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The Sound Of You
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INFOS
Messages : 290
Faceclaim : Naomi Scott
Sang : mêlé
Particularités : nope
Profession : joueuse de quidditch pro
Côté Cœur : en couple avec @"Fergus Clearwater"
Multis : Maeve, Sheraz, Ana, Urielle
FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
Situation actuelle:
Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
Maturité Magique (MM):
(44/100)
Education Magique (EM):
(60/100)
Potentiel Magique (PM):
(40/100)
Rigueur Magique (RM):
(30/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
(0/0)
Inventaire:
Dossier du Ministère
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The Sound Of You
??? Août 2023
Light Boxes Aisle
Club de Vacances All-Inclusive
Grâcieusement mis à dispo par
la Ligue de Quidditch de Grande Bretagne & d'Irlande
Elle avait réussi à tenir sa langue suffisamment longtemps. Après quatre heures et vingt-cinq minutes à courir entre l'accueil de Ste Mangouste et celui du Bureau des Aurors (si si il y en avait un, ce n'est pas faire honneur à Georgie, la vieille hôtesse percluse de rhumatisme, que d'oser prétendre le contraire), elle avait obtenu le précieux sésame qui stipulait que l'auror Clearwater était inapte pour trois semaines. Elle n'aurait rien trouvé de réjouissant là dedans si ça n'avait pas signifier, 3 semaines ensemble. Cette colloc' courte durée serait aussi, sans doute, une petite épreuve pour le jeune couple.
Sans qu'elle y puisse rien, le vent marin vint les cueillir sur l'aire de transplanage. Elle lui avait bandé les yeux pour ne pas lui gâcher la surprise qui n'en était pas totalement une. En vérité, il savait très bien que la Ligue avait réservé des logements dans un des villages de vacances de Tinworth. L'idée d'être au bord de la mer était toujours sympa, celle des voisins de tous poils peut-être moins. Perséphone s'était bien gardée de lui parler de l'adorable rangée de petites maisonnettes, bien séparées les unes des autres, du lit queen-size et de tout le reste. C'était là que se jouerait la surprise.
Plus guillerette qu'à l'accoutumée, elle le prit par la main et le guida sur le petit chemin bordée d'herbe de la pampa. Quand on était de l'autre côté de la bute de sable, les plumeaux pelucheux de ces plantes faisaient complètement disparaître le village. Elle prit la petite pente vers l'avant plage, adressant un salut chaleureux à ses voisins, deux joueurs connus pour leur revers de batte et leur physique d'Apollon (mais ça Fergus s'en rendrait compte plus tard...).
« On y est, je te libère. », fit-elle en dénouant d'un coup de baguette le tissu qui lui avait bandé les yeux depuis l'aire de transplanage à cinq minutes à pied de là où il se trouvait.
D'un côté, une longue bande de sable blanc s'étendait, piquée de petites blanche maisonnettes en bois qui se dressaient sur leurs pilotis comme les échassiers leviossant que l'on entendait grisoller au loin. De l'autre, l'océan à perte de vue, quelques vacanciers qui s'ébattaient dans l'eau ou sur des petits bateaux.
« Sympa hein ? Et attends de voir à l'intérieur... »
Rien de bien fou si ce n'était ce lit impressionnant de par la taille mais tout était extrêmement fonctionnel au vu du petit appartement. Il y avait une petite table, juste ce qu'il faut pour deux. Un canapé assez grand pour un invité surprise. Une minuscule bibliothèque. Une salle d'eau évidemment. La décoration était assez neutre si on faisait abstraction des rideaux à la fenêtre du coin cuisine et d'un étrange tableau qui représentait - peut-être ? - un jeu de lumière sur le fond marin.
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- Michelle Obama -
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Vous avez été là depuis le début et vous avez contribué à la Bêta Test. Merci pour tout !
Ministère
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Côté Cœur : Fiancé
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FICHE DE PERSO
Dossier du Ministère
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Dé utilisé: Dé Habile (70%)
Maturité Magique (MM):
(32/50)
Education Magique (EM):
(50/100)
Potentiel Magique (PM):
(65/100)
Rigueur Magique (RM):
(80/100)
Expérience Magique (XM):
(70/100)
Témoins de l'Histoire:
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Inventaire:
Dossier du Ministère
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Dé utilisé: Dé Habile (70%)
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Education Magique (EM):
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Témoins de l'Histoire:
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Inventaire:
Même si j’étais en convalescence, j’étais Auror au Ministère de la Magie, et donc j’avais encore mon réseau de source et de renseignement. Perséphone m’avait préparé une « surprise » pour mon anniversaire, et, sans aucun remords ni regrets, je m’étais bien évidemment renseigné sur l’endroit précis où j’allais. Les clubs payaient des logements aux joueurs professionnels pour l’été. Je le savais car j’avais enquêté ici l’année dernière sur un réseau de marchandise lié à la magie noire. C’était des petites cabanes sympathiques, des vrais petites prisons dorés, qui permettaient aux clubs de garder un œil sur leurs protégés sans qu’ils s’en aperçoivent réellement.
« Tu m’emmènes où ? » dis-je avec un petit ricanement.
Je savais très bien où on allait, mais je ne voulais pas gâcher la surprise à Perséphone. Le sable sous mes pieds et l’odeur de vent marin me donna totalement raison. Si elle savait… J’avais grandi au bord de la mer, dans le plus bel endroit du monde, et la crique de Thétys n’avait absolument rien à voir en terme de beauté à côté de la côte Ecossaise. De toute façon, il n’y avait pas plus beau pays que le miens. Quand elle m’enleva le bandeau, mes yeux durent s’adapter à la lumière.
« C’est très joli. »
Les mains sur les hanches, j’eus l’air d’un débile l’espace d’un instant. J’observais plusieurs choses. D’abord la cabane, qui avait vraiment l’air sympathique, et largement suffisant pour deux personnes. De l’extérieur, mes yeux se portèrent sur la toute petite kitchinette qui nous servirait de cuisine. Un regard critique passa dans mes yeux, car je savais que pour cuisiner, ce genre de chose c’était assez galère. Puis, je fronçais les sourcils en voyant d’autres athlétes courir sur la plage ou faire divers exercices. Les filles étaient bien musclé, et… également les garçons. Mes yeux se plissèrent un peu, mais je me gardais de dire ce que je pensais réellement. C’était de la gonflette tout ça. Ca n’avait rien à voir avec mon corps tonique et sec, parfait pour le métier d’Auror… Pourquoi je pensais à ça ?
« Mais à défaut de te décevoir, ça ne vaut pas réellement les Hébrides ! Au moins, mon père ne pourra pas me balancer du haut d’une falaise ici, puisque c’est plat, et… Qu’il n’est pas là. »
Je me mis à ricaner, sur le ton de la blague pour ne pas faire fuir Perséphone, car ce n’était pas vraiment une blague cette histoire de falaise.
« C’est parfait pour ma convalescence. Un grand lit pour bien dormir, le strict minimum, un cadre idéal et surtout un petit nid à partagé avec une superbe… Ca va me changer de mon appartement et de ma sœur qui crie tout le temps que je fais trop de bruit pendant qu’elle révise ou que je rentre trop tard ahah ! »
Je regardais quand même autour de moi, au cas où Lucy soit dans les parages et m’est entendu. Ouf, elle n’était pas là. J’étais un peu soulagé. Parce que c’était le genre de remarque que je pouvais regretter pendant plus d’une semaine.
« C’est la Ligue qui finance ça… Hm… C’est bourré de jeunes personnes, est-ce qu’ils sont surveillés pour pas trop faire la fête ? Et ya pas un règlement sur le port des t-shirts ? Je veux dire, les maillots de bain c’est cool à la plage mais si on doit aller faire les courses et que tout le monde est torse nu ou en maillot… Ca m’écoeur vite. »
Oui, j’étais… très pudique. Et je n’aimais pas montrer mon corps hormis aux personnes autorisés. J’étais d’ailleurs en t-shirt, les bras croisés, la mine un peu ronchonne de voir des gens partir vers le village sans t-shirt ou sans short. C’était la débandade, et la porte ouverte à n’importe quelle tenue cette histoire.
« On commence par quoi ? Oh, je sais... »
Je me dirigeais vers Perséphone, avec un regard pétillant de malice. Je savais très bien ce qu’on allait faire, et on allait commencer par ça maintenant qu’on était loin de tous les regards de Ste Mangouste.
« On va terminé ce que j’avais prévu qu’on fasse à Ste Mangouste, accrochez vous Miss Fogg, on va voir ce lit Queen S... »
Je m’étais penché pour la porter. Normalement, je n’aurai eu aucun mal à la porter et à l’amener dans le lit malgré son poids d’athlète. Mais, avec ma blessure et mon incapacité physique, je la décollais seulement à moitié, perdait totalement l’équilibre et roulait avec elle dans le sable devant la maison dans un gémissement sourd. Sur le dos, à côté d’elle, je marmonnais :
« On va attendre qu’il fasse nuit et on va faire ça ici, sans que je bouge. On est super bien ici de toute façon. » dis-je avec sarcasme.
« Tu m’emmènes où ? » dis-je avec un petit ricanement.
Je savais très bien où on allait, mais je ne voulais pas gâcher la surprise à Perséphone. Le sable sous mes pieds et l’odeur de vent marin me donna totalement raison. Si elle savait… J’avais grandi au bord de la mer, dans le plus bel endroit du monde, et la crique de Thétys n’avait absolument rien à voir en terme de beauté à côté de la côte Ecossaise. De toute façon, il n’y avait pas plus beau pays que le miens. Quand elle m’enleva le bandeau, mes yeux durent s’adapter à la lumière.
« C’est très joli. »
Les mains sur les hanches, j’eus l’air d’un débile l’espace d’un instant. J’observais plusieurs choses. D’abord la cabane, qui avait vraiment l’air sympathique, et largement suffisant pour deux personnes. De l’extérieur, mes yeux se portèrent sur la toute petite kitchinette qui nous servirait de cuisine. Un regard critique passa dans mes yeux, car je savais que pour cuisiner, ce genre de chose c’était assez galère. Puis, je fronçais les sourcils en voyant d’autres athlétes courir sur la plage ou faire divers exercices. Les filles étaient bien musclé, et… également les garçons. Mes yeux se plissèrent un peu, mais je me gardais de dire ce que je pensais réellement. C’était de la gonflette tout ça. Ca n’avait rien à voir avec mon corps tonique et sec, parfait pour le métier d’Auror… Pourquoi je pensais à ça ?
« Mais à défaut de te décevoir, ça ne vaut pas réellement les Hébrides ! Au moins, mon père ne pourra pas me balancer du haut d’une falaise ici, puisque c’est plat, et… Qu’il n’est pas là. »
Je me mis à ricaner, sur le ton de la blague pour ne pas faire fuir Perséphone, car ce n’était pas vraiment une blague cette histoire de falaise.
« C’est parfait pour ma convalescence. Un grand lit pour bien dormir, le strict minimum, un cadre idéal et surtout un petit nid à partagé avec une superbe… Ca va me changer de mon appartement et de ma sœur qui crie tout le temps que je fais trop de bruit pendant qu’elle révise ou que je rentre trop tard ahah ! »
Je regardais quand même autour de moi, au cas où Lucy soit dans les parages et m’est entendu. Ouf, elle n’était pas là. J’étais un peu soulagé. Parce que c’était le genre de remarque que je pouvais regretter pendant plus d’une semaine.
« C’est la Ligue qui finance ça… Hm… C’est bourré de jeunes personnes, est-ce qu’ils sont surveillés pour pas trop faire la fête ? Et ya pas un règlement sur le port des t-shirts ? Je veux dire, les maillots de bain c’est cool à la plage mais si on doit aller faire les courses et que tout le monde est torse nu ou en maillot… Ca m’écoeur vite. »
Oui, j’étais… très pudique. Et je n’aimais pas montrer mon corps hormis aux personnes autorisés. J’étais d’ailleurs en t-shirt, les bras croisés, la mine un peu ronchonne de voir des gens partir vers le village sans t-shirt ou sans short. C’était la débandade, et la porte ouverte à n’importe quelle tenue cette histoire.
« On commence par quoi ? Oh, je sais... »
Je me dirigeais vers Perséphone, avec un regard pétillant de malice. Je savais très bien ce qu’on allait faire, et on allait commencer par ça maintenant qu’on était loin de tous les regards de Ste Mangouste.
« On va terminé ce que j’avais prévu qu’on fasse à Ste Mangouste, accrochez vous Miss Fogg, on va voir ce lit Queen S... »
Je m’étais penché pour la porter. Normalement, je n’aurai eu aucun mal à la porter et à l’amener dans le lit malgré son poids d’athlète. Mais, avec ma blessure et mon incapacité physique, je la décollais seulement à moitié, perdait totalement l’équilibre et roulait avec elle dans le sable devant la maison dans un gémissement sourd. Sur le dos, à côté d’elle, je marmonnais :
« On va attendre qu’il fasse nuit et on va faire ça ici, sans que je bouge. On est super bien ici de toute façon. » dis-je avec sarcasme.
Même si le coq ne chantait pas, l'Auror viendrait.
A little story.
Clearwater
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« Chez moi. Enfin, là où j'habite en ce moment. », répondit-elle très ravie de son idée de lui faire la surprise. Si elle avait su...
Elle n'avait plus de chez elle à proprement parler depuis son retour forcé à Poudlard. Elle n'avait guère vu d'utilité à dilapider son maigre pécule dans un appartement qu'elle n'allait habiter que cinq semaines par an. C'était dommage quelque part. Elle adorait son ancien appartement. Enfin, ça n'était pas le sujet.
Rien qu'au ton de son c'est très joli, Perséphone aurait pu dire qu'il y avait quelque chose. Fronçant les sourcils, incrédule, elle attendit de voir et comme Fergus savait si bien le faire, il ne tarda pas à mettre les pieds dans le plat, ne pointant que des choses qui n'allaient pas ou qui n'étaient pas "assez".
« Ahem... je sens qu'elles vont être longues ces trois semaines Fergus. », fit-elle d'un ton moqueur. « Oh allez arrête ton char, il est adorable ton père... », du moins l'était il dans l'enceinte de Poudlard.
La jeune femme leva les yeux au ciel, poursuivant son chemin malgré les griefs de son petit ami. Autant dire qu'elle ne comptait en faire aucun cas. Quoiqu'il arrive, elle n'avait pas d'autres "chez elle" à proposer. Il dut probablement le sentir car il finit par convenir que l'endroit se prêtait bien à sa convalescence. On avait sauvé les meubles. Mais c'était sans compter sur le naturel de l'auror.
« Tu vois le mal partout. Personne ne nous surveille, tout le monde fait la fête. Et oui : tout le monde est en maillot de bain parce que... c'est la plaaaaage Fergus. Il va falloir t'y faire parce que les gens vont te rire au nez si tu imagines ne serait-ce qu'une seconde leur faire la morale sur le code vestimentaire. Mh ? »
Ça c'était pas petite moue qu'elle lui faisait toujours juste avant de dire Redescends. Il commençait à le savoir pour le nombre de fois où il s'emballait. Au début, elle se laissa entraîner rebiffant énergiquement contre ses envolées psychorigides mais elle avait vite compris qu'il était plus efficace de ne pas entrer dans ce jeu-là. Il se rendait bien compte tout seul. Du moins jusqu'à présent.
« Hey Fogg ! On sera à la crique à 20h si ça te dit. Y aura Henson et deux boulets. »
Le jeune homme au sourire ravageur, tout muscle dehors, qui venait de lancer cette invite ne s'arrêta même pas, trop pressé qu'il était d'aller faire la fête. Perséphone répondit d'un signe de tête entendu. Elle n'avait absolument aucune intention de se rendre à la crique et à sa décharge, les gars des Boulets de Stokelake étaient lourdingues et bas de plafond.
« Bref. Il va falloir attendre deux ou trois Coupes du Monde pour que je puisse t'emmener dans une Île Déserte Paradisiaque. En attendant, il faudra te contenter de rêver de ma modeste personne. », fit-elle avec un sourire taquin.
Justement, le regard gourmand de Fergus répondait à cette dernière proposition, trop tenté de reprendre là où ils avaient laissé les choses à Ste Mangouste. Elle n'eut pas le temps d'opposer son véto à cette idée que déjà, il s'imaginait la soulever - et il fallait dire qu'en d'autre circonstance, c'aurait été la meilleure façon d'obtenir tout ce qu'il voulait, réenfiler ce costume de chevalier blanc pour lequel elle craquait même en s'étant fait une idée plus réaliste de qui il était vraiment.
« Je crois que tu as mal évalué le rôle du lit Queen Size pour les prochains jours mon cher. Je dormirai sur le canapé pour l'instant. », elle tourna la tête vers lui pour jauger sa réaction à cette annonce. C'était pourtant elle qui poussait au vice habituellement. Si elle avait accepté les conditions raisonnables de Fergus, ça n'avait jamais fait partie de ses habitudes d'attendre trois mois avant de passer le cap. Elle lui prit doucement la main, reportant son regard vers le ciel rêveusement. « Au pire, ça te motivera à guérir plus vite. »
Ils restèrent ainsi un petit moment parce que c'était vrai, ils étaient bien allongés sur le sable puis finalement, elle rompit à nouveau le silence.
« Il va falloir que je m’éclipse faire trois courses à un moment où un autre si on veut pas mourir de faim. Je me charge de la cuisine. Ce sera pas de la grande cuisine, mais je te promets de pas t'empoisonner. C'est déjà ça. »
Elle n'imaginait pas une seconde le faire suivre sa diet de sportive et puis si elle espérait qui reprenne du poil de la bête, il allait falloir l'aider un petit peu.
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Je croisais les bras et je fis une petite mine renfermée. Ca ne me convenait pas. Tous ces corps à moitié nu, le fait qu’elle fasse la cuisine, qu’on dorme dans des lits séparés, qu’elle s’en aille tout de suite faire les courses. Il venait d’y avoir en seulement quelques secondes plusieurs facteurs aggravant que je préférais essayer d’ignorer pour enliser la situation. Aussi, j’inspirai et j’expirai. Mais il y en avait un que je ne pouvais pas laisser passer.
« J’ai grandi sur une île paradisiaque, je pourrai t’y amener si tu veux ! C’est encore plus beau qu’ici, et les gens sont habillés. »
Je désignais la plage de mon avant bras alors que je m’étais relevé. C’était très beau mais… je restais encore assez chauvin. Mais j’essayais de changer. Et il le fallait parce que là, je venais de me rendre compte que j’étais peut être à la fois lourd, et très décevant. Passant ma main dans les cheveux, je déclarai avec un petit sourire engageant.
« Mais s’il te plaît, je veux bien me charger des courses et de la cuisines. Je peux me déplacer et faire quelques trucs, je suis juste exempté d’exercices physiques. Me laisse pas sans rien faire sinon je vais devenir fou. »
Je regardais les autres encore partir vers la crique, tous en maillot de bain, ou torse nu. Ca commençait à m’énerver. Finalement, dans un geste rapide, j’enlevais moi aussi mon t-shirt, prouvant que malgré mon âge et le fait que je n’étais pas un sportif de haut niveau, moi aussi j’avais du potentiel. Je me rendais d’ailleurs compte que, depuis que je connaissais Perséphone, c’était la première fois qu’elle devait me voir torse nu.
« Tu vois ? Je peux me détendre et essayer ! Quoi ? Je sais, ça vaut pas du matériel de compétition… Mais c’est garantir sans produits dopant ou musculation inutile. Que du travail de fond ! »
Je fis bouger mes pectoraux devant elle. Un couple de fille passa alors. Je m’empressais de remettre mon t-shirt devant le regard insistant qu’elle m’avait lancé, le visage écarlate, je me renfermais alors, le vent passant dans mes cheveux me donnant un air vraiment grognon.
Finalement, je revins dans le sable à côté d’elle. Je n’arrivais déjà pas à tenir en place… Je regardais discrètement la petite cabane d’un œil sinistre… Je savais que j’allais devoir passer du temps seul là dedans et ça m’effrayait un peu, surtout que je n’avais apporté aucun livre. M’allongeant à côté d’elle, je regardais l’océan.
« De l’eau du sable et encore de l’eau... »
Je me tournais vers Perséphone et j’éclatais de rire au vu de sa tête.
« Ca va je le fais exprès ! C’est bon ! C’est très bien Persy. Et crois moi, ça me touche beaucoup que tu te sois démené comme ça, j’avais perdu l’habitude... »
Je marquais un temps d’arrêt, puis je penchais la tête pour l’embrasser.
« D’avoir une petite amie. »
Je posais mes lèvres sur les siennes et l’envie remonta d’un coup. Je me redressais comme électrisé par une force invisible et ma plaie me fit un mal de chien. Je fis une horrible grimace en mettant ma main sur mon ventre.
« Ca va pas être facile. Je crois que cette nuit, je vais mettre des charmes de protection et balancer ma baguette pour éviter qu’on s’approche. Parce que, vraiment, ça va pas le faire. T’es beaucoup trop belle, beaucoup trop gentille, beaucoup trop toi. »
Je m’asseyais sur le sable et passait encore une fois ma main dans les cheveux, me mettant du sable dans ses derniers et du coup faisant encore une grimace parce que je détestais ce foutu sable qui se mettait partout.
J’allais me relever, quand soudain, un éclair traversa le ciel, suivi d’un bruit de transplanage. A un mètre de nous, un homme venait d’apparaître, avec un uniforme d’Auror. D’instinct, j’avais mis ma main sur la poitrine de Perséphone pour la mettre derrière moi.
« Est-ce que vous êtes Ferguson Clearwater ? »
L’homme nous regarda, puis regarda ma main. Je l’enlevais immédiatement. Et je fis encore une grimace en entendant mon prénom entier.
« Oui, qu’est ce que vous me voulez ? »
Il tendit la main, et sortit un insigne que je reconnaissais.
« Je me présente, Jason Jackson, Auror du MACUSA. Mais vous pouvez m’appeler Jay. J'ai quelques questions à vous poser. A vous... et à Madame. »
Au mot "Madame" j'avais sursauté.
« J’ai grandi sur une île paradisiaque, je pourrai t’y amener si tu veux ! C’est encore plus beau qu’ici, et les gens sont habillés. »
Je désignais la plage de mon avant bras alors que je m’étais relevé. C’était très beau mais… je restais encore assez chauvin. Mais j’essayais de changer. Et il le fallait parce que là, je venais de me rendre compte que j’étais peut être à la fois lourd, et très décevant. Passant ma main dans les cheveux, je déclarai avec un petit sourire engageant.
« Mais s’il te plaît, je veux bien me charger des courses et de la cuisines. Je peux me déplacer et faire quelques trucs, je suis juste exempté d’exercices physiques. Me laisse pas sans rien faire sinon je vais devenir fou. »
Je regardais les autres encore partir vers la crique, tous en maillot de bain, ou torse nu. Ca commençait à m’énerver. Finalement, dans un geste rapide, j’enlevais moi aussi mon t-shirt, prouvant que malgré mon âge et le fait que je n’étais pas un sportif de haut niveau, moi aussi j’avais du potentiel. Je me rendais d’ailleurs compte que, depuis que je connaissais Perséphone, c’était la première fois qu’elle devait me voir torse nu.
« Tu vois ? Je peux me détendre et essayer ! Quoi ? Je sais, ça vaut pas du matériel de compétition… Mais c’est garantir sans produits dopant ou musculation inutile. Que du travail de fond ! »
Je fis bouger mes pectoraux devant elle. Un couple de fille passa alors. Je m’empressais de remettre mon t-shirt devant le regard insistant qu’elle m’avait lancé, le visage écarlate, je me renfermais alors, le vent passant dans mes cheveux me donnant un air vraiment grognon.
Finalement, je revins dans le sable à côté d’elle. Je n’arrivais déjà pas à tenir en place… Je regardais discrètement la petite cabane d’un œil sinistre… Je savais que j’allais devoir passer du temps seul là dedans et ça m’effrayait un peu, surtout que je n’avais apporté aucun livre. M’allongeant à côté d’elle, je regardais l’océan.
« De l’eau du sable et encore de l’eau... »
Je me tournais vers Perséphone et j’éclatais de rire au vu de sa tête.
« Ca va je le fais exprès ! C’est bon ! C’est très bien Persy. Et crois moi, ça me touche beaucoup que tu te sois démené comme ça, j’avais perdu l’habitude... »
Je marquais un temps d’arrêt, puis je penchais la tête pour l’embrasser.
« D’avoir une petite amie. »
Je posais mes lèvres sur les siennes et l’envie remonta d’un coup. Je me redressais comme électrisé par une force invisible et ma plaie me fit un mal de chien. Je fis une horrible grimace en mettant ma main sur mon ventre.
« Ca va pas être facile. Je crois que cette nuit, je vais mettre des charmes de protection et balancer ma baguette pour éviter qu’on s’approche. Parce que, vraiment, ça va pas le faire. T’es beaucoup trop belle, beaucoup trop gentille, beaucoup trop toi. »
Je m’asseyais sur le sable et passait encore une fois ma main dans les cheveux, me mettant du sable dans ses derniers et du coup faisant encore une grimace parce que je détestais ce foutu sable qui se mettait partout.
J’allais me relever, quand soudain, un éclair traversa le ciel, suivi d’un bruit de transplanage. A un mètre de nous, un homme venait d’apparaître, avec un uniforme d’Auror. D’instinct, j’avais mis ma main sur la poitrine de Perséphone pour la mettre derrière moi.
« Est-ce que vous êtes Ferguson Clearwater ? »
L’homme nous regarda, puis regarda ma main. Je l’enlevais immédiatement. Et je fis encore une grimace en entendant mon prénom entier.
« Oui, qu’est ce que vous me voulez ? »
Il tendit la main, et sortit un insigne que je reconnaissais.
« Je me présente, Jason Jackson, Auror du MACUSA. Mais vous pouvez m’appeler Jay. J'ai quelques questions à vous poser. A vous... et à Madame. »
Au mot "Madame" j'avais sursauté.
Même si le coq ne chantait pas, l'Auror viendrait.
A little story.
Clearwater
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Côté Cœur : en couple avec @"Fergus Clearwater"
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A ce stade de la conversation, Perséphone avait croisé les bras sur sa poitrine. Sa tête légèrement penchée sur le côté et ses lèvres à peine pincées en disait long sur l'amenuisement de ses réserves de patience. Le fait qu'elle s'abstienne de toute réponse à la longue litanie de griefs par anticipation qu'il lui opposait aussi.
« Tu as fini ? », souffla-t-elle à la fin alors qu'elle commençait à se demander ce qui lui avait pris d'accepter cette idée de convalescence. Elle savait pourtant bien comment étaient les aurors... « Fergus, je ne suis pas ta mère, je suis ta- », elle eut un doute. Quel était le terme qu'il avait utilisé un peu plus tôt à Ste Mangouste ? « ta petite amie. Je ne suis pas là pour t'obliger à faire ou pas faire quoi que ce soit. Mais l'inverse est vrai aussi. Je n'avais pas prévu d'avoir du monde alors les placards sont vides ou quasi, plus, je m'imagine pas demander à qui que ce soit de cuisiner le premier soir où je l'invite chez moi même si j'adore qu'on cuisine pour moi et encore plus l'idée de cuisiner à deux. Maintenant si la vue de la plage t'est à ce point insupportable, il fallait prendre l'option kinésiomage. », la soufflante passée, Perséphone ferma les yeux et prit une profonde inspiration, désireuse de chasser la sensation "moutarde au nez", « Bon, on va faire les c- »
La réaction inattendue de Fergus lui coupa le sifflet.
« Mais qu'est-ce que - »
Pour le coup, elle n'aurait pas imaginer que lui souffler dans les bronches allait lui valoir une séance de matage gratuite. Elle fit de son mieux pour ne pas se laisser déconcentrée par la jolie vue qu'il avait à offrir. Elle aurait bien dit que c'était encore mieux que la vue de la plage, mais il ne lui en laissa pas le temps.
« Quoi ?! Mais... Attends, c'est les voisins torses nus qui te mettent dans cet état ? Fergus... », fallait-il vraiment lui dire ce que c'était l'ambiance des vestiaires de Quidditch et à quel point la pudeur pouvait y être chose surfaite ? Non mieux valait ne pas le dire... mais il fallait quand même dire quelque chose. Ses pommettes étirèrent malgré elle un sourire sur ses lèvres quand il se mit à jouer des pectoraux pour capter son attention, « Arrête. », fit-elle amusée juste avant qu'une autre femme lui fit passer le goût de l’exhibitionnisme. Dommage... voilà qu'il en revenait à grommeler contre le paysage... cette fois elle lui adressa un regard pesant mais il désamorça tout de suite : c'était une plaisanterie.
Il croqua un baiser à ses lèvres, achevant de l'acheter totalement. Elle n'avait apparemment aucune résistance à cela et tout en se laissant désarmer, elle se promettait de faire au mieux pour qu'il ne s'aperçoive pas trop de sa faiblesse. C'était suffisant pour rallumer l'étincelle qui les taraudait tous les deux alors ils rompirent le contact, d'un accord commun et silencieux.
« Je t'aurais bien proposé qu'on investisse toutes nos économies dans une épée des Nibelungen1 mais ... je compte bien que ça dure par trop longtemps cette histoire. »
Elle se pencha à nouveau sur ses lèvres, amorçant une nouvelle fois cette étincelle défendue avant de se retirer. Mieux valait rester raisonnables.
La mention de cette fameuse épée des sagas nordiques, enchantée pour préserver la vertu des jeunes gens non mariés, était venue spontanément, révélant un aspect de la personnalité de Perséphone Fogg que Fergus n'avait pas encore eu la chance de côtoyer. Elle adorait lire et choisissait toujours ses ouvrages avec soin, comme on aurait cherché un trésor englouti plutôt que d'aller vers les verroteries plus accessibles que les vagues rejetaient sur la plage. Mais c'était un plaisir qu'elle exerçait généralement dans ses moments de solitude, au même titre que le dessin...
S'ils en avaient eu le temps, elle lui aurait parlé de ces contes anciens qui maniaient la langue avec force arabesques et tournures désuètes, de leur apport à la culture contemporaine et de tout le reste. Mais l'arrivée soudaine d'un auror au ton péremptoire - du moins il en avait tout l'air - coupa court à toute forme de poésie.
Avait-il dit Ferguson ?
Perséphone adressa un regard interrogateur à Ferguson qu'il ne vit pas, comme il était placé devant elle. La mention du MACUSA lui passa tout de suite l'envie de développer sur cette petite découverte. Cela n'augurait rien de bon pour la convalescence de Monsieur Ferguson Clearwater. Mais ça n'était pas tout, apparemment, il voulait lui parler à elle aussi.
Perséphone se releva, chassant le sable qui collait à son jean (tout le monde savait que la tenue idéale pour la plage c'était le maillot de bain et il y avait une raison à ça...).
« Des questions à propos de quoi ? », demanda-t-elle méfiante.
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TW : mention du diable
Je fis une horrible grimace et je blêmis à la mention du nom Nibelhungen. Bien sur je connaissais la légende, car j’avais été éduqué dans la tradition sorcière, et les écossais avaient une longue période d’histoire partagée avec les vikings et donc les pays nordiques. Cependant, c’était plus le nom qui me dérangeait et je me rendais compte que je n’avais jamais fait le rapprochement. Passant ma main sur mon nez d’un air las, j’écoutais l’agent du MACUSA me parler. Je savais très bien ce qu’il était en train de faire, et il fallait bien que je fasse attention à ce que je lui réponde, car je ne voulais pas de problème avec ma hierarchie ( @Nott Tyrfing ). J’étais réputé pour être un Auror consciencieux, qui respectait les lois magiques nationales et internationales.
« C’est vrai que cette épée s’appelle comme ça. T’as fait exprès pour m’agacer ? J’avoue, je suis pas très sympa depuis tout à l’heure… Mais ça c’était un petit coup bas ! »
Je l’avais dit sur le ton de la plaisanterie. J’avais 33 ans, j’avais l’âge de passé outre ce genre de chose, surtout si elle l’avait dit sur le ton de la plaisanterie ou si elle n’avait pas fait exprès. C’est pourquoi, d’aspect, je n’en tenais pas rigueur. En revanche à l’intérieure, le fantôme de mon ex avait ressurgi, et tout ce qui allait avec.
« Vous avez une autorisation d’être sur le territoire Britannique, Agent Jackson ? »
Je m’étais avancé vers lui, et je m’étais volontairement mis entre Perséphone et l’Agent. J’avais un million d’histoires, d’aventures et de missions qui s’étaient commencé comme celle là et avaient mal terminées. Avec un sourire amusé, il sortit deux documents, la première ses papiers d’identité du MACUSA, comme quoi il était bien un Auror Britannique, et le deuxième venait du Congrès International de Sorcellerie. Avec calme, je sortis ma baguette, et je les scannais en deux temps. Une première fois pour vérifier leur authenticité, une deuxième fois pour en faire des copies. Des feuilles violettes apparurent de nul part et s’envolèrent comme des avions en papier à toute vitesse en direction de Londres.
« Ok. Ca me semble correct. Qu’est ce que vous me voulez, et je ne vois pas pourquoi Miss Fogg devrait être présente... »
Il reprit ses papiers, et il fit encore un sourire. Les pliants en quatre, il les plaça dans son sac à dos. Puis il porta sur moi un œil critique.
« Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai également des questions à lui poser, et peut être séparément. »
Je fronçais des sourcils, et je croisais les bras. Ca c’était hors de questions.
« Les questions que vous lui poser concerne aussi la Grande Bretagne, puisque nous sommes sur son territoire, donc j’aimerai bien être présent. »
Il plissa des yeux, et resta un moment de marbre, et finalement, il sortit un dossier, assez gros et l’ouvrit.
« Très bien… En réalité, je désire la voir car je recherche activement un individu qui porte ici le nom de Nobody. Est-ce que cela vous dit quelque chose ? »
Mes bras se décroisèrent pour aller sur mes hanches, preuve en sociologie qu’il avait capté mon attention. C’était le dossier sur lequel je travaillais, d’ailleurs, ironie du sort c’était également grâce à ça qu’on c’était rencontré.
« Oui. Je travaille sur le dossier, je suis en charge de l’enquête. »
Il fit un signe affirmatif de la tête, puis il l’ouvrit :
« D’après mes renseignements, il semblerait que cet individu soit le même que celui qui a perpétré un série de meurtre et d’attentat aux Etats Unis Magique. Il utilise le même mode de fonctionnement. De la magie noire et ancienne, accouplé à de la magie runique des pays scandinave. En général, il enchante des Inferi pour les faire exploser en Feudeymon, c’est un individu très dangereux. »
Tout cela je le savais. Je me tournais vers Perséphone. C’était un hasard qu’elle m’est parlé de l’épée des Nibelhungen quelques instants plus tôt ? Mes sourcils se froncèrent, mais je me gardais de taire l’information.
« De manière générale, il n’a pas de plan établi à l’avance et il ne fonctionne jamais de la même manière. C’est un individu isolé, très intelligent, pour lequel nos services n’arrivent jamais à anticiper la moindre de ses actions. Et quand un acte arrive, il est trop tard et il ne laisse absolument rien derrière lui. Ni trace magique, ni trace physique. »
Il nous montra plusieurs photos et rapport du MACUSA. Sur la première, on voyait une église moldue ravagée par les flammes avec des cadavres jonchant le sol. Sur la deuxième, un individu pendu par les pieds qui souriait, mais mort, et sur la troisième, plusieurs notes de service.
« Je ne vois toujours pas le rapport avec Perséphone. »
Il rangea les documents et il fronça alors les sourcils. Visiblement, il savait quelque chose dont je n’étais pas au courant.
« C’est rassurant que vous soyez là avec elle pour qu’elle l’entende. »
Je me tendis légèrement et je recroisais les bras.
« Aux USA, Nobody se fait surnommé... »
Il fit une grimace horrible et commença à s’énerver. Quelque chose de très gros semblait coincé dans sa gorge. Il se mit alors à jurer dans une langue qui devait être de l’hébreux.
« Samaël. »
Je notais l’information, qui pour le moment ne me servait à rien. En revanche, le nom me disait quelque chose, j’avais déjà entendu parlé de ce nom, c’était le nom primaire du diable, Archange avant qu’il ne soit déchu. Et je savais que les juifs n’avaient pas le droit de le prononcé, aussi j’en compris surtout un peu plus sur les origines de notre compagnon.
« Ne m’obligez pas à le répéter, vraiment. Donc cet individu a procédé de la même manière qu’il le fait ici. Avant d’être aux USA, il est passé par le Canada et par l’Autriche. Certains rapports auxquels j’ai eu accès montre également le même mode de fonctionnement, chaque fois avec un nom différent. »
« Je ne vois toujours pas le rapport. Et pourquoi c’est rassurant ?»
Il se mit à ricaner.
« Le rapport ? La semaine dernière, j’ai compris quelque chose d’important. A chaque fois, un descendant de la famille de Barnabas Fogg était présent sur les lieux du crimes. »
Il sortit une série de photographies, avec plusieurs individus possédant toutes les éthnies, et souvent métissés. Certains avec les même yeux que Perséphone, d’autres la même mâchoire, ou le même nez. L’une d’entre elle ressemblait tellement à s’y méprendre à Perséphone que je dus me pencher pour vérifier que ce n’était pas elle.
« Hector Fogg au Colorado, Tobias McFinn en Pennsylvanie, Violette Wood en Ontario, Kristine Wittlesbach au Burgenland. »
C’était Kristine qui ressemblait le plus à Perséphone. Je pris le portrait animé et je le plaçais à côté d’elle. Un petit rire s’échappa de mes lèvres, mais au vu de la tête que faisait Perséphone, je m’arrêtais immédiatement.
« Donc, je voulais savoir plusieurs choses, et Ferguson peut rester nous écouter ça ne me dérange pas de travailler en toute transparence avec vous. »
« C’est Fergus. Appelez moi Fergus. »
Je serrais un peu les dents en disant cela.
« Bref, j’aimerai savoir quand vous avez vu votre père pour la dernière fois ? Est-ce que vous connaissez toutes ces personnes ? Et surtout, est-ce que vous avez connaissance de quelqu’un qui pourrait nuire à votre famille ? »
Nuire à votre famille. A cette mention, mes yeux se plissèrent et un élan d’émotions m’envahit. On voulait du mal aux proches de Perséphone, et à elle même. Comme on avait voulu éliminer les miens il y a peu. Une compassion infinie m’envahit, mais aussi une volonté de fer. Je n’allais pas la lâcher d’une semelle c’était certain et il était hors de question que cela continue.
« Est-ce que vous êtes déjà aller aux USA, au Canada ou en Autriche et aussi, est-ce que le nom… d’origine de Lucifer vous dit quelque chose ? Bref, tout élément peut faire avancé grandement l’enquête Miss Fogg. »
J’avais remarqué qu’il n’avait pas reprononcé le nom de Samaël. J’essayais de me remémorer ce que je savais à son sujet. Je savais que depuis la nuit des temps, on personnifiait nos maux dans cet individu. Je savais qu’à l’origine, il faisait parti des 7 archanges de qui on appelait communément Dieu. C’était à l’origine le plus pur, et le favori de ce dernier. Mais il l’avait défié et il avait été déchu. Passant ma main dans mes cheveux, j’essayais de voir un quelconque rapport avec Nobody. Pourquoi avait-il changé de pseudonyme ? Et… Qu’est ce que la famille Fogg avait avoir avec ça...
« C’est vrai que cette épée s’appelle comme ça. T’as fait exprès pour m’agacer ? J’avoue, je suis pas très sympa depuis tout à l’heure… Mais ça c’était un petit coup bas ! »
Je l’avais dit sur le ton de la plaisanterie. J’avais 33 ans, j’avais l’âge de passé outre ce genre de chose, surtout si elle l’avait dit sur le ton de la plaisanterie ou si elle n’avait pas fait exprès. C’est pourquoi, d’aspect, je n’en tenais pas rigueur. En revanche à l’intérieure, le fantôme de mon ex avait ressurgi, et tout ce qui allait avec.
« Vous avez une autorisation d’être sur le territoire Britannique, Agent Jackson ? »
Je m’étais avancé vers lui, et je m’étais volontairement mis entre Perséphone et l’Agent. J’avais un million d’histoires, d’aventures et de missions qui s’étaient commencé comme celle là et avaient mal terminées. Avec un sourire amusé, il sortit deux documents, la première ses papiers d’identité du MACUSA, comme quoi il était bien un Auror Britannique, et le deuxième venait du Congrès International de Sorcellerie. Avec calme, je sortis ma baguette, et je les scannais en deux temps. Une première fois pour vérifier leur authenticité, une deuxième fois pour en faire des copies. Des feuilles violettes apparurent de nul part et s’envolèrent comme des avions en papier à toute vitesse en direction de Londres.
« Ok. Ca me semble correct. Qu’est ce que vous me voulez, et je ne vois pas pourquoi Miss Fogg devrait être présente... »
Il reprit ses papiers, et il fit encore un sourire. Les pliants en quatre, il les plaça dans son sac à dos. Puis il porta sur moi un œil critique.
« Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai également des questions à lui poser, et peut être séparément. »
Je fronçais des sourcils, et je croisais les bras. Ca c’était hors de questions.
« Les questions que vous lui poser concerne aussi la Grande Bretagne, puisque nous sommes sur son territoire, donc j’aimerai bien être présent. »
Il plissa des yeux, et resta un moment de marbre, et finalement, il sortit un dossier, assez gros et l’ouvrit.
« Très bien… En réalité, je désire la voir car je recherche activement un individu qui porte ici le nom de Nobody. Est-ce que cela vous dit quelque chose ? »
Mes bras se décroisèrent pour aller sur mes hanches, preuve en sociologie qu’il avait capté mon attention. C’était le dossier sur lequel je travaillais, d’ailleurs, ironie du sort c’était également grâce à ça qu’on c’était rencontré.
« Oui. Je travaille sur le dossier, je suis en charge de l’enquête. »
Il fit un signe affirmatif de la tête, puis il l’ouvrit :
« D’après mes renseignements, il semblerait que cet individu soit le même que celui qui a perpétré un série de meurtre et d’attentat aux Etats Unis Magique. Il utilise le même mode de fonctionnement. De la magie noire et ancienne, accouplé à de la magie runique des pays scandinave. En général, il enchante des Inferi pour les faire exploser en Feudeymon, c’est un individu très dangereux. »
Tout cela je le savais. Je me tournais vers Perséphone. C’était un hasard qu’elle m’est parlé de l’épée des Nibelhungen quelques instants plus tôt ? Mes sourcils se froncèrent, mais je me gardais de taire l’information.
« De manière générale, il n’a pas de plan établi à l’avance et il ne fonctionne jamais de la même manière. C’est un individu isolé, très intelligent, pour lequel nos services n’arrivent jamais à anticiper la moindre de ses actions. Et quand un acte arrive, il est trop tard et il ne laisse absolument rien derrière lui. Ni trace magique, ni trace physique. »
Il nous montra plusieurs photos et rapport du MACUSA. Sur la première, on voyait une église moldue ravagée par les flammes avec des cadavres jonchant le sol. Sur la deuxième, un individu pendu par les pieds qui souriait, mais mort, et sur la troisième, plusieurs notes de service.
« Je ne vois toujours pas le rapport avec Perséphone. »
Il rangea les documents et il fronça alors les sourcils. Visiblement, il savait quelque chose dont je n’étais pas au courant.
« C’est rassurant que vous soyez là avec elle pour qu’elle l’entende. »
Je me tendis légèrement et je recroisais les bras.
« Aux USA, Nobody se fait surnommé... »
Il fit une grimace horrible et commença à s’énerver. Quelque chose de très gros semblait coincé dans sa gorge. Il se mit alors à jurer dans une langue qui devait être de l’hébreux.
« Samaël. »
Je notais l’information, qui pour le moment ne me servait à rien. En revanche, le nom me disait quelque chose, j’avais déjà entendu parlé de ce nom, c’était le nom primaire du diable, Archange avant qu’il ne soit déchu. Et je savais que les juifs n’avaient pas le droit de le prononcé, aussi j’en compris surtout un peu plus sur les origines de notre compagnon.
« Ne m’obligez pas à le répéter, vraiment. Donc cet individu a procédé de la même manière qu’il le fait ici. Avant d’être aux USA, il est passé par le Canada et par l’Autriche. Certains rapports auxquels j’ai eu accès montre également le même mode de fonctionnement, chaque fois avec un nom différent. »
« Je ne vois toujours pas le rapport. Et pourquoi c’est rassurant ?»
Il se mit à ricaner.
« Le rapport ? La semaine dernière, j’ai compris quelque chose d’important. A chaque fois, un descendant de la famille de Barnabas Fogg était présent sur les lieux du crimes. »
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« Hector Fogg au Colorado, Tobias McFinn en Pennsylvanie, Violette Wood en Ontario, Kristine Wittlesbach au Burgenland. »
C’était Kristine qui ressemblait le plus à Perséphone. Je pris le portrait animé et je le plaçais à côté d’elle. Un petit rire s’échappa de mes lèvres, mais au vu de la tête que faisait Perséphone, je m’arrêtais immédiatement.
« Donc, je voulais savoir plusieurs choses, et Ferguson peut rester nous écouter ça ne me dérange pas de travailler en toute transparence avec vous. »
« C’est Fergus. Appelez moi Fergus. »
Je serrais un peu les dents en disant cela.
« Bref, j’aimerai savoir quand vous avez vu votre père pour la dernière fois ? Est-ce que vous connaissez toutes ces personnes ? Et surtout, est-ce que vous avez connaissance de quelqu’un qui pourrait nuire à votre famille ? »
Nuire à votre famille. A cette mention, mes yeux se plissèrent et un élan d’émotions m’envahit. On voulait du mal aux proches de Perséphone, et à elle même. Comme on avait voulu éliminer les miens il y a peu. Une compassion infinie m’envahit, mais aussi une volonté de fer. Je n’allais pas la lâcher d’une semelle c’était certain et il était hors de question que cela continue.
« Est-ce que vous êtes déjà aller aux USA, au Canada ou en Autriche et aussi, est-ce que le nom… d’origine de Lucifer vous dit quelque chose ? Bref, tout élément peut faire avancé grandement l’enquête Miss Fogg. »
J’avais remarqué qu’il n’avait pas reprononcé le nom de Samaël. J’essayais de me remémorer ce que je savais à son sujet. Je savais que depuis la nuit des temps, on personnifiait nos maux dans cet individu. Je savais qu’à l’origine, il faisait parti des 7 archanges de qui on appelait communément Dieu. C’était à l’origine le plus pur, et le favori de ce dernier. Mais il l’avait défié et il avait été déchu. Passant ma main dans mes cheveux, j’essayais de voir un quelconque rapport avec Nobody. Pourquoi avait-il changé de pseudonyme ? Et… Qu’est ce que la famille Fogg avait avoir avec ça...
Même si le coq ne chantait pas, l'Auror viendrait.
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Elle fronça ostensiblement les sourcils. Qu'allait-il chercher encore ? Dans trente secondes allait-il lui sortir un problème avec les sagas nordiques ? Perséphone perdait patience, ne sachant plus que dire pour désamorcer. Quant à se souvenir du nom qui agaçait tant Fergus - Nibelungen - ça n'était pas ce qu'elle avait retenu de leur dernier échange en tant que couple devant les journalistes. Elle, s'était arrêtée à et que devient votre ex, c'était largement suffisant pour retenir toute son attention.
Ce fut là-dessus qu'un nouvel arrivant débarqua de nulle part, coupant court à tout nouveau départ de feu. Ça n'était probablement que partie remise mais sur l'instant, l'inconnu avait rebattu les cartes suffisamment bien pour lui faire oublier ce qu'il s'était passé avant.
Méfiante, Perséphone laissa Fergus faire ce qu'il savait le mieux faire, observant un peu en retrait en se demandant en quoi elle pourrait bien être utile à l'américain. L'idée d'être interrogée séparément ne la rassura en rien mais elle fit bonne figure. Elle n'avait rien à se reprocher à sa connaissance mais Fergus ne l'entendait pas de cette oreille. Contrairement à lui, la mention de Mr Nobody ne lui évoquait pas grand chose. La description de ses exploits en revanche, ne manqua pas de lui rappeler des souvenirs. Allait-il lui aussi l'accuser d'être une grande mage noire ?
Perséphone croisa les bras sur sa poitrine signe qu'elle n'était plus si disposée à cette conversation. Mais elle ne bougea pas une oreille, forte de l'idée qu'au moins sa mère ne la laisserait pas coffrer sur des on-dit.
Fergus et elle échangèrent un regard tandis que l'homme poursuivait. Elle adressa aux preuves documentées un regard assez distant. Le souvenir des inféris au stade l'avait refroidie, tuant dans l'oeuf toute forme de curiosité malsaine. Elle laissait cela à Fergus. D'ailleurs, elle n'était même pas certaine qu'elle était censée poser les yeux sur ça.
« Je veux bien admettre que je ne suis pas très loquasse mais je suis toujours là. », finit-elle par relever comme les deux aurors parlaient de l'heureux hasard de sa présence. L'annonce de Jackson ne présageait rien de bon. Qu'avait-elle à entendre qui mérita la présence de Fergus. Ou Ferguson apparemment.
La mention de Samaël, quoi qu'elle la ramena à certaines de ses lectures, la laissa de marbre. Elle ne put s'empêcher de relever que l'auror avait prononcé ce nom avec réticence. Sans doute le fait d'une injonction culturelle.
A nouveau, Fergus recentra les faits sur Perséphone. Lui non plus ne faisait pas le lien.
Jackson eut un petit rire puis il lâcha cette petite merveille. Le coeur de Perséphone ne fit qu'un bond dans sa poitrine. Ses pensées se tournèrent immédiatement vers ses frères Matthias et Eugène, les plus susceptibles d'avoir voyagé récemment et pourtant, non, il n'y avait aucune chance qu'ils aient mis les pieds dans ces pays tout récemment. Elle le savait bien. Elle fut tentée un instant de croire à de la famille éloignée, ultime tentative de se voiler la face avant que Jay Jackson ne lui agite sous le nez les preuves de l'incommensurable faute de son père.
Les noms lui passèrent dessus comme autant de rappel de son insignifiance. Son sang ne fit qu'un tour mais elle fit au mieux pour ne pas se donner en spectacle. Sa mâchoire au contour parfait se crispa, tout autant que ses doigts, mais elle ne dit d'abord rien. Elle eut en revanche du mal à adresser le moindre regard aux visages qui avaient tant en commun avec le sien. Cela se vit forcément. C'était à tel point qu'à un moment elle détourna complètement le visage, portant son regard sur l'océan qui tout à coup lui paraissait aussi fade et quelconque que l'avait décrit Fergus.on.
Elle entendit tout de même les questions de Jackson. Cela lui tira un petit rire amer et étouffé.
« Je n'ai pas eu de nouvelles de mon père depuis mai. Il va et vient sans se soucier de la moindre attache alors j'ai bien peur de ne vous être d'aucune espèce d'utilité. », elle força un sourire sur ses lèvres comme elle confrontait l'américain du regard.
« Quant à ces personnes... », elle eut un haussement d'épaule fugace, qui en disait long sur ce qu'elle pensait. Perséphone Fogg aimait sincèrement son père et comme à chaque fois, il trouvait le moyen de le lui rendre au pis. De fouler au pied cet amour démesuré sans cesse déçu par ses comportements volages et son indifférence crasse. Quant à s'imaginer que quelqu'un puisse lui en vouloir... « Je ne sais pas agent Jackson. Au hasard : n'importe laquelle de ces personnes ou des gourdes qui ont eu la bêtise de s'imaginer que le mariage était la garantie d'une forme d'engagement. »
On ne pouvait pas faire plus clair ni plus amer.
« Je suis désolée, je n'aime pas parler de la vie dissolue de mon père et jusqu'à présent, j'estimais qu'être la seule fille d'une fratrie de cinq, quatre épouses différentes, c'était sans doute suffisant à son palmarès. Comme quoi, les gourdes, on peut en pondre une gourde tous les quatre matins. »
A ce titre là, que quelqu'un puisse lui vouloir sciemment du mal à elle, devenait anecdotique. Jamais personne ne lui ferait autant de mal que Barnabas Fogg et ses sourires bienveillants et ses absences insultantes. Il lui faudrait probablement un petit moment pour redescendre.
« J'ai beaucoup voyagé ces deux dernières années alors oui, USA, Canada, Autriche... je peux vous fournir la liste de tous mes déplacements. », cette partie de la conversation, Fergus l'avait déjà entendue dans sa salle d'interrogatoire du bureau des aurors, « Je ne suis pas très au fait de mon héritage tsigane mais si vous pensez qu'il faut chercher un lien, je commencerais de ce côté là. Enfin, si vous parvenez à trouver un contact. »
Il était évident qu'elle ne lui donnerait pas le seul contact auquel elle pensait, @Aram Romanez . Leur père avait tant et si bien fait que c'était à peu près tout ce qu'ils connaissaient de leurs origines.
« Le jour de l'incendie du stade, à aucun moment je ne me suis dit que tout ça aurait pu être dirigé contre moi. Je veux dire, tout à cramer, absolument tout... »
Son regard chercha un instant celui de Fergus, avant de se poser sur ses pieds. Il allait lui falloir un peu de temps pour digérer tout ça.
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Maturité Magique (MM):
(32/50)
Education Magique (EM):
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Potentiel Magique (PM):
(65/100)
Rigueur Magique (RM):
(80/100)
Expérience Magique (XM):
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Témoins de l'Histoire:
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J’avais toujours les bras croisés. Pour moi, c’était le boulot, la routine j’étais habitué. Mais là, ça touchait personnellement Perséphone et je remarquais que tout cela l’affectait beaucoup. Sans rien dire, je la laissais terminé, et j’essayais avec professionnalisme de remonter le puzzle étrange auquel nous avions affaire. L’agent Jackson quand à lui sorti un espèce d’appareil ressemblant à un vieux Walkman pour enregistrer la déposition de Perséphone. Je soupirais, parce qu’on en était qu’au début et visiblement ça la perturbait beaucoup.
« Je suis désolé, Agent Jackson, mais je suis en congé maladie. Je ne peux pas vous aider aujourd’hui. »
J’avais tout coupé, et mis un court à toute autre forme d’interrogatoire, parce que même si cela avait l’air informel, s’en était un. Avec une patience et un calme olympien, qui faisait ma réputation dans le service, je déclarai :
« Le Bureau des Aurors Britannique voudra certainement une copie de la déposition de Madame Fogg. Quand j’irai mieux, je reprendrais très certainement cette enquête. »
Il me regarda, passa ses yeux sur Perséphone, puis moi, puis son Walkman. Sans un mot de plus, il le rangea et continua :
« Je comprends, Clearwater. Merci Miss Fogg, j’aurai certainement besoin de vous interroger à nouveau, en présence d’un confrère anglais. Même si aucune des victimes n’a encore touché un proche de la famille de Barnabas Fogg, les éléments de l’enquête montrent qu’ils sont ciblés, c’est pourquoi un service d’ordre devra être ins... »
Je levais la main, et je souriais.
« Je vais m’en occuper, elle ne craint rien avec moi. »
Il hocha la tête, signe que visiblement il me faisait confiance. Il commença à faire demi-tour, mais au dernier moment il se ravisa. Me pointant avec une feuille qui constituait un élément de son dossier, il reprit :
« Je vais aller à Londres, mais gardez à l’esprit que ce personnage n’est pas à prendre à la légère. Il a réussi à mettre en déroute 3 Nations magiques. »
« Et bien espérons que la Grande-Bretagne soit son dernier lieu de résidence. »
Je lui fis un léger clin d’oeil, parce qu’il était quand même sympathique. Nous saluant à l’américaine en levant la main, il fit demi-tour, et transplana. A l’instant même où il avait disparu, je décroisais les bras et je me tournais vers Perséphone pour la prendre en haut des bras, au niveau des épaules.
« Ca va ? » dis-je simplement.
J’étais inquiet et ça se voyait sur mon visage. Toute cette conversation… Ca avait du faire remonter pas mal de souvenir et surtout pas mal de chose sur son père. Visiblement, elle ne le portait pas dans son coeur.
« Viens, rentrons à l’intérieur. »
Ce n’était pas un ordre, mais ça stipulait quand même que j’avais des choses à lui dire en lieu sûr. Je l’entrainais donc avec moi, la prenant avec douceur par la main. Une fois à l’intérieur, je sortis ma baguette, et je marmonnais diverses incantations. Salveo Malefica, Protego Totalum, Protego Horribilis… Des petites éclats rouges et or sortirent de ma baguette ainsi qu’une vive lumière bleutée. Au dehors, le bruit de la mer disparut, au profit du bourdonnement magique des enchantements de protection. Une fois à l’intérieur, je commençais à marmonner d’autres incantations, comme Revelio, et d’autres sorts pouvant révéler des enchantements ou objets magiques. Pour finir, j’inspectais manuellement, en grimaçant à chaque fois que je me couchais au sol ou que je me baissais, l’intérieur du bingalo.
« Tout est ok. Je suis désolé de t’imposer ça, mais je préfère être prudent. »
J’avais beaucoup perdu l’année dernière à cause de ma négligence et je ne voulais pas que l’histoire se répète. Pourquoi tous ceux qui m’étaient proches étaient affectés… Je laissais cette sombre pensée derrière moi et je cherchais les mots pour réconforter Perséphone.
« Je pense que tu ne crains rien, car s’il avait voulu éliminer des membres de ta famille, il l’aurait fait. »
C’était des inconnus mais… Ils partageaient le même sang.
« Tu as parlé de la communauté Tsigane Magique tout à l’heure. Tu penses que ça peut avoir un rapport ? »
Personnellement j’en doutais car ça ne leur ressemblait pas. Ils avaient un respect des morts, ce qui ne semblait pas être le cas de notre brebis gâleuse.
« Je sais pas quoi te dire… J’ai bien vu que ça t’avais affecté. Ecoute. »
Je m’étais rapproché d’elle et j’avais passé la main dans les cheveux, pour essayer de la rassurer :
« Chez nous, on dit que la famille n’a rien à voir avec le sang. La maison, c’est là où est la famille. Et la famille, c’est ceux qui sont importants pour nous. Ca s’arrête là. On devrait quand même prévenir ton frère. »
Je n’en connaissais qu’un mais il devait être mis au courant.
« Je vais quand même vérifier que t’es pas une mage noire... »
Je lui fis un petit clin d’oeil espiège, puis je passais mes mains sur son corps. Avec un petit sourire malin, je finissais par dire :
« Y’a rien à déclarer… Mais qui me dit que tu caches pas quelque chose sous ton t-shirt ! »
J’essayais de détendre un peu l’atmosphère. Tant pis. J’allais y aller, au diable ma douleur et les recommandations médicales.
« Je suis désolé, Agent Jackson, mais je suis en congé maladie. Je ne peux pas vous aider aujourd’hui. »
J’avais tout coupé, et mis un court à toute autre forme d’interrogatoire, parce que même si cela avait l’air informel, s’en était un. Avec une patience et un calme olympien, qui faisait ma réputation dans le service, je déclarai :
« Le Bureau des Aurors Britannique voudra certainement une copie de la déposition de Madame Fogg. Quand j’irai mieux, je reprendrais très certainement cette enquête. »
Il me regarda, passa ses yeux sur Perséphone, puis moi, puis son Walkman. Sans un mot de plus, il le rangea et continua :
« Je comprends, Clearwater. Merci Miss Fogg, j’aurai certainement besoin de vous interroger à nouveau, en présence d’un confrère anglais. Même si aucune des victimes n’a encore touché un proche de la famille de Barnabas Fogg, les éléments de l’enquête montrent qu’ils sont ciblés, c’est pourquoi un service d’ordre devra être ins... »
Je levais la main, et je souriais.
« Je vais m’en occuper, elle ne craint rien avec moi. »
Il hocha la tête, signe que visiblement il me faisait confiance. Il commença à faire demi-tour, mais au dernier moment il se ravisa. Me pointant avec une feuille qui constituait un élément de son dossier, il reprit :
« Je vais aller à Londres, mais gardez à l’esprit que ce personnage n’est pas à prendre à la légère. Il a réussi à mettre en déroute 3 Nations magiques. »
« Et bien espérons que la Grande-Bretagne soit son dernier lieu de résidence. »
Je lui fis un léger clin d’oeil, parce qu’il était quand même sympathique. Nous saluant à l’américaine en levant la main, il fit demi-tour, et transplana. A l’instant même où il avait disparu, je décroisais les bras et je me tournais vers Perséphone pour la prendre en haut des bras, au niveau des épaules.
« Ca va ? » dis-je simplement.
J’étais inquiet et ça se voyait sur mon visage. Toute cette conversation… Ca avait du faire remonter pas mal de souvenir et surtout pas mal de chose sur son père. Visiblement, elle ne le portait pas dans son coeur.
« Viens, rentrons à l’intérieur. »
Ce n’était pas un ordre, mais ça stipulait quand même que j’avais des choses à lui dire en lieu sûr. Je l’entrainais donc avec moi, la prenant avec douceur par la main. Une fois à l’intérieur, je sortis ma baguette, et je marmonnais diverses incantations. Salveo Malefica, Protego Totalum, Protego Horribilis… Des petites éclats rouges et or sortirent de ma baguette ainsi qu’une vive lumière bleutée. Au dehors, le bruit de la mer disparut, au profit du bourdonnement magique des enchantements de protection. Une fois à l’intérieur, je commençais à marmonner d’autres incantations, comme Revelio, et d’autres sorts pouvant révéler des enchantements ou objets magiques. Pour finir, j’inspectais manuellement, en grimaçant à chaque fois que je me couchais au sol ou que je me baissais, l’intérieur du bingalo.
« Tout est ok. Je suis désolé de t’imposer ça, mais je préfère être prudent. »
J’avais beaucoup perdu l’année dernière à cause de ma négligence et je ne voulais pas que l’histoire se répète. Pourquoi tous ceux qui m’étaient proches étaient affectés… Je laissais cette sombre pensée derrière moi et je cherchais les mots pour réconforter Perséphone.
« Je pense que tu ne crains rien, car s’il avait voulu éliminer des membres de ta famille, il l’aurait fait. »
C’était des inconnus mais… Ils partageaient le même sang.
« Tu as parlé de la communauté Tsigane Magique tout à l’heure. Tu penses que ça peut avoir un rapport ? »
Personnellement j’en doutais car ça ne leur ressemblait pas. Ils avaient un respect des morts, ce qui ne semblait pas être le cas de notre brebis gâleuse.
« Je sais pas quoi te dire… J’ai bien vu que ça t’avais affecté. Ecoute. »
Je m’étais rapproché d’elle et j’avais passé la main dans les cheveux, pour essayer de la rassurer :
« Chez nous, on dit que la famille n’a rien à voir avec le sang. La maison, c’est là où est la famille. Et la famille, c’est ceux qui sont importants pour nous. Ca s’arrête là. On devrait quand même prévenir ton frère. »
Je n’en connaissais qu’un mais il devait être mis au courant.
« Je vais quand même vérifier que t’es pas une mage noire... »
Je lui fis un petit clin d’oeil espiège, puis je passais mes mains sur son corps. Avec un petit sourire malin, je finissais par dire :
« Y’a rien à déclarer… Mais qui me dit que tu caches pas quelque chose sous ton t-shirt ! »
J’essayais de détendre un peu l’atmosphère. Tant pis. J’allais y aller, au diable ma douleur et les recommandations médicales.
Même si le coq ne chantait pas, l'Auror viendrait.
A little story.
Clearwater
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Dé utilisé: Dé Néophyte (40%)
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Education Magique (EM):
(60/100)
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(40/100)
Rigueur Magique (RM):
(30/100)
Expérience Magique (XM):
(40/100)
Témoins de l'Histoire:
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Plus rapidement qu'elle ne l'aurait cru, Fergus se débrouilla de disqualifier l'auror américain. Finalement la convalescence avait du bon et en même temps qu'elle se disait cela, Perséphone Fogg le regrettait intérieurement. C'était affreux quand on y pensait. Bien sûr que non la convalescence n'avait rien de bon. Il aurait mieux valu qu'il soit entier et en bonne santé.
« Bien sûr, je serais ravie d'aider. », ravie était loin d'être le terme mais c'était le moins qu'elle pouvait faire pour montrer qu'elle appréciait sa démarche. Quelque part, c'était dans son intérêt à elle et Jay Jackson ne venait pas de l'épicerie du coin mais bien de l'autre bout du pays. Là encore, Fergus écourta, farouche protecteur.
Finalement, il prit congé, les laissant seuls à nouveau mais ça n'était plus tout à fait la même chose. Enfin, à vrai dire puisqu'ils étaient au bord de la dispute avant de l'arrivée de l'américain, il n'y avait peut-être pas grand chose à regretter. Elle acquiesça à cette drôle de question, ça va ?. Il fallait qu'elle fasse bonne figure quand bien même aucun son ne passa ses lèvres. Parler de son père c'était trop tôt, trop complexe, trop tout. Pourrait-il comprendre ? Elle doutait même parfois que quiconque le puisse. Finalement, ils rentrèrent à l'abri de leur petite maison de plage qui perdit tout son charme lorsque le ressac de l'océan se tut sous la contrainte des sortilèges de protection.
Perséphone s'assit sur le bord du lit, presque sagement, tandis que Fergus mitraillait la pièce à coup de baguette. Il avait activé le mode auror, il n'était plus du tout en convalescence et en le suivant du regard, Perséphone se dit que tout ceci avait probablement été la pire idée qu'ils auraient pu avoir.
Elle répondit à demi mots à ses dernières remarques, encore pensive. Il fallait qu'elle se sorte de cet état d'esprit vite fait bien fait. Fergus allait justement lui donner le prétexte idéal à la conversation.
« Je ne pense pas que l'endaja soit directement impliquée mais il y a beaucoup de choses que moi j'ignore et que ce côté de ma famille doit savoir. Sur le patronyme Samaël et sûrement d'autres choses... »
Elle le dévisagea un instant comme si elle avait eu envie de lui parler de quelque chose mais ses lèvres restèrent scellées. Dans un petit rictus incontrôlé, elle finit par les pincer et baisser le regard sur ses mains, posées sur ses genoux. Il ne lui en fallait pas plus pour percuter même s'il ne touchait que du bout du doigt un truc bien plus énorme qu'il ne pouvait se l'imaginer.
« C'est aussi notre conception de la famille. Quand tu as un père aussi fantoche que le nôtre, tu apprends vite à composer avec ce que tu as. Enfin, la plupart du temps. », elle était probablement celle qui y réussissait le moins bien, se laissant toujours porter par l'innocente envie d'y croire. A bien des égards, elle aurait bien inspirer d'emprunter un peu plus à Matthias ( @Blake Grimm-Nakatani ) pour tout ce qui touchait à leur père, « Mes frères. Je vais leur envoyer un patronus de ce pas. Ce sera plus sûr. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Du long filet d'argent qui s'échappa de sa baguette, un canard à l'allure gracieuse et élancée - presque un canard de conte de fées - pris forme, prêtant l'oreille au petit résumée que Perséphone lui dictait avant de s'envoler à tire d'ailes, traversant le mur avant de disparaître.
« Il faut s'attendre à ce qu'ils répondent dans l'instant. », fit-elle par anticipation. A l'inverse de Barnabas Fogg, ses frères répondaient toujours présents. Quant à sa mère, elle ne manquerait pas de se précipiter ici si elle lui envoyait un patronus aussi, Perséphone espérait bien tenir jusqu'au moins le lendemain matin. « Je suis désolée, c'est pas du tout ce que j'avais en tête en t'amenant ici... », convint-elle à regret.
A nouveau elle le détailla du regard. Que devait-il ressentir à l'idée de se rejouer ce genre de situations ? Elle ne faisait pas vraiment de comparaison, trop peu au fait de ce qu'il s'était réellement passé avec cette ex petite amie morte pas morte, mais elle n'avait pas de mal à imaginer qu'il ne fermerait probablement pas l'oeil de la nuit. Du moins pas sans aide.
Là-dessus, il lui prit de vouloir détendre un peu l'atmosphère, sous le faux prétexte de faire son travail d'auror.
« Ttttt, si tu crois que je te vois pas venir avec tes bottes de sept lieux. Je vais exercer mon droit de retrait Monsieur l'auror. Et me fait pas ses yeux de povrebine, avec un peu de chance dans quelques jours tu pourras de nouveau soulever des montagnes et... bref. »
Oui bref... ces quelques jours allaient être une agonie. Dire qu'une minute avant elle s'imaginer tout de même partager le même lit, en tout bien tout honneur. C'était une idée d'une naïveté ridicule... mais quand on y réfléchissait bien, il ne pouvait s'en prendre qu'à lui même et ses envies de prendre leur temps. Sans cela, le petit bungalow de Tinworth n'aurait pas renfermé tant de frustration...
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Je l’avais écouté sans rien dire, et lâché doucement, un peu boudeur. Je soupirai finalement, rendant les armes. De toute manière ma blessure m’avait épuisé et je méritais bien trois ou quatre heures de sommeil. Après, il faudrait que je travaille un petit peu. Mais… Juste du travail administratif. Mes yeux se posèrent alors sur Perséphone, et je répondais tout simplement :
« Laisse faire, je ne veux plus te tourmenter avec cette histoire. Faut pas que je mélange travail et vie personnelle. Ne t’inquiète pas, je m’occupe de tout, tu peux dormir sur tes deux oreilles. »
Finalement, je me dirigeais vers le lit et d’un coup de baguette, je me mis en pyjama. Soit… Un t-shirt et un short des Prides. Me rendant compte de mon accoutrement, je me mis à ricaner sur l’ironie de la situation. Me mettant sur le lit, je l’invitais à venir à côté de moi. Avec un sourire calme, mais serein étonnement au vu de la situation, je tapotais à côté de moi pour lui indiquer de venir.
« Tu sais, on peut dormir ensemble, on est pas obligé d’agir comme deux colocs. »
Je lui fis un petit clin d’oeil, puis je regardais devant moi. Avec un petit sourire, je cherchais mes mots. J’avais beaucoup de chose à lui dire en réalité, mais d’abord je devais l’apaiser sur la situation. Remettant mes lunettes et lisant un des dossiers violets du Ministère que j’avais dans mon sac depuis le début, je commençais calmement :
« Tu sais, tu n’y es pour rien dans les erreurs de ton père. Je ne sais pas trop la relation que tu as avec lui mais visiblement c’est pas la joie. Si tu veux m’en parler, tu peux sans problème. »
Je marquais une pause, tournant enfin ma tête vers lui. Mes yeux se posèrent dans les siens et je poursuivais, attendant en réalité la venue des patronus de ses frères. J’étais quand même curieux de ce qu’ils avaient à dire, et surtout ce qu’ils en pensaient. Je devais faire durer un peu la conversation.
« Mais tu as agi avec sagesse, finalement, je commence à croire que je suis pas en couple avec toi que pour tes beaux yeux et ton corps d’athlète. »
Je m’étais mis à ricaner. Au même moment, un Loup argenté (Eugène) traversa le mur à son tour. Il sembla flairer tout autour de nous. Ses yeux se posèrent sur moi, puis sur Perséphone. Avec un accent français, il déclara :
« Je suis en France, mais je rentre demain pour en savoir un peu plus. De mon côté, il n’y a rien à signaler. Soit prudente Persy. »
Et il disparut. C’était bref, comme si le message était pressé, mais au moins il avait le mérite d’être clair, précis et concis. J’observais le mur et je posais mon livre, me tournant alors vers Perséphone en fronçant les sourcils :
« Y’en a combien qui vont arriver ? »
Non, parce qu’au vu du nombre que je connaissais et du nombre que l’Américain avait cité, ça allai être la fête du Patronus ce bingalow. Justement, celui de Perséphone m’avait marqué. Et beaucoup de questions allaient venir avec. Moi aussi, il y a quelques temps, j’avais un patronus en forme de Canard. Mais, au départ de Solvi il avait changé pour reprendre la forme qu’il avait lorsque j’étais à Poudlard, à savoir un Renard sauvage. Etait-ce un signe du destin ? Je ne croyais pas au hasard et à ce genre de chose.
« Moi aussi, avant, j’avais un Patronus en forme de Canard. C’est rare tu sais. »
Je lui souriais, d’un petit sourire calme et désolé. La pression était en train de redescendre et le soleil était en train de se coucher. Avec patience, je regardais le mur d’où était entré le patronus en forme de Loup et d’ou était parti le Canard.
« C’était avant. Quand j’étais avec Solvi Nibelhungen. »
Je marquais une pause, lui faisant comprendre pourquoi tout à l’heure j’avais tiqué sur le nom de l’épée.
« On était amoureux, comme j’avais jamais aimé personne. Rien ne pouvait nous séparer, et surtout je n’imaginais pas cela possible. »
Je marquais une pause, puis finalement je déballais mon sac :
« On s’est fiancé, elle est tombé enceinte mais elle a perdu l’enfant lors d’une mission. Ce jour là, beaucoup de chose se sont brisés, et notre couple n’a lui non plus pas survécu. »
J’avais effectivement aussi brisés beaucoup d’os d’Irlandais ce soir là mais ça je me gardais bien de lui dire. Je fixais toujours le mur. Je n’étais plus triste, juste mélancolique, j’avais passé ce stade. Finalement je soupirais et je trouvais la force de poursuivre :
« Et mon patronus a changé. Mais je suis convaincu qu’il redeviendra comme avant. »
Je lui fis un petit clin d’oeil, pour détendre un peu l’ambiance que j’avais vraiment bien plombé ce soir.
« C’est pour ça que j’agis un peu bizarrement, tout ça c’est nouveau. Et je me croyais pas capable d’avancer après ce qui m’était arrivé. Mais… J’ai eu tord de le penser, tout guéri, même le coeur. Bref. Aujourd’hui, je suis heureux avec toi, et même si on se connaît pas depuis longtemps, je suis certains que notre histoire n’est qu’au départ. Je veux pas me projeter, pas penser à demain. Juste… Toi et moi, là. Maintenant. Le reste on s’en balance... »
Je me penchais pour l’embrasser, mais un éclat argenté traversa le mur.
« C’est pas vrai… On est maudit ou quoi ? »
« Laisse faire, je ne veux plus te tourmenter avec cette histoire. Faut pas que je mélange travail et vie personnelle. Ne t’inquiète pas, je m’occupe de tout, tu peux dormir sur tes deux oreilles. »
Finalement, je me dirigeais vers le lit et d’un coup de baguette, je me mis en pyjama. Soit… Un t-shirt et un short des Prides. Me rendant compte de mon accoutrement, je me mis à ricaner sur l’ironie de la situation. Me mettant sur le lit, je l’invitais à venir à côté de moi. Avec un sourire calme, mais serein étonnement au vu de la situation, je tapotais à côté de moi pour lui indiquer de venir.
« Tu sais, on peut dormir ensemble, on est pas obligé d’agir comme deux colocs. »
Je lui fis un petit clin d’oeil, puis je regardais devant moi. Avec un petit sourire, je cherchais mes mots. J’avais beaucoup de chose à lui dire en réalité, mais d’abord je devais l’apaiser sur la situation. Remettant mes lunettes et lisant un des dossiers violets du Ministère que j’avais dans mon sac depuis le début, je commençais calmement :
« Tu sais, tu n’y es pour rien dans les erreurs de ton père. Je ne sais pas trop la relation que tu as avec lui mais visiblement c’est pas la joie. Si tu veux m’en parler, tu peux sans problème. »
Je marquais une pause, tournant enfin ma tête vers lui. Mes yeux se posèrent dans les siens et je poursuivais, attendant en réalité la venue des patronus de ses frères. J’étais quand même curieux de ce qu’ils avaient à dire, et surtout ce qu’ils en pensaient. Je devais faire durer un peu la conversation.
« Mais tu as agi avec sagesse, finalement, je commence à croire que je suis pas en couple avec toi que pour tes beaux yeux et ton corps d’athlète. »
Je m’étais mis à ricaner. Au même moment, un Loup argenté (Eugène) traversa le mur à son tour. Il sembla flairer tout autour de nous. Ses yeux se posèrent sur moi, puis sur Perséphone. Avec un accent français, il déclara :
« Je suis en France, mais je rentre demain pour en savoir un peu plus. De mon côté, il n’y a rien à signaler. Soit prudente Persy. »
Et il disparut. C’était bref, comme si le message était pressé, mais au moins il avait le mérite d’être clair, précis et concis. J’observais le mur et je posais mon livre, me tournant alors vers Perséphone en fronçant les sourcils :
« Y’en a combien qui vont arriver ? »
Non, parce qu’au vu du nombre que je connaissais et du nombre que l’Américain avait cité, ça allai être la fête du Patronus ce bingalow. Justement, celui de Perséphone m’avait marqué. Et beaucoup de questions allaient venir avec. Moi aussi, il y a quelques temps, j’avais un patronus en forme de Canard. Mais, au départ de Solvi il avait changé pour reprendre la forme qu’il avait lorsque j’étais à Poudlard, à savoir un Renard sauvage. Etait-ce un signe du destin ? Je ne croyais pas au hasard et à ce genre de chose.
« Moi aussi, avant, j’avais un Patronus en forme de Canard. C’est rare tu sais. »
Je lui souriais, d’un petit sourire calme et désolé. La pression était en train de redescendre et le soleil était en train de se coucher. Avec patience, je regardais le mur d’où était entré le patronus en forme de Loup et d’ou était parti le Canard.
« C’était avant. Quand j’étais avec Solvi Nibelhungen. »
Je marquais une pause, lui faisant comprendre pourquoi tout à l’heure j’avais tiqué sur le nom de l’épée.
« On était amoureux, comme j’avais jamais aimé personne. Rien ne pouvait nous séparer, et surtout je n’imaginais pas cela possible. »
Je marquais une pause, puis finalement je déballais mon sac :
« On s’est fiancé, elle est tombé enceinte mais elle a perdu l’enfant lors d’une mission. Ce jour là, beaucoup de chose se sont brisés, et notre couple n’a lui non plus pas survécu. »
J’avais effectivement aussi brisés beaucoup d’os d’Irlandais ce soir là mais ça je me gardais bien de lui dire. Je fixais toujours le mur. Je n’étais plus triste, juste mélancolique, j’avais passé ce stade. Finalement je soupirais et je trouvais la force de poursuivre :
« Et mon patronus a changé. Mais je suis convaincu qu’il redeviendra comme avant. »
Je lui fis un petit clin d’oeil, pour détendre un peu l’ambiance que j’avais vraiment bien plombé ce soir.
« C’est pour ça que j’agis un peu bizarrement, tout ça c’est nouveau. Et je me croyais pas capable d’avancer après ce qui m’était arrivé. Mais… J’ai eu tord de le penser, tout guéri, même le coeur. Bref. Aujourd’hui, je suis heureux avec toi, et même si on se connaît pas depuis longtemps, je suis certains que notre histoire n’est qu’au départ. Je veux pas me projeter, pas penser à demain. Juste… Toi et moi, là. Maintenant. Le reste on s’en balance... »
Je me penchais pour l’embrasser, mais un éclat argenté traversa le mur.
« C’est pas vrai… On est maudit ou quoi ? »
Même si le coq ne chantait pas, l'Auror viendrait.
A little story.
Clearwater
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