:: RPS Archivés
Page 2 sur 2 • 1, 2
Qu'est ce que tu fais? * MAY *
INFOS
FICHE DE PERSO
Les deux balais sous le bras, j’en plaçais un dans les bras de May. A la façon dont elle le tenait, mes doutes furent totalement confirmer : elle n’avait jamais volé de sa vie. Avec un léger sourire, je montais sur le miens, et l’observait d’un air confiant.
« C’est très simple, et ça ressemble au vélo. Bon ok, tu es à plusieurs mètres du sol et une chute peut t’être fatale… Mais je serai là pour te sécuriser. »
J’étais une experte pour faire voler les objets et les gens. En même temps, vu mon métier, c’était plus que nécessaire. Wingardium Leviosa et Levicorpus étaient deux sorts que j’avais toujours maîtriser à la perfection. Mais bien évidemment elle n’en savait rien.
« Donc, tu tiens le manche ici. Tu sers tes cuisses comme si tu voulais absolument que tes genoux se touchent, et tu serres tes pieds l’un contre l’autre. Ca c’est quand tu es en vol. Si tu veux tourner à gauche… Tu dévies le manche vers la gauche… Et il en va de même pour le haut, le bas et la droite. C’est très instinctif. Pour accélérer, tu te penches en avant et pour freiner, tu tires sur le manche brutalement… Mais le mieux c’est que je te montre. »
Avec un clin d’oeil et un grand sourire, je mis un coup de pied au sol. Le balai s’envola dans les airs à une vitesse ahurissante. Je montais en chandelle, fit un tonneau en frôlant un réverbère. Puis je pris un virage en épingle, fit un salto comme si je voulais esquiver un cognard fictif. Et enfin, je fonçais en piqué vers May pour m’arrêter à quelques centimètres d’elle.
« Voilà ! Bon… Je te déconseille de faire des tonneaux etc. Commence par petit. Décoller et te poser. Vas-y. »
Je lui tendis l’autre balai, qui était un simple balai de la marque Nimbus, bien moins cher que le miens. En même temps, je n’avais pas véritablement envie qu’elle me le fracasse. C’est donc avec un sourire encourageant que je l’aidais à monter sur ce dernier.
« Bien, et si jamais ça va pas… Tu hurles que ça va pas et je t’arrêterai pas magie n’ait pas peur ! »
Si j’étais assez rapide pour arriver à la viser afin de la stopper mais… Ca, je n’allais pas lui dire, je ne voulais pas l’effrayer.
« C’est très simple, et ça ressemble au vélo. Bon ok, tu es à plusieurs mètres du sol et une chute peut t’être fatale… Mais je serai là pour te sécuriser. »
J’étais une experte pour faire voler les objets et les gens. En même temps, vu mon métier, c’était plus que nécessaire. Wingardium Leviosa et Levicorpus étaient deux sorts que j’avais toujours maîtriser à la perfection. Mais bien évidemment elle n’en savait rien.
« Donc, tu tiens le manche ici. Tu sers tes cuisses comme si tu voulais absolument que tes genoux se touchent, et tu serres tes pieds l’un contre l’autre. Ca c’est quand tu es en vol. Si tu veux tourner à gauche… Tu dévies le manche vers la gauche… Et il en va de même pour le haut, le bas et la droite. C’est très instinctif. Pour accélérer, tu te penches en avant et pour freiner, tu tires sur le manche brutalement… Mais le mieux c’est que je te montre. »
Avec un clin d’oeil et un grand sourire, je mis un coup de pied au sol. Le balai s’envola dans les airs à une vitesse ahurissante. Je montais en chandelle, fit un tonneau en frôlant un réverbère. Puis je pris un virage en épingle, fit un salto comme si je voulais esquiver un cognard fictif. Et enfin, je fonçais en piqué vers May pour m’arrêter à quelques centimètres d’elle.
« Voilà ! Bon… Je te déconseille de faire des tonneaux etc. Commence par petit. Décoller et te poser. Vas-y. »
Je lui tendis l’autre balai, qui était un simple balai de la marque Nimbus, bien moins cher que le miens. En même temps, je n’avais pas véritablement envie qu’elle me le fracasse. C’est donc avec un sourire encourageant que je l’aidais à monter sur ce dernier.
« Bien, et si jamais ça va pas… Tu hurles que ça va pas et je t’arrêterai pas magie n’ait pas peur ! »
Si j’étais assez rapide pour arriver à la viser afin de la stopper mais… Ca, je n’allais pas lui dire, je ne voulais pas l’effrayer.
INFOS
FICHE DE PERSO
Le balai en main, j’écoutais avec attention ses explications. Pas très rassuré à l’idée d’une chute fatale, je dis hésitante : heu... d’accord... J’essayai une première fois la position comme ci j’étais dessus. Je n’eus pas le temps de lui demander si c’était bien comme ça qu’il fallait faire qu’elle avait déjà décollé. Le nez en l’air, je la regardais faire son manège avec une appréhension grandissante. Une bonne assurance, mais pour qui elle ou moi ?
Je ne m’y connaissais pas, mais elle avait l’air d’être une experte dans cette discipline. Contrairement à l’imaginer derrière un bar. Je la suivait d’un regard ahuri. Je ne me voyais pas faire la moitié de ce qu’elle avait fait. Je n'étais pas certaine d’avoir le vertige, mais il y avait une différence entre passé par la lucarne pour monter sur le toit et voler avec un balai.
J’attendis qu’elle revienne avant de décoller hésitante. Après un moment de peur à trouver mon équilibre je me mit à essayer les manœuvres de bases qu’elle m’avait citer. Un sourire grandissait à mesure que je prenais de l’assurance et de la vitesse.
Tournant au-dessus du bar, je penchais la tête en arrière pour laisser exploser ma joie et de rire au éclat. Le sentiment de liberté était jouissif. Je fis le tour d’un arbre non loin avant de remonter pour foncer vers elle. Je fonçais vers le sol pour revenir à mon point de départ. Je commençais à prendre peur au fur et à mesure que le sol se dirigeait vers moi. Je ne me souvenais plus comment elle avait fait pour ‘s’arrêter. Je m’accrochais désespérément au manche prenant toujours plus de vitesse. Paniqué, je lâchais en criant : AU SECOURS
Je ne m’y connaissais pas, mais elle avait l’air d’être une experte dans cette discipline. Contrairement à l’imaginer derrière un bar. Je la suivait d’un regard ahuri. Je ne me voyais pas faire la moitié de ce qu’elle avait fait. Je n'étais pas certaine d’avoir le vertige, mais il y avait une différence entre passé par la lucarne pour monter sur le toit et voler avec un balai.
J’attendis qu’elle revienne avant de décoller hésitante. Après un moment de peur à trouver mon équilibre je me mit à essayer les manœuvres de bases qu’elle m’avait citer. Un sourire grandissait à mesure que je prenais de l’assurance et de la vitesse.
Tournant au-dessus du bar, je penchais la tête en arrière pour laisser exploser ma joie et de rire au éclat. Le sentiment de liberté était jouissif. Je fis le tour d’un arbre non loin avant de remonter pour foncer vers elle. Je fonçais vers le sol pour revenir à mon point de départ. Je commençais à prendre peur au fur et à mesure que le sol se dirigeait vers moi. Je ne me souvenais plus comment elle avait fait pour ‘s’arrêter. Je m’accrochais désespérément au manche prenant toujours plus de vitesse. Paniqué, je lâchais en criant : AU SECOURS
INFOS
FICHE DE PERSO
« Immobilus. »
J’avais levé ma baguette pour l’immobiliser avec un sort. J’avais vu qu’elle avait paniqué. Et comme je ne voulais ni perdre ma première employée, ni avoir des soucis avec Poudlard, j’étais intervenue. Pourtant, elle se débrouillait à merveille ! J’attirai le balai à moi pour que May revienne au sol.
« C’est super ! Tu te débrouilles vachement bien ! »
Avec un grand sourire je l’accueillais et je la serrai pour la première fois dans mes bras. Oui, j’étais très affectueuse comme fille. Un large sourire aux lèvres, je me devais quand même de lui expliquer pourquoi j’étais heureux.
« A Poudlard, comme je l’ai été avant toi à Ilvermorny, tu es une Non-Maj, une Né-Moldue. Et tu verras que certaines personnes n’aiment pas tellement les sorciers venant de l’autre monde. Et ils utilisent le Quidditch pour t’écraser… Car ils en font depuis l’enfance ! Mais toi ! Tu vas leur prouver qu’ils ont tort ! »
Je lui mis une bonne tape dans le dos et je me mis à lui sourire chaleureusement.
« Alors, la première sensation, elle est ouf non ? »
J’avais le regard qui brillait. J’aurai donné toute ma fortune pour ressentir à nouveau ce que j’avais ressentis la première fois que j’étais monté sur un balai. Je m’en souvenais comme si c’était hier. J’avais eu l’impression que ma vie ne serait jamais plus la même après ça et ça avait été le cas ! Je m’étais réfugié la dedans pour palier ma solitude.
Mon sourire s’effaça à cette pensée. En fait, le problème de ma solitude ne venait peut être pas du Quidditch, mais… de moi. Tout simplement… Peut être qu’arrêter ma carrière n’y changerait rien… J’étais un peu pâlotte quand j’expliquais à May.
« Pour freiner, tu dois te pencher en arrière, tout en serrant les genoux sur le manche. »
J’avais levé ma baguette pour l’immobiliser avec un sort. J’avais vu qu’elle avait paniqué. Et comme je ne voulais ni perdre ma première employée, ni avoir des soucis avec Poudlard, j’étais intervenue. Pourtant, elle se débrouillait à merveille ! J’attirai le balai à moi pour que May revienne au sol.
« C’est super ! Tu te débrouilles vachement bien ! »
Avec un grand sourire je l’accueillais et je la serrai pour la première fois dans mes bras. Oui, j’étais très affectueuse comme fille. Un large sourire aux lèvres, je me devais quand même de lui expliquer pourquoi j’étais heureux.
« A Poudlard, comme je l’ai été avant toi à Ilvermorny, tu es une Non-Maj, une Né-Moldue. Et tu verras que certaines personnes n’aiment pas tellement les sorciers venant de l’autre monde. Et ils utilisent le Quidditch pour t’écraser… Car ils en font depuis l’enfance ! Mais toi ! Tu vas leur prouver qu’ils ont tort ! »
Je lui mis une bonne tape dans le dos et je me mis à lui sourire chaleureusement.
« Alors, la première sensation, elle est ouf non ? »
J’avais le regard qui brillait. J’aurai donné toute ma fortune pour ressentir à nouveau ce que j’avais ressentis la première fois que j’étais monté sur un balai. Je m’en souvenais comme si c’était hier. J’avais eu l’impression que ma vie ne serait jamais plus la même après ça et ça avait été le cas ! Je m’étais réfugié la dedans pour palier ma solitude.
Mon sourire s’effaça à cette pensée. En fait, le problème de ma solitude ne venait peut être pas du Quidditch, mais… de moi. Tout simplement… Peut être qu’arrêter ma carrière n’y changerait rien… J’étais un peu pâlotte quand j’expliquais à May.
« Pour freiner, tu dois te pencher en arrière, tout en serrant les genoux sur le manche. »
INFOS
FICHE DE PERSO
Alors que je fermais déjà les yeux me préparant au pire, je me sentis stopper net. Et pourtant, je ne pensais pas avoir heurté le sol de plein fouet. Timidement, j’ouvris un œil, me demandant si je n’était pas déjà morte. Avec sa baguette à la main, je sus que c’était madame Hope qui venait de me sauver la mise. Je craignais me faire réprimander pour n’avoir pas tout retenu, mais non, elle m’attendait tout sourire, et même me félicitât. Agréablement surprise, je m’étonnais : c’est vrai !? Ça m’avait paru pourtant si enfantin.
Je restais interdite quand elle me prit dans ses bras. Je n’avais jamais vraiment eu de parent, de frère ou de sœurs ou bien même d’amis pour venir me prendre comme ça. Gênée, je ne savais pas trop quoi faire. Je montais les bras comme pour lui rendre son accolade avant de me raviser. Elle était ma patronne, je ne devais pas être censé avoir une t’elle familiarité à son égard, je venais à peine de signer le contrat.
Je laissais mourir ma protestation : mais je ne suis pas une…. C’est exactement pour ça que je détestais cet orphelinat. Alors que j’avais des souvenirs de plus en plus précis sur mes origines sorcières, on continuerait à me prendre pour une née-moldue simplement, car l’on m’avait forcé à vivre comme l’un des leurs.
Hivers-morni ? Le qui-diche? C’est quoi ? Demandais-je ne comprenant pas ce qu’elle avait bien voulu me dire. Certainement, qu’elle recommençait à mâcher ses mots en parlant à toute vitesse. J’espérais qu’elle ne se mette pas à baragouiner en me donnant les commandes durant le service.
Madame Hope me fit sortir de mes pensées en me donnant une tape amicale dans le dos. Les yeux brillants, un grand sourire aux lèvres, le visage radieux, je m’excitais tel un gosse recevant ses jouets de Noël : C’était…trop dingue… truc de ouf. J’avais cru être délivré en sortant de l’orphelinat, mais j’étais venu ici sous la responsabilité et la surveillance de Madame Rosemertha : je n’avais fait que changer de chaîne. À Poudlard, aussi, j’étais enfermé entre quatre murs, contrairement à ces quelques secondes ou même la gravité n’avait pas eu d’emprise sur moi. Je... Je me suis jamais senti aussi libre. Rajoutais je hésitante. Plus que l'adrénaline, la vitesse, ou autre, c'était bien la liberté que j'avais ressentis.
Je restais interdite quand elle me prit dans ses bras. Je n’avais jamais vraiment eu de parent, de frère ou de sœurs ou bien même d’amis pour venir me prendre comme ça. Gênée, je ne savais pas trop quoi faire. Je montais les bras comme pour lui rendre son accolade avant de me raviser. Elle était ma patronne, je ne devais pas être censé avoir une t’elle familiarité à son égard, je venais à peine de signer le contrat.
Je laissais mourir ma protestation : mais je ne suis pas une…. C’est exactement pour ça que je détestais cet orphelinat. Alors que j’avais des souvenirs de plus en plus précis sur mes origines sorcières, on continuerait à me prendre pour une née-moldue simplement, car l’on m’avait forcé à vivre comme l’un des leurs.
Hivers-morni ? Le qui-diche? C’est quoi ? Demandais-je ne comprenant pas ce qu’elle avait bien voulu me dire. Certainement, qu’elle recommençait à mâcher ses mots en parlant à toute vitesse. J’espérais qu’elle ne se mette pas à baragouiner en me donnant les commandes durant le service.
Madame Hope me fit sortir de mes pensées en me donnant une tape amicale dans le dos. Les yeux brillants, un grand sourire aux lèvres, le visage radieux, je m’excitais tel un gosse recevant ses jouets de Noël : C’était…trop dingue… truc de ouf. J’avais cru être délivré en sortant de l’orphelinat, mais j’étais venu ici sous la responsabilité et la surveillance de Madame Rosemertha : je n’avais fait que changer de chaîne. À Poudlard, aussi, j’étais enfermé entre quatre murs, contrairement à ces quelques secondes ou même la gravité n’avait pas eu d’emprise sur moi. Je... Je me suis jamais senti aussi libre. Rajoutais je hésitante. Plus que l'adrénaline, la vitesse, ou autre, c'était bien la liberté que j'avais ressentis.
INFOS
FICHE DE PERSO
Avec un grand sourire, je lui tapotais le dos. Elle me ressemblait beaucoup, et… il fallait dire qu’elle avait déjà un talent certains. L’emmenant vers l’intérieur alors qu’elle était en train de dire à voix haute ce que j’avais aussi ressenti la première fois, je me pris véritablement d’affection pour elle et déclarait :
« Allez ! T’as assez volé pour aujourd’hui, allons boire ce thé. »
Tout en souriant, je me dirigeais vers mon bar. Quelque chose me disait au fond de moi que nous allions nous entendre à merveille. Après tout, j’aurai pu reprendre un contrat avec une fille qui ne voulait rien faire et qui n’était pas du tout intéressante. Mais ici, en l’occurrence, ça n’avait pas l’air d’être le cas. Avec un grand sourire, je déclarait
« Et j’écrirai une lettre de recommandation pour le Quidditch, à Poudlard. Il est hors de question que tu n’intègres pas une équipe de ta maison avec le talent que tu as ! Et je vais t’entraîner personnellement. »
Je hochais la tête. Je n’avais jamais fait ça. Comme je n’avais jamais fait de thé ou sympathisé avec une fille de cette âge là. Mon regard se perdit un instant dans le néant. Cette année commençait bien. C’était… La vraie vie, comme je l’avais imaginé. De nouvelles têtes, de nouveaux endroits. Des choses à faire et à découvrir. J’étais très heureuse.
Passant les portes de mon nouveau bar, je me dirigeais vers le Thé que nous avions fait. Dans une grimâce, je vis qu’il avait beaucoup trop infuser.
« Mouais. Il y a un Starbuck à Edimbourg. Je pense que c’est la meilleure solution. Et je n’ai jamais vu la ville ! Allez, mets ta cape, on y va ! »
Et je me dirigeais vers mon propre manteau pour y aller. Elle allait voir ce que Starbuck avait à offrir !
« Allez ! T’as assez volé pour aujourd’hui, allons boire ce thé. »
Tout en souriant, je me dirigeais vers mon bar. Quelque chose me disait au fond de moi que nous allions nous entendre à merveille. Après tout, j’aurai pu reprendre un contrat avec une fille qui ne voulait rien faire et qui n’était pas du tout intéressante. Mais ici, en l’occurrence, ça n’avait pas l’air d’être le cas. Avec un grand sourire, je déclarait
« Et j’écrirai une lettre de recommandation pour le Quidditch, à Poudlard. Il est hors de question que tu n’intègres pas une équipe de ta maison avec le talent que tu as ! Et je vais t’entraîner personnellement. »
Je hochais la tête. Je n’avais jamais fait ça. Comme je n’avais jamais fait de thé ou sympathisé avec une fille de cette âge là. Mon regard se perdit un instant dans le néant. Cette année commençait bien. C’était… La vraie vie, comme je l’avais imaginé. De nouvelles têtes, de nouveaux endroits. Des choses à faire et à découvrir. J’étais très heureuse.
Passant les portes de mon nouveau bar, je me dirigeais vers le Thé que nous avions fait. Dans une grimâce, je vis qu’il avait beaucoup trop infuser.
« Mouais. Il y a un Starbuck à Edimbourg. Je pense que c’est la meilleure solution. Et je n’ai jamais vu la ville ! Allez, mets ta cape, on y va ! »
Et je me dirigeais vers mon propre manteau pour y aller. Elle allait voir ce que Starbuck avait à offrir !
Page 2 sur 2 • 1, 2
|
|