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Hatstall
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Hatstallje suis un PNJ La volée de phalènes bifurqua brusquement, suivant le mouvement de sa main. D'un geste gracile, Aphrodite Longerbane guidait la pointe de sa baguette pour séparer le ballet aérien en deux. Une partie des papillons suivant sa main libre, l'autre sa baguette. Bientôt le tout alla s’écraser violemment contre le mur, sans un bruit, sans même laisser la moindre trace. Elle expira profondément. Ce petit exercice ne suffisait pas à chasser l'ennui et le paysage à la fenêtre non plus. Au pied du château, une masse anonyme et continue défilait sans faire attention à elle et c'était bien ainsi. Mais elle caressait parfois l'idée d'y reconnaître une tête de cheveux blonds, dépassant un peu des autres. Son vœu était resté pieu, sans l'ombre d'une âme pour y prêter un peu de magie.
Elle s'apprêtait à retrouver la compagnie des livres, sobrement installée au pied de son lit à quelque distance du petit portrait de sa mère qui la couvait d'un regard bienveillant, quand la porte s'ouvrit.
Elle sursauta comme prise en faute de quelque chose. Dans un petit cliquetis cristallin, sa baguette, magnifique petit rameau transparent comme givre où dansait un cheveu blond de lune à peine visible, roula aux pieds du Pr Korrigan.
La jeune femme se releva, prompt à se montrer présentable et jouant rapidement de ses doigts, à la manière d'un pianiste, elle ramena le précieux et singulier petit objet à sa main. Un objet bien trop unique pour ne pas attirer l'attention, mais il n'était pas prévu qu'elle quitte de cette chambre pour l'heure alors, ni lui ni elle ne s'était posé la question. Et maintenant qu'elle se tenait face à lui, baguette en main, elle avait comme un mauvais pressentiment...
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Les jours avaient passé. J’avais jonglé entre les tâches administratives et juridiques pour protéger les étudiants. Aussi bien ceux présents la journée du procès que ceux qui étaient rentrés. Le Ministère tapait fort, mais j’arrivais quand même à jongler avec les articles de loi existants. Pour le moment, j’étais imbougeable pour la simple et bonne raison que… j’étais Irlandais. Et que les liens diplomatiques entre les deux pays étaient devenu de plus en plus complexes, alors qu’ils n’étaient déjà pas glorieux. Mon renvoi de Poudlard aurait été la goutte de trop et les instances se seraient activés pour quelque chose de contre productif. Aussi, j’en profitais et je défendais mes usagers, sans pour autant montrer mes réelles pensées et opinions, me contentant d’être neutre à la vu de tous, comme le voulait mon devoir de réserve.
C’était donc encore bien fatigué, que j’avais passé la porte de la Salle sur Demande, le vieux coffret de bois sous un bras et un espèce de tas de chiffon dans l’autre.
Je m’arrêtais à la porte, que je fermais magiquement. Puis, j’observais la jeune femme ainsi que sa baguette.
« Vous mourrez d’ennui... » dis-je comme une évidence.
Avec un soin hors du commun, je déposais le Choixpeau sur le lit. Puis, la boite. Enfin, je me tournais vers Aphrodite les mains libres.
« Mais rassurez vous, votre malheur est bientôt terminé. J’ai terminé l’artefact. Vous allez pouvoir l’essayer. Vous avez réfléchi à un visage ? Et il va vous falloir une autre baguette..» dis-je d’un ton calme.
Je lui avais laissé toute une série de vieux trombinoscope magique de Poudlard qui datait des années 1800. A l’époque les portraits étaient peints, mais ressemblaient déjà à des photographies.
« Le mieux c’est de quand même choisir un élève qui n’a pas le nom d’un sang pur. Ca pourrait éveiller les soupçons. Je pense que pour votre histoire, on va également considéré que vous venez d’Ilvermorny. Ca évite que vous appreniez une autre langue, et personne ne se posera de question. »
J’avais pensé à tout. Avec un calme olympien, je désignais le Choixpeau qui se déplia et se mit à bailler sur le lit. Son regard passa sur moi, puis sur Aphrodite. Enfin, il posa son regard sur la salle et roula des espaces qui lui servaient d’yeux.
« AHAH ! Cette Salle sert toujours aussi bien,
Ma Tête se rappelle des jours passés ici avec entrain…
Ou l’on se délectait des possibilités,
Que pouvait offrir cet nouvelle entité. »
Je l’observais, puis je regardais Aphrodite.
« Ne fais pas attention à lui, il n’est pas méchant. Parfois il parle en vers. Parfois il jure comme un chartier. Parfois il ne dit aucun mot. Et des fois on dirait un enfant. A croire qu’il a les quatre personnalités des fondateurs. Là, je pense que t’es tombé sur le poète. Je te préviens il est assez ch... »
Mais je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il se mit à couiner.
« L’irlandais ferait mieux d’aller se faire cuire le c.. »
« Ca suffit ! Ca suffit... » dis-je comme si je m’adressais à un animal plutôt rebelle.
Le Choixpeau se mit à rire, puis il se tut, obéissant sans broncher à mes ordres. Je me tournais alors vers Aphrodite.
« Il va falloir vous trouver une maison. Pour que l’illusion soit réaliste et surtout pour que vous soyez lié magiquement au château, c’est un passage obligatoire. La dernière étape c’est de falsifier le registre. Mais Stalker ne veut pas me prêter une de ces plumes… Ca devrait le faire... »
J’avais vraiment pensé à tout. Y compris à une inspection. Je parlais toujours vite, comme si je réfléchissais en même temps. Avec calme, je pris le Choixpeau qui me regarda d’un air amusé, comme s’il était content d’avoir été mis dans la confidence. Puis, avec calme et sérénité, je le posais sur le front d’Aphrodite.
« C’est indolore. Et ce qu’il vous ne regarde que vous. » Je n’ai pas à le savoir, c’est la tradition. »
C’était donc encore bien fatigué, que j’avais passé la porte de la Salle sur Demande, le vieux coffret de bois sous un bras et un espèce de tas de chiffon dans l’autre.
Je m’arrêtais à la porte, que je fermais magiquement. Puis, j’observais la jeune femme ainsi que sa baguette.
« Vous mourrez d’ennui... » dis-je comme une évidence.
Avec un soin hors du commun, je déposais le Choixpeau sur le lit. Puis, la boite. Enfin, je me tournais vers Aphrodite les mains libres.
« Mais rassurez vous, votre malheur est bientôt terminé. J’ai terminé l’artefact. Vous allez pouvoir l’essayer. Vous avez réfléchi à un visage ? Et il va vous falloir une autre baguette..» dis-je d’un ton calme.
Je lui avais laissé toute une série de vieux trombinoscope magique de Poudlard qui datait des années 1800. A l’époque les portraits étaient peints, mais ressemblaient déjà à des photographies.
« Le mieux c’est de quand même choisir un élève qui n’a pas le nom d’un sang pur. Ca pourrait éveiller les soupçons. Je pense que pour votre histoire, on va également considéré que vous venez d’Ilvermorny. Ca évite que vous appreniez une autre langue, et personne ne se posera de question. »
J’avais pensé à tout. Avec un calme olympien, je désignais le Choixpeau qui se déplia et se mit à bailler sur le lit. Son regard passa sur moi, puis sur Aphrodite. Enfin, il posa son regard sur la salle et roula des espaces qui lui servaient d’yeux.
« AHAH ! Cette Salle sert toujours aussi bien,
Ma Tête se rappelle des jours passés ici avec entrain…
Ou l’on se délectait des possibilités,
Que pouvait offrir cet nouvelle entité. »
Je l’observais, puis je regardais Aphrodite.
« Ne fais pas attention à lui, il n’est pas méchant. Parfois il parle en vers. Parfois il jure comme un chartier. Parfois il ne dit aucun mot. Et des fois on dirait un enfant. A croire qu’il a les quatre personnalités des fondateurs. Là, je pense que t’es tombé sur le poète. Je te préviens il est assez ch... »
Mais je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il se mit à couiner.
« L’irlandais ferait mieux d’aller se faire cuire le c.. »
« Ca suffit ! Ca suffit... » dis-je comme si je m’adressais à un animal plutôt rebelle.
Le Choixpeau se mit à rire, puis il se tut, obéissant sans broncher à mes ordres. Je me tournais alors vers Aphrodite.
« Il va falloir vous trouver une maison. Pour que l’illusion soit réaliste et surtout pour que vous soyez lié magiquement au château, c’est un passage obligatoire. La dernière étape c’est de falsifier le registre. Mais Stalker ne veut pas me prêter une de ces plumes… Ca devrait le faire... »
J’avais vraiment pensé à tout. Y compris à une inspection. Je parlais toujours vite, comme si je réfléchissais en même temps. Avec calme, je pris le Choixpeau qui me regarda d’un air amusé, comme s’il était content d’avoir été mis dans la confidence. Puis, avec calme et sérénité, je le posais sur le front d’Aphrodite.
« C’est indolore. Et ce qu’il vous ne regarde que vous. » Je n’ai pas à le savoir, c’est la tradition. »
La vie c'est comme une carte de Chocogrenouille.
Amato Animo Animato Animagus
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Hatstallje suis un PNJ Elle répondit d'un doux sourire, presque navré.
« Une occupation saine, à ce qu'on m'a dit. », fit-elle finalement, soucieuse de ne pas être trop prise en pitié. Mais il était trop évident que l'ennui était devenu un compagnon assidu ces temps-ci, autant que les visites du Pr Korrigan était attendu avec une certaine impatience.
Ce jour-là, il ramenait un étrange chiffon avec lui dont la couleur brunâtre alluma une étincelle dans le regarde d'Aphrodite. La jeune femme n'avait jamais étudié à Poudlard mais elle n'avait pas cessé de s'abreuver de petites anecdotes, glanées dans les soirées mondaines auprès des uns et des autres. Elle n'eut aucun mal à reconnaître l'étrange couvre-chef que le Directeur traitait avec tant de soin.
Elle acquiesça comme il lui demandait si elle s'était prêtée au petit jeu qu'il lui avait demandé. Prompte et le pas léger, elle alla chercher le grand almanach de 1804, feuilletant rapidement le tome par enchantement pour retrouver plus vite ce qu'elle cherchait. La pointe de son index s'arrêta sur la photo d'une jeune femme noire au visage poupin. Simone Parker, étudiante de Poufsouffle. Le livre n'en disait pas plus.
« Je ne pense pas qu'elle soit de sang pur. Ce nom ne me dit rien. C'est celle qui me ressemble le moins et en même temps, elle a quelque chose de moi, vous ne trouvez pas ? »
Elle ne savait pas mettre de mots dessus mais c'était exactement ce que lui inspirait cette photo et la raison pour laquelle c'était celle-ci qu'elle avait conservé. Luke Korrigan avait lui aussi réfléchi à la question semblait-il.
« Ilvermorny... », répéta-t-elle, « Vous ne craignez pas que l'arrivée d'une nouvelle étudiante dans le contexte politique actuelle ça ait l'air suspect ? Il faudra que je travaille tout de même mon accent et que j'en apprenne suffisamment sur cette école pour être crédible, sans quoi je serais rapidement prise en défaut. »
Elle réfléchissait tout haut, essayant de s'imaginer la vie d'une étudiante américaine qui aurait eu le visage de Simone Parker...
« Et que nous trouvions un prénom et nom à ce personnage... et une maison n'est-ce pas ? », ajouta-t-elle en voyant qu'il allait maintenant être question du Choixpeau.
Aussitôt l'artefact prit vie sous ses yeux, comme s'il avait attendu d'avoir enfin la parole. Elle nota avec un petit sourire que le Pr Korrigan la tutoyait sans s'en rendre compte mais elle ne s'en offusqua pas. Curieusement, c'était réconfortant. Elle suivit avec une petite mine amusé les échanges de tirs entre le sorcier et le Choixpeau. Justement, comme dans une dernière tentative de le provoquer, le Choixpeau, à peine posé sur la tête d'Aphrodite se mit à crier à tue-tête :
« Serpentaaaaaaaaaaaaaaard !! »
« Je crois qu'il n'est pas au courant pour la tradition. », souffla la demi-fée avec humour.
« L'élégance et la sagesse du serpent, une longue et ancienne lignée baignée dans la magie ancienne, loyauté indéfectible envers les vôtres... »
« Ne craignez vous pas qu'en m'envoyant exactement là où je serais à ma place... »
« Je ne me trompe jaaaamais. »
« Bien entendu. Ce n'est pas ce que je voulais dire. Qu'en pensez vous Pr Korrigan ? Si je suis à Serpentard, avec ceux qui me ressemblent, avec votre fille qui s'est si facilement entendu avec Ares, avec @Xris Andērson ... »
Elle n'avait probablement pas besoin d'en dire plus, il était évident que la mettre auprès des rares personnes ici à l'avoir côtoyée n'était pas une riche idée. Encore moins si c'était pour la rapprocher de la seule personne dont elle ne doutait pas une minute qu'elle ne saurait lui mentir ni qu'il saurait la reconnaître quoi qu'elle fasse.
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Quand le choixpeau se posa sur la tête d’Aphrodite, je fis une légère grimace. Le reprenant, je le fis disparaître d’un coup de baguette magique et je regardais Aphrodite pendant un long silence. Je réfléchissais, à vrai dire à ce qu’elle venait de me dire sur Simone Baker, son physique, mais pas que. Pourquoi les êtres avec du sang magique autre que Sorciers allaient souvent à Serpentard ? Cela semblait être un adage, et cela devenait tellement répété qu’il ne devait pas s’agir d’une coincidence… Une théorie émergea en moi alors que je la regardais. Et si… les sorciers, étaient en réalité tous des hybrides et tiraient leur magie des êtres avec lesquelles ils s’étaient croisés au fil des siècles. Est-ce que Salazar Serpentard avait conjecturé la même chose, et du coup, est ce que c’était la raison pour laquelle ils allaient tous là bas ? Mes bras se croisèrent, et au bout de quelques minutes, je daignais répondre.
« C’est une bonne maison. » dis-je simplement. « Et vous irez là bas. Ma fille est déjà au courant de qui vous êtes. Vu que je ne peux m’assurer de vous à 100 %, et en permanence, j’ai eu pour idée de la mettre au courant. Le fait que vous soyez désormais dans la même Maison me facilite grandement la tâche. Et, malheureusement je ne pourrais pas vous mettre ailleurs, vous êtes lié magiquement à l’Université désormais. Vous êtes une Serpentarde. »
Je lui fis un léger sourire désolé. Elle qui, avait toujours voulu certainement venir à Poudlard, y entrait et dans des circonstances particulièrement triste. Avec un léger sourire, je répondais à ses soupçons qui étaient largement justifiés.
« Ne vous en faites pas pour Ilvermorny. La Directrice est une très vieille amie, et elle me doit une dette. Elle fermera les yeux, sans savoir qui vous êtes réellement. Le transfert sera officiel et il y aura une trace écrite. Ce sont des choses courantes, et même si le niveau de sécurité va augmenté, la Confédération Internationale des Sorciers ne peut exclure la Grande Bretagne des échanges internationaux, y compris les étudiants des différentes Universités et Ecoles. C’est quelque chose de très courant. Et vous êtes assez rusé pour devenir convaincante. »
Je lui fis un léger clin d’oeil en lui tapotant sur l’épaule d’un air confiant. Avec calme, je sortais un parchemin enroulé et je le déployais pour le faire lire à Aphrodite. Il s’agissait d’un exemple du scenario que j’avais imaginé pour elle. Tout était expliqué dans les moindre détails, avec des zones d’ombres laissés exprès. Je lui laissais prendre connaissance du rôle que je comptais qu’elle joue.
« Les zones d’ombres sont là pour que vous ayez la liberté de vous l’approprier. Plus cela vient de vous, plus vous serez convaincante. Certaines choses sont semblables vis à vis de vous, bien que je n’ai pas toutes les informations nécessaires à votre sujet, par exemple votre talent pour la Métamorphose, et d’autres doivent différer. Il faudra maîtrisé parfaitement le rôle avant de sortir. »
Je tapais dans mes mains et Plinx, l’elfe qu’elle avait déjà vu apparu. Une trentaine de parchemin traitant du théâtre et de la sociologie comportementale. Maladroit, il en échappa un bout et fit apparaître un petit pupitre.
« C’est Plinx qui vous formera et qui me dira quand vous serez prête. Il vous expliquera toutes les manœuvres nécessaires. Ne le sous-estimait pas. Il a travaillé autrefois pour un sorcier du Ministere, une Langue de Plomb au Bureau des Renseignements. Il sait parfaitement ce qu’il fait. »
Plinx fit une petite révérence. Je l’avais recueilli après que son maître se fasse tuer en mission. C’était monnaie courante pour les elfes errants, d’être accueilli à Poudlard.
« Est-ce que vous avez d’autres questions ?.. Oh ! J’oubliais. De quoi vous mettre dans l’ambiance. »
D’un geste de la baguette, je pointais l’ensemble de la pièce, puis les vêtements d’Aphrodite, qui se mirent immédiatement à la couleur de la maison Serpentard.
« Le bleu vous aurez mieux aller. » dis-je avec un léger sourire désolé.
« C’est une bonne maison. » dis-je simplement. « Et vous irez là bas. Ma fille est déjà au courant de qui vous êtes. Vu que je ne peux m’assurer de vous à 100 %, et en permanence, j’ai eu pour idée de la mettre au courant. Le fait que vous soyez désormais dans la même Maison me facilite grandement la tâche. Et, malheureusement je ne pourrais pas vous mettre ailleurs, vous êtes lié magiquement à l’Université désormais. Vous êtes une Serpentarde. »
Je lui fis un léger sourire désolé. Elle qui, avait toujours voulu certainement venir à Poudlard, y entrait et dans des circonstances particulièrement triste. Avec un léger sourire, je répondais à ses soupçons qui étaient largement justifiés.
« Ne vous en faites pas pour Ilvermorny. La Directrice est une très vieille amie, et elle me doit une dette. Elle fermera les yeux, sans savoir qui vous êtes réellement. Le transfert sera officiel et il y aura une trace écrite. Ce sont des choses courantes, et même si le niveau de sécurité va augmenté, la Confédération Internationale des Sorciers ne peut exclure la Grande Bretagne des échanges internationaux, y compris les étudiants des différentes Universités et Ecoles. C’est quelque chose de très courant. Et vous êtes assez rusé pour devenir convaincante. »
Je lui fis un léger clin d’oeil en lui tapotant sur l’épaule d’un air confiant. Avec calme, je sortais un parchemin enroulé et je le déployais pour le faire lire à Aphrodite. Il s’agissait d’un exemple du scenario que j’avais imaginé pour elle. Tout était expliqué dans les moindre détails, avec des zones d’ombres laissés exprès. Je lui laissais prendre connaissance du rôle que je comptais qu’elle joue.
« Les zones d’ombres sont là pour que vous ayez la liberté de vous l’approprier. Plus cela vient de vous, plus vous serez convaincante. Certaines choses sont semblables vis à vis de vous, bien que je n’ai pas toutes les informations nécessaires à votre sujet, par exemple votre talent pour la Métamorphose, et d’autres doivent différer. Il faudra maîtrisé parfaitement le rôle avant de sortir. »
Je tapais dans mes mains et Plinx, l’elfe qu’elle avait déjà vu apparu. Une trentaine de parchemin traitant du théâtre et de la sociologie comportementale. Maladroit, il en échappa un bout et fit apparaître un petit pupitre.
« C’est Plinx qui vous formera et qui me dira quand vous serez prête. Il vous expliquera toutes les manœuvres nécessaires. Ne le sous-estimait pas. Il a travaillé autrefois pour un sorcier du Ministere, une Langue de Plomb au Bureau des Renseignements. Il sait parfaitement ce qu’il fait. »
Plinx fit une petite révérence. Je l’avais recueilli après que son maître se fasse tuer en mission. C’était monnaie courante pour les elfes errants, d’être accueilli à Poudlard.
« Est-ce que vous avez d’autres questions ?.. Oh ! J’oubliais. De quoi vous mettre dans l’ambiance. »
D’un geste de la baguette, je pointais l’ensemble de la pièce, puis les vêtements d’Aphrodite, qui se mirent immédiatement à la couleur de la maison Serpentard.
« Le bleu vous aurez mieux aller. » dis-je avec un léger sourire désolé.
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Hatstallje suis un PNJ A la petite grimace qui passa furtivement sur le visage de Luke Korrigan, Aphrodite pouvait dire que ça n'était pas ce qu'il avait espéré. En d'autres circonstances, elle n'aurait pu que se réjouir de porter les mêmes couleurs que les rares autres élèves qu'elle avait côtoyés. Mais sachant ce que Luke Korrigan avait en projet pour elle, rejoindre la maison de Serpentard lui faisait l'impression de choisir un chemin de ronces quand elle avait à sa portée un chemin de pâquerettes. Mais Korrigan était catégorique. Il n'avait pas la moindre intention de l'envoyer ailleurs maintenant que le Choixpeau s'était déclaré. Il avait par ailleurs ses raisons de s'accommoder de cette répartition.
Il avait même mieux que ça, tout un parchemin où se déroulait l'histoire d'une étudiante sans souci ni relief particulier. L'étudiante qu'elle devait devenir vraisemblablement mais il y avait des manquements dans ce scénario. Manquements qu'il lui appartiendrait de combler si elle espérait pouvoir quitter sa tour d'ivoire un jour.
Un elfe apparut à cette annonce. Par réflexe, Aphrodite lui adressa un bonjour. Ça n'était pas dans son éducation de voir dans ces créatures des êtres d'un statut inférieur au sien. Elle ne se serait pas risquer à de telles pensées dans une maison tenue par la redoutable Miss Krépine.
« Je ne vois pas pourquoi je sous-estimerai M. Plinx. », fit-elle comme pour souligner une évidence. Le fait qu'elle emploie ce monsieur dénotait également une tournure d'esprit différente.
Elle envisagea d'un regard la somme des choses dont elle allait devoir s'emparer. Au moins ce serait plus stipulant et peut-être moins déprimant que de regarder par la fenêtre à longueur de journée. Elle ne put toutefois s'empêcher de se dire que maintenant qu'il avait de quoi la tenir occupée, le Pr Korrigan ne lui rendrait probablement plus visite de si tôt. Aphrodite se garda toutefois d'en faire la remarque. Elle ne pouvait pas lui en demander plus.
D'un coup de baguette, le Directeur de Poudlard métamorphosa la pièce et les vêtements qu'elle portait. Tout se para de vert émeraude et d'argent. Elle nota à nouveau cette curieuse remarque. La maison de Serpentard n'avait visiblement pas la préférence du Directeur. Elle ferait avec, après tout, c'était le choix de Luke Korrigan de la placer à cet endroit-là.
« C'est la couleur vers laquelle je serais allée spontanément. C'est peut-être mieux ainsi. »
« Hey Taylor ! Taylor ? »
« Pas assez spontané c'est ça ? »
« J'en ai bien peur Miss Aphrodite. », compatit M. Plinx. Pourtant son illusion à lui était parfaite. L'image du jeune mécamage se brouilla, disparaissant de leur petite scènette de chambre, « C'est peut-être le prénom... »
« Mais nous en avons déjà changé trois fois. Ella, Johanna, Peneloppe maintenant Taylor... », elle se laissa retomber sur le lit aussi découragée que lui.
Un petit silence plana au-dessus de leur tête. A force, Aphrodite en perdait de vue son personnage.
« Et si nous reprenions le guide des plus beaux prénoms depuis le début M. Plinx ? »
« Si vous voulez Miss Aphrodite... », d'un claquement de doigts, l'elfe fit apparaître un livre entre ses longs doigts, « Aaren, Abbi, Abigaëlle, Abigaia, Abigale... », la longue et monotone litanie de prénoms allait continuer de longues heures, pour n'être seulement interrompue que par quelques commentaires. C'est un prénom féminin ça ? Babe ? Il n'en est pas question - ça ferait tout de même un joli prénom pour un petit cochon vous ne trouvez pas ?, jusqu'à ce que, « C'était une réaction spontanée ! »
« C'était le prénom de ma mère... »
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« C’est de la folie parrain ! Tu te rends compte des risques que tu prends ! T’es un malade ! Tu as mis au courant Maeve ? »
Les bruits se firent de plus en plus intense derrière la porte. Visiblement, une autre personne était avec le Directeur et une petite dispute avait lieu de l’autre côté de la porte. Qui pouvait bien lui parler aussi mal ?
« Certainement pas ! Elle comprendrait pas ! Elle comprend jamais rien. Et puis, on est en froid. »
Il y eut un bruit de dédain. Puis un soupire. Assez fort pour être entendu de l’autre côté de la porte.
« Il va vraiment falloir que tu arranges les choses avec elle. C’est plus tenable de vous voir comme ça… Sérieusement… On dirait deux gam... »
« Elle a commencé ! » s’exclama le directeur un peu fort.
« Je veux pas savoir. Tout ce que je sais c’est que tu es en train de tous nous entraîner. Qu’on va tous devoir… attends t’es sérieux ?! T’y avais réfléchis depuis le dé... »
La porte s’ouvrit. Je dus alors me taire. Mon regard se posa immédiatement sur les deux occupants du lieu. Elle n’avait pas l’air bien menaçante, au final. Elle ressemblait plus à une poupée qu’autre chose. Le visage fermé, et imperceptible, mon regard passa immédiatement sur l’épaisseur de la porte. Elle devait avoir tout entendu. La refermant, je passais ma main sur cette dernière afin d’y ajouter un sortilège d’Impassibilité, sans baguette bien évidemment. D’un air gracieux, je me tournais vers les deux occupants de la pièce et je les saluais.
« Bonjour Aphrodite, je te présente Iseult. Iseult Llewelyn. Elle assurera les cours d’Histoire de la Magie à Poudlard. Elle a l’avantage d’être également ma filleule, et… une personne de confiance. »
Je me contentais de tourner la tête vers lui, sombre et sinistre. Dans mon regard, on pouvait voir que je n’avais qu’une envie, c’était de lui sauter à la gorge pour tout ce qu’il était en train de faire. Il posait ses pions, un à un. D’un point de vu extérieur, ça semblait chaotique, irréfléchis et idiot. Mais je connaissais mon parrain depuis suffisamment longtemps pour savoir qu’en réalité, à un moment donné, tous les pions allaient s’aligner selon son idée, dans une formation précise et solide.
« Bonjour Miss Longerbane. »
Dans ma grande robe bleue roi à capuche, je ne laissais rien transparaître. Comme avec n’importe quel étudiant, ou même n’importe qui. J’avais fait le choix de ne rien offrir à personne, car moins on en savait, mieux c’était pour moi. On pouvait simplement voir dans mes yeux la lueur de tous ceux qui avait souffert autrefois. Une lumière passa dans mes yeux. Je venais de comprendre. Sans crier garde, je levais mon poing pour l’abattre sur l’épaule de Luke.
« Espèce d’enfoiré. Tu savais très bien ce que tu faisais. »
Elle était orpheline. Voilà pourquoi il m’avait choisi, et voilà pourquoi il n’avait pas pris quelqu’un comme Maeve. Parce qu’au moment où mon regard avait croisé celui d’Aphrodite, j’avais vu la même douleur et la même acceptation fataliste de devoir poursuivre dans ce monde, seule.
« En voilà une façon de parler au Directeur de cet établissement ! Bien. Maintenant que les présentations sont faites… Je voulais te montrer la personne à qui tu pourras aussi te confier si je suis absent de l’Université. Elle est digne de confiance. »
Je le regardais et je plissais des yeux. Toujours sur la défensive, mes yeux se portèrent alternativement sur Luke et Aphrodite.
« Accouche. » dis-je sombrement
Il eut un mouvement de malaise et… finalement il déclara :
« J’espère que ton entraînement se passe bien pour ton rôle et... »
« La véritable raison de ma présence ici. J’ai du travail. » le coupais-je.
Il y eut un moment de silence. Il fit une grimace, entre la fierté de m’avoir offert un esprit aussi aiguisé et la gêne de devoir s’avancer dans ce qu’il avait prévu bien plus tôt que d’ordinaire. Il ne laissait jamais rien au hasard, et je comptais bien le déstabiliser pour qu’il avance dans son idée. Qu’on en finisse.
« Bien. »
Il se mit à croiser les bras, encore une fois. Comme toujours quand il allait dire une connerie. D’instinct, je m’écartais et je posais mon regard sur la bibliothèque, lisant l’ensemble des ouvrages que la Salle sur Demande avait offert à Aphrodite.
« Iseult est ici pour être notre Enchanteresse. Car, on ne peut pas vous laisser sortir d’ici avec aussi peu de préparation, et il faut être certains de plusieurs choses. Et les simples promesses, même si elles sont lié à une autre forme de magie ne suffiront pas. Vous pourrez certainement vous compromettre, et il faut que le... »
« Attends… attends... »
Il tourna sa tête vers moi.
« Tu veux faire un Serment Inviolable ? »
Son regard croisa le miens et… sans prévenir, j’attirais à moi un des grimoires les plus gros et les plus lourds que je pouvais trouver. A plusieurs reprise, je dus lui envoyer sur ce qui lui servait de tête.
« Tu m’as fait venir pour ça ! Mais qu’est ce qui tourne pas rond chez toi ! T’es ! Vraiment ! In ! Croy ! Yable ! »
A chaque syllabe je lui avais porté un coup. Mais, l’elfe de maison nous sépara d’une poussée magique de plusieurs mètres et nous glissames sur le sol comme si nous étions sur de la glace.
« C’est hors de question ! » hurlais-je « T’as pété les plombs ! Je me tire ! En fait je t’ai surestimé t’as rien dans le ciboulot !!! »
Les bruits se firent de plus en plus intense derrière la porte. Visiblement, une autre personne était avec le Directeur et une petite dispute avait lieu de l’autre côté de la porte. Qui pouvait bien lui parler aussi mal ?
« Certainement pas ! Elle comprendrait pas ! Elle comprend jamais rien. Et puis, on est en froid. »
Il y eut un bruit de dédain. Puis un soupire. Assez fort pour être entendu de l’autre côté de la porte.
« Il va vraiment falloir que tu arranges les choses avec elle. C’est plus tenable de vous voir comme ça… Sérieusement… On dirait deux gam... »
« Elle a commencé ! » s’exclama le directeur un peu fort.
« Je veux pas savoir. Tout ce que je sais c’est que tu es en train de tous nous entraîner. Qu’on va tous devoir… attends t’es sérieux ?! T’y avais réfléchis depuis le dé... »
La porte s’ouvrit. Je dus alors me taire. Mon regard se posa immédiatement sur les deux occupants du lieu. Elle n’avait pas l’air bien menaçante, au final. Elle ressemblait plus à une poupée qu’autre chose. Le visage fermé, et imperceptible, mon regard passa immédiatement sur l’épaisseur de la porte. Elle devait avoir tout entendu. La refermant, je passais ma main sur cette dernière afin d’y ajouter un sortilège d’Impassibilité, sans baguette bien évidemment. D’un air gracieux, je me tournais vers les deux occupants de la pièce et je les saluais.
« Bonjour Aphrodite, je te présente Iseult. Iseult Llewelyn. Elle assurera les cours d’Histoire de la Magie à Poudlard. Elle a l’avantage d’être également ma filleule, et… une personne de confiance. »
Je me contentais de tourner la tête vers lui, sombre et sinistre. Dans mon regard, on pouvait voir que je n’avais qu’une envie, c’était de lui sauter à la gorge pour tout ce qu’il était en train de faire. Il posait ses pions, un à un. D’un point de vu extérieur, ça semblait chaotique, irréfléchis et idiot. Mais je connaissais mon parrain depuis suffisamment longtemps pour savoir qu’en réalité, à un moment donné, tous les pions allaient s’aligner selon son idée, dans une formation précise et solide.
« Bonjour Miss Longerbane. »
Dans ma grande robe bleue roi à capuche, je ne laissais rien transparaître. Comme avec n’importe quel étudiant, ou même n’importe qui. J’avais fait le choix de ne rien offrir à personne, car moins on en savait, mieux c’était pour moi. On pouvait simplement voir dans mes yeux la lueur de tous ceux qui avait souffert autrefois. Une lumière passa dans mes yeux. Je venais de comprendre. Sans crier garde, je levais mon poing pour l’abattre sur l’épaule de Luke.
« Espèce d’enfoiré. Tu savais très bien ce que tu faisais. »
Elle était orpheline. Voilà pourquoi il m’avait choisi, et voilà pourquoi il n’avait pas pris quelqu’un comme Maeve. Parce qu’au moment où mon regard avait croisé celui d’Aphrodite, j’avais vu la même douleur et la même acceptation fataliste de devoir poursuivre dans ce monde, seule.
« En voilà une façon de parler au Directeur de cet établissement ! Bien. Maintenant que les présentations sont faites… Je voulais te montrer la personne à qui tu pourras aussi te confier si je suis absent de l’Université. Elle est digne de confiance. »
Je le regardais et je plissais des yeux. Toujours sur la défensive, mes yeux se portèrent alternativement sur Luke et Aphrodite.
« Accouche. » dis-je sombrement
Il eut un mouvement de malaise et… finalement il déclara :
« J’espère que ton entraînement se passe bien pour ton rôle et... »
« La véritable raison de ma présence ici. J’ai du travail. » le coupais-je.
Il y eut un moment de silence. Il fit une grimace, entre la fierté de m’avoir offert un esprit aussi aiguisé et la gêne de devoir s’avancer dans ce qu’il avait prévu bien plus tôt que d’ordinaire. Il ne laissait jamais rien au hasard, et je comptais bien le déstabiliser pour qu’il avance dans son idée. Qu’on en finisse.
« Bien. »
Il se mit à croiser les bras, encore une fois. Comme toujours quand il allait dire une connerie. D’instinct, je m’écartais et je posais mon regard sur la bibliothèque, lisant l’ensemble des ouvrages que la Salle sur Demande avait offert à Aphrodite.
« Iseult est ici pour être notre Enchanteresse. Car, on ne peut pas vous laisser sortir d’ici avec aussi peu de préparation, et il faut être certains de plusieurs choses. Et les simples promesses, même si elles sont lié à une autre forme de magie ne suffiront pas. Vous pourrez certainement vous compromettre, et il faut que le... »
« Attends… attends... »
Il tourna sa tête vers moi.
« Tu veux faire un Serment Inviolable ? »
Son regard croisa le miens et… sans prévenir, j’attirais à moi un des grimoires les plus gros et les plus lourds que je pouvais trouver. A plusieurs reprise, je dus lui envoyer sur ce qui lui servait de tête.
« Tu m’as fait venir pour ça ! Mais qu’est ce qui tourne pas rond chez toi ! T’es ! Vraiment ! In ! Croy ! Yable ! »
A chaque syllabe je lui avais porté un coup. Mais, l’elfe de maison nous sépara d’une poussée magique de plusieurs mètres et nous glissames sur le sol comme si nous étions sur de la glace.
« C’est hors de question ! » hurlais-je « T’as pété les plombs ! Je me tire ! En fait je t’ai surestimé t’as rien dans le ciboulot !!! »
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FICHE DE PERSO
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Situation actuelle:
Dé utilisé:
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Education Magique (EM):
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Potentiel Magique (PM):
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Rigueur Magique (RM):
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Expérience Magique (XM):
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Témoins de l'Histoire:
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Dossier du Ministère
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Hatstallje suis un PNJ
Des éclats de voix vinrent interrompre cette petite épiphanie. Aphrodite et M. Plinx se levèrent comme un seul elfe et tandis que l'un lissait les plis de sa robe, l'autre remettait un semblant d'ordre dans les parchemins et les livres, si bien que lorsque la porte s'ouvrit, ils étaient pratiquement au garde à vous. Le Pr Korrigan n'était pas seul. Une femme se tenait prêt de lui. Ca n'était pas @Siobhán Gavalagh-Korrigan et son air fermé n'inspira rien de bon à Aphrodite. Sans rien y laisser paraître, elle se demandait à combien de personnes de confiance Luke Korrigan avait confié leur secret et en quoi cela avait bien pu être indispensable. Mais ce qui la dérangeait le plus, c'était de ne pas parvenir à percer à jour le schéma d'ensemble de toutes ces manœuvres. La demoiselle salua tout de même avec toute la politesse que son éducation et de son rang. Ses yeux bleus si clairs se posèrent sur l'un et l'autre successivement, les perçant jusqu'à l'âme sans laisser transparaître quelque émotion que ce soit.
Ce fut Mrs Llewellyn qui rompit les cordialités la première sans qu'Aphrodite ne comprenne bien ce qu'il se passait. Il lui fallut d'abord passer outre le comportement extrêmement grossier de la professeure et sur le fait que le Directeur ne semblait pas s'en offusquer plus que cela. Il était évident qu'Iseult ne partageait pas les projets de rapprochement que Luke Korrigan avait formés pour elles deux. Aphrodite quant à elle se limita à un hochement de tête. Elle n'accordait pas si facilement sa confiance et il en faudrait bien plus pour qu'elle se presse à la porte de Mrs Llewellyn pour quoi que ce soit. Elle réserva pourtant son avis pour elle-même, une fois de plus.
Ladite Llewellyn s'impatientait déjà. Elle avait visiblement mieux à faire et les atermoiements du Directeur la poussaient au comble de l'impolitesse. Il fallait bien le reconnaître : Luke Korrigan avait un comportement des plus étranges. Comme s'il avait dansé sur un fil étroit au-dessus d'un puits sans fond.
« Notre - », il lui semblait que ce mot - enchanteresse - revêtait plus d'importance qu'il ne voulait bien l'avouer. Elle prit encore sur elle, ne le coupant pas. D'autres mots accrochèrent son attention particulièrement. On ne peut pas vous laisser sortir, de simples promesses..., une autre forme de magie.
L'insulte était prise. Les yeux si clairs d'Aphrodite Longerbane crucifiaient l'image du bon directeur face à elle. Ainsi donc c'était là ce qu'il était fait de la promesse fae qu'elle lui avait faite. Lui qui avait semblait si sensible à ce geste sur le moment, avait rapidement oublié la valeur de la chose. Qu'il se propose de la bafouer d'un acte magique aussi bas que le serment inviolable revenait à lui cracher au visage mais elle réserva son venin, redressant légèrement le menton pour garder une contenance.
Le petit échauffourée déclenché par Iseult ne fit rien pour radoucir la fae. A ses côtés, seul M. Plinx pouvait mesurer l'ampleur de l'insulte. Il avait émis une légère grimace avant de la regarder des ses immenses yeux éternellement larmoyants.
« Je croyais que vous ne vouliez pas de ce genre d'engagement. », nota-t-elle avec une froideur altière, « A quoi donc entendez-vous me contraindre exactement ? », imposa-t-elle sans céder à quelque excès de caractère que ce soit.
Compte MJ.
N'hésitez pas à interagir avec moi.
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FICHE DE PERSO
Je regardais mon parrain et j’attendais sa réponse. Elle fut assez longue à venir, mais je savais pourquoi. Il réfléchissait… différemment des autres. Son esprit n’avait jamais fonctionné comme ses semblables. C’était à la fois une force… Mais aussi une grande faiblesse, car dans sa jeunesse, il en avait beaucoup souffert de ce qu’il m’en avait dit. Ainsi, ce n’était pas par mauvaise volonté qu’il avait toujours de très très très mauvaises notes en potions. Simplement, son esprit ne s’attachait qu’à ce qu’il apportait de l’intérêt, et quand les choses ennuyeuses arrivaient, ils faisaient n’importe quoi. Et là, je pouvais voir que… ça l’ennuyait de répondre.
« Ce n’est pas qu’une question de confiance, Madame Longerbane. Si ça ne tenait qu’à vous et à moi, une simple parole m’aurait suffi. Mais il y a des paramètres que ni vous ni moi n’allaient maîtriser quand vous allez sortir d’ici. Et ce sont ces paramètres que j’essaie de réduire. L’amour peut-être amené à nous faire faire des choses irréfléchis, par exemple. Et si en vous, j’ai une confiance aveugle de par ce que nous avons vécu, ce n’est pas le cas de M. Anderson. »
Il y eut un moment de flottement. Ses yeux se posèrent sur elle et moi, gênée par ce que je venais d’entendre je détournais les yeux, trahissant pour la première fois un sentiment sur mon visage. Mes joues devinrent légèrement rose, mais je n’en dis pas plus.
« Et ce n’est pas non plus le cas de toutes les personnes que vous allez croisé. Un secret, ça suit le même modèle mathématiques qu’une instabilité métamorphique de Goeth. C’est exponentiel, et il suffit d’une personne de trop mise au courant pour que l’humanité entière le soit. Un Serment Inviolable fera très bien l’affaire. »
Je m’étais retourné vivement vers lui. Je regardais alternativement mon parrain et Aphrodite. Si pour la jeune femme, je n’avais absolument rien à faire qu’elle meurt, c’était tout autre chose de mon parrain. J’avais déjà tant perdu, et il était hors de question que je le perde lui aussi simplement parce qu’il n’avait pas su honorer un serment faites à une inconnue.
« Arrête… On ne peut pas faire ça. C’est idiot. Tu m’as dis que tu ne voulais pas que le secret soit dévoilé avant de venir, parce que tu voulais rester à Poudlard pour protéger les étudiants. Mais si la promesse n’est pas honorer, tu meurs. Donc à moins que tu veuilles revenir sous forme de fantôme, ton raisonnement est le plus illogique que j’ai entendu depuis le soir de Noël 2013 où tu nous as tous soutenu que tu étais capable de battre Bronn au bras de fer. »
Il sursauta.
« J’allais gagné, j’avais trop bu, il a triché. »
Je roulais des yeux. Puis mon regard passa sur Aphrodite. Et il revenait sur Luke. Ma mâchoire se contracta, parce que je commençais à mieux comprendre son petit jeu… Ce n’était pas un serment inviolable qu’il cherchait… C’était tout autre chose… Il était vraiment malade, et il fallait vraiment qu’il consulte.
« Si tu me dis que tu es en train de nous pousser toutes les deux dans nos retranchements pour nous forcer à trouver une solution tierce, qui amènera forcément à ce que je me dévoue pour t’accompagner dans le suivi de Miss Longerbane, permet moi de te dire que c’est assez sournois pour aller chez les Serpentards jusqu’à la fin de ta misérable vie. »
Il se tourna vers moi, et je vis un éclair passé dans ses yeux. Il fit d’ailleurs le choix de ne pas répondre à la question.
« Alors qu’est ce que vous avez à proposer de mieux ? »
Et c’était reparti. Il croisa les bras et je me dis intimement que Maeve avait de plus en plus de respect à mes yeux pour l’avoir supporter si longtemps et avoir attendu si tard pour le frapper.
« Ce n’est pas en Aphrodite, que tu n’as pas confiance. C’est en toi c’est ça ? »
« Vous avez vu comme on devient brillante quand on étudie à Poudlard Miss Longerbane ? » dit-il la voix un peu cassée d’avoir été mis à nu brusquement.
« Ce n’est pas qu’une question de confiance, Madame Longerbane. Si ça ne tenait qu’à vous et à moi, une simple parole m’aurait suffi. Mais il y a des paramètres que ni vous ni moi n’allaient maîtriser quand vous allez sortir d’ici. Et ce sont ces paramètres que j’essaie de réduire. L’amour peut-être amené à nous faire faire des choses irréfléchis, par exemple. Et si en vous, j’ai une confiance aveugle de par ce que nous avons vécu, ce n’est pas le cas de M. Anderson. »
Il y eut un moment de flottement. Ses yeux se posèrent sur elle et moi, gênée par ce que je venais d’entendre je détournais les yeux, trahissant pour la première fois un sentiment sur mon visage. Mes joues devinrent légèrement rose, mais je n’en dis pas plus.
« Et ce n’est pas non plus le cas de toutes les personnes que vous allez croisé. Un secret, ça suit le même modèle mathématiques qu’une instabilité métamorphique de Goeth. C’est exponentiel, et il suffit d’une personne de trop mise au courant pour que l’humanité entière le soit. Un Serment Inviolable fera très bien l’affaire. »
Je m’étais retourné vivement vers lui. Je regardais alternativement mon parrain et Aphrodite. Si pour la jeune femme, je n’avais absolument rien à faire qu’elle meurt, c’était tout autre chose de mon parrain. J’avais déjà tant perdu, et il était hors de question que je le perde lui aussi simplement parce qu’il n’avait pas su honorer un serment faites à une inconnue.
« Arrête… On ne peut pas faire ça. C’est idiot. Tu m’as dis que tu ne voulais pas que le secret soit dévoilé avant de venir, parce que tu voulais rester à Poudlard pour protéger les étudiants. Mais si la promesse n’est pas honorer, tu meurs. Donc à moins que tu veuilles revenir sous forme de fantôme, ton raisonnement est le plus illogique que j’ai entendu depuis le soir de Noël 2013 où tu nous as tous soutenu que tu étais capable de battre Bronn au bras de fer. »
Il sursauta.
« J’allais gagné, j’avais trop bu, il a triché. »
Je roulais des yeux. Puis mon regard passa sur Aphrodite. Et il revenait sur Luke. Ma mâchoire se contracta, parce que je commençais à mieux comprendre son petit jeu… Ce n’était pas un serment inviolable qu’il cherchait… C’était tout autre chose… Il était vraiment malade, et il fallait vraiment qu’il consulte.
« Si tu me dis que tu es en train de nous pousser toutes les deux dans nos retranchements pour nous forcer à trouver une solution tierce, qui amènera forcément à ce que je me dévoue pour t’accompagner dans le suivi de Miss Longerbane, permet moi de te dire que c’est assez sournois pour aller chez les Serpentards jusqu’à la fin de ta misérable vie. »
Il se tourna vers moi, et je vis un éclair passé dans ses yeux. Il fit d’ailleurs le choix de ne pas répondre à la question.
« Alors qu’est ce que vous avez à proposer de mieux ? »
Et c’était reparti. Il croisa les bras et je me dis intimement que Maeve avait de plus en plus de respect à mes yeux pour l’avoir supporter si longtemps et avoir attendu si tard pour le frapper.
« Ce n’est pas en Aphrodite, que tu n’as pas confiance. C’est en toi c’est ça ? »
« Vous avez vu comme on devient brillante quand on étudie à Poudlard Miss Longerbane ? » dit-il la voix un peu cassée d’avoir été mis à nu brusquement.
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Hatstallje suis un PNJ
Elle se garda bien d'essayer de le contredire pour commencer. Que ce soit au sujet de @Xris Andērson ou du nombre de personnes qu'il avait lui-même mis dans la confidence. Sans parler de sa proximité avec Maeve Cynfeirdd qui représentait un risque bien réel à ses yeux à elle. Par ailleurs, il était évident que la potentielle enchaîneuse était elle même bien trop attachée au Pr Korrigan pour accepter de mettre sa vie dans la balance. Quant à l'idée de les mettre en présence, elle et Miss Lllewellyn, elle n'en voyait pas l'intérêt dans l'immédiat. Cette femme lui était antipathique au possible, sans doute à cause de ses manières, mais surtout, elle n'avait aucune autre raison de lui faire confiance que le simple fait de savoir que lui, lui faisait confiance. Et c'était loin d'être suffisant.
Finalement, Iseult perça quelque chose, une petit ajour dans la personnalité complexe du Directeur de Poudlard. La surprise était nettement possible sur le visage de la jeune femme. Elle laissa passer un très long silence, se refusant à commenter ce leitmotiv d'une éducation à Poudlard qu'il lui agitait sans cesse sous le nez comme un chiffon rouge.
« Écoutez Pr Korrigan, je ne vous ai donné effectivement aucune raison de douter de moi si ce n'est pour vous avoir caché ma nature au départ, mais j'imagine que vous comprenez aisément les raisons de ce choix. J'ai fait pour vous la chose la plus abjecte et la plus impardonnable qui soit mais vous avez raison, j'aurais probablement agi de même pour n'importe qui en pareille situation. Je vous ai fait une promesse fae, celle de ne jamais vous trahir. Je suis prête à faire les serments que vous voudrez à la condition qu'ils ne m'emmènent pas à trahir @Xris Andērson, lui mentir me coûte déjà suffisamment. Mais avant que d'en venir à cela, vous devriez peut-être vous demander pour quelle raison vous tenez à nous attacher l'un à l'autre de la sorte, tirez les choses au clair sur ce que vous êtes prêt à faire pour moi et pour quelles raisons. », ses yeux perçants le dardaient sans ciller, « Rien ne vous oblige à tout cela. Je saurais vous quitter si c'est ce qui me semble être la meilleure option. Et, par ailleurs, pour en revenir à M.Andērson, je doute qu'aucun serment puisse résister à l'entêtement d'une fae, inviolable ou non. »
Il n'y avait pas la moindre animosité chez Aphrodite au moment où elle disait cela. C'était très factuel, dit d'un ton posé presque détaché. Il lui faudrait donc envisager d'autres options et en elle même elle commençait à y réfléchir.
Compte MJ.
N'hésitez pas à interagir avec moi.
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Luke se referma immédiatement suite aux paroles d’Aphrodite. Bras croisés, il plissa les yeux sous ses lunettes et resta là immobile à l’écouter sans répondre. Je soupirai un peu, car je savais que ça pouvait s’envenimer comme situation. En fait, je me rendais compte que je savais très bien pourquoi j’étais là, et ce qu’il attendait de moi. Il n’avait juste pas le courage de lui dire lui même ce qu’il avait au fond de son crâne et son coeur. Si… c’était bien à ça que je pensais.
« Je pense que... » commençais-je
Mais il enchaîna avant même que je n’eus offert le premier complément verbale de ma phrase.
« Je ne fais pas cela que pour vous. Je l’aurai fait pour n’importe qui dans votre situation. Et si je suis aussi réfléchi et manipulateur sur la meilleure manière d’éviter que le pire se produise, c’est que contrairement à vous encore, je sais ce que l’amour peut faire en terme de magie quand elle est liée à la magie des fées. »
Son visage se marqua d’une ombre. Je détournais les yeux et je voulus disparaître sur le champs. Si la situation, dans laquelle il m’avait mêlé contre mon gré n’était pas si dangereuse, je me serais immédiatement enfui. Ses yeux soutinrent ceux d’Aphrodite et il continua :
«Ma femme était comme vous. Et ça lui a coûté la vie. »
Il s’arrêta, toujours sans me regarder. Je repris alors la parole, comprenant que j’étais là en réalité pour proposer un compromis. Ma mâchoire se serra et je commençais par apaiser un peu les choses.
« Un Serment magique n’est pas nécessaire, si une promesse comme celle là a été effectuée, ce sera largement suffisant. Mais... »
Je pris une profonde inspiration.
« Je me chargerai de la surveillance de Monsieur Anderson. Car vous comprenez bien que si l’on vous fait confiance à vous Aphrodite, ce n’est pas le cas de ce jeune homme. Vous pouvez être manipulée, trahie. C’est déjà arrivé une fois et votre famille en a payé le prix le plus lourd.Nous vivons dans une époque très incertaine, et nos alliés ne peuvent plus se compter aussi bien qu’avant. C’est surtout cela que l’on craint, et vous venez de le confirmer : Aucun serment ne peut résister à l’entêtement d’une Fae. Donc nous sommes obligés de prendre ce paramètre en considération car il est inévitable. »
Luke remit son chapeau, signe qu’il allait commencer à partir. D’une voix calme et bienveillante, signe qu’il s’en voulait très certainement de ce qu’il avait dit, il se décida à mon plus grand bonheur à éclairer la situation de manière définitive.
« Iseult sera votre référente. Vous discuterez avec elle plus qu’avec moi, car cela éveillerait les soupçons que je passe beaucoup de temps avec les étudiants étrangers, surtout que le Ministère a déjà un pied à Poudlard. Votre personnage aura certainement des cours du soir en Histoire de la Magie, car on pourra considérer qu’elle aspire à devenir Briseur de Sort, c’est beaucoup plus simple et cohérent que ce que j’avais proposé initialement. Vous lui direz tout ce qui s’est passé entre deux entrevue. C’est la meilleure solution que j’ai à proposer. Croyez moi, je vous fais confiance Aphrodite. »
Il marqua une pause et commença à se diriger vers la sortie.
« C’est aux autres, et au monde que j’ai vu sombré dans les ténèbres plusieurs fois dans ma courte que vie, en qui je n’ai aucune confiance. »
« Je pense que... » commençais-je
Mais il enchaîna avant même que je n’eus offert le premier complément verbale de ma phrase.
« Je ne fais pas cela que pour vous. Je l’aurai fait pour n’importe qui dans votre situation. Et si je suis aussi réfléchi et manipulateur sur la meilleure manière d’éviter que le pire se produise, c’est que contrairement à vous encore, je sais ce que l’amour peut faire en terme de magie quand elle est liée à la magie des fées. »
Son visage se marqua d’une ombre. Je détournais les yeux et je voulus disparaître sur le champs. Si la situation, dans laquelle il m’avait mêlé contre mon gré n’était pas si dangereuse, je me serais immédiatement enfui. Ses yeux soutinrent ceux d’Aphrodite et il continua :
«Ma femme était comme vous. Et ça lui a coûté la vie. »
Il s’arrêta, toujours sans me regarder. Je repris alors la parole, comprenant que j’étais là en réalité pour proposer un compromis. Ma mâchoire se serra et je commençais par apaiser un peu les choses.
« Un Serment magique n’est pas nécessaire, si une promesse comme celle là a été effectuée, ce sera largement suffisant. Mais... »
Je pris une profonde inspiration.
« Je me chargerai de la surveillance de Monsieur Anderson. Car vous comprenez bien que si l’on vous fait confiance à vous Aphrodite, ce n’est pas le cas de ce jeune homme. Vous pouvez être manipulée, trahie. C’est déjà arrivé une fois et votre famille en a payé le prix le plus lourd.Nous vivons dans une époque très incertaine, et nos alliés ne peuvent plus se compter aussi bien qu’avant. C’est surtout cela que l’on craint, et vous venez de le confirmer : Aucun serment ne peut résister à l’entêtement d’une Fae. Donc nous sommes obligés de prendre ce paramètre en considération car il est inévitable. »
Luke remit son chapeau, signe qu’il allait commencer à partir. D’une voix calme et bienveillante, signe qu’il s’en voulait très certainement de ce qu’il avait dit, il se décida à mon plus grand bonheur à éclairer la situation de manière définitive.
« Iseult sera votre référente. Vous discuterez avec elle plus qu’avec moi, car cela éveillerait les soupçons que je passe beaucoup de temps avec les étudiants étrangers, surtout que le Ministère a déjà un pied à Poudlard. Votre personnage aura certainement des cours du soir en Histoire de la Magie, car on pourra considérer qu’elle aspire à devenir Briseur de Sort, c’est beaucoup plus simple et cohérent que ce que j’avais proposé initialement. Vous lui direz tout ce qui s’est passé entre deux entrevue. C’est la meilleure solution que j’ai à proposer. Croyez moi, je vous fais confiance Aphrodite. »
Il marqua une pause et commença à se diriger vers la sortie.
« C’est aux autres, et au monde que j’ai vu sombré dans les ténèbres plusieurs fois dans ma courte que vie, en qui je n’ai aucune confiance. »
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