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I'm just doing what we're told
INFOS
FICHE DE PERSO
✻✻ Kaz avait fermé les yeux exagérément, se tenant prêt à recevoir un sort qui ne venait pas. Et puis il entend son rire et quelque chose se réchauffe en lui. Alors il tente d'ouvrir un œil, voir ce qui se passe.
Ça lui pince le cœur, mais le monstre de jalousie semble s'être calmé lorsqu'elle mentionne Tristan. Il se raisonne, et il commence à accepter, ou tout du moins, à tolérer. « Mais si, vas-y, je peux encaisser. Lâche toi, c'est tellement mérité ! » Il rit aussi et se détend enfin. Et il continue, la mettant presque au défi de céder à cette tentation. « Même pas un petit Ridiculus ? Tu t'es jamais demandée à quoi je ressemblerais transformé en elfe de maison ? » Il lui adresse son petit sourire malicieux assorti d'un joli clin d'œil.
Et puis il fait une moue faussement vexée quand elle le compare à un troll des cachots, mais il ne peut maintenir cet air qu'un sourire se dessine à nouveau sur ses lèvres. Cela lui fait tellement de bien de retrouver l'espace d'un instant une complicité avec la jolie May. Il s'apprête à lui répondre quand elle lui assène un coup de coude. Et là, Kaz le comédien prend le relai, comme il a su toujours si bien (ou pas) le faire. « Wow, qu'elle force ! » Il se plie en deux pour ajouter un peu de drama à la scène. Mais il ne peut retenir un rire de se glisser entre ses phrases. «C'est vraiment dommage que tu ne puisses pas monter sur un balai, tu aurais fait fureur avec une batte face aux cognards. » Il en rajoute, il s'en amuse. Car elle est là sa vraie nature. Il n'est pas de ceux qui se lamentent, qui se plaignent et se désolent pendant des heures. Non, il est de ces personnes qui se servent de l'humour et d'un sourire pour désamorcer des situations compliquées.
Et puis il se calme et redevient plus sérieux. Non, il ne pouvait pas effacer la peine de la demoiselle d'un coup de baguette. Elle commence à s'éloigner et lui voudrait la retenir, trouver n'importe quoi pour prolonger ce moment qu'il a l'impression de voler. Il reste silencieux à se demander pourquoi la vie était-elle ainsi faite ? C'était ainsi que devait se terminer leur histoire à la Shakespeare ?
Et soudain, au loin, venant du château, il reconnaît une tête brune accompagné d'autres sorciers qui avance sur le chemin menant au terrain de Quidditch. Kaz écarquille les yeux, et il réagit plus qu'il n'agit. May ne peut pas voir mais avant qu'elle n'ait vu ou dit quoi que ce soit, Kaz a attrapé son bras et l'attire vers lui pour se planquer dans les escaliers qui mènent au gradin. Là,à l'abri des regards derrière la palissade en bois, il ne dit plus un mot, il retient même son souffle. Il se tient figé devant May, silencieux, aux aguets. Il a même placé son doigt devant sa bouche pour intimer la discrétion à la demoiselle.
Les secondes s'égrènent et Kaz entend les pas du petit groupe se rapprocher.
« Alors Al, t'as réussi le devoir de métamorphose ? Je crois bien que c'était le plus dur depuis le début de l'année ! » On entend un rire moqueur s'élever dans les airs alors que le petit groupe longe la palissade qui cache les deux anciens camarades. Et soudain Kaz pense à sa baguette qu'il a abandonné dans l'herbe. Il prie merlin qu'ils ne la voient pas mais qu'ils ne marchent pas dessus non plus... « Tu parles, c'était de la rigolade ! Y'a que toi pour te foirer là dessus ! » Le rire s'amplifie et semble être gagné par d'autres étudiants de ce petit groupe. La mine de Kaz semble se fermer d'un coup. Il s'agissait bien de son petit frère en compagnie de quelques uns de ses camarades. ILes deux frères ont toujours eu du mal à s'entendre, tous deux ayant des perceptions et des façons d'agir si différentes. Quand Kaz ne prenait pas pour argent comptant le jugement de ses parents sur les nés-moldus et sang-mêlés, Alphonse lui avait tout absorbé telle une parfaite éponge. Ainsi il était même devenu l'un de ces crétins de sang-pur aux idées arriérées aux yeux de son frère aîné. Kaz avait vite compris que c'était peine perdu pour espérer une quelconque ouverture d'esprit de la part du jeune Blackwell. Mais il n'avait pas vu venir sa trahison quelques années plus tôt quand il était allé trouver leur père pour lui parler de la relation qu'entretenait Kaz et May. Il n'avait fait que mettre le feu aux poudres mais depuis, Kaz avait bien compris qu'il devait s'en méfier comme la peste. Il n'avait pas bien mesuré jusqu'à ce moment là le ressentiment qu'Alphonse pouvait ressentir à son égard. Il avait essayé de lui en parler, car jamais il n'avait voulu d'une telle situation avec son petit frère. Mais il avait tout de suite constaté que l'étroitesse d'esprit d'Alphonse ne lui permettrait aucun terrain d'entente.
Alors Alphonse n'avait fait qu'accélérer leur chute, leur chute qui était inévitable que les parents de Kaz soient au courant ou non de leur histoire.
Lorsqu'il se fut suffisamment éloigné, Kaz recula d'un pas, se rendant soudainement compte de la proximité de leur corps, et de cette situation gênante dans laquelle il venait de mettre May. Il la regarda, plein d'appréhension. Il s'attendait à se faire traité de tous les noms.
Mais il avait eu peur qu'Alphonse les voit tous les deux ensemble et qu'il aille raconter n'importe quoi à leur père. Alors Kaz réalisa son égoïsme d'infliger cela à May. C'était bien la preuve irréfutable que la situation entre eux ne pourrait pas s'améliorer. Qu'il n'était définitivement pas prêt à défier sa famille, et encore moins son père. « Je suis désolé May, excuse moi... je suis vraiment un con...» Il recula encore d'un pas. « L'offre de me jeter un maléfice tient toujours. »
✻✻✻
Ça lui pince le cœur, mais le monstre de jalousie semble s'être calmé lorsqu'elle mentionne Tristan. Il se raisonne, et il commence à accepter, ou tout du moins, à tolérer. « Mais si, vas-y, je peux encaisser. Lâche toi, c'est tellement mérité ! » Il rit aussi et se détend enfin. Et il continue, la mettant presque au défi de céder à cette tentation. « Même pas un petit Ridiculus ? Tu t'es jamais demandée à quoi je ressemblerais transformé en elfe de maison ? » Il lui adresse son petit sourire malicieux assorti d'un joli clin d'œil.
Et puis il fait une moue faussement vexée quand elle le compare à un troll des cachots, mais il ne peut maintenir cet air qu'un sourire se dessine à nouveau sur ses lèvres. Cela lui fait tellement de bien de retrouver l'espace d'un instant une complicité avec la jolie May. Il s'apprête à lui répondre quand elle lui assène un coup de coude. Et là, Kaz le comédien prend le relai, comme il a su toujours si bien (ou pas) le faire. « Wow, qu'elle force ! » Il se plie en deux pour ajouter un peu de drama à la scène. Mais il ne peut retenir un rire de se glisser entre ses phrases. «C'est vraiment dommage que tu ne puisses pas monter sur un balai, tu aurais fait fureur avec une batte face aux cognards. » Il en rajoute, il s'en amuse. Car elle est là sa vraie nature. Il n'est pas de ceux qui se lamentent, qui se plaignent et se désolent pendant des heures. Non, il est de ces personnes qui se servent de l'humour et d'un sourire pour désamorcer des situations compliquées.
Et puis il se calme et redevient plus sérieux. Non, il ne pouvait pas effacer la peine de la demoiselle d'un coup de baguette. Elle commence à s'éloigner et lui voudrait la retenir, trouver n'importe quoi pour prolonger ce moment qu'il a l'impression de voler. Il reste silencieux à se demander pourquoi la vie était-elle ainsi faite ? C'était ainsi que devait se terminer leur histoire à la Shakespeare ?
Et soudain, au loin, venant du château, il reconnaît une tête brune accompagné d'autres sorciers qui avance sur le chemin menant au terrain de Quidditch. Kaz écarquille les yeux, et il réagit plus qu'il n'agit. May ne peut pas voir mais avant qu'elle n'ait vu ou dit quoi que ce soit, Kaz a attrapé son bras et l'attire vers lui pour se planquer dans les escaliers qui mènent au gradin. Là,à l'abri des regards derrière la palissade en bois, il ne dit plus un mot, il retient même son souffle. Il se tient figé devant May, silencieux, aux aguets. Il a même placé son doigt devant sa bouche pour intimer la discrétion à la demoiselle.
Les secondes s'égrènent et Kaz entend les pas du petit groupe se rapprocher.
« Alors Al, t'as réussi le devoir de métamorphose ? Je crois bien que c'était le plus dur depuis le début de l'année ! » On entend un rire moqueur s'élever dans les airs alors que le petit groupe longe la palissade qui cache les deux anciens camarades. Et soudain Kaz pense à sa baguette qu'il a abandonné dans l'herbe. Il prie merlin qu'ils ne la voient pas mais qu'ils ne marchent pas dessus non plus... « Tu parles, c'était de la rigolade ! Y'a que toi pour te foirer là dessus ! » Le rire s'amplifie et semble être gagné par d'autres étudiants de ce petit groupe. La mine de Kaz semble se fermer d'un coup. Il s'agissait bien de son petit frère en compagnie de quelques uns de ses camarades. ILes deux frères ont toujours eu du mal à s'entendre, tous deux ayant des perceptions et des façons d'agir si différentes. Quand Kaz ne prenait pas pour argent comptant le jugement de ses parents sur les nés-moldus et sang-mêlés, Alphonse lui avait tout absorbé telle une parfaite éponge. Ainsi il était même devenu l'un de ces crétins de sang-pur aux idées arriérées aux yeux de son frère aîné. Kaz avait vite compris que c'était peine perdu pour espérer une quelconque ouverture d'esprit de la part du jeune Blackwell. Mais il n'avait pas vu venir sa trahison quelques années plus tôt quand il était allé trouver leur père pour lui parler de la relation qu'entretenait Kaz et May. Il n'avait fait que mettre le feu aux poudres mais depuis, Kaz avait bien compris qu'il devait s'en méfier comme la peste. Il n'avait pas bien mesuré jusqu'à ce moment là le ressentiment qu'Alphonse pouvait ressentir à son égard. Il avait essayé de lui en parler, car jamais il n'avait voulu d'une telle situation avec son petit frère. Mais il avait tout de suite constaté que l'étroitesse d'esprit d'Alphonse ne lui permettrait aucun terrain d'entente.
Alors Alphonse n'avait fait qu'accélérer leur chute, leur chute qui était inévitable que les parents de Kaz soient au courant ou non de leur histoire.
Lorsqu'il se fut suffisamment éloigné, Kaz recula d'un pas, se rendant soudainement compte de la proximité de leur corps, et de cette situation gênante dans laquelle il venait de mettre May. Il la regarda, plein d'appréhension. Il s'attendait à se faire traité de tous les noms.
Mais il avait eu peur qu'Alphonse les voit tous les deux ensemble et qu'il aille raconter n'importe quoi à leur père. Alors Kaz réalisa son égoïsme d'infliger cela à May. C'était bien la preuve irréfutable que la situation entre eux ne pourrait pas s'améliorer. Qu'il n'était définitivement pas prêt à défier sa famille, et encore moins son père. « Je suis désolé May, excuse moi... je suis vraiment un con...» Il recula encore d'un pas. « L'offre de me jeter un maléfice tient toujours. »
CODES LITTLE WOLF.
INFOS
FICHE DE PERSO
La tristesse de ces derniers mois était en train de disparaître, ce n'est pas comme avec Tristan, c'est différent mais tout aussi agréable de passer un bon moment avec Kaz. Tu ne devrais pas te faire de films non plus, tu sais très bien qu'il n'y a plus d'avenir entre vous, même que la possibilité de devenir amis est lointaine. Un fantasme stupide. Parce que tu es et restera à jamais une sang-mêlée, que ses parents n'aiment pas, tu as cette image d'eux d'être des pro sang-purs et ça te brise le cœur. Tu sais que tu as besoin de lui dans ta vie mais ce serait égoïste de lui demander de faire un choix, ne souhaitant pas le séparer de sa famille juste pour un caprice.
L'imaginer en elfe de maison te fait encore rire, tu aimerais le voir sous cette forme, déguisé de façon ridicule, mais ça te donnerait peut-être envie de le faire très souvent.
« C'est vrai que ça t'irait bien mais j'y prendrais peut-être goût de te lancer ce sort, et comme tu... ne comptes pas rester indéfiniment ici, je ne préfère pas. » tu lâches un soupir, tu allais te rapprocher de lui quand il se fige, ne comprenant pas tu regardes là où son regard s'est perdu.
Ah.
Lui. Le petit frère qui a tout balancé, t'en es persuadée. C'est à lui que tu voudrais lancer un ridikulus, sauf que Kaz ne te laisse pas le temps de réagir, tandis que tu t'apprêtais à prendre ta baguette, te voilà sous les gradins avec lui.
Un rapprochement auquel tu n'étais pas prête.
Encore moins quand ça te remémore justement votre premier baiser, là, à cet endroit.
« Qu... » tu n'arrives plus à réfléchir, à formuler une phrase, tu t'sens rougir et ce n'est pas agréable. Le cœur qui tambourine dans ta poitrine.
Son doigt sur tes lèvres, son torse contre toi, t'es toute aussi figée que lui, perturbée, c'est injuste il n'a pas le droit de t'infliger ça.
Puis il s'éloigne enfin, te laissant plantée là, confuse, ton regard cherchant des réponses dans le sien, mais tu as compris que c'est réellement fini entre lui et toi.
« C'est rien. Je vois que tu as toujours peur que ton frère nous voit ensemble... j'aurais dû m'en douter, tu n'as pas changé. » ce sont des larmes qui coulent, ton cœur est toujours brisé et ce ne sera pas lui qui pourra recoller les morceaux.
INFOS
FICHE DE PERSO
✻✻ Non il n'avait pas changé, pas encore. Il en était au même point. Mais peut-être que c'était de cet échange qu'il avait besoin pour pouvoir évoluer. Il l'a perdue, définitivement. Il est temps de l'accepter. C'est peut-être maintenant qu'il va commencer à se tourner vers son avenir. Il hoche la tête, acceptant son sort. Mais il n'est plus triste. Il comprend. Cette histoire appartient au passé, il est temps de l'y laisser. Tel était leur destin.
Il refait un pas vers elle pour venir prendre sa main. Il la regarde un instant, pour encrer son visage dans sa mémoire. De son pouce, il effleure sa paume. Et il plonge ses yeux dans le regard de la demoiselle. « Tu es mon meilleur souvenir de mes années ici. » Et pris dans son élan, il se penche vers elle et vient déposer un baiser sur la joue de la sorcière. Il en profite pour souffler quelques mots à son oreille. « Je vais partir mais je ne veux pas t'abandonner. » Quand il se redresse il lui adresse un sourire mêlant douceur et tristesse. « Je serais là chaque fois que tu en auras le besoin. » Il ne veut pas commettre deux fois la même erreur et ce n'était pas une fausse promesse. Il savait que la jeune fille avait besoin de temps, qu'ils devaient chacun se retrouver seuls pour pouvoir envisager de redonner une place dans leur vie à l'autre. Mais Kaz voulait s'assurer que la demoiselle avait conscience qu'il ne voulait pas la supprimer de sa vie. Il avait tenté de le faire pendant une année et ça avait été une grossière erreur. Il ne pouvait effacer celle qui avait trôné dans ses pensées avec autant de facilité.
Il se faisait tard, Kaz n'avait pas vu les minutes passer et il était l'heure pour les étudiants d'aller dîner. Il savait bien que la demoiselle était attendue par ses amies. « Je te souhaite d'être heureuse May. »
Et puis il la regarda partir. Une vague de nostalgie souffla sur sa mémoire. Quelle belle histoire ils avaient eu, quel dommage qu'il ait tout gâché ainsi. Il était certain que dans un univers parallèle, sans malédiction, il aurait vécu tellement heureux avec elle. Comme il était dur de laisser s'envoler son premier amour.
Kaz soupira, rassemblant ses esprits. Il attrapa sa baguette toujours dissimulée dans les touffes d'herbe et prit à son tour la direction du château. Il espérait que ce n'était fini, qu'ils pourraient réussir à l'avenir à devenir peut-être amis ? Il savait qu'il n'effacerait jamais l'importance qu'elle avait eu à ses yeux. Mais certainement qu'il leur faudrait du temps, beaucoup, de la patience, encore plus, pour espérer trouver un lien qui ne les fasses pas souffrir.
Ce soir-là, quand Kaz se coucha, il eut l'impression qu'un poids s'était enlevé dans sa poitrine. Qu'il allait enfin pouvoir aller de l'avant.
✻✻✻
Il refait un pas vers elle pour venir prendre sa main. Il la regarde un instant, pour encrer son visage dans sa mémoire. De son pouce, il effleure sa paume. Et il plonge ses yeux dans le regard de la demoiselle. « Tu es mon meilleur souvenir de mes années ici. » Et pris dans son élan, il se penche vers elle et vient déposer un baiser sur la joue de la sorcière. Il en profite pour souffler quelques mots à son oreille. « Je vais partir mais je ne veux pas t'abandonner. » Quand il se redresse il lui adresse un sourire mêlant douceur et tristesse. « Je serais là chaque fois que tu en auras le besoin. » Il ne veut pas commettre deux fois la même erreur et ce n'était pas une fausse promesse. Il savait que la jeune fille avait besoin de temps, qu'ils devaient chacun se retrouver seuls pour pouvoir envisager de redonner une place dans leur vie à l'autre. Mais Kaz voulait s'assurer que la demoiselle avait conscience qu'il ne voulait pas la supprimer de sa vie. Il avait tenté de le faire pendant une année et ça avait été une grossière erreur. Il ne pouvait effacer celle qui avait trôné dans ses pensées avec autant de facilité.
Il se faisait tard, Kaz n'avait pas vu les minutes passer et il était l'heure pour les étudiants d'aller dîner. Il savait bien que la demoiselle était attendue par ses amies. « Je te souhaite d'être heureuse May. »
Et puis il la regarda partir. Une vague de nostalgie souffla sur sa mémoire. Quelle belle histoire ils avaient eu, quel dommage qu'il ait tout gâché ainsi. Il était certain que dans un univers parallèle, sans malédiction, il aurait vécu tellement heureux avec elle. Comme il était dur de laisser s'envoler son premier amour.
Kaz soupira, rassemblant ses esprits. Il attrapa sa baguette toujours dissimulée dans les touffes d'herbe et prit à son tour la direction du château. Il espérait que ce n'était fini, qu'ils pourraient réussir à l'avenir à devenir peut-être amis ? Il savait qu'il n'effacerait jamais l'importance qu'elle avait eu à ses yeux. Mais certainement qu'il leur faudrait du temps, beaucoup, de la patience, encore plus, pour espérer trouver un lien qui ne les fasses pas souffrir.
Ce soir-là, quand Kaz se coucha, il eut l'impression qu'un poids s'était enlevé dans sa poitrine. Qu'il allait enfin pouvoir aller de l'avant.
CODES LITTLE WOLF.
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