça les sourcils en regardant cette clef qu'il attrapa dans ses mains puis Lyvan, un regard plein de questions. Il savait qu'il n'aurait pas besoin d'en poser et que Lyvan allait lui répondre sans qu'il ai besoin de répondre quoi que se soit.

Il avait raison et le Gremlins continua qu'il s'agissait là plus d'une promesse que d'une vraie clef et cette dernière qu'il avait dans les mains redevint un coussin alors qu'une moue rigolote apparue sur son visage et l'oreiller vint alors percuter le visage de Lyvan. Une bataille de polochon ? Non pas encore. «Bien sûr que ça me dirait qu'on vive tous les deux ! Et c'est pas idiot et mon père ne découvrira rien tant que je lui aurait rien dit mon amour !» Il vint alors déposer la main sur la mâchoire de Lyvan avant de venir capturer ses lèvres et y déposer plein de baisers. «Et puis la caution, j'ai l'argent, c'est pas un problème.» Véritablement, ce type était un mec parfait qui pensait à tout.

Lyvan avait découvert par Michel-Ange que le père Grimm n'était pas enclin à ce que son fils sorte avec un autre garçon et que par conséquent s'il l'apprenait Léo passerait surement un sale quart d'heure et advienne que pourra de son futur. Depuis il était très à l'écoute et attentionné vis à vis de lui et de cette situation et Léo trouvait ça cruellement adorable. «Tu sais, t'es pas obligé de faire tout ça hein ! Je t'aimerai quand même !» Dit il en restant près de Lyvan, son pouce faisant des caresses sur la joue de son amoureux. «Et puis au moins, je suis sûr que Megara ne viendra pas te mater sous la douche lorsque je ne serai pas là !» Dit il avec un petit clin d'oeil et un regard taquin.

Un jour, il faudra qu'il remercie Michel-Ange d'avoir fait de la merde, sinon jamais il ne se serait laissé aller à être plus que le meilleur ami de Lyvan et il aurait perdu bien des choses. A présent, c'était peut être cruel mais il n'en avait plus rien à foutre qu'Alycia soit malheureuse à cause de leur séparation, lui ne l'était absolument plus.

Putain c’était vraiment affreusement stressant. Il ne savait pas comment Léo allait prendre sa demande. Peut-être qu’il ne le prendrait pas au sérieux ou même qu’il l’accuserait de le faire pour les mauvaises raison. Ou encore que c‘était trop tôt. Il y avait des tas de raison pour Léonard refuse. Lyvan se prit alors la clé redevenu cousin en pleine face, lui tirant un «  hey ! » de protestation suivit d’un rire.

«Bien sûr que ça me dirait qu'on vive tous les deux ! » «  Tu peux le redire ? Juste histoire que je l’imprime. » Et d’être sur de pas rêver. Lyvan sentit son cœur se soulageait d’un point et passa la langue sur ses lèvres alors que Léo reprenait la parole, lançant un «  mon amour au passage ». «  J’espère que ça va te motiver à lui dire. » Léo n’avait pas idée à quel point c’était pesant pour Lyvan de garder tout cela secret désormais. Ils voulaient qu’ils aient le loisir d’être un couple normal. Il savoura chaque baiser de Léo. « Et puis la caution, j'ai l'argent, c'est pas un problème.» «  Ah ouais ?! » Lyvan était clairement surpris et pour cause il avait mis son stage de MULOT en danger en volant des potions aux laboratoires Flemmings, chose qu’il n’aurait pas faite s’il avait su. Si jusque là il avait l’argent et cette idée d’appart pour justifier ses actes, il commençait à réaliser que ça n’avait pas lieu d’être et sans doute que Léo allait être furax quand il allait l’apprendre. Bon bin faisons en sorte qu’il ne l’apprenne pas aujourd’hui hein. « Tu sais, t'es pas obligé de faire tout ça hein ! Je t'aimerai quand même !» «  Aujourd’hui oui » dit-il en souriant.

«  Mais je tiens à m’assuré à ce que ça continue demain. Et après demain. Et encore après demain. » A chaque «  demain » il déposait ses lèvres dans le cou de Léo, y déposant un baiser. «Et puis au moins, je suis sûr que Megara ne viendra pas te mater sous la douche lorsque je ne serai pas là !» Lyvan poussa un soupir en penser à Meg. «  M’en parle pas, le mot intimité elle  connait pas. » Si Léo le disait de façon taquine, il était pleinement dans le vrai. Lyvan ne comptait plus le nombre de fois où elle était entrée dans la salle de bain en minaudant un «  oups » comme si ce n’était pas prémédité. «  Alors… Joyeux anniversaire ? » A savoir est-ce que Léonard ne lui en voulait plus d’être partit tôt ce matin.

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C'était tellement adorable de voir Lyvan stressé dans l'attente de sa réaction, maintenant qu'il savait comment Lyvan était vraiment après les dernières confidences sur l'oreiller, il savait qu'il pouvait compter sur lui et surtout exprimer ses doutes et ses craintes.
Lorsque la clef devint un oreiller, le Grimm ne se gêna pas pour lui mettre un léger coup d'oreiller dans la tronche. Non mais ! Le "Hey !" dégagé par Lyvan restait sexy, pourquoi était il tout le temps sexy ?

Lorsque Lyvan lui demanda de répéter, un petit sourire à la con apparu sur les lèvres du serpent. «Je suis désolé mon amour mais je crois que je peux pas accepter de vivre avec toi, c'est beaucoup trop stressant !» Dit il toujours ce sourire de petit con sur ses lèvres alors qu'il venait à nouveau l'embrasser passionnément.
Lyvan espérait que ça allait motiver Léo à parler à son père. Un certain poids pesait malgré tout sur les épaules et dans l'estomac du serpent. Il faudrait qu'il ai Michel-Ange avec lui et qu'il prenne son courage à deux mains. Peut être aussi qu'il commence à en toucher deux mots à sa mère. Pour prendre la température avant. Il n'en parlait pas à Lyvan mais sa famille restait importante et il voulait vraiment que son père accepte la situation mais il savait qu'il ne tolèrerait pas. Juste savoir quelle serait la sanction suite à cette disgrâce qu'il faisait à leur famille. «Je lui en parlerais oui.» Dit il simplement.

Lorsqu'ils parlèrent de caution, Lyvan semblait étonné. «Tu oublies un peu tous les appartements que ma famille possède, donc j'ai quand même un peu de côté tu vois ? Après on pourrait même avoir un appartement à nous vu tout ce qu'ils ont mais encore une fois tout dépendra de la réaction de mon père et de sa façon de voir les choses avec cette annonce.» Ponctua t'il en haussant les épaules.
Lorsque Lyvan lui dit qu'il l'aimait aujourd'hui, le Grimm fronça les sourcils. Il tenait à s'assurer que ça continue encore et encore jour après jour. Son coeur se serra encore plus d'amour pour son amoureux. Le mot intimité, Megara ne connaissait pas. Hum, n'insistons pas trop, sinon Léo allait devenir ronchons à l'idée de savoir Meg en train de mater Lyvan sous la douche ou encore de le plaquer dans un coin.

Alors Joyeux anniversaire ? Hum, un petit sourire se dessina sur les lèvres de Léonard. «Hum ça ne me dit pas ce que tu foutais et ce qui ne pouvait pas attendre de m'avoir fait ma fête mais je crois que je m'en fou, on a bien trop parlé, elle en peut plus, regarde...» Léo attrapa la main de son amoureux pour venir la placer sur la bosse qui ornait son jogging un petit sourire taquin sur ses lèvres. «A moins que tu n'es pas envi mais dans ces cas là, j'aurai besoin d'une douche pour calmer mes ardeurs !» Ponctua t'il en attrapant Lyvan par le col du t-shirt pour l'attirer sur lui et l'embrasser passionnément. Il répondait déjà à la question de la douche qui était sans aucun doute inenvisageable en cet instant.