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Repas de famille ft Nathaniel Seymour
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FICHE DE PERSO
Cléophée & Nathaniel - Octobre 2022
Foutu mal de pied, je suis certaine que j’ai les chevilles gonflées à n’en plus finir, mais je ne peux vérifier puisque je ne vois plus mes pieds étant actuellement à mon septième mois de grossesse. Encore deux petits mois à tenir avant qu’il où elle ne sorte, oui, nous avions convenu avec Sam que nous laisserions le destin décider les choses. Bien sûr nous avions déjà envisagé le prénom que cela soit une fille ou un garçon.
Je franchissais enfin le portail du cottage ou je vivais avec ma petite famille, Liam courait devant moi pour ouvrir la porte de la maison et aller voir où se trouvait Lucky certainement. « Liam fait moi le plaisir d’aller porter tes affaires dans ta chambre avant d’aller embêter Lucky. » articulais-je un peu fortement pour qu’il m’entende mais peine perdue. Puisqu’en arrivant dans le couloir de l’entrée de la maison, je remarquais son sac à même le sol ainsi que son manteau. Je me demande bien où il a été cherché ce côté bordélique, certainement pas chez moi. Tant bien que mal, je me baisse pour attraper le manteau et le sac de mon fils quand Lucky débarque en courant et d’un claquement de doigt fait disparaitre les affaires de Liam, certainement pour les mettre dans l’endroit convenu.
Je fais un petit sourire alors que l’elfe réprimande doucement Liam. « Voyons Lucky ce n’est pas… » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que l’elfe me coupe me regardant avec ses gros yeux globuleux où l’on pouvait voir de l’inquiétude. « Madame ne fait rien, elle va prendre son bain pendant que je m’occupe de tout. Lucky est là pour cela. » « Enfin, je ne suis pas en sucre non plus, je… » « NON. » Je souffle un peu agacé de la situation, c’est ainsi depuis que j’en suis à mon sixième mois de gestation. Je ne peux strictement rien faire dans ma maison, tellement il est sur mon dos, encore plus protecteur que les hommes de ma famille. Lucky a même été suggérer que Samuel dorme dans une autre chambre et puis quoi encore . Hors de question. Mon mari je le garde près de moi, il sert de radiateur pendant les nuits fraiches.
Me voilà enfin prête, je portais une simple robe confortable pour mon ventre arrondi, j’étais installé dans le salon, sur le canapé à lire tranquillement la gazette du sorcier. La table était prête, Lucky se battait actuellement avec Liam pour qu’il porte une petite cravate, ce qui me faisait drôlement rire, je lui souhaite du courage, il est dans sa période un peu rebelle mais d’amour avec sa maman. Samuel prenait sa douche, il était gentiment venu me masser les épaules pendant mon bain. Il ne manquait que l’invité du soir, à savoir mon cousin qui viendrait certainement seul encore une fois. Depuis la mort de sa femme, je ne l’avais revue avec personne, bien dommage. À voir s’il viendra accompagner ou pas, Lucky prépare toujours un repas pour un régiment en ce moment. J’ai l’impression d’être un mammouth qu’il nourrit aveuglement pour passer à la marmite ensuite.
Je franchissais enfin le portail du cottage ou je vivais avec ma petite famille, Liam courait devant moi pour ouvrir la porte de la maison et aller voir où se trouvait Lucky certainement. « Liam fait moi le plaisir d’aller porter tes affaires dans ta chambre avant d’aller embêter Lucky. » articulais-je un peu fortement pour qu’il m’entende mais peine perdue. Puisqu’en arrivant dans le couloir de l’entrée de la maison, je remarquais son sac à même le sol ainsi que son manteau. Je me demande bien où il a été cherché ce côté bordélique, certainement pas chez moi. Tant bien que mal, je me baisse pour attraper le manteau et le sac de mon fils quand Lucky débarque en courant et d’un claquement de doigt fait disparaitre les affaires de Liam, certainement pour les mettre dans l’endroit convenu.
Je fais un petit sourire alors que l’elfe réprimande doucement Liam. « Voyons Lucky ce n’est pas… » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que l’elfe me coupe me regardant avec ses gros yeux globuleux où l’on pouvait voir de l’inquiétude. « Madame ne fait rien, elle va prendre son bain pendant que je m’occupe de tout. Lucky est là pour cela. » « Enfin, je ne suis pas en sucre non plus, je… » « NON. » Je souffle un peu agacé de la situation, c’est ainsi depuis que j’en suis à mon sixième mois de gestation. Je ne peux strictement rien faire dans ma maison, tellement il est sur mon dos, encore plus protecteur que les hommes de ma famille. Lucky a même été suggérer que Samuel dorme dans une autre chambre et puis quoi encore . Hors de question. Mon mari je le garde près de moi, il sert de radiateur pendant les nuits fraiches.
Me voilà enfin prête, je portais une simple robe confortable pour mon ventre arrondi, j’étais installé dans le salon, sur le canapé à lire tranquillement la gazette du sorcier. La table était prête, Lucky se battait actuellement avec Liam pour qu’il porte une petite cravate, ce qui me faisait drôlement rire, je lui souhaite du courage, il est dans sa période un peu rebelle mais d’amour avec sa maman. Samuel prenait sa douche, il était gentiment venu me masser les épaules pendant mon bain. Il ne manquait que l’invité du soir, à savoir mon cousin qui viendrait certainement seul encore une fois. Depuis la mort de sa femme, je ne l’avais revue avec personne, bien dommage. À voir s’il viendra accompagner ou pas, Lucky prépare toujours un repas pour un régiment en ce moment. J’ai l’impression d’être un mammouth qu’il nourrit aveuglement pour passer à la marmite ensuite.
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Cléophée & Nathaniel - Octobre 2022
La sonnette de la maison située dans la campagne de la ville de Warrington dans le Shropshire, retentit et un sourire fin fit son apparition sur mon visage. Je fermais le journal The Times avant de le déposer doucement sur la petite table qui lorgnait contre le canapé. Il s’agissait d’un journal moldu que je ressentais le besoin de prendre chaque jour pour m’informer des dernières nouvelles dans le monde moldu. Enfin si je n’avais pas le temps de le prendre, c’est Samuel qui se chargeait de l’acheter. Il avait pris l’habitude de le lire lui aussi au fil des années à vivre ensemble. Enfin il existe plusieurs journaux moldus comme The Daily Telegraph, The Guardian ou The Independent, mais The Times est celui que je prends le plus souvent.
Je m’apprête à me lever en parlant pour indiquer que je vais ouvrir la porte. « Laissez j'y v… » « Non, Madame reste assise. » Je souffle agacée avant de lancer d’un air renfrogner sans me rendre compte que ma voix portait dans les pièces principales du rez-de-chaussée, si bien que lorsque Lucky ouvrit la porte Nathaniel m’a certainement entendu. « Satané Elfe. » Le petit elfe revient en trottinant légèrement et me regarda de manière suspicieuse. Lucky a la fâcheuse tendance d’avoir un caractère aussi merdique que moi c’est dernier temps. Enfin pour être plus exacte, il est extrêmement compliqué de le faire plier. « Madame a dit quoi ? » « Rien, madame n’a rien dit. » maugréais-je dans ma barbe, j’ai vraiment l’impression d’être un enfant avec cet elfe. « Oh toi ne rigole pas tu veux, aide-moi plutôt à me lever pour l’accueillir correctement. » dis-je en pointant mon doigt sur mon époux alors que celui-ci riait légèrement de la scène. « Il ne veut que ton bien tu sais ma chérie. » Je roulais des yeux préférant de pas répondre sinon nous allions encore partir sur un débat qui allait durer des heures.
Laissant mon mari derrière moi, je décide de me rendre dans l’entrée du cottage où se trouve mon cousin. « Rentre, ne reste pas sur le pas de la porte. Tu peux donner tes affaires à Lucky, puisqu’il prend réellement un plaisir à faire toutes les tâches que je peux encore faire moi-même. » Lucky s’empressa de prendre les affaires de Nathaniel après lui avoir lancé un « bonsoir monsieur Seymour, comment se porte monsieur Seymour ? » avec un petit sourire effronté qu’il me lançait. Je plisse légèrement les yeux quand il passe à mes côtés mais ne dit rien, j’ai nettement l’impression qu’il s’amuse de cette situation.
Je m’approche doucement de mon cousin pour lui faire la bise avant de glisser doucement ma main au niveau de son col roulé. « Aurais-tu des choses à cacher comme un suçon ? » demandais-je joyeusement avant de retirer ma main de son cou et de l’inviter à nous suivre dans le petit salon pour un petit apéritif avant de prendre le diner préparer par les soins de Lucky.
Je m’apprête à me lever en parlant pour indiquer que je vais ouvrir la porte. « Laissez j'y v… » « Non, Madame reste assise. » Je souffle agacée avant de lancer d’un air renfrogner sans me rendre compte que ma voix portait dans les pièces principales du rez-de-chaussée, si bien que lorsque Lucky ouvrit la porte Nathaniel m’a certainement entendu. « Satané Elfe. » Le petit elfe revient en trottinant légèrement et me regarda de manière suspicieuse. Lucky a la fâcheuse tendance d’avoir un caractère aussi merdique que moi c’est dernier temps. Enfin pour être plus exacte, il est extrêmement compliqué de le faire plier. « Madame a dit quoi ? » « Rien, madame n’a rien dit. » maugréais-je dans ma barbe, j’ai vraiment l’impression d’être un enfant avec cet elfe. « Oh toi ne rigole pas tu veux, aide-moi plutôt à me lever pour l’accueillir correctement. » dis-je en pointant mon doigt sur mon époux alors que celui-ci riait légèrement de la scène. « Il ne veut que ton bien tu sais ma chérie. » Je roulais des yeux préférant de pas répondre sinon nous allions encore partir sur un débat qui allait durer des heures.
Laissant mon mari derrière moi, je décide de me rendre dans l’entrée du cottage où se trouve mon cousin. « Rentre, ne reste pas sur le pas de la porte. Tu peux donner tes affaires à Lucky, puisqu’il prend réellement un plaisir à faire toutes les tâches que je peux encore faire moi-même. » Lucky s’empressa de prendre les affaires de Nathaniel après lui avoir lancé un « bonsoir monsieur Seymour, comment se porte monsieur Seymour ? » avec un petit sourire effronté qu’il me lançait. Je plisse légèrement les yeux quand il passe à mes côtés mais ne dit rien, j’ai nettement l’impression qu’il s’amuse de cette situation.
Je m’approche doucement de mon cousin pour lui faire la bise avant de glisser doucement ma main au niveau de son col roulé. « Aurais-tu des choses à cacher comme un suçon ? » demandais-je joyeusement avant de retirer ma main de son cou et de l’inviter à nous suivre dans le petit salon pour un petit apéritif avant de prendre le diner préparer par les soins de Lucky.
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Cléophée & Nathaniel - Octobre 2022
J’avais intimé à mon cousin de rentrer, au fil des années, je pensais qu’il ferait un peu comme chez lui, mais il est toujours tellement en attente de directive. Pourtant, il sait bien que ni Samuel, ni moi, ne dirions quelques choses s’il se mettait plus à ses aises. Lucky s’occupa de ses affaires alors que je me renfrognais légèrement en entendant les paroles de Nath. Certes, je suis consciente qu’il m’aime plus que sa propre vie et que je lui dois en partie mon bonheur. Il est celui qui m’a délibéré de ce calvaire, de ce mariage empli de douleur. Seulement, je n’aime pas être réduite à n’être qu’une spectatrice dans ma propre maison. Alors je préfère ne rien dire.
J’avais pincé mes lèvres avant de faire une moue déçu face à sa réponse. J’aurais été heureuse qu’il ramène une personne supplémentaire, une nouvelle aventure sentimental. Il avait le droit d’être heureux et je sais qu’il serait aux anges s’il pouvait se trouver un nouvel amour, mais peut-être que pour cela, il faut mettre fin à la malédiction qui pèse sur notre famille. Je ne sais pas à qui il faudrait s’adresser, un briseur de sort ? Un archéologue ? Un chercheur de mythe ? Il faudrait que je vois avec Nath si lui a une idée.
Alors je m’étais retourné d’un coup sec, faisant claqué mes cheveux contre son visage en le faisant exprès pour montrer ma contrariété. Seulement, il se rapprocha de moi alors que je marchais vers le salon pour retourner m’assoir sur le canapé, il rajouta à mon oreille discrètement qu’il allait m’expliquer. Voila qui changeait tous, je croise les bras contre ma poitrine et avec un petit sourire je lui rétorque. « J’y compte bien. » Terminant ma progression jusqu’au salon, je m’installe dans le fond du canapé et tourne un peu mes chevilles pour les soulager.
« Bien. » cria Liam en brandissant son crayon en l’air comme si cela allait changer la face du monde. Il gigotait des pieds contre Nathaniel, signe qu’il voulait retourner sur la terre ferme. Pourtant Nath n’avait pas l’air de vouloir le lâcher, la perte de son enfant devait le peser. Je lui fis un petit sourire avant de porter mon regard sur Lucky qui apportait des boissons. Un éventails de choix sauf pour moi, j’avais le droit à du jus de tomate ce soir en termes d’apéritif. « Alors, comment se passe tes journées ? Pas trop chargée ? Je n’ai pas vraiment le loisir de te croiser au ministère en ce moment. » Pourtant, j’y passais mes journées au ministère, je ne le quittais pas puisque j’étais coincé à faire de la paperasse à la BPM jusqu’à ma reprise après mon congé maternité. « Vous êtes sur une affaire intéressante ? » Je portais mon verre à mes lèvres pour en boire une gorgée, alors que Samuel demandait à mon cousin ce qui lui ferait plaisir.
J’avais pincé mes lèvres avant de faire une moue déçu face à sa réponse. J’aurais été heureuse qu’il ramène une personne supplémentaire, une nouvelle aventure sentimental. Il avait le droit d’être heureux et je sais qu’il serait aux anges s’il pouvait se trouver un nouvel amour, mais peut-être que pour cela, il faut mettre fin à la malédiction qui pèse sur notre famille. Je ne sais pas à qui il faudrait s’adresser, un briseur de sort ? Un archéologue ? Un chercheur de mythe ? Il faudrait que je vois avec Nath si lui a une idée.
Alors je m’étais retourné d’un coup sec, faisant claqué mes cheveux contre son visage en le faisant exprès pour montrer ma contrariété. Seulement, il se rapprocha de moi alors que je marchais vers le salon pour retourner m’assoir sur le canapé, il rajouta à mon oreille discrètement qu’il allait m’expliquer. Voila qui changeait tous, je croise les bras contre ma poitrine et avec un petit sourire je lui rétorque. « J’y compte bien. » Terminant ma progression jusqu’au salon, je m’installe dans le fond du canapé et tourne un peu mes chevilles pour les soulager.
« Bien. » cria Liam en brandissant son crayon en l’air comme si cela allait changer la face du monde. Il gigotait des pieds contre Nathaniel, signe qu’il voulait retourner sur la terre ferme. Pourtant Nath n’avait pas l’air de vouloir le lâcher, la perte de son enfant devait le peser. Je lui fis un petit sourire avant de porter mon regard sur Lucky qui apportait des boissons. Un éventails de choix sauf pour moi, j’avais le droit à du jus de tomate ce soir en termes d’apéritif. « Alors, comment se passe tes journées ? Pas trop chargée ? Je n’ai pas vraiment le loisir de te croiser au ministère en ce moment. » Pourtant, j’y passais mes journées au ministère, je ne le quittais pas puisque j’étais coincé à faire de la paperasse à la BPM jusqu’à ma reprise après mon congé maternité. « Vous êtes sur une affaire intéressante ? » Je portais mon verre à mes lèvres pour en boire une gorgée, alors que Samuel demandait à mon cousin ce qui lui ferait plaisir.
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Cléophée & Nathaniel - Octobre 2022
Mon air souriant, enjôleur s’envola un peu quand il mentionna le fait qu’il passait beaucoup plus de temps sur le terrain en ce moment que dans les murs du ministère. J’expirais un souffle légèrement agacée ou tout simplement jalouse du fait qu’il pouvait partir en mission, contrairement à moi coincée dans un bureau jusqu’à ma période de congé maternité. Encore au moins un mois et demi à attendre, la direction m’envoyait en congé la dernière semaine de novembre, le 28 novembre il me semble, puisque le terme était prévu pour la semaine du 17 décembre. Vivement que cette grossesse ce termine, j’aime Liam, j’aime l’idée d’avoir un nouvel enfant avec Samuel, mais qu’est-ce que je déteste que l’on m’empêche de travailler correctement, la paperasserie n’a jamais été mon fort, sinon j’aurais fait en sorte de devenir un gratte-papier ou je ne sais quoi. Bon après, je concevais le fait que si j’avais perpétué dans mon entêtement de continuer mon travail comme d’habitude, c’est-à-dire aller sur le terrain, j’aurais vraiment fini par faire une fausse couche. Deux tentatives avaient été la sonnette d’alarme et je n’aurais pas voulu faire cela à Samuel. « Tu as de la chance. » lançais-je doucement à Nate alors que je sentais Samuel faire une pression sur ma main qui était posé sur mon ventre de femme enceinte de 7 mois. Je tournais la tête vers mon époux qui savait ce que je ressentais de cette mise à l’écart, mais qui ne voulait pas que je reparte dans une énième débâcle sur le sujet. Je lui fis un petite sourire.
Mais je ne lâchais pas l’affaire pour autant, je repartais à l’assaut, vu qu’il est en mission presque tous le temps, qu’il mange et boit pratiquement de terrain, je pourrais potentiellement le vivre par procuration à travers lui ? Il semblerait que non. Je fis une moue contrariée. « Tu aurais au moins pu me donner un petit truc croustillant, tu sais que c’est un calvaire de remplir papier après papier, rapport après rapport. La seule chose excitante que j’ai pu avoir dernièrement c’est seulement un interrogatoire. » J’avais besoin de retrouver le terrain, j’avais l’impression de m’ensevelir sous une montagne de document jour après jour et je pensais que je finirais par me noyer.
Alors est-ce que je tenais le coup ? Non pas réellement, je vais finir par devenir dingue à force de rester enfermé dans un bureau, mais je me doutais bien qu’il ne parlait pas du travail. « Je ne vois plus mes pieds si cela t’intéresse. » Je braque mon regard dans celui de mon cousin avant de poser mon verre brusquement sur la table et de me pencher en avant pour attraper la main de cousin et la poser sur mon ventre la où des petits coups de pieds. « Là tu le sens ? » demandais-je les yeux pétillants, je savais qu’il penserait systématiquement à Victoria et son enfant, mais je voulais partager ce moment avec lui, parce que je tenais vraiment à ce qu’il soit le parrain. Samuel avait lâcher mon ventre pour voir si tous se passait bien en cuisine je suppose, nous laissant tous les deux pour parler. Peut-être le moment d’aborder des sujets qui ne nous concernerait que nous deux.
Mais je ne lâchais pas l’affaire pour autant, je repartais à l’assaut, vu qu’il est en mission presque tous le temps, qu’il mange et boit pratiquement de terrain, je pourrais potentiellement le vivre par procuration à travers lui ? Il semblerait que non. Je fis une moue contrariée. « Tu aurais au moins pu me donner un petit truc croustillant, tu sais que c’est un calvaire de remplir papier après papier, rapport après rapport. La seule chose excitante que j’ai pu avoir dernièrement c’est seulement un interrogatoire. » J’avais besoin de retrouver le terrain, j’avais l’impression de m’ensevelir sous une montagne de document jour après jour et je pensais que je finirais par me noyer.
Alors est-ce que je tenais le coup ? Non pas réellement, je vais finir par devenir dingue à force de rester enfermé dans un bureau, mais je me doutais bien qu’il ne parlait pas du travail. « Je ne vois plus mes pieds si cela t’intéresse. » Je braque mon regard dans celui de mon cousin avant de poser mon verre brusquement sur la table et de me pencher en avant pour attraper la main de cousin et la poser sur mon ventre la où des petits coups de pieds. « Là tu le sens ? » demandais-je les yeux pétillants, je savais qu’il penserait systématiquement à Victoria et son enfant, mais je voulais partager ce moment avec lui, parce que je tenais vraiment à ce qu’il soit le parrain. Samuel avait lâcher mon ventre pour voir si tous se passait bien en cuisine je suppose, nous laissant tous les deux pour parler. Peut-être le moment d’aborder des sujets qui ne nous concernerait que nous deux.
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Cléophée & Nathaniel - Octobre 2022
Un sourire satisfait se forma sur mon visage alors qu’il craquait enfin pour me raconter un peu sa journée ou du moins ce sur quoi il enquêtait. Je me rapprochais un peu de lui comme je le pouvais sans faire de pressions sur mon ventre qui devait contenir au moins un cognard de temps en temps tellement les coups de pieds pouvaient être puissants. Je restais scotché à ses lèvres attendant la suite mais sa bouche restait définitivement fermée. Mon extase fut de courte durée, je me renfonce dans mon canapé, la mine déconfite avant de le regarder avec un fusillement de regard pointé. « Alors ça, ce n’était vraiment pas gentil. Voler des objets, magnifique, j’aurais pu lire la même chose dans le journal local moldus. La voiture de monsieur bidule a été volé ce matin rue pois-cassé, il semblerait que d’après les indices, le voleur est aussi coupé la clôture du champs qui gardait les vaches d’où le soucis de circulation. Je vais finir par demander une télévision pour regarder les séries policières moldus pour avoir l’impression de résoudre des affaires. » Je détourne le regard avec le nez en l’air, renfrogné de ce peu d’information inutile de mon cousin. Un vol d’objet comme c’était plaisant à entendre.
Mais je ne pouvais rester fâcher contre lui et il dirigea la conversation vers un sujet qui m’obligerait à lui adresser de nouveau la parole, à savoir le petit bout de chou qui continuait de pousser en moi. Je lui disais ce qu’il en était quand petit bébé décida de rejoindre la conversation à sa façon. Alors je lui avais pris la main pour la mettre sur mon ventre à l’endroit où les petits coups se faisaient désiré. J’avais un sourire aimant sur mon visage alors que je regard mon cousin d’une façon bienveillante. Je le regardais doucement reprendre sa place. « Le prénom ? Non, enfin si, on a fait un choix, très compliqué au passage nous n’étions pas d’accord pour le prénom d’une petite fille jusqu’à la semaine dernière. » Je me coupe dans ma tirade quand j’entends du bruit provenant de la cuisine, je tourne ma tête dans cette direction en fronçant les sourcils avant de me reconcentrer sur mon cousin.
Je me lève tant bien que mal pour aller auprès de Nathaniel. Je posais ma main sur sa joue avant d’aller déposer un baiser sur son front avant de murmurer à son oreille. « On la brisera cette malédiction juste pour toi. Tu mérites le bonheur Nate. En attendant, j’aimerais que tu trouves un prénom garçon et un prénom fille, ce sera le deuxième prénom de l’enfant. » terminais-je doucement après quoi je lui tourne le dos pour me retrouver face à face avec Lucky. « On va pouvoir passer à table Madame, si Madame ne reste pas assise le reste de la soirée, Lucky la collera à la chaise. » Quel outrance, je retiens une mimique de surprise avant de commencer un combat de regard avec Lucky. « J’aimerais bien voir cela tient. » Je croise mes bras alors que le petit elfe se retourne pour ouvrir le chemin vers la grande table dans le salon. Je le suis doucement, invitant mon cousin à en faire de même.
Mais je ne pouvais rester fâcher contre lui et il dirigea la conversation vers un sujet qui m’obligerait à lui adresser de nouveau la parole, à savoir le petit bout de chou qui continuait de pousser en moi. Je lui disais ce qu’il en était quand petit bébé décida de rejoindre la conversation à sa façon. Alors je lui avais pris la main pour la mettre sur mon ventre à l’endroit où les petits coups se faisaient désiré. J’avais un sourire aimant sur mon visage alors que je regard mon cousin d’une façon bienveillante. Je le regardais doucement reprendre sa place. « Le prénom ? Non, enfin si, on a fait un choix, très compliqué au passage nous n’étions pas d’accord pour le prénom d’une petite fille jusqu’à la semaine dernière. » Je me coupe dans ma tirade quand j’entends du bruit provenant de la cuisine, je tourne ma tête dans cette direction en fronçant les sourcils avant de me reconcentrer sur mon cousin.
Je me lève tant bien que mal pour aller auprès de Nathaniel. Je posais ma main sur sa joue avant d’aller déposer un baiser sur son front avant de murmurer à son oreille. « On la brisera cette malédiction juste pour toi. Tu mérites le bonheur Nate. En attendant, j’aimerais que tu trouves un prénom garçon et un prénom fille, ce sera le deuxième prénom de l’enfant. » terminais-je doucement après quoi je lui tourne le dos pour me retrouver face à face avec Lucky. « On va pouvoir passer à table Madame, si Madame ne reste pas assise le reste de la soirée, Lucky la collera à la chaise. » Quel outrance, je retiens une mimique de surprise avant de commencer un combat de regard avec Lucky. « J’aimerais bien voir cela tient. » Je croise mes bras alors que le petit elfe se retourne pour ouvrir le chemin vers la grande table dans le salon. Je le suis doucement, invitant mon cousin à en faire de même.
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